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6 mai 2020

LE PRESIDENT DONALD TRUMP SERA LARGEMENT REELU CETTE ANNEE 2020 A LA TÊTE DE L'AMERIQUE POUR QUATRE ANS !

HOURRA ! Avec ses plus de 892 000 visiteurs/lecteurs à ce jour le Média DIACONESCO.TV devient un des blogs professionnels le plus visité dans le Monde grâce à la diversité de ces différentes et sérieuses sources journalistiques, merci à tous ceux qui nous visitent depuis toutes ces dernières années.
La Rédaction

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Aujourd'hui un peu de géopolitique internationale sur les futures élections présidentielles aux USA en novembre 2020 :
SOURCE : Publié par Magali Marc le 4 mai 2020

Certains sondages montrent que Biden est en avance sur Trump dans les intentions de vote, tandis que le taux d’approbation du Président augmente de plus en plus. On ne peut rien prendre pour acquis. Mais il est préférable que les sondages (biaisés) donnent l’avantage à Biden (!) de manière à mobiliser les partisans républicains «mous» qui risqueraient de ne pas aller voter s’ils étaient certains de la victoire de Donald Trump le 3 novembre.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit le point de vue de Newt Gingrich*, énoncé sur le site de Fox News, le 2 mai; ainsi que l’article de David Limbaugh**, paru sur le site de Townhall, le 1er mai.

 

Trump battu par Biden en 2020 ? Ne pariez pas là-dessus. Voici pourquoi

Edito de Newt Gingricht

En tant qu’étudiant de l’histoire, il m’est douloureux de voir les soi-disant journalistes et analystes d’aujourd’hui pontifier sur le résultat des élections du 3 novembre 2020. Nous sommes à six mois de cet événement.

Pourtant, analyste après analyste et présentateur de télévision après présentateur de télévision prétendent que si l’élection avait lieu aujourd’hui, Joe Biden gagnerait – faisant comme si les partisans de Trump devaient paniquer ou s’effondrer de désespoir.

Dans une certaine mesure, ce genre de pressentiment affecte même la Maison Blanche, les leaders et les militants républicains.

Pourtant, ce genre de pressentiment peut être incroyablement trompeur quand on vit une période de changement.

Souvenez-vous : lors d’un moment semblable en 2015, il paraissait inconcevable que Donald Trump devienne le candidat républicain.

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En 2016, les mêmes analystes et têtes pensantes qui vantent aujourd’hui Joe Biden, vantaient Hillary Clinton et prédisaient pour Donald Trump un échec désastreux qui causerait la défaite des Républicains.

Mais, bien sûr, les élections ne se tiennent pas début mai.

Le meilleur exemple moderne de l’absurdité du pressentiment est la réélection de Harry S. Truman en 1948. Cette élection s’est terminée par la réélection du président Truman, qui a brandi en souriant un exemplaire du Chicago Tribune qui annonçait en Une : «Victoire de Dewey».

Truman avait beaucoup de raisons de sourire. Il avait battu l’Establishment national contre toute attente.

Permettez-moi d’abord de présenter la séquence des données des sondages de cette année-là, puis de montrer à quel point la situation du Président Trump est parallèle au défi lancé par le Président Truman en 1948.

À la fin de l’été, Thomas E. Dewey avait 13 points d’avance sur Truman (49-36). Il s’agissait d’une course à quatre, le candidat de gauche, l’ancien vice-président Henry Wallace, obtenait alors 5 % des intentions de vote et le candidat Dixiecrat Strom Thurmond 3 %.

Dans un sondage réalisé après la fête du Travail (le premier lundi de septembre aux USA), la firme Gallup donnait encore 8 points d’avance à Dewey.

Pourtant Truman l’a emporté par 49,6 % des votes contre 45,1 % pour Dewey, Wallace et Thurmond obtenant chacun 2,4 %.

La grande leçon à tirer de la remontée du président Truman en 1948 c’est que les campagnes sont importantes.

Truman le savait parce qu’en 1940, alors qu’il se présentait pour sa réélection au Sénat du Missouri, les organisations électorales des Démocrates de Kansas City et de St. Louis ont entrepris de le vaincre.

Sans grand soutien, le sénateur Truman est monté dans une voiture avec chauffeur et a sillonné l’État, attaquant sauvagement les organisations électorales des grandes villes.

Truman a remporté les primaires démocrates de justesse, 40,91 % contre 39,67 %, un troisième candidat obtenant le reste.

Ensuite, Truman a remporté les élections générales avec une avance de 51,2 % à 48,7 % sur le candidat républicain.

L’expérience de 1940 a appris à Truman qu’une campagne acharnée pouvait surmonter d’énormes difficultés. En 1948, il en a fait bon usage en attaquant le Congrès républicain «Bon à Rien» et en attaquant sans pitié le gouvernement Dewey et ses alliés.

Trois ans à peine après la Seconde Guerre mondiale, certains propos du président Truman étaient scandaleusement hostiles, comparant Dewey et son équipe aux fascistes que nous venions de vaincre.

Tout comme le Président Truman, le Président Trump a remporté des campagnes difficiles. Sa conquête de l’investiture républicaine a été une campagne étonnante contre les médias et la grande majorité des dirigeants républicains de l’époque.

Sa victoire sur la Secrétaire d’État Hillary Clinton a été une lutte constante entre les attaques des médias, l’hostilité de l’organisation électorale de Mme Clinton et les fausses accusations du FBI qui cherchait à influencer l’élection.

Le Président Trump a également l’avantage de l’endurance, qui est décrite dans son livre, The Art of the Comeback.

Il sait ce que c’est que d’être pratiquement en faillite, épuisé, sans solution évidente pour l’avenir, et de forcer encore le succès par l’intelligence et le travail acharné.

Biden, alors que nous sommes dans la période de printemps et d’été, bénéficie tout comme Dewey, d’une faible avance, sans avoir véritablement fait campagne.

En outre, comme tous les partis de gauche, Biden bénéficie de l’énorme avantage d’avoir de son côté les médias qui feront tout ce qui est en leur pouvoir pour affaiblir le Président Trump et protéger le candidat démocrate présumé.

Malgré tous ces avantages et les différents sondages qui reflètent l’intense hostilité des médias contre Trump, il va y avoir un moment en août où commencera véritablement la campagne électorale.

Dans la vraie campagne, Biden fondra comme un tas de neige au mois d’août à Miami.

Pourquoi suis-je si certain que Biden va fondre ?

Parce qu’il y a trois obstacles insurmontables pour lui.

1. Premièrement, Biden a toujours été un mauvais candidat et son état empire. Lorsque le peuple américain se détournera de la catastrophe de COVID-19, du comportement horrible de la dictature communiste chinoise et de l’effondrement économique provoqué par la panique, il rencontrera soudain le vrai Biden. Il sera douloureusement clair qu’il ne pourra jamais fonctionner comme commandant en chef. En fait, les faiblesses personnelles de Biden sont si profondes et si évidentes qu’il y a au moins une chance sur dix que les Démocrates le larguent au dernier moment par désespoir.

2. Deuxièmement, le bilan de l’Administration Obama-Biden contrastera avec celui de l’Administration Trump.

Sur le plan économique, les taux de chômage de l’Administration Trump – les meilleurs depuis plus de 50 ans et, pour les Afro-Américains et les Latinos, les meilleurs de l’histoire – contrasteront de façon dévastatrice avec la faible croissance et le taux de chômage élevé de Pelosi-Obama-Biden. En ce qui concerne la protection des Américains, la réaction hostile de Pelosi, de Biden et d’autres personnes lorsque le Président Trump a mis fin aux vols en provenance de Chine sera totalement fausse à la lumière de ce qui s’est passé (69 % soutiennent actuellement l’interdiction de voyager en Chine imposée par le président).

En ce qui concerne la préparation à la pandémie, le fait que le duo Obama-Biden ait réduit les dépenses en 2014 et n’ait pas remplacé les masques N95 après l’apparition du virus de la grippe H1N1 va faire baisser la critique de M. Biden à l’égard de l’approche de M. Trump.

En matière de défense et de politique étrangère, la critique de l’ancien Secrétaire à la Défense, Bob Gates, (qui a servi sous Bush et Obama) selon laquelle Biden a eu tort sur toutes les grandes questions de défense de sa carrière reviendra le hanter.

La défense de son bilan maintiendra Biden sans cesse sur la défensive après la mi-août (lorsque la campagne commencera réellement).

Troisièmement, l’idéologie de Pelosi-Biden est tellement à gauche qu’une fois la campagne centrée sur elle, Biden deviendra de moins en moins acceptable (tout comme les Démocrates de la Chambre et du Sénat qui atteindront leur seuil d’acceptabilité élevé en plein été).
Considérez seulement cette poignée de positions indéfendables de Pelosi-Biden :

  • 79% contre 21 % des Américains pensent avoir le droit de contrôler les personnes qui entrent dans le pays (ce chiffre est pré-pandémique et est presque certainement beaucoup plus élevé maintenant) ;
  • 76% contre 15 % des Américains pensent que vous devez entrer légalement aux États-Unis pour avoir droit à des services gouvernementaux ;
  • 57% contre 36 % des Américains veulent conserver l’amendement Hyde qui interdit d’utiliser l’argent des contribuables pour financer les avortements ;
  • Seuls 13 % des Américains pensent que l’avortement devrait être légal, même jusqu’à la date de naissance ;
  • Seulement 15 % des Américains sont favorables à ce que les prisonniers condamnés pour un crime quelconque puissent voter en prison ;
  • Seuls 26% des Américains sont favorables au versement de réparations aux descendants d’esclaves, tandis que 68% s’y opposent.

La liste des positions radicales de gauche inacceptables pour le peuple américain est longue.

Je pense que Biden perdra en raison de son incompétence personnelle, de ses performances passées et de son association avec Pelosi et la gauche radicale démocrate.

Tout effort actuel de l’élite médiatique pour projeter le résultat des élections est presque certainement trop optimiste pour le vice-président Biden et trop pessimiste pour le président Trump.

L’Establishment et les médias suivent simplement les mêmes schémas erronés qu’en 1948, 2015 et 2016.

* Newt Gingrich, a été Président de la Chambre des Représentants des États-Unis (un rôle actuellement joué par Nancy Pelosi), est l’hôte du podcast « Newt’s World » et l’auteur du best-seller du New York Times «Understanding Trump and Trump’s America».

Aux partisans de Trump : Ne craignez pas ces sondages décourageants

David Limbaugh

Que devons-nous penser des sombres prédictions envers le Président Donald Trump, à savoir qu’il n’a aucune chance d’être réélu en novembre ?

J’ai lu de nombreux rapports des grands médias qui se réjouissent des sondages montrant que le candidat démocrate présumé, Joe Biden, est en pleine ascension et que Trump est en chute libre.

Je ne suis pas du genre à rejeter les sondages, mais je les considère avec scepticisme, surtout au vu de leurs piètres résultats lors des dernières élections et de la manipulation effrontée qu’en font les enquêteurs pour influencer l’opinion publique.

Les sondages qui annonçaient une victoire d’Hillary Clinton en 2016 ne justifient-ils pas notre scepticisme ?

Les sondages pré-électoraux étaient tous erronés, mais les sondages de sortie des urnes le jour du scrutin l’étaient également.

Je suis assez âgé pour me souvenir de l’époque où les sondages de sortie des urnes étaient si précis que si vous appreniez à midi, le jour du scrutin, que votre candidat favori perdait, vous pouviez être certain que c’était ce qui allait se produire.

Mais à un certain moment, cela a changé, et il est difficile de savoir pourquoi.

La précision des sondages préélectoraux a également diminué au fil des ans, peut-être parce qu’il est difficile d’obtenir un échantillon aléatoire avec l’arrivée des téléphones portables et qu’on doit se montrer méfiant vis-à-vis des sondages à motivation politique.

En cette ère de politiquement correct et d’humiliation en ligne de ceux qui ne le pratiquent pas , il est certain que beaucoup disent aux enquêteurs ce qu’ils pensent qu’ils veulent entendre plutôt que ce qu’ils croient vraiment. Admettons également que les sondages varient considérablement. Cette semaine encore, alors que les gauchistes affirment que selon sondages Trump est foutu, un nouveau sondage Gallup montre que son taux d’approbation est plus élevé que jamais.

Mais considérons un autre facteur qui nous oblige à prendre les sondages avec des gros grains de sel : la nature très fluide des événements actuels, dont certains sont imprévisibles et hors de notre contrôle.

Je me souviens qu’un partisan «éclairé» de Trump m’avait dit en 2017 que, d’après les sondages qu’il avait réalisés, les chances de réélection de Trump étaient minces.

Ma réaction a été que la probabilité que l’élection de 2020 soit déterminée par l’état des choses en 2017 était comparable à celle de Joe Biden battant Chuck Norris dans un combat d’arts martiaux.

J’ai dit à mon ami qu’il était peu probable que les facteurs déterminant les sondages soient aussi pertinents en 2020.

La cote d’approbation du président Trump n’a-t-elle pas considérablement fluctué depuis lors ? De plus, comment peut-on prédire avec précision le résultat d’un combat quand un seul des concurrents est dûment identifié ?

De plus, j’ai toujours douté que les sondages puissent mesurer l’intensité de l’électorat, ce que beaucoup considèrent comme extrêmement important.
La plupart des partisans de Trump sont passionnés et loyaux. Je n’écarte pas la passion anti-Trump qui existe aussi, mais je préfère avoir des électeurs passionnés pour un certain candidat que des électeurs indifférents à leur propre candidat mais passionnés contre son adversaire.

Rien ne prouve que quiconque se passionne pour Biden, à l’exception peut-être de sa famille.

Il n’a jamais été inspirant, mais dans son état actuel, il ne pourrait même pas convaincre un pyromane analphabète de participer à l’incinération d’un livre.

La seule raison pour laquelle sa candidature a été ressuscitée est que, une fois de plus, Crazy Bernie a sauté dans l’arène des candidats présidentiels démocrates, et personne n’a réussi à le faire sortir. Il a donc fallu que les membres du parti s’entendent sur la candidature de Biden et le soutiennent avec suffisamment de fausse sincérité pour éliminer Sanders avec une férocité digne d’un coup d’État.

De nombreux éléments peuvent influencer une campagne électorale.

L’économie et la politique étrangère, peuvent changer rapidement.

Un président peut diriger une économie en pleine croissance pendant toute sa présidence jusqu’à ce qu’un effondrement financier recadre le paysage politique un mois avant l’élection.

Un acte de guerre ou l’éclatement d’un véritable scandale présidentiel peut provoquer une hausse ou une baisse spectaculaire des appuis. Mais rien dans les temps modernes n’a autant modifié le statu quo dans ce pays que le virus de Wuhan.

Si l’élection avait eu lieu avant la pandémie, elle aurait été un référendum portant essentiellement sur le bilan économique de M. Trump.

Si l’élection avait eu lieu en avril, elle aurait peut-être porté sur la perception de sa réaction au virus.

Si l’élection avait eu lieu aujourd’hui ou dans les mois à venir, alors que notre attention se porte de plus en plus sur l’anxiété liée à l’emploi plutôt que sur les craintes liées au virus de Wuhan, elle aurait porté principalement sur sa gestion de la «réouverture» économique.

Qui sait où en sera l’économie en novembre ? Si le virus rebondit férocement peu avant l’élection, ou si l’économie ne s’est pas redressée, on pourrait blâmer Trump, à juste titre ou non.

Je n’ai pas la prétention de prédire maintenant l’issue des élections de novembre.

Nous pouvons discuter rationnellement des variables, mais tant que nous n’aurons pas vu comment ces événements monumentaux se déroulent, personne – je dis bien personne – ne sait si le président Trump sera réélu, ni pourquoi.

Le message, donc, aux partisans de M. Trump est que même des sondages fiables et précis ne représentent tout au plus qu’un bref aperçu dans le temps. Il ne faut donc pas exagérer l’importance des sondages publiés en ce moment, ou l’impact politique éventuel d’événements qui se déroulent rapidement.

Nous devons simplement faire la même prière que nous ferions si l’élection n’avait pas d’importance pour l’avenir du pays : que le Président Trump dirige le navire de l’État d’une main ferme et dirige habilement la nation dans ces eaux turbulentes, que le virus s’atténue considérablement et que l’économie rebondisse vigoureusement.

* * David Limbaugh est écrivain, auteur et avocat.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

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Sources :

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