La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille. Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie (ce qui n’est pas encore le cas au Canada. NDLR).
En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de «complotiste» ou mieux de «rassuriste», termes désignant ceux qui critiquent la pensée unique.
Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État (ce qui est aussi le cas au Canada au service de Big Pharma. NDLR)
Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur.
Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première (sic). Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Élysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés (resic). Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur.
Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2.
L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact. Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée (même observation au Canada. NDLR).
Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.
Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place.
La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu. Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.
Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocément.
Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.
Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.
Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour.
Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse (ce qui était l’objet de ces communiqués patentés. NDLR).
Le pire est que les premiers « vaccins >> qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. https://les7duquebec.net/archives/260847
On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?
Les premières thérapies géniques seront à ARNm, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes >> intégrés dans l’ADN de nos chromosomes.
Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes.
Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.
Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.
C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.
Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.
Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe. La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.
Bill Gates finance et fait la promotion sans relâche de nouveaux vaccins non testés censés nous protéger contre une mort « horrible » due au nouveau coronavirus et nous permettre également de reprendre une vie « normale ».
Le géant pharmaceutique Pfizervient d’annoncer ce qu’il prétend être des résultats spectaculaires obtenus lors des premiers tests sur l’homme. Ils utilisent une technologie expérimentale connue sous le nom d’édition de gènes, plus précisément l’édition de gènes de l’ARNm, une technique jamais utilisée auparavant dans les vaccins. Avant de nous précipiter pour nous faire vacciner dans l’espoir d’une certaine immunité, nous devrions en savoir plus sur cette nouvelle technologie expérimentale et son manque de précision.
Le monde de la finance est devenu très nerveux le 9 novembre lorsque le géant pharmaceutique Pfizer et son partenaire allemand BioNTech ont annoncé dans un communiqué de presse qu’ils avaient mis au point un vaccin pour Covid19 qui était efficace à « 90%« .
Le controversé chef américain du NIAID, Tony Fauci (à droite) s’est immédiatement réjoui de la nouvelle. En effet, l’UE a annoncé qu’elle avait acheté 300 millions de doses de ce nouveau vaccin particulièrement coûteux. Si l’on en croit les marchés financiers, la pandémie serait de l’histoire ancienne.
Événements suspects
Cependant, il semble qu’Albert Bourla, le PDG de Pfizer, ne soit pas convaincu de ses propres affirmations. Le jour où sa société a publié son communiqué de presse sur les tests de vaccins proposés, il a vendu 62 % de ses actions Pfizer, réalisant ainsi des millions de profits. Il a passé l’ordre de vendre dans le cadre d’une option spéciale en août afin que cela n’apparaisse pas comme une « vente d’initié ». De plus, il l’a également programmé juste après les élections aux États-Unis et au moment où les grands médias déclarait, illégitimement, Joe Biden comme le président élu. Il semble que Bourla ait eu un conflit d’intérêt assez évident dans le choix du meilleur moment pour publier son communiqué de presse ce même jour.
Bourla a menti tout en niant à la presse que sa société avait reçu des fonds de l’administration Trump pour développer le vaccin au moment de la publication du contrat de livraison de 100 millions de doses au gouvernement étasunien en été. Aux actions suspectes de Pfizer est venu s’ajouter le fait que la société ait d’abord informé l’équipe de Joe Biden plutôt que les agences gouvernementales étasuniennes concernées.
Mais c’est loin d’être la seule chose inquiétante dans l’annonce très médiatisée de Pfizer.
Le partenaire allemand
Pfizer, célèbre pour son Viagra et d’autres médicaments, s’est associé à une petite entreprise de Mayence, en Allemagne, BioNTech, qui a mis au point la technique de l’ARNm radical utilisée pour produire le nouveau vaccin contre le coronavirus. BioNTech n’a été fondée qu’en 2008. BioNTech a signé un accord avec la Fondation Bill & Melinda Gates en septembre 2019, juste avant l’annonce à Wuhan, en Chine, du nouveau coronavirus et juste avant que BioNTech ne fasse son entrée en bourse. L’accord prévoyait une coopération pour le développement de nouvelles techniques d’ARNm pour le traitement du cancer et du VIH. Curieusement, ce communiqué de presse, « La Fondation Gates voit le potentiel de BioNTech pour « réduire considérablement le VIH et la tuberculose dans le monde » » le 5 septembre 2019, a été supprimé.
BioNTech a également conclu un accord avec l’un des plus grands producteurs de médicaments en Chine, Shanghai Fosun Pharmaceutical Co, Ltd (« Fosun Pharma »), pour développer une version de son vaccin à ARNm pour les nouveaux coronavirus pour le marché chinois. Ai-Min Hui, président de la R&D mondiale de Fosun Pharma, a déclaré dans un communiqué du mois d’août :
« Le dosage du premier sujet chinois avec le BNT162b1 marque une étape importante du programme de co-développement mondial en Chine. Nous travaillons en étroite collaboration avec BioNTech et les autorités réglementaires pour évaluer la sécurité et l’efficacité du BNT162b1 et d’autres candidats pour le vaccinARNm… ».
Cela signifie que la même entreprise allemande de biotechnologie est à l’origine des vaccins contre la fièvre catarrhale du mouton qui sont distribués à toute vitesse en Chine, aux États-Unis et dans l’Union européenne. Le vaccin est soumis à une procédure d’approbation rapide dans un délai alarmant.
Les autorités étasuniennes et européennes, et sans doute aussi chinoises, ont renoncé aux tests standard sur les animaux en utilisant des furets ou des souris et sont passées directement aux « cobayes » humains. Les tests sur l’homme ont commencé à la fin juillet et au début août. Trois mois, c’est du jamais vu pour tester un nouveau vaccin. Plusieurs années sont la norme pour créer un nouveau vaccin. En raison du degré de panique mondial engendré par l’OMS au sujet du coronavirus, la prudence est de mise. Les fabricants de vaccins ont tous droit à une indemnité légale, ce qui signifie qu’ils ne peuvent pas être poursuivis si des personnes meurent ou sont handicapées à cause du nouveau vaccin. Mais le fait le plus alarmant concernant le nouveau vaccin Pfizer-BioNTech est que l’ARNm modifié par le gène pour l’application de vaccins humains n’avait jamais été approuvé dans le passé.
Notamment, des tests de deux ans, revus par des pairs, effectués sur des souris nourries avec du maïs génétiquement modifié pulvérisé avec du Roundup riche en glyphosate de Monsanto, ont d’abord montré des tumeurs cancéreuses après neuf mois ainsi que des lésions du foie et d’autres organes. Les premiers tests de la société Monsanto ont pris fin au bout de trois mois et n’ont révélé aucun dommage. Une situation similaire existe avec les vaccins à ARNm modifiés par des gènes, qui sont distribués à la hâte après moins de 90 jours de tests sur l’homme.
« Expérimentale » explicite
Le Dr Michael Yeadon a répondu dans un récent commentaire public sur les médias sociaux à un collègue du Royaume-Uni : « Tous les vaccins contre le virus du SRAS-COV-2 sont par définition nouveaux. Aucun candidat vaccin n’a été… en développement depuis plus de quelques mois ». M. Yeadon a ensuite poursuivi en déclarant
« Si l’utilisation d’un tel vaccin est approuvée dans des circonstances qui ne sont pas EXPLICITEMENT expérimentales, je pense que les bénéficiaires sont induits en erreur dans une mesure criminelle. En effet, il n’y a précisément aucun volontaire humain pour lequel il pourrait y avoir plus de quelques mois d’informations sur la sécurité de la dose administrée ».
Yeadon est bien qualifié pour en faire la critique. Comme il le note dans le commentaire, « J’ai un diplôme en biochimie et toxicologie et un doctorat en pharmacologie basé sur la recherche. J’ai passé 32 ans à travailler dans la R&D pharmaceutique, principalement dans le domaine des nouveaux médicaments pour les maladies des poumons et de la peau. J’ai été vice-président chez Pfizer & CEO…. d’une entreprise de biotechnologie que j’ai fondée (Ziarco – rachetée par Novartis). J’ai des connaissances en matière de R&D de nouveaux médicaments ». Il était auparavant chez Pfizer à un niveau très élevé.
Des cobayes humains ?
Le vaccin Pfizer-BioNTech est expérimental et loin d’être garanti comme étant sans danger, bien que Pfizer, l’UE et le célèbre Dr Tony Fauci semblent prêts à le lancer avant même la fin de l’année auprès de centaines de millions d’humains.
La technologie expérimentale est basée sur une manipulation génétique plutôt nouvelle, connue sous le nom d’édition génétique. Dans un article important du magazine Foreign Affairs du New York Council on Foreign Relations de 2018, Bill Gates a fait la promotion de la nouvelle technologie d’édition de gènes CRISPR comme étant capable de « transformer le développement mondial [global development] ». Il a indiqué que la Fondation Gates finançait depuis une décennie les développements de l’édition génétique pour les vaccins et d’autres applications.
Mais la technologie permettant de briser et de réparer les gènes humains est-elle vraiment sécuritaire ? Faut-il vraiment prendre des risques en donnant un nouveau vaccin expérimental jamais utilisé auparavant sur des humains ? Contrairement à ce que prétend Bill Gates, la réponse scientifique est non, il n’est pas prouvé qu’elle soit aussi sécuritaire.
Dans un article révisé par des experts dans la revue Trends in Genetics d’octobre 2020, les auteurs concluent que « la gamme des événements moléculaires possibles résultant de l’édition du génome a été sous-estimée et la technologie reste imprévisible sur le locus cible et loin de celui-ci ».
Le Dr Romeo Quijano, professeur retraité de pharmacologie et de toxicologie à la faculté de médecine de l’université des Philippines à Manille, a noté certains des dangers de l’édition expérimentale des gènes lorsqu’elle est appliquée aux vaccins humains. Quijano nous met en garde contre,
« le danger que le vaccin puisse en fait « renforcer » la pathogénicité du virus, ou le rendre plus agressif, peut-être en raison d’un renforcement dépendant des anticorps (ADE), comme cela s’est produit lors d’études antérieures sur les vaccins testés sur les animaux. Si cela devait se produire dans un essai majeur sur l’homme, le résultat pourrait être désastreux. Cet effet indésirable grave pourrait même ne pas être détecté par un essai clinique, en particulier dans le cas d’essais cliniques très biaisés et chargés de conflits d’intérêts impliquant des sociétés de vaccins. Même lorsqu’un effet indésirable grave est détecté, il est généralement balayé sous le tapis ».
Il cite le cas d’un autre candidat vaccin ARNm de Gates, Moderna, où « trois des 15 sujets humains expérimentaux du groupe à forte dose ont souffert de symptômes graves et médicalement significatifs. Moderna a cependant conclu que le vaccin était « généralement sûr et bien toléré », ce dont les médias dominés par les entreprises ont consciencieusement rendu compte, dissimulant ainsi le réel danger… ».
Il note,
« L’ARNm exogène est intrinsèquement immunostimulateur, et cette caractéristique de l’ARNm pourrait être bénéfique ou nuisible. Il peut fournir une activité adjuvante et peut inhiber l’expression d’antigènes et affecter négativement la réponse immunitaire. Les effets paradoxaux de la détection immunitaire innée sur les différents formats de vaccins à ARNm sont incomplètement compris ». Quijano ajoute : « Un vaccin à base d’ARNm pourrait également induire de puissantes réponses à l’interféron de type I, qui ont été associées non seulement à l’inflammation mais aussi potentiellement à l’auto-immunité… et pourrait favoriser la coagulation sanguine et la formation de thromboses pathologiques ».
Quijano écrit dans l’article très documenté,
« Parmi les autres dangers, les vaccins à virus pourraient subir une recombinaison avec des virus naturels et produire des virus hybrides qui pourraient avoir des propriétés indésirables affectant la transmission ou la virulence. Les résultats possibles de la recombinaison sont pratiquement impossibles à quantifier avec précision compte tenu des outils et des connaissances existants. Les risques sont cependant réels, comme le montrent l’émergence de types de virus mutants, la pathogénicité accrue et les effets indésirables graves et inattendus (y compris des décès) à la suite de campagnes de vaccination de masse aléatoires et de tentatives antérieures infructueuses de mise au point de vaccins chimériques à l’aide de la technologie du génie génétique« .
Bill Gates, les fabricants de vaccins à ARNm, dont Pfizer/BioNTech et Moderna, et leurs proches alliés tels que le Dr Tony Fauci du NIAID, jouent clairement avec les vies humaines dans leur course à l’introduction de cesvaccinsexpérimentauxdans notre corps.
Notamment, le même Dr Fauci et son NIAID détient le brevet d’un vaccin contre la dengue appelé Dengvaxia, commercialisé par Sanofi-Pasteur et promu comme un vaccin « essentiel » par l’OMS de Tedros depuis 2016. Robert F. Kennedy Jr (à gauche) a noté que Fauci et le NIAID « savaient, grâce aux essais cliniques, qu’il y avait un problème de réponse immunitaire paradoxale », mais qu’ils l’ont quand même administré à plusieurs centaines de milliers d’enfants philippins. On estime que jusqu’à 600 enfants vaccinés sont morts avant que le gouvernement n’arrête les vaccinations.
Il est clair que le principe de précaution bien établi – en cas de doute sérieux, ne pas le faire – est ignoré par Fauci, Pfizer/BioNTech et d’autres en se précipitant pour approuver le nouveau vaccin à ARNm contre le coronavirus. La technologie de l’ARN messager n’a pas encore produit de médicament approuvé, et encore moins de vaccin.
Si vous envisagez simplement de vous faire vacciner contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), Robert F. Kennedy Jr. a un message pour vous : ne le faites pas !
Le neveu de l’ancien président John F.Kennedy a récemment publié une déclaration publique exhortant les gens du monde entier à éviter à tout prix le vaccin Covid-19 car il contient une nouvelle technologie non testée connue sous le nom d’ARNm, dont les effets secondaires à long terme sont complètement inconnus.
L’ARNm modifie directement le matériel génétique de ceux qui le reçoivent, un peu comme ce qui se passe lorsque des « scientifiques » modifient génétiquement (OGM) des cultures vivrières comme le soja ou le maïs pour les rendre résistantes aux insectes ou à la sécheresse: « Cette intervention peut être comparée aux aliments génétiquement modifiés, qui sont également très controversés », dit Kennedy.
Contrairement à tous les autres vaccins, dont les dommages génétiques ne sont pas nécessairement permanents, les dommages génétiques de l’ARNm sont « irréversibles et irréparables », note Kennedy. Vous pouvez en savoir plus sur la technologie du vaccin ARNm sur ce lien.
« Même si les médias et les politiciens banalisent actuellement le problème et appellent même bêtement à un nouveau type de vaccin pour revenir à la normale, cette vaccination est problématique en termes de santé, de moralité et d’éthique, mais aussi en termes de dommages génétiques », Kennedy dit: les vaccins COVID-19 sont un « crime contre l’humanité » !
Contrairement aux vaccins plus anciens, dont beaucoup peuvent être « détoxifiés » après l’injection, les vaccins à ARNm COVID-19 vivent à perpétuité à l’intérieur du corps. Les dommages qu’ils causent, en d’autres termes, sont pour la durée de votre vie et de votre descendance suivante.
« Vous devrez vivre avec les conséquences car vous ne pourrez plus être guéri simplement en éliminant les toxines du corps humain », explique Kennedy, comparant les dommages génétiques au type qui cause le syndrome de Down ou la fibrose kystique.
L’ARNm est presque comme un « moteur » de vaccin continu qui vaccine à plusieurs reprises une personne pour le reste de sa vie. Pour cette raison, il n’y a aucun moyen de « résoudre » ou de « guérir » les problèmes qui surviennent.
« Cela signifie clairement : si un symptôme de vaccination se développe après une vaccination par ARNm, ni moi ni aucun autre thérapeute ne pourra vous aider, car les dommages causés par cette vaccination seront génétiquement irréversibles« , prévient Kennedy.
Les vaccins COVID-19 ne sont pas seulement dangereux, soutient Kennedy, mais ils représentent un « crime contre l’humanité qui n’a jamais été commis d’une manière aussi importante dans l’histoire ». « Comme le médecin expérimenté, le Dr Wolfgang Wodarg, a déclaré: En fait, ce « vaccin prometteur »(pour BIG Pharma) devrait être interdit parce qu’il s’agit du génie génétique !« . En d’autres termes, se faire vacciner contre la COVID-19 signifie qu’une personne deviendra un zombie OGM, en quelque sorte, sans possibilité de revenir à son ancien moi.
Plus d’informations sur les nouveaux vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) peuvent être trouvées sur Pandemic.news.
Vaccin contre le Covid-19 – Décès de volontaires, paralysies, allergies, a-t-on le recul nécessaire?
par Fabien Buzzanca.
Alors que les premières campagnes de vaccination contre le Covid-19 ont débuté dans plusieurs pays, qui devraient bientôt être suivis par la France, les premiers effets secondaires apparaissent sur les patients. Manque-t-on de recul pour vacciner la population ? Éléments de réponses avec un médecin interrogé par Sputnik.
« Un vaccin, c’est un médicament et toutes les précautions doivent être prises ».
Gaëtan Casanova, médecin anesthésiste-réanimateur à l’hôpital Foch, en région parisienne et président de l’Intersyndicale Nationale des Internes, appelle à la prudence concernant les vaccins contre le Covid-19 :
« Autant je soutiens la politique vaccinale, autant je comprends tout à fait les inquiétudes. Comme pour tout médicament, elles sont légitimes. Je vois d’un très mauvais œil les gens qui disent que le vaccin va transformer les patients en mutants, de même que je suis très critique envers ceux qui disent : « C’est formidable, il n’y a aucune question à se poser », détaille le médecin au micro de Sputnik.Alors que les campagnes de vaccination ont débuté dans plusieurs pays comme le Royaume-Uni et la Russie, la France devrait rapidement suivre, avec un top départ prévu pour janvier. Paris a déjà précommandé 200 millions de doses, de quoi vacciner 100 millions de personnes, le vaccin nécessitant deux injections.
Pas le « recul nécessaire »
L’Agence Européenne des Médicaments s’occupe du dossier vaccin et se chargera de distribuer les feux verts. Cette même agence avait en juin donné une autorisation de « mise sur le marché conditionnelle » du remdesivir, peu de temps avant que l’OMS ne signale la dangerosité de ce possible traitement contre le Covid-19.
En tout état de cause, les autorisations de Bruxelles devraient intervenir d’ici la fin décembre concernant le vaccin de l’alliance américano-allemande Pfizer/BioNTech et d’ici la mi-janvier pour celui de l’américain Moderna. Le vaccin de Pfizer, choisi par le Royaume-Uni et qui devrait recevoir le feu vert de l’Union européenne d’ici la fin décembre, ainsi que celui de l’Américain Moderna, commencent à soulever des inquiétudes malgré un taux d’efficacité annoncé de plus de 90%.
La Food and Drug administration (FDA) a récemment publié un document montrant que sur les environs 44 000 participants aux tests du vaccin de Pfizer, six étaient décédés. Seuls deux avaient reçu le vaccin et avaient des problèmes de santé. Le premier souffrait d’obésité et d’athérosclérose et est mort trois jours après l’administration de la première dose. Quant au second, il a succombé à un arrêt cardiaque 60 jours après l’administration de la deuxième dose.
« Il faudrait faire une étude poussée pour savoir si le décès de ces deux personnes est lié à l’administration du vaccin ou si c’est simplement une fatalité. Un vaccin ne rend pas invincible et leur mort peut très bien n’être aucunement reliée au vaccin », explique le docteur Casanova.Les décès à déplorer sur les volontaires du vaccin Pfizer sont en phase avec le taux de mortalité naturel observé dans la population. Mais cela n’empêche pas qu’ils soulèvent des inquiétudes. Surtout que la même FDA a expliqué que quatre cas de paralysie faciale avaient été diagnostiqués sur 18 000 vaccinés. Même si la gêne est souvent temporaire, la FDA a recommandé une surveillance accrue.
Interviewé le 8 décembre sur France Inter, le professeur Éric Caumes, chef de service en maladies infectieuses à la Pitié-Salpêtrière, à Paris, s’est dit sceptique quant aux « vaccins à base de matériel génétique type ARN » comme celui de Pfizer, une méthode jamais testée auparavant à grande échelle sur l’Homme.
« Je ne sais pas ce que ça vaut. Je n’ai pas le recul nécessaire, je n’ai toujours pas vu une publication scientifique qui corresponde à ces vaccins. Donc, me vacciner avec des produits que je ne connais pas, dont je n’ai des informations que par les communiqués de presse des laboratoires, c’est leur faire une confiance aveugle et absolue », a-t-il alerté.
Le professeur Caumes a récidivé sur LCI le 10 décembre : « Au niveau des effets indésirables, il y a un vrai problème dans le vaccin Pfizer. La fréquence d’effets indésirables y est particulièrement élevée. Il y a plus d’effets indésirables chez les jeunes que chez les personnes âgées, et plus après la deuxième dose qu’après la première ».
Dans une interview donnée au journal Le Parisien, le chef de service en maladies infectieuses à la Pitié-Salpêtrière s’est inquiété du rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer : « En lisant les 53 pages, quelque chose m’a frappé. Je n’ai jamais vu une fréquence aussi élevée d’effets indésirables pour un vaccin ! »
Ainsi il énumère les réactions de l’organisme possible à ce type de vaccin, à commencer par des effets minimes dus à l’injection comme des rougeurs et douleurs locales. « Prenons l’exemple de la fièvre, elle peut survenir de manière passagère après une injection, c’est classique. Mais là, 15,8% des 18-55 ans ont eu 38°C ou plus dans les sept jours qui ont suivi la seconde injection. Et 45% ont dû prendre un médicament contre la fièvre ou la douleur. On parle aussi de 55% de maux de tête, 62% de fatigue. Non, mais là, c’est beaucoup trop, il y a peut-être un problème… », a-t-il mis en garde.
Même son de cloche du côté du professeur Raoult, qui critique lui aussi le manque de recul sur les vaccins anti-Covid : « Le programme que j’ai lu jusqu’à maintenant, ça me paraissait de la science-fiction. Pour l’instant ce que j’ai vu, c’est surtout de la publicité. Je n’ai pas vu d’articles scientifiques. J’attends de voir de vraies données ».
Cas d’allergies
Le professeur Caumes déplore le « manque d’informations » et le fait que les injections à base de matériel génétique (ARN messager) « n’ont jamais passé le stade de la commercialisation jusqu’alors ». « Peut-être sont-ils révolutionnaires, mais je veux la preuve de leur fiabilité, sinon cela revient à accorder une confiance aveugle aux industriels », réitère-t-il. Des réserves qu’il n’affiche pas vis-à-vis de la concurrence : « En revanche, je me ferai volontiers immuniser avec celui d’AstraZeneca et le vaccin chinois, pour lesquels on dispose de résultats validés ».
Gaëtan Casanova se montre plus mesuré, mais appelle tout de même à la prudence : « La technique de l’ARN messager employée pour le vaccin de Pfizer est censée ne pas rentrer dans le noyau où l’on trouve l’ADN. Théoriquement, il ne peut y avoir modification de l’ADN. Mais il y a la théorie et la pratique. Souvent, la pratique vérifie la théorie, mais comme pour tout médicament, il faut être attentif et se poser les bonnes questions ».
Le 9 décembre, l’Evening Standard a mentionné que l’Agence britannique de Réglementation des Médicaments et des Produits de Santé (MHRA) avait averti les personnes ayant des antécédents de réactions allergiques « significatives », leur déconseillant le vaccin anti-Covid-19 Pfizer. Le National Health Service (NHS) du Royaume-Uni a confirmé que deux personnes qui avaient reçu le 8 décembre la première dose avaient développé des réactions allergiques avec des symptômes de type « réaction anaphylactoïde ». Les patients se sont rétablis à la suite d’un traitement approprié.
Stephen Powis, professeur et directeur médical du NHS au Royaume-Uni, a déclaré : « comme c’est courant avec les nouveaux vaccins, la MHRA a conseillé par précaution que les personnes ayant des antécédents importants de réactions allergiques ne reçoivent pas cette vaccination ».
« Dans de très rares cas, un vaccin peut causer une allergie immédiate grave comme un choc anaphylactique, qui peut entraîner la mort. Mais cela intervient très rapidement. Toujours dans de très rares cas, il est possible qu’un vaccin cause une allergie à retardement. Mais les symptômes sont alors moins graves », explique Gaëtan Casanova.D’après le médecin, le caractère inédit et massif de la crise du Covid-19 va forcément contribuer à l’augmentation des cas de réactions imprévues chez les gens :
« Les effets indésirables causés par les vaccins sont rares et donc se voient peu d’ordinaire, mais plus la population vaccinée est large, plus les cas seront nombreux ».Ce dernier admet que la rapidité avec laquelle les vaccins ont été produits « n’est pas l’élément le plus rassurant du monde ». Du fait de ce développement rapide, les laboratoires ont demandé à être moins exposés financièrement en cas de poursuites dues à des effets secondaires. Requête entendue par la Commission européenne, qui a accepté de contribuer financièrement à d’éventuels frais de justice. Si les discussions sont encore en cours, le laboratoire AstraZeneca est déjà sûr de bénéficier de ce dispositif.
Nonobstant ces incertitudes sur les effets secondaires, le docteur Casanova il assure qu’il n’y a pas réellement de raisons de douter des taux de fiabilité (parfois au-dessus de 90%) annoncés par les producteurs de vaccins.
« Ensuite se pose la question de la durabilité, des effets indésirables quand de très grandes populations seront vaccinées. Il faut faire preuve de prudence », poursuit-il. Il rappelle également le fort enjeu géopolitique qui se cache derrière cette course aux vaccins:
« Le premier pays à sortir un vaccin efficace décroche les lauriers et l’influence politique, sans parler de l’enjeu économique immense ».Dans ce contexte, Gaëtan Casanova demande à ce que l’on revienne à la démarche qui veut que « l’on se pose des questions » et que l’on évalue la balance bénéfices-risques.
Robert Francis Kennedy Jr. est un avocat américain spécialisé dans les questions d’environnement, auteur et opposant à la vaccination. Il est le président de l’ONG Children’s Health Defense et président du conseil d’administration de Waterkeeper Alliance, autre ONG qu’il a contribué à fonder en 1999. Militant anti-vaccination, il est l’un des tenants de la théorie du lien existant entre vaccination et autisme. Il est producteur délégué du film Vaxxed II: The People’s Truth, la suite du film anti-vaccination Vaxxed. RF Kennedy est le fils de Robert F. Kennedy et le neveu de l’ancien président John F. Kennedy.
Agenda mondial des vaccins de Gates : un gagnant-gagnant pour l’industrie pharmaceutique et la vaccination obligatoire
Les vaccins, pour Bill Gates, sont une philanthropie stratégique qui alimente ses nombreuses activités liées aux vaccins (y compris l’ambition de Microsoft de contrôler une entreprise mondiale d’identification vaccinale) et lui donne un contrôle dictatorial de la politique de santé mondiale.
L’obsession de Gates pour les vaccins semble être alimentée par la conviction de sauver le monde par la technologie.
Promettant sa part de 450 millions de dollars sur 1,2 milliard de dollars pour éradiquer la polio, Gates a pris le contrôle du Groupe consultatif technique national indien sur la vaccination (NTAGI), qui a prescrit jusqu’à 50 doses de vaccins contre la polio par le biais de programmes de vaccination se chevauchant pour les enfants avant l’âge de cinq ans. Les médecins indiens accusent la campagne Gates d’être à l’origine d’une épidémie dévastatrice de paralysie flasque aiguë non-polio (NPAFP) qui a paralysé 490 000 enfants au-delà des taux attendus entre 2000 et 2017. En 2017, le gouvernement indien a rappelé le schéma vaccinal de Gates et a demandé à Gates et à ses politiques de vaccination de quitter l’Inde. Les taux de NPAFP ont chuté brusquement.
Les épidémies [de polio] les plus effrayantes au Congo, en Afghanistan et aux Philippines sont toutes liées aux vaccins. En 2017, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a admis à contrecœur que l’explosion mondiale de la polio est principalement une souche vaccinale. Les épidémies les plus effrayantes au Congo, en Afghanistan et aux Philippines sont toutes liées aux vaccins. En fait, en 2018, 70% des cas mondiaux de poliomyélite étaient des souches vaccinales.
En 2014, la Fondation Gates a financé des tests de vaccins expérimentaux contre le VPH, développés par Glaxo Smith Kline (GSK) et Merck, sur 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes éloignées. Environ 1 200 ont souffert d’effets secondaires graves, notamment des troubles auto-immunes et de la fertilité. Sept sont mortes. Les enquêtes du gouvernement indien ont accusé les chercheurs financés par Gates d’avoir commis des violations éthiques généralisées: faire pression sur les filles vulnérables durant le procès, intimider les parents, falsifier les formulaires de consentement et refuser les soins médicaux aux filles blessées. L’affaire est maintenant devant la Cour suprême du pays.
Les journaux sud-africains se sont plaints: «Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments» En 2010, la Fondation Gates a financé un essai de phase 3 du vaccin expérimental contre le paludisme de GSK, tuant 151 nourrissons africains et causant des effets indésirables graves, notamment des paralysies, des convulsions et des convulsions fébriles, à 1 048 des 5 949 enfants.
Pendant la campagne MenAfriVac de Gates en 2002 en Afrique subsaharienne, les agents de Gates ont vacciné de force des milliers d’enfants africains contre la méningite. Des dizaines d’enfants vaccinés ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains se sont plaints: «Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments». L’ancien économiste principal de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme «impitoyables et immorales».
En 2010, lorsque Gates a engagé 10 milliards de dollars pour l’OMS, il a déclaré: «Nous devons en faire la décennie des vaccins.» Un mois plus tard, Gates a déclaré dans un TED Talk que les nouveaux vaccins «pourraient réduire la population». Et, quatre ans plus tard, en 2014, l’Association des médecins catholiques du Kenya a accusé l’OMS d’avoir stérilisé chimiquement des millions de femmes kenyanes réticentes avec une campagne de vaccination contre le «tétanos». Des laboratoires indépendants ont trouvé une formule de stérilité dans chaque vaccin testé. Des accusations similaires sont venues de Tanzanie, du Nicaragua, du Mexique et des Philippines.
Une étude de 2017 (Morgenson et al. 2017) a montré que le vaccin DTP populaire de l’OMS tue plus d’enfants africains que les maladies qu’il prévient. Les filles vaccinées au DTC ont subi 10 fois le taux de mortalité des enfants qui n’avaient pas encore reçu le vaccin. L’OMS a refusé de rappeler le vaccin mortel, qu’elle impose à des dizaines de millions d’enfants africains chaque année.
Des défenseurs mondiaux de la santé publique dans le monde entier accusent Gates de détourner l’agenda de l’OMS des projets dont il est prouvé qu’ils freinent les maladies infectieuses: eau potable, hygiène, nutrition et développement économique. La Fondation Gates dépense seulement environ 650 millions de dollars sur son budget de 5 milliards de dollars dans ces domaines. Ils disent qu’il a détourné les ressources de l’agence pour servir sa philosophie personnelle selon laquelle une bonne santé ne vient que dans une seringue.
En plus d’utiliser sa philanthropie pour contrôler l’OMS, l’UNICEF, GAVI et PATH, Gates finance une société pharmaceutique privée qui fabrique des vaccins et fait un don de 50 millions de dollars à 12 sociétés pharmaceutiques pour accélérer le développement d’un vaccin contre le coronavirus. Dans ses récentes apparitions dans les médias, Gates semble confiant que la crise de Covid-19 lui donnera maintenant l’occasion de forcer ses programmes de vaccins dictatoriaux sur tous les enfants américains – et les adultes.