There’s a huge war between Chechen gangs and Algerian gangs that has been taking place for a few days in the French city of Dijon. It reportedly started due to a few Algerian adults (20+ in age) beating up a 16 year old Chechen teen.
EN FRANCE SUR NOTRE TERRITOIRE NATIONAL LA GUERRE DES GANGS A COMMENCE C'EST DEVENU PEUR SUR LA VILLE
Elle a commencé quand des Algériens ont tabassé un adolescent tchétchène de 16 ans le 10 juin dernier. L’adolescent a raconté ce qui lui est arrivé à sa famille qui en a informé d’autres, ce qui a conduit des centaines de Tchétchènes à travers la France à venir à Dijon pour trouver les Algériens qui battaient l’adolescent.
Les Tchétchènes ont alors menacé de bastonner tous les Algériens de la région jusqu’à ce que les auteurs de ces actes s’excusent auprès de la famille.
Le bilan du week-end est catastrophique. Les autorités parlent d’un « véritable déchaînement de violences sur la place de la République et dans le quartier tout proche des Grésilles.
Pour le procureur Eric Mathais., il s’agit « d’évènements graves et inédits » dans l’intensité de la violence, non seulement pour Dijon, mais pour le reste de la France. On compte une dizaine de blessés dont un blessé gravement par balles, et un autre grièvement blessé lorsque son véhicule est parti en tonneau dans le quartier des Grésilles, dans le nord-est de la ville, dans la nuit de dimanche et lundi (vidéo ci-dessus).
Eric Mathais :
Les violences découlent d’ »une dérive communautaire sur fond de racisme.
Ce sont apparemment des membres de la communauté tchétchène qui ont appelé sur les réseaux sociaux à partir de vendredi à venger des violences commises sur un jeune par des personnes issues de la communauté ‘maghrébine’. Trois soirs de suite, on a donc jusqu’à 140 personnes qui viennent à Dijon dans ce cadre-là.
Nous étions en direct au centre de commandement de la police, on voyait sur les caméras ces 140 personnes de la communauté tchétchène rassemblées sur la place du marché aux Grésilles.
Et il y a un véhicule qui est venu à proximité, qui a d’ailleurs à un moment donné esquissé un mouvement pour foncer dans la foule, ensuite il y a eu cet accident », a expliqué le procureur.
Dans une interview au quotidien local Le Bien Public, un homme, Lamro, un Tchétchène de Saint-Etienne, a dit avoir participé à l’expédition a confirmé que l’opération visait à venger un « jeune de 16 ans », membre de la communauté tchétchène, qui aurait été « agressé » par des dealers.
« Nous étions une centaine, venus de toute la France, mais aussi de Belgique et d’Allemagne (…)
Nous n’avons jamais eu l’intention de saccager la ville ni de nous en prendre à la population », ajoute-t-il.
Dans la nuit de dimanche à lundi, les Tchétchènes étaient au nombre de 200, selon une source policière.
Malgré ce déchaînement de violences, la centaine de personnes armées de battes de baseball et cagoulées, aucune interpellation n’a eu lieu, malgré l’important déploiement de forces de l’ordre et les hélicoptères.
« Dans un cas comme ça, a expliqué Eric Mathais, la priorité c’est avant tout la sécurisation, éviter que le pire ne se produise.
« Des renforts arriveront ce soir (lundi), une ou deux compagnies, afin de sécuriser et rassurer », a déclaré le maire socialiste sortant, François Rebsamen, après un appel téléphonique avec le ministre de l’intérieur, Christophe Castaner.
« Ces faits sont inacceptables et totalement inédits », a ajouté le maire, qui brigue un quatrième mandat.
La préfecture a précisé qu’une demi-section de CRS (37 policiers) et des renforts de la brigade anticriminalité étaient déjà arrivés dimanche. Un escadron de gendarmes mobiles, soit 110 militaires, devait être déployé ce lundi soir, selon la même source.
SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
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