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11 décembre 2020

SOSSIER EXPLOSIF SUR LES ELECTIONS PRÉSIDENTIELLES MASSIVEMENT TRUQUÉES PAR LES DÉMOCRATES DE JOE BIDEN AUX ETATS-UNIS

PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 11 DÉCEMBRE 2020

Le Comité d’élection du comté de Coffee, en Georgie, a refusé de certifier les élections parce que leurs machines Dominion ne donnaient pas des résultats fiables.

Les superviseurs des élections du comté de Coffee ne se sont pas contentés de refuser de certifier les résultats des élections. Ils ont affirmé posséder les preuves que « le recomptage électronique manque de crédibilité », et sont allés jusqu’à filmer le cycle complet du dépouillement pour montrer comment les machines Domination sont capables d’inverser, de supprimer et d’ajouter des votes. Ils ont même démontré qu’elles peuvent compter plusieurs fois les mêmes bulletins, voire même compter pour le candidat de son choix, des bulletins de vote laissés totalement vierges.

La vidéo suivante a été difficile à obtenir : le blog (1) qui l’accueillait se l’est vue supprimée par son hébergeur, et nous l’avons vue, assez frustrés, se bloquer puis disparaître pendant que nous la téléchargions. Mais une personne avait conservé une copie. Nous avons rapidement fait une sauvegarde, et lui avons donné un titre neutre pour éviter qu’elle ne soit repérée par Vimeo, où nous l’avons posée.

Dan Purser, un patriote Républicain, avait lui aussi récupéré la séquence, qu’il a collée dans plusieurs tweets :

SOURCE  :Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

 

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Ce qu’il faut savoir concernant la plainte déposée par le Texas auprès de la Cour suprême des États-Unis

 

 

PUBLIÉ PAR MAGALI MARC LE 11 DÉCEMBRE 2020

2020-12-11_093708 (1)

Il y a les procès portés devant la Cour suprême par Rudy Giuliani et l’équipe juridique de Donald Trump, demandant l’annulation des milliers de votes frauduleux dans les États-charnière en s’appuyant sur des centaines d’affidavits de témoins sous serment. Il y a les accusations portées par l’avocate Sidney Powell, aidée par des experts en informatique, concernant la fraude électorale perpétrée par la Dominion Voting Systems. Et maintenant, il y a la plainte du Texas, rejoint par 17 autres États, demandant à la Cour suprême des États-Unis de sanctionner les graves irrégularités constitutionnelles qui ont entaché l’élection présidentielle dans 4 États. Quoi que décide la Cour suprême dans toutes ces poursuites, les Américains ne croiront jamais que Joe Biden a réellement été élu président.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Margot Cleveland, paru sur le site de The Federalist, le 9 décembre.

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Six choses qu’il faut savoir au sujet du dépôt de la plainte du Texas auprès de la Cour suprême

Dans sa plainte, le Texas affirme que sa motion « présente des questions constitutionnelles aux conséquences nationales immenses », à savoir que de graves irrégularités constitutionnelles ont entaché l’élection présidentielle.

Lundi, le Texas a déposé une requête d’autorisation de déposer une « motion de plainte » auprès de la Cour suprême des États-Unis pour contester la constitutionnalité de l’administration de l’élection présidentielle de 2020 par les États de la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan et le Wisconsin.
Les dépôts combinés, qui comprennent également une demande d’examen accéléré et une injonction préliminaire, s’étendent sur plus de 150 pages. Voici ce que vous devez savoir sur cette dernière affaire qui concerne l’élection.

1. C’est différent de l’Affaire Bush v. Gore

La motion du Texas est une affaire procédurale très différente de l’Affaire Bush contre Gore lors des élections de 2000.

Contrairement à l’affaire Bush contre Gore, qui s’est rendue à la Cour suprême en appel, la motion du Texas repose sur la « juridiction d’origine » de la Cour suprême, c’est-à-dire le pouvoir d’entendre une affaire dans un premier temps.

La Constitution établit plusieurs types d’affaires qui relèvent de la compétence initiale de la Cour suprême, mais à l’exception des affaires concernant des litiges entre deux États, le Congrès a créé une « compétence concurrente » avec les tribunaux fédéraux inférieurs.

Cela signifie que ces autres types de litiges peuvent être entendus par les tribunaux fédéraux de district.

Il n’en va pas de même dans le cas où un État poursuit un autre État. La Cour suprême des États-Unis a une « compétence exclusive » sur ces affaires, ce qui signifie que ce genre de litige ne peut être résolu que par elle. Paradoxalement, cependant, la Cour suprême n’est pas obligée de traiter un litige entre les États.

Au contraire, selon la jurisprudence dominante, elle a le choix de traiter ou non un tel litige.

C’est pourquoi le Texas a déposé une « Motion afin d’obtenir la permission de la Cour de déposer une plainte » – parce qu’il a besoin de son autorisation.

Dans son mémorandum à l’appui de sa requête, le Texas fait valoir que cette affaire « présente des questions constitutionnelles aux conséquences nationales immenses », à savoir que l’élection de 2020 a souffert de graves irrégularités constitutionnelles, notamment de violations par les États défendeurs de la clause électorale et de la clause de procédure régulière de la Constitution. Le mémoire fait également valoir qu’un jugement contribuerait à « préserver la Constitution et à prévenir les irrégularités lors de futures élections ».

Le Texas, cependant, soutient également que l’examen de la Cour suprême « n’est pas discrétionnaire ».

En d’autres termes, le Texas demande également à la Cour suprême d’annuler son précédent selon lequel la Haute Cour n’est pas tenue d’accepter une plainte déposée par un État contre un ou plusieurs États défendeurs. Compte tenu du caractère urgent du litige électoral, il est peu probable que la Cour suprême veuille perdre de précieuses journées à réexaminer ce précédent – ce qui serait inutile si la Cour suprême acceptait le projet de plainte sur une base discrétionnaire.

2. Le temps manque – et la Cour suprême a déjà agi

En plus de sa motion d’autorisation de déposer une plainte, le Texas a également déposé une motion d’examen accéléré de ses requêtes, y compris une motion d’injonction préliminaire, d’ordonnance de restriction temporaire ou de suspension.

Dans cette dernière motion, le Texas demande au tribunal d’ordonner à la Géorgie, au Michigan, au Wisconsin et à la Pennsylvanie de ne prendre aucune mesure visant à certifier les Grands Électeurs présidentiels, à participer au Collège électoral ou à voter pour un candidat à la présidence jusqu’à ce que la Cour suprême ait résolu sa plainte.

Notant que la loi fédérale établit le 8 décembre comme ère de sécurité pour la certification des Grands Électeurs présidentiels, que le Collège électoral vote le 14 décembre et que la Chambre des Représentants compte les votes du Collège électoral le 6 janvier, le Texas implore le tribunal d’accélérer la procédure, car « en l’absence d’une forme de réparation, les défendeurs désigneront des Grands Électeurs sur la base de résultats électoraux inconstitutionnels et profondément incertains ».

Hier, le tribunal, reconnaissant l’urgence de l’affaire, a ordonné que les États défendeurs répondent à la motion du Texas d’autorisation de dépôt de sa plainte, à la motion demandant une injonction préliminaire, à l’ordonnance de restriction temporaire ou de sursis, avant le 10 décembre 2020, à 15 heures.

3. Le Texas présente de sérieuses revendications constitutionnelles

En dépit des mauvais esprits qui décrivent cette plainte du Texas, comme une tentative désespérée de bloquer l’issue des élections de 2020, la plainte de cet État présente de sérieux problèmes constitutionnels. Ces problèmes, comme le dit le Texas, dépassent de loin les irrégularités électorales de « la saga des accrochages lors de l’élection de 2000 ».

Dans sa plainte, déposée en même temps que sa motion d’autorisation, le Texas fait état de trois accrocs à la Constitution.

Le premier chef d’accusation allègue que les États défendeurs ont violé la clause électorale de la Constitution. La clause électorale de l’article II, section 1, clause 2 de la Constitution des États-Unis prévoit que « chaque État nommera, de la manière que la législature de l’État peut l’ordonner, un nombre d’électeurs égal au nombre total de sénateurs et de représentants auquel l’État peut avoir droit au Congrès ». Comme le note le Texas, cette clause précise que « seules les législatures des États sont autorisées à déterminer les règles de nomination des Grands Électeurs présidentiels ».

Mais, comme le Texas le révèle dans son résumé détaillé des faits, chacun des États défendeurs, par l’intermédiaire d’acteurs non législatifs, a annulé des lois électorales établies par voie législative en violation de la clause relative aux électeurs. Par exemple, plusieurs grands comtés du Wisconsin ont utilisé des boîtes de dépôt en violation directe du code électoral du Wisconsin qui prévoit des procédures détaillées par lesquelles les municipalités peuvent désigner des sites pour l’acceptation des bulletins de vote par correspondance. Les fonctionnaires électoraux du Wisconsin ont également ignoré les exigences légales de certification des bulletins de vote par correspondance, en comptant des votes que l’assemblée législative de l’État a définis comme illégaux parce qu’ils ne comportaient pas de signature de témoin ni d’adresse.

Les responsables des élections du Michigan ont également enfreint les mandats légaux établis par la législature de l’État, le secrétaire d’État ayant envoyé une énorme quantité de bulletins de vote par correspondance en violation de la loi de l’État. Et dans le comté de Wayne, où se trouve le bastion démocrate de Detroit, les fonctionnaires électoraux ont ignoré l’exigence de vérification de la signature de l’État. Selon la plainte du Texas, la Géorgie a également violé l’exigence de vérification des signatures de l’assemblée législative.

Les violations les plus flagrantes proviennent de la Pennsylvanie, où les fonctionnaires électoraux ont ignoré l’interdiction légale d’inspecter les bulletins de vote avant le jour du scrutin, puis ont illégalement fourni des informations sur les électeurs à des tiers et ont autorisé le traitement illégal des bulletins. Il est significatif qu’en Pennsylvanie, ces pratiques illégales ne se soient produites que dans les bastions démocrates, les Républicains ayant respecté la loi.

Selon le Texas, ces pratiques et d’autres encore constituent une violation manifeste de la clause relative aux électeurs du Collège Électoral, car cette clause indique clairement que c’est le corps législatif de l’État – et non les organismes administratifs, les responsables des élections ou même les tribunaux – qui est chargé, en vertu de notre système constitutionnel, de sélectionner les Grands Électeurs du Collège Électoral. (Cet argument est étayé par le juge en chef de l’époque, William Rehnquist, dans l’affaire Bush contre Gore).

À partir de là, le premier argument du Texas défend l’idée que « les Grands Électeurs nommés au Collège électoral en violation de la clause électorale ne peuvent pas voter de manière constitutionnellement valable pour le poste de président ».

Dans son second argument, le Texas s’est appuyé sur les mêmes faits, puis a fait valoir une demande de protection égale, fondée sur le raisonnement de l’opinion majoritaire dans l’affaire Bush contre Gore. Dans l’affaire Bush contre Gore, la Cour suprême a estimé que la clause de protection égale de la Constitution est violée lorsque les États appliquent des normes différentes pour juger de la légalité des votes exprimés pour la fonction de président.

« Le droit de vote est protégé au-delà de l’attribution initiale du droit de vote », a écrit la Cour suprême. « Une protection égale s’applique également à la manière dont il est exercé. Ayant autrefois accordé le droit de vote dans des conditions d’égalité, l’État ne peut, par un traitement arbitraire et disparate ultérieur, valoriser le vote d’une personne par rapport à celui d’une autre ».

Puis, citant son exposé détaillé des faits, qui a mis en évidence le traitement disparate des électeurs par les États défendeurs, le Texas fait valoir dans son second argument que « les violations de l’égalité de protection dans un État peuvent avoir et ont effectivement un effet négatif sur le poids des votes exprimés dans les États qui respectent légalement la structure électorale établie par la Constitution ».

Enfin, dans son trosième argument, le Texas affirme qu’il y a eu violation de la clause de procédure régulière de la Constitution. Cette plainte est fondée sur l’allégation du Texas selon laquelle les pratiques électorales des États défendeurs en 2020 ont atteint « le point d’injustice flagrante et fondamentale », violant ainsi les droits fondamentaux de la procédure.

Ces trois chefs d’accusation, et les faits détaillés allégués par le Texas, montrent clairement que le mécontentement du Texas n’est pas causé par les lois électorales des États, mais par la violation par les États de leurs propres lois électorales, en violation de la Constitution des États-Unis.

4. Le Texas a le droit d’intenter un procès

Cependant, il ne suffit pas d’alléguer que les États défendeurs ont violé la Constitution. Le Texas doit également établir qu’il a « qualité pour agir », c’est-à-dire qu’il a été lésé d’une manière qui lui donne le droit de se présenter devant le tribunal et de demander réparation. Dans sa demande d’autorisation, le Texas fait longuement valoir qu’il a la qualité pour agir et présente trois bases distinctes à cet effet.

Premièrement, le Texas revendique le droit de présenter les revendications constitutionnelles de ses citoyens, qui « ont le droit d’exiger que tous les autres États respectent les règles fixées par la Constitution pour la nomination des électeurs présidentiels au Collège Électoral ».

Deuxièmement, le Texas « fait valoir la forme de préjudice en matière de droit de vote qu’il subit en tant qu’État » en se fondant sur la structure de la Constitution. « Alors que la Chambre représente proportionnellement le peuple, le Sénat représente les États », note le Texas. Ainsi, « tandis que les Américains se soucient probablement davantage de savoir qui est élu président, les États ont un intérêt particulier à savoir qui est élu Vice-président et donc qui peut voter pour départager les candidats au Sénat », souligne le Texas dans son mémoire. « À cause de cet intérêt », poursuit le mémoire : « Les États subissent un préjudice au titre de l’article III lorsqu’un autre État enfreint la loi fédérale de manière à affecter le résultat d’une élection présidentielle. Ce préjudice est particulièrement grave en 2020, où une majorité au Sénat sera souvent dépendante du vote décisif du Vice-président en raison de l’équilibre presque égal – et, selon le résultat du second tour des élections en Géorgie en janvier, peut-être égal – entre les partis politiques. Tout simplement, la question de déterminer qui deviendra Vice-président revêt une importance vitale pour les États »

Enfin, le Texas fait valoir qu’il a qualité pour ester en justice en tant que représentant des «électeurs» de l’État. Ces Électeurs, affirme le Texas, subissent un « préjudice législatif chaque fois que des actions inappropriées leur refusent une majorité ».

Comme la formation du « Collège électoral est un jeu à somme nulle », la nomination inconstitutionnelle des électeurs dans d’autres États porte préjudice aux électeurs du Texas.

5. Le Texas ne cherche pas à inverser le résultat électoral ou à maintenir le Président Trump à la Maison Blanche

Les préjudices subis, affirme le Texas, doivent être corrigés. Mais le remède demandé n’est pas ce que certains peuvent supposer être l’objectif – un second mandat pour le Président Trump.

Non, ce que le Texas demande, c’est que la Cour suprême exige que les États défendeurs se conforment à la Constitution, ce qui signifie que les électeurs soient sélectionnés par les assemblées législatives des États.

Le Texas est clair sur ce point quand il souligne que: « L’État demandeur ne demande pas à cette Cour de décider qui a gagné l’élection ; il demande seulement que la Cour sanctionne les violations claires de la clause électorale de la Constitution ».

6. Le Texas apporte les citations à l’appui de sa requête

L’équipe juridique du Procureur général du Texas a excellé dans son briefing. Grâce à des faits clairs et frappants et à une argumentation détaillée et convaincante, le Texas a présenté des arguments solides en faveur de l’intervention de la Cour suprême. En cours de route, l’équipe juridique a inclus des citations marquantes – certaines datant d’années antérieures et d’autres de nouveaux classiques, comme cet article d’introduction :

« Notre pays se trouve à un carrefour important. Soit la Constitution est importante et doit être respectée, même lorsque certains fonctionnaires la jugent peu pratique ou dépassée, soit il s’agit simplement d’un morceau de papier déposé aux Archives nationales. Nous demandons à la Cour de choisir la première solution. »

Si la Cour suprême intervient, ce sera en effet « dans l’esprit de Marbury v. Madison », comme l’a dit le Texas.

* Margot Cleveland est l’une des principales collaboratrices du magazine The Federalist. Mme Cleveland a travaillé pendant près de 25 ans comme juriste permanente auprès d’un juge d’appel fédéral.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Thefederalist

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PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 10 DÉCEMBRE 2020

Ces derniers jours, le brouillard a commencé à se dissiper concernant la fraude en Georgie. Epoch Time a résumé, nous avons analysé.

1Changement de règles

Le 10 août, le Conseil électoral de l’État a approuvé une nouvelle règle permettant aux fonctionnaires électoraux de commencer à ouvrir et à scanner les votes par procuration trois semaines avant le jour du scrutin. Une action en justice est en cours pour contester cette décision, contraire aux lois électorales de l’Etat.

Dreuz : Il est typique que les Républicains n’aient pas immédiatement réagi, dès le mois d’août, et aient attendu que leur candidat préféré, Donald Trump, perde l’élection, pour contester cette décision illégale. Ce sont des politiciens professionnels, et ils n’ont toujours pas compris que les politiciens Démocrates sont des vicieux que rien n’arrête.

2 Fuite d’eau
Le jour des élections, le dépouillement des bulletins de vote au State Farm Arena a été arrêté parce qu’une fuite d’eau a éclaté. En fait, la source de la fuite était un urinoir qui a débordé. « L’urgence a retardé le traitement des bulletins de vote entre 5 h 30 et 9 h 30 », indique le rapport.

Dreuz : C’était un stratagème pour écarter les observateurs et bourrer les urnes. C’est là que les images des caméras de surveillance devraient être étudiées. A moins que ce soit des caméras du genre Jeffrey Epstein : une était en panne, l’autre a mal fonctionné et la troisième était éteinte lorsqu’il s’est suicidé. Après tout, si ça a marché pour Epstein, pourquoi pas pour l’élection, on ne change pas une méthode gagnante.

3 Les images des caméras de sécurité
Les images des caméras de sécurité de State Farm Arena montrent des travailleurs se déplaçant autour des tables après 8 h 20. Seules certaines parties de ces images ont été rendues publiques. Les tentatives de diverses parties pour obtenir les images ont échoué.

Dreuz : Que cachent-ils ? Pourquoi ce refus de transparence lorsqu’on a rien à cacher ? Pourquoi aucun juge n’a-t-il été saisi pour réclamer ces images ?

4 Des moniteurs placés trop loin
D’après les témoignages et les images de sécurité, les moniteurs servant aux observateurs du GOP se trouvaient dans une zone réservée aux médias tout au bout de la grande salle du centre de tabulation. Ils étaient si loin des travailleurs électoraux qu’ils ne pouvaient pas voir en détail ce qui se faisait.

Dreuz : clairement, Donald Trump, qui dès le mois de juin indiquait publiquement que les élections seraient truquées, n’a pas fait le nécessaire pour éviter ce genre de tour de passe-passe.

5 Retards
A 20 h 40, la chaîne locale 11Alive a rapporté que « les responsables des élections du comté de Fulton ont déclaré qu’ils avaient du retard – d’environ quatre heures – dans le décompte des votes par procuration après qu’un tuyau ait éclaté dans une salle de la State Farm Arena où certains de ces votes avaient lieu ».

6 Des boîtes devant et sur la table
Les images disponibles montrent qu’à 21 h 57, un homme apporte une urne noire vide et la place sur une table. À 22 h 25, deux urnes sont toujours sur la table. À 22 h 37, la table a été nettoyée, les urnes ont disparu.

Dreuz : où sont les images intermédiaires ?

7 Arrêtez de travailler, on ferme, revenez demain
Vers 22 h 30, une personne clairement identifiée par les enquêteurs comme étant « Moss « a dit aux observateurs qu’ils arrêtaient de travailler et qu’ils pouvaient revenir le lendemain à 8 h 30.

Dreuz : lorsque le lendemain des élections, Dreuz a appris et rapporté cette information que les travailleurs électoraux ont dit aux observateurs Républicains de rentrer chez eux parce qu’ils allaient fermer, qu’ils sont partis, et qu’en réalité ils ont continué à dépouiller, je me suis dit qu’avec un bourrin, on ne fait pas un cheval de course. Si au bout de leur carrière politique, les Républicains n’ont toujours pas vu que les Démocrates sont des vicieux et des menteurs, ils méritent pleinement ce qui leur arrive. Il faut vraiment être con pour quitter les salles de dépouillement, et comme des nigauds s’apercevoir qu’ils ont été roulés dans la farine.

8 Les gens partent
Les images montrent les observateurs républicains en train de partir, vers 22 h 40, ne laissant derrière eux que 7 personnes : Moss, Freeman, 2 femmes en t-shirt jaune, 1 homme en chemise rouge, 1 homme en haut bleu clair et 1 homme en veste noire.

Dreuz : c’est entre cette plage horaire et le lendemain, que les 300 000 votes d’avance du président Trump ont disparu.

9 Boîtes sous la table
Vers 22 h 51, Moss est vue en train de sortir une urne noire de sous la table qu’elle y avait placée le matin. A 23 h 3, une femme en retire des piles de bulletins et commence à les placer dans le scanner pour les compter.

10 Les données du flux Edison Research publiées par Le New York Times montrent qu’entre 23 h 15 et 0 h 3, le comté de Fulton a ajouté 46 442 votes à son décompte, dont environ 21 % pour Trump. Les images de sécurité se poursuivent jusqu’à 0 h 50, lorsque les travailleurs remballent.

11 Les caméras de surveillance reviennent
A 1 h 47 du matin, on voit 3 personnes entrer dans la salle. Selon la campagne Trump, deux d’entre elles étaient des observateurs du GOP : Harrison et Trevin McKoy. Harrison a déclaré que lui et un autre observateur, Trevin McKoy, ont reçu l’ordre de retourner à l’Arena après avoir appris que le comptage avait continué après leur départ la veille.

12 Il semble maintenant qu’un observateur des élections de l’État ait été anormalement absent pendant une partie du processus de comptage. Il est également démontré que les observateurs du GOP ont été empêchés d’observer de manière significative une grande partie du processus, bien qu’ils aient été autorisés à entrer dans la salle.

13 Les officiels répliquent
Un porte-parole du secrétaire d’État géorgien a déclaré que son « enquêteur » et un « observateur indépendant nommé par le Conseil électoral d’État… ont tous deux observé le dépouillement jusqu’à ce qu’il soit arrêté pour la nuit vers minuit ».

14 Enveloppe sans adresse
Un plateau portant la mention « Vérification des signatures des bulletins de vote » contenant près de 400 enveloppes de vote par procuration a été livré à un observateur. La première enveloppe ne comporte pas d’adresse de retour.

15 Le secrétaire d’État géorgien a reconnu que son bureau enquêtait sur des centaines de cas d’activités de vote potentiellement illégales, mais il a rejeté l’idée que des fonctionnaires du comté de Fulton aient été impliqués dans des fraudes électorales à l’Arena le soir des élections.

SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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PUBLIÉ PAR EBER HADDAD LE 7 DÉCEMBRE 2020

Aujourd’hui les États-Unis ne peuvent plus être considérés comme un pays démocratique et aussi bizarre, surprenant et intolérable que cela puisse paraitre, c’est une réalité avec laquelle il va falloir s’habituer à vivre.

Les piliers d’une démocratie sont la robustesse et l’intégrité des institutions, une presse libre et fiable et, par-dessus tout, le respect absolu du processus électoral, avec une confiance totale dans son application, sans le moindre soupçon ni faux-fuyant ou encore la plus petite incertitude. Tout cela a volé en éclats sous nos yeux avec un matraquage et une intox dépassant l’entendement. On se croirait en Union Soviétique. Ces trois piliers ont non seulement failli mais ont montré une telle corruption que cette évolution semble à présent irréversible, surtout si après l’utilisation illimitée de ces armes de destructions massives de la démocratie, Biden est confirmé comme Président des États-Unis.

Le mouvement de décomposition de la démocratie a commencé bien plus tôt, le 20 Janvier 2009 plus précisément, quand Barack Obama a été inauguré comme président des États-Unis. Il n’avait pas caché ses intentions, ni dans son discours d’intronisation, ni dans celui du Caire, ni dans ce qu’il annonçait à mots couverts, mais faciles à décoder, durant sa campagne électorale mais que les médias émerveillés et admiratifs ont interprété à leurs façons, en faisant totalement l’impasse sur ses intentions.

Le nouveau président s’était, dès le départ entouré de personnes peu ragoutantes et parmi elles un grand nombre de politiciens ou affidés de Chicago, la ville la plus corrompue aux États-Unis, tels Rahm Emmanuel, Valérie Jarrett et toute une cohorte d’acteurs similaires.

On a dissimulé, voire carrément enfoui, le passé trouble et inconnu du grand public de ce candidat venu de nulle part, arrivé à la notoriété de manière météorique et douteuse, et sur lequel on savait vraiment très peu de choses, à commencer par son lieu de naissance, demeuré mystérieux à ce jour et tout ce qui concernait, études, biographie, lieux de résidences, etc… a été mis sous scellés.

Ses fréquentations peu recommandables, Bill Ayers condamné pour terrorisme, Tony Rezko, son collecteur de fonds, purgeant une peine de 10 ans ½ de prison, Jeremiah Wright, son soi-disant conseiller spirituel, sulfureux au possible et controversé jusque dans le discours qu’il a prononcé aussitôt après les attentats du 11 Septembre 2001, Louis Farrakhan qu’on ne présente plus, et bien d’autres mais la liste serait trop longue pour tous les nommer, ont toutes été passées sous silence.

Pour faire court, Obama a désagrégé le système, l’affaiblissant de l’intérieur en le mettant à son service, a instrumentalisé les institutions, FBI, CIA, IRS (Fisc), Ministère de la Justice, etc… et s’en est servi, non seulement pour faire taire tous ceux qui n’étaient pas bien disposés à son endroit, mais ses opposants et même le « petit gibier », les lampistes, à qui il a mené la vie dure pendant ses deux mandats. Il a truffé toute la bureaucratie de gens qui lui étaient dévolus et ils sont devenus des potentats, difficilement « délogeables », qui continuent encore à sévir quatre ans après son départ.

Ce qui s’est passé dans les élections présidentielles de 2020, les plus rocambolesques qu’il y ait jamais eu, en est la conséquence.

La fraude est tellement monumentale, titanesque, démesurée et très largement étendue qu’elle est difficile à croire et à combattre d’autant plus que des juges fédéraux nommés par Obama, toujours en place, ont décidé de ne pas voir les évidences et de rejeter en bloc toute contestation ou preuve de falsification, de manipulation, d’apparition ou de disparition de bulletin de votes, d’escamotage ou de transmutation informatique, etc… qui leur ont été présentées.

Circulez, il n’y a rien à voir !

Tous se sont dérobés avec une malhonnêteté confondante. Le plus grave, c’est aussi qu’un grand nombre de Républicains, une minorité substantielle, ont fait de même et sont prêts à passer l’éponge sur ces agissements, apparemment au nom de la paix civile mais en réalité parce qu’ils font partie, eux aussi, de la nomenklatura, autrefois appelée « establishment politique », qui s’abreuve aux mêmes sources, n’aime pas qu’un « outsider », une personne extérieure au sérail comme Trump, vienne piétiner sur leurs plates-bandes et sont pour cela prêts à tous les arrangements avec le diable et à toutes les compromissions… sans états d’âmes aucun.

C’est pour ça qu’on voit des personnes comme le Ministre de la Justice William Barr ou le Directeur du FBI, Christopher Wray, tourner casaque et faire des déclarations favorables à Biden.

Même quand ils admettent les fraudes, c’est le cas de Barr, ils en minimisent l’impact sur le résultat final pour justifier leur non-intervention.

Si une très grande partie des politiciens en place à Washington et au Congrès, Démocrates ou Républicains à la McCain ou Romney, portaient des combinaisons comme les pilotes de Formule 1 avec les logos de leurs sponsors cousus dessus, ils auraient plus de badges encore pour orner leurs tenues.

Ceux-là veulent la fin de la contestation actuelle pour retourner au très lucratif « business as usual », auquel ils se sont accoutumés sans mesurer, pour beaucoup d’entre-deux enivrés par les énormes sommes qui leur sont octroyées par leurs commanditaires, les conséquences que cela peut avoir sur leurs pays et la vie de ses habitants.

Trump et son équipe ont à faire à très forte partie et les enjeux dépassent de loin la personnalité du Président actuel, qu’on le soutienne ou pas. Il y va de la survie de la démocratie aux États-Unis tout simplement. Sans compter les conséquences à l’échelle planétaire avec en premier lieux l’adoption de la supercherie du « changement climatique », surtout les solutions qui y sont prônées, ni plus ni moins une redistribution des richesses des pays occidentaux vers les autres, y compris la Chine et l’Inde, qui pourront continuer à produire de l’énergie fossile pendant que les pays occidentaux devront s’en passer rapidement au prix de l’appauvrissement de leurs populations, la fameuse décroissance de laquelle on s’approche à grand pas.

Quand les peuples occidentaux, et bien d’autres avec eux, devront choisir entre se nourrir et se chauffer, ils réaliseront à ce moment-là seulement, la réalité des enjeux actuels, et ce n’est qu’un aspect de la politique envisagée par les Démocrates. Il y en a bien d’autres, malheureusement, sur lesquels je reviendrai plus tard. Mais on peut déjà évoquer la Chine qui n’aura plus aucun obstacle devant elle pour établir sa domination et sa suprématie, d’abord sur l’Asie et l’Afrique puis sur le reste du monde. Ce sera également une victoire pour l’Iran des Mollahs et une défaite écrasante pour le peuple iranien qui devra subir encore longtemps les dérives et la corruption de la théocratie totalitaire qui les tient en otages.

Quel que soit le résultat final de ces élections, les États-Unis en ressortiront amoindris mais en cas de victoire de la fraude et de la manipulation à haut niveau par les médias, les réseaux sociaux et l’oligarchie de connivence telle qu’on l’a vu depuis le 3 Novembre, ce sera irréversible. Les Démocrates changeront ce pays de manière radicale et définitive, le but d’Obama qui ne s’en était jamais caché, en transformant les institutions, dévalorisant la Constitution par un tas d’artifices dont ils ont commencé à parler depuis longtemps, comme la neutralisation de la Cour Suprême entre autre choses et soit ils réussiront et ce pays se soumettra au nouvel ordre mondial, soit ils échoueront face à la résistance dont je commence de plus en plus à douter, et il sera démantelé ou fera sécession au risque même d’une guerre civile.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eber Haddad

usa donaldt trump président

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