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9 septembre 2018

L'INVASION-IMMIGRATIONNISTE EST-ELLE UNE CHANCE POUR L'EUROPE ?

Elections en Suède : quand l'économie n'explique plus la montée des partis anti-migrants

Elections en Suède : quand l'économie n'explique plus la montée des partis anti-migrants© TT SOURCE  : News Agency/Reuters
Le leader du parti anti-immigration SD Jimmie Akesson s'exprime le 31 août 2018, avec en arrière-plan des manifestants dénonçant la percée des nationalistes en Suède.

Alors que la crise migratoire dope les souverainistes en Suède, les partis traditionnels de gouvernement, eux, peinent à récolter les dividendes d'une économie florissante. Le populisme peut-il donc fleurir dans une société prospère et ouverte ?

La montée des nationalistes en Suède donne d'ores et déjà du fil à retordre aux commentateurs, alors que les Suédois doivent se rendre aux urnes ce 9 septembre pour élire leurs députés. Le Parti des démocrates de Suède (SD), nationaliste et anti-immigration, pourrait en effet, selon plusieurs sondages d'opinion, dépasser la barre des 20% et bouleverser le paysage politique suédois.

Parmi les observateurs en France, l'AFP s'inquiète : «Que s'est-il passé, dans ce royaume luthérien épris d'égalité et de consensus ?» De leur côté, Les Inrocks s'invitent au chevet du pays scandinave avec un article intitulé : «Comment expliquer l'explosion de l'extrême droite alors que l'économie est au beau fixe ?»

La réponse ne serait-elle pas dans la question ? De fait, le cas suédois ne cadre pas avec la grille de lecture habituellement avancée et qui, en France, est régulièrement appliquée au Rassemblement national (ex-Front national). En substance : l'«extrême droite» – et désormais les «populismes» – croîtraient sur le terreau fertile de la misère sociale. Cette analyse a été avancée dans certains médias pour expliquer, entre autres, l'élection de Donald Trump ou encore le résultat des élections législatives en Italie.

Que s'est-il passé, dans ce royaume luthérien épris d'égalité et de consensus ?

Or, la Suède n'est ni l'Italie, grevée par son endettement – mais pas par son commerce extérieur – ni l'Allemagne, dont la puissante économie ne profite pas à tous ses citoyens. Concernant le revenu par habitant, le pays fait partie des plus riches du monde. Selon un rapport de l'OCDE de 2017, le produit intérieur brut de la Suède a crû de 25% depuis 2005. Après une flambée sur fond de crise financière mondiale en 2008, le taux de chômage est retombé à moins de 7%. Malgré un accroissement des inégalités, résultat d'un aggiornamento libéral de la social-démocratie scandinave et des injonctions de l'Union européenne, les disparités de revenus restent faibles en comparaison avec d'autres pays de l'OCDE. En résumé : la Suède est un pays riche, et encore – relativement – égalitaire.

Lire aussi : Viktor Orban désigne Emmanuel Macron comme son principal adversaire en Europe

Insécurité, immigration... et «populisme de prospérité» ?

La formule «problèmes économiques = montée des populismes» ne semblant pas résoudre l'équation suédoise, d'aucuns convoquent alors le «populisme de prospérité», notion réservée jusque-là par exemple aux pays riches tels que la Suisse. En Suède, la bonne santé économique semble toutefois moins expliquer les intentions de vote en faveur du SD que les effets délétères et clivants d'une immigration de masse pour la société suédoise, pourtant traditionnellement accueillante.

Pays de 10 millions d'habitants (tous âges et sexes confondus), le royaume a ainsi absorbé, d'après les chiffres de l'AFP, quelque 400 000 immigrants depuis 2012, d'abord sous le gouvernement de centre-droit de Fredrik Reinfeldt, puis celui de centre-gauche de Stefan Löfven, au pouvoir depuis 2014.

Aussi, bien que la Suède de 2018 offre toujours ces vieilles images d'Epinal avec des cortèges de landaus poussés par de jeunes pères et des cyclistes souriants et casqués, l'ambiance s'est quelque peu dégradée. La ségrégation croît dans les banlieues des grandes villes et, parallèlement, les faits divers impliquant des immigrés sont devenus de plus en plus fréquents. Dans le courant du mois de juin, une fusillade a fait plusieurs morts à Malmö, troisième ville de Suède. En août dernier, des scènes de violences urbaines dans la ville de Göteborg ont sidéré le pays. Près de 80 voitures ont été incendiées dans cette nuit du 13 au 14 août. Aussi l'opinion publique a-t-elle peut-être atteint son seuil de tolérance, alors qu'en 2017, 1 457 voitures avaient été volontairement brûlées en Suède, selon les chiffres de la MSB, Agence suédoise de la protection civile.

Outre ces violences urbaines, le pays est désormais aussi confronté au problème de l'islamisme, dont l'implantation est plutôt récente dans ce royaume scandinave. En mars dernier, un rapport gouvernemental évoquait pour la première fois et sans détours le problème : le texte attirait l'attention du gouvernement suédois sur le développement d'une forme de «société parallèle» dans le pays, encouragé par les Frères musulmans, fondé sur une pratique de l'islam «de nature à menacer la cohésion de la communauté nationale» et s'appuyant sur «l'arrivée dans les années à venir, en provenance d'Afrique et du Proche-Orient, de réfugiés et de membres de la famille de migrants déjà installés» dans le pays. 

En avril 2017, la Suède était frappée de plein fouet par le terrorisme islamique. Un demandeur d'asile ouzbek radicalisé, qui avait prêté allégeance au groupe Etat islamique, avait lancé un camion de livraison dans une rue piétonne bondée de Stockholm en avril 2017, tuant cinq personnes. 

Des partis traditionnels plombés par la crise migratoire

Comptables d'une politique d'accueil généreuse des migrants, mais qui a profondément bouleversé le paysage urbain suédois, les partis historiques pourraient donc le 9 septembre passer à la caisse. Et échouer à conserver la majorité au Parlement suédois. Les sociaux-démocrates (Parti social-démocrate suédois des travailleurs) se préparent ainsi déjà à un revers historique, avec seulement 22 à 26%, talonnés de seulement trois points par le SD, selon un sondage de l'institut Skop cité par l'AFP. Contre 31% aux législatives de 2014.

A ce jeu, le SD a annoncé qu'il ferait jouer à plein le rapport de force issu des urnes, en dépit de la faible probabilité pour les nationalistes d'intégrer quelque cabinet que ce soit en raison du «cordon sanitaire» des partis traditionnels. «On va faire valoir nos conditions et mettre en avant nos positions sur [...] la politique d'immigration, la lutte contre la criminalité, la santé», a ainsi averti ainsi Jimmie Akesson, le leader du SD, dans un entretien à l'AFP. Sa formation siphonne les électeurs conservateurs, mais aussi sociaux-démocrates et affiliés à la confédération syndicale LO, très influente dans le pays.

Non à l'appel à la prière

Selon un scénario qui se répète un peu partout en Europe, l'immigration s'est donc aussi invitée au premier plan dans le débat public et dans les élections suédoises. Les affiches de campagne témoignent du changement de ton radical dans le débat public : «Non à l'appel à la prière», «Parler suédois pour devenir suédois, ce n'est pas une évidence ?» ou encore «Se haïr ou se parler ?»

Après l'Allemagne et l'Autriche en 2017 et l'Italie en mars 2018, et avec en ligne de mire les élections européennes de 2019, la Suède va-t-elle rejoindre la liste toujours plus longue des pays qui, selon l'Union européenne, votent mal ?

Lire aussi : «Les Macron, Merkel et Juncker accouchent des Orban, Salvini et Le Pen», selon Adrien Quatennens

 

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Chemnitz : ce ne sont pas des « néo-nazis ». Ce sont des victimes !

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Les médias autoproclamé « de qualité », comme Le Soir ou la RTBF, mentent comme de vulgaires feuilles de choux nazies. Ainsi, des manifestations contre l’insécurité importée par certains « migrants » et « réfugiés » ont été présentées comme inspirés par des sentiments « d’extrême droite » – laissant entendre qu’il s’agissait de « néo-nazis ». Mensonge !

En réalité, les habitants de cette ville de 250.000 âmes, située à l’ouest de la Saxe, exprimaient leur colère face à la violence des « migrants », notamment depuis la mort d’un Allemand de 35 ans, tué à coups de couteau par deux « migrants » syrien et irakien.

La manifestation ne présentait aucun aspect raciste. Les habitants de Chemnitz craignent tout simplement pour leur vie, face à des « migrants » agressifs qui se sentent protégés par une justice laxiste et une politique d’aveuglement face à l’émigration, défendue par la chancelière Merkel.

Les marcheurs exhibaient les photos des victimes d’agressions voire d’assassinats par des « migrants » d’origine principalement syrienne et irakienne.

Chemnitz faisait partie de la République Démocratique Allemande (RDA) et s’est appelée alors Karl-Marx-Stadt. Elle a connu un régime communiste sévère. Lors de la réunification de l’Allemagne (1990), la ville et sa région ont été touchées par une crise matérielle et humaine sans précédent. Le passage de l’économie communiste au libéralisme ne s’est pas bien passé.

Le taux de chômage se situe au-dessus du taux moyen allemand (5,3 %) et les emplois sont considérés comme sous-payés, pour 22,5 % d’entre eux. Autrefois, Chemnitz était considérée comme la « Manchester saxonne », tant l’industrialisation y avait progressé à grands pas. Mais ces industries ont vieilli et n’ont pas évolué sous le régime communiste. Les conséquences s’en font sentir aujourd’hui.

C’est dans ce climat socio-économique qu’il faut replacer les manifestations de cette fin de mois d’août 2018, et non au travers des miroirs déformants d’un quelconque racisme. Que la gauche allemande ait cru bon de se ruer dans l’explication « raciste » n’étonnera personne. Et que nos méfias subventionnés n’aient retenu que cette fausse justification reste bien dans la ligne des fake news dont Le Soir and Co sont coutumiers.

Le racisme, le vrai, celui qui dénigre les populations européennes, est bien du côté de la gauche.

C’est pourquoi il nous a semblé nécessaire de reprendre un reportage sur la vérité de la manifestation d’une population exaspérée par les mensonges qui ont fleuri à son propos. 

D.K.

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Ceuta : l’invasion sauvage a commencé
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Ceuta, c’est l’enclave espagnole en bordure du Maroc, par où les migrants illégaux d’Afrique veulent passer pour entrer en Europe. Il a suffi que la gauche revienne au pouvoir en Espagne pour que de nouvelles vagues de « migrants », violents cette fois, franchissent la barrière entre le Maroc et Ceuta. Avec l’aval du gouvernement espagnol de Pedro Sanchez (socialiste), les encouragements du Maroc et la complicité des ONG « humanitaires », financées par l’Open Society Foundation du milliardaire fou, George Soros.

Depuis la fermeture des frontières italiennes, l’Espagne est devenu l’eldorado des « migrants » et « réfugiés » d’Afrique, désireux de venir s’installer en Europe, y faire venir leurs familles et faire le plus d’enfants possibles. Comme le disait un diplomate tchèque, en place à l’Union Européenne : « Ces gens croient que travailler, cela se résume à dépenser l’argent des allocations. Un travail pénible ; il y aura bien un illuminé pour leur réclamer le statut de pénibilité en vue de leur pension… » (Jiri T., nom connu de la rédaction).

Autrefois commune de la province de Cadix (Espagne), Ceuta est devenue, en 1978, une communauté autonome. Le Maroc revendique officiellement cette enclave, considérée comme un « vestige du colonialisme ». Officieusement, la situation arrange bien le royaume maghrébin : il ne veut pas garder sur son territoire les « réfugiés » d’Afrique noire (oups ! le politiquement correct dit : « Afrique subsaharienne ») qu’il considère comme une lie et une salissure sur le territoire marocain. La tentation est donc grande d’envoyer cette « lie » (c’est le Maroc qui parle) vers l’Europe, via Ceuta.

Cela s’est produit depuis de nombreuses années, mais le gouvernement espagnol, dirigé par Mariano Rajoy et son Parti Populaire, avait renforcé les frontières autour de Ceuta et réglementé drastiquement les autorisations d’entrée sur le territoire espagnol. A peine deux mois après la chute de Rajoy et la mise en place du gouvernement non-élu du socialiste Sanchez, c’est la pagaille.

A CEUTA, L’INVASION AFRICAINE DE L’EUROPE MONTRE SON VRAI VISAGE

Les bien pensants mettent en cause les passeurs qui, contre monnaie sonnante et trébuchante, permettent aux « réfugiés » de franchir les barbelés et les fortifications entourant Ceuta. Mais il n’y a pas qu’eux.

Des groupes « humanitaires » et des « bénévoles », apparus « spontanément » sont actifs depuis de longues années, du côté marocain de la frontière, comme à Ceuta même. On y retrouve des gens qui se réclament d’Amnesty International, de l’OIM (Organisation Internationale pour les Migrations), de l’Unicef, de la Croix Rouge Internationale et d’organisations bidons, financées directement ou indirectement par l’Open Society Foundation.

Ces individus, traîtres aux citoyens européens, agissent tant au Maroc que sur le sol de Ceuta. Coté Maroc, ils trient les candidats « migrants » et « réfugiés ». Ils leur fournissent nourriture et abris, mais aussi les trucs pour faciliter leur accueil en Europe. Il s’agit de brûler les passeports, invoquer la nationalité dans un pays africain en guerre dont ces « réfugiés » proviendraient, mentir sur son âge (les plus jeunes ont de meilleures chances de se voir régularisés), recevoir des listes d’avocats à appeler, une fois sur le territoire espagnol, etc. A cet effet, les « réfugiés » reçoivent des smartphones dernier cri, dont les factures d’utilisation sont prises en charge par les organisations « humanitaires » !

Jusqu’à ce mardi 24 juillet 2018, les passages du Maroc à Ceuta s’étaient déroulés dans une sorte de bonhomie mettant en avant la bonne humeur et la débrouillardise d’Africains malheureux et inoffensifs. Personne ne s’inquiétait du fait que, depuis janvier 2018, quelque 18.653 « migrants avaient franchi la frontière de Ceuta (chiffres du 18 juillet, fournis par l’Organisation Internationale pour les Migrations – OIM).

TOUT A BASCULE CE 24 JUILLET

Les gardes civils ont vu déferler une vague de plus de 600 individus, armés jusqu’aux dents. Se frayant un chemin à coups de bâtons et de barres de fer, ils lançaient des pierres, mais aussi des récipients en plastique contenant de la chaux vive et des excréments, en plus de sprays enflammés, dont ils se servaient comme des lance-flammes.

Bilan : 15 gardes civils blessés, brûlés au visage et au corps. Le gouvernement espagnol n’a pas eu un mot de soutien aux policiers. En revanche, il s’est inquiété du sort des assaillants. Les pauvres : ils s’étaient blessés en franchissant les barbelés et les clôtures…

Plus de 500 « migrants » ont été accueillis dans les centres de séjour, où on fera tout pour satisfaire à leur demande d’asile.

Cette invasion barbare en annonce d’autres. Dès son arrivée au pouvoir, en juin 2018, le gouvernement non-élu d’Espagne a annoncé le démantèlement des barbelés, considérés comme « inhumains », tant autour de Ceuta qu’à Melilla, l’autre enclave espagnole au Maroc. Cette mesure aurait dû inciter les « migrants » à prendre leur mal en patience et attendre des jours meilleurs.

Mais il s’agit avant tout de s’installer en Europe et d’y bénéficier d’aides sociales comme il n’en existe nulle part ailleurs dans le monde. A cette fin, tous les moyens sont bons, y compris les plus violents. Aujourd’hui, les bouteilles à la chaux vive, demain, les bombes et des armées bien entraînées ?

En tout cas, les images montrent que ces « migrants » n’ont pas vraiment le profil des savants, médecins, génies et autres spécialistes de haut niveau que nous annonçaient les bien pensants depuis 2015…

CE N’EST PAS UNE MIGRATION, MAIS BIEN UNE INVASION DE BARBARES.

Les comparaisons valent ce qu’elles valent, mais on ne peut s’empêcher d’effectuer le rapprochement avec la fin de l’Empire romain d’Occident – septembre 476 de notre ère. Pendant des siècles (entre les 3ème et 5ème siècles), les barbares (un terme grec qui signifie « étranger » et désigne aussi les « Berbères », méprisés par les Arabes) se pressaient aux frontières de l’Empire. Ils passèrent très vite à des actions violentes de pillage, profitant de la faiblesse des pouvoirs locaux et des querelles à la tête de l’Etat.

Dès qu’ils avaient pillé une région, les Barbares s’en allaient à la recherche d’autres lieux connus pour leurs richesse et leur prospérité. Certains empereurs crurent bons d’intégrer des Barbares dans l’armée et dans l’administration, où ces derniers sabotèrent gaillardement l’ordre romain, la Pax Romana. Ils installèrent le chaos qui mena à l’obscurantisme du Haut Moyen Age. L’ordre romain fut éradiqué et remplacé par le règne de pillards, de chefs de bande s’intitulant « rois », tandis que des populations, autrefois heureuses, mouraient de faim et sombraient dans l’ignorance et la servilité.

Les barbares de Ceuta n’ont certainement jamais lu l’histoire de l’Empire romain. Nous devrions la connaître et nous ne vous conseillerons jamais assez de lire le très éclairant ouvrage de Michel De Jaeghere, Les Derniers Jours – La Fin de l’Empire romain d’Occident (Editions Perrin – collection Tempus). Profitez de vos vacances (les dernières ?) pour vous y plonger !

Plus que jamais, The Movement/Le Mouvement, fondé par Mischaël Modrikamen à la tête du PARTI POPULAIRE, et animé par Steve Bannon, se révèle indispensable pour défendre les frontières de l’empire, cette Union Européenne, dominée par des incompétents, des lâches, un alcoolique et des profiteurs, semblables à ces sénateurs romains du 5ème siècle, prêts à trahir leur peuple pour quelques deniers… 

Nos citoyens d’abord !

D.K.

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