Marine Le Pen prise à parti et attaquée à Dijon par la racaille des banlieues chez le Maire Socialiste François REBSAMEN
Ça s'alerte !
Le 17-06-2020

By Kremlin.ru, CC BY 4.0,
Ce mardi après-midi, à la suite des violences commises dans le quartier des Grésilles, Marine Le Pen s’est rendue à Dijon pour tenir une conférence de presse. Mais elle n’a pas été la bienvenue ! Regardez.
Depuis quelques jours, la ville de Dijon est le théâtre de violences et d’affrontements sur fond de guerre communautaire.
Ainsi, dans la matinée du mardi, le secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur, Laurent Nunez, y a effectué un déplacement.
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Après un point de situation avec le préfet de Côte-d'Or, Bernard Schmeltz, il s'est rendu au commissariat de Dijon, place Suquet, pour échanger avec les forces de l'ordre, et par la suite avec les élus et personnalités locaux présents.
Alors que c’était prévu, qu’« en soutien des habitants », il devait se rendre dans le quartier des Grésilles, il a finalement organisé une rencontre à la préfecture avec une délégation d'habitants du quartier.
Rencontre que ces derniers ont décliné en dénonçant « un manque de respect » de la part du secrétaire d'État.
Face à la presse, Laurent Nunez a réaffirmé que l'État et la justice apporteraient une réponse forte suite aux incidents survenus ces derniers jours à Dijon.
Dénonçant les évènements comme « des faits très graves, intolérables », il a tenu à rappeler qu'' « en France, la justice est rendue par l'État, un État de droit. Personne ne peut se rendre justice lui-même ».
Cette visite s’est donc passée sans anicroche, contrairement à celle de Marine Le Pen.
En effet, la présidente du Rassemblement national, s’étant aussi rendue à Dijon dans l’après-midi, n’a pas été aussi bien a accueillie… pour le moins que l’on puisse dire !
Comme le maire socialiste François Rebsamen l’a en effet expliqué sur BFMTV, la veille, « Marine Le Pen n’est pas la bienvenue à Dijon, je ne vois pas d’ailleurs ce qu’elle vient faire ».
Ainsi, dans la matinée du mardi, le secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur, Laurent Nunez, y a effectué un déplacement.

Après un point de situation avec le préfet de Côte-d'Or, Bernard Schmeltz, il s'est rendu au commissariat de Dijon, place Suquet, pour échanger avec les forces de l'ordre, et par la suite avec les élus et personnalités locaux présents.
Alors que c’était prévu, qu’« en soutien des habitants », il devait se rendre dans le quartier des Grésilles, il a finalement organisé une rencontre à la préfecture avec une délégation d'habitants du quartier.
Rencontre que ces derniers ont décliné en dénonçant « un manque de respect » de la part du secrétaire d'État.
Face à la presse, Laurent Nunez a réaffirmé que l'État et la justice apporteraient une réponse forte suite aux incidents survenus ces derniers jours à Dijon.
Dénonçant les évènements comme « des faits très graves, intolérables », il a tenu à rappeler qu'' « en France, la justice est rendue par l'État, un État de droit. Personne ne peut se rendre justice lui-même ».
Cette visite s’est donc passée sans anicroche, contrairement à celle de Marine Le Pen.
En effet, la présidente du Rassemblement national, s’étant aussi rendue à Dijon dans l’après-midi, n’a pas été aussi bien a accueillie… pour le moins que l’on puisse dire !
Comme le maire socialiste François Rebsamen l’a en effet expliqué sur BFMTV, la veille, « Marine Le Pen n’est pas la bienvenue à Dijon, je ne vois pas d’ailleurs ce qu’elle vient faire ».
Pour lui « il y a ceux qui essayent d’avoir des grands gains électoraux, ça c’est Marine Le Pen », et de conclure : « Ça fait un peu les vautours qui essayent de dépecer soit la ville, soit la République et vraiment, ce ne sont pas des choses qui m’intéressent et je ne veux même pas la rencontrer bien évidemment, elle n’est pas la bienvenue à Dijon ».
Un point de vue que partagent visiblement les manifestants, car, à l’arrivée de la politicienne à l’hôtel Ibis, ces derniers ont lancé des pétards et les forces de l'ordre ont dû recourir à des lacrymogènes pour les disperser.
Néanmoins, Marine Le Pen a pu tenir sa conférence de presse pendant laquelle elle a dénoncé une situation qui fait suite à « 30 ans d’errements idéologiques », qu’il faut rétablir via « une grande politique de restauration républicaine ».
Une conférence de presse après laquelle des incidents se sont produits !
En effet, à son départ, son convoi a été pris à parti de façon très violente.
Sur les images de la chaîne CNews, des individus, qui semblent être des militants Antifas, sont venus attaquer le cortège de voitures à coups de pieds et jets de projectiles.
Et pour repousser les manifestants, un des occupants du véhicule, a usé d’une bombe lacrymogène à travers la vitre. Finalement, le cortège a réussi à se frayer un chemin et se dégager.
Outre les véhicules et poubelles incendiées, des journalistes locaux de France 3 ont été aussi agressés.
Et relayées sur les réseaux sociaux, des vidéos montrent des hommes masqués tirer en l’air, appelant les Tchétchènes à revenir pour en découdre.
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