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28 janvier 2017

DONALD TRUMP 45ème PRESIDENT DES USA PREND DES MESURES EXCEPTIONNELLES CONTRE L'IMMIGRATION ILLÉGALE DES MIGRANTS

DONALD TRUMP : " ILS VIENNENT
AUX USA POUR NOUS CREER
DES PROBLEMES ... "
SOURCE : PUBLIÉ PAR ROSALY LE 26 JANVIER 2017

Donald Trump a clairement expliqué qu’il est nécessaire de limiter l’accès des USA aux ressortissants de pays à risque terroriste. Il vient de signer un ordre exécutif en ce sens.

Pour Donald Trump– pragmatique lucide et sage et pas du tout idéologue– cette mesure est justifiée car ils viennent aux Etats-Unis pour y créer des problèmes.

Pas seulement aux USA, monsieur le Président, mais aussi en Australie, au Canada et en Europe, bref partout où ils émigrent pour imposer la loi d’Allah, la charia, par la ruse ou la violence.

Là où les musulmans s’incrustent, le chaos et son cortège d’horreurs s’installent, mais rarissimes sont les dirigeants occidentaux prêts à l’admettre. Vous êtes une exception.

Le but de cette décision est de limiter temporairement l’entrée des migrants en provenance de certains pays musulmans, où la foi en Allah s’est tellement radicalisée au point de dégénérer en un terrorisme sanglant.

Toutefois, il ne s’agit pas de stopper tous les musulmans.

«Ce n’est pas un décret d’interdiction contre tous les musulmans» s’empresse-t-il d’expliquer «mais contre les pays, qui nourrissent le terrorisme par des discours de haine envers les non-musulmans

Après le décret pour la construction d’un mur à la frontière du Mexique, Donald Trump signe un ordre exécutif afin de bloquer pendant un mois l’entrée en Amérique de citoyens de sept pays musulmans : Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen. Les musulmans de ces pays ne sont pas parmi les plus doux et les plus tolérants et leurs exploits criminels en Occident ne plaident guère en leur faveur. Dans les centres d’accueil occidentaux, ils continuent à opprimer, à menacer, à brutaliser leurs compatriotes de confession chrétienne.

Ce projet, selon la presse américaine, est intitulé : «Protéger la Nation contre les attentats terroristes de la part de ressortissants étrangers» et inclut également l’interruption totale pendant quatre mois du programme d’admission de réfugiés fuyant les pays en guerre.

«Ce sont des personnes, qui dans la plupart des cas, entrent chez nous avec des intentions diaboliques» a expliqué le Président au cours d’une interview mercredi soir à la chaîne ABC. «Ce sont des membres de l’EI. Ils arrivent ici avec de faux prétextes. Je ne les veux pas

Donald Trump a clairement expliqué que ce décret vise des pays dont les gens viennent aux USA dans l’intention d’y créer d’énormes problèmes.

«Notre pays est confronté à suffisamment de difficultés internes, il est dès lors inutile d’accueillir des gens qui sont majoritairement animés par la volonté d’y créer de terribles destructions

Le décret devrait également inclure l’engagement de l’administration américaine à définir«un plan pour créer des zones de sécurité en Syrie et dans les régions avoisinantes, dans lesquelles, les Syriens, chassés de leurs villes, pourraient attendre la fin de la guerre et le retour dans leur pays ou la réintégration dans un pays tiers.»

Ci-après, un extrait remarquable du décret présidentiel sur l’immigration intitulé «Protéger la Nation contre les attaques terroristes de la part de ressortissants étrangers.

“Dans le but de protéger les Américains, nous devons nous assurer que les personnes admises dans ce pays ne soient pas animées par des sentiments et des attitudes hostiles à notre pays et à ses principes fondateurs. Nous ne pouvons et ne devrions pas admettre dans notre pays ceux qui ne soutiennent pas la Constitution américaine ou ceux qui placent des décrets religieux violents au-dessus de la loi américaine.

En outre, les USA ne devraient pas accepter des personnes prêtes à commettre des actes dictés par le fanatisme et la haine [y compris les ‘crimes d’honneur, toutes formes de violence envers les femmes, la persécution de ceux qui pratiquent d’autres religions] ou ceux qui opprimeraient des personnes en fonction de leur appartenance à une race, à un sexe ou de leur orientation sexuelle’.

Donald Trump est un président qui fait rêver les islamolucides Occidentaux.

Ils ont de la chance, nos amis américains ! Nous, nous avons Angela Merkel, J.C. Juncker, Donald Tusk, le Pape François, et autres pantins au service d’Eurabia, sans oublier nos concitoyens européens encore sous l’emprise de la ‘Lügenpresse’ et nos politiciens serviles, vendus aux monarchies du Golfe, mendiant les voix islamiques pour arriver au pouvoir.

Nous sommes dans un foutoir immense protégé par la police de la pensée, et rares sont les preux chevaliers prêts à le pourfendre de leur épée.

SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : ‘Stretta sui musulmani a rischio – Trump : Danno solo problemi.’ Il Giornale

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Les médias «devraient se taire», ils sont
«le parti d’opposition»

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Les médias sont le «parti d’opposition» et ils «devraient se taire», a estimé dans le New York Times le conseiller en stratégie du président américain Donald Trump, Steve Bannon.

«Je veux que vous me citiez là-dessus. Les médias ici sont le parti d’opposition. Ils ne comprennent pas ce pays. Ils ne comprennent pas pourquoi Donald Trump est le président des États-Unis», a déclaré M. Bannon, ex-directeur général de la campagne du républicain, devenu son haut conseiller en stratégie, dans un entretien téléphonique réalisé mercredi soir.

«Les médias devraient être gênés et humiliés, (ils) devraient se taire et écouter juste un instant», a ajouté M. Bannon qui, avant de rejoindre l’équipe de campagne de M. Trump, était le patron du site d’extrême droite Breitbart News.

«Les grands médias n’ont licencié ou renvoyé personne qui ait suivi notre campagne», a poursuivi M. Bannon. «Regardez les comptes Twitter de ces gens: ce sont de purs militants de la campagne Clinton».

«C’est pour ça que vous n’avez pas de pouvoir. Vous avez été humiliés», a-t-il dit dans le prestigieux quotidien qui est souvent l’objet de critiques par Donald Trump.

Ces propos de M. Bannon, qui accorde rarement d’interview, sont rapportés à un moment de vive tension entre les médias et le nouveau président depuis son arrivée à la Maison-Blanche il y a moins d’une semaine.

Le 45e président des États-Unis a lui-même affirmé samedi à la CIA être en «guerre» contre les médias et que les journalistes faisaient partie «des êtres humains les plus malhonnêtes de la Terre».

Soutien populaire lors de l’investiture, fraude électorale, les médias ont contesté pied à pied les assertions de l’administration de Donald Trump, les taxant de mensonges, sans que celle-ci ne cède rien, quitte à s’éloigner des faits.

Lundi, Donald Trump a assuré à des parlementaires que trois à cinq millions de sans-papiers avaient voté illégalement lors du scrutin.

Les médias ont souligné qu’il n’existait aucune preuve de fraude de cette ampleur. Mais M. Spicer a affirmé mardi que le président n’avait pas changé d’avis. Sans fournir aucun élément concret.

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SOURCE : PUBLIÉ PAR MAGALI MARC LE 27 JANVIER 2017

J’ai traduit pour les lecteurs de Dreuz, ce petit texte de Michael Goodwin du New York Post qui décrit comment les médias persistent à s’acharner sur Trump plutôt que de couvrir normalement les nouvelles émanant de la Maison-Blanche.

Les médias sont plus intéressés à haïr Trump qu’à rapporter les nouvelles

Par Michael Goodwin

Quand il s’agit de recueillir et de rapporter l’information, il est difficile de faire mieux que le très original et légendaire journaliste Peter Kihss.

J’ai écrit il y a plusieurs mois comment, en tant que jeune journaliste, j’ai appris grâce à lui qu’il n’y a pas de questions stupides qu’on peut poser aux politiciens, mais seulement des réponses stupides.

Maintenant, un autre «proverbe» de Kihss s’applique, cette fois à la couverture médiatique du début de la présidence de Donald Trump.

Il y a plus de trente ans, Kihss et moi discutions dans l’ancienne salle de rédaction du New York Times. Après une journée frustrante qu’il avait passée à voir son reportage démoli par les éditeurs, il m’a regardé et m’a dit :

«Souviens-toi toujours que le travail de l’éditeur consiste à séparer le blé de la paille– et à publier la paille.»

J’ai ri. Lui non. Son avertissement m’apparaît prophétique alors que Trump vient de passer son premier lundi dans le Bureau ovale.

Le nouveau président a livré des tonnes de blé alors que la plupart des médias étaient obsédés par la paille.

L’axiome selon lequel les actions parlent plus fort que les mots est délibérément ignoré quand il s’agit de Trump. Armée de son deux poids/deux mesures, la foule des journaleux de la presse écrite et leurs collègues de la télé a préféré regarder ce qu’il disait au lieu de s’occuper de ce qu’il faisait.

Voici donc «le blé» :

Lundi, Trump a signé un ordre exécutif gelant la main-d’œuvre fédérale, et un autre retirant les États-Unis de l’impopulaire accord commercial avec l’Asie (le partenariat transpacifique [TPP].

Il a rencontré des cadres du secteur manufacturier afin de former un Comité consultatif sur la réduction des taxes et des réglementations qui nuisent à l’emploi, puis il a rencontré des dirigeants de grands syndicats, lesquels n’ont eu que des éloges concernant son approche des questions commerciales, son engagement à moderniser les infrastructures américaines, et certains ont déclaré avait espéré pendant 8 ans être reçu par Obama, ce qui n’est jamais arrivé.

Presque tous les dirigeants syndicaux présents, qui représentent les charpentiers, les ouvriers de la construction, les plombiers et les ouvriers de tôlerie, ont soutenu Hillary Clinton, mais ils ont déclaré que leur rencontre avec Trump a été «incroyable». Ils lui ont même réservé des applaudissements prolongés debout.

Richard Trumpka, chef de l’AFL-CIO [NDT, le plus important regroupement syndical aux États-Unis], a publié une déclaration saluant la décision, ainsi que le plan de Trump de rouvrir l’Accord de libre-échange nord-américain.

C’était une journée pour parler d’emploi de manière à laisser de côté les lignes partisanes et à prendre des mesures qui profiteront aux travailleurs américains. La journée a eu l’avantage supplémentaire de permettre à Trump de tenir ses promesses de campagne, ce qui n’est pas vraiment habituel à Washington.

Cela aurait dû être traité comme une nouvelle exceptionnelle. Ca a été totalement passé sous silence.

Pour couronner le tout, Trump a rencontré les dirigeants des deux partis au Congrès dans le but de bâtir le genre de relations bilatérales que le président Obama avait dédaignées.

Cela aussi aurait pu [dû ?] alimenter des reportages contrastant avec les manières d’agir des présidents Trump et Obama, mais en définitive, cette rencontre a servi à produire «la paille» dont les médias voulaient.

«Trump répète un mensonge électoral», a déclaré le New York Times, une accusation rageuse au sujet du fait que le président a remarqué devant les dirigeants du Congrès que c’était des électeurs illégaux qui avaient donné à Hillary Clinton sa victoire en nombre de voix.

En huit ans de dissimulation, les lèche-bottes du Times n’ont jamais traité Obama de malhonnête, encore moins de menteur. Au lieu de cela, ils s’émerveillaient devant les livres qu’il lisait, et le nombre d’amandes qu’il mangeait chaque soir.

Tous les républicains– et Trump en particulier– sont traités comme des malpropres dès le début de leur mandat, et ça promet de dégringoler encore.

Les autres médias se sont précipités pour reprendre l’accusation de «mensonge» du Times, et ont fait beaucoup de bruit concernant d’autres brins de paille, y compris les plaintes du porte-parole de la Maison-Blanche Sean Spicer, au sujet de la couverture négative de la presse.

Spicer a été ridiculisé en tant que bébé lala pleurnichard et son «blé» a été ignoré.

Lors du briefing inaugural de la presse, il a mis de côté les règles du jeu coutumières qui régissent la manière dont les organes de presse posent leurs questions.

La première question est habituellement réservée à l’Associated Press [l’agence de presse AP], mais cette fois elle a été accordée au journaliste du New York Post, Daniel Halper.

La deuxième question a été accordée au Christian Broadcasting Network et la troisième à Univision. C’était plus que symbolique.

Tout comme Trump prenant des mesures pour l’emploi, il s’agissait pour Spicer de rendre la monnaie de leur pièce aux grandes organisations gauchistes, en démocratisant l’accès à la Maison-Blanche et en mettant fin à la pratique qui consiste à accorder des privilèges à certains médias.

C’est une affaire importante, quoique la plupart des Américains n’en ont probablement même pas entendu parler.

Par contre, ils ont sûrement entendu parler du «scandale» concernant le fait que le célèbre quart-arrière [quaterback] Tom Brady s’est dit l’ami de Donald Trump.

Bien que le quart-arrière des Patriots soit en train de mener son équipe de football américain au prestigieux Super Bowl, il a été brutalement pris à partie par les médias parce que, selon eux, aucun homme digne de ce nom n’a le droit d’être ami avec Trump.

Pour être franc, je pense que Trump devrait arrêter de parler de l’élection. C’est fini. Sa victoire est incontestable. Il a gagné et il est Président.

S’il est inquiet au sujet de possibles fraudes électorales, il suffit qu’il appuie les lois des États exigeant l’identification des votants et qu’il s’assure que son ministère de la Justice prend la question au sérieux.

Mais la grande révélation de cette première journée, c’est que les médias ne donnent aucun signe de remiser leur détestation envers Trump.

Le choc devant sa victoire aurait dû leur enseigner que leur venin les avait aveuglés au point qu’ils ne comprenaient pas sa popularité. Ils prouvent au contraire qu’ils n’ont rien appris. Ils sont «durs de comprenure», comme on dit au Québec.

Ils refusent toujours de couvrir Trump d’une manière qui rappelle les normes traditionnelles d’équité journalistique.

Donc, une fois de plus, ils ratent les informations qui comptent vraiment pour les gens qui ne vivent pas dans leurs petites sphères de journalistes.

Les 63 millions de personnes qui ont voté pour Trump, ainsi que les Américains honnêtes et impartiaux, se soucient certainement plus de ses efforts pour créer des emplois que de leurs commentaires inutiles qui n’ont aucun impact sur leur quotidien.

Les journalistes doivent se concentrer sur ces questions s’ils souhaitent retrouver la confiance du public.

Au lieu de cela, il semble qu’ils cherchent des prétextes pour exprimer leur rage au risque de se rendre complètement inutiles.

Ils en oublient de produire des reportages concernant les grands problèmes qui affectent notre époque.

SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc [@magalimarc15] pourDreuz.info.

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SOURCE : PUBLIÉ PAR ROSALY LE 18 JANVIER 2017

Mouvements pour les droits civils, anarchistes, Black Lives Matter : tout ce beau monde démocratique s’allie pour cracher sa détestation du futur président Donald Trump, le fasciste, le raciste, le misogyne, coupable de tous les vices et source de danger planétaire.

A les écouter, le peuple américain a élu un anti-Christ diabolique, huit ans après avoir porté au pouvoir un messie angélique : Barack Hussein Obama.

Selon Reuters, l’objectif des organisateurs est clair : gâcher à tout prix la fête, même si cela implique l’utilisation de moyens non conventionnels et violents.

Vive la démocratie et le pacifisme de la gauche moralisante. Les mouvements essayeront de se rassembler près des 12 postes de sécurité et défileront le long du parcours de la parade, soit 4 km :

« Nous voulons interrompre l’inauguration, » a déclaré l’un des leaders du mouvement « DistruptJ20 » David Thurston, lors d’une conférence de presse. « Nous voulons que la révolte bouillonne dans toutes les villes à travers le pays. »

DisruptJ20, qui collabore avec le très pacifique Black Lives Matter et d’autres groupes opposés à Donald Trump, a annoncé que des barricades seront montées avant l’aube et des manifestations violentes se succèderont lors de la prestation de serment de Donald Trump.

Plus de 300 volontaires de DisruptJ20 travailleront pour mobiliser les anti-Trump en une longue suite de cortèges de protestations. Ce sera « Le Festival de la Résistance. » Et les méthodes ne seront certainement pas pacifiques.

« Nous ne sommes pas en faveur d’une transition pacifique du pouvoir, nous devons l’arrêter. » a souligné l’un des organisateurs.

Dans l’ensemble, selon le National Park Service, des permis ont été accordés à 27 mouvements de protestations, qui seront présents ce vendredi 20 janvier à Washington DC, un nombre quatre fois supérieur aux précédentes investitures, du jamais vu dans l’histoire des USA.

D’après les fonctionnaires du gouvernement, la cérémonie devrait attirer plus ou moins 800.000 spectateurs, contre environ 1.800.000 rassemblés en 2009 pour l’inauguration du « messie » Obama.

Des heurts sont à craindre entre les manifestants anti-Trump et les supporters du Président.

Les manifestations anti-Trump à Washington se poursuivront le jour suivant avec la « Women’s March » la marche des femmes, organisée par un groupe d’activistes féministes en protestation contre les nombreuses remarques sexistes du candidat Trump au cours de la campagne présidentielle.

200.000 personnes seraient attendues !

Ces féministes devraient plutôt organiser des marches contre le sort réservé aux femmes dans l’islam…

“La rhétorique utilisée par Trump au cours de la campagne présidentielle a diabolisé, effrayé et menacé de nombreux citoyens : migrants, musulmans, la communauté LGBT, les personnes de couleur, les handicapés, les femmes agressées sexuellement. La Marche des Femmes enverra un message fort à la nouvelle Administration dès le premier jour du mandat. »

En outre, les activistes anti-Trump ont fait circuler une pétition pour déchoir le Président élu : il s’agit d’un véritable portail documentaire qui signale via des vidéos et des photos toutes les manifestations anti-Trump qui se déroulent à travers le pays.

« Nous refusons d’accepter une Amérique fasciste. Donald Trump, le président élu, est en train de mettre sur pied un régime très dangereux. Notre angoisse, notre dégoût, notre crainte sont justifiés. Notre rage doit se transformer en une résistance massive, avant que Trump ne prenne le pouvoir.

Si nous échouons dans notre détermination à le stopper, les conséquences pour l’humanité seront désastreuses. Nous, les soussignés, savons, au plus profond de nous-mêmes, que la catastrophe s’abattra sur le monde, si le régime fasciste Trump/Spence exerce le pouvoir. »

Parmi les signataires, il y a Bill Ayers, pédagogue réputé et activistes américain, leader et fondateur de l’organisation terroriste communiste « Weather Underground », qui s’était distinguée dans les années septante par des attaques à la dynamite ayant pour cibles principales les bâtiments officiels et les banques. Cette organisation fut responsable des attentats contre le Pentagone et le Capitole. Encore un idéaliste qui utilise la violence et le meurtre d’innocents pour lutter contre l’injustice.

A ce tableau aux teintes sombres se joint une fois encore l’ombre des manifestants payés pour descendre dans la rue contre le nouveau Président. Tactique favorite d’un milliardaire gauchiste, George Soros, dont le rôle dans les processus de déstabilisation de nations souveraines n’est plus un mystère.

De nombreuses annonces online pour des jobs sont publiées sur le portail Backpage de l’organisation « DemandProtest » dans diverses villes des USA (San Diego, Tulsa, Phoenix, El Paso)

« DemandProtestrecrute du personnel « pour participer aux manifestations anti-Trump, (ou autres) qui se dérouleront lors de l’investiture de D. Trump offrant une compensation de 2.500 dollars/mois ou de 50 dollars/heure.

Si tu es prêt agir, alors rejoins-nous » stipule l’annonce sous le titre emblématique :« fais-toi payer pour lutter contre Trump ».

« Nous sommes des stratèges qui mobilisons les générations du millénaire partout sur la planète » expliquent les promoteurs du site web et l’absolue discrétion est notre top priorité ; nos opérateurs réalisent des scènes convaincantes, qui deviennent des éléments constitutifs des mouvements de masse. Si vous avez besoin de manifestations de colère, nous pouvons l’organiser, tout en protégeant votre réputation. »

Vive la « spontanéité et la sincérité » de certaines protestations de masse anti-Trump, qui réjouissent tant nos médias officiels ! Le monde ressemble de plus en plus à un immense théâtre, où tout est mis en scène par l’un ou l’autre pouvoir, les citoyens étant les acteurs-dindons d’une tragi-comédie.

La gauche radicale américaine anti-démocratique n’a aucune intention d’accepter le résultat électoral, pourtant voté démocratiquement par le peuple, et déjà se profilent des journées marquées par de fortes tensions et des heurts, mis en scène par les ennemis de la démocratie.

Réussiront-ils tous ces sauveurs de l’humanité autoproclamés, à gâcher la fête d’investiture de Donald Trump, à créer le chaos en Amérique, ce chaos qu’ils apprécient tellement au plus profond d’eux-mêmes ?

SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

Protests will aim to disrupt Trump inauguration – Reuters

Petition: In the Name of Humanity, We REFUSE To Accept a Fascist America … (extraits)

Portail backstage DemandProtest: Get paid fighting against Trump (extraits)

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