3 pièces rue de France A deux pas de la promenade des Anglais, dans un bel immeuble d'angle entre la Rue de France et Grosso, un très vaste 3 pièces de 88 m2 en RDC avec balcon terrasse au calme. Exposition Est/Ouest. L'appartement se compose, d'une entrée, d'un salon, deux chambres, une cuisine indépendante donnant sur un balcon terrasse. Une grande salle de bain, un WC indépendant, dégagement et rangement. Plusieurs placards. Magnifique parquet bois massif, belle hauteur sous plafond, double vitrage et climatisation. Une cave complète ce bien.
Avenue du Dauphiné, Proche Parc Impérial, Résidence luxe sécurisée, Splendide Appartement de type T4 entièrement rénové avec gout et avec des matériaux de qualité en avant-dernier étage, calme absolu.
Vue panoramique sur la mer, la ville de Nice et les montagnes, Double exposition,
Surface totale :110 m2 + Terrasse 19,70m2 et Balcon 9,50m2.
Parking privé et Cave. Hall d'entrée avec WC indépendant, lave-mains et placard, Magnifique séjour avec cuisine aménagée et équipée ouverte sur une terrasse très profonde.
Trois chambres dont une suite avec sa salle d'eau privative. Salle d'eau avec WC. Les trois chambres donnent sur un balcon filant avec vue verdure. Nombreux rangements.
Quartier Val Fleuri-Montaleigne à Cagnes-sur-Mer (06800)
Description du professionnel
MAISON - CAGNES-SUR-MER - 4 PIÈCES Maison d'environ 120 m² sur un terrain d'environ 680 m2. Sur 2 niveaux, composée d'un double-séjour avec cuisine ouverte donnant sur le jardin expo sud-ouest, 3 chambres, un bureau, 2 salles de bains. 2 accès voitures, plusieurs stationnements. Un abri jardin et de voitures. Piscine hors sol possible.
Caractéristiques
Extérieur
Jardin
Piscine
Cadre et situation
Exposition Sud/Ouest
Cuisine
Cuisine séparée
Hygiène
Salle de bain (baignoire)
Salle d'eau (douche)
2 toilettes
Toilettes séparées
Pièces à vivre
Séjour / salon 18 m²
Salle à manger 11 m²
Entrée séparée
Voir moins de caractéristiques
Chauffage et diagnostics
Chauffage individuel
Diagnostic de performance énergétique (DPE)
D
Indice d'émission de gaz à effet de serre (GES)
B
Voir le détail
À propos du prix
595 000 euros
Facture d'énergie estimée
Entre 1721 et 2329 €/an
16 novembre 2024
REALESTATE IMMOBILIAIRE BY DIACONESCO.TV
Maison à vendre
6 pièces
• 117m²
• 5 chambres
VIDAUBAN (83550)
425 000 €
SURFACE 117 m/2
Descriptif du bien
Terrasse/Balcon /Terrasse
Nombre d'étages du bâtiment:2
Accès Handicapé
Nombre de salle d'eau:1 Salle d'eau
Bien en exclusivité
MAISON PROVENCALE à vendre à Vidauban, maison individuelle proche commerce et axe routier. Sur 2 niveaux elle offre une surface habitable de 125 m2 environ avec de beaux volumes pour les pièces. 1 studio attenant idéal pour vos ados, amis, ou en rapport locatif.
Rez-de-chaussée : 1 cuisine aménagée, un grand salon de 22 m2 avec poêle à granule, une chambre avec une salle d'eau et WC indépendant.
A l'extérieur une belle terrasse avec un barnum de 25 m2, 1 puits. Dépôt et acceptation d'un permis de construire pour clôture, portail, garage (matériaux présent) terrain de 503 m² avec possibilité de construire une piscine.
An 1er étage : un palier desservant trois chambres, une salle d'eau avec WC et accès au combles Toutes les fenêtres sont en PVC double vitrage et toutes pourvues de volets à la française en bois, climatisation réversible pour le chauffage dans toute la maison. Chauffe-eau électrique pour l'eau chaude. Clôture et garage en cours de réalisation
Prix hors frais notariés, d'enregistrement et de publicité foncière.
Diagnostics énergétiques
Diagnostic de performance énergétique (DPE)
B
Indice d'émission de gaz à effet de serre (GES)
A
16 novembre 2024
REALESTE IMMOBILIAIRE BY DIACONESCO.TV
APPARTEMENT
NICE - FABRON - 3 PIÈCES
Nice Fabron
Réf. 2055
3 pièces
2 chambres
72 m²
495 000 €
Description
NICE - FABRON - 3 PIÈCES
Dans le quartier de fabron, dans une résidence calme et sécurisée avec gardien, un appartement 3 pièces de 71 m2.
Composé de 2 chambres, d'un séjour, de 2 jardins de 50m2 et 19m2, d'une cuisine, d'un wc indépendant et d'un cellier.
Ce bien ce complète avec une cave et une place de parking ainsi qu'une piscine en copropriété.
Surfaces
1 Salon
1 Cuisine
1 Chambre
1 Chambre
1 Salle de bains
1 Toilettes
Proximités
Aéroport
Bus
Centre ville
Commerces
École primaire
École secondaire
Prestations
Gardien
Piscine en copropriété
Mentions légales
Honoraires propriétaire
Taxe foncière 1100 € / an
Charges 4200 € / an
Publicité
Publicité
16 novembre 2024
REALESTATE IMMOBILIAIRE BY DIACONESCO.TV
APPARTEMENT
CIMIEZ - 5 PIÈCES BOURGEOIS
Nice Cimiez
Réf. 2020
5 pièces
4 chambres
183.24 m²
1 100 000 EUROS
Description
Cimiez - 5 pièces Bourgeois
Appartement Bourgeois de 5 pièces dans un magnifique immeuble belle époque sur le très chic boulevard de Cimiez. Cet appartement de standing rénové récemment est composé d’un grand salon donnant sur des balcons plein sud, 3 chambres, 1 bureau, une cuisine indépendante, 1 salle d’eau et 1 salle de bain. Triple exposition, très belle hauteur sous plafond, parquet bois massif. Beaucoup de charme et de volume. Une cave complète ce bien. Façade votée et payée. Proche bus, école, et commerces.
Surfaces
1 Entrée 32 m²
1 Salle à manger 23 m²
1 Salon 21 m²
1 Chambre 19 m²
1 Chambre 22 m²
1 Chambre 13 m²
1 Chambre 22 m²
1 Salle de bains / toilettes 8 m²
1 Salle de douche 4 m²
1 Cuisine 20 m²
Proximités
Aéroport 20 minutes
Bus 30 mètres
Centre ville 10 minutes
Commerces 100 mètres
Crèche
École primaire
Parc
Hôpital/clinique
Supermarché
Université
Prestations
Ascenseur
Cheminée
Interphone
Mentions légales
Honoraires propriétaire
Loi Carrez 183 m²
Taxe foncière 2574 € / an
Charges 2880 € / an
Montant estimé des dépenses annuelles d'énergie pour un usage standard : 1625€ ~ 2199€
16 novembre 2024
REALESTATE IMMOBLIAIRE BY DIACONESCO.TV
APPARTEMENT
NICE - MONT ALBAN - 3 PIÈCES
Nice
Réf. 2037
3 pièces
56 m²
545 000 EUROS
Description
NICE - MONT ALBAN - 3 PIÈCES
Appartement 3 pièces de 56m2 avec une grande terrasse exposition ouest. Une belle vue dégagée sur la ville et les montagnes.
Entièrement rénové, composé d'un grand séjour de 30m2 avec cuisine US, 2 chambres, 1 salle de douche avec wc, 1wc séparé, entièrement climatisé.
Une cave complète ce bien. Possibilité d'un garage en sus 40.000 EUR
Surfaces
Pas d'informations disponibles
Proximités
Centre ville 10 minutes
Prestations
Pas d'informations disponibles
Mentions légales
Honoraires propriétaire
Taxe foncière 1000 € / an
Charges 1920 € / an
16 novembre 2024
REALESTATE IMMOBILIAIRE BY DIACONESCO.TV
APPARTEMENT
3 PIÈCES CŒUR DU CARRÉ D’OR DE NICE
Nice Carré d'or
Réf. 2038
3 pièces
2 chambres
64.87 m²
495 000 EUROS
Description
3 pièces cœur du carré d’or de Nice
Beau 3 pièces situé en plein cœur du carré d’or, avec vue dégagée sur un jardin. Dans un magnifique immeuble bourgeois, dont la façade et les parties communes ont été refaites récemment, un 3 pièces de 65 m2 composé d’un salon, une cuisine et deux chambres orientées Est, une salle de bain, et un wc indépendant. Belle hauteur sous plafond, parquet en bois massif. Appartement très lumineux. 1er étage avec ascenseur. Proche des commerces, et de la mer (500 m à pied).
Surfaces
1 Placard 1 m²
1 Salle de douche 4 m²
1 Toilettes 1 m²
1 Cuisine 8 m²
1 Salon 14 m²
1 Dégagement 4 m²
1 Chambre 12 m²
1 Chambre 14 m²
Proximités
Aéroport 15 minutes
Bus 5 minutes
Centre ville 5 minutes
Cinéma 5 minutes
Commerces 1 minute
Gare TGV 10 minutes
Mer 5 minutes
Parc 3 minutes
Parking public 5 minutes
Plage 5 minutes
Salle de sport 5 minutes
Supermarché 5 minutes
Tram 5 minutes
Prestations
Ascenseur
Interphone
Mentions légales
Honoraires propriétaire
Loi Carrez 64 m²
Taxe foncière 1200 € / an
Charges 1980 € / an
Montant estimé des dépenses annuelles d'énergie pour un usage standard : 570€ ~ 830€
7 novembre 2024
La victoire de Trump entraîne un effondrement des cours de l’or… et c’est une bonne nouvelle !
Enfin bonne, pas pour toutes les âmes sensibles de gauche qui pleurent la défaite de Kamalaty Jane, dont personne n’a voulu voir le manque de valeur face à Trump, un tantinet combattif (et que l’on peut ne pas aimer, tel n’est pas le sujet).
La bonne nouvelle c’est que l’or baisse, il s’effondre même depuis la victoire de Trump.
Pourquoi est-ce une bonne nouvelle me direz vous si l’on est détenteur d’or ?
Simple.
Je préfère un monde en paix avec de l’or qui baisse et mes enfants en vie, que mon or qui monte, une troisième guerre mondiale avec les Russes et les Chinois et mes fils se battant sur le front de l’Est contre des Nord-Coréens…
Simple.
Je vous le dis.
Un économiste de grenier normand est un homme simple, avec des préoccupations simples.
Tout mon “or” contre la vie de mes enfants.
Qu’a dit Trump ?
Qu’il n’allait pas déclencher de guerre mais mettre fin aux guerres.
Alors dites ce que vous voulez de Trump le fasciste, le raciste, le méchant, mais s’il devient un artisan de paix, alors le monde y gagnera, surtout les fils d’Ukraine et de Russie qui tombent par centaines de milliers depuis deux ans. Les mères ukrainiennes et russes y gagneront aussi. Les mères européennes, espérons-le, n’auront pas à pleurer leurs fils.
Alors oui.
L'OR baisse sur des anticipations de PAIX.
J’aime la paix et vous ne me ferez jamais aimer la guerre.
Poutine n’arrive déjà pas occuper l’Ukraine… alors avant qu’il s’aventure plus loin cela relève de la pure imbécilité militaire et stratégique.
L’or baisse mes amis et c’est une bonne nouvelle.
Cela nous donne aussi le “montant” et le pourcentage exact de la prime de risque “géopolitique”. Merveilleux chiffre que l’on va pouvoir calculer avec précision.
L’or baisse et c’est une bonne nouvelle, car vous allez pouvoir en racheter à un meilleur prix. Nous allons avoir notre nouveau point d’entrée, parce que… l’or va remonter encore et encore.
Pourquoi ?
Parce que les taux vont baisser et que le problème des dettes ici en Europe comme là-bas en Amérique reste entier !
Charles SANNAT
18 octobre 2024
« La saignée des impôts. Fin de l’assurance-vie, Flat Tax de 33 % jusqu’à 37.5 % au lieu de 30% ». L’édito de Charles SANNAT
A peine la discussion budgétaire commencée à l’Assemblée Nationale, que c’est la couse à l’échalotte de l’impôt nouveau.
Des réductions de dépenses ?
Pensez donc.
Les incapables qui nous gouvernent ne savent faire qu’une seule chose. Taxer plus.
" IL N'EXISTE PAS DE PROBLEME QU'UN NOUVEL IMPÔI NE PUISSE RESOUDRE".
Voilà leur triste logique.
Voici l’amendement adopté en Commission hier (source ASSEMBLEE NATIONALE ici).
Le rétablissement des comptes publics et la soutenabilité de notre système social doit aussi s’accompagner d’une juste répartition des contributions de chacun – notamment entre le travail et le capital. Dans l’état actuel du texte, l’ordre de grandeur des prélèvements ciblés opérés à l’article 11 pourrait nuire à l’activité économique tout en ayant un rendement limité compte tenu de son caractère temporaire et des stratégies d’évitement que cela pourrait susciter.
Dans une perspective de long terme visant à durablement rééquilibrer la fiscalité du capital et du travail, le groupe Les Démocrates propose une solution alternative à travers cet amendement.
Il est proposé d’augmenter la taxation des revenus du patrimoine et de placement par un relèvement de trois points du taux de prélèvement au titre de l’impôt sur le revenu dans le cadre du prélèvement forfaitaire unique. Le PFU passerait donc de 30 % à 33 %.
Mais ce n’est pas tout !
FINI LES AVANTAGES FISCAUX POUR L'ASSURANCE-VIE !
Et oui. Selon nos législateurs, l’avantage dont bénéficie l’assurance-vie n’a pas lieu d’être, donc il faut taxer les sommes sur les assurances au barème des droits de succession !
Autant vous dire que le seul intérêt de ce placement était justement de pouvoir alléger la rapine fiscale de Bercy.
Et bien zou… sans intérêt fiscal au moment de la succession, aucun intérêt de garder des sommes qui ne rapportent pas grand-chose bloquées sur ces contrats d’assurance-vie.
Autrefois, cet avantage avait été donné pour aider justement à financer la dette de la France, puisque les fonds en euros, c’est de la dette française !
Enfin ça c’était le monde d’avant.
Avant l’épargne des Français finançait les déficits de l’Etat.
Mais c’était avant.
Avant que la BCE ne rachète 25 % de la dette de la France soit plusieurs centaines de milliards d’euros. Le problème n’est plus de lever de l’argent sur les marchés.
La BCE s’en chargera.
Le problème c’est d’assurer la solvabilité de la France.
L’assurance-vie sera donc taxée.
Il faut percevoir les changements pour comprendre et anticiper ce qu’il va se passer.
Reste à savoir, si nos rapaces voraces de l’Assemblée Nationale rendront cette rapine rétroactive ou si cela ne s’appliquera qu’aux nouveaux versements ? Peu probable. Il est fort à parier que cela s’appliquera aux nouvelles successions ouvertes en 2025… même si les sommes ont été déposées avant. Restera à voir la position du Conseil Constitutionnel.
La saignée commence.
Rien ne la justifie.
Ils nous volent maintenant, parce qu’ils gèrent comme des pieds depuis des années en distribuant aux uns l’argent des autres et en se pavanant avec notre argent.
Je paierai ce que je dois payer car ce sera la loi, mais jamais plus je ne donnerais mon consentement à leurs dépenses. Plus jamais je ne défendrai l’impôt dans notre pays qui est devenu un vol en bande organisée dans un pays en pleine chienlit.
« Ecorama, qui sont les riches que Barnier va taxer plus ? ».
Par Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Qui est riche ?
Qui est Le riche à taxer ?
Quel est son profil ?
Comment le reconnaître ?
Voilà la thématique à la mode ces derniers jours qui tourne et retourne en boucle.
J’ai tenté d’expliquer dans cette émission, que ce qui est défini comme un riche en France correspond au salaire médian en Suisse, et que plutôt que de continuer à se focaliser sur qui est le riche à taxer, nous ferions mieux de nous demander comment créer de la richesse pour tous, comment créer les conditions de l’abondance pour le plus grand nombre.
En France selon l’Observatoire des Inégalités pour faire parti des 1 % les plus riches il faut gagner 7 180 euros par mois. En Suisse le salaire médian, lui est de 6 500 Francs Suisses. Vous me direz oui mais la parité de pouvoir d’achat, oui mais le taux de change, et je rajouterai oui et le sens du vent et si ma tante en avait on l’appellerait mon oncle…
On se fiche de toutes ces arguties.
La réalité c’est que les “riches” en France sont en réalité très pauvres.
Ils sont pauvres parce que nous sommes pauvres.
Nous sommes pauvres, non pas parce qu’il y a des impôts trop élevés, mais parce nous détestons tellement la richesse, tellement l’argent, tellement le riche d’à côté que nous n’avons plus aucune ambition de réussite au sens large ce qui inclut aussi l’argent.
Mais ce n’est pas tout.
Dans une étude publiée en 2020, l’Insee constate que l’argent des ultra-riches provient, à 57 %, des revenus de leur patrimoine, contre 4,6 % pour l’ensemble des ménages…
Les bonnes âmes vont venir couiner à l’injustice sociale.
Evidemment, quand le sage montre la lune, les bonnes âmes (et les imbéciles) regardent le bout du doigt.
L’important ce n’est pas l’injustice.
L’important c’est de comprendre qu’il y a une catégorie de gens (très minoritaire en France) qui a compris comment faire travailler l’argent pour eux, alors que l’immense majorité travaille pour l’argent.
Celui qui l’a le mieux expliqué et simplement et pour pas cher c’est Robert Kiyosaki dans son ouvrage “Père riche, père pauvre”. Un livre qui coûte 22 euros. Vous le trouverez sur Amazon comme à la FNAC et dans toutes les grandes librairies.
Bref, le problème ce n’est pas la richesse des autres.
Le problème c’est d’apprendre à tous à capter de la richesse.
Vous allez me dire si c’est si facile pourquoi tout le monde ne le fait pas.
Bonne question, et c’est exactement celle que m’a posée ma fille de 14 ans au dîner dimanche dernier.
Je lui ai dit c’est simple.
Très simple.
La première étape pour le succès en général et l’argent qui n’en est que l’une des conséquences, c’est le travail.
Il faut commencer par travailler, beaucoup, intensément, longtemps, depuis vos études et jusqu’au cercueil, car contrairement à ce que pensent les gens, on ne doit pas cesser d’apprendre après avoir obtenu son diplôme.
Bref, il faut travailler.
Pas 35 heures, mais plutôt 70 heures .
Et là… il n’y a plus grand monde.
Si les intérêts capitalisés augmentent considérablement dans la durée, le travail capitalisé lui aussi permet de déclencher l’effet cumulé.
Mais pour comprendre tout cela, il faut commencer par cesser de détester les riches, les autres et de ne plus jalouser et ne plus haïr l’argent qui n’est pas sale en soi.
“Il n’y a pas de trésor caché dans l’économie française !” a déclaré Villeroy de Galhau le gouverneur de la banque de France qui exhorte qui plus est à reconnaitre les “exigences du réel”.
Oui. Je sais. Monsieur le gouverneur aurait pu et aurait du l’ouvrir beaucoup plus tôt. Beaucoup plus vite et beaucoup plus fort, y compris quand c’était le grand Bruno Le Maire qui régnait en maître sur Bercy et un “trésor” qu’il a vidé. Je pense que nous sommes d’accord, nous qui avons suivi, analysé, chroniqué notre descente aux enfers de l’endettement.
Pour autant je ne peux qu’être d’accord pour une fois avec le gouverneur de la Banque de France qui retrouve sa compétence sous la menace du Politburo LFiste.
Pour partager des richesses il faut d'abord créer des richesses
Et c’est exactement ce que l’histoire de tous les pays communistes dans le monde et sans aucune exception nous montre et démontre.
Pour taxer il faut créer une base taxable donc des richesses. Pour que ces richesses perdurent, et c’est du bon sens, il ne faut pas “tout me prendre”, sinon je pars à la pêche ou en promenade si je n’ai pas rivière à proximité.
C’est ce que l’on appelle les incitations positives.
Nous en avons tous besoin pour “avancer” et ce… dès notre plus jeune âge ! Si vous voulez que votre sale gosse fasse ses devoirs… il faut mettre dans la balance un petit truc en plus comme un tour de manège, un film ou une sortie, peu importe vos “modalités de négociations parents/enfants” mais il ne faut pas nier la nature humaine.
Les premiers mots sont papa, maman (et pas parent 1 ou 2) suivi de “à moi”… et quand tu me prends mon doudou je te tape sur la tête (ce qui m’a valu une convocation auprès de la directrice de la crèche pour mon petit dernier capitaliste génétiquement puisqu’il a défendu son doudou par la force). A moi. D’ailleurs l’Ukraine dit “le Donbass c’est à moi”. La Russie dit non… “à moi”. Du coup comme à la crèche on se tape dessus.
Que dit d'autre notre grand timonier de la Banque Centrale ?
“Dire la vérité et éclairer les exigences du réel, c’est respecter les Français”. le gouverneur de la Banque de France a appelé sur franceinfo à “reconnaître les exigences du réel” et à éviter les “coûts salariaux excessifs” pour les entreprises.
François Villeroy de Galhau invite à muscler les “atouts” de l’économie française. “Nous sommes la 7e économie du monde, il y a 30 millions de Français au travail, il y a beaucoup d’entreprises performantes : il faut muscler ces atouts” , insiste t-il, mettant en garde contre les propositions orientant vers des “coûts salariaux excessifs”.
“Le seul trésor de l’économie française, c’est notre travail !”.
Ce constat l’amène à ce rappel : “Il n’y a pas de trésor caché dans l’économie française!” . “La nouvelle plutôt réconfortante, c’est que le seul trésor de l’économie française, c’est notre travail!”. “C’est la qualité de notre innovation, de l’engagement de ces 30 millions de Français qui sont au travail”, martèle t-il.
“Notre avenir économique est entre nos mains. C’est ça qui détermine le pouvoir d’achat, l’emploi, et la puissance économique de la France”, estime t-il encore, suggérant de “regarder ce qui marche le mieux chez nos voisins !”.
Pour ce faire, le Gouverneur de la Banque de France appelle à respecter "deux boussoles".
Le première règle d’or : “Ne pas alourdir nos entreprises”. “Dans la compétition économique, nos entreprises ne peuvent pas être alourdies par des coûts salariaux excessifs, y compris le Smic, et par des impôts trop lourds”. La deuxième, relative au déficit public : “Nous ne pouvons plus creuser encore davantage le déficit. Il nous coûte de plus en plus cher à financer et pèse sur notre souveraineté”.
François Villeroy de Galhau met en garde par ailleurs sur les “deux grandes faiblesses de l’économie française”, qu’il compare “à la cigale de la Fontaine”.
Premier point faible : “Nous achetons plus que nous produisons : ça donne notre déficit extérieur. Le deuxième est, dans la sphère publique, “que nous dépensons beaucoup plus que nos voisins européens, et plus que nous payons en impôts”, juge t-il, alertant quant au sujet de la charge de la dette, qui inquiète les Français. “Elle nous coûte de plus en plus cher à financer”. “Vous savez quel est le poste de dépenses qui va augmenter le plus dans ces années ? C’est les intérêts de la dette! Tout ce que nous dépensons à cause de cette dette passée, c’est autant que nous ne pouvons pas mettre dans des dépenses d’avenir”.
L'argent magique n'existe pas, ni en France, ni en URSS...
Et nos aimables camarades marxistes, feraient bien de ne pas oublier cette règle qu’ils semblent avoir tous plus de mal les uns que les autres à comprendre.
Il n’y a pas d’argent magique.
Jamais.
Pas plus en URSS qu’en France.
Nous avons vu l’échec effroyable de toutes les tentatives “communistes” .
Je comprends la nécessité non pas de partager mais de protéger.
Protéger ce n'est pas partager.
Je n’ai pas à partager, encore moins quand le partage devient du vol fiscal.
Vous n’avez aucun droit moral à me forcer à partager.
Néanmoins, il y a un droit moral parfaitement compréhensible et acceptable qui consiste à dire que l’on doit protéger nos plus faibles. Nos enfants, nos anciens ou nos malades. Nos invalides. Nos mal portants et cela ne souffrent en réalité aucune discussion, car nous sommes tous d’accord. Verser une pension de retraite, payer les soins médicaux, ou encore verser les rentes d’handicap. Pour cela payer des impôts en fonction de nos capacités pour assurer la juste dignité. Aucun problème.
Mais pour pouvoir faire cela, il faut que les bien portants travaillent.
La richesse n’est pas mal.
Les inégalités ne sont pas mal.
Ce qui est mal c’est de ne pas apprendre aux gens et à nos jeunes les processus de création de valeur (pas que financière), le goût de l’effort, l’efficacité des efforts cumulés dans le temps, l’importance de faire les bons choix dans la vie et comment on peut améliorer son processus de décision. Bref, tout ce qui fait que vous allez “réussir” votre vie ou la rater (et pas besoin d’une Rolex à 50 ans).
100 000 euros à 18 ans et plus aucune aide.
Cela coûterait moins cher à l’Etat de verser 100 000 euros à tous les citoyens qui n’ont rien, puis après, à tous les jeunes quand ils arrivent à leur majorité et à 18 ans.
Et là vous verrez le poids des choix.
Il y a celui qui fera la bamboche et qui n’aura plus rien en quelques semaines. Celui qui achètera une voiture. L’autre une maison. Puis encore un qui investira dans une start-up ou dans un commerce et son outil de travail. Au bout de 10 ans il y aura des inégalités flagrantes et mesurables.
Au bout de 20 ans des écarts béants.
Au bout de 40 ans… ce sera des gouffres infranchissables… et ceux qui se croient malins diront “les vieux sont trop riches”! C’est juste le résultat de 40 ans d’effets cumulés.
La richesse collective ce n'est pas le "partage" du gâteau !
C’est l’apprentissage des bonnes manières de faire et la bonne manière, ce n’est pas de faire les poches des riches, car non seulement économiquement ce n’est efficace que dans la limite des stocks (de riches) disponibles, mais surtout, cela ne participe pas à nous élever.
Nous avons besoin d’être utiles, d’avoir du sens dans nos vies, nous avons besoin de dignité et de fierté, de nous dépasser, de nous grandir. Je ne vous parle pas “que” d’argent. Un prof peut se grandir et grandir tant de gosses. Un pompier est grand comme une infirmière qui ne se pose pas de question sur son “utilité” le matin en se levant.
Le travail n’est pas une punition.
Il n’est pas une aliénation.
C’est bien plus nuancé que cela.
Il ne faut pas accepter ce marxisme LFIste aussi stupide économiquement que destructeur socialement car il est une erreur économique et démocratique.
Nous allons aller droit dans le mur.
Si nous heurtons le mur, ce sera une catastrophe absolue pour notre pays qui a tant de fragilités.
Vous les connaissez toutes.
Si les gamelles se vident, ce sera la guerre de tous contre tous.
La France ne doit pas faire faillite.
Le camarade secrétaire général Mélenchon nous y mènera en chantant et en dansant plus vite qu’il ne le pense lui-même tant ils vivent dans une réalité alternative parisienne, bobo, idéologue et coupée des réalités.
Comme vous le savez parce que je vous en parle, depuis que le spectre d’une politique économique de gauche refait surface ce qui implique beaucoup plus d’impôts, les cabinets de fiscalistes et autres banques étrangères ou spécialistes de l’expatriation croulent sous les demandes de conseils et d’accompagnement.
Pour comprendre ce phénomène massif, majeur, dont les aimables gens de gauche n’ont aucune idée de l’ampleur, de la profondeur et de la gravité, il faut aller au-delà de l’argent, bien au-delà car les aspects financiers sont importants, mais il y a autre chose.
Il y a le fait de payer la juste contribution et donc l’histoire du consentement à l’impôt. Payer d’accord, mais pour quoi faire ou pour en faire quoi. Mais ce n’est pas tout.
Il y a aussi le fait de résister à une gestion calamiteuse de nos politiques depuis des décennies et donc de dire stop. Cela suffit. Plus avec mon argent. Je n’alimenterai plus ce système. Mon argent devient un agent d’influence, un façon différente de voter.
Mais ce n’est pas tout. De la même manière que les non vaccinés ont vécu la situation comme une immense violence de l’Etat à leur égard, les petits riches ou les grands, les entrepreneurs, les indépendants, les commerçants, tous ceux qui se lèvent tôt, travaillent beaucoup et font travailler les autres, participent à la société et à la création de biens communs, ces gens-là vivent la situation comme une immense violence à leur égard, et ils ont raison. C’est une immense violence. Un immense mépris à l’égard de leur utilité sociale et collective.
Mais ce n’est toujours pas tout. Les “riches”, les “bourgeois”, les “méchants” peu importe, il y a même le problème de “parcours up” qui rentre désormais en ligne de compte pour fuir la France.
C’est exactement ce que tente d’expliquer Benoît LELIEUR , avocat fiscaliste dans cet article du Figaro (source ici) où il dit ” les motivations ne sont pas principalement fiscales. Le vrai sujet, c’est la peur face à l’évolution de la société française : on nous parle de tensions communautaires, sociétales, de Gilets jaunes, de manifestations, de violence dans les écoles, et même de ‘la loterie de Parcours up’, que certains de nos clients ne veulent pas faire subir à leurs enfants”.
Notre pays est devenu fou. Il chasse les bons
Voilà la réalité. Les bons, les créateurs, les chefs, les patrons, les entrepreneurs, ceux dont le travail est fertile pour toute notre communauté nationale n’en peuvent plus des conséquences de l’égalitarisme. Parcours up est devenu un outil de contrôle social au service de la mixité sociale. C’est un immense système pour mixer… pas pour donner aux jeunes qui le méritent la formation qu’ils auraient souhaité, et mieux… qu’ils méritaient. Les critères d’attribution ne répondent plus du tout aux critères de résultats, de notation, et de réussite scolaire.
Les plus touchés par ce phénomène sont les enfants des catégories sociales les plus privilégiées. Dans tous les processus de discriminations positives, car c’est de cela dont il faut bien parler, les plus touchés sont ceux qui partent de plus haut… alors ils partent. Ils s’en vont. La France refuse à mon fil médecine ? Je partirai en Belgique, avec mon argent, mon siège social… et je vous emmerde parce que vous êtes violent à mon égard.
Voilà le message.
Ce qui se passe pour l’avenir de notre pays est dramatique.
C’est le sang vital qui s’en va, l’hémorragie des forces vives et que les gentils “pauvres” se rassurent, ce n’est pas qu’une question d’argent.
C’est une question et des causes bien plus vastes.
C'est donc un phénomène profond.
Et tout phénomène profond est durable avec des effets majeurs. Les créateurs de richesses, vont rentrer en grève, et la France comprendra, que pour taxer, il faut une base taxable. Quand LFI n’aura plus que des pauvres, ils feront ce que font tous les communistes à travers le monde depuis que le communisme existe. Ils s’octroieront le droit de distribuer les tickets de rationnement et les avantages en nature sous forme de “Datchas” à leur nomenklatura. Ils vous expliqueront alors, que les maux de la France ne sont pas liés à la politique communiste de LFI, mais au fait que l’on n’est pas allé encore assez loin dans la mise en application des principes révolutionnaires et marxistes.
Je suis fatigué à l’avance.
C’est le moment pour ceux qui ne connaissent pas, de lire la Grève d’Ayn Rand.
Les créateurs de richesses sont en train de rentrer en grève dans notre pays et ce sera effroyable. Dévastateur. Les aimables “pauvres” n’ont pas idée de ce qui va se passer quand les “méchants” riches vont les laisser se débrouiller tout seuls. Parce que ce n’est pas ce qui va arriver. Cela arrive déjà.
« Attention. Les riches fuient déjà la France menacée par un massacre fiscal délirant ».
L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Mes enfants me demandaient hier pourquoi on appelait un compte en banque, un compte courant… vous savez ce qu’il m’est venu à l’esprit ?
Un compte qui court pour s’enfuir en voyant Mélenchon arriver !
Alors j’ai dit à mes enfants qu’un compte courant s’appelait comme ça parce que c’était ce que faisait un compte en banque quand il voyait LFI arriver avec sa tronçonneuse fiscale !
Cela les a fait beaucoup rire… bien qu’ils ne soient pas plus avancés.
LES RICHES PARTENT EN COURANT ... ET PAR MILLIERS !
Je peux vous dire que dans notre pays, depuis les résultats de l’élection, la question qui se pose à tous ceux qui travaillent, économisent, investissent ou mettent de côté pour préparer leur retraite de manière légitime, c’est comment va-t-on me voler encore plus que ce n’est déjà le cas, et comment y échapper ?
Le téléphone sonne partout, et chez tous ceux qui peuvent donner quelques conseils pour échapper à la rapine qui s’annonce.
Ce n’est ni bien ni mal, c’est ainsi et c’était prévisible. Ce n’est pas comme si la France était déjà un paradis fiscal, non, nous c’est plutôt déjà la Corée de l’Ouest Fiscale, mais là ils veulent aller encore plus loin et en remettre quelques couches.
Résultats ?
Plus aucun investissement des entreprises.
Tout est gelé.
Pas de recrutement.
Pas de dépense.
Pour l’immobilier ? C’est gelé itou.
La croissance va s’effondrer et les rentrées fiscales avec. Les déficits vont grossir et la crise de solvabilité va menacer.
L’appauvrissement généralisé est déjà en route et tous les échos de l’économie réelle qui me remontent viennent de virer au rouge écarlate comme le drapeau communiste !
Brillant résultat.
Franchement brillant.
LES AGENCES DE NOTATION MENACENT ...
Les agences de notation Moody’s et S&P menacent déjà et avertissent la France.
“Une baisse de l’engagement gouvernemental en faveur de l’assainissement budgétaire augmenterait la pression” défavorable sur le crédit, affirme l’agence.
L’abrogation de réformes, “comme la libéralisation du marché du travail et la réforme des retraites”, pèserait sur la notation si cela affectait la croissance ou la trajectoire budgétaire du pays.
Quant aux impôts… Moody’s dans un commentaire indique qu’une ” hausse des recettes est également “improbable”.
Si nos aimables vedettes LFistes arrivent au pouvoir il est fort à parier que l’improbable deviendra fortement possible et tellement crédible que tous ceux qui ont 4 sous se demandent déjà comment éviter le massacre à la tronçonneuse fiscale.
C’est l’objet de mon dossier du mois de juillet. Quelles sont les mesures que vous pouvez prendre dès maintenant. Que faut-il faire et ne pas faire pour protéger au mieux son argent des mains voraces d’un état devenu obèse et surtout, de plus en plus violent avec la population française. Comment anticiper le retour de l’ISF, comment anticiper les donations et avec quelles techniques, comment utiliser les entreprises comme outil de gestion et de protection patrimonial ? Je vous explique tout dans mon dossier
Depuis le début de ses années élyséennes, il y a 7 ans, nous avons souvent affecté à Emmanuel Macron ce sobriquet de « Macronéron ».
En effet, les manières et les mœurs politiques de notre huitième président de la Cinquième République nous ont paru, sous bien des aspects, tendre toujours plus vers le modèle néronien de la décadence romaine tel que transmis par les historiens Tacite et Suétone. Rappelons à ce propos les photos emblématiques du couple présidentiel lors de la fête de la musique à l’Élysée, le 21 juin 2018. On garde en mémoire l’expression de la jovialité du chef de l’État et de celle de son épouse Brigitte, tous deux très familièrement entourés de rappeurs dans leurs accoutrements, dont l’un arborant un tee-shirt mentionnant : « Noir et pédé » ! Comme cela est très souvent de mise aujourd’hui, disons, nous aussi, qu’on n’imagine toute de même pas, si pervers qu’il put être dans sa politique algérienne, le général de Gaulle et madame Yvonne ensemble en position d’inconvenance pour la dignité de l’État.
Certes, malgré un si souvent inquiétant regard « d’allumé », Macronéron, possiblement en proie à de terribles obsessions psychiatriques, n’a heureusement pas encore manifesté des aspirations sanguinaires. Il est vrai que les actuelles institutions de la République, si délabrées soient-elles, et au fil des lois de déconstruction déjà si facilitatrices d’abominations sociétales, ne lui permettraient sans doute pas, du moins pas encore, de concrétiser dangereusement les expressions des fureurs qui semblent de plus en plus le posséder.
Néanmoins, les journées de « l’entre-deux tours » que nous vivons actuellement, en attendant le premier dimanche de ce mois de juillet 2024, nous ont révélé la réalité de l’extraordinaire décomposition politique et morale de notre pays en régime macronien. Les meilleurs éditorialistes de nos médias les moins mauvais semblent avoir, avec gourmandise, ciselé leur plume pour brosser le triste tableau de la décomposition de la méga-macronnerie. Yves Thréard crée ainsi le concept de « Macronmélenchonisme » pour évoquer le contexte de haine putride vers lequel le chef de l’État a acheminé notre pays.
Accablante en effet, inexcusable culpabilité d’un Macron, non pas irresponsablement, mais très responsablement créateur de l’ambiance de « guerre civile » qu’il a évoqué la semaine dernière pour tenter – en vain – de rabattre vers lui, en l’effrayant, une partie de l’électorat.
Horrible puanteur d’une tambouille électorale dont les mirlitons nauséabonds, sans une once d’honneur, Macronéron le premier, tripatouillent ces jours-ci des désistements qu’ils vouaient aux gémonies il y a à peine quelques jours.
Stupéfiante indécence du sieur Macronéron qui n’avait pas lésiné alors sur les mots les plus durs (et certes mérités) contre le Nouveau Front populaire, le qualifiant « d’immigrationniste » et « d’antisémite », et ajoutant « on est chez les fous » avec lesquels « on peut changer de sexe en Mairie », et qui mène « à la guerre civile ».
Mais ne voilà-t-il pas que le gugusse néo-bolchevique Mélenchon, capable, avec sa gueule infernale, des mélanges les plus putrides de torchons et de soviets, noue des accords de désistement gamellards avec les ennemis jurés d’hier : Attal lui-même et aussi Élisabeth Borne, les uns et les autres sans aucune limite dans l’aplatissement ; et n’oublions pas un Gérald Darmanin effaçant pour la circonstance toute sa morgue de matamore. Embrassons-nous folle ville ! Il n’y a pas d’heure pour les baves dans la glorieuse unité antifasciste ! Et des mélenchoniens donc, de faire du bisounours avec les macroniens non sans la jouissive arrière-pensée de pouvoir les pendre à de nombreuses lanternes ou autres possibles potences aux accents de « La Carmagnole » et de « L’Internationale ».
La « télé », que d’ordinaire nous ne regardons guère, nous offre ainsi en ce moment d’extraordinaires révélations des turpitudes de la vie politique, avec les reniements et les tartufferies des macronards. Cependant, dans les rues, se multiplient les provocations sans-culottardes des mélenchoniens de tout genre, grands défenseurs des soi-disant valeurs de la République, du moins de celles non contraires à l’idéologie islamo-gauchiste.
L’explication en est que la République française a, hélas, pour particularité, dès ses origines révolutionnaires, d’être marquée par la violence terroriste, et même génocidaire, comme l’admirera un Lénine parcourant la Vendée lors de son long séjour en France.
Les valeurs de la République, pour la faune mélenchonarde, ne sont que trop celles de la jacobinerie des égorgeurs et des poissardes de tous les massacres révolutionnaires, celles de la guillotine à haut débit, celles du modèle exterminateur des « colonnes infernales » de Turreau, celles des atrocités sur les pontons pour les prêtres « non-jureurs », celles des massacreurs de Lyon, Avignon et Orange, celles des noyeurs de Nantes, celles des commissaires de la République affectés à la déportation des villages basques…
Notre époque aura été celle de l’abomination du pogrom du 7 octobre perpétré par le Hamas mais, en France, l’antisémitisme a été, dès le XVIIIe siècle – mais qui le sait ? -, une valeur spécifique de la République principalement portée par l’extrême-gauche et la gauche des Blanqui et autres communards, des Toussenel, des Auguste Chirac et d’un Proudhon et de bien d’autres. Quant à Jaurès, ne fut-il pas très longtemps admirateur d’un Voltaire, ce dernier plus antisémite encore qu’anti-chrétien, ce qui n’est pas peu dire !
Valeur, vraiment, de la République que cette curieuse démocratie dans laquelle, au lendemain des victoires électorales de la droite, surgissent toujours les menaces terroristes d’un troisième tour dans la rue ?
Valeur de la République, sérieusement, que cet énorme mensonge indéfiniment martelé dans les médias qui aurait été celle d’un « Front National créé par d’anciens SS » (sic). Nous, nous y avons connu, aimé, côtoyé quelques-uns des plus éminents héros de la guerre et de la résistance. Comme si, en effet, les premiers résistants, dès 1940, n’avaient pas été à 90 % des hommes de droite, à l’inverse d’un Parti communiste français ayant, sans attendre, glorifié le Pacte germano-soviétique du 23 août 1939. Faisons donc ici d’abord mémoire de notre cher Jean-Baptiste Biaggi, puisque ce grand héros corse de la guerre et de la résistance, que nous avons connu comme conseiller national du Front National, fut le premier président d’honneur de Chrétienté-Solidarité. Citons ensuite notre merveilleux ami au Parlement européen, le légendaire Michel de Camaret, compagnon de la Libération, héros de maints combats en Normandie avant même le débarquement du 6 juin, titulaire des plus prestigieuses décorations de la France Libre mais aussi des armées alliées. Mais citons sans plus attendre le premier héros de la résistance française, fusillé par les nazis, le lieutenant de vaisseau Honoré d’Estienne d’Orves, catholique et royaliste. C’est encore grâce au Front National que nous pûmes rencontrer l’aviateur légendaire de la France Libre, Pierre Clostermann, qui fut un des orateurs prestigieux de notre journée du 9 novembre 1997, à Paris, consacrée au cas emblématique du traître communiste Georges Boudarel, tortionnaire de prisonniers français dans un camp du Viet Minh en Indochine, journée exemplaire de ce qu’aurait dû être, selon nous, le procès international des crimes contre l’humanité perpétrés par les régimes communistes. Non pas exactement comme certains l’ont appelé un « Nuremberg du communisme », car Nuremberg fut entaché du fait qu’il y avait des assassins staliniens pour juger des assassins nazis…
Rien qu’à la lumière de ce qui précède, on peut juger de l’immense ignominie des dirigeants macroniens et de ceux du Nouveau Front populaire se targuant d’héroïcité antifasciste.
Nous, dans notre droite nationale, nous avons encore connu notamment le légendaire colonel Rémy, catholique et royaliste, créateur de la confrérie Notre-Dame, personnalité de la France Libre, compagnon de la Libération. À ce dernier, le général de Gaulle confiait d’ailleurs en 1947 le propos suivant : « Il faut que la France ait toujours deux cordes à son arc. En juin 1940, il lui fallait la corde Pétain, aussi bien que la corde de Gaulle ». Nous pourrions encore évoquer le général de Bénouville, grand résistant, extraordinaire personnage, proche de François Mitterrand mais aussi de Marcel Dassault et de Jean-Marie Le Pen. Citons enfin ici, car il nous faudrait des pages et des pages pour évoquer ne serait-ce que tous les grands héros qu’il nous a été donné de rencontrer et d’admirer, l’extraordinaire écrivain de grande plume, Jacques Perret, héros de la guerre face aux Allemands en barrant longtemps à une de leurs colonnes la traversée d’un pont de Saumur.
Terminons cette trop brève évocation de la vérité de la résistance patriotique en faisant mémoire de notre ami l’ambassadeur de France, Albert Chambon, président de l’association des rescapés de Buchenwald, également président d’honneur de l’AGRIF. Et enfin, le docteur Jean-Jacques Plat, conseiller municipal du Front National à Castres, qui avait été, très jeune, accepté dans les SAS du colonel Stirling en Angleterre, ayant été ainsi un des tout premiers à sauter sur la Normandie la veille du débarquement. Titulaire des plus prestigieuses décorations, le cher docteur bougonnait quand on lui demandait d’évoquer une conduite héroïque qu’il se contentait de qualifier de normale.
Il nous faut maintenant rappeler ici ce que l’on ne raconte pas, ou si rarement, aux téléspectateurs et auditeurs des chaînes de France-Télévision et de Radio-France, à savoir que les deux plus grands partis en France de la collaboration avec l’Allemagne eurent pour chefs des hommes de gauche et d’extrême-gauche. Il nous suffit de citer ici un Jacques Doriot, ancien numéro deux du Parti communiste, fondateur et dirigeant du PPF (Parti Populaire Français) et un Marcel Déat, ancien dirigeant du Parti socialiste et chef du RNP (Rassemblement National Populaire).
Pour vérifier que furent nombreux les collaborateurs du nazisme issus de l’extrême-gauche ou de la gauche, on peut se reporter à l’Histoire de la collaboration de Dominique Venner (Éditions Pygmalion).
Le cas du socialiste François Mitterrand fut, certes, très particulier. Il fut avant-guerre un étudiant royaliste à la faculté de Droit de Paris, dans la section d’Action Française dirigée par… Jean-Baptiste Biaggi. Contrairement à ce dernier, il ne fut pas un héros de la guerre, ni de la résistance militaire mais il fut un de ceux que l’on appela « les résistants de Vichy », décoré de la Francisque par le maréchal Pétain et simultanément un agent de la résistance clandestine, avant d’accomplir la carrière politique que l’on sait. Rappelons ici qu’il y eut certes d’admirables grands résistants, fidèles au maréchal Pétain, tel le général Weygand et une multitude de soldats et de Français de toutes conditions.
On peut mesurer aujourd’hui combien les socialistes de la collaboration macromélenchonienne ne sont pas à la hauteur patriotique de leurs prédécesseurs socialistes anticommunistes de jadis, et notamment de l’admirable Jules Moch, ministre de l’Intérieur du gouvernement Ramadier. Ce dernier fut, en 1947, le vainqueur du Parti communiste et de la CGT que Ramadier accusait non sans raison de préparer un « assaut contre l’autorité démocratique ». Jules Moch, dont un des fils avait été assassiné par la Gestapo, était d’une autre trempe que les socialistes d’aujourd’hui phagocytés par la mélenchonnerie.
« Le barrage à Macron et le sondage ODOXA qui place le RN en tête pour son programme économique !»
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Comme il était assez prévisible, les modalités de choix se réduisent et la campagne, même rapide a fait apparaitre plusieurs choses sur la thématique économique.
Si j’ai décidé de vous parler de ce sondage, ce n’est pas pour vous faire la pub du Rn. Chacun votera ce bon lui semble et mon rôle n’est pas de donner des consignes de vote, mais de partager avec vous des analyses, et en terme d’analyse, ce sondage pourrait être un signal faible d’une surprise qui pourrait avoir lieu dimanche soir avec une majorité pour le RN.
Certes le RN a été très critiqué pour ses “revirements” concernant la retraite par exemple ou certaines mesures qu’il préconisait sur le pouvoir d’achat, mais, finalement, au lieu d’inquiéter et de nuire au RN, ces “revirements” ont été pris comme une marque de raison par les électeurs, surtout que le contraste avec le Front Populaire est flagrant.
Tout le monde a bien compris que les caisses de l’état étaient vides.
Le Front Populaire compte les remplir en taxant plus les riches.
Dans un pays qui a la plus forte pression fiscale, et même si vous détester les riches, il arrive un moment ou la taxe devient du vol pur et simple.
Même s’il est réalisé en bande organisée et légalement via des “lois”. Cela reste du vol quand même.
Les Français l’on très bien compris et c’est exactement cela que montre ce sondage relayé par BFM TV que l’on ne peut pas accuser de lepénisme aggravé !
A la question quel parti est le mieux perçu pour l’économie française… c’est le RN qui arrive en tête avec 31% suivi du NFP avec 21% et d’Ensemble-en marche dans la renaissance avec seulement 17%!
A la question quel parti améliorerait votre situation personnelle… c’est le RN qui arrive en tête avec 41%, d’Ensemble-en marche dans la renaissance avec 36% et c’est le NFP avec 34% qui ferme la marche.
Sur le pouvoir d’achat c’est toujours le RN qui arrive en tête avec 38%, suivi par le NFP à 31% et d’Ensemble-en marche dans la renaissance bon dernier avec 25%.
Mieux, sur la dette et la capacité à la réduire… là encore, le RN se classe premier avec 37% puis Ensemble en marche dans la renaissance avec 34%, il faut dire qu’ils ont tout de même déjà rajouté 1 000 milliards de dettes, et enfin le NFP avec un petit 22% termine le classement.
Il n’y a que sur la notion d’attractivité du pays qu’Ensemble en marche dans la renaissance se classe premier à 45% et il est objectivement vrai que Macron a su parler au milieu des affaires internationaux, devant le RN avec seulement 29% et le NFP qui ferme là encore la marche avec un tout petit 20%.
Si les Français votaient uniquement sur les programmes économiques, c’est le RN qui remporterait haut la main à la majorité à l’Assemblée Nationale.
D’autres sujets vont rentrer en considération comme vous le savez.
Dans le secret des isoloirs, les Français vont se prononcer sur plus ou moins de sécurité, plus ou moins d’immigration et plus ou moins de communisme.
Lorsque nous nous retrouverons lundi prochain, nous saurons ce qu’il se sera passé dans les urnes, mais je peux déjà vous dire, qu’au mieux la France sera difficilement gouvernable, sauf, si, coup de théâtre par rapport aux dernières projections le RN réussissait à atteindre la majorité absolue, ce qui semble peu probable mais dont ce sondage rend tout de même l’hypothèse aussi crédible que possible.
Enfin, jamais président n’a été autant détesté par les Français de droite comme de gauche. Macron couillonne consciencieusement les électeurs de gauche. En 2017 il élu grâce au barrage contre le RN. En 2022 il est réélu grâce au barrage contre le RN et avec à chaque fois les électeurs de gauche. Puis il les poignarde dans le dos en expliquant qu’il a été choisi pour son programme alors qu’il n’y a pas d’adhésion sur son programme mais sur un “barrage”. Il n’est pas dit que les électeurs de gauche fasse encore barrage en masse et dans les mêmes proportions. Du barrage au RN au barrage à Macron. Une possibilité là aussi crédible.
A ce stade, les marchés ont voté depuis plusieurs jours et la bourse de Paris est en forte hausse de même que les actions des banques ce qui semble vouloir dire que les marchés n’anticipent pas d’attaque à très courts termes sur la dette française.
Chers militants, chers cadres, chers sympathisants, chers ambassadeurs de la vérité,
En deux ans de vie politique, je me suis adressé à des dizaines de millions de Français. Mais c’est de vous que je suis le plus proche. C’est avec vous et grâce à vous que je combats. C’est avec vous et grâce à vous que Reconquête, mon parti, notre parti, est une si belle maison, une si belle aventure.
Je viens vous parler ce soir comme à mes amis, car toutes les tempêtes que nous avons traversées, et toutes les victoires que nous avons remportées, nous ont rendus toujours plus complices et plus soudés. Je veux maintenant vous dire trois choses extrêmement importantes à mes yeux, comme je les dirais à de vieux copains, en qui l’on a confiance, à qui l’on peut tout confier.
Premier point. Je sais que nombre d’entre vous sont déçus par notre score. Je veux leur dire ce qui doit nous importer plus que tout ce soir, c’est qu’après des décennies à avoir été torturés par les mensonges des médias, à avoir été aveuglés par les dénégations des politiciens, les Français commencent à reprendre confiance en eux, à remonter la pente de l’Histoire, à retrouver l’envie de vivre, d’exister, de se sauver. Ils réapprennent à espérer qu’ils peuvent redresser la France. C’est une avancée immense, dont la France a besoin et c’est une première étape dont Reconquête a besoin.
Et c’est la raison pour laquelle j’appelle tous ceux qui me font confiance à voter pour les candidats de droite dimanche prochain. Faites gagner la droite dans l’espoir de faire gagner la France ! Je demande aussi à tous les Français qui aiment notre pays, de faire échouer les candidats de Jean-Luc Mélenchon, ce conglomérat des ennemis de la France. Ne les laissez pas nous mettre en danger, ne les laissez pas nous islamiser, ne les laissez pas nous remplacer. Pas d’abstention ! Face à Jean-Luc Mélenchon, je vous demande de vous opposer en toutes circonstances !
Le combat est loin d’être terminé et nous prenons toute notre part dans les batailles qui s’annoncent !
Je veux vous dire que nous avons largement contribué à ce bel élan. Notre combat pour imposer des vérités essentielles et dont personne ne voulait - ni les médias, ni les politiciens, ni le pouvoir - est une réussite. Même nos pires ennemis nous le reconnaissent. Sur l’immigration, sur les francocides, sur l’islam, sur le wokisme, sur l’écologie d’extrême-gauche, sur la liberté économique, sur l’école, nous avons changé les règles du jeu. Nous avons brisé les murs de la censure. Nous avons fait reculer le politiquement correct. Nous avons fait baisser les yeux à nombre de menteurs et d’hypocrites. Comme vous le savez, de moins courageux que nous ont souvent volé nos idées après coup pour se les attribuer. Tant mieux ! C’est la preuve que, malgré la rage qu’ils ont parfois déchaînée contre nous, nous avions raison d’être courageux.
Chez Reconquête, on ne perd jamais : soit on gagne, soit on fait avancer nos idées. Oui, je le crois dur comme fer : la France ne serait pas la même sans Reconquête. Sans nous, sans vous, elle oserait moins regarder ses problèmes en face, elle aurait peur de s’exprimer. Dans ses opinions et dans ses paroles, elle serait moins libre, elle aurait tout simplement moins le courage de la vérité.
Plus qu’aucun autre parti à droite, nous avons démasqué la désinformation, dénoncé les innombrables crimes idéologiques dont était victime notre peuple, et donné les premiers rôles à la lucidité et à la sincérité. J’en suis extrêmement fier et je veux que vous le soyez avec moi. Passer à côté de cette fierté, ce serait mépriser nos efforts. Nous n’avons pas seulement été utiles : nous avons été indispensables. Le résultat de ce premier tour des législatives nous doit, vous doit beaucoup. Chacun de vos dialogues avec les Français depuis deux ans, chacune de vos réunions, de vos actions militantes, de vos posts sur les réseaux sociaux, de vos présences à nos meetings, chacun de vos tractages et de vos collages d’affiches a été décisif. Bravo !
Notre score ne reflète évidemment pas la vitalité de notre mouvement et de nos idées. Outre le fait que nous n’avons présenté de candidats que dans la moitié des circonscriptions pour ne surtout pas mettre en danger la victoire de la droite aux législatives, mon deuxième point est donc de vous rappeler ce que nous venons de vivre.
Notre campagne européenne a été troublée, parfois même handicapée, par les trahisons préméditées de longue date par Marion Maréchal qui ambitionnait de diriger seule sa propre chapelle, filiale du RN. Elle se disait pour l’union des droites, mais elle ne s’est jamais résolue à faire l’union avec nous. Après avoir elle-même accusé le RN, il y a quelques jours, de refuser l’union qu’elle leur proposait, elle a appelé les électeurs de Reconquête à voter pour eux dès le premier tour, troublant les Français proches de nous et ruinant toutes les chances d’union des droites – du point de vue du RN, pourquoi s’unir avec quelqu’un qui capitule ?
Son passé, son équipe depuis casée au RN, et sa volonté de jouer au cavalier seul ont fait beaucoup de mal à notre cohésion. Ce triste épisode s’est terminé comme elle voulait qu’il se termine : par une rupture brutale, au pire moment pour nous comme pour la France.
Je veux que vous sachiez que ce conflit est derrière nous : la vérité sera bientôt évidente aux yeux de tous. Je n’en veux pas du tout à ceux qui ont douté devant les mensonges et les attaques : les manipulateurs ne sont pas les manipulés et vous êtes déjà nombreux à revenir vers nous, écœurés de ces manipulations.
Politiquement, moralement, psychologiquement, nous allons beaucoup mieux aujourd’hui qu’il y a un mois. Nous sommes redevenus unis, nous parlons d’une seule voix. C’est un progrès très concret et il aura de belles conséquences. Je vous promets que vous n’allez pas tarder à vous en rendre compte.
Car mon troisième point est que Reconquête, au terme de deux années d’apprentissages et d’efforts, a maintenant le droit de se renouveler, de se doter de nouveaux atouts sur la scène politique. C’est ce que nous allons faire. Au lendemain des élections, je vais vous poser beaucoup de questions. Je lirai vos réponses avec la plus grande attention. Avec toute l’équipe de Reconquête, avec vous tous, nous tous, nous allons nous faire le beau cadeau de progresser, d’avancer, de nous muscler.
Oui, je vous annonce que nous allons travailler d’arrache-pied. Notre combat sur l’école va prendre une tout autre ampleur. La voix de Reconquête sera entendue au Parlement européen et nous serons force de proposition en France. Reconquête sera au rendez-vous et les Français pourront compter sur nous pour garantir que la victoire tant attendue sera à la hauteur de leurs espoirs. Dès le lendemain des élections, nous allons ensemble affiner nos stratégies et nous fixer de nouveaux caps. J’y réfléchis depuis des mois. C’est le moment idéal pour le faire. Préparez vous à être des acteurs de premier plan !
En attendant, tous sur le pont pour aider la droite à vaincre dans une semaine et pour empêcher la gauche de faire un bon score ! Le macronisme et l’extrême gauche doivent être vaincus. Ils vont l’être grâce à toute la droite et grâce à vous.
Encore une semaine de courage : convainquez autour de vous de voter pour la France. Proclamez que la Reconquête française est devant nous ! Je compte sur vous autant que vous pouvez compter sur moi.
Chers militants, chers cadres, chers sympathisants, vous êtes formidables et vous allez bientôt le montrer aux Français.
Ces deux dernières années, j’ai rencontré tant de Français. Des milliers, des dizaines de milliers même, que j’ai écoutés, que j’ai observés, que j’ai aimés.
Chacun est différent, unique, marqué par l’histoire de sa famille, de son terroir. Une foule d’accents régionaux, de tempéraments, de métiers…
Vous aussi, je vous ai rencontrés. Vous êtes à nul autre pareil, et pourtant j’entends souffrir en vous la même France.
La même crainte de la voir disparaître, engloutie dans l’immigration massive et l’islamisation du pays, déchirée par l’insécurité… La même crainte de la fin du mois, qui serre le ventre toujours plus tôt dans le mois… La même crainte pour ses enfants, empoisonnés par le wokisme et privés de savoirs fondamentaux…
Alors, si je vous écris aujourd’hui, c’est pour vous inviter à garder espoir.
Voyez-vous, j’ai confiance en la démocratie. Et je suis persuadé que le camp patriote l’emportera finalement, pour le bien de la France et des Français.
Ce dimanche, derrière le rideau de l’isoloir, personne ne pourra vous culpabiliser de ne pas penser « comme il faut ». Personne ne pourra vous faire des promesses hypocrites. Personne ne pourra déformer la réalité ou vous cacher la vérité.
Vous serez seul face aux bulletins et à l’enveloppe. Seuls, avec tout ce que vous pensez sans forcément oser le dire. Seuls avec votre sincérité, votre clarté, votre capacité à juger en conscience, intacte malgré sept ans de délires macronistes.
Vous pourrez voter selon votre intime conviction.
Vous savez, en politique comme dans la vie, tout est possible.
Quand j’ai créé Reconquête pour l’élection présidentielle de 2022, c’est parce que je n’avais trouvé personne pour oser dire la vérité si simple, que les Français vivent tous les jours.
Personne qui proposait des solutions concrètes comme le rétablissement immédiat de nos frontières nationales ; la suppression immédiate des allocations sociales pour les étrangers ; la baisse d’impôts massive ; les classes de niveau au collège et au lycée ; l’interdiction du voile islamique dans l’espace public…
Évidemment, ça n’a pas plu à tout le monde. Nos adversaires ont maintes fois tenté de nous faire taire et de nous enterrer.
Mais nous avons réussi en 3 ans, là où d’autres ont mis des décennies à se faire entendre. Je crois pouvoir dire que nous avons changé le débat français.
Nous avons imposé une franchise et une droiture dans l’exposition des problèmes français, dont les autres partis étaient incapables – et ils le sont toujours. Nous avons donné la parole à des millions de Français réduits au silence parce que leurs opinions, profondes et sincères, sur l’immigration, sur l’islam, sur la fiscalité, sur l’éducation, étaient censurées par un système politico-médiatique verrouillé à double-tour. Nous l’avons déverrouillé. Même nos pires ennemis le reconnaissent : Reconquête a modifié la donne et changé les règles du jeu.
Nous avons mobilisé des dizaines de milliers de militants et convaincu 2 millions et demi d’électeurs lors de la présidentielle. Nous avons déjà réussi le pari de gagner une première élection aux couleurs de Reconquête au Parlement européen.
Et ce n’est que le début. Je viens vous dire que nous ne nous en tiendrons pas à ces premières victoires.
Nous avons commis des erreurs, mais nous n’avons pas menti. Nous avons appris de ces erreurs. Nous nous améliorerons. Des tempêtes, nous en avons traversé. Nous en traverserons encore ! Reconquête a les reins solides et toutes les grandes victoires ont toujours commencé par des difficultés. Elles nous ont formé. Elles nous ont soudé. Elles nous feront gagner.
Vous savez parfaitement que nous ne nous tromperons pas de camp au soir du second tour.
Alors, dimanche, ne vous trompez pas de convictions. Un bulletin en main, vous pourrez faire encore mieux que de chasser le macronisme et décréter le changement. Dimanche, dans l’isoloir, vous pourrez exiger que la droite réussisse.
Vous pourrez dire « Cette fois, ne nous trahissez pas. Cette fois, une bonne fois pour toutes, soyez à la hauteur. Cette fois, portez enfin nos vraies idées au pouvoir. » Ce vote exigeant, qui brandit un contrat sans concessions, sans peur ni reproche, sans hypocrisie ni mauvaise foi, c’est le vote Reconquête. La France a besoin de votre exigence. La droite a besoin de votre fermeté. Vous avez besoin de la vérité. Nous sommes là.
Contre les mensonges, les propagandes et les censures, j’ai toujours lutté pour la liberté d’expression. Et le vote en est un geste simple et majeur. Alors, ce dimanche, défendez la France que vous aimez. Défendez vos racines et votre avenir. Votez pour vos convictions.