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6 juillet 2019

RECHAUFFEMENT OU PAS DE LA PLANETE ? 31 000 SCIENTIFIQUES ONT UN DOUTE ?

140514ice

Publié par Gaia - Dreuz le 5 juillet 2019

Note de Dreuz : afin d’apprécier à sa juste mesure cette information, rappelons-nous cette affirmation admonestée par l’un des missionnaires de la secte escrologique et humanicide, Pablo Servigne, le 19 mars sur France Inter : Non il n’y a plus de contestataires. La liste des 15000 scientifiques en accord avec le GIEC n’a pas eu de contre pétition. »

Source : Europe Israël

Les hommes politiques comme les journalistes répètent à l'envie que la planète court un grand danger dû au réchauffement climatique produit par l’homme. Ils osent affirmer à longueur d’émission télévision qu’aucun scientifique ne remet en cause la thèse du réchauffement climatique.

Regardez par exemple les deux activistes s’arc-bouter sur leur mensonge destiné à cacher une réalité qui ne doit pas être divulguée au grand public :

Pas de scientifiques climato-sceptiques, vraiment ?

L’Oregon Petition est une déclaration de scientifiques du monde entier, rejetant la thèse officielle » du réchauffement climatique et s’opposant au protocole de Kyoto. Elle a été organisée par l’Oregon Institute of Science and Medicine (OISM) entre 1999 et 2001, et continue à être signée par de nouveaux scientifiques aujourd’hui encore.

D’autres pétitions ont été faites comme la déclaration d’Heidelberg (Heidelberg Declaration) ou la déclaration de Leipzig (Leipzig Declaration) et la Manhattan Declaration.

Plus de 31.000 scientifiques l’ont signée à ce jour. Parmi les scientifiques ayant signé cette déclaration, on retrouve l’ancien président de l’académie américaine des sciences, Frederick Seitz. C’est lui qui a lancé l’initiative.

Ils sont Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, auteurs d’articles majeurs.

Tiré de l’Oregon Petition :

"Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat.

En outre, des preuves scientifiques substantielles montrent que l’augmentation de la concentration en dioxyde de carbone atmosphérique entraine de nombreux effets positifs sur l’environnement de la faune et de la flore de la Terre."

Wikiberal publie une liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique

Cette liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique liste les scientifiques à travers le monde qui sont climato-sceptiques, c’est-à-dire sceptiques sur la réalité d’un réchauffement climatique exceptionnel, son origine humaine ou sur le fait qu’il ait des conséquences négatives. Ils sont Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, auteurs d’articles majeurs.

Les idées de ces scientifiques sont détaillées sur leurs articles.

Le NIPCC (panel d’organisations non-gouvernementales) existe depuis 2003 et tente d’adopter un point de vue plus objectif et plus nuancé que celui, très orienté, du GIEC.

Depuis le 1er septembre 2015, il existe également un Collectif des climato-réalistes. En 2015, a été également créée la CO2 Coalition , qui a approuvé le retrait des Etats-Unis de l’accord de Paris en 2017.

Cette liste, qui comprend plusieurs prix Nobel, est très incomplète, 31.000 scientifiques par exemple ayant signé l’Oregon Petition.

Pour consulter la liste des scientifiques sceptiques cliquez ici.

Il est donc totalement faux d’affirmer que les scientifiques ne remettent pas en cause la réalité du réchauffement climatique.

Pire, on peut affirmer qu’une large part de la communauté scientifique (au moins 31 000) remet en cause le dogme officiel » du réchauffement climatique.

Autre dogme officiel » : les glaciers fondent…

Les glaciers fondent » peut-on entendre sur toutes les chaines de télévision, comme dans l’émission ci-dessous :

Sauf que selon une nouvelle étude de la NASA, un des plus grands glaciers du Groenland, qui était auparavant l’un des glaciers qui rétrécissaient le plus rapidement de la planète, est en pleine croissance.

L’étude, publiée en mars 2019 dans Nature Geoscience (2), rapporte que le glacier Jakobshavn Isbrae est en croissance depuis 2016.

Effectivement, selon cette étude le glacier a fondu durant environ 20 ans, mais depuis 3 années il grossit et la glace épaissit… L’étude constate clairement un refroidissement des eaux et non un réchauffement climatique.

Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.

Lire l’étude de la NASA Nature Geoscience.

images (4)

Cet article du New York Times du 18 mai 1926 s’alarmait qu’au pôle nord les glaciers fondaient au profit des mers…

Comme l’explique très bien le professeur John Christy, la planète a toujours connu des épisodes de canicule. Ces épisodes ne s’accélèrent pas comme on tente de nous le faire croire, bien au contraire…

John Christy est climatologue, professeur des sciences de l’atmosphère à l’université d’Alabama à Huntsville, spécialiste mondialement reconnu des mesures de températures satellitaires. Il publie en 1989 la courbe UAH de mesure satellitaire de la température de la basse atmosphère de la terre, ce qui lui vaudra la prestigieuse médaille de la NASA pour réalisation scientifique exceptionnelle et le Prix ​​spécial de l’AMS (American Meteorological Society).

Il fait partie de la cinquantaine de scientifiques nommés à l’agence pour l’environnement des Etats-Unis(EPA).

 

Comment+se+forme+un+glacier

 

John Christy a comparé les prévisions des modèles climatiques aux observations satellitaires qu’il mène depuis des années, pour expliquer que les certitudes du GIEC ne résistent pas à la confrontation aux données expérimentales.

Il démontre que confronté à la réalité des mesures de températures réelles, toutes les modélisations et prédictions alarmistes sur l’hypothèse d’un réchauffement climatique planétaire sont fausses et infondées de sorte que les mesures prises pour la transitions écologique » non seulement n’ont aucun effet mais n’ont que pour seul but de taxer les peuples.

John Christy confirme que les glaciers ne fondent pas et qu’au contraire la calotte glaciaire grossit.

*******************************************
SOURCE  : Climat Environnement & ÉnergieLe site des Climato-Réalistes
Climat : une pétition à contre-courant en Italie

Nous publions la pétition sur le climat préparée par le professeur Uberto Crescenti – Professeur titulaire de géologie appliquée à l’Université G. d’Annunzio de Chieti ; il a été Recteur de l’Université G. d’Annunzio de 1985 à 1997, président de la Société italienne de géologie de 1999 à 2005, fondateur et président de l’Association italienne de géologie appliquée et d’environnement de 1999 à 2005, fondateur et président en 2001 de l’Association italienne « géologie et tourisme », et des scientifiques de renommée internationale, afin d’encourager un débat sérieux sur l’avenir de notre planète, fondé sur les connaissances scientifiques et sans contraintes politiques. Traduction : Camille Veyres.

Au Président de la République

Au Président du Sénat

Au Président de la Chambre des députés

Au Président du Conseil

PÉTITION SUR LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE ANTHROPIQUE

Nous soussignés, citoyens et hommes de science, invitons avec force les décideurs politiques à adopter des politiques de protection de l’environnement qui soient compatibles avec les connaissances scientifiques. En particulier, il est urgent de lutter contre la pollution là où elle se produit, comme l’indiquent les meilleures données scientifiques. A cet égard, il est regrettable que les connaissances mises à disposition par le monde de la recherche soient utilisées trop tard pour réduire les émissions anthropiques de polluants très répandus dans les systèmes environnementaux tant continentaux que marins.

Cependant, il faut être bien conscient que le dioxyde de carbone lui-même n’est pas un polluant. Au contraire, il est indispensable à la vie sur notre planète.

Au cours des dernières décennies, s’est répandue une hypothèse selon laquelle le réchauffement de la surface de la terre d’environ 0,9°C observé depuis 1850 serait anormal et dû aux activités humaines, en particulier à l’émission dans l’atmosphère de CO2 venant de l’utilisation des combustibles fossiles. 

C’est là la thèse du réchauffement climatique anthropique promue par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies, dont les conséquences seraient des changements environnementaux si graves qu’ils feraient craindre des dommages énormes dans un avenir proche, à moins que des mesures drastiques et très coûteuses soient adoptées immédiatement. De nombreuses nations du monde ont adhéré à des programmes de réduction des émissions de dioxyde de carbone et une propagande de plus en plus virulente les invite à adopter des programmes toujours plus exigeants dont la mise en œuvre, très onéreuse pour les économies de ces Etats, serait, prétend-on, nécessaire à la maîtrise du climat et au « salut » de la planète.

L’origine anthropique du réchauffement de la planète est cependant une conjecture non prouvée, déduite uniquement de certains modèles climatiques, c’est-à-dire de programmes informatiques complexes, appelés modèles de circulation générale.

Au contraire, la littérature scientifique a, mis en évidence l’existence d’une variabilité climatique naturelle que les modèles ne sont pas capables de reproduire, variabilité naturelle de mieux en mieux vérifiée. 

Cette variabilité naturelle explique une part importante du réchauffement climatique observé depuis 1850. 

La responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est donc exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes.

Le climat est le système le plus complexe sur notre planète : nous devons donc l’aborder avec des méthodes appropriées et adaptées à son niveau de complexité. Les modèles de simulation climatique ne reproduisent pas la variabilité naturelle observée du climat et, en particulier, ne reconstituent pas les périodes chaudes des 10 000 dernières années. Celles-ci se sont répétées environ tous les mille ans : on y trouve la période médiévale chaude, bien connue, la période romaine chaude, et généralement de grandes périodes chaudes pendant l’Optimum holocène [Il y a 8000 ans].

Ces périodes passées étaient plus chaudes que la période actuelle, bien que la concentration de CO2 y ait alors été inférieure à la concentration actuelle ; elles sont liées aux cycles millénaires de l’activité solaire. Ces effets ne sont pas reproduits par les modèles.

Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a, en fait, commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder. Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.

De plus, les modèles ne parviennent pas à reproduire les oscillations climatiques bien connues de période 60 ans environ. Celles-ci ont été responsables, d’une période de réchauffement (1850-1880) suivie d’une période de refroidissement (1880-1910), puis d’une période de réchauffement (1910-1940), d’une période de refroidissement (1940-70) et d’une nouvelle période de réchauffement (1970-2000) semblable à celle observée 60 ans auparavant. 

Les années suivantes (2000-2019) ont vu non pas l’augmentation prévue par les modèles, d’environ 0,2°C par décennie, mais une nette stabilité climatique sporadiquement interrompue par les oscillations naturelles rapides de l’océan Pacifique équatorial, appelées El Niño Southern Oscillation (ENSO), telles que celle qui a amené un réchauffement temporaire en 2015 et 2016.

Les médias affirment également que les événements extrêmes, tels qu’ouragans et cyclones, ont augmenté de façon inquiétante. Non ! Ces événements, sont , comme de nombreux systèmes climatiques, modulés par le cycle de 60 ans que l’on vient de signaler. Voyons, par exemple, les données officielles depuis 1880 sur les cyclones tropicaux atlantiques qui ont frappé l’Amérique du Nord : elles montrent une forte oscillation de 60 ans, corrélée à l’oscillation thermique de l’océan Atlantique appelée Atlantic Multi-decadal Oscillation (AMO). Les pics observés pendant dix ans sont comparables pour les années 1880-90, 1940-50 et 1995-2005. De 2005 à 2015, le nombre de cyclones a diminué, suivant le cycle susmentionné. 

Ainsi, sur la période 1880-2015, il n’y a pas de corrélation entre le nombre de cyclones, qui oscille et le CO2 qui augmente de façon monotone.

Le système climatique n’est pas encore suffisamment bien compris. S’il est vrai que le CO2 est un gaz à effet de serre, la sensibilité du climat à son augmentation dans l’atmosphère est, selon le GIEC lui-même, encore extrêmement incertaine. Un doublement de la concentration atmosphérique de CO2, d’environ 300 ppm avant l’ère industrielle à 600 ppm, pourrait, dit-on, faire monter la température moyenne de la planète d’au moins 1°C à au plus 5°C.

Cette incertitude est énorme. Cependant, de nombreuses études récentes fondées sur des données expérimentales estiment que la sensibilité du climat au CO2 est nettement moindre que celle estimée par les modèles du GIEC.

Il est donc scientifiquement irréaliste d’attribuer à l’homme la responsabilité du réchauffement observé de 1900 à nos jours. Les prédictions alarmistes ne sont donc pas crédibles, puisqu’elles sont basées sur des modèles dont les résultats sont en contradiction avec les données observées. 

Tout porte à croire que ces modèles surestiment la contribution anthropique et sous-estiment la variabilité climatique naturelle, en particulier celle induite par le soleil, la Lune et les oscillations océaniques.

Enfin, les médias ont fait passer le message qu’ il y aurait un consensus quasi unanime parmi les scientifiques sur la cause anthropique de l’actuel changement climatique et que le débat scientifique serait donc clos. Et pourtant, nous devons tout d’abord être bien conscients que la méthode scientifique exige que ce soient les faits, et non le nombre de croyants qui d’une conjecture font une théorie scientifique consolidée.

Quoi qu’il en soit, même ce supposé consensus n’existe pas. Les opinions des spécialistes – climatologues, météorologues, géologues, géophysiciens, astrophysiciens – sont très variables et nombre d’entre eux reconnaissent l’importance de la contribution naturelle au réchauffement planétaire observée depuis la période préindustrielle et même au réchauffement de l’après-guerre à aujourd’hui. 

Il y a également eu des pétitions signées par des milliers de scientifiques qui ont exprimé leur désaccord avec l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique. Notamment celle lancée en 2007 par le physicien F. Seitz, ancien président de l’American National Academy of Sciences, et celle lancée par le Groupe d’experts International Non Gouvernemental sur l’évolution du climat (NIPCC), dont le rapport 2009 conclut que  » la nature, et non l’activité humaine, gouverne le climat « .

En conclusion, vu l’importance cruciale des combustibles fossiles pour l’approvisionnement énergétique de l’humanité, nous suggérons de refuser d’adhérer à des politiques de réduction des émissions de dioxyde de carbone dans l’atmosphère sous le prétexte illusoire de gouverner le climat.

COMITÉ DE LANCEMENT

  1. Uberto Crescenti, Professeur émérite de géologie appliquée, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara, ancien Recteur magnifique et Président de la Société italienne de géologie.
  2. Giuliano Panza, Professeur de sismologie, Université de Trieste, Académicien du Lincei et de l’Académie Nationale des Sciences, connu comme le XL, Prix International 2018 de l’Union Géophysique Américaine.
  3. Alberto Prestininzi, professeur de géologie appliquée, Université La Sapienza, Rome, ancien rédacteur scientifique en chef de la revue internationale IJEGE et directeur du Centre de recherche sur la prévision et le contrôle des risques géologiques.
  4. Franco Prodi, professeur de physique atmosphérique, Université de Ferrare.
  5. Franco Battaglia, professeur de chimie physique, Université de Modène ; Movimento Galileo 2001.
  6. Mario Giaccio, professeur de technologie et d’économie des sources d’énergie, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara, ancien doyen de la faculté d’économie.
  7. Enrico Miccadei, Professeur de Géographie, Physique et Géomorphologie, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
  8. Nicola Scafetta, professeur de physique atmosphérique et d’océanographie, Université Frédérico II de Naples

SIGNATAIRES 

  1. Antonino Zichichi, Professore Emerito di Fisica, Università di Bologna, Fondatore e Presidente del Centro di Cultura Scientifica Ettore Majorana di Erice.
  2. Renato Angelo Ricci, Professore Emerito di Fisica, Università di Padova, già Presidente della Società Italiana di Fisica e della Società Europea di Fisica; Movimento Galileo 2001.
  3. Aurelio Misiti, Professore di Ingegneria Sanitaria-Ambientale, Università la Sapienza, Roma.
  4. Antonio Brambati, Professore di Sedimentologia, Università di Trieste, Responsabile Progetto Paleoclima-mare del PNRA, già Presidente Commissione Nazionale di Oceanografia.
  5. Cesare Barbieri, Professore Emerito di Astronomia, Università di Padova.
  6. Sergio Bartalucci, Fisico, Presidente Associazione Scienziati e Tecnologi per la Ricerca Italiana.
  7. Antonio Bianchini, Professore di Astronomia, Università di Padova.
  8. Paolo Bonifazi, già Direttore Istituto di Fisica dello Spazio Interplanetario, Istituto Nazionale Astrofisica.
  9. Francesca Bozzano, Professore di Geologia Applicata, Università Sapienza di Roma, Direttore del Centro di Ricerca CERI.
  10. Marcello Buccolini, Professore di Geomorfologia, Università Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
  11. Paolo Budetta, Professore di Geologia Applicata, Università di Napoli.
  12. Monia Calista, Ricercatore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
  13. Giovanni Carboni, Professore di Fisica, Università Tor Vergata, Roma; Movimento Galileo 2001.
  14. Franco Casali, Professore di Fisica, Università di Bologna e Accademia delle Scienze di Bologna.
  15. Giuliano Ceradelli, Ingegnere e climatologo, ALDAI.
  16. Domenico Corradini, Professore di Geologia Storica, Università di Modena.
  17. Fulvio Crisciani, Professore di Fluidodinamica Geofisica, Università di Trieste e Istituto Scienze Marine, Cnr, Trieste.
  18. Carlo Esposito, Professore di Telerilevamento, Università La Sapienza, Roma.
  19. Mario Floris, Professore di Telerilevamento, Università di Padova.
  20. Gianni Fochi, Chimico, Scuola Normale Superiore di Pisa; giornalista scientifico.
  21. Mario Gaeta, Professore di Vulcanologia, Università La Sapienza, Roma.
  22. Giuseppe Gambolati, Fellow della American Geophysica Union, Professore di Metodi Numerici, Università di Padova.
  23. Rinaldo Genevois, Professore di Geologia Applicata, Università di Padova.
  24. Carlo Lombardi, Professore di Impianti nucleari, Politecnico di Milano.
  25. Luigi Marino, Geologo, Centro Ricerca Previsione e Controllo Rischi Geologici, Università La Sapienza, Roma.
  26. Salvatore Martino, Professore di Microzonazione sismica, Università La Sapienza, Roma.
  27. Paolo Mazzanti, Professore di Interferometria satellitare, Università La Sapienza, Roma.
  28. Adriano Mazzarella, Professore di Meteorologia e Climatologia, Università di Napoli.
  29. Carlo Merli, Professore di Tecnologie Ambientali, Università La Sapienza, Roma.
  30. Alberto Mirandola, Professore di Energetica Applicata e Presidente Dottorato di Ricerca in Energetica, Università di Padova.
  31. Renzo Mosetti, Professore di Oceanografia, Università di Trieste, già Direttore del Dipartimento di Oceanografia, Istituto OGS, Trieste.
  32. Daniela Novembre, Ricercatore in Georisorse Minerarie e Applicazioni Mineralogichepetrografiche, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
  33. Sergio Ortolani, Professore di Astronomia e Astrofisica, Università di Padova.
  34. Antonio Pasculli, Ricercatore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
  35. Ernesto Pedrocchi, Professore Emerito di Energetica, Politecnico di Milano.
  36. Tommaso Piacentini, Professore di Geografia Fisica e Geomorfologia, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
  37. Guido Possa, Ingegnere nucleare, già Vice Ministro Miur.
  38. Mario Luigi Rainone, Professore di Geologia Applicata, Università di Chieti-Pescara.
  39. Francesca Quercia, Geologo, Dirigente di ricerca, Ispra.
  40. Giancarlo Ruocco, Professore di Struttura della Materia, Università La Sapienza, Roma.
  41. Sergio Rusi, Professore di Idrogeologia, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
  42. Massimo Salleolini, Professore di Idrogeologia Applicata e Idrologia Ambientale, Università di Siena.
  43. Emanuele Scalcione, Responsabile Servizio Agrometeorologico Regionale Alsia, Basilicata.
  44. Nicola Sciarra, Professore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
  45. Leonello Serva, Geologo, Direttore Servizi Geologici d’Italia; Movimento Galileo 2001.
  46. Luigi Stedile, Geologo, Centro Ricerca Revisione e Controllo Rischi Geologici, Università La Sapienza, Roma.
  47. Giorgio Trenta, Fisico e Medico, Presidente Emerito dell’Associazione Italiana di Radioprotezione Medica; Movimento Galileo 2001.
  48. Gianluca Valenzise, Dirigente di Ricerca, Istituto Nazionale di Geofisica e Vulcanologia, Roma.
  49. Corrado Venturini, Professore di Geologia Strutturale, Università di Bologna.
  50. Franco Zavatti, Ricercatore di Astronomia, Univesità di Bologna.
  51. Achille Balduzzi, Geologo, Agip-Eni.
  52. Claudio Borri, Professore di Scienze delle Costruzioni, Università di Firenze, Coordinatore del Dottorato Internazionale in Ingegneria Civile.
  53. Pino Cippitelli, Geologo Agip-Eni.
  54. Franco Di Cesare, Dirigente, Agip-Eni.
  55. Serena Doria, Ricercatore di Probabilità e Statistica Matematica, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
  56. Enzo Siviero, Professore di Ponti, Università di Venezia, Rettore dell’Università e- Campus.
  57. Pietro Agostini, Ingegnere, Associazione Scienziati e Tecnolgi per la Ricerca Italiana.
  58. Donato Barone, Ingegnere.
  59. Roberto Bonucchi, Insegnante.
  60. Gianfranco Brignoli, Geologo.
  61. Alessandro Chiaudani, Ph.D. agronomo, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
  62. Antonio Clemente, Ricercatore di Urbanistica, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
  63. Luigi Fressoia, Architetto urbanista, Perugia.
  64. Sabino Gallo, Ingegnere nucleare.
  65. Daniela Giannessi, Primo Ricercatore, Ipcf-Cnr, Pisa.
  66. Roberto Grassi, Ingegnere, Amministratore G&G, Roma.
  67. Alberto Lagi, Ingegnere, Presidente di Società Ripristino Impianti Complessi Danneggiati.
  68. Luciano Lepori, Ricercatore Ipcf-Cnr, Pisa.
  69. Roberto Madrigali, Metereologo.
  70. Ludovica Manusardi, Fisico nucleare e Giornalista scientifico, Ugis.
  71. Maria Massullo, Tecnologa, Enea-Casaccia, Roma.
  72. Enrico Matteoli, Primo Ricercatore, Ipcf-Cnr, Pisa.
  73. Gabriella Mincione, Professore di Scienze e Tecniche di Medicina di Laboratorio, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
  74. Massimo Pallotta, Primo Tecnologo, Istituto Nazionale Fisica Nucleare.
  75. Enzo Pennetta, Professore di Scienze naturali e divulgatore scientifico.
  76. Nunzia Radatti, Chimico, Sogin.
  77. Vincenzo Romanello, Ingegnere nucleare, Centro Ricerca, Rez, Repubblica Ceca.
  78. Alberto Rota, Ingegnere, Ricercatore presso Cise e Enel.
  79. Massimo Sepielli, Direttore di Ricerca, Enea, Roma.
  80. Ugo Spezia, Ingegnere, Responsabile Sicurezza Industriale, Sogin; Movimento Galileo 2001.
  81. Emilio Stefani, Professore di Patologia vegetale, Università di Modena.
  82. Umberto Tirelli, Visiting Senior Scientist, Istituto Tumori d’Aviano; Movimento Galileo 2001.
  83. Roberto Vacca, Ingegnere e scrittore scientifico.

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