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10 mai 2020

FRANÇAIS OUVREZ L’ŒIL : AVEC MACRON POUR LA SURVIE DU PAYS CE SERA LUI OU NOUS ? ATTENTION LE NOUVEL ORDRE MONDIAL EST LA !

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La course à la mort d’Emmanuel Macron : ce sera lui ou nous

Publié le 9 mai 2020 - par Emmanuel Albach

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Macronguerrepeuple

Macron, sachant qu’à l’issue de sa gestion incohérente de la crise du Covid-19, des centaines d’actions en justice vont le viser lui et ses sbires, sachant que la colère terrible de grands pans de la société qui font, additionnés, la quasi-totalité du pays, forcera les juges à se montrer sévères et prononcer des peines de prison, maintenant qu’il sait donc que la punition judiciaire de sa bande est inévitable et que lui-même n’y échappera pas non plus, veut éviter cette expérience pénible et faire voter, par son parlement de godillots, une auto-amnistie.

Les Français assoiffés de justice

Dès lors, en s’auto-amnistiant pour échapper à la juste punition que réclament les Français assoiffés de justice, il ne leur laisse plus d’autre choix que de la faire eux-mêmes. Dans le même temps, comme il aime à dire, installé dans les privilèges de l’état d’urgence, il multiplie les actions liberticides. Il pousse donc les Français à l’insurrection en faisant le double pari que d’une part ils n’oseront pas en venir là car ils sont légalistes par nature et aussi trop nombreux à chérir la paix civile au point de lui sacrifier leur amour-propre, et que d’autre part les violences infligées aux Gilets jaunes, éborgnés et mutilés à gogo, ont installé une peur si profonde dans la population que celle-ci n’aura pas le courage d’affronter les CRS dans la rue pour aller chercher jusque dans les ministères ceux qui doivent payer pour leur incurie criminelle.

Le pari de l’impunité

Macron veut encore une fois, non seulement échapper à toute sanction, mais aussi humilier les Français en les mettant face à leur pusillanimité. «  Vous êtes des veaux ! » leur crie-t-il, reprenant les mots d’un autre qui nous méprisait autant que lui – et ils ont ceci en commun. «  Vous êtes des veaux et vous avez tellement faim de retourner au boulot et de sauver votre économie, que je fais le pari que vous n’oserez pas et que votre faiblesse m’offrira l’impunité ! » Macron sait qu’aujourd’hui son pouvoir est au mieux méprisé, le plus souvent haï, par une majorité écrasante de la population. Lui, le génial, le brillant Macron, celui qui durant toute sa carrière a été accompagné d’éloges, voilà que parvenu au faîte de son parcours, au saint des saints, la présidence de la République, se retrouve méprisé, détesté, et surtout ridiculisé.

Il nous punit de ne pas l’aimer

Son nom, celui de cette équipe à ses ordres, signifie maintenant incompétence, négligence criminelle, mensonge, dangereuse et mortelle incurie. Il est le dernier des derniers, et se retrouver dans la peau de ce Président failli, honni, est ce qu’il ne nous pardonnera pas, même s’il ne peut s’en prendre qu’à lui-même (mais cela il ne le fera jamais, il est trop immature). Alors, puisque les électeurs ont inconsidérément mis dans ses mains les outils de la puissance absolue, dictatoriale, de la Présidence selon la Ve République, il s’en sert et va s’en servir. Il est désormais lancé dans une lutte à mort contre nous, contre la France. La France ne l’aime pas ? Il l’a punie, il la punit et il va la punir.

Belloubet à la blême figure de goule

Il a puni les Gilets jaunes avec la cruauté et la brutalité d’un enfant instable martyrisant son chat et son chien – il ne nous estime pas plus que cela.

Il a puni toute la France à travers ses ancêtres en traînant notre histoire dans la boue à chacune de ses sorties africaines.

Il punit la France en invitant à l’envahir toujours plus de migrants, de parasites et de nuisibles criminels.

Il punit les personnels de santé qui avaient manifesté contre lui l’hiver dernier, en leur jetant à la face, en proclamant, qu’il allait donner 1,3 Md d’euros à l’Afrique quand il n’a pas eu d’argent pour donner des masques à ceux qui s’exposaient chez nous au virus dès le mois de janvier.

Il punit les Français en relâchant dans la rue par milliers, d’un coup, les criminels qui tuent ou mutilent leurs enfants dans les rues, tous ceux qui les volent, les pillent, leur rendent la vie quotidienne dangereuse. Ce faisant, il crache au visage des parents de Marin, et la sinistre Belloubet, sa ministre de l’Injustice, ricane, blême figure de goule.

Sibeth, pour nous faire mourir de honte

Il punit encore les Français en leur infligeant l’humiliation de donner pour voix au gouvernement censé les représenter, une grosse Africaine, stupide, moche, habillée comme un clown rutilant, et provocatrice : « Je vous mentirai aussi souvent qu’on me le dira de le faire ! » nous signifiant d’emblée qu’il n’y a rien à croire de ses dires, et disant tant n’importe quoi que même si l’on avait voulu, on serait bien incapable d’en retenir quoi que ce soit. Il sait qu’elle incarne le summum du grotesque, qu’elle rabaisse et humilie la France à chacune de ses apparitions, mais il la garde, pour nous dire : « Elle vous fait honte ? Cela me réjouit ! ».

Il punit les Français, il les humilie en leur disant qu’ils n’ont pas le droit de fermer leurs frontières, pas plus aux migrants qu’aux touristes étrangers qu’ils nous convient à voir passer, depuis nos fenêtres, eux qui s’en vont pour des horizons lointains et méditerranéens tandis que lui nous a condamnés à ne pas nous éloigner de plus de cent kilomètres. Histoire que nous sentions bien la laisse sur notre cou ?

Il va se servir de nos enfants pour nous contaminer…

Il punit les Français en favorisant la relance de l’épidémie – car le mouvement semble si délibéré qu’on peut légitimement s’interroger sur la finalité – en rouvrant les écoles primaires dès le 11 mai. Cet homme qui n’a jamais eu d’enfant va permettre aux nôtres, qui véhiculeront le virus, de nous contaminer. Orgueil fou – il veut avoir raison contre le monde entier – ou suprême perversité mêlée de cynisme absolu ?

Il nous a punis aussi, et plus gravement, dans le même registre, en nous refusant l’utilisation de la chloroquine pour contrer la maladie à ses débuts, au risque – et le résultat épouvantable est là – de morts bien plus nombreux. Sa responsabilité est totale, sa culpabilité évidente.

La fermeture des églises : une brimade délibérée

Il nous punit encore en interdisant aux églises de rouvrir, alors que les gens vont se presser dans le métro dès la semaine prochaine. Comment ne pas y voir une brimade délibérée qui procure à cet anti-catholique obsessionnel une jouissance malsaine ?

Il a puni des centaines de milliers de Français en leur infligeant des amendes pour s’être déplacés sans ausweis, tandis que les quartiers islamisés organisaient fêtes publiques et barbecues.

Il a puni les Français en leur offrant le spectacle honteux de leur police refluant ou s’enfuyant devant des bandes de racailles islamisées.

Il va nous punir tous en nous écrasant d’impôts et de taxes pour financer l’aide « massive » qu’il va distribuer, comme d’habitude, en dépit du bon sens, et en priorité à ses clients chéris des quartiers ci-dessus dépeints.

Il nous déteste tant !

Il a fait tout cela, et il va faire bien plus encore, car si nous le haïssons désormais, il nous déteste, lui, depuis si longtemps, d’une manière si étrange et anormale, quasiment maladive, que nous pouvons raisonnablement nous poser la question de sa santé mentale. L’auteur de ces lignes, depuis qu’il a vu le candidat Macron s’égosiller hystériquement dans ses meetings de campagne présidentielle, en est persuadé : ce type est un fou, qui veut une fin dramatique, théâtrale, un Götterdämmerung wagnérien, une sorte de catastrophe totale qui nous engloutisse tous, en même temps que lui. Macron, c’est Hitler dans son bunker de la Chancellerie, au printemps de 1945, disant à Speer que les Allemands méritent de tous mourir puisqu’ils n’ont pas été capables de lui donner la victoire, puisqu’ils ont déçu leur Führer. Mais le ridicule est encore ici au rendez-vous, cette malédiction qui lui colle à la peau, puisque comme Führer, il n’a pas fait fureur et qu’à la place de Wagner, on a eu du zouk gay !

Il crie « chiche ! » depuis son donjon élyséen

Lancé maintenant dans une lutte à mort contre la France et les Français, Macron ne mettra fin à ses nuisances que quand ceux-ci seront venus le chercher, manu militari, en son palais.

En attendant cet événement, il continuera son œuvre de destruction, ses mille petites vengeances contre nous qui ne voulons pas l’aimer, pour nous démontrer qu’il est le plus fort contre nous qui ne pouvons rien contre lui, puisqu’il est le Président.

Il crie « Chiche ! » aux Français depuis son donjon élyséen,  certain que nous sommes trop lâches pour comprendre que si nous n’allons pas le chercher là-haut, jamais ni lui ni ses amis ne seront punis.

Prochaines punitions ? Devant sa panoplie d’actes malfaisants, il doit hésiter. Voyons ? Une invasion migratoire ? Embastiller Marine Le Pen ou, plus facile, un ou deux de ses principaux lieutenants ?  Bardella ? Bay ? Un pacte avec Erdogan pour passer de l’enseignement de l’arabe en primaire à l’islamisation accélérée ? La ruine de dizaines de milliers d’entreprises et de millions de destins brisés ? Ah, zut, non, c’est déjà fait…

Une rapide et expéditive révolution

Il ne nous laisse pas le choix. Il ne s’arrêtera pas. À moins que, sortant de notre confort, nous ayons le courage d’opérer une rapide et expéditive révolution, pour mettre à bas le tyran qui nous hait. Car il nous dit clairement : c’est maintenant lui ou nous. Comble de jubilation, il nous voit réduits à mendier le respect de nos libertés essentielles : de culte, de travailler, et d’aller et venir. En nous rendant cette dernière, il nous fera croire qu’il nous fait un somptueux présent. Vous en entendrez plus d’un, dans sa reconnaissance d’être enfin libre, et trompé par les médias, trouver à Macron plein d’excuses. Le syndrome de Stockholm guette la France, cette dérive mentale qui entraîne l’otage à prendre la défense de son persécuteur! Or la course à la mort de Macron, aigri et haineux, est loin d’être achevée.

Emmanuel Albach

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Le Corona : une chimère et des moutons

Publié le 9 mai 2020 - par Bill Harford

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Le roi Nimrod, qui voulait unir l’humanité dans le but de construire une tour ( la Tour de BABEL) assez haute pour partir défier Dieu, est mort à cause d’un moustique entré dans son oreille. L’Occident, qui cherche à détruire les frontières nationales pour envoyer des voitures décapotables dans l’espace, est sur le point de mourir pour une grippe.

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Sans faire de spéculations mystiques, qui seraient pourtant de rigueur, il faut savoir reconnaître le caractère tragi-comique d’une histoire qui ne cessera paradoxalement jamais de se répéter et de nous étonner.

Surtout que, comme Nimrod, qui n’a pas succombé directement à la piqûre du moustique, mais au remède qu’il s’était lui-même prescrit – demander à chacun de ses sujets de le gifler dans le but de faire sortir l’insecte – l’Occident se meurt actuellement non pas du signal d’alarme divin (naturel, de destin, ce que vous voudrez), mais de son antidote : le confinement.

À croire que la direction de ce monde nous laisse toujours une chance de nous ressaisir, mais que nous n’apprendrons jamais de nos erreurs. Nous n’aurons, en plus, cette fois même pas l’excuse d’avoir été manipulés par le plus génial et le plus terrible tyran de l’histoire humaine, mais par… Emmanuel Macron et le Conseil scientifique ! C’est la honte !

Et encore, une lecture objective de ces trois derniers mois devrait nous obliger à nous remettre en question.  Comme Senghor le disait, un pays est colonisé quand il est colonisable.  Appliqué au niveau du cerveau humain, on pourrait suggérer qu’un homme est manipulé quand il est manipulable.

Reprenons le fil. Une épidémie de grippe assez violente fait rage en Chine. Le Parti décide de confiner la ville à l’origine de la propagation, Wuhan, une technique aussi liberticide qu’efficace qui n’a rien de surprenant, venant d’un régime totalitaire. Il existe des logiques de régimes. La Chine fonctionne comme une énorme machine qui ne s’embarrasse pas de point mort et préfère immédiatement endiguer un problème avant même de mesurer sa gravité ou son ampleur, au nom du bien commun. Il n’est même pas question ici de critiquer la logique chinoise, au contraire. Juste de reconnaître des spécificités locales culturelles qu’un état libéral ne devrait jamais automatiquement calquer.

C’est à ce moment que nous arrivons en scène.  Oui, nous. Que l’on soit baby-boomer ou jeune bobo fragile n’ayant jamais connu la guerre et hypocondriaque compulsif, écolo illuminé voyant dans chaque mouvement de la nature une vengeance, ou complotiste percevant dans chaque nouveau virus une arme de guerre apocalyptique créée en laboratoire, nous sommes tous, et cela de notre propre fait, ultra réceptifs à tout type d’information relatif à la santé.

Une dérive hygiéniste, en lien avec la vague de puritanisme qui secoue la France et l’Occident de manière générale, dont sont parfaitement au courant nos médias qui obéissent à la loi de l’offre et de la demande.  Les sujets de santé font d’énormes audiences et ce que la ménagère réclame, la ménagère l’obtient, au nom de la réclame.

Alors, nos chers médias qui nous connaissent mieux que nous-mêmes, qui ne nous rendons même plus compte des heures passées sur Doctissimo ou de la quantité de boîtes d’antibiotiques vidées pour tout et surtout n’importe quoi, vont commencer à nous inonder d’informations sur ce mystérieux nouveau virus venu de Chine, lequel, à une époque pas si lointaine, aurait à peine rempli une petite case perdue sur la troisième page de la rubrique internationale d’un journal.

L’opinion publique s’affole. Les réseaux sociaux sont en ébullition. On commence à voir dans la rue des visages masqués non surplombés par des yeux bridés. La pression est venue d’en bas !

Jupiter, ou Choupinet pour les intimes, nous avait pourtant recommandé d’aller au théâtre ! Quels n’ont pas été le tollé médiatique et la réaction de l’opinion ! Michel Cymes et ses collègues journalistes (et médecins ?) annoncent une simple « grippette ». Scandale ! Assassins ! Roselyne Bachelot, qui avait en son temps largement surestimé la situation et dépensé une fortune pour rien, vient fanfaronner sur les plateaux télé. Quelle femme ! Quelle visionnaire !

Allons-nous un jour prendre du recul ?

Les opinions de tous les pays occidentaux ont exigé des mesures drastiques : elles ont été servies.

Un pays, puis deux, puis trois. Par effet domino, l’Occident se confine, puis le monde.

Choupinet, réticent, craque. Boris Johnson aussi. Même Trump.

Il faut bien comprendre que nous ne sommes pas gouvernés par des monarques, mais par des présidents élus qui jouent leur peau, parfois au sens littéral, surtout sur le thème si sensible de la santé. Nos gouvernants passent autant de temps à scruter chaque sondage que Cyril Hanouna devant les audimats, c’est même devenu leur principale activité. Il ne faut pas attendre de leur part des décisions pragmatiques, mais des initiatives résultant d’intérêts parfaitement compréhensibles. Dans ce cas précis, le seul pari gagnant est le principe de précaution.

Il faut partir d’un postulat de départ basique, mais que certains ont tendance à oublier. Macron est évidemment responsable, mais aussi les scientifiques du Conseil, ainsi que chaque médecin qui prend la parole publiquement, met en jeu sa réputation et donc sa profession, voire sa responsabilité pénale.  Il n’existe donc jamais d’objectivité parfaite et chacun doit prendre en compte les risques qui existent.

Afin de rendre le procédé plus intelligible, j’ai essayé de le décliner sous la forme du fameux pari de Pascal.

Il existe deux options (minimiser la gravité du virus, ou la maximiser) qui peuvent chacune découler en deux futurs possibles : le virus se révèle être soit une grippe classique, soit une nouvelle grippe espagnole dramatique.

Si vous pariez sur une grippe classique, et si le virus s’avère en être une, l’opinion oubliera et passera à autre chose.

Si vous pariez sur une grippe classique, et si le virus s’avère être une grippe dévastatrice, vous serez traduit en justice.

Si vous pariez sur une grippe dévastatrice, et si le virus s’avère n’être qu’une grippe classique, vous pourrez vous réfugier derrière un principe de précaution dont l’opinion ne vous tiendra pas trop rigueur.

Si vous pariez sur une grippe dévastatrice, et si le virus s’avère en être une, alors vous êtes légitimement débordé par la crise et vous ne serez que plus ou moins tenu pour responsable des morts par l’opinion.

Il existe donc une logique mathématique, pour la personne responsable, à parier, quoiqu’il arrive, sur un virus dévastateur, et peu importe sa réalité.

Ce pari élémentaire, qu’il soit appliqué consciemment ou non, explique les retournements de veste en série qui se sont opérés en à peine quelques jours, en passant de l’invitation à sortir au théâtre, au confinement total.

Ils protègent leur cul, et c’est normal ! C’est le jeu de la démocratie participative qui, aujourd’hui, nous est néfaste, mais que nous pourrions retourner dans le bon sens si nous savions utiliser l’outil. Participative implique une participation de notre part !

C’est à nous qu’il incombe de faire le tri parmi les informations que l’on reçoit. En plus, il se trouve qu’en ce moment, nous en avons le temps !

Un intérêt évident de grossir les traits du virus, encore augmenté par le besoin de masquer les coupures de budgets des hôpitaux, en asphyxie depuis déjà un bon moment et actuellement réellement débordés par une forte épidémie.

Cette crise sanitaire aura au moins permis de faire prendre conscience de l’état déplorable de notre système de santé, dont le personnel, pas forcément aidé par les hordes gauchistes qui l’entouraient, avait pourtant essayé de nous avertir depuis quelque temps dans des manifestations.

Le résultat : confinement, couvre- feu, files d’attente devant les supermarchés, délation, réquisitions, contrôle de l’information, traçage… Back in the USSR !

Une aubaine pour Emmanuel, qui n’aurait jamais pu rêver mieux.

Ne soyons pas candides, aucun César n’a jamais rendu les clés de la Cité au Sénat après un imperium.

Si, dans l’Histoire, même des hommes de bien n’ont pu résister à la tentation des pleins pouvoirs, alors on peut imaginer ce qu’il risque d’advenir avec le pervers enfariné à la tête de notre pays.

Aucun événement n’est bon ou mauvais par nature. Tout dépend de ce que nous en faisons.

Si l’événement Corona devrait être décrypté comme un signal qu’il convient de lâcher prise dans notre besoin de contrôle et de maîtrise de tout dans notre quotidien au niveau individuel, et comme un frein bénéfique à la globalisation et l’importance des frontières au niveau collectif, ne soyons pas niais, nos dirigeants, qu’il s’agisse de ceux devant ou derrière la scène, réussiront à retourner la situation.

Le virus a été surestimé ?  Il faut organiser un système de gouvernance politique mondial pour éviter cette situation à l’avenir.

Le virus vient d’un laboratoire chinois ? Il faut organiser un système de gouvernance pharmaceutique mondial pour éviter cette situation à l’avenir.

Le virus émane d’un marché chinois ? Il faut organiser un système de gouvernance sanitaire mondial pour éviter cette situation à l’avenir.

C’était juste un Chinois qui a mangé une chauve-souris ? Il faut organiser un système de gouvernance culinaire mondial pour éviter cette situation à l’avenir.

Peu importe de qui, de quoi, d’où vient le virus, ou même sa gravité, tous les délires seront bons pour servir de prétexte à l’abandon des souverainetés nationales et des spécificités culturelles locales.

C’est pour cela que, à mon humble avis, nous devrions arrêter de faire surchauffer nos cerveaux sur la provenance de ce virus et nous recentrer sur une question plus essentielle : le Nouvel Ordre Mondial.

Hollywood, ainsi que notre showbiz national, qui sont les curés de l’Église de la Bien- Pensance, sont déjà en train de préparer le terrain. « Le Corona est un cri d’alerte de la planète ». « Il nous faut absolument changer de mode de vie ». « Plus rien ne sera plus jamais comme avant ».

La dialectique totalitariste mondialiste est déjà enclenchée, or nous en sommes encore à nous bagarrer sur l’origine du virus et la sanction que l’on devra administrer aux Chinois. Trump ne fait que jouer son rôle en protégeant les intérêts nationaux américains, et il le fait formidablement bien, mais nous devons sortir de la logique de guerre de leadership mondial entre les nations, qui est un logiciel de lecture du vingtième siècle déjà dépassé.

Nous devons tourner notre regard vers les institutions supranationales, en particulier l’OMS et son animal totem, le serpent.

Lorsque l’on vous dit « C’est pour votre bien », méfiez-vous. Nous sommes en train de progressivement nous habituer à des régressions continues de nos libertés individuelles et à un climat oppressant de suspicion permanente de l’ami, du voisin, du collègue, ou même du policier qui, fondamentalement, est là pour notre bien, mais obéit à des ordres qui le dépassent.  Même le mari, le père, peut ainsi devenir une menace dans l’inconscient collectif avec la surmédiatisation des violences conjugales et parentales.

Nous sommes en train de faire de l’Autre un virus, un ennemi. Les économies asiatiques se portent bien, mais l’état psychologique de leur population est inquiétant. Ce diagnostic serait encore aggravé si ce système était transposé à nos populations occidentales, car il est culturellement totalement incompatible.

Le détachement émotionnel relationnel de son prochain, au profit d’une virtualisation des échanges avec les quatre coins du monde, le port du masque, la fermeture des restaurants et bars, remplacés par des « visio-apéros » et la convivialité online. Le désintéressement, la haine, jusqu’au dégoût, de l’autre, celui juste en face de nous, au profit du copain australien avec lequel on tchatte.

Si l’on est enfermé, selon beaucoup de gens, c’est de la faute de l’autre, pas du gouvernement, car l’autre ne suit pas les règles et il existe un danger (il existera toujours un danger). Il faut donc le forcer à se plier aux règles, le dénoncer (bientôt l’éradiquer ?) pour le bien de tous.

« Regarde cette vidéo, des Parisiens qui dansent sur du Dalida dans la rue ! C’est honteux ! Irresponsable ! Le confinement, c’est de leur faute ! »

« Regarde cette vidéo, des gens qui se lancent le défi par réseau social, de Finlande au Brésil, de se renverser de l’eau glacée dessus ! C’est génial ! »

Un esprit supérieur organisé profite du grégarisme populaire ambiant pour orchestrer un mouvement parallèle de réduction des distances avec l’étranger et d’augmentation des distances avec son prochain. Cette combinaison aura nécessairement des répercussions psychologiques et politiques.

Libéraliser les populations asiatiques et totalitariser les populations occidentales, le grand mélange mondial est En Marche. Le mixeur va broyer toutes les identités pour en faire un gloubi-boulga moyen, sans saveur, pas bon, pas mauvais, pas libre, pas enfermé, pas blanc, pas noir… La triste synthèse de l’uniformité.

Le confinement répété va zombifier des générations déjà mentalement très fragiles et dociles. Le matraquage de cet événement surdramatisé est en train de créer dans les consciences un traumatisme planétaire susceptible d’être réactivé à tout moment pour tout et n’importe quoi, pour servir de tremplin à toutes les folies globalistes.

La notoriété du Coronavirus vient de dépasser celle de Michael Jackson, d’Adolf Hitler, et bientôt celle de Jésus. Il est connu de chaque individu, de chaque âme autour du globe et pourra être utilisé comme mythologie commune à l’humanité pour justifier la suppression des frontières nationales et l’instauration d’un régime totalitaire par la cicatrice indélébile qu’il aura laissée dans l’Histoire. Soit la création d’un Nouvel Ordre Mondial.

C’est le souvenir traumatique du Déluge qui a servi à Nimrod de prétexte pour faire abandonner à l’humanité ses frontières et ses libertés individuelles, et la liguer contre Dieu.

Bill Harford

IlluminatisManipulations

 

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