Député
03/07/2005 – 19/06/2007 : Député de la Vème circonscription des Alpes-Maritimes
20/07/2007- 1/04/2008 : Député de la Vème circonscription des Alpes-Maritimes
Conseiller régional
06/03/1998 – 28/03/2004 : Membre du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur
Conseiller municipal / maire
20/03/1989 – 18/03/2001 : Membre du Conseil municipal de Péone – Premier adjoint
Le Conseil municipal | <> > | <> >
Après une mandature 2001-2008 sans division interne, la nouvelle liste reprend les bases du conseil municipal sortant avec ses trois fidèles adjoints, Guy Ammirati, Alain Nicoletta et Alain Salicis et de nouvelles recrues. De gauche à droite sur la photo : Aurélie Clary, Marcel Bellieud, Jean Louis Clary, Dominique Guibert, Céline Winschel, Valérie De Poulpiquet, Max Bigatti, Philippe Davonneau, Michel Rossi, Régis Clary, Alain Salicis (3ème Adjoint), Catherine Chesnais-Charles (4ème adjoint), Charles Ange Ginésy (Maire), Guy Amiratti (1er adjoint), Alain Nicoletta (2ème adjoint).
<> >Rôle et actions départementales | <> > | <> > | |
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Depuis 2004, aux côtés de Christian Estrosi, Président du Conseil Général des Alpes Maritimes, Charles Ange Ginésy assure la 1ère Vice Présidence du Département et les délégations à l'Agriculture, la Montagne et au Contrat de Plan.
Charles-Ange Ginésy est membre de plusieurs commissions qui préparent les projets proposés au vote de l'Assemblée et de la Commission Permanente :
Commission des Finances et de l'Administration générale,
Commission Montagne, Agriculture, Contrat de Plan,
Commission Multimodalité, Routes, Ports, Transports,
Commission Développement local, Aménagement du territoire, Logement,
Commission Economie, Tourisme.
Dans le cadre de ses délégations départementales, il traite notamment les relations entre le Conseil général des Alpes-Maritimes et l'ensemble des acteurs du monde agricole, du milieu rural, de la montagne, etc...
Il participe ainsi activement à l'ensemble des travaux engagés par la Chambre d'Agriculture des Alpes-Maritimes, les organisation syndicales et professionnelles agricoles comme la FDSEA, la FDGEDA, le Syndicat Interpriofessionnel de l'Olive de Nice, Agribio 06, les Gîtes de France.
Il est notamment membre représentant le Conseil général des Alpes-Maritimes pour l'Association de Développement de l'Economie Montagnarde des Alpes-Maritimes, le Musée des Merveilles de Tende, l l'Ecole Départementale de Musique des Alpes-Maritimes, le MIN, le Parc National du Mercantour, l 'Association Nationale des Elus de la Montagne, les Gîtes de France, la Commission des Sites, les Logis de France, l'Abattoir du Mercantour, le Comité de Massif des Alpes,etc...
Il est également désigné comme représentant du Président pour le Groupement de Protection des Animaux des AM, la Chambre d'Agriculture, la Commission d'Orientation Agricole, la Route des Grandes Alpes, la Grande Traversée des Alpes. | <> >L'agriculture, la montagne, la ruralité, un thème fort de son engagement | <> > | <> > | |
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Elu d'un canton rural du Haut-Pays, maire d'une commune touristique aux portes du Parc National du Mercantour, Charles Ange Ginésy a les pieds enracinés dans la montagne des Alpes-Maritimes et la ruralité, coeur de son action politique.
Il défend ainsi avec passion au sein du Conseil général des Alpes-Maritimes les intérêts des professionnels agricoles et para-agricoles, des artisans, des TPE et PME mais également le patrimoine rural, l e patrimoine environnemental et la vie sociale et économique de ce territoire au travers des services publics et des projets communaux. Ces actions relèvent du principe de solidarité Littoral/Montagne poursuivi par Christian Estrosi et pour lequel le Département consacre 85 millions d'euros par an. Au niveau agricole, l e Département attribue des aides financières ou matérielles comme la bourse pour la création d'une entreprise agricole, les dossiers AIME (cf ci-dessous), les primes à l'amélioration du cheptel, etc... Il participe au financement des filières agricoles comme les labels AOC Olives de Nice et vins de Bellet, l'Agneau des Estives, l'horticulture ou l'agriculture biologique ainsi qu'au fonctionnement des structures agricoles, f fêtes paysannes, foire-concours et l'Abattoir du Mercantour. Au niveau de la ruralité, il intervient auprès des associations pour leur fonctionnement et manifestations, au niveau des particuliers pour la rénovation de l 'habitat de montagne ou auprès des entrepreneurs pour leurs investissements productifs. Il intervient également auprès des collectivités pour les soutenir dans leur programme de voirie communale, dans leurs équipements de services publics, dans leurs équipements touristiques, etc... | <> >Zoom sur le programme AIME | <> > | <> > | |
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Face à un secteur agricole atypique, le Conseil Général des Alpes-Maritimes a fortement œuvré pour mettre aux normes réglementaires sa politique agricole départementale encadrée notamment par Bruxelles et a validé un plan départemental agricole sans précédent le 6 novembre 2006, le plan Agriculture Avenir 06, dont la mesure AIME est la mesure phare
Le Conseil général des Alpes-Maritimes, conscient de maintenir une activité agricole pour entretenir la qualité des espaces et des paysages, lutter contre les risques d'incendie et surtout répondre à une demande agritouristique, a décidé en novembre 2006 de créer le programme AIME (Aide à l’Installation et à la Modernisation des Exploitations).
Il offre aux exploitants un financement de tous leurs investissements à hauteur de 40 % et subventionne en partie les projets de jeunes agriculteurs souhaitant s’installer à leur compte, ou moderniser l leurs équipements, souvent coûteux mais nécessaires.
Depuis son lancement, le programme AIME a permis de quadrupler le financement des investissements des exploitations agricoles qui ont atteint 2 millions d'euros par an contre seulement 500 000 euros en 2006.
La profession agricole joue donc pleinement le jeu de l'investissement lorsqu'on lui propose un soutien cohérent et des démarches administratives simples. | <> >Zoom sur l'aide à l'habitat rural | <> > | <> > | |
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L'aide à l'habitat rural, un outil de modernisation efficace. La forte urbanisation du littoral, la pénurie de logements et les prix du marché concernant le parc privé ont amené la collectivité départementale à favoriser l'amélioration de l'habitat dans l'arrière-pays afin de créer une offre de logements de bonne qualité et permettre la redynamisation des bourgs et communes ruraux.
Cette intervention a pour objet de favoriser la rénovation et la restauration de l’habitat en milieu rural en préservant le bâti ancien des villages. Cette action contribue, à l’entretien des paysages, à l’amélioration des conditions de vie, à l’accroissement de l’économie rurale et au maintien des populations dans le moyen et le haut pays.
Pour les travaux intérieurs et de toiture en zone montagne, tout propriétaire ou usufruitier d’un logement et y résidant au moins 8 mois par an peut demander une subvention. Un particulier qui a obtenu la subvention maximale peut déposer un nouveau dossier pour d'autres travaux cinq ans après le premier projet. Les bâtiments d'habitation de plus de 20 ans sont concernés.
L'aide à l'habitat rural est incluse dans une politique beaucoup plus large sur le logement mise en place par le Conseil général des Alpes-Maritimes et son Président, à destination de toute la population du Département.
Accédez au guide du logement du cg06
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Domaines de compétence du département des Alpes-Maritimes | <> > | <> >
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Le Conseil Général des Alpes Maritimes est l'organe essentiel de la décentralisation départementale. Le principe est simple : il y a, dans notre département, autant de conseillers généraux qu'il y a de cantons. Le département des Alpes-Maritimes compte 52 cantons, donc 52 conseillers généraux. Selon une enquête Sofres de décembre 2005, 73% des habitants des Alpes-Maritimes sont satisfaits de l'action de leur Département.
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Le Conseil général décide de la création des services publics départementaux et pourvoit à leur gestion. La loi du 3 mai 1996 a opéré la départementalisation des services d’incendie et de secours, qui fédère le corps des sapeurs-pompiers. La loi du 20 juillet 2001 a créé une allocation personnalisée d’autonomie (APA) destinée à la prise en charge de la perte d’autonomie des personnes âgées. Il s’agit là d’une très lourde charge qui pèse sur le budget du département.Depuis le 1er janvier 2004, la responsabilité du RMI est t transférée au département.
Mais le Conseil général des Alpes-Maritimes a aussi d'autres attributions :
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L'entretien du réseau des routes départementales
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La construction et l'entretien des collèges, depuis 1983
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Les transports scolaires
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L'aménagement rural
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Les ports maritimes de commerce et de pêche
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Le tourisme (itinéraires de randonnée)
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La culture (bibliothèques de prêt, archives locales)
| <> >Appartenance politique des Conseillers généraux | <> > | <> > | |
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<> ><> ><> > Groupe | <> > Effectif | <> > <> ><> > Alpes-Maritimes Ensemble | <> > 40 | <> > <> ><> > Socialiste et apparentés | <> > 6 | <> > <> ><> > Communiste | <> > 3 | <> > <> ><> > Gauche autrement | <> > 2 | <> > <> ><> > Non inscrits | <> > 1 | <> > <> > | <> >Le budget pour le Département | <> > | <> > | |
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Le Conseil général des Alpes-Maritimes a eu en 2007 un budget de 1,308 milliards d'euros qui privilégie de plus en plus l'investissement (400 millions d'euros, +18,5%) au fonctionnement de l'administration (-0,44%). A titre de comparaison, le Conseil régional de Provence Alpes Côte d'Azur a un budget de 1,53 milliards d'euros.
Cependant, depuis 3 ans, le Conseil général a fait le choix de la fiscalité zéro. Depuis 1999, celle-ci a en outre baissé de -12,6 %. Le chômage a baissé de - 8,5 % ainsi que le nombre de RMIstes de 6%. Le nombre d'emplois a augmenté de 2 % et 6 500 entreprises ont été créées, augmentant leur chiffre d'affaires de 4 %.
Budget d'investissement
- 2007 : 402,5 millions d'euros
- 2006 : 400 millions d'euros
- 2005 : 333,2 millions d'euros
<> ><> ><> > Domaine d'investissement | <> > Investissement | <> > <> ><> > Déplacements | <> > 250 millions d'euros | <> > <> ><> > Aide aux communes | <> > 65 millions d'euros | <> > <> ><> > Enseignement | <> > 60 millions d'euros | <> > <> ><> > Environnement, aménagement, logement | <> > 34 millions d'euros | <> > <> ><> > Sécurité | <> > 19 millions d'euros | <> > <> >
Plan climat - Le Département devance le
sommet de Copenhague |
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Eric Ciotti a présidé, en présence de nombreux élus et acteurs socio-économiques, le groupe de travail sur "l'adaptation au changement climatique" conduit par Charles Ange Ginésy dans le cadre du Plan Climat Départemental.
Au programme, la présentation d’exemples concrets de dispositifs d’énergies renouvelables et de meilleure gestion de l’eau applicables aux communes et aux stations de ski de montagne.
Les outils innovants présentés et pouvant être utilisés par les communes des Alpes-Maritimes ont porté sur : - Les stations de ski qui, à l’instar de nos voisins suisses, peuvent utiliser de manière hybride les EnR : bois-énergie, hydroélectricité et solaire, ceci pour faire fonctionner leurs équipements techniques, chauffer leurs résidences et éclairer les sites.
- L’atlas solaire, outil mis à la disposition des communes et conçu par le Dr Philippe Blanc de l’Ecole des Mines de Sophia Antipolis. Cet atlas analyse le potentiel solaire photovoltaïque et thermodynamique disponible. Il repère de manière très fine où se trouvent les sites où les radiations solaires sont les plus intenses. Ainsi, les communes pourront, via des installations photovoltaïques, récupérer cette énergie, l’utiliser ou la revendre si nécessaire.
- L’exemple de l’éclairage public de la vallée de l’Estéron : l’objectif du projet étant de rénover, de gérer par télésurveillance et de minimiser les déplacements afin de générer des économies d’énergie significatives, garanties à hauteur de 35 % .
- Le développement de la filière bois énergie et les technologies innovantes permettant la mesure du débit de l’eau pour réaliser des économies importantes au sein des communes.
Le Département des Alpes-Maritimes fait figure d’exemple et s’inscrit parmi les premiers à s’être engagés dans cette démarche audacieuse qui vise une déclinaison locale des initiatives nationales. Le montant du Plan Climat Energie des Alpes-Maritimes est évalué à 560 millions d’euros, tous acteurs confondus. |
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