Il se sent très fort, Macron. Fort du soutien de son parrain Attali, dont le propre parrain est le capital-hégémoniste Soros, ce fou qui veut détruire les peuples d’Europe. Fort du soutien des banques dont il est issu et qu’il représente. Fort du soutien des ultra-mondialistes, parmi lesquels 8 hommes seulement possèdent autant que 3 milliards et demi d’hommes, la moitié la plus pauvre de la planète. 8 hommes qui méritent la mort et la trouveront certainement puisque les peuples ont commencé leur grand soulèvement. Mais Macron, qui se prend pour un Dieu, ne cédera pas. Que les Français les moins riches crèvent, ça diminuera la population de la planète, voilà son credo. Et puisque le Macron ne veut pas céder, un seul moyen : le peuple debout, dans la rue.
Macron et son acolyte de Matignon, qui ne veulent pas céder, ont fait bloquer de nombreux trains de province pour limiter le nombre de ceux qui se rendent à Paris et ont donné leurs ordres afin de faire taire le peuple. « Faites-les reculer coûte que coûte », a-t-il été ordonné aux forces de l’ordre. Et celles-ci n’ont pas hésité à obéir (c’est tellement agréable d’avoir enfin de l’action au lieu de croupir toute la journée dans les camions), lançant à Paris des gaz dès l’arrivée des GJ, sans même les laisser s’installer, afin de les faire reculer. C’est ce qu’un policier interviewé vers midi par CNews appelle « une bonne gestion ». Les images montrent des affrontements entre manifestants désarmés et CRS équipés comme des robocops.
Détonations de partout, tirs de Flash-Ball contre ces gens venus manifester pour leurs moyens d’existence et dont beaucoup venus pacifiquement se retrouvent blessés, utilisation à fond des lacrymogènes et fumigènes dont on connaît les effets néfastes sur la santé, intervention des lances à eau dont on sait la puissance, interpellations nombreuses - 250 voir plus - La foule est divisée, encerclée, prise dans des souricières, maltraitée. Mauvais jeu, Macron, que d’envoyer des casseurs pour donner aux CRS les prétextes pour tirer contre le peuple, mais nul n’est dupe de tes manœuvres. À 11 heures, la compagnie d’intervention parisienne charge contre cette foule désarmée, blessant des dizaines de citoyens, et ne peut que nous rappeler la police parisienne de Vichy qui, rappelons-le, perdit à la Libération le droit de porter la fourragère, comme signe de son déshonneur. Visiblement la police parisienne est toujours aussi infecte.
À 11 h 52, Marlène Schiappa, la reine des romans pornos qu’elle fait financer par les fonds publics et qui a essayé hier de faire pleurer dans les chaumières en se disant issue du peuple pauvre, reconnaît soutenir la police et réfute que le gouvernement ait envoyé des casseurs anars pour briser le mouvement de ceux qui ne demandent qu’à vivre moins mal – et non à vivre mieux comme a essayé de le faire croire le petit Macron. Elle parle d’aider le peuple mais, comme son maître olympien, ne fait aucune proposition concrète. Du vent. Encore du vent.
13 heures, charge avenue de Friedland avec les canons à eau, tandis qu’Édouard Philippe se dit attaché à la liberté d’expression ! Il se prétend choqué du fait que les GJ puissent se trouver autour de la tombe du Soldat inconnu alors que ceux-ci ne font que s’approprier nos symboles, armés du seul drapeau tricolore et de la Marseillaise. Il craint aussi les discours révolutionnaires : commencerait-il à comprendre que nos gouvernements n’étant plus reconnus ont perdu aux yeux des Français toute légitimité ? Et pendant que d’une voix blanche s’exprime le Premier sinistre, accompagné du joueur de poker-menteur, les violences se poursuivent dans toutes les avenues qui entourent l’Arc de Triomphe, sauf dans l’avenue des Champs-Élysées, porte d’accès à la Concorde et à l’Élysée. Car le pouvoir, tout en se raidissant, a peur. C’est pourquoi, pour briser et discréditer les GJ, il a lancé ses casseurs, parmi lesquels se trouvent des groupes infiltrés de policiers et des milices musulmanes chères à Macron, équipés de masques, et continuant à justifier la violence des forces de l’ordre. La France entière est indignée que les Gilets jaunes soient gazés alors qu’ils chantent pacifiquement la Marseillaise. La répression est féroce de la part d’un gouvernement qui veut se maintenir envers et contre tout et qui nie la réalité. Les identités sont vérifiées contre le droit fondamental de déplacement, sauf celles des casseurs. La stratégie du gouvernement étant de décourager les GJ afin qu’ils n’y reviennent pas la prochaine fois. Mais la colère est trop intense et le peuple ne cédera pas. Les pères et mères de famille ne veulent plus de ce monde matérialiste et bancaire fourgué par des gens dont la légitimité n’existe plus.
En dehors de Paris, les GJ sont mobilisés dans toutes les régions, toutes les villes et bourgades, tandis que là aussi les forces de l’ordre tentent de mettre fin aux manifestations pourtant très pacifiques. Autoroute A8 en direction de Lyon, la Barque près d’Aix-en-Provence, tarmac de l’aéroport de Nantes, Bordeaux, autoroute A7 à Feyzin, Brest, Toulouse, Montpellier, Lille, Marseille, Rennes, partout, partout le peuple est debout.
13 h 30, une grande marche des Gilets jaunes, drapeaux français en tête, est bloquée par des tirs nourris de grenades lacrymogènes, de grenades détonantes et de canons à eau. Pourtant, il continue à avancer, toujours pacifiquement, le peuple de France. Le policier interrogé par CNews explique que le bruit, le souffle, le gaz ont pour but de désorienter les manifestants et qu’il ne s’agit pas de les blesser, ce qui est manifestement faux. Des Gilets jaunes montrent aux caméras leurs blessures et racontent que des blessés plus graves ont été évacués. On entend Benjamin Griveaux déclarer que le gouvernement maintiendra le cap, soit ne changera rien aux mesures impopulaires qu’il a prises, et il appelle à la plus grande fermeté contre les GJ, ne parlant que de casseurs. Or, on sait que ces casseurs ont été lancés par le gouvernement. Il prétend cependant maintenir le dialogue, mais quel dialogue lorsque le gouvernement refuse tout changement ? C’est de la foutaise. Macron, lui, a préféré disparaître en Argentine, sous prétexte de diplomatie. Comme le 17 novembre, il a préféré s’enfuir, Jupiter.
14 h, Muriel Pénicaud, ministre du Travail, reconnaît le malaise et parle aussi de dialogue, mais pas de recul du gouvernement.
14 heures, Mélenchon ramène sa poire à Marseille, et bien qu’il dénonce « l’incroyable acharnement contre des manifestants pacifiques place de l’Étoile » et constate que les GJ « sont encerclés dans une nasse et bombardés sans issue. Le pouvoir veut un grave incident pour jouer la peur », il tient néanmoins un langage ambigu puisqu’il déclare que tant le gouvernement que les GJ sont légitimes et qu’il souhaite de nouvelles élections, songeant à la récupération. Or, précisément, le gouvernement n’est plus légitime puisque la légitimité tient exclusivement à sa reconnaissance par le peuple.
Il est évident que le pouvoir ne veut pas céder. Ne cédera pas. Et sera renversé. Comme le tsar Nicolas II qui fit tirer sur la foule affamée devant le Palais d’été en 1905 et finit fusillé. Comme Louis XVI qui fit venir à Paris des troupes étrangères en juillet 1789 pour contrôler le peuple et fut guillotiné. Les gouvernants ont oublié qu’ils ne sont là que pour servir et non pour se servir. Qu’ils sont aux ordres des représentants du peuple et que, lorsque ceux-ci ne sont plus en état de respecter leur mandat comme aujourd’hui, qu’ils sont aux ordres du peuple lui-même. Je veux rappeler ici les principes sacrés de nos Constitutions, fondés sur la
Déclaration des droits de l’homme de 1789 dont le préambule considérait que « l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements ». L’article 3 de la DDHC stipule que : « Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation » et l’article 12 que la force armée « est instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée ».
Principes largement oubliés par ceux qui nous gouvernent et s’enrichissent sur notre dos.
15 heures, beaucoup de manifestants sont repartis, et restent surtout les casseurs et les manifestants les plus motivés. Certains ont récupéré une pelleteuse de chantier et chargent les policiers qui n’y voyaient rien… du fait des gaz lacrymogènes qu’ils ont répandus partout et qui font comme un épais brouillard dans toute la zone. La situation pourra donc empirer dans les mois à venir. Sans chefs, sans porte-parole, sans intermédiaires.
Aujourd’hui, la situation est claire : le peuple, dans son ensemble, a pris la décision de renverser ses tyrans et continuera sa mobilisation. Les GJ ne vont pas tarder à être rejoints par les routiers, les étudiants et lycéens, les petits commerçants, les infirmières… contre un chef de l’État atteint d’une assourdissante surdité, tandis que police et gendarmerie, créées pour protéger le peuple et non ceux qui sont à ses ordres, sont devenues les ennemies du peuple. Les cibles futures de la Révolution ont été identifiées comme je l’ai lu sur de nombreux blogs : les polices, magistrats, perceptions, préfectures et médias officiels. Le peuple de France est en marche… avant… et ne tardera pas à entraîner les autres peuples d’Europe contre les institutions de Bruxelles dont les chefs d’État sont les pantins.
Ce n’est pas encore la Révolution, mais c’est bien plus qu’une révolte populaire. La Révolution n’est pas bien éloignée. Ce n’est aujourd’hui que le début du grand printemps des peuples d’Europe.
Louise Guersan
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Publié le 1 décembre 2018 - par Jacques Guillemain
Beaucoup a été dit sur la révolte des Gilets jaunes, mais trop de vérités restent cachées. Le terrorisme intellectuel n’aura fait que retarder l’heure des comptes. Nous y sommes et le peuple ne se calmera pas si le pouvoir ignore sa détresse et mise sur le pourrissement du mouvement.
Quand Macron et nos élites autoproclamées seront décidées à jouer cartes sur table, à débattre des méfaits de la mondialisation et du coût démentiel de l’immigration, peut-être y aura-t-il une porte de sortie pour ce mouvement qui pourrait très mal finir, si Macron persiste à mentir et à mépriser le peuple français.
Car depuis Buenos Aires, où il assiste au G20, il a réaffirmé sa fermeté.
« Il m’appartiendra de prendre des décisions supplémentaires dans les semaines et mois à venir, mais elles ne seront jamais des reculs ». Curieuse conception du dialogue, soi-disant ouvert ! Curieuse conception de la démocratie quand le peuple crie sa détresse.
Au sein de la majorité, c’est la débandade, certains se demandant si le navire LREM ne va pas finir par sombrer corps et biens, avec un capitaine plus détesté que jamais et qui plonge toujours plus bas dans les sondages.
« Si on lâche, c’est fini », dit l’un.
« Il faut lâcher du lest », dit un autre.
« Augmentons le Smic de 100 euros et abandonnons la hausse de la fiscalité écologique en janvier », dit un troisième.
On le voit, c’est la panique qui gagne les rangs de la majorité, après 18 mois d’une politique injuste qui a appauvri le peuple et enrichi les nantis.
Macron n’est pas le seul responsable de l’effondrement du pays, qui avait le 5e niveau de vie au monde en 1975 et qui se paupérise à grande vitesse avec la mondialisation et l’immigration, mais son obstination conduit la France au chaos.
Effondrement du niveau de vie des classes moyennes et chaos racial vont désintégrer le pays si rien ne change. Mais quand un ayatollah du mondialisme est persuadé d’avoir raison seul contre le peuple, il devient difficile d’éviter l’escalade de la violence.
C’est l’obstination de Macron qui est responsable des scènes de guérilla urbaine.
Et il va aller à Marrakech signer le Pacte mondial sur les migrations, alors que 70% ne veulent plus de migrants !
Voici ci-dessous le niveau de pauvreté de la France de 2018. Des chiffres dramatiques qui expliquent la révolte des Gilets jaunes.
https://www.inegalites.fr/La-misere-persiste-en-France-l-un-des-pays-les-plus-riches-au-monde
Suivent quelques chiffres sur l’enrichissement des élites. C’est cette injustice qui suscite la colère du peuple.
La France compte près de 10 millions de pauvres. Ce chiffre ne peut baisser puisque la croissance redescend de 2,3 % à 1,6 % et que nous accueillons des centaines de milliers de pauvres chaque année, pour lesquels il n’y a ni emploi ni logement.
La pauvreté, nous l’importons depuis des décennies. Et ce sont les natifs qui en supportent les conséquences, puisque la part du social de 750 milliards doit être partagée avec toute la misère du monde.
Bien que la France soit un très riche pays agricole, nos petits vieux font les poubelles !
Et pendant que nous avons des millions de mal-logés, des dizaines de milliers de clandestins sont logés à l’hôtel aux frais du contribuable (25 000 et 40 000)
Personnes vivant en habitat dégradé 2 425 000 | |
– dont logements inconfortables 2 090 000 | |
– dont habitats de fortune (cabane, camping, etc.) 85 000 | |
Personnes vivant en logements exigus 934 000 | |
Personnes sans domicile personnel 811 000 | |
– dont personnes hébergées chez des tiers dans
des conditions de logement très difficiles 643 000 |
|
– dont personnes sans domicile 143 000 | |
Personnes bénéficiaires de l’aide alimentaire 4 770 000 | |
Allocataires de minima sociaux 4 149 400 | |
– dont RSA socle 1 863 200 |
Mais au sommet de l’échelle sociale, c’est le contraire. Si la crise a appauvri les Gilets jaunes puisqu’une étude montre que le niveau de vie a baissé de 440 euros entre 2008 et 2016, les riches, quant à eux, peuvent se réjouir.
Selon l’ONG Oxfam, «Les 10 % des Français les plus riches détiennent plus de la moitié des richesses alors que les 50 % les plus pauvres se partagent à peine 5 % du gâteau.”
Et tout en haut de la pyramide, le 1 % des ultra-riches détiennent 22 % de la richesse contre 17 % en 2007 « , selon le rapport « Partager la richesse avec celles et ceux qui la créent «
En 20 ans, la fortune cumulée des 10 plus grosses fortunes françaises a été multipliée par 12, tandis que le nombre de pauvres augmentait de 1,2 million.
38 milliardaires se partagent une fortune de 245 milliards et possèdent autant que les 40 % de Français les plus pauvres.
Une telle société n’a aucun avenir. Et si Macron croit que la mondialisation et l’immigration vont régler le problème, nous allons tout droit vers un remake de 1789.
Quant à l’immigration, qui paupérise le pays et fait glisser la France vers le tiers-monde, je vais me contenter de citer Guillaume Faye qui pose les excellentes questions qui fâchent. Le lien ci-dessous mérite le détour.
http://www.gfaye.com/pourquoi-questions-subversives/
Politique de la ville
« Des milliards d’euros de subventions, d’aides en tous genres, de travaux ont été dépensés – et continuent de l’être – dans les cités peuplées d’immigrés depuis 40 ans, largement privilégiées par rapport aux petites villes périphériques peuplées de Français de souche. Or les zones de non droit prolifèrent – déjà plus de 500 –, le trafic de drogues explose, les émeutes, les agressions de policiers en patrouille, de postiers, de pompiers, les incendies, les pillages, les dégradations de biens et bâtiments publics sont devenus quotidiens et s’amplifient chaque année. La « politique de la ville » est un échec complet mais continue, payée par vos impôts. Pourquoi » ?
« La France a reculé de plus d’une dizaine de places est passée en 30 ans de la 5e à la 28e place des pays dans l’ordre du PIB par habitant (niveau de vie et pouvoir d’achat) Pourquoi » ?
La préférence étrangère et ethnique : un racisme d’État
« Un Français de souche retraité modeste qui a travaillé et cotisé toute sa vie ou sa veuve qui perçoit une pension de réversion gagnent environ deux fois moins qu’un (faux) réfugié (on dit « migrant ») subventionné, aidé, logé, originaire d’Afrique ou d’Asie, même débouté de sa demande d’asile. Pourquoi » ?
« L’immense majorité des SDF que vous voyez dans les rues en train de mendier sont d’origine européenne. Pourquoi « ?
« Dans les entreprises « citoyennes », selon le vocabulaire du jargon officiel, obligées de pratiquer des quotas ethniques qui ne disent pas leur nom (diversité et discrimination positive) on embauche prioritairement en fonction de critères raciaux (donc racisme pratiqué au nom de « l’antiracisme » !) pour dire les choses clairement. Ces grandes entreprises ont souvent l’État comme actionnaire. La performance professionnelle de ces recrutements ethniques, racialistes n’a jamais été évaluée mais tout indique qu’elle est mauvaise. Elle est couverte par une chape de silence soigneusement protégée mais qui commence à se fissurer. Pourquoi » ?
Les « logements sociaux » que les communes sont obligées de prévoir et de construire sous peine d’amende et qui sont quasi gratuits sont en réalité des « logements ethniques » uniquement réservés aux personnes d’origine immigrée extra-européenne. Les Français de souche, même très pauvres, n’y ont pas accès. Fait objectif vérifiable dans toute la France. Pourquoi ?
« Dans l’Est de la France, une centaine d’ouvriers et d’employés, tous Français de souche, ont été licenciés de leur entreprise industrielle en liquidation. Les tribunaux leur demandent de rembourser une grande partie de leur indemnité de licenciement économique, suite à une prétendue surévaluation, soit plus de 10.000 euros par employé. Il n’y a plus de recours possible car la Cour de cassation a confirmé le jugement. Ces familles populaires sont rigoureusement incapables de rembourser, toutes vivant déjà difficilement avec à peine 800 euros par mois. Beaucoup ne mangent pas à leur faim pour réserver la nourriture à leurs enfants. Leur seule perspective est la saisie et la vente forcée de leurs biens et, pour certaines, d’être expulsées et jetées à la rue. Pendant ce temps, des milliers de « migrants », tous clandestins, et de déboutés du droit d’asile, en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient, tous musulmans et jeunes, sont hébergés, nourris et soignés gratuitement et perçoivent des aides financières égales ou supérieures aux revenus de ces familles françaises. Pourquoi » ?
Tout est dit.
D’un côté, nous avons des riches toujours plus riches et des pauvres toujours plus pauvres, et de l’autre, nos élites mondialistes aggravent le mal en accueillant toute la misère du monde.
Ces imbéciles ne comprennent même pas que toutes les coutures de la société sont en train de craquer à cause de leurs délires mondialistes.
Macron est en train de jongler avec des flacons de nitroglycérine et la déflagration peut survenir à tout moment.
Il serait temps qu’il comprenne que le peuple a toujours raison et qu’il reprendra tôt ou tard son destin en mains.
Plus le pouvoir diabolise les Gilets jaunes en essayant de les dépeindre en abominables fachos et en casseurs, plus le mouvement est populaire, soutenu par 85 % des Français.
Car ce que n’a pas compris notre premier de la classe, c’est que ce mouvement est à la fois social et IDENTITAIRE.
Sous l’Arc de Triomphe, on agite les drapeaux français et on chante la Marseillaise. Et ça, ça gêne beaucoup nos mondialistes !
Rien d’étonnant à cela quand on sait que 2 Français sur 3 ne veulent plus d’immigration et jugent que l’islam est un obstacle à l’intégration.
En fait, pour Macron, rien ne va plus. Après avoir promis le paradis sur Terre, il a réussi à faire l’unanimité contre lui en quelques mois. Du jamais vu.
Une situation insurrectionnelle qui exige au minimum une démission du gouvernement et même une dissolution de l’Assemblée afin de changer de politique.
Jacques Guillemain
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Publié le 1 décembre 2018 - par Sophie Durand
Cette semaine, j’ai fait par étapes 800 km, d’ouest en est, dans la France profonde. Ce que je peux dire, c’est que j’ai vu partout des barrages de Gilets jaunes, des Gilets jaunes au bord des routes, des Gilets jaunes à des carrefours, et que cela m’a réchauffé le cœur. Car on nous avait dit, à Rance-info, que le mouvement faiblissait. Eh bien non, pas du tout ! Il ne faiblissait pas.
Il était même encouragé et soutenu comme nous le dit ce Gilet jaune :
J’ai traversé l’Angoumois, le Limousin, le Rouergue, puis le Languedoc et la Provence. J’ai vu au moins seize barrages de Gilets jaunes, ce n’est pas rien. Occupant pacifiquement des ronds-points, des entrées d’autoroute, l’espace devant des centres commerciaux. Beaucoup, beaucoup de monde. Des tentes étaient installées car il faisait froid, des brasiers pour réchauffer. Des saucisses grillaient, c’était très convivial, bon enfant. Chaleureux. On avait envie de se joindre à chacun de ces barrages.
Ces gens avaient du mérite, car la température tournait le matin autour de 6°, et ils étaient là, aimables, prévenants, depuis l’aube.
Les Gilets jaunes nous demandaient de klaxonner et on obéissait sur le champ. Ils souriaient, car ils étaient heureux de leur démonstration. C’était un concert de klaxons. Une évidence. Un plébiscite.
Nous avons perdu une heure dans des barrages filtrants à l’arrivée mais cette heure de retard ne nous a pas pesé alors qu’au fond nous étions pressés. Car s’arrêter aux barrages et klaxonner, c’était une participation qui nous honorait. Les gens autour de nous ne s’impatientaient pas non plus. Ils savaient que c’était pour la bonne cause. Et ils montraient qu’ils le savaient.
La France profonde était là. La France de toujours, celle qui souffre. Beaucoup de voitures pavoisaient avec un gilet jaune à l’avant. Pratiquement tout le monde semblait être pour les Gilets jaunes. Le Français n’aime pas attendre et râle quand on l’y oblige, mais pas cette fois-ci.
La France profonde a mis peut-être un peu de temps pour se mettre en mouvement, mais maintenant qu’elle y est, elle n’est pas près de s’arrêter. C’est un mouvement puissant, tranquille, qui va durer. Et peut-être tout emporter sur son passage.
Comment oublier en passant devant, en cette fin de mois, le magasin de surgelés Picard dans lequel j’étais entrée une autre fois ?… Le magasin était totalement vide de clients. C’était bien pour moi : pas de cohue, tout le temps de choisir. L’unique employée dans le magasin poussait des soupirs de tristesse et se rongeait les ongles avec désespoir. Finalement, elle était venue vers moi et m’avait dit tout de go : « Vous voyez, il n’y a personne, les gens reviendront la semaine prochaine. »
Sans attendre, elle avait ajouté : « Oui, c’est la fin du mois, ils n’ont plus rien, alors ils ne viennent plus, ils attendent leur paie. Ils ne mangent plus que des pâtes chaque dernière semaine du mois. »
Comme si presque rien n’avait changé depuis Jacquou le Croquant, qui se nourrissait de vieilles patates ou de vieux croûtons dans le meilleur des cas.
J’y étais retournée la semaine suivante, en début de mois, l’employée ne soupirait plus et m’avait fait un clin d’œil : « Vous voyez, ils sont revenus. »
C’est cela, le malheur des Gilets jaunes : ne même plus pouvoir s’offrir les premiers prix du magasin Picard. Ni tout le reste. Devoir tout le temps se restreindre, tout le temps compter, se priver de tout, ne pas savoir de quoi demain sera fait. Ne pas savoir comment on vivra demain ni comment on fera vivre ses enfants. Ni comment on vieillira. Être écrasé sous le poids des taxes.
Être racketté sans répit par un État qui nous retire le pain de la bouche sous de faux prétextes. Un État dont les milliers de hauts fonctionnaires déconnectés sont grassement payés, les nombreux élus couverts de privilèges et les migrants sans droits les premiers servis, au grand détriment des autres.
Cet État qui enfonce le pays en prenant tout aux Français… et en redistribuant tout ce qu’il peut et plus encore aux envahisseurs autrefois tant combattus. Combien de temps cela va-t-il encore durer ? Les Français en ont assez. Assez !
Sophie Durand
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Publié le 1 décembre 2018 - par Hamdane Ammar
Le président Macron, alias Bibi, qui a une pensée complexe difficile à cerner, est-il soudainement descendu de l’Olympe pour mesurer l’intensité de la protestation des oubliés de France et de Navarre ?
L’irruption de l’Ovni des Gilets jaunes dans le ciel de son royaume, qui était jusque-là sans aucun nuage à l’horizon, a surpris sa cour et la caste qui lui a fait allégeance. Il faut le dire et le répéter, elles sont tétanisés car elles ne sont pas préparées à entendre les révoltés de cette sordide mondialisation.
Peu habitués au tintamarre des gens d’en bas, les communicants de tous bords sont restés sans voix.
Incapables de se remettre en cause, les classes dirigeantes sont rejetées par le mouvement des Gilets jaunes, alors elles essayent de ruser pour le saborder.
Au pays de l’endogamie, la bien-pensance tente de comprendre ce qui lui tombe sur la tête mais comme elle baigne dans le politiquement correct et dans la bienveillance envers les derniers arrivés, elle a oublié les autochtones, ceux qui ont fait la richesse du pays. C’est aussi simple que ça, et il ne faut pas sortir de Saint-Cyr pour le comprendre.
Alors face aux Gilets jaunes, Jupiter vient de se rappeler qu’il existe une classe moyenne française qui souffre et surtout qu’il y a encore encore des masses laborieuses au fond fin de la Creuse. Est-ce Marx qui l’a rappelé à l’ordre ? Mystère.
Lui, Jupiter qu’il est, n’a pas vu venir la vague des Gilets jaunes qu’il a traités avec mépris dans un premier temps, puis il s’est aperçu que la plèbe est sortie de ses chaumières pour lui demander des comptes sur sa mauvaise gouvernance. Alors, avec sa pensée complexe, il a commencé à insulter ce peuple qui était invisible et rasait les murs en se faisant racketter par un État incapable de se réformer et vorace de l’argent des contribuables mais sentant que le vent qu’il contrôle a priori, a changé de direction, il a commencé ses manœuvres de tromperie comme tout monarque orgueilleux, égocentrique et narcissique qui refuse de se remettre en cause.
AVE CAESAR MORITURI TE SALUTANT
Face au mouvement des Gilets jaunes, las d’être des vaches à lait, son fan-club et l’oligarchie médiatique se sont retrouvés désemparés, incapables de comprendre ce qui se passe sous leurs fenêtres. Car pour eux les gueux resteront des abrutis sans conscience politique, des buveurs de vin et des bouffeurs de cochon. En un mot, des tubes digestifs !
Quand on prend d’en haut, le peuple, le vrai, pas le parasite qui mange sans travailler en recevant, chaque mois que Dieu fait, le RSA et toutes les aides possibles et imaginables payées par ceux qui se lèvent tôt, le retour de manivelle est inéluctable, c’est écrit dans les manuels de l’Histoire et Jupiter et ses supporteurs n’ont qu’à les ouvrir au lieu de faire des commentaires creux de jour comme de nuit sur les plateaux de télévision.
Pour Bibi et sa pensée complexe, l’heure de vérité a sonné. La vraie politique, pas celle des gesticulations stériles l’attendent de pied ferme. Et le tocsin de la révolte est sur le point de sonner.
En imposant la transition écologique au moment où le peuple travailleur n’arrive pas à joindre les deux bouts, il s’est coupé de la France profonde, celle qui refuse la mondialisation économique à sens unique et qui ne veut pas mourir culturellement. Installé au sommet de l’Olympe, il n’entend pas la colère de la masse des « incultes » dont il a la destinée en mains. Voguant au-dessus des nuages, il se prend pour le sauveur de l’humanité en méprisant le peuple de France et de Navarre qui est livré à lui-même et qui fait face à une invasion culturelle et civilisationnelle imposée par l’islam. Il n’entend que les gens de sa caste, ceux qui s’invitent à sa table.
Quant aux autres, les sans-dents, ils ne sont que des éléments de décor.
Soutenu par l’oligarchie dominante, Mr Macron persiste et signe, refusant de changer de politique sur la transition écologique qu’il fait supporter au dos des Français qui travaillent et qui payent leurs impôts rubis sur l’ongle. Il veut montrer au monde entier qu’il est le président du changement permanent et que les déshérités du monde entier, ceux qui sont à l’origine de la bombe démographique qui fera exploser la Terre- mère, peuvent compter sur sa pensée complexe afin de les sauver de la précarité dans laquelle ils pataugent. Et pour appliquer cette politique de générosité, il fait saigner les Français en les rendant responsables du réchauffement climatique qui est une fumisterie de plus afin de leur faire les poches, eux les honnêtes citoyens.
Un peu de décence, M. le président, car que représentent 67 millions de Français face aux sept milliards d’individus sur terre dans le réchauffement climatique ? Absolument rien !
M. Trump, le président de la première puissance économique et militaire de la planète Terre, qui ne croit pas au changement climatique et encore moins au mondialisme, doit s’esclaffer d’un rire sardonique. Au moins, lui, a tenu ses promesses électorales, car le chômage recule et le taux de croissance augmente aux États-Unis quoi qu’en pensent ses adversaires.
Quant à vous, M. Le Président et votre cour des marcheurs, on attend avec impatience vos promesses qui sont non tenues pour le moment sur le chômage et en attendant, vous êtes arrogant et méprisant envers les Français de condition modeste mais bienveillant avec les puissants et les migrants. Qui va croire encore votre parole jupitérienne?
Hamdane Ammar
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Publié le 1 décembre 2018 - par Sébastien Jallamio
La révolte des « Gilets jaunes », soutenue par la majorité écrasante des Français, s’est désormais inscrite dans la durée, au point que même les plus fidèles chiens de garde n’osent plus parier sur son essoufflement. Devenus inaudibles, le chef de l’État et le gouvernement peinent à influencer l’opinion malgré les moyens déployés en termes de propagande. Comment sortir de cette crise sans que la révolte ne tourne à une dérive (encore plus) totalitaire du pouvoir ?
Une seule alternative : appliquer l’article 12 de notre Constitution.
Bien sûr, d’aucuns peuvent dire qu’Emmanuel Macron ne décidera jamais de dissoudre l’Assemblée nationale, ce qui permettrait pourtant une sortie de crise démocratique, en permettant aux électeurs de se prononcer sur la politique qu’ils souhaitent mettre en œuvre. J’entends aussi ceux qui affirment que cela ne changerait rien dès lors que le mode de scrutin reste inchangé, et que par conséquent la future Assemblée ne serait pas plus représentative que celle qui compose l’actuelle législature… Soit. Mais rappelons-nous un détail important, qui était annonciateur de la grave crise politique que nous traversons en ce moment : le taux d’abstention historique lors des dernières élections législatives (57,36 %).
Le moins que l’on puisse dire est que cette France des Gilets jaunes ne se reconnaît plus dans les partis politiques qui tour à tour ont été aux responsabilités, et cela ressort clairement de leurs revendications, qui vont bien au-delà du simple prix des carburants. Les Gilets jaunes ont soif de démocratie, et rejettent massivement les orientations politiques du gouvernement, dont ils ont compris qu’elles étaient hostiles à leurs intérêts.
Or le calendrier électoral ne leur permet pas de se prononcer à nouveau avant plusieurs années, les élections européennes de 2019 et municipales de 2020 n’étant pas à même d’influer suffisamment sur la politique nationale dont ils souhaitent un changement d’orientation en urgence.
La seule issue démocratique raisonnable est donc de dissoudre l’Assemblée nationale, ce que le mouvement des Gilets jaunes a demandé à travers la voix de certains de ses porte-parole, et qui serait la première étape d’un processus conduisant à la fin d’un diktat imposé par des instances supranationales dont nos dirigeants ne sont que les pantins, comme l’a clairement expliqué l’animateur Thierry Ardisson dans l’émission Talk Show du 16 novembre 2018 :
Quand @T_Ardisson décrit le plus clairement du monde le profil d'Emmanuel Macron : un homme mis en place par le système pour servir les intérêts de Bruxelles quitte à ruiner la France. (Talk-show du vendredi 16 novembre 2018) pic.twitter.com/GISxsFSTwe
— Sébastien JALLAMION (@SJallamion) November 21, 2018
L’autre alternative qui se présente à Emmanuel Macron est de persister dans son entêtement à prendre les Français pour des crétins à qui il faut expliquer ce qui est ou non bon pour eux, quitte à leur tenir des propos dignes d’un grand oral de l’Ena entrecoupés de « en même temps », et d’attendre que la situation empire pour mettre en œuvre des mesures d’exception, par exemple en recourant à l’article 16 lui conférant les pleins pouvoirs. Il pourra alors se targuer d’avoir marché dans les pas de son ami Erdogan…
À nous de savoir si nous sommes prêts à laisser cela arriver dans notre pays, ou si nous sommes dignes de nos ancêtres qui ont sacrifié jusqu’à leur vie pour nous transmettre cette liberté dont on veut nous priver aujourd’hui, à commencer par celle qui consiste à choisir notre destin. Une seule solution : ne rien lâcher, tout en se dissociant des casseurs d’extrême gauche, idiots utiles du gouvernement qui, encore aujourd’hui, se sont illustrés à Paris !
Sébastien JALLAMION
Pour répondre à un sondage sur le sujet :
#GiletsJaunes Je demande la dissolution de l'Assemblée Nationale en application de l'art. 12 de notre Constitution afin de redonner la parole aux électeurs, car nul ne peut gouverner un pays contre la volonté de son peuple. #DissolutionAN
— Sébastien JALLAMION (@SJallamion) December 1, 2018
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Est-ce une fronde une contestation du Peuple ? Non sir c'est une Révolution.
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GILETS JAUNES : LES PHOTOS DES EMEUTES A PARIS DU 1ER
DECEMBRE 2018
MALHEUREUSEMENT LA MANIF PACIFIQUE DES GILETS JAUNES A PARIS DU 1ER DECEMBRE A ETE VOLONTAIREMENT ENTACHEE PAR DES CASSEURS VENUES DES BANLIEUES PARISIENNES GROSSE MANIPULATION DE LA PART DE L'ETAT ... ATTENTION EN LAISSANT FAIRE CELA LA REVOLUTION VA GRONDER EN FRANCE DANS NOS RUES ... A SUIVRE ...