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15 juin 2013

L' EURO M' A TUER ! & L'ASSASSINAT DU PEUPLE GREC

L'EURO M'A "TUER"

... MERCI A L'EUROMONDIALISME !

RAPPEL  RAPPEL   RAPPEL   RAPPEL  RAPPEL ...

 

" L' EURO M' A "TUER " ...

 

... MERCI A L' EURO-MONDIALISME !

 

LA PLUS VASTE ESCROQUERIE MORALE EN MATIERE

               

D'ECONOMIE MONETAIRE DE TOUS LES TEMPS !

 

UNE COMPARAISON DES PRIX FOUS SI L' ON REVENAIT AU FRANC LOURD GAULLIEN EN CONCLUSION IL FAUT SORTIR DE L'EURO LE PLUS RAPIDEMENT POSSIBLE ET REVENIR AU FRANC CAR AVEC L'EURO NOTRE POUVOIR D'ACHAT A FOUTU LE CAMP ET NOUS AVONS TOUS ETE RUINES !

 

ATT00014141616ATT00012121414

ATT00010101212ATT0000881010

ATT00006688ATT00004466

ATT00002244ATT00013131515

ATT00011111313ATT00007799

ATT00005577ATT00003355ATT00001133ATT0000991111

 

Ces images à elles seules de produits de consommation courante prouvent bien qu'avec l'EURO les européens ont été ruinés et n'ont plus aucun pouvoir d'achat, que les prix se sont envolés littéralement avec une inflation qui ne fait que grimper, que la spéculation boursière avec la complicité des grands groupes bancaires, du F.M.I, de la B.C.E. et des états ont mis en faillite nos économies européennes dont la dette de ces derniers explosent un peu plus chaque jour et qui ne pourront bientôt ne plus pouvoir rembourser (Grèce, Italie, Espagne, Portugal, Chypre, etc... ) avec dans très peu de temps la France qui suivra elle aussi ( perte du triple A, etc.. ).

Nous courons tous à une catastrophe économique et financière sans précédent, à un effondrement de l'EURO, il faudra tôt ou tard nous sortir de cette "EUROPE MAYONNAISE" et revenir très rapidement à des économies de marchés nationaux, jeter l'EURO dans la poubelle de l'histoire et battre à nouveau nos monnaies nationales, pour la France revenir au Franc gaullien avec même s'il le faut une importante dévaluation ( + 20 à + 30% ) de notre monnaie nationale, mais qui permettra de relancer nos emplois en priorité en France et dans d'autres pays européens, en taxant fortement à leur plus juste valeur tous les produits manufacturés et importés de pays dits "émergeants". (CHINE, INDES, BRESIL, ASIE, etc...)

Gérard DIACONESCO 

 

Vivement le retour du "FRANC LOURD" avec notre BANQUE DE FRANCE !

imle pascal 500 francs100NF

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billet50f

Qu'ils étaient beaux nos billets de la Banque de FRANCE autre chose que cet EURO monnaie virtuelle !

Posté par DIACONESCO à 08:45 - - Commentaires [0] - Rétroliens [0] - Permalien [#]
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L' ASSASSINAT DU PEUPLE GREC

Chronique Politico-économique par Michel de PONCINS

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L'ASSASSINAT DU PEUPLE GREC

 images

C'est à un véritable assassinat auquel le monde entier assiste médusé, accompagné d’une véritable humiliation pour ce peuple, la police anti-émeute le matraquant sans pitié. Le meurtre est organisé et, même, célébré par un groupe de gens hétéroclites, sous le vocable imprécis et abusif de « communauté internationale ». Ses membres ont toutefois des points communs, le plus important étant leur adhésion à la démocratie, ce qui ne les gêne pas du tout pour bafouer la démocratie grecque à l'occasion de ces terribles évènements.

Il s’ensuit qu'une fois encore, une rallonge, peut-être pas la dernière, va être accordée par l'Europe qui a déjà déversé beaucoup de milliards dans ce trou sans fond. Personne ne connaît exactement les chiffres qui bougent tous les jours au hasard des négociations. Il est question, pourtant, de 130 milliards s’ajoutant à bien d'autres qui ont déjà été prêtés. C’est en fait une inondation d'argent qui n'existe pas et est créé ex nihilo pour les besoins de la cause.

Ces milliards quels qu'ils soient sont des prêts ; le pays exsangue se ficelle donc par des intérêts condamnant tout effort de redressement. Les prêteurs, États ou Europe, auront de faux bilans avec à leur actif des créances pourries aussitôt que nées.

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LES COUPABLES

En premier lieu se trouvent les politiques grecs qui au sommet appartiennent à quelques familles ennemies-amies se partageant le pouvoir depuis des lustres et exploitant le pays au profit de leur clan. Les privilégiés qui bénéficient de leur soutien échappent à l'impôt et placent leurs actifs dans des paradis administratifs et fiscaux. Le résultat est que l'État n'obtient pas d'impôts des riches et doit frapper les classes moyennes. Le pays est, simultanément, soumis à un socialisme extrêmement tatillon quelle que soit la couleur apparente des gouvernements. Le produit de ces deux facteurs est que l'économie grecque se traîne depuis longtemps alors que l'ingéniosité des Grecs est célèbre dans le monde entier et ne peut s'épanouir normalement. Il en est résulté l'océan de dettes qui justement conduit au drame actuel.

Le FMI est largement responsable. Ce FMI, sous la direction de DSK, a bâti une méthode d'intervention qui a eu des effets médiocres et parfois désastreux dans beaucoup de pays faisant appel à lui. Christine Lagarde a suivi sans barguigner les mauvaises pratiques de DSK !

L'Europe avec, à sa tête, le couple franco-allemand porte une lourde responsabilité. N'oublions pas que les acteurs principaux de cette Europe ont l'œil rivé sur leurs échéances électorales, le sort cruel du peuple grec ne leur important guère.

 Grece

LES PRETEXTES

Les prétextes invoqués n'ont pas manqué. Le principal était que l'Europe ne puisse admettre qu'un pays de la zone euro et membre de la CEE fasse défaut, quelque soit l'immensité des dettes créés par les prédateurs locaux. Se trouvait aussi affiché le souci de protéger les banques européennes. Ces banques, qui ont accordé des prêts d'une façon aventureuse, ont, d'ailleurs, reconnu leur faute, ayant provisionné les mauvaises créances grecques. Ce raisonnement ne pourrait qu'encourager les mêmes à prêter avec légèreté à d'autres pays en danger.

Autre prétexte, la fausse idéologie européenne. La doctrine officielle est qu'il faut sauver l'euro, lequel n'est qu'un appendice de l'édifice européen ; lors de la création de cette monnaie unique maints analystes avaient prévu qu'elle était vouée à l'éclatement et nous n'en sommes pas loin.

Derrière l'euro se profile l'objectif fondamental de sauver l'Europe. Selon la propagande, l'édifice européen, qui n'en finit pas de se bâtir, serait l'horizon indépassable d'un continent de 500 millions d'habitants. C'est vraiment de la propagande, car maints signe, s'exprimant parfois dans les urnes, montrent que les peuples sont très réticents.

Nous avons souvent montré que l'hydre européenne et son extension permanente ne s'expliquent que par la voracité financière des eurocrates, leur nombre est si grand qu'il est impossible de les dénombrer vraiment. Le prix à payer pour cette cupidité est la ruine pour le continent par les impôts nécessaires et le déluge de lois imposées par l'Europe. Cette ruine se manifeste par la panne de croissance, même si de temps à autre une amélioration survient, ce qui est le cas pour l'année 2011 en France.

Un autre prétexte invoqué est le jugement des marchés. Ceux-ci ne supporteraient pas que la Grèce fasse défaut. Le plus surprenant dans ces péripéties est que les marchés saluent en général favorablement les actions engagées pour sauver la Grèce, comme les « hauts » et les « bas » quotidiens le montrent. Les politiques du sommet ne s'aperçoivent pas ou ne veulent pas voir que les marchés commencent toujours par porter un jugement hâtif. Plus tard vient le jugement définitif et il risque d'être dramatique au vu du champ de ruines qui va en résulter.

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DES EFFETS DEVASTATEURS

Les effets dévastateurs ne vont pas tarder à émerger.

Indépendamment de l'assassinat programmé du peuple grec, se trouve la destruction de sa propre richesse : or, industrieux comme il est, il n'y a aucune raison que l'économie de l'Europe se prive de ses potentialités.

Derrière se profile le risque que d'autres pays comme le Portugal et l'Espagne soient à leur tour emportés dans la tourmente. Quant à la France, le premier ministre, François Fillon, a dit qu'elle était en faillite ; la charge insupportable de la Grèce ne peut qu'aggraver sa situation.

Pour prétendument l'aider, les politiques creusent la ruine de l'Europe par les impôts ou l'endettement qui en résulteront.

L'Europe est jugée dans la planète économique mondiale comme un « homme malade », sans d'ailleurs que les analystes en perçoivent bien les raisons profondes. Or, dans des marchés de plus en plus élargis, la pauvreté relative des uns nuit à la richesse des autres. Le capitalisme veut que la richesse ne soit nullement un gâteau fini que l'on se dispute pour avoir une plus grande part : la richesse globale est une construction et la richesse des uns rejaillit sur celle des autres ; la pauvreté fait de même dans l'autre sens.

Enfin, la Grèce affectant surtout l'Europe, nous observons avec tristesse que la Chine, pourtant encore communiste, vient à notre secours.

La conclusion est qu'il ne fallait surtout pas aider la Grèce. En l'aidant les politiques européens ont enfoncé et la Grèce et l'Europe. Si elle n'avait pas été aidée, elle aurait fait défaut depuis longtemps. C'est arrivé à d'autres pays lesquels ont brillamment rejaillit de leurs cendres.

Michel de Poncins
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