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17 mars 2016

MAIS QUI EST REELLEMENT DONALD TRUMP ?

MAIS QUI EST RELLEMENT DONALD TRUMP ?

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Donald Trump
Description de cette image, également commentée ci-après

Donald Trump en août 2015.

Nom de naissance Donald John Trump
Naissance 14 juin 1946 (69 ans)
QueensNew YorkNYÉtats-Unis
Nationalité Drapeau des États-Unis américaine
Profession Homme d'affaires
Autres activités Animateur de télévision
Homme politique
Formation Université de Pennsylvanie
Conjoint Ivana Trump (1977-1992)
Marla Maples (1993-1999)
Melania Knauss (depuis 2005)
Descendants Donald Jr., Ivanka, Eric, Tiffany, Barron
Signature de Donald Trump

Donald John Trump, Sr., né le 14 juin 1946 à New York, est un homme d'affaires américain. Magnatmilliardaire de l'immobilier, il est également animateur de télévision et homme politique.

Il est fils d'un entrepreneur dans le secteur immobilier de New York, cofondateur de la compagnie Elizabeth Trump & Son. Donald Trump y travaille durant ses études à l’école de commerce de Wharton à l'Université de Pennsylvanie. En 1968, il rejoint cette société, qu'il dirige depuis 1971 et qu'il renommera The Trump Organization. Il est également fondateur de la Trump Entertainment Resorts (en).

Donald Trump est célèbre pour avoir bâti son empire et sa notoriété sur des bâtiments prestigieux qui portent généralement son nom. La plupart de ses réalisations se trouvent dans l'État de New York, avec notamment des gratte-ciels, mais on relève aussi un grand casino à Atlantic City, le Trump Taj Mahal.

Impliqué dans le secteur du divertissement télévisuel, il est notamment, de 2004 à 2015, l'animateur de l'émission de téléréalité The Apprentice, ce qui contribue largement à sa célébrité.

En juin 2015, Donald Trump annonce sa candidature aux primaires du Parti républicain pour l'élection présidentielle de 2016. Dès le mois suivant, il se trouve de manière presque systématique en tête dessondages d'opinion pour la campagne des primaires à l'investiture républicaine. Son langage populiste et résolument anti-immigration distingue sa campagne et suscite de nombreuses critiques.

Origines et jeunesse

Donald John Trump est né le 14 juin 1946 à New York1 dans le quartier du Queens. Il est le quatrième des cinq enfants de Mary Anne (née MacLeod) et Fred Trump (en), riche promoteur immobilier américain2. Sa mère est originaire de l'île de Lewis, en Écosse3. Ses grands-parents paternels étaient des immigrés allemands, originaires de Kallstadt4Frederick Trump, le grand-père paternel, fit fortune dans des villes champignons en exploitant des hôtels, restaurants et maisons closes pendant la ruée vers l'or du Klondike5.

Donald Trump a deux frères : Fred Jr. (1938–1981), mort de complications liées à son alcoolisme6, et Robert, né en 1948. Il a également deux sœurs : Maryanne Trump Barry (en), née en 1937, juge fédéral des États-Unis devant la cour d'appel des États-Unis pour le troisième circuit7, et Elizabeth, née en 1942.

Il est le neveu du professeur John G. Trump8, connu pour ses travaux dans le domaine de la radiothérapie9.

Alors qu'il n'a que treize ans, ses parents l'envoient à l'académie militaire de New York, dans l'espoir de canaliser son énergie. Par la suite, il rejoint l'université Fordham, avant d'obtenir son diplôme en économie à l'université de Pennsylvanie.

Carrière d'homme d'affaires

En 1968, il rejoint l'entreprise de son père (Fred C. Trump), un groupe immobilier gestionnaire d'appartements pour la classe moyenne opérant dans les quartiers du Bronx, du Queens, et de Staten Island10. Dès lors, sous la tutelle de son père, il connaît ses premiers succès qui vont le mener à la notoriété.

Alors qu'il a 25 ans, Trump participe à un projet immobilier initié par son père. En deux ans, et moyennant un investissement de500 000 dollars, le taux d'occupation du complexe de 1 200 appartements acquis par l'entreprise familiale passe de 34 % à 100 %. En 1972, le complexe est vendu11.

En 1971, il s'installe à Manhattan, où il participe à d'autres grands projets immobiliers ; il promeut une architecture voyante pour gagner la reconnaissance du public12.

Parmi ses plus célèbres immeubles, on peut citer : la Trump Tower de New York, le premier gratte-ciel qu'il a fait construire en 1983, la Trump World Tower (le plus grand immeuble d'habitation du monde, situé à New York), la Trump Tower construite en 2009 à Chicago, le Trump Palace Condominiums à New York, le Trump Taj Mahal à Atlantic City, le Trump Las Vegas. Donald Trump envisageait de reconstruire les deux tours du World Trade Center à l'identique, projet qui a été rejeté ; elles auraient été construites sur Ground Zero à la place du One World Trade Center. Donald Trump a voulu acheter le Palais du Parlement àBucarest pour en faire le plus grand casino du monde, mais son offre a été déclinée13.

En 1988, il rachète le yacht Kingdom 5KR du milliardaire saoudien Adnan Khashoggi pour 30 millions de dollars14.

Au début des années 1990, son empire est en péril, le marché de l'immobilier battant de l'aile : il doit restructurer son groupe et ses activités pour éviter la faillite15.

En 1996, il fait sa première incursion à la télévision en devenant co-propriétaire du concours de beauté Miss Univers, diffusé depuis 2003 sur NBC16.

En 1988 et 1989, afin de renforcer l'attractivité du Trump Plaza d'Atlantic City, il y reçoit les quatrième et cinquième WrestleMania, un événement annuel de catch : c'est la seule fois que celui-ci s'est tenu deux années consécutives dans la même ville17. Il figure ensuite dans le public de plusieurs WrestleMania17. Il affronte verbalement Rosie O'Donnell en 2006 dans l'émission WWE Raw17, puis Vince McMahon, un ami de longue date18, en 2007 à l'occasion du Battle of the Billionaires (« bataille des milliardaires ») du WrestleMania 23, contribuant ainsi au franc succès commercial de l'événement17. Il réapparaît dans WWE Raw en juin 200917. En 2013, il est introduit au WWE Hall of Fame par Vince McMahon17.

En 2010, il devient docteur honoris causa en administration des entreprises de l'université Robert Gordon le récompensant pour sa carrière en tant qu'homme d'affaires. Il se fait retirer son titre en 2015, après sa proposition controversée d'interdire temporairement l'accès des musulmans au territoire américain19.

Au cours des années 1990, il fait quelques apparitions dans des films (Maman, j'ai encore raté l'avionGhosts Can't Do ItLes Chenapans), et séries télévisées (Le Prince de Bel-AirUne nounou d'enferSex and the City), souvent dans son propre rôle20. Il possédait sa propre émission, The Celebrity Apprentice, mais la perdit, ainsi que tous les autres contrats avec la chaine NBC, à la suite de propos sur la communauté hispanique dans le cadre des primaires républicaines de 2016 : « [Le Mexique] n'envoie pas ses meilleurs citoyens aux États-Unis. Ils envoient ceux qui posent problème. Ils apportent avec eux la drogue, ils apportent le crime. Ce sont des violeurs, même si certains d'entre eux sont des gens bien21. »

Passionné de golf, il réalise des investissements massifs dans la discipline à travers le monde à partir des années 200022. Il acquiert en 2012 puis rénove le Doral Golf Resort & Spa, qu'il rebaptise Trump National Doral, sur lequel se déroule le WGC-Cadillac Championship, tournoi annuel du World Golf Championships22. En tant que force invitante, il remet les trophées aux vainqueurs22. En raison de ses propos polémiques lors de la campagne présidentielle de 2015-2016, le PGA Tour,circuit professionnel de golf masculin, envisage de délocaliser le WGC-Cadillac Championship dès 2017 alors qu'il s'agit de l’un de ses plus anciens lieux de prédilection22. En 2014, il acquiert puis rénove le domaine de Turnberry, l’un des dix tracés pouvant accueillir l'Open britannique hommes, mais le Royal and Ancient Golf Club of St Andrews, qui supervise le tournoi, envisage également de le retirer temporairement de l'Open pour la même raison22. Il possède par ailleurs le Trump National Golf Club Bedminster (New Jersey), choisi pour l’organisation de l’US Open féminin en 2017 et du championnat de la PGA, le quatrième tournoi du Grand Chelem de l’année chez les hommes, en 202222. Lui-même joueur en compétition, il est accusé de tricherie par The Washington Post et l'acteur Samuel Lee Jackson22. Alors que le milieu professionnel du golf, en particulier le PGA Tour, cherche à s'ouvrir, il promeut une vision « élitiste » de ce sport22. Il demeure très apprécié dans le milieu du golf professionnel américain, de sensibilité républicaine, et notamment parmi les golfeurs professionnels22.

Le magazine Forbes estime, en octobre 2015, sa fortune à 4,5 milliards de dollars23.

Carrière politique

Affinités politiques et projets de candidatures présidentielles

Initialement démocrate, il est un fervent partisan du président Ronald Reagan et débute son engagement en politique en 1987 au Parti républicain. Il songe à se présenter aux primaires républicaines de 1988 ; celles-ci sont remportées par George H. W. Bush, qui aurait un temps envisagé de se présenter avec Donald Trump comme candidat à la vice-présidence des États-Unis24.

Donald Trump quitte le Parti républicain en 199925 et rejoint le Parti de la réforme des États-Unis d'Amérique, fondé par Ross Perot. Il cherche à obtenir l'investiture de ce parti en vue de l'élection présidentielle de 2000, mais il renonce à présenter sa candidature alors qu'il était crédité de 7 % d'intentions de vote à l'élection présidentielle26,27.

Entre 2001 et 2009, sous la présidence de George W. Bush, auquel il s'oppose, il est à nouveau enregistré comme électeur démocrate28. En 2008, il finance lacampagne pour l’investiture démocrate de Hillary Clinton29. En 2009, il s'inscrit au Parti républicain, et s'y réinscrit en 2012 après un interlude indépendant, sans affiliation28.

Après avoir envisagé une candidature en tant qu'indépendant à l'élection présidentielle de 2012, il apporte son soutien au candidat républicain, Mitt Romney30.

Primaires présidentielles républicaines de 2016
Logo de campagne de Donald Trump pour 2016.
Donald Trump entouré de sympathisants, le 3 septembre 2015.

Il annonce sa nouvelle candidature aux primaires républicaines le 16 juin 2015, avec le slogan « Make America Great Again! ». Dès le début de sa campagne, il revendique un discours « politiquement incorrect », notamment sur l'immigration. Il soulève une polémique en accusant le gouvernement mexicain d'envoyer des criminels aux États-Unis, ainsi qu'à plusieurs occasions de déclarations jugées sexistes31,32,33,34. Sa candidature avait été prédite dans un épisode des Simpsons quinze ans plus tôt35.

Donald Trump se présente en sauveur d'une Amérique moribonde, minée par la corruption de ses élites et par un système électoral inique. Lors du discours qui suit l'annonce de sa candidature, il insiste sur les 18 000 milliards de dollars de dettedes États-Unis, qui souffrent selon lui d'avoir « des gouvernants qui ne comprennent pas », « moralement corrompus » et « qui bradent ce pays au point de l'anéantir ». Il estime que « le rêve américain est mort »36,37,38.

Candidat atypique, il est, pour Howard Fineman, directeur éditorial global du Huffington Post, caractéristique de l'évolution de la société américaine : celle de l'argent roi et du spectacle39. Des analystes considèrent que son succès s'explique surtout par l'exaspération de la classe moyenne américaine, qui ne s'estime plus représentée par les « élites » de Washington40, ainsi que par une montée en puissance aux États-Unis du populisme et du nationalisme41.

À partir de juillet 2015, les sondages le placent en favori de la primaire républicaine avec entre 20 % et 40 % des intentions de vote42,43,44. Cet « effet Trump », inattendu, médiatise les primaires : le premier débat entre les candidats républicains, le6 août 2015, rassemble 24 millions de téléspectateurs, huit fois plus qu'en 201145. Dans l'histoire récente des campagnes de primaires pour l'élection présidentielle américaine, il est le candidat en position de favori des sondages ayant le moins dépensé d'argent pendant les six premiers mois de la campagne, capitalisant sur des discours aux propos polémiques lui assurant une reprise médiatique maximale par les médias. Il se décide cependant à investir dans des spots publicitaires à partir du mois de janvier sur les trois piliers de sa campagne : l'immigration, l'économie et la sécurité46,47.

En février, malgré un score jugé décevant lors du caucus de l'Iowa (24,3% des suffrages), il arrive largement en tête des primaires du New Hampshire (35,3 %), deCaroline du Sud (32,5%), et du Nevada (45,9%) confortant ainsi son statut de favori48,49. À la fin du mois, Chris Christie, gouverneur républicain modéré du New Jersey ayant abandonné la campagne, est la deuxième figure importante du Parti républicain à lui apporter son soutien, après Sarah Palin en janvier50,51 ; il est suivi par le sénateur Jeff Sessions, le premier parlementaire républicain à le faire52. Lors du Super Tuesday du 1er mars 2016, Donald Trump conforte son avance en remportant sept des onze États en jeu53. Tandis qu'il est notamment attaqué par Mitt Romney et John McCain, les deux précédents candidats républicains à l'élection présidentielle, des comités d'action politique lancent une campagne contre lui54. Son concurrent Ben Carson lui apporte son soutien au mois de mars55.

Prises de position

Donald Trump se définit comme un « Républicain conservateur »56. Mais les commentateurs et les enquêtes d'opinion indiquent qu'il est beaucoup moins perçu comme un réel conservateur (true conservative) ou comme une personne religieuse (religious) que les autres personnalités du Parti républicain57. S'il est parfois jugé sans « aucun équivalent dans l’histoire politique américaine »58,59, certains analystes le comparent à George Wallace, candidat indépendant à la présidence en 196860,61,62.

Affaires étrangères et défense nationale

En juillet 2000, il défend l'idée que les États-Unis n'investissent pas assez dans l'armement et que la force militaire américaine à l'internationale est devenue trop faible. Il propose également de désinvestir l'armement en missiles et de se focaliser sur la menace terroriste et les attaques biochimiques63.

Il écrit dans son livre The America We Deserve (2000) : « Nous ne savons toujours pas ce que l’Irak fait ou s'il a les matériaux nécessaires pour construire des armes nucléaires. Je ne suis pas belliqueux. Mais si nous décidons que nous avons besoin de frapper l’Irak à nouveau, il serait fou de ne pas mener la mission jusqu’à son terme. »64 En 2002, il se déclare « plutôt » en faveur d’une invasion de l’Irak et déclare qu'il aurait « aimé que la première invasion se passe mieux »64. En janvier 2003, quelques semaines avant la guerre d'Irak, Donald Trump se montre indécis sur le sujet en estimant que le président George W. Bush « doit faire quelque chose ou ne rien faire, parce peut-être qu'il est trop tôt et qu’il faut peut-être attendre les Nations unies »64. Peu après l’invasion, il explique que celle-ci pourrait poser problème parce que « la guerre est un bordel », mais aussi que « le marché va grimper comme une roquette » avec ce conflit64. En 2004, il estime que l'invasion n'a pas été une « bonne décision » et affirme qu’il n’aurait pas géré le conflit de la sorte64 ; il prédit que « deux minutes » après le départ des États-Unis du sol irakien, la situation sera pire qu'avant le début de la guerre65. Il soutient alors l'idée de destituer George W. Bush pour cette raison66. Il met en avant cette dernière position contre la guerre d'Irak lors de la primaire républicaine de 201664, tandis que certains médias soulignent un changement d'opinion sur le sujet64,67.

Lors de sa campagne électorale de 2015-2016, certains observateurs soulignent le protectionnisme et l'isolationnisme de son programme68,69. Donald Trump critique régulièrement la politique étrangère de Barack Obama, notamment en ce qui concerne les relations avec la Russie, qu'il se dit prêt à approfondir alors qu'elles sont particulièrement tendues70,68. Tandis qu'il est qualifié d'homme « brillant, plein de talent » par Vladimir Poutine, Donald Trump salue son action et sa popularité en Russie fin 2015, et déclare qu'il pourrait « probablement très bien s'entendre avec [lui] »71.

Accusant Barack Obama et Hillary Clinton d'être responsables de l'émergence de l'État islamique, il préconise de saisir manu militari les puits de pétrole irakiens et syriens contrôlés par ce dernier72, d'attaquer les djihadistes et leurs familles73 et de réduire l'engagement américain en Syrie au profit d'un renforcement en Irak74, tout en saluant l'intervention militaire de la Russie en Syrie75.

Il entend réduire la présence militaire américaine en Europe, mais l'accroître dans le Pacifique afin de contrer la Chine, qu'il considère comme le véritable rival des États-Unis69. Il appelle le régime chinois à « faire disparaître » Kim Jong-un, dirigeant de la Corée du Nord69.

Avec le libertarien Rand Paul, il est le seul candidat républicain76 à soutenir le processus de normalisation des relations entre Cuba et les États-Unis initié par Barack Obama, mais entend négocier un meilleur accord et fermer l'ambassade américaine récemment rouverte à La Havane jusqu'à son obtention77,78. Il se singularise également par sa volonté d'« assumer » l'accord préliminaire de Genève sur le programme nucléaire iranien, bien qu'il le juge « mauvais »58.

Tout en se disant « totalement pro-israélien », il prône la neutralité dans le conflit israélo-palestinien, position la plus à même selon lui d'aboutir à un accord de paix79,80.

Avortement

Initialement « pro-choix », il nuance sa position en indiquant, en avril 2011, qu'il interdirait les avortements tardifs sauf pour cause de viol, d'inceste ou pour raisons de santé81. Il défend le planning familial82.

Barack Obama

En 2011, il reprend une théorie selon laquelle Barack Obama ne serait pas né sur le territoire des États-Unis, mais au Kenya, ce qui aurait pour conséquence de le rendre inéligible au poste de président des États-Unis83. Il déclare aussi que ses notes étaient insuffisantes pour qu'il intègre la faculté de droit de Harvard84.

Contrôle des armes à feu

Il s'oppose à la modification du deuxième amendement de la Constitution des États-Unis et se montre généralement hostile à une réglementation plus stricte concernant la possession et la vente d'armes à feu85. Après les attentats du 13 novembre 2015 en France et la fusillade de San Bernardino en Californie le 2 décembre 2015, il estime que « si les gens avaient été armés, ils auraient pu se défendre »86.

Droits LGBT

Tout en s'opposant au mariage homosexuel aux États-Unis, Donald Trump propose de lutter contre les discriminations envers les personnes homosexuelles en ajoutant l'orientation sexuelle au Civil Rights Act de 196487. Après la décision de la Cour suprême de légaliser le mariage homosexuel dans l'ensemble des États-Unis, il s'oppose à un amendement constitutionnel permettant aux États de réinterdire le mariage homosexuel87. Il critique par ailleurs les virulentes positions anti-gay du journaliste conservateur Pat Buchanan87.

Gregory T. Angelo, président des Républicains du Log Cabin, une association LGBT proche du Parti républicain, décrit Donald Trump comme « l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur, candidat républicain pro-gay ayant jamais brigué la présidence des États-Unis »88.

Économie

Donald Trump propose de supprimer l’impôt des sociétés89. Il préconise une réduction de la fiscalité sur les travailleurs et les entreprises américaines, et un allègement de la réglementation des entreprises (y compris au niveau des droits sociaux et au niveau environnemental)89.

Il propose un plan « 1-5-10-15 » concernant l’impôt sur le revenu, dans une optique de simplification du code des impôts : quatre tranches de revenus (inférieure à 30 000 $, entre 30 000 $ et 100 000 $, entre 100 000 $ et 1 000 000 $, supérieure à 1 000 000 $) seraient taxées respectivement à hauteur de 1 %, 5 %, 10 % et 15 %. L’impôt des successions serait supprimé, les revenus des capitaux seraient moins taxés, tandis qu’une taxe de 20 % frapperait les importations et qu’une taxe de 15 % toucherait la sous-traitance à l’étranger89.

Donald Trump recommande plus de fermeté dans les tractations commerciales avec des États tels que le Japon ou la Chine85 et vante ses capacités de négociateur. Il déclare lors de l’annonce de sa candidature : « [L'Amérique] a l'habitude de connaître des victoires, mais ce n’est plus le cas. Quand avons-nous pour la dernière fois vaincu un État tel que, disons, la Chine dans une négociation commerciale ? Ils nous tuent. Je bats la Chine tout le temps. Tout le temps »90,91.

Il promet de limiter les délocalisations et d’augmenter les taxes sur les produits importés, et s'oppose aux grands accords de libre-échange tels que l'accord de partenariat transpacifique et le partenariat transatlantique de commerce et d'investissement, estimant qu'ils ne créent pas d’emplois82.

Il estime que les salaires sont trop élevés, et s'oppose à un relèvement du salaire minimum légal92.

Santé

Donald Trump n'est opposé ni au Medicare ni au Medicaid : il explique que sous sa présidence, les États-Unis seront « si riches » qu’il sera inutile de les remettre en cause82. Il s'engage en revanche à abroger la réforme du système de santé instaurée par Barack Obama, dite Obamacare93.

Environnement

Comme plusieurs personnalités du Parti républicain94, il remet en cause l'idée du changement climatique, déclarant qu'il s'agit d'« un canular total »95,96. Il affirme que le concept a été créé par et pour les Chinois afin de rendre l'industrie manufacturière américaine non-compétitive97. Il soutient le recours accru à la fracturation hydraulique et s'oppose à l'énergie éolienne, selon lui source de production d'énergie risible et peu fiable98.

Financement des campagnes électorales

Trump supporte l’idée d’une réforme du système de financement des campagnes électorales99. Il accuse ses adversaires républicains – Jeb Bush en particulier – d’être assujettis aux bailleurs de fonds de leur campagne100,101. Il qualifie de « honte » la législation applicable en la matière, marquée par plusieurs décisions de laCour suprême, dont l’arrêt Buckley v. Valeo, qui supprima, entre autres, le plafond imposé par la loi à la contribution des candidats à leur propre campagne, et l'arrêt Citizens United v. Federal Election Commission, qui autorise la participation financière des entreprises aux campagnes politiques.

Immigration et politique des frontières

En 2015, Donald Trump se prononce pour la construction d'un mur le long de la frontière mexicaine102. Il déclare que le paiement du prix de la construction sera réclamé au Mexique, qui a un important déficit commercial avec les États-Unis103,104. Le pape François juge, en février 2016, « qu’une personne qui veut construire des murs et non des ponts n’est pas chrétienne ». Donald Trump, qui avait déjà estimé que « le pape est quelqu’un de très politique » et qu’« il ne comprend pas les problèmes de notre pays », répond vivement à son tour, en s'indignant du fait « qu’un responsable religieux mette en doute la foi d’une personne »105. Il entend également expulser les milliers de réfugiés syriens entrés sur le sol américain75.

Musulmans et islamisme

Le 7 décembre 2015, Donald Trump déclare dans un communiqué que s'il était élu, il stopperait provisoirement l'immigration des musulmans aux États-Unis, citant une étude de Pew Research Center selon laquelle « une grande partie de la communauté musulmane éprouverait de la haine envers les Américains »106. Interrogé sur cette déclaration, il explique que l’interdiction d’entrée concernerait les immigrés, mais aussi les visiteurs et les touristes musulmans107. En réaction, une pétitionqui vise à interdire l'entrée de Donald Trump au Royaume-Uni est lancée sur le site internet du Parlement britannique. Celle-ci obtient les 100 000 signatures qui la rendent éligible pour être soumise au débat au Palais de Westminster108,109The Trump Organization indique alors qu'elle est prête à renoncer à un milliard de dollars d'investissements dans ses deux golfs écossais et à tout nouvel investissement au Royaume-Uni si on lui interdit d'entrer dans le pays110.

La même journée, Donald Trump laisse entendre qu'il prendrait des mesures pour fermer internet pour contrer l'islamisme radical : « Nous devons rencontrer Bill Gates et bien d'autres personnes pour comprendre ce qui se passe. Peut-être que dans certaines régions, la fermeture de l'internet doit être envisagée. [...] Et si quelqu'un évoque la liberté d'expression, bien, il est stupide111. ».

Stupéfiants

En 1990, Donald Trump défend publiquement l'idée qu'il faut légaliser les drogues aux États-Unis pour gagner la guerre contre les trafiquants, et utiliser les taxes dégagées sur la vente légale de ces produits pour éduquer la population sur les risques liés à la consommation de ces substances112.

Il a toutefois tempéré cette opinion en 2015, affirmant que le choix doit relever de la politique propre des États, et se limitant à supporter la légalisation de la consommation de cannabis pour raisons médicales113.

Torture

En novembre 2015, il se déclare favorable à l'utilisation de la torture, notamment du « waterboarding » (bannie par le gouvernement Bush en 2006114) contre les djihadistes présumés : « Croyez-moi, ça marche, et vous savez quoi ? Si ça ne marche pas, ils le méritent quand même »115. En mars 2016, il indique finalement qu'il « ne demander[a] pas à [l']armée ou à d’autres responsables de violer la loi »114, tout en ajoutant qu'il souhaite que certaines lois en la matière « soient élargies »116.

Vie privée

Ivana Trump, épouse de Donald Trump de 1977 à 1992.
Melania Trump, épouse de Donald Trump depuis 2005.

En 1977, il épouse Ivana Zelníčková, athlète et mannequin tchécoslovaque, qu'il rencontre en 1976 dans le bar Maxwell’s Plum117 ; ils ont ensemble trois enfants : Donald Trump Jr (né le31 décembre 1977), Ivanka Trump (née le 30 octobre 1981) et Eric Trump (né le 6 janvier 1984). Ils divorcent en 1992.

Il aurait à l'époque entretenu une relation avec Carla Bruni. Il soutient que celle-ci lui aurait demandé de quitter sa fiancée Marla Maples, en échange de quoi elle quitterait Mick Jagger118.

Il se marie finalement le 21 décembre 1993 avec Marla Maples, avec qui il a une fille : Tiffany Trump (née le 13 octobre 1993). Le couple se sépare en 1997119 et divorce le 8 juin 1999.

Depuis le 22 janvier 2005, il est marié à Melania Knauss, mannequin originaire de Slovénie avec laquelle il a un fils : Barron William Trump (né le 20 mars 2006).

Par son fils Donald Jr et son épouse Vanessa Haydon Trump, il est grand-père de Kai Madison Trump (née en mai 2007), Donald John III Trump (né en février 2009), Tristan Milos Trump (né le2 octobre 2011), Spencer Frederick Trump (né le 21 octobre 2012) et Chloe Sophia Trump (née le 16juin 2014). Par sa fille Ivanka et son époux Jared Kushner, il est grand-père d'Arabella Rose Kushner (née le 17 juillet 2011) et de Joseph Frederick Kushner (né le 14 octobre 2013).

Donald Trump est un protestant presbytérien120.

Bibliographie

  • (en) Donald J. Trump, Trump: The Art of the Deal, Ballantine Books,‎ 2004, 384 p. (ISBN 978-0345479174)
  • (en) Donald J. Trump, Time to Get Tough: Make America Great Again!, HarperBusiness,‎ 2008, 384 p. (ISBN 978-0061547843)
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