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22 juin 2016

ELECTIONS PRESIDENTIELLES AMERICAINES... RIEN N'EST JOUE !

Trump : l’hypothèse d’une candidature indépendante se précise

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SOURCE : BOULEVARD VOLTAIRE

http://www.bvoltaire.fr/

 

« Le grand capital » ne tient pas à s’associer au couronnement de Donald Trump.

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André Archimbaud

Consultant stratégique

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Sa position de candidat présomptif a, en fait, limité la liberté de manœuvre de Trump sans rien lui apporter, sinon de devenir le point focal des attaques démocrates, subissant ad nauseam la sortie d’une montagne de casseroles.

Les grandes entreprises et sponsors – fait inédit – refusent de commanditer la convention qui se tiendra du 18 au 21 juillet à Cleveland : « le grand capital » ne tient donc pas à s’associer au couronnement de Donald Trump. Bienvenue à l’auberge Poutine ! Et, le 19 juin, plus de 1.000 délégués à la convention ont discuté en téléconférence de la façon d’introduire une « clause de conscience » dans le règlement afin de se libérer du vote automatique pour Trump au premier tour. Le système a la dent dure.
Suicidaires républicains. La victoire serait pourtant possible, en travail d’équipe : au parti la mobilisation du vote chrétien (cible : la Cour suprême et les questions de société), aux parlementaires la mobilisation du vote conservateur (cible : la relance économique et la fiscalité), à Trump la mobilisation populiste (cible : la sécurité migratoire et antiterroriste, la concorde internationale, l’indépendance commerciale).

Ni Hillary Clinton ni Joe Biden ne sauraient résister à une telle « Sainte-Trinité », qui résonne à l’esprit, au cœur et aux tripes du peuple américain. D’autant que le reste de la planète attend impatiemment la redistribution économique des dividendes de la paix comme la dissolution des castes parasitaires qui ont confisqué les organisations internationales. Peine perdue : une « cohabitation » avec les démocrates ne semble pas déranger l’élite républicaine.

Dans ce contexte, le démocrate pro-Trump Pat Caddell, ancien collaborateur de Jimmy Carter, a conclu dimanche dans l’émission « Political Insiders » : « La meilleure chance, pour Trump, est de concourir en indépendant. »

C’est ce que Trump laisse entendre de plus en plus fréquemment, espérant peut-être le « qui perd gagne », dans une campagne où la moitié des voix des primaires sont antimondialistes et anti-establishment : jouable à bien moindre budget… en devenant le candidat officiel de la dissidence, plutôt que de se faire chiper des voix sous l’étiquette républicaine par l’irruption récente d’un candidat libertaire qui, avec plus de 10 % des votes, l’a fait baisser dans les sondages. Idéalement, un fractionnement entre quatre candidats rendrait service à Trump et pourrait le mettre en tête, comme il le réussit aux primaires. Reste à savoir à qui va se rallier Tulsi Gabbard, la médiatique démocrate « anti-changement de régimes » qui a fait la campagne de Sanders. On peut rêver…

C’est un risque calculé : personne n’obtiendrait vraisemblablement les 270 délégués requis pour l’élection finale, et la Chambre des représentants nommerait le futur président… au tribunal de l’opinion publique. Pas étonnant, donc, que Trump songe à créer son mini-conglomérat médiatique. En se « câblant » tout de suite avec un partenaire disposant déjà de réseaux et intéressé par la viabilité post-élection de sa clientèle captive, Trump pourrait faire financer sa campagne par son business sans se soumettre aux groupes d’intérêts. En cas d’échec, il n’aura pas perdu son temps ni son investissement, avec un mouvement et une entreprise ancrés pour l’avenir. À suivre…

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Donald Trump, Midas électoral ?

 Il y a 4 jours, le samedi 18 juin 2016

 SOURCE : http://www.bvoltaire.fr/

 

Par André Archimbaud

Consultant stratégique

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Plusieurs de nos chroniques ont présenté Trump comme un Bernard Tapie « avec du génie », un Silvio Berlusconi « qui aurait bien vieilli », bref un patriarche préoccupé de son image comme de l’héritage de ses enfants. Cette vision « méditerranéenne » postulait que son entrée en campagne était un prolongement de son plan d’affaire, permettant à son entreprise de passer d’activités pas très jolies jolies et probablement pas très rentables vers quelque chose de noble et durable. Avec, en prime, une carrière politique pour ses deux fils, Donald, Jr. et Eric, qui ont le talent pour cela.

Point de départ pour Trump : les 6 millions d’anciens fidèles de son show « The Apprentice », et les 15 à 18 millions de suiveurs sur Twitter et Facebook.

Ligne d’arrivée : 14,7 millions d’électeurs irréductibles gagnés aux primaires, auxquels s’ajoute une portion des 16 millions qui, votant pour les autres candidats, plaçaient Trump en deuxième ou troisième intention. Trump a donc triplé son fonds de commerce en 12 mois, en capturant, encourageant et faisant vibrer un puissant courant nationaliste antimondialiste, sous les yeux ébahis de l’oligarchie.

Que faire de cette clientèle captive ? Gagner les élections générales, donc convaincre 60 millions d’électeurs supplémentaires ? Possible, en mettant un à deux milliards de dollars de sa poche, et en restant soi-même. Trump ne l’a pas voulu, considérant plutôt qu’une OPA sur le parti serait suffisante pour lever des fonds. Erreur : le roué Speaker de la Chambre des représentants, Paul Ryan, le freine depuis deux mois, suivi par le cauteleux leader du sénat, Mitch McConnell. Trump est donc tombé dans la trappe de l’establishment, qui le blesse sans le tuer.

Les parlementaires républicains ont probablement fait une croix sur l’élection présidentielle, se concentrant simplement sur la conservation de la majorité dans les deux Chambres afin de négocier la gestion du pays avec la présidente Clinton. Solution idéale pour Goldman Sachs et JP Morgan. Pas bon pour Kaliningrad…

Trump peut-il gagner ? Peut-être. Mais sa campagne souffre depuis deux mois : la machine Clinton investit massivement contre lui, travaille le terrain dans les États pivots, intimide les républicains qui le soutiennent, tandis qu’Obama mène brillamment campagne pour elle, ayant de surcroît « retourné » l’attentat d’Orlando en 48 heures. Trump, en retard, n’a pas encore réuni l’argent nécessaire. Il fait le dos rond, en attendant la divine contre-attaque. Mais veut-il gagner? À moins qu’il ne veuille, nouveau Midas, convertir en or ses millions d’électeurs?

Telle est la thèse de Vanity Fair (“Is Donald Trump Endgame the Launch of Trump News?”– 16 juin) : Trump, qui possède déjà une société de production télévisuelle, la Trump Productions, discuterait activement avec sa fille Ivanka et son gendre Jared Kushner, propriétaire du New York Observer, de la création d’une chaîne câblée nationale, une Trump News, partie d’un futur « mini-conglomérat médiatique ». Ce qui expliquerait son dépôt de la marque “Make America Great Again”, ses escarmouches avec Fox News, ses récents boycotts de certains journaux, et sa déconcentration récente, ou encore son avertissement sibyllin, lundi, aux républicains : « Les républicains ne sont pas assez durs. Je vais finir par le faire seul et à ma façon. ». Une sorte de déblayage commercial, donc. Et une porte de sortie avant une convention républicaine ouverte à tous les Jarnac… La Trump Organization nie catégoriquement. Dommage : les Américains auraient grandement besoin d’une TV Libertés…

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Commentaires
D
Je souhaite une victoire écrasante à D. Trump qui seule, peut sauver le monde et par ricochet l'Europe, hors des ambitions politiques personnelles et des intérêts financiers de l' Etablisment démocrate. La 3º guerre mondiale Occident contre islam a débuté : seul Trump le réaliste en est conscient et a pris la mesure de son enjeu civilisationnel. Que nos politiques actuels, les Chamberlain et Daladier du siècle dernier en prennent la mesure. Est-ce un fantasme ?
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