Camerone 2018 à la Maison
avril 19, 2018 - 8:00
Comme chaque année, et officiellement depuis 1931, la Légion étrangère honorera le 30 avril 2018 le sacrifice des légionnaires du Capitaine Danjou, glorieusement tombés au Mexique, dans l’hacienda de Camerone. Ce combat s’est déroulé le 30 avril 1863, dans l’accomplissement sacré de la mission qui avait été confiée aux légionnaires : assurer la couverture au profit d’un convoi logistique ravitaillant les unités françaises qui assiégeaient la ville de Puebla.
Ce combat regroupe à lui seul toutes les valeurs fédératrices de la Légion étrangère : le caractère sacré de la mission, la fidélité à la parole donnée ainsi que la communauté de destin choisie et acceptée par les officiers, sous-officiers et légionnaires. Ces trois vertus légionnaires connues de tous, expliquées aux plus jeunes et commentées à chaque occasion constituent le fondement de l’esprit de corps qui nous anime.
Cette année la cérémonie aura pour thème « Légionnaire, tu es volontaire », rappelant aux quelques 9 000 hommes formant aujourd’hui la Légion étrangère le premier pas de leur engagement à servir.
LA VIDEO DE DIACONESCO.TV
AUBADE MUSICALE DE LA LEGION ETRANGERE A LA FETE DE CAMERONE A AUBAGNE 30 04 2018
Histoire de la bataille de
CAMERON au MEXIQUE
La bataille de Camerone est un combat qui opposa une compagnie de la Légion étrangère aux troupes mexicaines le 30 avril 1863 lors de l'expédition du Mexique . Soixante-deux soldats de la Légion, assiégés dans un bâtiment d'une hacienda du petit village de Camaron de Tejeda (« Camerone » en français), résistèrent plus d'une journée à l'assaut de 2 000 soldats et cavaliers mexicains. À la fin de la journée, les six légionnaires encore en état de combattre, à court de munitions, se rendent à leurs adversaires à condition de garder leurs armes et de pouvoir secourir leurs camarades blessés.
Camerone est célébré chaque année comme un haut fait de la Légion étrangère, le 30 avril, dans toutes ses unités de Légion étrangère, dont la plus importante des cérémonies a lieu à AUBAGNE dans les Bouches-du-Rhône.
NOTA : Agency Press International DIACONESCO.TV a été présent à la Fête de CAMERON à Aubagne cette année 2018 pour couvrir médiatiquement cet événement majeur de mémoire de la Légion Etrangère.
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REPORTAGE PHOTOS PRESSE DE GERARD DIACONESCO MEMBRE DE L'AMICALE DE LA LÉGION ÉTRANGÈRE DE LA SECTION DE NICE MEMBRE DE L'UNION NATIONALE DES COMBATTANTS DE LA SECTION DE NICE
FÊTE DE CAMERONE A AUBAGNE DE LA LÉGION ÉTRANGÈRE LE 30.04.2018
Comme chaque année, et officiellement depuis 1931, la Légion étrangère a honoré le 30 avril 2018 le sacrifice des légionnaires du Capitaine Danjou, glorieusement tombés au Mexique, dans l’hacienda de Camerone. Ce combat s’est déroulé le 30 avril 1863, dans l’accomplissement sacré de la mission qui avait été confiée aux légionnaires : assurer la couverture au profit d’un convoi logistique ravitaillant les unités françaises qui assiégeaient la ville de Puebla. Ce combat regroupe à lui seul toutes les valeurs fédératrices de la Légion étrangère : le caractère sacré de la mission, la fidélité à la parole donnée ainsi que la communauté de destin choisie et acceptée par les officiers, sous-officiers et légionnaires. Ces trois vertus légionnaires connues de tous, expliquées aux plus jeunes et commentées à chaque occasion constituent le fondement de l’esprit de corps qui nous anime.
Photos Presse Agency Press DIACONESCO.TV - C. Copyright - 30.04.2018 - AUBAGNE
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HISTOIRE DE FRANCE :
30 avril 1863 ... IL Y A 145 ANS : LA BATAILLE DE CAMERONE par José CASTANO
30 Avril 1863… Il y a 154 ans :
CAMERONE
Historique par José CASTANO
Sur la terre imprégnée du sang des légionnaires,
le soleil ne se couche jamais
« Nous sommes ces soldats qui grognaient
par le monde
Mais qui marchaient toujours et n’ont jamais plié…
Nous sommes cette église et ce faisceau lié
Nous sommes cette race éternelle et profonde…
Nos fidélités sont des citadelles » (Charles Péguy)
Bien loin de la France et de l’Algérie française, berceau de la Légion étrangère, un conflit se déroulait au Mexique. Ce pays avait acquis son indépendance en 1821, après onze ans de guerre contre l’Espagne. A partir de cette date, il était ravagé par une guerre civile où s’opposaient le parti conservateur et religieux (catholique) de Félix Zuloaga et le parti libéral anticlérical de Bénito Juarez qui rêvait d’une république fédérative à l’image des Etats-Unis.
Le premier installa son gouvernement à Mexico, le second à Vera Cruz. Après sa reconnaissance par les Etats-Unis (6 avril 1859) et sa victoire de Calpulalpam, Juarez contrôlait l’intégralité du pays à la fin de l’année 1860. Cette période de troubles ayant épuisé les finances du pays, il décida de confisquer les biens de l’Eglise et de suspendre le paiement de la dette extérieure. A cela s’ajoutait le fait que durant cette guerre civile, les ressortissants des pays occidentaux avaient été dépouillés de leurs biens et même massacrés. Santa-Anna, l’un des chefs de parti, entama, dès 1854, des négociations avec plusieurs familles régentes européennes pour obtenir qu’un de leurs membres acceptât de devenir empereur du Mexique.
En 1861, l’archiduc d’Autriche Ferdinand Joseph Maximilien, accepta de porter la couronne impériale mexicaine après avoir reçu de Napoléon III l’assurance qu’il l’aiderait à établir et protéger la monarchie du Mexique. En outre, Benito Juarez, président du Mexique, décida, à la fin des années 1850, de supprimer pendant deux ans le paiement de la dette due aux nations étrangères. Ainsi, la France, l’Angleterre et l’Espagne conclurent une convention, le 31 décembre 1861, à Londres, par laquelle elles s’engageaient à envoyer des corps expéditionnaires au Mexique.
Napoléon III, malmené par une opposition politique active, saisit cette opportunité pour entreprendre une nouvelle aventure extérieure, propre à affermir un pouvoir vacillant. Et ce fut le Mexique où le poussaient aussi les amitiés de l’impératrice Eugénie et l’envie d’établir une grande monarchie catholique et latine pour faire contrepoids aux Etats-Unis protestants et anglo-saxons. C’est ainsi que l’empereur forma le projet de renverser le président mexicain afin de réaliser son ambition.
Le 13 janvier 1862, les troupes alliées constituées de 700 royal marines britanniques, 6000 Espagnols et 2500 Français débarquèrent à Vera Cruz. Cependant, la plupart de ces hommes furent aussitôt frappés par la fièvre jaune. Dans ces conditions, il était impossible d’entreprendre quoi que ce soit…
Lors des négociations qui s’ouvrirent sur le règlement de la dette, la France maintint sa demande de recouvrement, alors que les deux autres pays avaient compris que cela ne servait à rien. La réunion d’Orizabadu 9 avril 1862 se solda par un échec. Les troupes anglaises et espagnoles rembarquèrent aussitôt… tandis que 4000 soldats français supplémentaires arrivèrent sous le commandement du général de Lorencez. Le lendemain, le commandement français déclarait les hostilités ouvertes, officiellement en raison des déprédations causées par les troupes juaristes.
Les troupes françaises enlisées dans un pays hostile s’essoufflaient. La Légion n’avait pas été retenue pour participer à l’expédition. Ses officiers adressèrent à l’empereur une pétition pour solliciter son engagement. Si cette violation de la voie hiérarchique leur causa quelques désagréments, elle porta néanmoins ses fruits. Le 19 janvier 1863, ordre fut donné à la Légion stationnée en Algérie, de mettre sur pied deux bataillons.
En février 1863, ils s’embarquèrent à Oran après avoir défilé pour la première fois au rythme d’un hymne qui fera le tour du monde, « le Boudin », la célèbre marche officielle de la Légion étrangère, écrite par Guillaume-Louis Bocquillon, ditWilhem. Ils débarquèrent au Mexique le 28 mars 1863.
L’armée française assiégeait Puebla. La légion avait pour mission d’assurer, sur cent-vingt kilomètres, la circulation et la sécurité des convois. Le colonel Jeanningros, commandant le Régiment Etranger, apprit, le 29 avril 1863, qu’un gros convoi emportant trois millions en numéraire, du matériel de siège et des munitions était en route pour Puebla. Le capitaine Danjou, son adjudant-major, le décida à envoyer au devant du convoi une compagnie. La 3èmecompagnie du 1er Bataillon du Régiment Etranger fut désigné mais elle n’avait pas d’officier disponible. Le capitaine Danjou en prit lui-même le commandement et les sous-lieutenants Maudet, porte-drapeau, et Vilain, payeur, se joignirent à lui volontairement.
Le 30 avril, à 1 heure du matin, l’unité, forte de trois officiers et soixante-deux hommes, se mit en route. Elle avait parcouru environ vingt kilomètres, quand, à 7 heures du matin, elle s’arrêta à Palo Verde pour faire le café. A ce moment, l’ennemi se dévoila et le combat s’engagea aussitôt. Le capitaine Danjou fit former le carré et, tout en battant en retraite, repoussa victorieusement plusieurs charges de cavalerie, en infligeant à l’ennemi des premières pertes sévères.
Arrivé à la hauteur de l’auberge de Camerone, vaste bâtisse comportant une cour entourée d’un mur de trois mètres de haut, il décida de s’y retrancher pour fixer l’ennemi et retarder ainsi le plus possible le moment où celui-ci pourrait attaquer le convoi.
Pendant que les hommes organisaient à la hâte la défense de cette auberge, un officier mexicain, faisant valoir la grosse supériorité du nombre, somma le capitaine Danjou de se rendre. Celui-ci fit répondre : « Nous avons des cartouches et nous ne nous rendrons pas ». Puis, levant la main, il jura de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Il était 10 heures. Jusqu’à 6 heures du soir, ces soixante hommes, qui n’avaient pas mangé ni bu depuis la veille, malgré l’extrême chaleur, la faim, la soif, résistèrent à deux mille mexicains : Huit-cents cavaliers, mille deux-cents fantassins.
A midi, le capitaine Danjou fut tué d’une balle en pleine poitrine. A 2 heures, le sous-lieutenant Vilain tomba, frappé d’une balle au front. A ce moment, le colonel mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge.
Malgré la chaleur et la fumée qui venaient augmenter leurs souffrances, les légionnaires tinrent bon, mais beaucoup d’entre eux furent frappés. A 5 heures, autour du sous-lieutenant Maudet, ne restaient que douze hommes en état de combattre. A ce moment, le colonel mexicain rassembla ses hommes et leur dit de quelle honte ils allaient se couvrir s’ils n’arrivaient pas à abattre cette poignée de braves (un légionnaire qui comprenait l’espagnol traduisait au fur et à mesure ses paroles). Les mexicains allaient donner l’assaut général par les brèches qu’ils avaient réussi à ouvrir, mais auparavant, le colonel Milan adressa encore une somation au sous-lieutenant Maudet ; celui-ci la repoussa avec mépris.
L’assaut final fut donné. Bientôt il ne resta autour de Maudet que cinq hommes : le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin, Léonhard. Chacun gardait encore une cartouche ; ils avaient la baïonnette au canon et, réfugiés dans un coin de la cour, le dos au mur, ils faisaient face. A un signal, ils déchargèrent leurs fusils à bout portant sur l’ennemi et se précipitèrent sur lui à la baïonnette. Le sous-lieutenant Maudet et deux légionnaires tombèrent, frappés à mort. Maine et ses deux camarades allaient être massacrés quand un officier mexicain se précipita sur eux et les sauva. Il leur cria : « Rendez-vous ! » - « Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restaient menaçantes.
« On ne refuse rien à des hommes comme vous ! » répondit l’officier.
Les soixante hommes du capitaine Danjou avaient tenu jusqu’au bout leur serment. Pendant 11 heures, ils avaient résisté à deux mille ennemis, en avaient tué trois-cents et blessé autant. Ils avaient, par leur sacrifice, en sauvant le convoi, rempli la mission qui leur avait été confiée.
Après l’héroïque sacrifice de la Légion étrangère à Camerone, l’armée française enleva Puebla, le 17 mai, et entra à Mexico le 7 juin 1863. Le mois suivant, une junte conservatrice vota l’établissement d’un empire mexicain et légua la couronne à Maximilien qui ne l’accepta qu’après avoir obtenu de Napoléon III l’assurance d’un soutien prolongé de l’armée française.
Dès la fin de la guerre de Sécession (avril 1865), les Etats-Unis, qui n’avaient pas reconnu Maximillien, se montrèrent résolus à imposer au Mexique le respect de la doctrine de Monroe, Président des E.U de 1817 à 1825, qui consistait à repousser toute intervention européenne dans les affaires de l’Amérique et de l’Amérique dans les affaires européennes.
Ne voulant pas courir le risque d’un conflit avec les Américains, dès le mois de janvier 1866, Napoléon III entama, au mépris des engagements qu’il avait pris à l’égard de Maximilien, un retrait progressif du corps expéditionnaire français affaibli par la fatigue, la fièvre jaune et les désertions.
Ce mouvement fut accéléré par l’aggravation des tensions en Europe, provoquée par l’affrontement entre la Prusse et l’Autriche. Les dernières troupes françaises quittèrent le Mexique en mars 1867.
L’armée impériale mexicaine, pourtant forte de près de 30 000 hommes ne put alors empêcher la victoire des troupes juaristes en quelques semaines. L’empereur Maximilien refusa d’abdiquer et se réfugia à Querétaro. Trahi par ses propres hommes, il fut capturé le 14 mai 1867 et exécuté le 19 juin. Juarez retrouva un poste de président qu’il garda jusqu’à sa mort en 1872.
L’échec de l’expédition du Mexique altéra gravement le prestige du second Empire. Cependant, Napoléon III décida que le nom de Camerone serait inscrit sur le drapeau du Régiment Etranger et que, de plus, les noms de Danjou, Vilain et Maudet seraient gravés en lettres d’or sur les murs des Invalides à Paris. En outre, un monument fut élevé en 1892 sur l’emplacement du combat. Il porte l’inscription :
Ils furent ici moins de soixante
Opposés à toute une armée,
Sa masse les écrasa.
La vie plutôt que le courage
Abandonna ces soldats français
Le 30 avril 1863.
A leur mémoire la Patrie éleva ce monument.
Depuis, lorsque les troupes mexicaines passent devant le monument, elles présentent les armes.
Des combats comme celui de Camerone, la Légion étrangère en livra des centaines. Celui-là prit une valeur dramatique en raison de la disproportion des forces et de la fin tragique des défenseurs qui choisirent de respecter jusqu’au bout le serment fait à leur chef de ne jamais se rendre et de résister jusqu’à la mort.
José CASATANO
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La Légion Étrangère a fêté à Nice ce samedi 14 avril 2018 le souvenir de ses légionnaires tombés au champ d'honneur à la bataille de CAMERON au MEXIQUE le 30 avril 1863.
Histoire de la bataille de CAMERON au MEXIQUE
La bataille de Camerone est un combat qui opposa une compagnie de la Légion étrangère aux troupes mexicaines le 30 avril 1863 lors de l'expédition du Mexique . Soixante-deux soldats de la Légion, assiégés dans un bâtiment d'une hacienda du petit village de Camaron de Tejeda (« Camerone » en français), résistèrent plus d'une journée à l'assaut de 2 000 soldats mexicains et 1 000 cavaliers. À la fin de la journée, les six légionnaires encore en état de combattre, à court de munitions, se rendent à leurs adversaires à condition de garder leurs armes et de pouvoir secourir leurs camarades blessés.
Camerone est célébré chaque année comme un haut fait de la Légion étrangère, le 30 avril, dans toutes ses unités de Légion étrangère, dont la plus importante des cérémonies a lieu à AUBAGNE dans les Bouches-du-Rhône.
Programme de la journée à Nice de la Fête de CAMERON
09H30 - Messe du souvenir à l'Eglise du Port;
10H30 - Défilet jusqu'au Monument aux morts avec la musique (63 musiciens) de la Légion étrangère, les portes-drapeaux, les autorités civiles et militaires, les anciens des amicales de la Légion de Nice, Cannes, Le Luc et Aubagne;
11H00 - Les cérémonies au Monument aux morts en présence des autorités civiles et militaires;
11H45-12H00 - Aubade musicale pour le public par la musique de la Légion étrangère;
13H00 - Nouvelle aubade musicale par la musique de la Légion étrangère pour les personnes présentes invitées au traditionnel repas donné en l'honneur de la fête de Cameron par la Légion étrangère au Park Phénix de Nice.
LE FILM SUR LA FÊTE DE CAMERONE DE LA LÉGION ÉTRANGÈRE A NICE 14 04 2018
LES VIDEO DE DIACONESCO.TV
Il était une fois la Légion étrangère à Nice pour la commémoration de Camerone
2 ème partie de il était une fois la légion étrangère à nice
IL ETAIT UNE FOIS LA LEGION ETRANGERE A NICE POUR CAMERONE 2018
La bataille de Camerone est un combat qui opposa une compagnie de la Légion étrangère aux troupes mexicaines le 30 avril 1863 lors de l'expédition du Mexique . Soixante-deux soldats de la Légion, assiégés dans un bâtiment d'une hacienda du petit village de Camaron de Tejeda (« Camerone » en français), résistèrent plus d'une journée à l'assaut de 2 000 soldats mexicains et 1 000 cavaliers. À la fin de la journée, les six légionnaires encore en état de combattre, à court de munitions, se rendent à leurs adversaires à condition de garder leurs armes et de pouvoir secourir leurs camarades blessés. Camerone est célébré chaque année comme un haut fait de la Légion étrangère, le 30 avril, dans toutes ses unités de Légion étrangère, dont la plus importante des cérémonies a lieu à AUBAGNE dans les Bouches-du-Rhône.
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