URGENT IL FAUT STOPER L'IMMIGRATION DE MIGRANTS CLANDESTINS EN ITALIE ET EN EUROPE STOP ! BASTA !
“Je préfère 10 ans de fascisme plutôt que de subir ce qui se prépare : une Europe africanisée, détruite, dans laquelle nous serons des étrangers chez nous. Dans laquelle nos enfants ne seront que de la chair à consommer et à tuer.”
Tel est le coup de colère d’un citoyen réagissant à la détresse des habitants de Vintimille, submergés par le tsunami migratoire venu d’Afrique. Un coup de colère qui en dit long sur le ras-le-bol des peuples face à l’immigration sauvage et que les dirigeants européens seraient bien avisés de ne plus ignorer.
Voilà où nous mènent les poules mouillées qui nous gouvernent, lesquelles s’obstinent à nous imposer une société multiculturelle dont les peuples ne veulent plus. C’est l’exaspération la plus totale que les élus refusent de prendre en compte.
Quand on écoute les citoyens confrontés au choc culturel et soumis aux nuisances des migrants, le discours est partout le même, en Italie, en France, en Allemagne, en Suède et bien d’autres pays.
Les témoignages accablants sont innombrables mais le pouvoir les dissimule.
Car la presse véhicule des mensonges et ne relaie que des reportages à l’eau de rose, se gardant bien de rapporter la détresse vécue par les riverains de Calais ou de Vintimille, pour ne citer que ces deux exemples.
A croire qu’un bidonville ou un camp sauvage sont une richesse culturelle !
Voici quelques paroles d’habitants de Vintimille, ville frontière avec la France, où les habitants désespérés subissent le même calvaire que les Calaisiens.
“On n’en peut plus, la ville est envahie.”
“On ne peut plus vivre librement dans notre ville.”
“Ce n’est plus notre ville, c’est juste un énorme camp de réfugiés.”
“Le gouvernement nous l’impose et on paye.”
“Où est la souveraineté du peuple. ?
“On ne peut plus vivre. Nos femmes ne peuvent plus se promener seules la nuit.”
“La situation ne fait que se dégrader, on n’en peut plus.”
“En fait, il n’y a plus du tout de touristes et on trouve de moins en moins de travail.”
A Vintimille, Calais, et bien d’autres villes ou quartiers envahis par les migrants, même combat, même constat, même discours.
Non pas le discours mielleux et mensonger des rédactions ou des politiques, tous confortablement installés dans leurs bureaux climatisés, bien loin des nuisances des camps sauvages qui fleurissent partout.
Mais le discours du réel, du vécu, par des riverains qui sont à bout, qui vivent dans la peur, qui voient leurs biens perdre de la valeur, qui voient leurs conditions de vie se dégrader de jour en jour. Des citoyens désespérés qui voient leur avenir et surtout celui de leurs enfants s’assombrir.
Des victimes qui subissent de plein fouet le raz-de-marée et que les autorités ignorent et méprisent, tandis que la bobosphère les taxe de racisme et de xénophobie. Leur vie est bouleversée et on les traite de salauds ou de fachos !
C’est le naufrage absolu de notre politique d’accueil, qui fait la part belle aux clandestins, aux illégaux, aux hors la loi, qui se comportent en envahisseurs et ne respectent plus rien.
On ne compte plus les scènes de violences, les agressions sexuelles de masse comme en Allemagne, les dégradations, les vols. Les migrants ne demandent plus, ils exigent, assurés de l’appui des associations et du pouvoir.
Et que dit Emmanuel Macron ? Il veut que la France prenne toute sa part du fardeau, alors qu’il faudrait stopper net cette invasion qui va détruire l’Europe.
Car parmi ce flot ininterrompu, seulement 10% sont des réfugiés fuyant la guerre. Les autres sont des migrants économiques et des clandestins attirés par la manne sociale. 600 millions d’Africains vivent sans électricité et logent dans des conditions moyenâgeuses.
En Afrique et au Maghreb, pour un jeune, le symbole de la réussite sociale c’est gagner l’Europe et y être régularisé pour accéder aux droits sociaux.
Et ce n’est pas le “célèbre” polygame de Bobigny, avec ses 4 femmes et 46 enfants, qui dira le contraire. Avec ses confortables prestations sociales, cet ex-agent d’entretien ne travaille plus depuis longtemps, mais dans son village au nord du Mali, il est le symbole de la réussite. Un modèle à suivre !
Rien d’étonnant à ce que la France soit le premier pays polygame d’Europe !
Le gouvernement est tout fier d’avoir ouvert 2 nouveaux centres dans le Nord et le Pas-de-Calais, 180 places au total, alors qu’il arrive chaque jour 250 migrants dont 100 à Paris !
C’est dire combien l’Etat est dépassé par l’ampleur du désastre.
Un migrant coûte 30000 euros au contribuable, c’est 15 fois le PIB/hab d’un Africain ! L’Europe c’est l’Eldorado.
De nombreuses villes allemandes ne veulent plus être une terre d’asile.
En Suède, jusque là terre promise pour tout migrant, on a rétabli les frontières et les expulsions explosent.
Faudra t-il une révolte généralisée pour que les gouvernants européens écoutent leur peuple et assument leurs obligations élémentaires, à savoir la protection de leur pays et de ses citoyens ?
Car à part Viktor Orban, on ne voit que des chefs d’Etat qui capitulent, totalement complices de cette entreprise de démolition de la maison Europe.
Jacques Guillemain
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Un général italien explique comment régler l’invasion migratoire en quelques jours
SOURCE : EDITO BOULEVARD VOLTAIRE
http://www.bvoltaire.fr/general-italien-explique-regler-linvasion-migratoire-quelques-jours/
En Italie la révolte gronde dans l’armée, les douanes et la population qui n’en peut plus de voir débarquer par dizaines de milliers ces migrants venus d’Afrique…
Il y a, en ce moment, un général qui fait beaucoup parler de lui en Italie. Non pas qu’il ait démissionné puisqu’il est à la retraite après avoir commandé l’armée de l’air dont il est l’un des pilotes les plus décorés, mais parce qu’il s’est déclaré très préoccupé par l’invasion migratoire.
Le général de corps d’armée Vincenzo Santo n’a pas hésité à répondre ce que personne n’avait jamais osé imaginer lorsque le journaliste du quotidien LiberoIl Giornale – lui a demandé si l’immigration était un phénomène historique qu’il était impossible d’arrêter.
« Il suffit d’utiliser l’armée pour la mission qui est à l’origine de sa création, celle de défendre nos frontières. Il est tout à fait possible de mettre le holà à cette immigration désordonnée et massive. En quelques jours, l’armée italienne pourrait y mettre fin. »
Ce soldat très étoilé n’est pas n’importe qui. Il fut numéro deux de l’OTAN en Afghanistan, ancien chef d’état-major de l’ISAF (International Security Assistance Force/Force internationale d’assistance à la sécurité) et, à 71 ans, il est vice-président de l’Institut des affaires internationales, le think tank le plus en vogue en Italie. Il collabore également à l’un des plus importants sites d’information sur la défense et a des relations militaires dans de nombreux pays. Il est, en France, chevalier de l’ordre national du Mérite. Il explique comment il voit l’implication de l’armée italienne dans ce combat pacifique mais indispensable qu’il faut mener contre cette véritable invasion des côtes européennes.
« Nous avons les outils pour contrôler la côte libyenne sans y poser le pied. Les routes migratoires qui nous concernent convergent vers Tripoli. La zone à contrôler est beaucoup plus petite que ce que vous pensez. Tout d’abord, nous devons mettre en œuvre le blocage des navires ONG pour les empêcher de pénétrer dans les eaux libyennes. En même temps, nos forces spéciales captureront les trafiquants et les conduiront en prison. Bien sûr, il n’est pas question d’attendre les autorisations des organismes internationaux ni de respecter la souveraineté nationale de la Libye ou d’un autre pays. N’oublions pas que la nôtre est violée chaque fois qu’un navire ou qu’un canot débarque sur nos rivages sa cargaison humaine. »
La révolte gronde dans l’armée, les douanes et la population qui n’en peut plus de voir débarquer par dizaines de milliers ces migrants venus d’Afrique, très rarement avec des femmes, qui envahissent villes et villages avant de se disséminer à travers l’Europe, vivant dans des conditions d’hygiène indignes et dangereuses. « Comment peut-on avoir confiance dans nos institutions quand un migrant qui a poignardé à Milan un policier est aussitôt relâché ? ». Et le Général Santo d’expliquer qu’il est facile d’imaginer la frustration de ceux qui sont quotidiennement sur la route pour assurer la sécurité des citoyens.
La création de camps en Libye ne résoudra rien tant qu’y régnera la confusion politique et la présence de djihadistes. « En outre, pour des raisons humanitaires, nous ne pouvons confier aux Libyens la gestion de camps éventuels qui devraient être créés et financés en Tunisie et en Égypte, et peut-être en Algérie. » Et ce général hors normes d’évoquer le problème des clandestins dont il croit nécessaire de les arrêter afin de les réexpédier par avion vers leurs pays d’origine, et pour ce faire, « il faut bien entendu augmenter nos forces de police ».
« Il faut confier aux policiers la mission de retrouver ces clandestins afin de les mettre à la disposition des diverses autorités consulaires, dans le but de procéder à leur identification, même s’ils ont fait disparaître leurs documents et prétendent qu’ils ont été volés ou retenus par les trafiquants afin de rendre plus difficile la recherche de leur pays d’origine. Mais je suis convaincu que si l’on veut remonter à la nationalité du clandestin, on réussit toujours. »
Qu’il nous serait agréable de rêver que quelques-uns de nos courageux généraux se mettent à s’exprimer comme le général Vincenzo Santo !
Floris de BONNEVILLE
IMMIGRAZIONE IN ITALIA BASTA ! STOP ! BASTA !
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CRISE MIGRATOIRE & RISQUE SANITAIRE
une politique de santé discriminatoire pour les Français d’origine européenne
Notre État est censé assurer la sécurité, la santé et la protection de la population française. Force est de constater que les gouvernements successifs adoptent des politiques qui sous couvert de prétendues intentions humanistes mettent en danger la santé de la société française. La crise migratoire qui touche la France comme de nombreux pays européens est en cela très révélatrice. Elle pose dorénavant un problème majeur de santé publique, le flux des migrants n’ayant toujours pas été stoppé à ce jour. De nombreuses maladies infectieuses comme la tuberculose, le VIH (SIDA) et l’hépatite B sont en effet surreprésentées dans ces populations de migrants, dont la majeure partie est originaire d’Afrique. Leurs conditions de vie avant leur arrivée puis une fois installés en France favorisent la transmission de ces infections en raison de la promiscuité, du manque total d’hygiène, de la précarité sociale et de l’existence de groupes à risque comme les personnes se prostituant. Les camps de migrants, qui ne cessent de réapparaître à peine fermés par les autorités, sont le plus souvent extrêmement insalubres et favorisent la propagation d’agents infectieux chez des personnes pouvant présenter un organisme vulnérable. Les médecins qui prennent en charge ces populations sont ainsi confrontés à des maladies presque disparues sur le continent européen et qui font leur réapparition, telles que la gale, la poliomyélite, la tuberculose, le choléra, la typhoïde…
Ces infections peuvent potentiellement diffuser et gagner l’ensemble de la population française, d’autant plus qu’à chaque démantèlement de camp, les migrants sont relocalisés un peu partout sur le territoire national. En matière de maladies sexuellement transmissibles, les migrants deviennent de puissants vecteurs quand ils se rendent coupables de viols sur des personnes de la population d’accueil.
Hormis les situations de demandeurs d’asile (pour lesquels un dépistage préventif des maladies infectieuses et des séances de vaccinations sont organisées en Centre d’Accueil des Demandeurs d’Asile − CADA) une proportion importante de migrants échappe aux mesures de prévention du risque de transmission d’agents infectieux. Les organisations du type “Médecins du Monde” n’ont souvent pas les moyens pour les mettre en œuvre de façon efficace à grande échelle. De plus, la plupart des migrants, lorsqu’on les interroge, répondent qu’ils ne se sentent pas personnellement exposés au risque infectieux et ignorent de plus certains modes de transmission, notamment ceux par voie sexuelle.
D’une façon générale, aucune mesure de quarantaine n’est prise faute de volonté politique qui s’obstine à ne pas rétablir des frontières, alors que le dépistage et l’évaluation du statut vaccinal des migrants est recommandée par le corps médical. Les épidémiologistes s’inquiètent à juste titre de la diffusion de salmonelles résistantes aux antibiotiques et de formes multi-résistantes de tuberculose dont sont susceptibles d’être porteurs de nombreux migrants. La mise en quarantaine serait aussi propice pour la détection de terroristes potentiels en transit, le risque islamiste pouvant se cumuler au risque infectieux…
Madame Agnès Buzyn, Ministre des solidarités et de la santé, a récemment déclaré qu’elle voulait « s’engager sur la santé des migrants ». Cet engagement risque d’être tardif, alors que les migrants en contact avec la population d’accueil auront déjà disséminé leurs germes aux quatre coins de l’hexagone. Dans tous les cas, cette prise en charge médicale des migrants a un coût non-négligeable (le traitement d’une tuberculose multirésistante est long − au moins 2 ans − et cent fois plus coûteux qu’un traitement classique) dont le poids repose comme toujours sur les contribuables dont la proportion à payer l’impôt se réduit au fil des années, témoin inéluctable d’une perte de capital et d’une majoration du nombre de personnes vivant d’aides sociales diverses, le tout étant propice à l’effondrement de la nation, scénario qui avait préexisté à la désintégration de la Yougoslavie qui croulait comme la France sous une forte dette. Elle témoigne aussi d’une injustice pour les Français qui sont de plus en plus nombreux à renoncer à des soins justifiés, faute de pouvoir disposer d’une couverture médicale suffisante. Cette injustice est renforcée par le fait qu’en France les populations d’origine extra-européenne bénéficient d’une protection plus grande par rapport au risque infectieux.
Ainsi la vaccination contre la tuberculose n’est plus obligatoire depuis 2007 mais le BCG demeure recommandé pour les enfants nés dans un pays de forte endémie tuberculeuse (comme les pays du Maghreb), devant séjourner au moins un mois d’affilée dans l’un de ces pays (à l’occasion des vacances d’été par exemple) ou dont au moins l’un des parents est originaire de l’un des cas pays, ou encore résidant en Ile-de-France (surtout en Seine-Saint-Denis). Par ailleurs, toute situation jugée par le médecin à risque d’exposition au bacille tuberculeux peut motiver une vaccination par le BCG, dès lors que les conditions socio-économiques sont jugées défavorables (en particulier parmi les bénéficiaires de la CMU et de l’AME). Là aussi les populations d’origine extra-européenne sont privilégiées en terme de protection par rapport aux Français d’origine européenne, ce qui constitue une véritable discrimination.
Dans le même temps, la Ministre des solidarités et de la santé a décidé la mise en place d’un nouveau schéma vaccinal obligatoire (avec à la clef des mesures coercitives pour les parents récalcitrants) à 11 vaccins pour les nourrissons, ce qui expose la population au risque de complications vaccinales liées notamment à la présence d’adjuvants aluminiques pourtant interdits en matière de vaccination vétérinaire… Les pathologies neurotoxiques induites par l’aluminium chez l’homme ont pourtant été documentées à partir d’études publiées dans de grandes revues scientifiques. Mais madame Buzyn semble davantage être sensible au lobby pharmaceutique, ce qui est pourtant contraire au code de déontologie médicale auquel elle demeure malgré tout soumise, même avec un statut de ministre d’état.
Le gouvernement d’Emmanuel Macron met donc en place une politique de mise en danger de la vie d’autrui et de non-assistance à personne en péril, qui plus est discriminatoire à l’égard des Français d’origine européenne. Une fois de plus, les responsables politiques oublient les devoirs qu’ils ont à l’égard de la nation et du peuple français.
En filigrane se lit hélas une volonté politique sournoise d’affaiblir les Français d’origine européenne sur tous les plans, à commencer par la santé, dans le but final de les éradiquer.
Dr. Jean-Philippe de La Ribausière
Chef de clinique − médecine interne