J’ai 75 ans, je suis médecin, pas cobaye, je ne me ferai pas vacciner

Publié le 6 février 2021 - par  

Chirurgien à la retraite Auteur avec Nicole Delépine de "Soigner ou Obéir"

Pfizer-1

Une propagande sans précédent vantant les vaccins anticovid s’exerce actuellement sur les populations, assortie du chantage « vacciné ou enfermé, ou socialement mort[1] » piétinant ainsi nos droits fondamentaux et le plus essentiel d’entre eux, la liberté.

J’invite mes concitoyens à résister aux publicités mensongères élaborées par le gouvernement[2] et à refuser les chantages pour qu’un débat démocratique ait lieu enfin avec des informations honnêtes permettant d’établir les avantages et les risques réels d’une telle vaccination.

Des vaccins expérimentaux mis sur le marché

Jusqu’à la crise Covid19, un essai vaccinal suivait un processus codifié, comprenant des phases aux objectifs précis. Les résultats d’une phase devaient répondre à des critères définis pour passer à la suivante.

Il s’agissait d’un parcours rigoureux et long où chaque étape apportait des informations complémentaires. Il fallait de nombreuses années, au moins 9 à 12 ans, en moyenne 10, pour arriver à la commercialisation d’un vaccin. Entre temps, beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés.

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux.

Les vaccins produits en laboratoire sont donc d’abord testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme, mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats, le développement très rapide de plusieurs vaccins n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées, abrégés ou effectuées simultanément voire après les essais sur l’humain[3].

Les essais thérapeutiques chez l’homme nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) comprennent schématiquement trois phases successives.

La phase I qui porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin.

La phase II dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents mais son but principal est de déterminer la dose et le schéma d’administration de vaccin les plus efficace. Elle nécessite un nombre élevé de volontaires et a pour objectif de vérifier si le vaccin procure bien une protection contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Ils portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études (étude pivot) est la pièce essentielle de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché.

Tant que les résultats complets des essais phase III n’ont pas été publiés l’utilisation du vaccin ou du médicament est expérimentale. Comme aucun résultat définitif n’a été publié

La mise sur le marché en moins d’un an ne constitue donc pas une prouesse technique et n’est que la conséquence de la diminution de la sécurité par suppression ou allègement des essais et en particulier : Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux[4]Regroupement des phases II et III [5]Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante[6]Autorisation de mise sur le marché alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni publiés, ni obtenus[7] ignorance complète de leurs effets chez les personnes très âgées avec comorbidité qui n’ont pas été incluses dans les essais.

Les campagnes de vaccination actuelle constituent des essais phase 3 non déclarés et je ne veux pas être cobaye d’autant que certains de ces prétendus vaccins utilisent des techniques jamais utilisées dans des vaccins humains.

Risque pour les vaccinés mais pas pour les firmes qui ont exigé et obtenu l’immunité juridique[8]

Si vous vendez un produit défectueux responsable d’accidents, vous risquez d’être poursuivi et condamné. Mais pas les fabricants de vaccin qui ont exigé et obtenu de ne pas pouvoir être poursuivis pour complications vaccinales même en cas de défectuosité de leurs produits [9] [10] [11] . Cette exigence confirme que les entreprises n’ont pas confiance en leur vaccin. Alors que tous les médias et les agences sanitaires prétendent que les vaccins sont sûrs …Le piratage des documents de la commission européenne, seul moyen d’obtenir un peu de transparence montre pourtant que la commission sait que certains vaccins sont défectueux[12].

Des résultats avérés actuellement très inquiétants

Les médias sacrent Israël, le champion de la lutte anti covid19 par le vaccin Pfizer. Depuis le 20 décembre, en un mois, près de 30% de la population (plus de 3 millions de personnes) auraient été vaccinées. Mais depuis cette date, les nombres de morts quotidiennes attribuées au Covid19 explosent passant d’une moyenne de 15 morts pendant la semaine précédant la vaccination à 56 cette semaine suggérant ainsi que la première injection du vaccin serait susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie.

La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin d’Astra Zeneca et a réussi à vacciner plus de 6 millions de personne. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1070 dans la dernière semaine de janvier

Gibraltar avait été presque épargné par le covid19 et après presque un an d’épidémie ne comptait que 15 décès avant la vaccination commencé le 9 janvier. En 3 semaines post vaccinale le nombre total des morts a été multiplié par 5 et atteint maintenant 73.

Les agences sanitaires qui ont promu les campagnes de vaccination nient qu’il puisse y avoir un lien de causalité entre les vaccins et la hausse de la mortalité car cela reviendrait à admettre leurs responsabilités. « Il ne s’agit que de coincidence temporelle,  la mortalité augmentait avant la vaccination, il n’y a pa de preuve que le vaccin soit responsable… ». Mais auraient-elles adopté une attitude aussi timorée dans l’établissement  d’un lien de causalité si la vaccination avait été suivie de la disparition immédiate de la maladie ?

Je ne me ferai pas vacciner parce que je fais partie des personnes fragiles et que les vaccins actuels paraissent augmenter mon risque de mourir à court terme

La Norvège a émis le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès après vaccin Pfizer chez des personnes âgées en Ehpad. Selon l’Institut norvégien de santé publique : « pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves. Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ». L’Institut norvégien de santé publique a ajouté depuis de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

La Grande-Bretagne a commencé la vaccination dans la première semaine de décembre 2020 en vaccinant prioritairement les personnes les plus âgées et aurait atteint dans ce groupe d’âge une couverture vaccinale de plus de 75%. Depuis la mortalité quotidienne des britanniques de plus de 80 ans a considérablement augmenté et dépasse maintenant celle de mars.

Des experts en santé de Wuhan, en Chine, ont notamment appelé la Norvège et d’autres pays à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer, chez les personnes âgées.

L’Administration australienne des produits thérapeutiques recherchera « des informations supplémentaires, à la fois auprès de la société, mais aussi auprès du régulateur médical norvégien », a déclaré Hunt. Le ministère australien des Affaires étrangères contactera également son homologue norvégien à ce sujet.

Malgré la censure qui règne sur les réseaux sociaux, de très nombreux témoignages apparaissent de soignants dans différents pays (USA, Suisse, France, Pays -Bas, Italie) qui s’étonnent de l’augmentation brutale de la mortalité des résidents d ’Ehpad après vaccination. A Nice dans la semaine qui a suivi la campagne de vaccination dans les Ehpad près de 50 morts de pensionnaires ont été signalés par l’ARS[13]. Au total, 139 remontées d’effets indésirables graves ou inattendus ont été recensés en France depuis le début de la campagne de vaccination.  71 décès à la suite d’une vaccination ont été officialisés en Europe : au Royaume-Uni, en Allemagne, en Norvège, au Danemark. Il s’agissait également pour la quasi-totalité des cas de personnes âgées de plus de 75 ans.[14]

Il parait donc actuellement prudent de suivre les conseils des agences, norvégienne et allemande et de surseoir à cette vaccination chez les personnes âgées souffrant de pathologies multiples, tant qu’on ne disposera pas de résultats de mortalité complets sur ce terrain fragile

 J’ai 75 ans, je suis médecin et je ne me ferai pas vacciner pour l’instant !

Gérard Delépine

[1] Le courrier du soir Covid-19 : le vaccin sera obligatoire pour obtenir un travail, voyager, aller au resto ou assister à un événement, 20 aouts 2020

[2] Le 9 juillet le comité scientifique dans VACCINS CONTRE LE SARS-CoV-2UNE STRATEGIE DE VACCINATIONCARE se préoccupait surtout de la stratégie de la propagande «  Vaccination contre la COVID19 : une adhésion à construire  La communication devra explicitement préciser que l’accélération de la vitesse de développement des nouveaux vaccins ne concerne pas les étapes de sécurité, qui seront maintenues, mais les modes de développement et de production »

[3] Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des centaines de sujets humains

[4] Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

[5] ne permettant pas d’utiliser les résultats des phases II pour concevoir convenablement les phase III

[6]ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse de la durée de l’immunité et des éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti grippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

[7] Pfizer par exemple dans sa publication sur clinicaltrials.gov le montre : première analyse en aout 2021, et fin de l’essai janvier 23

[8] l’éditorial du Lancet pas le temps de la complaisance The Lancet VOLUME 396, NUMÉRO 10263, 21/11/2020 :« Peu de données sur la sécurité sont disponibles. La façon dont les vaccins fonctionnent chez les personnes âgées ou celles qui ont des conditions sous-jacentes et leur efficacité dans la prévention des maladies graves ne sont toujours pas claires. »

[9] Les fabricants de vaccins Covid-19 font pression sur l’UE pour obtenir une protection juridique, 26 août, 2020 https://www.ft.com/content/12f7da5b-92c8-4050-bcea-e726b75eef4d

[10] Astra Zeneca organise son exemption juridique, 30 juillet 2020 https://uk.reuters.com/article/us-astrazeneca-results-vaccine-liability/astrazeneca-to-be-exempt-from-coronavirus-vaccine-liability-claims-in-most-countries-idUKKCN24V2EN

[11] L’UE indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus, 29 aouts 2020 https://www.capital.fr/entreprises-marches/vaccins-contre-la-covid-lue-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-deffets-secondaires-inattendus-1379072

[12] Lise Barnéoud Ce que disent les documents sur les vaccins anti-Covid-19 volés à l’Agence européenne des médicaments Le monde 10 janvier2021 https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html

[13] https://www.nicematin.com/index.php/sante/covid-19-cinquante-morts-supplementaires-recenses-en-trois-jours-dans-les-ehpad-de-la-cote-dazur-631580

[14] francebleu.fr/infos/sante-sciences/tours-une-personne-de-plus-de-75-ans-est-morte-apres-avoir-ete-vaccinee-contre-le-coronavirus-1611063004

 

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Israël champ d’expérimentation pour le vaccin anti-covid

Publié le 23 janvier 2021 - par 
 

Où en est la situation israélienne au 23/1/2021 après un essai large du vaccin anti-covid Pfizer ?

Un essai clinique à grande échelle transforme le pays en réservoir de cobayes. Pour quel bénéfice ?

Désinformation mondiale et censure des médias

Les médias du monde entier glorifient Israël comme champion de la vaccination et félicitent unanimement ce pays pour avoir réussi en un mois à vacciner près de 40 % de sa population.

Mais le succès d’une vaccination ne doit pas se mesurer au pourcentage de vaccinés, mais seulement à ses résultats médicaux, à l’évolution de la maladie. La vaccination permet-elle de ralentir les contaminations ? Et surtout permet-elle de diminuer la mortalité liée à la maladie ? Deux critères essentiels auxquels l’essai de Pfizer n’a pas répondu à ce jour. D’après les chiffres de l’OMS, la campagne de vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations et du nombre quotidien de morts.

Évolution des contaminations en Israël depuis la vaccination

L’OMS montre que les contaminations ont explosé depuis le début de la campagne de vaccination :

Les contaminations quotidiennes sont ainsi passées de 1886 cas le 21/12 à 5674 cas le 20 janvier 21.[1]

Le Dr Sharon Elrai-Price, des services de santé publique au ministère israélien a averti le 12/1/2021 qu’une seule dose du vaccin contre le coronavirus n’offrait pas une protection suffisante contre l’infection par le virus. Elle a ajouté que 17 % des patients gravement malades actuellement hospitalisés sont des patients qui ont reçu une première dose du vaccin avant leur hospitalisation. Les données montrent qu’à cette date, 4 500 personnes ont été diagnostiquées positives au coronavirus après avoir reçu la première dose de vaccin.

Le nombre de cas confirmés a atteint un nouveau sommet, nous avons passé la barre des 9 000 tests positifs. Il n’y a jamais eu un tel chiffre » et depuis son interview le chiffre aurait atteint 10 000 !

Évolution de la mortalité covid-19 en Israël depuis la vaccination

Depuis la campagne de vaccination, selon les chiffres de l’OMS du 23 janvier 2021, la mortalité journalière a été multipliée par 3 à 5, passant de 16 le 20 décembre à 86 le 20 janvier 2021, et conduisant le gouvernement à prolonger le 3e confinement du pays pour une durée indéterminée.

Ces augmentations considérables et simultanées des incidences journalières des contaminations et des décès après la première dose de vaccin Pfizer en Israël, pays à la couverture vaccinale la plus élevée, sont très inquiétantes et constituent des signes d’alarme forts.

Évolution en France non vaccinée pendant cette période

En France, tant le nombre de nouveaux cas que le nombre de morts quotidiennes sont restés stables durant cette période et à un niveau beaucoup plus faible (par million) que dans les pays champions de la vaccination.

On est donc frappé par les différences évolutives de l’épidémie covid-19 entre les pays, premiers de la course à la vaccination et la France plus lente à vacciner.

Depuis l’administration large du vaccin Pfizer, le nombre de contaminations et de morts quotidiennes a fortement augmenté en Israël et en Grande-Bretagne, alors que chez nos irréductibles Gaulois, l’épidémie est en lente décrue.

Cet éloge de la lenteur rappelle qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccin sans risque et qu’ils peuvent paradoxalement augmenter la gravité de la maladie qu’ils sont censés combattre.

Expérience des vaccins à complications connues secondairement

Cela a été constaté avec les vaccins prétendument anticancer : vaccins anti-hépatite B censés prévenir le cancer du foie, vaccins anti-papillomavirus prétendument anticancer du col de l’utérus et plus récemment avec le scandale sanitaire du vaccin contre la dengue aux Philippines.

Les leçons de la catastrophe du Dengvaxia n’ont pas été tirées et mettent en danger les victimes de la propagande forcenée actuelle, ceux qui se font vacciner en Israël comme ailleurs contre le covid-19.

Les anticorps facilitateurs sont-ils responsables de cette catastrophe ?

Après vaccination, les anticorps peuvent entraîner une aggravation paradoxale de la maladie. Ce phénomène immunologique particulier est appelé anticorps facilitateur (en anglais antibody-dependent enhancement).

Chez l’homme, un tel phénomène a été observé dans les essais de vaccins contre le virus respiratoire syncytial (VRS) et lors de la campagne de vaccination contre la dengue entraînant plusieurs centaines de morts aux Philippines en 2017, l’arrêt de la vaccination et une cascade de procès en attente de jugement.

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de ce mécanisme. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post-vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccin contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps, mais leur pathologie pulmonaire est aggravée.

Dans un communiqué récent, l’Académie de médecine [14] a averti : « sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constitue un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination.

Ni pro ni anti-vaccin, mais fermement opposé pour l’instant à la généralisation d’un vaccin insuffisamment évalué

Contrairement à ce que prétendent les décodeurs/déconneurs liés à l’industrie pharmaceutique, je ne suis pas contre la vaccination. Je suis pro-vaccin lorsqu’un vaccin est efficace, sans danger et qu’il permet d’éviter une maladie grave. Je suis contre un vaccin lorsqu’il est inutile, comme c’est le cas pour les maladies transmises uniquement par l’eau (polio, typhoïde, choléra) dans les pays à l’hygiène publique disposant d’eau potable et de traitement des eaux usées. Je suis contre le vaccin lorsqu’il n’a pas été correctement étudié et évalué : vaccin contre la dengue (qui a causé des centaines de morts aux Philippines), vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer du col).

L’indication de n’importe quel traitement ou vaccin doit reposer sur l’évaluation de sa balance avantages/ risques.

On ne peut espérer aucun avantage individuel à vacciner contre le covid les moins de 65 ans, puisque la maladie est chez eux plus bénigne que la grippe ; cette population ne peut donc rien espérer des vaccins anti-covid si ce n’est des complications. Et l’argument sociétal : “on se vaccine pour protéger les autres“, n’est pas non plus pertinent, puisqu’il est loin d’être démontré que le vaccin soit capable d’empêcher ou de ralentir les transmissions virales.

En l’état actuel des connaissances, la vaccination des plus âgés présentant des facteurs de risques (population où un vaccin efficace et sans danger pourrait être utile) n’a pas été correctement évaluée, car les essais refusent d’inclure cette population à risques. Le principe de précaution justifie donc de ne pas les vacciner systématiquement, tant qu’on ne disposera pas de données transparentes en nombre suffisant affirmant l’efficacité et l’absence de toxicité en population réelle. De toute façon rappelons que les plus âgés comme les plus jeunes bénéficient d’un traitement précoce d’une maladie symptomatique sur diagnostic clinique par le protocole Raoult ou l’ivermectine, zinc, vitamines, antibiotiques y compris les grands vieillards. Des centenaires renvoyés de l’hôpital dans leur famille et par chance traités par de vrais médecins en sont témoins aujourd’hui.

Il est tragique que pour cette maladie somme toute bénigne comme une grippe plus ou moins sévère, mais curable facilement si on traite précocement, les précautions habituelles d’essai thérapeutique contrôlé sur un temps suffisamment long n’aient pas été respectées par les laboratoires ni exigées par les agences du médicament comme la FDA aux USA ou l’EMA en Europe.

Ce qui aurait été compréhensible pour une véritable peste ne l’est en aucun cas pour cette virose, ce qui authentifie l’impression que le but de cette année blanche n’est pas sanitaire mais politique où la préoccupation prioritaire ne doit plus être la santé que les prétendues mesures sanitaires ne défendent pas mais la défense de nos libertés fondamentales qu’elles piétinent allègrement.

Dr Gérard Delépine