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23 janvier 2017

ENFIN MERCI MON DIEU BARACK HUSSEIN OBAMA N'EST PLUS PRÉSIDENT DES ETATS-UNIS D' AMÉRIQUE DEPUIS LE 20 JANVIER 2017 !

J’ai savouré ce moment :
Hussein Obama
n’est plus président des USA !

 

SOURCE : Publié le 22 janvier 2017 - par  

Quel soulagement ! Quelle inestimable quiétude m’envahit !

Pendant huit longues années, cet homme politique de gauche a semé le désespoir en Occident.  Il a favorisé le développement des pays du tiers-monde, sans s’inquiéter de la paupérisation des peuples des pays développés, privés d’emplois et accablés d’impôts. Il savait, pourtant, que ces aides n’allaient enrichir que les magnats de ces pays aux régimes dictatoriaux.

Il a encouragé les populations africaines à envahir l’Occident et principalement l’Europe dont il a changé la physionomie en quelques années.

Et il a entretenu la terreur. En soutenant, en armant, en formant les terroristes qui tuent, d’abord, leurs frères en religion dans les pays musulmans où la démocratie tendait à l’emporter sur la sharia.

En aidant l’Iran à continuer sa course dans l’armement nucléaire. En se pliant et soutenant les monarchies sunnites des pays du golfe qui ont déclaré la guerre à toutes les républiques islamiques des Proche et Moyen orient.

En tolérant ou en fomentant la déstabilisation de ces pays musulmans jusqu’au Nord de l’Afrique. En créant des alliances contre nature avec ces dirigeants musulmans qui ne tolèrent pas la démocratie et encore moins le réveil des peuples.

Pire. Nous restera en mémoire, sa prosternation devant le roi d’Arabie Séoudite. Et sa génuflexion, très visible sur cette photo, n’autorise pas le moindre doute. Non, il ne s’est pas « penché » comme ont voulu le faire croire tous ces media de gauche, ravis de photographier le président de la plus grande puissance mondiale prêter allégeance au représentant du wahhabisme, fut-il « roi ».

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Oui, il a été le premier chef d’État, musulman de cœur sinon musulman tout court, qui s’est efforcé pendant les huit années de son mandat à islamiser l’Occident.

Et ses actions contre Israël, notamment, seul pays occidental à ne pas lui avoir cédé, ont permis à ses protégés terroristes de multiplier les attentats contre les Juifs au prétexte qu’ils défavorisaient les Arabes de Palestine.

Je vous rassure. Si cet homme a – presque – réussi à renverser nos démocraties, c’est parce que des chefs d’État comme Hollande et Sarkozy avant lui, lui ont donné un sacré coup de main. Et tout ce dont on accuse aujourd’hui Obama est valable pour les deux présidents qui ont gouverné, par procuration, notre pays.

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Mais nous sommes bien décidés à ne plus les laisser nuire à nos pays. Obama n’est plus, Sarkozy non plus. Hollande n’en a plus que pour quelques jours. Toute la doxa gauchiste pro-islamique ne sera plus qu’un mauvais souvenir bientôt.

Et pour cause.

Donald Trump, vient d’arriver au Capitole, il est 11h30, en Amérique. Le poing levé, il est applaudi à tout rompre par la foule en liesse qui s’approprie ce signe de la Victoire.

Et je me prends à regarder le Capitole que j’aime à nouveau revoir. J’aime à nouveau entendre l’hymne américain. J’aime à nouveau l’Amérique et les Américains. Ceux qui l’ont élu. Pas les autres.

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Je regarde les mines défaites des mères Clinton et Obama. L’une hochant la tête comme ces animaux-gadgets qu’on mettait sur la plage arrière des voitures. Dans les moments de stress son Parkinson devient de plus en plus évident mais elle l’a tellement mauvaise, Clinton, qu’elle n’arrive même pas à donner le change. La mère Michelle, elle, a perdu de sa superbe. Elle est habillée comme pour aller à  la cueillette des champignons. Coiffée à la One-Again, elle tord le museau sans faire l’effort d’être reconnaissante aux Américains pour ces bons moments dont elle a profité pendant huit ans.

Mais… Mais ! Les commentateurs de BFM, ne peuvent pas s’empêcher de dénigrer la belle Mélania (de droite) en comparaison avec Michelle (de gauche).  « C’est une rupture » pas moins ! L’Amérique va en souffrir !

Comment cette simple mannequin pourrait-elle être l’égale de l’intellectuelle juriste dont l’éducation des enfants est la priorité ?

Autrement dit, c’est la mère-honorable contre la mère-pute ?

Ces journaleux français, sans parti-pris (!) sont toujours aussi médisants. Quand je pense qu’ils critiquent la Pravda !

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Une demi-heure plus tard, Monsieur Donald Trump, devient le 45ème président des États Unis d’Amérique. Il a prêté serment sur la Bible. Mais lui, au moins a été honnête, on ne peut pas en dire autant du président sortant qui, par deux fois, s’est parjuré. Sale apostat !

Quand je l’entends dire au peuple américain, qu’il lui confie le pouvoir, je dis qu’enfin l’Amérique a retrouvé ses valeurs. La démocratie est un régime politique dans lequel le peuple dispose du pouvoir. Il y a longtemps que nos « régimes » politiques nous l’ont confisqué, ce pouvoir. Et ils se permettent de crier au loup parce qu’on souhaite voir Marine élue présidente. C’est sûr, elle fera mieux qu’eux. Et ils le savent.

Et lorsqu’il affirme que la richesse de la classe moyenne américaine lui a été volée pour la redistribuer aux autres pays, je ne peux m’empêcher de penser à nous, peuple de France. Parce que c’est la vérité. Et nous avons souffert et nous souffrons de ce même vol à cause de notre président qui a obéi à l’autre gauchiste sortant.

Déshabiller Paul ou John pour habiller Mohamed ou Hussein, est ce qu’ils ont fait de mieux pendant leur mandat. Nous les Français, on est resté à poil. Je ne sais pas pour les Américains mais pour nous, je sais et vous aussi.

A la fin de son discours, la foule entonne l’hymne américain. Obama serre les dents. On dirait que je vois certains joueurs de l’équipe de France de football. Il n’a pas décoincé les mâchoires.

Et alors… Et alors… Zorro-Hollande, le scootériste de l’Élysée, y va de son grain de sel superfétatoire, comme d’habitude :

«  François Hollande dénonce le protectionnisme prôné par celui qui prête serment ».

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Ce n’est pas moi qui le dis, c’est BFM qui l’annonce en encart « urgent » sur l’écran télé.

Mais, il se fout du monde, ce pecnot. Lui, il a prôné quoi, pendant toute sa campagne ? Qu’il allait réduire le chômage. C’est-y pas pareil ? Ha oui, la différence c’est que, en campagne, on a le droit de dire n’importe quoi mais une fois élu, il ne faut pas dire qu’on a menti. C’est sûrement ça, qu’il a voulu dire.

Ces politiques de gauche sont des teigneux. Et les journaleux idem. Vous avez vu comme ils se sont appesantis sur les casseurs-de-biens-d’autrui, dans les rues de Washington ?

Il fallait bien sûr, appuyer sur « l’impopularité » de D. Trump. Quand ce sont les mêmes qui cassent en France, ils se taisent mais là, c’était trop beau. Ils en jouissaient. Alors ils ont repassé en boucle les mêmes images de vitrines cassées, de voiture brûlée, de drapeaux noirs (!) brandis en les appelant : les résistants !

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Nous, on connaît, c’est de la racaille mais, en Amérique, contre Trump, ça devient des "résistants".

A partir de maintenant, sachez que les 96 % de Français qui n’ont plus confiance en Hollande ni en son parti marionnette, sont désormais des résistants, qu’on se le dise.

En attendant que Marine Le PEN arrive, on va se marrer avec les résultats de leur simagrée de primaires. Ce soir, ils vont commencer la tambouille des mixages, alliances et autres sauces aigre-douces. C’est une cuisine hautement indigeste, surtout quand elle est de gauche. Heureusement ce n’est pas notre tasse de thé.

Danièle Lopez

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BARACK HUSSEIN OBAMA LE 1er PRÉSIDENT MUSULMAN DES ÉTATS-UNIS POUR LUI TOUT EST ENFIN FINI MERCI MON DIEU.

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SOURCE : PUBLIÉ PAR SIDNEY TOUATI LE 23 JANVIER 2017

Il est des moments dans l’histoire, rare il est vrai, où se produit une rencontre entre un peuple et un homme.

Pour les Etats-Unis, cette rencontre eut lieu avec l’élection de Franklin Delano Roosevelt en 1932 qui, fait exceptionnel, fut élu à quatre reprises.

Roosevelt parvint à briser le mur de l’immobilisme incarné par le président Hoover qui persistait dans ses errements en dépit de la grave crise de 1929. Mais Roosevelt ne put rien contre le pacifisme et le non-interventionnisme dominant et dut attendre le drame de Pearl Harbor pour entraîner les Etats-Unis dans la guerre.

Que de drames, que de morts auraient été épargnés si Roosevelt avait opposé la puissance de l’Amérique aux visées menaçantes et criminelles d’Adolphe Hitler !

Le Bilan de la présidence d’Obama est sans doute aussi catastrophique que le fut celui du Président Hoover. Même refus de prendre en compte les réalités ; même tendance à persister dans les errements du passé ; mêmes conséquences dramatiques de désordres et de guerres.

Nous avons comme des dizaines de millions de téléspectateurs, suivi la prestation de serment de Donald Trump. Nous avons tous été frappés par son caractère combatif, voire révolutionnaire.

Ceux pour qui le mensonge en politique est la règle ont été surpris de constater que le Président Trump conserve la même démarche que celle du candidat Trump. Quoi, s’étonnent-ils, il continue à tenir le même langage… il n’a pas changé ? C’est du jamais vu !

Le discours de Trump, ce vendredi 20 janvier 2017, restera aussi célèbre que celui que prononça Franklin Delano Roosevelt le 31 octobre 1936 au Madison square Garden.

La différence entre hier et aujourd’hui ? Les conservateurs, les adeptes de l’immobilisme, ont changé de camp.

Les réactionnaires conservateurs sont dans le camp des «démocrates» ou de celui autoproclamé des «progressistes». Toute réforme qui remettrait en cause leur domination sur la société et l’ordre mondial tel qu’ils les ont bâtis, les effraies. Ils trouvent positif le fait de fabriquer par millions des chômeurs, des assistés ; positif le fait de jeter sur les routes des millions de réfugiés ; ils trouvent positif, par ONG interposées, le système des camps dans lesquels sont parqués des millions d’errants ; ils trouvent positifs les mythes qui sont à la base de la violence terroriste islamique.

Ne protègent-ils pas le mensonge énorme de Jérusalem lieu saint de l’Islam, alors que Mahomet n’a jamais mis les pieds à Jérusalem, et que cette dernière n’est jamais citée dans le Coran ? Ils valident ainsi une terrible confusion entre conquête musulmane et sacralisation des lieux conquis, alimentant ainsi l’expansionnisme islamiste agressif.

Roosevelt était confronté à un défi aussi énorme que celui auquel Trump est aujourd’hui confronté. Ce dernier doit faire face au même mur du pacifisme et du non-interventionnisme.

Roosevelt devait sortir l’Amérique de l’impasse dans laquelle la politique de Hoover l’avait enfermée, tout comme Trump doit sortir l’Amérique (et à sa suite le monde entier), de la situation catastrophique dans laquelle hui années du système Obama l’ont plongée.

Quels sont les fondamentaux du projet de Trump ?

Les dirigeants de l’après-Deuxième Guerre mondiale estimaient que les Nations occidentales, surtout les nations européennes, étaient la cause de tous les maux, notamment des guerres. Ils ont donc opté pour un monde dominé par les «Empires» : empire soviétique ; empire européen… Le plus «jamais ça» suite aux horreurs de la Shoah a conduit ces dirigeants à prendre systématiquement le contre-pied des thèses nazies auxquelles ils s’opposent point par point : à la pureté de la race ils opposent son mélange…

A la base de ce processus idéologique, le rejet de «l’homme blanc» considéré comme étant la cause du malheur du monde.

L’homme blanc, l’Occidental, est a priori coupable de tous les maux dont souffre la planète. Pour se racheter, il est invité à disparaître.

«Vous avez beaucoup à pardonner à ces hommes blancs ; ce sont eux qui ont corrompu notre pauvre Terre… il n’y a qu’un seul homme qui soit seul, c’est l’Européen… il ne peut pas se reproduire à moins de se plonger dans le courant de l’humanité de couleur.» (Hermann Hesse, in «Europe*» Coll. Bouquins, pp. 586-587, éd. R. Laffont, 2000)

Cette construction délirante fondée sur un racisme à l’envers, sur la diabolisation de la civilisation occidentale, donc sur les valeurs issues de la Bible a engendré des violences endémiques ; a réactivé l’antisémitisme et produit d’invraisemblables inégalités.

C’est cet ordre injuste, violent, destructeur, qui menace à chaque moment d’exploser, que défendent les «démocrates» et autres «progressistes».

C’est cet ordre que Trump veut réformer tant qu’il est encore possible de le faire. Remettre l’Amérique en ordre de marche est son objectif majeur.

Comment espère-t-il y parvenir ?

  1. Restaurer la démocratie et pour cela, arracher le pouvoir des mains des castes et le remettre entre les mains du peuple.Là encore, Trump ne fait que reprendre la geste de son glorieux prédécesseur :

    «Aidez-moi, non pas à gagner l’élection pour moi seul, mais pour que je remporte la croisade pour restituer l’Amérique à son peuple.» (Roosevelt, disc. Cité)

    Trump:

    «La cérémonie d’aujourd’hui a toutefois un sens très particulier, car il ne s’agit pas seulement de transférer le pouvoir d’une administration à une autre ou d’un parti à un autre. Nous déplaçons le pouvoir de Washington pour vous le rendre à vous, le peuple des États-Unis.»

  2. Remettre l’individu au centre de la nation et la nation au cœur du système des échanges. Pour y parvenir, il faut redonner au travail toute sa valeur. Il faut sortir de la jungle de la mondialisation qui livre entreprises et travailleurs au bon vouloir de quelques seigneurs féodaux cyniques, ivres de leur toute-puissance ; il faut accorder à tout un chacun la protection que tous sont en droit d’attendre de la nation ; il faut sortir du système pervers de la «charité sociale» financé par des prélèvements ruineux sur les classes moyennes, système qui rabaisse celui qui reçoit, sans élever celui qui donne.Trump dit :

    «Le 20 janvier 2017 demeurera dans les mémoires comme le jour où le peuple aura repris le pouvoir dans le pays. Les hommes et les femmes laissés pour compte de ce pays ne seront plus oubliés. Tout le monde vous écoute désormais. Vous êtes venus par dizaines de millions pour vous joindre à un mouvement historique et inédit dans l’histoire du monde. Au centre de ce mouvement, il y a la conviction que la nation existe pour servir ses citoyens. Pour donner aux Américains ce dont ils ont besoin : d’excellentes écoles pour leurs enfants, la sécurité dans leurs quartiers pour leurs familles et de bons emplois pour tous. Ce sont là les aspirations raisonnables d’un peuple épris de justice.»

  3. Remettre le sacré au cœur de la société.Progressistes et démocrates d’aujourd’hui estiment, contrairement à ceux d’hier, que la liberté va de pair avec la désacralisation et le rejet de la religion. Cette négation du sacré conduit à créer une société déboussolée, qui ne croit plus en rien et qui ne trouve sens que dans le consumérisme. Une société ouverte aux quatre vents, sans défense, devenue la proie d’idéologies religieuses rétrogrades, principalement celles nées de l’Islam.

    La présence des représentants des Eglises et du judaïsme à la prestation de serment est l’expression de la volonté de Trump de réinjecter du sacré dans l’ordre social. De montrer qu’il en est en quelque sorte le ciment, la base.

    L’absence de représentant de l’Islam indique que cette religion véhicule, en l’état de ses doctrines et croyances, des valeurs antinomiques avec celles de la démocratie.

    Là encore, Trump ne fait que s’inscrire dans les pas de son glorieux prédécesseur.

    Roosevelt déclarait dans le discours précité :

    «Car c’est ma conviction profonde que la démocratie ne peut vivre sans une vraie religion qui donne à une Nation un sentiment de justice et de but moral. Au-dessus de nos instances politiques, au-dessus de nos places de marché se trouvent les autels de notre foi –autels où brûle le feu du dévouement qui maintient ce qui est le meilleur en nous et ce qui est le meilleur dans notre Nation.»

  4. Rétablir des relations internationales équilibrées. 

    Les échanges internationaux ne doivent plus reposer sur le processus sacrificiel des nations occidentales et en tout premier lieu, il s’agit de refuser d’avaliser l’idéologie délirante prônée par les défenseurs de l’Islam pur des origines.Lorsqu’il est élu en 1932, Roosevelt n’ose pas, hélas, affronter les thèses nazies et combattre ouvertement la montée de l’hitlérisme. Il cède aux sirènes mortelles du pacifisme et du non-interventionnisme en maintenant l’Amérique en dehors du conflit européen au grand désespoir de Winston Churchill.

Trump ne semble pas vouloir commettre l’erreur de son illustre prédécesseur. Il annonce d’entrée de jeu la couleur. Il dit :

«Nous allons renforcer nos anciennes alliances et en conclure d’autres afin d’unir le monde pour éradiquer le terrorisme de l’islam radical de la face de la Terre.»

Nous comprenons qu’il s’agit de combattre et d’écraser le terrorisme islamique par les armes, mais également par la lutte contre l’idéologie qui le sous-tend, à savoir les mythes mensongers, tel celui de Jérusalem comme lieu saint de l’Islam.

Ce délire sur Jérusalem culmine avec la récente résolution de l’UNESCO qui va jusqu’à déjudaïser la ville sainte.

Ces délires islamistes sont du même ordre que ceux d’Hitler sur les juifs ou sur la race supérieure que l’Europe et les Etats-Unis en leurs temps avaient très faiblement combattu.

Combattre la violence islamiste c’est combattre les mythes qui sont à sa source.

Voilà pourquoi Trump comprend qu’il est nécessaire de reconnaître Jérusalem comme capitale de l’Etat juif et d’y installer l’ambassade américaine.

Ce geste symbolique contribuera grandement à mettre un terme définitif à la violence islamiste fondée sur le mensonge et le mythe. Il permettra aux musulmans de bonne foi de renouer avec le réel et de sortir de la logique de guerre.

Trump donne aux Européens une leçon de courage et aux musulmans un message de lucidité, une invitation à sortir du piège des mensonges mythiques pour entrer dans l’histoire.

En présentant son programme, Trump soulève une tempête de haine dans le clan des nantis, des élites établies, certaines de leur bon droit, convaincues d’être les titulaires des pouvoirs.

Là encore, il aurait pu faire sienne la remarque de Roosevelt :

«Jamais dans toute notre histoire ces forces n’ont été aussi unies contre un candidat qu’elles ne le sont aujourd’hui. Elles sont unanimes dans leur haine pour moi –et leur haine me fait plaisir.»

Trump parviendra-t-il à réaliser son ambitieux programme ?

Comme j’avais écrit que son élection était une nécessité incontournable (j’étais bien seul à oser faire une telle prédiction, cf mon article paru sur Dreuz le 4 novembre 2016 : Pourquoi madame Clinton ne peut être élue), je dirai aujourd’hui que Trump n’a pas le choix.

Il lui est interdit d’échouer.

Car ne pas réaliser les réformes annoncées (par exemple ne pas installer l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem), conduirait le monde au chaos et donc à la guerre.

SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.

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Donald Trump, le cauchemar
de tous les mondialistes français

 

 

SOURCE Publié le 21 janvier 2017 - par  

A peine arrivé à la Maison Blanche, Trump est la cible de tous les coups bas du front de la sphère politiquement correcte. C’est la surenchère dans le catastrophisme. 

Président illégitime qui nous promet “ l’apocalypse”, Trump est présenté comme une calamité mondiale, capable du pire.

“Un criminel sans principes” qui finira par être destitué ! Du pur délire.

Même le très sérieux Figaro ose évoquer un “état de quasi-guerre civile” !

Là où de Villepin voyait de simples mouvements sociaux dans les graves émeutes de 2005, d’autres voient un climat de guerre civile pour 3 vitrines brisées à Washington ! On nage dans le burlesque.

L’objectivité de la presse, c’est comme la morale, à la gueule du client.

C’est dire combien les élites dirigeantes sont désarçonnées par le milliardaire, qui a su comprendre le désarroi des classes populaires, abandonnées par la caste au pouvoir, et qui a coiffé tout le monde sur le  poteau, malgré les mensonges éhontés de la presse et les coups bas en tout genre.

Ceux qui le croient stupide, ceux qui l’ont insulté, n’ont toujours pas compris ce qui leur arrive. Il est vrai que figés dans leurs certitudes, ils n’ont rien vu venir.

La presse bien-pensante en a fait un clown grotesque, alors que c’est un personnage rusé, qui se plaît à brouiller ses messages, mais qui dirigera avec le bon sens qui fait cruellement défaut  aux élites autoproclamées.

On ne devient pas milliardaire en étant un “gros con”, n’en déplaise au pitoyable Finkielkraut, qui ne sait même plus de quel bord il est, à force de retourner sa veste.

Les Européens, qui n’ont pas cessé de l’insulter et de le traîner dans la boue pendant toute la campagne, s’étonnent du mépris de Trump à leur égard.

Mais ce  n’est qu’un juste retour des choses.

Car nos dirigeants, qui ne jurent que par la mondialisation et l’immigration qui laminent les peuples et détruisent leur identité, n’auront pas affaire à un ingrat.

Trump saura renvoyer le boomerang. Il y en aura pour tout le monde…

Tout comme les élites de la côte Est, qui se prennent pour le nombril du monde. Ces élites cultivées, adeptes des bonnes manières et du savoir vivre européen, par opposition aux ploucs de la côte Ouest, avec leurs allures rustiques de cow-boys crottés.

Nul doute que Trump saura régler ses comptes.

Quand Trump dénonce l’impuissance de l’Europe, il a raison.

L’UE n’a pas d’armée, pas de diplomatie digne de ce nom.

Pourquoi l’Amérique devrait-elle supporter seule l’OTAN à bout de bras ?

Il est d’ailleurs amusant d’entendre Valls nous dire que la  défense c’est important, alors que la France refuse de porter le budget défense à 2% du PIB, comme le prévoit l’OTAN.

Est-il logique que la Pologne achète des chasseurs américains, avec les aides européennes ? Il est temps que l’Europe défende ses propres intérêts.

L’UE  est incapable de régler ses problèmes de terrorisme, d’insécurité, d’immigration. Incapable de régler la question ukrainienne.

Incapable de se mettre d’accord sur le dossier syrien.

Merkel est responsable du plus grand tsunami migratoire depuis les printemps arabes. “Une erreur catastrophique”, selon Trump.

Trump loue le Brexit et prédit d’autres sorties. Il a encore raison.

Pour Valls, c’est une déclaration de guerre à l’Europe. Trump veut la dislocation de l’UE ! Pourquoi pas ? L’Europe a échoué dans tous les domaines.

L’Europe à 28 pays , sans la moindre harmonisation fiscale ou sociale, n’a aucune chance de survivre.

Avec l’euro, que les Allemands ont voulu aussi fort que le mark, on voudrait chausser plusieurs pays avec la même pointure. Pure folie.

Une monnaie reflète la puissance économique d’un pays. Est-ce que la riche Allemagne a la même économie que la Grèce en faillite ?

Résultat, plus l’Allemagne s’enrichit, plus ses partenaires s’appauvrissent.

Le monde a peur car l’homme le plus puissant du monde serait imprévisible et insaisissable. En fait, la planète est comme le lapin pris dans les phares, tétanisée.

Ce qui est certain, c’est que Trump rend coup pour coup, comme on l’a vu au cours de la campagne. Œil pour œil….

A coups de tweets, il cogne et se venge de ses détracteurs. A coups de tweets, il impose sa vision des choses sans passer par les médias qui veulent sa perte.

Quand un élu démocrate juge le président “illégitime et élu avec l’appui de Moscou”, Trump répond aussitôt que l’intéressé ferait mieux de s’occuper de son district étranglé par le crime et la pauvreté !

Il y a fort à parier que ses adversaires se calmeront avant lui !

Trump va faire de la politique comme un boxeur bien décidé à gagner le match.

A chaque pays de défendre ses intérêts. Et que le meilleur gagne sur le ring planétaire.

C’est bien pourquoi l’Europe désordonnée et ingouvernable est mal partie.

Quant à la presse, qui devrait se cantonner dans son rôle d’information en toute indépendance, elle a fait le choix de promouvoir sans cesse le politiquement correct au seul profit des élites, contre les peuples.

Avec Trump, elle va perdre.

En conclusion, citons Henry Kissinger, ancien conseiller à la sécurité nationale de Nixon : “Trump est un phénomène que les pays étrangers n’ont pas encore vu, une expérience choquante. Mais vu le vide partiel d’aujourd’hui et les nouvelles questions qu’il est capable de poser, cela pourrait créer quelque chose de remarquable”.

En attendant, laissons donc  Trump secouer le cocotier. Après des décennies de dictature du politiquement correct, le monde en a bien besoin !

Jacques Guillemain

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Publié par Gilles William Goldnadel le 23 janvier 2017


 
Alors que Trump connaît ses premiers jours comme président des Etats-Unis, Gilles-William Goldnadel regrette «la grande tradition géométrique et variable de la gauche morale» qui s’abat sur le locataire de la Maison-Blanche.

Cet article est écrit d’abord pour prendre date : avant d’avoir commis le moindre acte présidentiel condamnable, le 45e président des États-Unis d’Amérique aura été condamné à l’avance par ceux qui disent haïr les préjugés.

Quels que soient les succès et les échecs à venir, l’honnêteté commande d’acter que la planche du premier américain, traité comme le dernier, aura été savonnée comme jamais celle d’un président élu ne l’avait été, quand bien même aurait-il été minoritaire en voix, ce qui est loin d’être un précédent dans ce mode de scrutin.

Il ne s’agit pas seulement d’un procès d’intention à grand spectacle, mais plus profondément d’une contestation de la légitimité même du président élu. 

Et pas seulement aux États-Unis, ainsi, sur la radio de service public française, dès le vendredi matin, l’invitée de la matinale de France inter, Sylvie Laurent, historienne écrivant notamment dans Libération, questionnait à voix haute cette légitimité.

Pour expliquer l’absence de tout intellectuel à l’antenne favorable à Donald Trump, Patrick Cohen expliqua ingénument qu’il n’en connaissait pas…

Le ton avait été donné par la même station la semaine précédente, où la préposée à la revue de presse puisait dans un blog semi-confidentiel des éléments invérifiables qui laissaient à penser que le président élu était un fervent adepte de l’ondinisme. «L’humoriste» Sofia Aram ne resta pas évidemment longtemps en reste.

Les mêmes médias qui couvrent de fange la fâcheuse sphère et les fake nauséabonds d’Internet n’hésitaient pas à pratiquer la coprophagie médiatique, comme si, pour contester la légitimité du président impie, les pires moyens devenaient légitimes, dans la grande tradition géométrique et variable de la gauche morale.

Précisons d’abord les termes du débat : on peut, comme l’auteur de ces lignes, ne pas apprécier le style, les propos, la mentalité du président américain, qui se caractérisent, pour l’écrire simplement, par la vulgarité. Pour autant, il n’est pas interdit et il s’imposerait même d’éprouver un sentiment de révolte contre la contestation de nature fascisante du verdict des urnes et la forme de celle-ci, qui a l’apparence d’un début de guerre civile.

Cette guerre civile est déclarée entre le monde virtuel d’Hollywood et le monde réel des ouvriers et des classes moyennes qui ont remis le pouvoir à Donald Trump. Nul n’en connaît encore l’issue. Nul n’est capable de dire qui l’emportera entre les hérauts de la poésie politique et le nouvel héros du réalisme brut.

Mais à l’aube de cette guerre sans merci, l’honnêteté intellectuelle et morale commande d’écrire que ce sont les soi-disant antifascistes qui l’ont déclarée, et avec des méthodes fascisantes qui donnent la nausée.

C’est ainsi que Jennifer Holliday, chanteuse noire de renom, est venue expliquer à la télévision pour quelles raisons, après avoir accepté, elle avait finalement refusé de chanter pour l’investiture du président.

Elle avait pensé qu’il s’agirait d’un moment d’unité mais «n’avait pas réalisé que les gens n’avaient pas accepté le résultat de l’élection».

Le lendemain de l’annonce de son acceptation, Jennifer découvrait des milliers de tweets vengeurs la traitant de «traître à sa race», et de «négresse». «J’ai reçu des menaces de mort, des appels à me suicider, c’était horrible». Holliday a été triste de constater que beaucoup de ces messages venaient de sa communauté noire, notamment de l’organisation radicale Black Lives Matter, celle-là même avec laquelle le président Obama s’était rapproché dans les derniers moments de son mandat.

Dans les universités américaines aussi, la guerre civile est déclarée.

À Georgetown, la professeur April Sizemore-Barber a été jusqu’à accorder des bons points académiques aux élèves qui assistaient à une formation anti-Trump destinée «à semer les graines de la libération».

Une autre enseignante a harcelé sa consœur musulmane, Asra Nomani, qui avait avoué publiquement avoir voté Trump : «Je vous ai proscrit de la race humaine depuis que votre vote a aidé à normaliser les nazis».

Dans cette même veine anti-nazie, digne de la pensée d’un Peillon ou d’un Mélenchon, on manifeste dans les campus contre l’arrivée d’Hitler en Amérique. Dans son excellent article du Figaro daté du 20 janvier, Laure Mandeville décrit ces militants noirs du Parti Communiste révolutionnaire criant : «Ne voyez-vous pas que Trump fera aux musulmans ce que Hitler a fait aux juifs!».

Heureusement que la fâcheuse sphère était là, la nuit de l’intronisation, pour montrer les actes de ces curieux antifascistes que les télévisions ont soigneusement dissimulés. Les drapeaux américains brûlés, les «féministes» voilées, ou encore Richard Spencer, un orateur pro-Trump de «White Lives Matter», sauvagement frappé pendant son interview télévisée par un antifa encagoulé qui s’enfuit impunément dans la nuit.

Mon imagination est impuissante pour décrire les commentaires médiatiques dans l’improbable hypothèse où des journaux, des artistes, ou des manifestants violents auraient contesté dès le premier jour l’élection de Barack Obama. S’ils avaient brandi des affiches le caricaturant en assassin ou en violeur. Pas la peine de faire un dessin.

D’une certaine manière, on retrouve dans l’après élection, une bonne partie des raisons du succès du détesté de la presse convenue.

Trump n’est pas une cause, mais un effet.

Son excentricité et ses excès répondent aux excès et aux extravagances du prétendu camp du bien. Les excès de la victimisation des minorités raciales et sexuelles. Les excès de l’immigration clandestine. Les excès de la xénophilie. L’imposition des toilettes neutres pour transsexuels. La culpabilisation systématique de la police. La crainte révérencieuse de l’islam radical. Le féminisme limité exclusivement à la détestation du mâle hétérosexuel blanc et qui ferme les yeux sur le sort des femmes d’Orient.

Excédée des excès criminels des faux gentils, une bonne partie du peuple américain aura préféré s’en remettre désormais aux débordements d’un faux méchant.

Et dans ce sentiment de révolte qu’inspire ou que devrait inspirer à tout démocrate, fût-il hostile au mirobolant républicain, le lynchage médiatique et artistique qui lui est réservé, dans ce réflexe d’empathie naturelle envers le lapidé, qui sait si ne se niche pas non plus l’intuition que derrière la contestation furieuse de la légitimité d’un individu se dissimule la contestation sournoise de la légitimité de l’homme occidental qui ne veut pas mourir.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation du Figaro Vox.

A propos de l’auteur

 

 

Fondateur et président de l'association Avocats Sans Frontières, et président de l'Association France-Israël, Gilles-William Goldnadel se déclare « hostile à toutes formes d’antisionisme et d’antisémitisme indépendamment de leur orientation politique » (Le nouveau bréviaire de la haine) et dénonce l’émergence d’un « nouvel antisémitisme » d’une certaine partie de la gauche.

Outre son engagement en faveur de l'État d’Israël, il est reconnu comme proche des milieux de droite (Une idée certaine de la France), et assez loin de l'extrême droite.

Publications : Le Blognadel (2009) aux Editions de Passy Conversation sur les sujets qui fâchent avec Alexandre Adler (2008) chez Jean-Claude Gawsewitch Les Martyrocrates (2004) chez Plon Le Nouveau Bréviaire de la haine (2001) chez Ramsay Une idée certaine de la France (1998) France-Empire.

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