SOURCE : Publié le 20 janvier 2017 - par Jacques Guillemain
DOSSIER DONALD J. TRUMP ELU OFFICIELLEMENT 45 ème PRESIDENT DES ETATS-UNIS LE 20 JANVIER 2017 AU CAPITOLE A WASHINGTON
Après les ricanements du début de campagne présidentielle américaine, l’heure est venue pour les démocrates d’avaler leur chapeau.
Donald Trump a prêté serment ce jour, sur les marches du Capitole à Washington, en jurant sur la Bible qu’il protègera et défendra les Etats-Unis. Il est donc le 45ème président, n’en déplaise aux élites américaines qui ne juraient que par Hillary Clinton.
Car le milliardaire a beau cristalliser toutes les rancoeurs de l’establisment, lequel a été sèchement désavoué par le peuple, il aura les pleins pouvoirs, avec le Congrès et la Cour Suprême acquis aux Républicains.
Les décrets sont déjà prêts. Trump ne restera pas les bras ballants…
Tout cela est bien entendu insupportable pour une caste dirigeante qui hait le populisme de Trump et entend conserver ses privilèges malgré le verdict des urnes. Le camp démocrate refuse la défaite et attise les braises du soulèvement populaire.
Partout, c’est la contestation du scrutin, de la liberté et de la loi électorale.
Partout, les faux démocrates manifestent contre la démocratie.
La plus grande démocratie du monde refuse le choix du peuple et attise la haine anti-Trump.
A New-York, le gratin des célébrités manifeste avec des milliers d’opposants au milliardaire. Du jamais vu.
“Quoi qu’il arrive, nous Américains, nous New-Yorkais, nous patriotes, resterons unis pour nos droits et pour les droits de nos concitoyens” a lancé Robert de Niro.
Mais de quels droits parle-t-il puisqu’il conteste le simple droit de vote des électeurs de Trump ? De quel patriotisme parle-t-il puisque Trump veut mener une politique au seul profit du peuple américain ? C’est du délire.
“Va-t-on avoir 100 jours de résistance ? Formidable !” dit Alec Baldwin.
“Donald Trump n’a pas de mandat”. ”Il ne durera pas quatre ans”, dit Michael Moore, au prétexte qu’Hillary a engrangé plus de voix que Trump.
Quant aux manifestants, leurs pancartes sont le summum de la caricature :
“Nous sommes ici parce que nous sentons que nous allons perdre tous les acquis des 50 dernières années : les droits civiques, la liberté d’expression, le droit à la santé, les droits des femmes, les droits des homosexuels, et j’en passe” déclare un participant.
Et le maire de New-York n’est pas en reste. Il a prévenu Trump qu’il s’opposerait aux expulsions de millions d’immigrés. C’est pourtant l’échec d’Obama et sa désastreuse politique migratoire qui ont porté Trump au pouvoir.
Il est vrai que 80% des New-Yorkais ont voté pour Hillary. On comprend qu’ils soient aigris !
Alors, tout est bon pour faire de Trump un être diabolique, mélange de Hitler et de Gengis-Khan, capable de tout détruire sur son passage.
On nage en pleine hystérie collective. C’est no-limit dans le grotesque.
Dans son bloc-notes, Ivan Rioufol nous dépeint le ridicule de la situation.
La presse bien pensante affiche clairement sa répulsion pour le vainqueur des élections, qui a gagné contre la volonté des élites.
Les artistes se glorifient de ne pas chanter pour Donald Trump.
Des stylistes de mode clament qu’ils n’habilleront pas la First Lady, la superbe Mélania. Difficile de faire plus ridicule.
Il faut vraiment être mal câblé pour ne pas tomber sous le charme de Mélania !
Elle a une classe qui fait honneur à l’Amérique.
Des peintres demandent à Ivanka, la fille de Trump, de décrocher leurs œuvres de son appartement !!!!
Ils font même circuler la rumeur qui verrait Hillary briguer la mairie de New-York pour prendre la tête de l’opposition à Donald Trump.
Et ce sont ces élites arrogantes et méprisantes qui voudraient gagner les élections et mener le monde ! Hallucinant.
Tous ces donneurs de leçon, ces démocrates bidons, affichent la même tolérance qu’un dictateur.
Cette attitude irresponsable encourage les casseurs qui s’en donnent à cœur joie dans les rues de Washington. Plutôt inattendu en Amérique.
Il ne faut donc pas s’étonner que l’élection de Donald Trump fasse peur aux dirigeants Européens.
Ce qu’ils craignent par dessus tout, c’est que Trump réussisse et se révèle comme le plus grand président des Etats-Unis depuis Ronald Reagan.
Ce qu’ils craignent, c’est que l’Angleterre devienne la première puissance d’Europe après le Brexit.
Ce qu’ils craignent, c’est que Marine soit élue en 2017 et sorte la France du marasme.
Car ces élites autoproclamées se sont trompées sur tout.
Elles nous promettaient le cataclysme en bourse. Les marchés sont au plus haut.
Elles nous promettaient une récession technique. Elle n’a pas eu lieu.
La grande peur de nos élites, c’est que les peuples, partout en Europe, reprennent les commandes et décident eux-mêmes de leur destin.
Mais tout cela sera balayé par Donald Trump, qu’on a injustement caricaturé mais qui sera un grand président.
On le dit imprévisible. Il va étonner le monde et sera réélu, faisons en le pari.
C’est donc un discours très offensif qu’il a prononcé après son investiture :
“Une petite minorité a profité sur le dos du peuple. Mais dès cet instant, le pouvoir sera rendu au peuple.” Tout va changer.
“C’est VOTRE journée, l’Amérique est VOTRE pays.”
“C’est un serment d’allégeance au peuple américain que je fais”.
“Les usines fermées, les usines délocalisées, la classe moyenne laminée, tout cela est terminé”.
“C’est un mouvement historique unique au monde. Le peuple ne sera plus oublié”.
“America first” “Acheter américain, embaucher américain”
“Toutes nos décisions devront bénéficier au peuple américain.”
“Je ne vous laisserai jamais tomber”.
“Nous combattrons le terrorisme et l’islamisme avec nos alliés”
“N’ayez pas peur, Dieu protège l’Amérique”
“C’est le temps de l’action. Tout est possible”.
On croirait entendre Marine Le PEN, quand elle déclare vouloir gouverner au nom du Peuple, pour le Peuple et par le Peuple.
Jacques Guillemain
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LE DISCOURS AU COMPLET DE DONALD TRUMP DU HAUT DES MARCHES DU CAPITOLE FACE A PLUS DE 1, 5 MILLIONS D'AMERICAINS VENUS L'ECOUTER ET LE CONGRATULER
" Monsieur le Président de la Cour suprême Roberts, Président Carter, Président Clinton, Président Bush, Président Obama, chers Américains et habitants du monde entier, merci. (Applaudissements)
Nous, citoyens d’Amérique, sommes maintenant unis dans un grand effort national pour reconstruire notre pays et rétablir sa promesse envers tout notre peuple.
Ensemble, nous allons déterminer l’avenir de l’Amérique et du monde pour les années à venir.
Nous aurons des défis à affronter. Nous aurons des difficultés à surmonter. Mais nous réussirons ce travail jusqu’au bout.
Tous les quatre ans, nous nous rassemblons sur ces marches pour assurer la transition des pouvoirs dans l’ordre et la paix. Et nous sommes reconnaissants au président Obama et à la Première dame Michelle Obama de leur bienveillance tout au long de cette transition. Ils ont été magnifiques. (Applaudissements)
La cérémonie d’aujourd’hui revêt cependant un sens très particulier. Parce qu’aujourd’hui, il ne s’agit pas d’une simple passation de pouvoir entre deux gouvernements ou d’un parti à l’autre, mais du transfert du pouvoir des mains de Washington DC qui vous est rendu à vous, le peuple américain.
Pendant trop longtemps, une petite élite dans la capitale a récolté les bénéfices du gouvernement pendant que peuple en a assumé les coûts. Washington a prospéré, mais le peuple n’a pas eu sa part de cette richesse. Les politiciens se sont enrichis, mais les emplois ont disparu et les usines ont fermé.
L’establishment s’est protégé mais il n’a pas protégé les citoyens de notre pays. Leurs victoires n’ont pas été vos victoires ; leurs triomphes n’ont pas été vos triomphes ; et pendant qu’ils faisaient la fête dans notre capitale, les familles en difficulté partout dans le pays avaient peu de raisons de faire la fête.
Tout cela va changer, ici, et dès maintenant. Car ce moment est votre moment : il vous appartient (Applaudissements)
Ce moment appartient à tous ceux réunis ici aujourd’hui et à tous ceux qui nous regardent à travers l’Amérique. Ceci est votre jour. Ceci est votre célébration. Et ceci, les États-Unis d’Amérique, c’est votre pays.
Ce qui compte vraiment, ce n’est pas de savoir quel parti est au pouvoir ; mais si le gouvernement est contrôlé par le peuple. On se souviendra du 20 janvier 2017 comme le jour où le peuple a repris le pouvoir de cette nation. Les laissés-pour-compte de notre pays ne seront plus oubliés.
Tout le monde vous écoute dorénavant.
Vous êtes venus par dizaines de millions pour participer à ce mouvement historique comme le monde n’en avait encore jamais connu. Au cœur de ce mouvement se trouve une conviction profonde : la Nation existe pour servir ses citoyens.
Les Américains veulent de bonnes écoles pour leurs enfants, des quartiers où règne la sécurité pour leur famille, et de bons emplois pour eux-mêmes. Ce sont là les demandes justes et raisonnables d’un public vertueux.
Mais trop de nos concitoyens sont confrontés à une réalité très différente : des mères et leurs enfants piégés dans la pauvreté des nos quartiers défavorisés, des usines délabrées dispersées à travers notre pays comme des tombes dans un cimetière, un système éducatif inondé d’argent, mais qui laisse notre belle jeunesse sans éducation, et la criminalité, les gangs et la drogue qui ont volé trop de vies et ont confisqué à notre pays tant de son potentiel.
Ce carnage américain s’arrête ici et s’arrête maintenant.
Nous formons une seule nation, et leur souffrance est notre souffrance. Leurs rêves sont nos rêves, et leurs succès seront nos succès. Nous partageons un cœur, un foyer et une glorieuse destinée en commun.
Le serment que j’ai prêté aujourd’hui est un serment d’allégeance à tous les Américains.
Nous avons défendu les frontières d’autres pays tout en refusant de protéger les nôtres
Pendant des décennies, nous avons enrichi l’industrie étrangère aux dépens de l’industrie américaine, nous avons subventionné les armées d’autres pays tout en permettant le triste appauvrissement de notre armée. Nous avons défendu les frontières d’autres pays tout en refusant de protéger les nôtres. (Applaudissements)
Et nous avons dépensé des milliers de milliards de dollars à l’étranger alors que l’infrastructure de l’Amérique se délabrait et tombait en déclin.
Nous avons enrichi d’autres pays tandis que notre richesse, notre force et la confiance de notre pays disparaissaient à l’horizon.
L’une après l’autre, nos usines ont fermé et ont quitté nos rives, sans même une pensée pour les millions et millions de travailleurs américains laissés pour compte.
La richesse de notre classe moyenne leur a été arrachée de leurs foyers et a été redistribuée dans le monde entier. Mais ça, c’est le passé, et nous nous tournons maintenant vers l’avenir. (Applaudissements)
Nous qui sommes réunis ici aujourd’hui prenons un nouveau décret qui sera entendu dans toutes les villes, toutes les capitales étrangères et tous les centres du pouvoir.
À partir d’aujourd’hui, une nouvelle vision gouvernera notre nation.
À partir d’aujourd’hui, ce sera l’Amérique d’abord. (Applaudissements)
Toutes les décisions sur les échanges commerciaux, sur la fiscalité, sur l’immigration, sur les Affaires étrangères seront prises pour le bénéfice des travailleurs américains et des familles américaines. Nous devons protéger nos frontières des ravages causés par d’autres pays qui fabriquent nos produits, qui volent nos entreprises et détruisent nos emplois. (Applaudissements)
Cette protection aboutira à une grande force et une grande prospérité.
Je me battrai pour vous avec chaque souffle qui est en moi, et jamais, jamais, je ne vous laisserai tomber. (Applaudissements)
L’Amérique va recommencer à gagner, à gagner plus qu’elle n’a jamais gagné. (Applaudissements)
Nous allons ramener vos emplois. Nous allons rétablir nos frontières. Nous allons rapatrier notre richesse et nous allons retrouver nos rêves. (Applaudissements)
Nous allons construire de nouvelles routes, des autoroutes, des ponts, des aéroports, des tunnels et des voies de chemin de fer partout dans notre merveilleux pays.
Nous allons extraire les gens de l’aide sociale en leur retrouvant du travail, nous allons reconstruire notre pays avec la main-d’œuvre américaine et le labeur américain. (Applaudissements)
Nous allons suivre deux règles très simples : achetez Américain et embauchez des Américains. (Applaudissements)
Nous chercherons l’amitié et la bonne volonté des autres nations du monde, mais nous le ferons en sachant que toute nation a le droit de mettre ses propres intérêts en premier.
Nous unirons le monde civilisé contre le terrorisme islamiste radical que nous éradiquerons entièrement de la surface de la Terre
Nous cherchons pas à imposer notre mode de vie aux autres, mais de le faire rayonner comme un exemple éclatant à suivre par les autres. (Applaudissements)
Nous renforcerons nos vieilles alliances et en forgerons de nouvelles, et nous unirons le monde civilisé contre le terrorisme islamiste radical, que nous éradiquerons entièrement de la surface de la Terre. (Applaudissements)
Le socle de notre politique sera l’allégeance totale aux États-Unis d’Amérique, et par notre loyauté envers notre pays, nous redécouvrirons notre loyauté les uns envers les autres.
Quand vous ouvrez votre cœur au patriotisme, il n’y a pas de place pour les préjugés. (Applaudissements)
La Bible nous dit «comme c’est bon et agréable de voir les peuples de Dieu vivre ensemble dans l’unité».
Nous devons parler franchement, discuter de nos désaccords honnêtement, mais toujours rechercher la solidarité.
Lorsque l’Amérique est unie, rien ne peut l’arrêter. (Applaudissements)
Il n’y a pas de raison d’avoir peur. Nous sommes protégés, et nous le serons toujours.
Nous serons protégés par les hommes et femmes remarquables de nos forces armées et de la police, et le plus important, nous sommes protégés par Dieu. (Applaudissements)
Enfin, nous devons penser grand et rêver plus grand encore.
Nous n’accepterons plus les politiciens qui parlent et ne font rien, qui se plaignent tout le temps mais qui ne font jamais rien pour changer les choses.
En Amérique, nous comprenons qu’une nation ne peut vivre que tant qu’elle en fait l’effort.
Nous n’accepterons plus les politiciens qui parlent et ne font rien, qui se plaignent tout le temps mais qui ne font jamais rien pour changer les choses. (Applaudissements)
Le temps des paroles creuses est fini. Maintenant, c’est l’heure du passage à l’action. (Applaudissements)
Ne laissez personne vous dire qu’on ne peut pas y arriver. Aucun défi n’est trop grand face au cœur à l’ardeur et l’esprit de l’Amérique.
Nous n’échouerons pas. Notre pays va réussir et prospérer de nouveau.
Nous sommes à l’aube d’un nouveau millénaire, prêts à percer les mystères de l’espace, à libérer la terre des misères des maladies, et à exploiter les énergies, les industries et les technologies de demain. Une nouvelle fierté nationale va animer nos âmes, élever notre regard et panser nos divisions.
Le moment est venu de nous rappeler les sages paroles que nos soldats n’oublieront jamais : que nous soyons noir, métis ou blanc, nous avons tous dans nos veines le même sang rouge des patriotes. (Applaudissements)
Nous jouissons tous des mêmes belles libertés, et nous saluons tous le même beau drapeau américain (Applaudissements)
Qu’un enfant naisse dans la ville tentaculaire de Detroit ou les plaines du Nebraska balayées par le vent, il voit le même ciel nocturne, son cœur est empli des mêmes rêves, et son souffle de vie lui a été donné par le même Créateur tout-puissant. (Applaudissements)
À tous les Américains, dans toutes les villes, proches et éloignées, petites ou grandes, d’une montagne à l’autre, d’un océan à l’autre, écoutez ces paroles :
Vous ne serez plus ignorés. (Applaudissements)
Vos voix, vos espoirs et vos rêves définiront le destin de l’Amérique. Votre courage, votre bonté et votre amour nous guideront toujours tout au long de ce chemin.
Ensemble, nous rendrons à l’Amérique sa force.
Nous rendrons à l’Amérique sa richesse.
Nous rendrons à l’Amérique sa fierté.
Nous rendrons à l’Amérique sa sécurité.
Et oui, ensemble, nous rendrons à l’Amérique sa grandeur.
Merci. Que Dieu vous bénisse. Et que Dieu bénisse l’Amérique. (Applaudissements)
DONALD J. TRUMP
45ème Président des États-Unis d'Amérique
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Mes amis proches me savent volontiers un brin provocateur. Le titre de cet article en est une illustration. Pas méchante au demeurant, mais le mot était si facile…
J’ai twitté immédiatement après la prestation de Serment du nouveau Président des États-Unis « HAIL PRESIDENT TRUMP! MAKE THE WORLD GREAT AGAIN » (Vive le Président Trump ! Rendez au Monde sa grandeur).
Donald Trump est un homme surprenant. Froid et cassant businessman pour ceux qui s’arrêtent aux apparences, c’est en réalité un homme sensible bien au-delà de ce que le grand public peut imaginer. Tenez ! Manipulées par CNN (la ῝Clinton National Network῞) 300.000 femmes – dit-on – ont manifesté leur opposition au nouveau Président cet après-midi non loin du Capitole, l’accusant de « machisme » (mot inventé par les « féministes » qui n’ont rien à envier aux hommes qu’elles désignent de leur vindicte). Vous m’excuserez, mais je suis un peu simple d’esprit et peu intelligent : je fais encore la différence entre un homme et une femme… Oui c’est bête mais je ne me soigne pas.
M. Trump s’est marié trois fois. En 1977 avec Ivana Zelníčková avec qui il eut trois enfants (Donald Jr., Ivanka et Eric), dont il a divorcé en 1992 ; en 1993 avec Marla Maples dont il eut une fille (Tiffany), dont il a divorcé en 1999 ; en 2005 avec Melania Knauss dont il eut un fils (Barron), l’actuelle Première Dame des États-Unis d’Amérique.
Au cours de ces trois mariages (les lecteurs de la presse dite « people » le vérifieront aisément) il s’est toujours comporté en parfait gentilhomme avec ses épouses successives. Les témoins l’attestent : toujours Donald Trump s’est montré dans les cérémonies publiques et manifestations privées en tenant son épouse (du moment) par la main, faisant montre d’un comportement toujours… amoureux et sincère, jamais démenti. Ses proches le confirment. Aucun de ses deux divorces n’a été prononcé à son tort (je n’entrerai pas dans les détails qui ne regardent personne). Pour autant, les sommes qu’il a allouées sans se faire prier à Ivana et à Marla feraient rêver n’importe qui. Il en a les moyens ? – Oui. – Y était-il contraint pour autant ?
Alors quoi ? Quelques émasculés lui reprochent des propos grivois sur les nanas ? Qui n’en n’a jamais eu ? Sans jamais prendre les femmes pour « de la marchandise » comme je l’ai parfois entendu, M. Trump est un homme au sens biologique du terme.
Il n’en n’est pas moins un Homme au sens noble du mot.
Les médias du Système (ceux que j’appelle « La Voix du Minotaure ») n’ont pas encore digéré la Présidentielle américaine et se donnent encore à cœur joie – souvent sur l’ordre des dirigeants d’un Mondialisme branlant – pour relayer les manifestations hostiles, tempérant cependant aujourd’hui (de plus en plus) leurs commentaires de réserves quant au bien-fondé des énervé(e)s de la rue. Petit-à-petit, les rats quittent le navire.
Les mots que Donald Trump a prononcés lors de son discours inaugural de Président de la Première Puissance du Monde auront sans doute ébranlé les “certitudes” suggérées à certains. Que va-t-on lui reprocher ? – De vouloir protéger le Peuple qui l’a porté au pouvoir ? – De focaliser son programme présidentiel sur le soutient à ses compatriotes et « rendre le pouvoir au Peuple » ? Que les politicards de nos « démocraçouilles sans c. » (ça rime à la lecture !) se remettent de leurs émois tremblotants et, pour une fois, apprennent à travailler. En France, ça n’est certainement pas à l’ÉNA qu’on leur a enseigné comment gagner sa vie à la sueur de son front.
Comment celui qui est incapable de se protéger lui-même pourra-t-il assurer la sécurité de sa Famille et a fortiori de ses amis et voisins ?
Oh bien sûr va-t-on l’accuser de « protectionnisme », mot qui dans la bouche de la Grande Finance Internationale sonne le glas des fantasmes du Gouvernement Mondial de la Banque et des oligarques ! De ce Système mis en place sournoisement par une caste de vampires qui, depuis la Royauté même, a miné peu à peu l’Ordre Naturel par d’adroits artifices, mêlant leurs sourires mielleux à des pleurs hypocrites. À Constitution Avenue (siège de la Réserve Fédérale à Washington) la Bannière étoilée était en berne.
Eh bien, ce « protectionnisme » dont en France se réclame le Front National et peut-être peu-à-peu d’autres candidats à la Présidentielle française, n’est autre que le RETOUR À NOS VALEURS FONDAMENTALES.
- Laissez ouverte votre porte. Vous serez victimes de cambrioleurs et votre assureur excipera de votre inconscience pour ne pas vous indemniser. Et il aura raison !
- Distribuez l’argent que vous avez gagné aux premiers-venus et laissez vos enfants mourir de faim : on vous traitera de dément. Et on aura raison !
- Plaignez les malfaiteurs et déboutez les victimes. L’establishment bien-pensant vous congratulera. Et il aura raison ! – Vous serez devenu le zombi d’un Système qui se nourrit de la sueur de votre front et vous rejettera comme du déchet après avoir consommé votre énergie.
JE SUIS POPULISTE. VOILÀ MA FIERTÉ !
Que Dieu prenne Monsieur Donald Trump sous Sa Protection et lui accorde longue vie pour le bien de l’Humanité, si durement menacée.
Luc Sommeyre
Twitter :@l_sommeyre
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SOURCE : Publié le 21 janvier 2017 - par Josiane Filio
C’est plus fort que tout ; ils n’arrivent pas à s’y faire et ont vraiment du mal à digérer l’élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis d’Amérique !
« Ils », ce sont les membres de l’auto proclamé « camp du bien », n’hésitant pas à maquiller le succès de la cérémonie de son investiture, en échec qui aurait fait rigoler la terre entière, grossissant les manifestations hostiles de quelques centaines d’intolérants à leur image, pour mieux masquer l’immense satisfaction des représentants bien plus nombreux du peuple américain, et ce malgré toutes leurs manipulations qui se sont révélées inutiles !
Défenseurs en France du plus ridicule ersatz de président qu’il nous fut donné d’avoir, ils se gaussent d’un homme ne présentant pas les critères de beauté en usage dans leur monde ; pourtant il me semblait bien qu’il était défendu de se moquer du physique d’une personne, sous peine d’avoir de gros ennuis avec la « justice ». Mais j’ai du mal comprendre, ou alors cette règle, comme beaucoup d’autres, n’est imputable qu’au citoyen lambda … membre du camp du mal, celui des patriotes ?
Allez savoir avec cette engeance !
En tout cas la machine à enfumer les citoyens marche à fond et ne va pas tarder à « péter une durite » s’ils continuent à cette cadence, totalement inconscients du ridicule offert par la bien-pensance aux sans-dents français qui se réjouissent.
Tenez, par exemple la chaine BFMTV qui n’a pas hésité à virer de son plateauEvelyne Joslain, spécialiste des États-Unis et pro-Trump, qu’ils avaient invitée pour leur édition spéciale consacrée à la cérémonie d’investiture … mais qui n’a pas tenu les propos « politiquement corrects » attendus !
Il est vrai que déclarer, en direct, « Je pense que Barack Obama était plus musulman dans son cœur que chrétien. Il n’a pas voulu prononcer le terme d’islamisme radical, ça lui écorchait les lèvres. Je pense que dans son cœur, il est musulman, mais on en a terminé avec lui, Dieu merci », doit être parfaitement intolérable aux oreilles des pisse-froid de la presse vendue aux pouvoirs, peu habituée aux contradictions puisque s’arrangeant toujours pour débattre « entre soi », permettant ainsi d’offrir une « vitrine » bien lisse et formatée selon la règle.
Madame Joslain, qui en sait bien plus long sur les Etats-Unis que les marionnettes de la chaîne, a certainement cru que cette invitation étant une preuve de leur ouverture aux autres, notamment aux contradicteurs (manœuvre grossière pour entuber une nouvelle fois les téléspectateurs) y est allée de bon cœur, aggravant son cas en ajoutant plus tard : « Barack Obama, franchement il fait partie des gens qui détestent l’Amérique. Il a servi son idéologie mais pas l’Amérique ».
La boulette !
Oser délaisser la langue de bois obligatoire sur cette chaîne, est carrément suicidaire ; c’est d’ailleurs ce qui est arrivé puisque le directeur général (un certain Hervé Béroud) a exprimé sa grosse colère par ces mots : « ce sont des propos scandaleux, inacceptables sur notre antenne, nous les condamnons fermement » … précisant tout de même que le but du jeu en invitant cette intervenante, c’était d’avoir sur le plateau « une sensibilité pro-Trump » ! Vous voyez le topo ?
Manque de bol, « ils » n’avaient pas pensé un instant que l’intéressée se laisserait aller ainsi avec autant de morgue en attaquant le si formidable ex-président … qui a pourtant donné ces jours derniers, au monde entier, toute la mesure de sa rouerie et de sa dangerosité !
Comme Madame Joslain je suis heureuse qu’enfin « on en ait terminé avec lui ! ».
A signaler qu’Evelyne Joslain avait déjà provoqué le courroux des bisounours en Août 2016, en déclarant sur Europe 1 que Hillary Clinton était une femme corrompue.
Chez d’autres roquets aux basques du pouvoir, il y a aussi ceux qui se sont gaussés de l’épisode du cadeau de la belle Mélania Trump à Michelle Obama (qui elle aussi m’a bien déçue, alors que j’avais tant admiré son refus de porter le voile en visite en pays musulman), prouvant une nouvelle fois leur profond mépris pour qui n’est pas de leur caste.
https://www.youtube.com/watch?v=w8of8Ay35TA
Sur cette vidéo on constate qu’effectivement Michelle Obama ne sait trop quoi faire de ce cadeau puisque naturellement elle ne sait où le poser, mais les commentaires ajoutés sur celle figurant dans l’article du Huffingtonpost (lien ci-dessous) sont du plus mauvais goût.
Mais ils peuvent bien tempêter, jurer, mentir encore et encore, tous ces minus qui ne lui arrivent pas à la cheville question courage ; le principal intéressé, grand bosseur devant l’éternel (4 heures de sommeil par nuit lui suffiraient), s’en fout comme de sa première chemise, et s’est déjà mis au boulot, notamment en signant dès vendredi, un premier décret concernant le système de santé américain, qui vise à entamer le démantèlement de l’ « Obamacare », une des réformes emblématiques du mandat de Barack Obama ; qualifiée par le nouveau président de « désastre complet » qui devrait être remplacé par « un système de santé bien moins cher et bien meilleur »… ce que ne disent pas ceux qui crient « au charron » devant cette décision.
Et ce n’est que le commencement !
Comparé à notre mollusque qui n’en branle pas une (si j’ose dire, oups !) hormis se pavaner aux quatre coins de la planète, à nos frais, cela laisse rêveur !
En revanche, du côté de ses fans, m’est avis qu’on n’a pas fini de sangloter dans les « chaumières » des beaux quartiers bobos ! Et rien que cela me donne un immense espoir pour l’avenir du monde entier, et bien évidemment de la France.
Josiane Filio
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IN ENGLISH
Formidable speech by Trump: power will be restored to the people!
Published on 20 January 2017 - by Jacques Guillemain
After the snickering of the beginning of the American presidential campaign, the time has come for the Democrats to swallow their hats.
Donald Trump took the oath that day, on the steps of the Capitol in Washington, swearing on the Bible that he will protect and defend the United States. He is therefore the 45th president, not displeasing to the American elites who swore by Hillary Clinton.
For the millionaire has in vain crystallized all the resentments of the establishment, which has been sharply disavowed by the people, it will have full powers, with the Congress and the Supreme Court acquired from the Republicans.
The decrees are already ready. Trump will not stay swinging arms ...
All this is of course unbearable for a ruling caste that hates the populism of Trump and intends to retain its privileges despite the verdict of the ballot boxes. The Democratic camp refused defeat and stirred the embers of the popular uprising.
Everywhere, it is the contesting of the ballot, the freedom and the electoral law.
False Democrats everywhere demonstrate against democracy.
The biggest democracy in the world refuses the choice of the people and stirs up anti-Trump hatred.
In New York, celebrity au gratin is demonstrating with thousands of opponents of the billionaire. Never seen.
"Whatever happens, we Americans, we New Yorkers, we patriots, will remain united for our rights and for the rights of our fellow citizens," said Robert de Niro.
But what rights is he talking about since he is challenging the simple voting rights of Trump's voters? What patriotism does he speak of since Trump wants to pursue a policy for the sole benefit of the American people? It's delirium.
"Are we going to have 100 days of resistance? Great! "Said Alec Baldwin.
"Donald Trump has no mandate." "It will not last four years," says Michael Moore, on the pretext that Hillary has garnered more votes than Trump.
As for the demonstrators, their placards are the pinnacle of the caricature:
"We are here because we feel that we will lose all the achievements of the last 50 years: civil rights, freedom of expression, right to health, women's rights, gay rights, and Pass, "one participant said.
And the mayor of New York is no exception. He warned Trump that he would oppose the evictions of millions of immigrants. It was the failure of Obama and his disastrous migratory policy that brought Trump to power.
It is true that 80% of New Yorkers voted for Hillary. We understand that they are embittered!
Then everything is good to make Trump a diabolical being, a mixture of Hitler and Genghis-Khan, capable of destroying everything in his path.
We swim in full collective hysteria. It's no-limit in the grotesque.
In his notebook, Ivan Rioufol depicts the ridiculousness of the situation.
The well-thinking press clearly shows its repulsion for the winner of the elections, which won against the will of the elites.
The artists glory at not singing for Donald Trump.
Fashion designers claim that they will not wear the First Lady, the superb Melania. Difficult to make more ridiculous.
You really have to be badly wired not to fall under the spell of Melania!
She has a class that does honor to America.
Painters ask Ivanka, the daughter of Trump, to get their works from her apartment !!!!
They even circulate the rumor that Hillary would seek the City Hall of New York to take the lead of the opposition to Donald Trump.
And it is these arrogant and contemptuous elites who would like to win the elections and lead the world! Hallucinating.
All these lesson donors, these bogus democrats, display the same tolerance as a dictator.
This irresponsible attitude encourages the hustle and bustle of the streets of Washington. Rather unexpected in America.
It is therefore not surprising that the election of Trump frightens the Europeans.
What they fear above all is that Trump succeeds and reveals himself as the greatest president of the United States since Ronald Reagan.
What they fear is that England will become the first power in Europe after the Brexit.
What they fear is that Marine will be elected in 2017 and leave France out of the doldrums.
For these self-proclaimed elites have been mistaken about everything.
They promised us the cataclysm on the stock market. Markets are at their highest.
They promised us a technical recession. It did not happen.
The great fear of our elites is that the peoples, everywhere in Europe, take control and decide their own destiny.
But all this will be swept away by Donald Trump, who has been unjustly caricatured but who will be a great president.
It is said to be unpredictable. He will astonish the world and be re-elected, let's make the bet.
It is therefore a very offensive speech that he pronounced after his investiture:
"A small minority has profited on the back of the people. But from that moment, power will be restored to the people. "Everything will change.
"This is YOUR day, America is YOUR country."
"It is an oath of allegiance to the American people that I do."
"The factories closed, the factories relocated, the middle class rolled, all this is finished".
"It is a unique historical movement in the world. The people will no longer be forgotten. "
"America first" "Buy American, hire American"
"All our decisions will benefit the American people."
"I will never let you down".
"We will fight terrorism and Islamism with our allies"
"Do not be afraid, God protects America"
"It's time for action. Everything is possible".
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Les photos des Agences de presse américaine sur la cérémonie d'investiture au Capitole à Wahington du 45ème nouveau Président des Etats-Unis Donald J. TRUMP
MERCI ENCORE A TOUTES LES AGENCES DE PRESSE AMERICAINE D'AVOIR MIS EN LIGNE SUR INTERNET TOUTES CES PHOTOS SOUVENIR D'UNE JOURNEE QUI RESTERA HISTORIQUE POUR L'ELECTION DU 45ème PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS DONALD J. TRUMP
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Le président américain, qui a prêté serment hier, a aussitôt fait de démettre de leurs fonctions les ambassadeurs américains en poste à l’étranger sans pour autant nommer pour chacun d’entre eux un remplaçant.
Selon le journal The Independent, il s’agit de 80 ambassadeurs et représentants américains à travers le monde.
Cette mesure prise par Donald Trump inquiète beaucoup les Américains. Les analystes politiques ont expliqué que les États-Unis pourraient être dépourvus de représentation diplomatique pour plusieurs mois dans un grand nombre de pays, ce qui engendrerait donc un arrêt des relations diplomatiques directes des États-Unis.
Les pays concernés sont notamment l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Canada, la Chine, l’Inde, le Japon et l’Arabie Saoudite.
La nomination d’un nouvel ambassadeur américain requiert un long processus au sein du Congrès.
Il est utile de préciser que quelques ambassadeurs ont d’ores et déjà été désignés à l’instar de Nikki Haley, gouverneur de la Caroline du Sud, qui a été nommée ambassadrice des États-Unis à l’ONU en remplacement de Samantha Power.
L’abrogation de l’Obamacare
La toute première mesure de Trump en tant que président des États-Unis a été l’abrogation de l’Obamacare, la loi sur le système d’assurance-maladie. En effet, il n’a pas tardé pour signer un décret contre cette loi adoptée par Barack Obama et qui, selon Trump, ruinait la classe moyenne américaine.
Le décret prévoit une mesure transitoire : les agences fédérales prendront des mesures pour « soulager le poids » de la loi en attendant son abrogation et son remplacement. Le processus d’abrogation va être lui aussi relativement long, avec un vote au Congrès qui est néanmoins à majorité républicaine.
Par ailleurs, un communiqué a été publié sur le site de la Maison-Blanche dans lequel il est dit : « Le président des États-Unis s’engage à supprimer toutes les politiques non indispensables et néfastes telles que le plan sur le climat. La levée de ces mesures restrictives sera d’une aide considérable pour les travailleurs américains et fera en sorte que leur salaire augmente de plus de 30 milliards de dollars dans les 7 prochaines années. »
source: http://www.presstv.ir/DetailFr/2017/01/21/507187/Amrique–1res-mesures-adoptes-par-Trump
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image: http://reseauinternational.net/wp-content/uploads/2017/01/donald-trump-revolution-1728x800_c.jpg
J’ai lu et relu le discours de Donald Trump à son peuple au moment d’assumer la présidence des États-Unis d’Amérique. Un discours que bien des chefs d’État des pays émergents en Amérique latine et ailleurs dans le monde pourraient faire leur sur de nombreux points.
Le diagnostic, trop sombre pour certains, qu’il fait sur l’état de la Nation met en évidence les faiblesses d’un système qui a servi les intérêts d’une certaine élite, mais qui a laissé dépérir les conditions des travailleurs et du peuple.
« Pendant des décennies, nous avons enrichi l’industrie étrangère aux dépens de l’industrie américaine; subventionné les armées d’autres pays tout en permettant le très triste appauvrissement de notre armée; nous avons défendu les frontières d’une autre nation tout en refusant de défendre les nôtres; et dépensé des milliards de milliards de dollars à l’étranger pendant que les infrastructures de l’Amérique se sont délabrées et abîmées. »
C’est le genre de diagnostic que font bien des pays du Tiers-monde qui ont souffert de la colonisation de pays puissants venus s’enrichir au dépens des populations et avec la complicité d’une certaine élite nationale corrompue et de politiciens soumis.
Que l’on pense à Fidel Castro qui s’est porté au secours de son peuple, soumis à la dictature de Batista et aux multinationales qui en ratissaient les richesses. Que l’on pense au Chili d’Allende soucieux de redonner à son peuple son indépendance et les richesses de son pays pour vaincre la pauvreté, assurer des écoles gratuites, des services de santé et redonner espoir et confiance à tous et à toutes. C’est également le cas de la Bolivie d’Évo Morales, de l’Équateur de Rafael Correa, du Venezuela d’Hugo Chavez et de Maduro. Tous veulent redonner le pouvoir à leur peuple et lui assurer la priorité sur ses propres richesses, son indépendance, l’accès à l’éducation, à la santé et à un niveau de vie respectueux de la personne humaine.
N’en va-t-il pas de même avec Donald Trump ?
« Les Américains veulent de bonnes écoles pour leurs enfants, des quartiers sûrs pour leurs familles et de bons emplois pour eux-mêmes.
Ce sont des revendications légitimes et raisonnables pour un public juste. »
Comment ne pas partager ce point de vue et vouloir qu’il en soit ainsi pour tous les peuples de la terre?
Ces objectifs comportent toutefois des mesures concrètes qui ne seront pas sans affecter ceux et celles qui s’accommodaient bien du système existant.
« Chaque décision sur le commerce, les impôts, l’immigration, les affaires étrangères sera prise au bénéfice des familles et des travailleurs américains.
Nous devons protéger nos frontières des ravages des autres pays fabriquant nos produits, spoliant nos entreprises et détruisant nos emplois. La protection conduira à une grande force et prospérité. »
Ces mesures ne sont pas sans nous rappeler celles prises par plusieurs pays émergents dans le monde. De nombreuses nationalisations se sont avérées nécessaires pour que les pays concernés puissent retrouver leur plein pouvoir sur leurs richesses. Il y eut également l’expulsion de diplomates, d’organisations humanitaires aux objectifs malveillants. Des mesures que les grandes puissances qui en bénéficiaient n’apprécièrent guère.
Un des points, sans doute le plus important sur le plan des relations internationales, est celui de reconnaître que chaque peuple dispose de ces mêmes droits et qu’il n’est pas dans sa politique d’intervenir par la force ou les menaces dans les affaires internes des autres peuples.
« Nous rechercherons l’amitié et la bonne volonté des autres nations du monde, mais nous le ferons avec l’idée que c’est le droit de tout pays de mettre ses propres intérêts en avant.
Nous ne cherchons pas à imposer notre mode de vie, mais plutôt à le rendre éclatant comme un exemple à suivre. »
Si Donald Trump donne suite à cette promesse, bien des peuples, victimes de l’interventionnisme étasunien, lui en seront grandement reconnaissants. Il en va de même pour ces centaines de bases militaires qui s’imposent à de nombreux peuples à travers le monde. Le rapatriement de ces bases militaires lui permettra de faire de grandes économies pour son peuple tout en redonnant aux nations concernées leur indépendance.
La vision que nous livre Donald Trump le rapproche davantage d’un monde multipolaire que d’un monde unipolaire. À ce titre, il se montre ouvert au respect de chaque peuple au droit de chacun de travailler en priorité pour ses propres intérêts. Dans une telle optique, le monde des échanges se convertira en gagnant-gagnant, chacun y trouvant ses propres intérêts. Un principe avancé par le Président chinois au sommet tout récent de Davos.
L’avenir nous dira si les paroles de Donald Trump seront suivies d’actions concrètes et cohérentes avec ces dernières. La non-intervention dans les affaires internes des autres pays fait partie de celles-là. À y donner suite, les relations internationales entre les peuples en seront profondément modifiées pour le mieux-être de ces peuples.
Ses rencontres à venir avec Vladimir Poutine et le Président chinois nous donneront une première idée jusqu’où il est prêt à aller dans cette révolution.
Oscar Fortin
source: http://humanisme.blogspot.com
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