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23 avril 2021

Les morts, les effets secondaires et les conséquences graves des vaccins

PUBLIÉ PAR GALLY LE 23 AVRIL 2021

Pr. Didier Raoult: « Il y a 70% d’effets secondaires avec le Vaccin Pfizer, deux fois à trois plus que le vaccin contre la grippe »

Dans sa dernière vidéo, mise en ligne le 20 avril 2021, le bon professeur Didier Raoult que le monde entier vous envie – il est la plus grande autorité au monde, et personne, en France, ne lui arrive à la cheville, ce qui doit lui attirer la jalousie des enragés – tient des propos assez nuancés sur les vaccins, tout en faisant une mise en garde importante :

« Le vaccin a plus d’inconvénients qu’on se le disait, il y a un travail qui vient de sortir dans « Nature » justement où il y a 70% d’effets secondaires avec le Vaccin Pfizer… alors qu’on avait jamais vu ça avec un vaccin ! C’est 2 à 3 fois plus que le vaccin contre la grippe ! Il a des effets secondaires, ça, c’est une chose… 2°) il y a quelques effets mortels… »

Plus d’effets secondaires avec le Moderna qu’avec le Pfizer

Selon une nouvelle étude (1) publiée le 7 avril, les personnes qui ont pris le vaccin Moderna signalent davantage d’effets secondaires que celles qui ont reçu une dose de Pfizer.

À partir des données de plus de trois millions de personnes ayant reçu le vaccin, recueillies auprès des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), il a été déterminé que près de 70 % des personnes étudiées ont signalé des effets secondaires mineurs tels que de la fatigue ou des frissons. Et que les personnes touchées étaient plus nombreuses à avoir reçu le vaccin Moderna que le vaccin Pfizer.

Selon l’étude :

  • 73 % des personnes ayant reçu le vaccin Moderna ont déclaré avoir eu une réaction au site d’injection, alors que 65 % des personnes ayant eu un effet
  • secondaire avaient reçu une dose Pfizer.
  • Près de 51 % des personnes ayant reçu Moderna ont déclaré avoir ressenti des symptômes sur l’ensemble du corps, contre 48 % des personnes ayant reçu la
  • dose Pfizer.
  • Près de 51 % des personnes ayant reçu le Moderna ont présenté des symptômes
  • corporels complets, tandis que 48 % des personnes ayant reçu la dose Pfizer ont fait état de réactions similaires.
  • Près de 82 % des personnes ayant reçu leur deuxième vaccin Moderna ont ressenti une douleur au point d’injection, contre moins de 69 % des personnes
  • ayant reçu le vaccin Pfizer.
  • Au total, 74 % des personnes ayant reçu Moderna ont déclaré avoir ressenti des symptômes sur l’ensemble du corps, contre 64 % des personnes ayant reçu le
  • vaccin Pfizer.

« Un pourcentage plus élevé de participants ayant reçu le vaccin Moderna, par rapport au vaccin Pfizer-BioNTech, a signalé une réactogénicité ; cette tendance était plus prononcée après la deuxième dose », ont déclaré les chercheurs.

Le rapport comprend les données de plus de 3,6 millions de personnes qui ont reçu au moins une dose de COVID-19 avant le dimanche 21 février et qui ont répondu dans les sept jours à une enquête de santé sur v-safe, un programme des CDC qui suit les réactions aux vaccins.

L’étude a été publiée dans la revue médicale JAMA et peut être consultée ici (1).

vaccin contre covid-19

Pfizer : Six cas de zona signalés lors des dernières recherches

Une équipe de recherche médicale du centre médical Sourasky de Tel Aviv et du centre médical Carmel de Haïfa, en Israël, a constaté (2) que les personnes souffrant de certains problèmes de santé sous-jacents étaient plus susceptibles de développer une éruption cutanée – un zona.

Le Dr Victoria Furer, rhumatologue participant à l’étude, a déclaré :

« Nous pouvons dire que [le vaccin Pfizer] pourrait être un élément déclencheur chez certains patients ».

  • L’essai portait sur 590 patients ayant reçu le vaccin Pfizer Covid.
  • 491 souffraient de maladies rhumatismales inflammatoires auto-immunes.
  • Les 99 personnes restantes étaient considérées comme des « témoins », c’est-à-dire qu’elles ne souffraient d’aucune maladie auto-immune.
  • 6 des 491 personnes ont développé un zona.
  • 5 personnes ont contracté le zona après la première dose de Pfizer, tandis qu’une autre a développé l’infection après la dose finale.
  • Aucune personne du groupe témoin n’a développé de zona.

Le Dr Furer a suggéré qu' »il existe une certaine association » entre le fait de développer un zona après le vaccin Pfizer et le fait d’être immunodéprimé.

« Une étude de plus grande envergure est nécessaire pour confirmer les résultats », explique le le Dr Furer, qui souhaite cependant « que les gens soient conscients du risque ».

Il suggère de se faire vacciner contre le zona avant de se faire vacciner par Covid.

Qu’est-ce que le zona ?
  • Le zona est une infection, due au même virus herpes zoster que celui de la varicelle, qui provoque une éruption cutanée douloureuse.
  • Les premiers signes d’alerte du zona comprennent une « sensation de picotement ou de douleur » sur une zone de la peau.
  • Un autre indicateur précoce de l’infection est un mal de tête et une sensation générale de malaise.
  • Le signe révélateur du zona est une éruption cutanée, qui se développe quelques jours plus tard.
  • Le zona peut également rendre vos yeux rouges et douloureux ; il peut affecter votre vue ou votre ouïe, ou vous empêcher de bouger un côté de votre visage.
  • La guérison de l’éruption peut prendre jusqu’à un mois, mais la douleur peut persister plus longtemps.
Détail des 6 cas
  1. Le cas 1 est une femme de 56 ans ayant de longs antécédents de polyarthrite rhumatoïde séropositive qui avait reçu divers produits biologiques et avait
  2. atteint une faible activité de la maladie avec le tofacitinib (Xeljanz) à partir de 2014. Elle avait des antécédents de varicelle et n’avait pas reçu le vaccin contre
  3. le zona.
    Après la première dose du vaccin, elle a signalé un malaise et des maux de tête, et 4 jours après la piqûre, elle a développé une douleur sévère dans l’œil
  4. gauche et le front, ainsi qu’une éruption cutanée le long de la distribution de la
  5. division ophtalmique du nerf crânien V – herpès zoster ophtalmique. L’examen oculaire a révélé une conjonctivite hyperémique épargnant la cornée. Elle a reçu
  6. un traitement de 2 semaines d’acyclovir et d’analgésiques, et les symptômes ont progressivement disparu après 6 semaines. Le tofacitinib a été retiré pendant 2
  7. semaines, mais elle n’a pas connu de poussée d’arthrite. Elle a refusé la deuxième dose.
  8. Le cas 2 est une femme de 44 ans atteinte du syndrome de Sjögren qui était traitée par hydroxychloroquine. Elle avait des antécédents de varicelle et
  9. n’avait pas reçu de vaccin contre le zona. Trois jours après la première dose du vaccin, elle a développé une éruption cutanée vésiculaire avec prurit, ainsi que
  10. des douleurs lombaires et des maux de tête. Les symptômes ont disparu spontanément dans les 3 semaines suivantes sans traitement, et elle a reçu la
  11. deuxième dose 4 semaines après la première.
  12. Le cas 3 était une femme de 59 ans atteinte de polyarthrite rhumatoïde séropositive qui n’avait pas répondu à plusieurs traitements biologiques et au
  13. baricitinib (Olumiant), mais 6 mois plus tôt, elle avait commencé un traitement par upadacitinib (Rinvoq) plus prednisone 5 mg/jour et avait obtenu une
  14. réponse partielle. Elle avait des antécédents de varicelle et avait reçu le vaccin vivant atténué contre le zona en 2019.

  15. Deux jours après avoir reçu la deuxième dose du vaccin COVID, elle a signalé des douleurs et a présenté une éruption cutanée vésiculaire sur le bas-ventre, la
  16. région inguinale, la fesse et la cuisse, et a reçu du valacyclovir. L’antiviral a été administré pendant 3 jours mais a été interrompu en raison d’effets
  17. indésirables, et les lésions cutanées ont guéri lentement sur une période de 6 semaines.

  18. L’upadacitinib avait été interrompu lors de l’éruption zostérienne et elle a connu une grave poussée de polyarthrite rhumatoïde affectant plusieurs
  19. articulations, et son traitement contre l’arthrite a ensuite été remplacé par l’étanercept (Enbrel).
  20. Le cas 4 est une femme de 36 ans ayant de longs antécédents de polyarthrite rhumatoïde séropositive et de pneumopathie interstitielle. Au cours des deux
  21. années précédentes, elle avait été traitée par rituximab (Rituxan), mycophénolate mofétil (CellCept) et prednisone à des doses de 7 mg/jour. Elle
  22. avait des antécédents de varicelle et n’avait pas reçu le vaccin contre le zona.
    Dix jours après avoir reçu la première dose du vaccin COVID-19, elle a signalé des douleurs et une éruption vésiculaire sur l’abdomen et le dos le long du
  23. dermatome T10, et a reçu de l’acyclovir pendant 7 jours. L’éruption s’est résorbée en 6 semaines et elle a reçu la deuxième dose du vaccin 4 semaines
  24. après la première. Elle n’a pas eu d’autres effets indésirables du vaccin et n’a pas connu de poussée de maladie rhumatismale.
  25. Le cas 5 est une femme de 38 ans souffrant d’une maladie du tissu conjonctif indifférenciée et du syndrome des antiphospholipides, qui était traitée par
  26. aspirine et hydroxychloroquine. Elle avait déjà été exposée à la varicelle et n’avait pas reçu le vaccin contre le zona.

  27. Deux semaines après avoir reçu la première dose du vaccin COVID-19, elle a développé une éruption vésiculaire prurigineuse sur le sein droit, et a reçu un
  28. traitement d’une semaine à l’acyclovir. Ses symptômes de zona se sont résorbés en trois semaines et elle a reçu la deuxième dose du vaccin selon le calendrier
  29. prévu, sans autre effet secondaire ni poussée de la maladie.
  30. Le cas 6 est une femme de 61 ans ayant de longs antécédents de polyarthrite rhumatoïde séropositive, qui était traitée par tocilizumab (Actemra) et
  31. prednisone 5 mg/jour au moment de la première dose du vaccin. Deux semaines plus tard, une éruption cutanée est apparue le long du dermatome T6,
  32. et elle a reçu du valacyclovir pendant une semaine, ce qui a entraîné la résolution des symptômes du zona en 10 jours.

  33. Cependant, elle a signalé une légère poussée d’arthrite et la dose de prednisone a été augmentée à 7,5 mg/jour. La deuxième dose a été administrée sans
  34. incident comme prévu.
Réactions généralisées contre réaction locale

Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), la plupart (77,4 %) des personnes faisant partie d’un échantillon ayant reçu le vaccin Pfizer/BioNTech Covid-19 mRNA ont signalé au moins un type de réaction généralisée dans les sept jours suivant la vaccination (3).

Une réaction généralisée est différente d’une réaction locale.

  • Une réaction locale est un symptôme près du site d’injection, qu’il s’agisse d’une douleur, d’une rougeur ou d’un gonflement.
    • Plus de 80 % des personnes âgées de 18 à 55 ans et plus de 70 % des personnes âgées de plus de 55 ans ont présenté un certain type de douleur
    • légère à modérée au point d’injection.
  • En revanche, une réaction généralisée est toute réaction qui va au-delà du site d’injection, qui affecte différentes parties de votre corps, voire votre corps tout entier.
    • Ainsi, parmi les personnes de 55 ans et plus de l’échantillon, 1,4 % avaient de la fièvre, 34,1 % de la fatigue, 25,2 % un mal de tête, 6,3 % des frissons,
    • 8,2 % de la diarrhée, 13,9 % des douleurs musculaires et 8,6 % des douleurs articulaires.
    • Ces chiffres étaient plus élevés chez les personnes âgées de 18 à 55 ans : 3,7 % ont eu de la fièvre, 47,4 % de la fatigue, 41,9 % des maux de tête, 14,0 %
    • des frissons, 1,2 % des vomissements, 11,1 % de la diarrhée, 21,3 % des douleurs musculaires et 11,0 % des douleurs articulaires.

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AstraZeneca contre Pfizer : Comparaison des effets secondaires

Début avril, il a été conseillé aux Australiens de moins de 50 ans de préférer, dans la mesure du possible, le vaccin Pfizer au vaccin AstraZeneca, en raison d’un « risque rare mais grave » de caillots sanguins.

Toutefois, le Premier ministre Scott Morrison a souligné qu' »en fin de compte, le choix appartient à chaque Australien et à son médecin » et qu’il n’y avait « pas d’interdiction » du vaccin d’AstraZeneca, mais simplement une « préférence ».

Dans une enquête menée par AusVaxSafety auprès de 165 209 Australiens qui ont reçu un vaccin (4) :

  • un peu plus de la moitié ont déclaré avoir subi un « événement indésirable ».
  • 1,6 % d’entre eux ont déclaré avoir consulté un médecin ou le service des urgences.
  • Les effets secondaires les plus courants étaient la fatigue, les maux de tête, les douleurs au point d’injection et les douleurs musculaires ou corporelles, et ils
  • étaient « généralement légers et de courte durée ».
  • Sur 57 280 personnes ayant reçu une première dose du vaccin AstraZeneca, 64,6 % ont déclaré avoir subi un effet indésirable, 23,4 % ont déclaré avoir manqué
  • au travail, interrompu leurs études ou les tâches habituelles pendant une courte période – moins d’un jour dans la plupart des cas – et 1,6 % ont consulté un
  • médecin ou un service d’urgence.
  • Sur les 76 743 personnes qui ont reçu une première dose du vaccin Pfizer, 36,3 % ont signalé un événement indésirable, 4,5 % ont dû s’absenter de leur travail,
  • de leurs études ou de leurs autres fonctions – dans la plupart des cas, pour moins d’une journée. 0,6 % des personnes a dû se rendre chez un médecin ou
  • aux urgences.
  • Après la deuxième dose du vaccin Pfizer, 60,2 % des personnes ont signalé un événement indésirable, 21,7 % ont annulé leurs activités quotidiennes, et 1,9 %
  • ont consulté un médecin.
  • Les informations concernant la deuxième dose du vaccin AstraZeneca n’étaient pas disponibles.

Les participants à l’enquête ont également signalé une légère différence dans la nature des effets secondaires :

  • Après la première dose du vaccin AstraZeneca, les plus fréquents étaient la fatigue (51,5 %), les maux de tête (44,8 %) et les douleurs musculaires ou
  • corporelles (42,3 %).
  • Après la première dose du vaccin Pfizer, les symptômes les plus fréquents étaient les suivants : douleur au point d’injection (29,6 %), fatigue (18,8 %) et
  • maux de tête (14,2 %).
  • Les essais cliniques pour les deux vaccins montrent que les réactions indésirables sont généralement plus légères et moins fréquentes chez les
  • personnes âgées de plus de 55 ans pour AstraZeneca et de 65 ans pour Pfizer.
Qu’en est-il des caillots sanguins ?

Des rares cas de caillots sanguins associés à un faible taux de plaquettes sanguines (thrombocytopénie) ont été signalés chez des personnes ayant pris le vaccin AstraZeneca dans plusieurs pays.

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  • L’Australie n’a connu qu’un seul cas : un homme de 44 ans de Melbourne, qui a reçu le vaccin le 22 mars, a présenté la semaine dernière des caillots
  • abdominaux et un faible taux de plaquettes.
  • La France a vu 9 nouveaux cas de thromboses de localisation atypique et 2 cas de coagulations intravasculaires disséminées (CIVD) isolées jusqu’au 16 avril,
  • portant le total à 23 cas depuis le début de la vaccination, dont 8 décès.
  • L’autorité britannique de réglementation des médicaments a déclaré avoir trouvé 79 cas de coagulation sanguine associés à un faible taux de plaquettes dans le sang après une première dose du vaccin – 51 femmes et 28 hommes.
    • 44 de ces cas étaient des TVC avec thrombocytopénie,
    • 35 des thromboses dans d’autres veines principales avec thrombocytopénie,
    • 19 des cas ayant entraîné le décès, dont trois de moins de 30 ans.

Le professeur Paul Kelly, conseiller du gouvernement australien, médecin de santé publique et épidémiologiste, a averti que la coagulation « est grave et qu’elle peut entraîner un taux de mortalité de 25 % lorsqu’elle se produit ».

Il a expliqué que les symptômes à surveiller sont les suivants : essoufflement, douleurs thoraciques ou abdominales persistantes, gonflement des jambes, vision trouble, confusion ou crises d’épilepsie, éruption cutanée inexpliquée ou ecchymoses au-delà du site d’injection.

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Morts après avoir reçu le vaccin
  • Le 14 mars, le JDD publie l’information suivante (7) : « Les décès déclarés après un acte de vaccination sont au nombre de 255 décès et quasiment tous (251)
  • concernent le produit de Pfizer. Mais l’ANSM précise que « les données actuelles ne permettent pas de conclure qu’ils sont liés à la vaccination ».
  • Le 6 mars, The Epoch Times a rapporté que 966 personnes étaient décédées après avoir reçu les vaccins Pfizer ou Moderna COVID. L’article dit avoir tiré
  • les données des rapports du VAERS entre le 14 décembre 2020 et le 19 février 2021.
  • Parce que Newsweek dit que Epoch Times est d’extrême droite (il ne l’est pas), ils ont décidé de fact checker l’information (Les médias de gauche épient ceux
  • de droite, rarement ceux de gauche). Voici ce qu’ils écrivent (7) :

« En utilisant WONDER, l’outil de recherche de la base de données VAERS des CDC, Newsweek a rassemblé les données sur les décès survenus après un vaccin COVID de Moderna ou Pfizer.

Notre résultat VAERS a montré que 970 personnes sont décédées après avoir reçu une injection de vaccin Pfizer ou Moderna. Parmi ces décès, 495 sont survenus après une injection de Moderna, et 475 après une injection de Pfizer.

Notre conclusion [sur ce qu’écrit The Epoch Time] : c’est principalement vrai.

https://www.newsweek.com/covid-vaccine-deaths-cause-pfizer-moderna-fact-check-966-died-1574447

Newsweek ajoute :

Cependant, il est faux de dire que les vaccins COVID ont causé 966 décès, car la base de données VAERS n’est pas conçue pour donner cette information. Par exemple, dans l’ensemble de données publié par The Epoch Times, l’une des personnes décédées après avoir reçu un vaccin avait également été blessée dans un accident de voiture entre le moment où elle a été vaccinée et la date de son décès, mais le cas était toujours inclus dans l’ensemble de données.

  • En Norvège, 23 personnes sont mortes dans les jours qui ont suivi leur première dose de vaccin, indique un rapport publié le 15 janvier dernier (9). 13
  • de ces morts — tous en maison de retraite — sont apparemment liées aux effets secondaires du vaccin, d’après les autorités médicales locales.
  • En Grande Bretagne, Luke Garrett, 20 ans, a été victime d’une crise mortelle provoquée par une hausse soudaine de sa température à son domicile de
  • Tarbolton, dans le sud de l’Ayrshire, moins de 12 heures après avoir reçu le vaccin Pfizer (10).

    M. Garrett était atteint de dystrophie musculaire et bénéficiait d’un bouclier de protection depuis environ un an. Sa mère a expliqué que :

Tout son corps souffrait horriblement, il avait une température très élevée. Habituellement, avec son état, ses jambes pouvaient être douloureuses, mais là, c’était différent. Avant sa mort, le bras dans lequel il a reçu l’injection était vraiment douloureux. Il a ensuite eu une crise d’épilepsie, ce qui n’était jamais arrivé auparavant. Il a commencé à faire des crises et de la mousse est sortie de sa bouche.

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Cas de réactions graves

Les réactions indésirables graves ont été définies ainsi : tout événement médical ayant entraîné la mort, mis en danger le pronostic vital, nécessité une hospitalisation ou la prolongation d’une hospitalisation existante, ou entraînée une invalidité/incapacité persistante.

  • Les proportions de participants (5) ayant signalé au moins un événement indésirable grave étaient de 0,6 % dans le groupe vacciné et de 0,5 % dans le
  • groupe placebo.
  • Les événements indésirables graves les plus fréquents dans le groupe vacciné, qui étaient numériquement plus élevés que dans le groupe placebo, étaient :Les événements indésirables graves d’origine cardiovasculaire étaient équilibrés entre les groupes vaccin et placebo.
    • l’appendicite (7 dans le groupe vacciné contre 2 dans le groupe placebo),
    • l’infarctus aigu du myocarde (3 contre 0)
    • et l’accident vasculaire cérébral (3 contre 1).
  • Deux événements indésirables graves ont été considérés par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis comme pouvant être liés au vaccin :
    • une blessure à l’épaule pouvant être liée à l’administration du vaccin ou au vaccin lui-même, et
    • une lymphadénopathie touchant l’aisselle controlatérale au site d’injection du vaccin.
    • Autrement, l’occurrence des événements indésirables graves impliquant des classes de systèmes d’organes et des termes préférés spécifiques était
    • équilibrée entre les groupes vaccins et placebo.

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France : les effets secondaires graves
Au vaccin AstraZeneca
  • Polyradiculonévrite aiguë (dont syndrome de Guillain-Barré) : 3 nouveaux cas ont été observés pour un total de 5 cas depuis le début de la vaccination. Ces
  • atteintes sont apparues entre 3 et 24 jours après la vaccination. Toutes les personnes sont en cours de rétablissement.
  • Paralysie faciale : 5 nouveaux cas de paralysie faciale ont été observés pour un total de 15 cas depuis le début de la vaccination.
  • 9 nouveaux cas de thromboses de localisation atypiques et 2 cas de coagulations intravasculaires disséminées (CIVD) isolées ont été analysés,
  • portant le total à 23 cas depuis le début de la vaccination, dont 8 décès. Parmi ces cas, il est observé 21 cas associés à des thromboses veineuses cérébrales
  • et/ou des thromboses splanchniques et 2 cas de CIVD isolée.
Au vaccin Johnson&Johnson

Le 13 avril, les Etats-Unis ont annoncé suspendre temporairement le vaccin Janssen suite à la survenue de 6 cas graves de thromboses, dont 1 décès. Il a été autorisé par l’Agence européenne du médicament le 11 mars.

vaccin contre covid-19

Au vaccin Pfizer
  • Au total, plus de 9 889 000 injections ont été réalisées au 8 avril 2021.
  • 14 350 cas d’effets indésirables ont été analysés par les CRPV rapporteurs (Bordeaux et Marseille).
  • La majorité des effets indésirables sont attendus et non graves.
  • Il n’y a pas eu de nouveau signal confirmé durant cette période.
  • Evénements sous surveillance : zona, troubles du rythme cardiaque, thrombopénie/thrombopénie immunologique/hématomes spontanés,
  • déséquilibre diabétique dans des contextes de réactogénicité, échecs vaccinaux, syndromes de Guillain-Barré.
  • Evénements confirmés : hypertension artérielle.
Au vaccin Moderna
  • En France, du 19 janvier 2021 au 8 avril 2021, 869 cas d’effets indésirables au vaccin Moderna ont été recensés. Il y a eu :
    • 30 cas de troubles vasculaires de type d’hypertension artérielle
    • 13 cas de troubles du rythme
    • 22 cas de zona
    • 38 cas graves de type réactogénicité (malaise, syndrome grippal) après injection de la deuxième dose.
    • 18 cas graves d’événements thromboemboliques. Il s’agit de 9 cas de thromboses (3 embolies pulmonaires, 5 thromboses veineuses et 1
    • thrombose artérielle) et 9 cas d’accident vasculaire ischémique.
France au 8 avril 2021Nombre d’injectionsCas d’effets indésirables% d’effets indésirables% de cas graves parmi les effets indésirables
Pfizer-BioNTech 9 889 000 14 350 0.15% 23%
Moderna 994 000 869 0.09% 20%
AstraZeneca 2 725 089 10 422 0.38% 24%
Ensemble des vaccins (plus de 13,6 millions de doses injectées) 13 610 000 25 641 0.20% 24%
https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2686947-effet-secondaire-vaccin-covid-france-nouveau-liste-pfizer-moderna-astrazeneca-grave-injection-pourcentage/

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Luxembourg – trois décès suspects
  • Trois décès pourraient être liés aux suites de la vaccination contre le Covid-19, a reconnu la ministre de la Santé Paulette Lenert (6).
  • Ces personnes décédées, une femme et deux hommes, étaient âgées – entre 75 et 94 ans. Des investigations sont en cours, au moins une autopsie a été
  • demandée afin de déterminer s’il existe un lien direct avec la vaccination. Dans un des cas, une des victimes a souffert d’une thrombose.
  • 13 personnes ont dû être hospitalisées suite à des effets secondaires conséquents, dont 7 pour des thromboses.
  • 3 autres personnes ont aussi un temps été dans un état extrêmement grave, entre la vie et la mort.
  • Mardi 20 avril au soir, près de 170.000 doses de différents vaccins avaient été utilisées au Luxembourg.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gally pour Dreuz.info.

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  1. https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2778441?
  2. https://www.medpagetoday.com/infectiousdisease/covid19vaccine/92106
  3. https://www.cdc.gov/vaccines/covid-19/info-by-product/pfizer/reactogenicity.html
  4. https://www.fda.gov/media/144245/download
  5. http://www.lessentiel.lu/fr/luxembourg/story/trois-morts-suspectes-apres-la-vaccination-27903262
  6. https://www.lejdd.fr/Societe/Sante/effets-secondaires-des-vaccins-2894-cas-graves-recenses-sur-525-millions-dinjections-4030986
  7. https://www.newsweek.com/covid-vaccine-deaths-cause-pfizer-moderna-fact-check-966-died-1574447
  8. https://nypost.com/2021/01/15/23-die-in-norway-after-receiving-pfizer-covid-19-vaccine/
  9. https://www.dailymail.co.uk/news/article-9469529/Mother-demands-answers-son-20-died-12-hours-receiving-Pfizer-jab.html

 

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QUELQUES MEDICAMENTS PHARMACEUTIQUES EFFICACES CONTRE LA COVID-19 QUI DOIVENT ÊTRES PRESCRITS PAR ORDONANCE UNIQUEMENT MAIS TRES DIFFICILES A SE PROCURER EN FRANCE :

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Mortalité étrange à Gibraltar suite à la vaccination

SOURCE : Par  Gilad Atzmon

 

Gibraltar a actuellement le pire taux de mortalité par habitant au monde pour le Covid-19 (2791 par million au moment de cette publication). La catastrophe a commencé le 12 décembre, lorsqu’on a assisté à une augmentation sans précédent du nombre de cas (voir graphique ci-dessous). Jusque-là, comme dans d’autres pays européens, les cas de Covid étaient en baisse constante depuis un certain temps. À Gibraltar, le nombre de cas avait baissé pendant près d’un mois depuis le 13 novembre.

Ce que les gens ne savent pas, c’est que quelques jours avant que Gibraltar ne se transforme en une zone de destruction du Covid, 273 agents de santé espagnols travaillant avec les personnes âgées et les populations vulnérables de Gibraltar auraient été vaccinés avec le vaccin Pfizer.

La radio Gibraltar Bay a rapporté le 7 décembre 2020 que « Plus de 9 200 ressortissants espagnols traversent la frontière de Gibraltar pour travailler. Les plans de vaccination sont encore en cours d’élaboration, mais environ 273 travailleurs travaillant dans des agences de soins s’occupant de personnes âgées pourraient devenir les premiers ressortissants espagnols à recevoir le vaccin Pfizer. »

Le journal espagnol El Pais cite Antonio Sánchez, un ressortissant espagnol qui s’occupe de deux enfants autistes dans un centre d’accueil pour jeunes, qui savait qu’il serait parmi les premiers à recevoir le vaccin. « Je suis l’un des premiers. L’entreprise sous-traitante pour laquelle je travaille nous a dit qu’il est très probable qu’elle commence à nous vacciner la semaine prochaine [la semaine qui commence le 7 décembre]. »

Le 8 décembre, le site elperiodico.com annonce que « les travailleurs espagnols du secteur de la santé et des soins à Gibraltar seront les premiers du pays à être vaccinés à partir de mardi (8 décembre) contre le coronavirus, dans le cadre du programme de vaccination du gouvernement de Gibraltar. »

Jusqu’à présent, nous avions considéré Israël comme l’ultime terrain d’essai de l’expérience Pfizer. Comme je le signale depuis le début du mois de janvier, les résultats de l’expérience Israël/Pfizer ont été plutôt dévastateurs. Les décès dus au Covid en Israël ont doublé en seulement 2 mois de vaccinations. Les cas de Covid néonataux ont augmenté de 1600%, les hospitalisations ont doublé et ainsi de suite.

En Grande-Bretagne, nous avons assisté à une augmentation similaire des décès dus au Covid peu après le lancement de la campagne de vaccination. Dans presque tous les pays qui utilisaient le vaccin Pfizer à l’époque, parmi d’autres vaccins, le mutant britannique a été tenu pour responsable de l’augmentation des cas et des décès qui en ont résulté. Si l’on considère que le trafic aérien s’est pratiquement arrêté à la fin du mois de décembre, il était déjà difficile de comprendre comment le mutant britannique a pu se propager aussi largement. Comment, par exemple, a-t-il pu se rendre en Israël pour devenir la souche dominante de Covid ? Comment s’est-il rendu à Gibraltar, où il est également devenu la souche dominante à la fin décembre ? Une réponse possible et malheureusement évidente est que, contrairement aux personnes, les vaccins ont voyagé dans les airs et dans le monde entier.

Je comprends que les gouvernements britannique et israélien soient réticents à enquêter sur la corrélation évidente entre les vaccinations, les cas de maladie, les décès et peut-être la propagation du mutant britannique. Une enquête sur ces questions pourrait révéler que certains faits liés au mutant britannique étaient connus d’avance. Par exemple, nous avons appris que le mutant britannique avait été identifié au Royaume-Uni dès le mois de septembre. Nos scientifiques britanniques n’ont donc pas ressenti la moindre inquiétude face à la possibilité que le nouveau variant soit lié aux essais de vaccins qui se déroulaient dans le royaume depuis la fin de l’été?

En examinant les données Covid les plus conservatrices dont nous disposons par le biais de l’OMS et d’autres institutions internationales, il est facile d’étudier l’étroite corrélation entre la vaccination, les cas de maladie, les décès et la propagation de mutants spécifiques (britannique, brésilien, sud-africain, etc.) :

Dans les graphiques ci-dessous, vous pouvez facilement remarquer que les cas et les décès commencent à augmenter de façon exponentielle à proximité immédiate du lancement des campagnes de distribution massive de vaccins.

Cependant, il est beaucoup plus intéressant d’essayer de comprendre la relation étroite entre la vaccination et la soi-disant « défaite du virus ». Nous devrions nous demander en conséquence, combien de personnes devraient être vaccinées dans une société donnée avant que nous ne  commencions à voir une baisse des cas de Covid ? J’ai examiné cette question en utilisant les statistiques les plus conservatrices et les plus largement diffusées :

L’examen d’Israël révèle que 30,6 % de la population avait été rapidement vaccinée en décembre avant que nous ne constations une baisse des cas. Cette action intense a clairement eu pour conséquence qu’Israël a doublé son nombre de décès et que son système de santé s’est presque effondré.

Le cas des Emirats Arabes Unis est presque identique. La campagne de vaccination rapide a été suivie d’une augmentation immédiate des cas et des décès, il a ensuite fallu que 31% de la population soit vaccinée pour voir la première baisse des chiffres.

Au Royaume-Uni, qui a été inefficace dans sa première campagne de vaccination de masse, la situation est bien meilleure. Il a suffi que 15 % de la population soit partiellement vaccinée (1 dose au lieu de 2) pour que le nombre de cas diminue nettement. Malgré cela, le nombre de décès dus au Covid pendant la campagne de vaccination de masse a augmenté d’environ 50 %. Nous parlons de dizaines de milliers de personnes qui ont péri.

J’ai donc été estomaqué de constater dès le début du mois de mars qu’au Portugal, il suffisait que 3 % de la population soit vaccinée en masse pour vaincre le Covid et voir les chiffres chuter ! Cela peut s’expliquer. Si le mutant présumé induit par le vaccin est deux fois plus infectieux que son ancêtre et qu’il est distribué initialement par le système médical au moyen de piqûres plutôt que par contact social, alors faire de 3 % de la population des super-diffuseurs peut suffire à infecter une société entière avec un mutant résistant.

Dans les cas que j’ai passés en revue ci-dessus, de nombreuses personnes sont mortes et seule une enquête de nature criminelle pourrait indiquer quel niveau de conscience, de négligence ou de maladresse a été impliqué dans les considérations et les décisions à l’origine de la vaccination de masse dans ces pays concernés. Que savaient à l’avance nos décideurs sur le vaccin et les éventuels mutants qu’il pourrait induire ? De quoi se sont-ils rendu compte tout au long de la campagne ? Quelles étaient les considérations prises en compte et qui a pris les décisions exactement ?

Pourtant, la situation n’est pas totalement sombre, car il est également raisonnable de supposer que les non-vaccinés qui ont survécu au mutant britannique ont probablement acquis la meilleure résistance naturelle possible au Covid-19 et à ses futurs mutants, ce que nous ne pouvons malheureusement pas dire des vaccinés : Le PDG de Pfizer a admis hier que les vaccinés sont « susceptibles » d’être à nouveau inoculés dans les 6 à 12 prochains mois. Leur système immunitaire est désormais dépendant de l’approvisionnement constant de Pharma en substances ARNm.

Mais l’histoire du carnage à Gibraltar peut nous fournir une validation finale des réflexions ci-dessus.

33 000 Britanniques vivent à Gibraltar. La vaccination officielle de la colonie n’a pas commencé avant le 10 janvier, mais la vaccination par Pfizer de seulement 273 agents de santé (moins de 1 % de la population) à partir du 7 décembre, si elle est avérée, a suffi à déclencher une énorme vague de cas de Covid suivie d’un pic sans précédent de décès. Comme en Israël, au Royaume-Uni, aux EAU et dans de nombreux autres pays, la vaccination contre le Covid a été suivie d’une forte augmentation des cas de Covid. Il est choquant de constater que le nombre de cas de Covid à Gibraltar avait commencé à diminuer le 7 janvier, trois jours avant que Gibraltar ne commence à vacciner l’ensemble de sa population britannique.

On peut contester ma lecture de la situation à Gibraltar et se demander : « si les vaccins induisent des mutants, comme vous le dites, pourquoi le nombre de cas n’a-t-il plus augmenté une fois la vaccination généralisée lancée ? ». Une réponse possible est qu’au 7 janvier, 3 jours avant le lancement de la campagne de vaccination de masse, Gibraltar bénéficiait déjà d’une forte immunité collective. Un nombre suffisant de membres du territoire britannique avaient été exposés au mutant, ceux qui ont survécu étaient immunisés. Si je ne me trompe pas, moins de 1 % de la population vaccinée a suffi pour infecter toute la colonie avec le mutant britannique et pour lui conférer une immunité collective totale.

Je me demande souvent pourquoi c’est moi, un saxophoniste de jazz, qui dois fournir une analyse parfaitement validée par les statistiques et les données conservatrices du courant officiel. N’est-ce pas plutôt le rôle des universitaires, des experts de la santé, des médias, des virologues, des épidémiologistes, des partis d’opposition et de la « gauche » ?

Gibraltar, comme Israël, était un terrain d’expérimentation unique et le résultat est dévastateur mais concluant. Mais la nouvelle la plus torturante c’est que nous, le peuple, nous retrouvons trahis en plein jour par une ligue unie qui s’est éloignée aux antipodes de l’éthique athénienne en matière de science médicale, du pluralisme et de l’éthique. Pour moi, c’est certainement la leçon la plus effrayante de cette soi-disant pandémie.

Traduction: MP

SOURCE : Original: https://www.unz.com/gatzmon/the-gibraltar-massacre/

 

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neMoAYS4

Est-ce que la « variante » est utilisée pour effrayer les gens à se faire vacciner ?

Dans un article récent en première page, le New York Times a rapporté que la nouvelle version mutée du coronavirus était susceptible d’être plus contagieuse ou mortelle que l’infection originale. Selon le Times, cette nouvelle itération de l’infection pourrait résister aux traitements conventionnels et forcer les nations de verrouillage à prolonger le calendrier de levée des restrictions. Mais étant donné que « les infections quotidiennes de Covid ont diminué de 77 pour cent depuis janvier » et que le virus semble être « en voie de sortie », le rapport du Times semble particulièrement suspect. Cette nouvelle mutation, appelée la « variante », est-elle vraiment aussi mortelle qu’elle est fissurée pour l’être ou les médias évoquant-ils un autre hobgoblin Covid pour effrayer le public en se faisant vacciner? Découvrez cet extrait de l’article:

« Les scientifiques du gouvernement britannique constatent de plus en plus que la variante du coronavirus détectée pour la première fois en Grande-Bretagne est liée à un risque de décès plus élevé que les autres versions du virus, une tendance dévastatrice qui met en évidence les risques graves et les incertitudes considérables de cette nouvelle phase de la pandémie.

Les scientifiques ont déclaré le mois dernier qu’il y avait une « possibilité réaliste » que la variante était non seulement plus contagieuse que d’autres, mais aussi plus mortelle. Maintenant, ils disent dans un nouveau document qu’il est « probable » que la variante est liée à un risque accru d’hospitalisation et de décès ....

Les raisons d’un taux de mortalité élevé ne sont pas tout à fait claires. Certaines preuves suggèrent que les personnes infectées par la variante peuvent avoir des charges virales plus élevées, une caractéristique qui pourrait non seulement rendre le virus plus contagieux, mais aussi potentiellement saper l’efficacité de certains traitements.

Mais les scientifiques essaient également de comprendre dans quelle mesure le risque accru de décès peut provenir de la propension de la variante à se propager très facilement à travers des milieux comme les maisons de soins infirmiers, où les gens sont déjà vulnérables.

Quelle que soit l’explication, les conseillers scientifiques du gouvernement britannique a déclaré samedi, les nouvelles conclusions mis à nu les dangers des pays assouplissant les restrictions que la variante s’installe. » ( »Covid-19: Variante basée au Royaume-Uni est probablement plus mortelle, disent les scientifiques », New York Times)

Nous n’allons pas perdre beaucoup de temps sur ce court texte de texte, mais nous allons demander aux gens de réfléchir à la phraséologie hyperbolique qui est utilisé avec l’intention claire de terrifiants lecteurs. L’auteur ne fait aucun effort pour souligner qu’il y a peu ou pas de preuves que la soi-disant « variante » a déclenché un pic dans les cas ou qu’il a causé plus de décès. Au lieu de cela, il consacre l’ensemble du segment de 5 paragraphes à répandre la terreur sur une question dont le public ne sait presque rien. Pourquoi l’auteur ferait-il cela?

Nous voyons trois raisons possibles :

  1. L’auteur croit qu’il effectue un service public en informant le peuple américain sur une question de grande importance.
  2. L’auteur pose les bases de l’extension des restrictions onéreuses de verrouillage.
  3. L’auteur veut effrayer plus de gens en se faisant vacciner.

Nous pensons que la réponse la plus probable est le numéro 3, que cet article et les milliers d’autres comme lui font partie d’une campagne de terreur bien financée dirigée contre les sceptiques vaccinaux qui n’ont pas l’intention de se faire inoculer pour une infection qui affecte un simple morceau de la population et qui semble s’émériser de jour en jour. Pourquoi une personne raisonnable ferait-elle ça ?

Mais on ne peut nier que la variante est maintenant utilisée pour alimenter l’hystérie covid et perpétuer les conditions répressives qui ont été imposées arbitrairement par les gouverneurs démocrates agissant au nom de puissants oligarques et fabulistes climatiques. Donc, la meilleure façon de remédier à cette situation est de jeter un peu de lumière sur le sujet lui-même. Ce que nous voulons faire, c’est présenter le point de vue de quelques professionnels respectés qui n’ont pas de hache à moudre et qui ont une bonne compréhension de la science. De cette façon, les lecteurs peuvent décider par eux-mêmes si l’article du Times a un quelconque mérite ou est juste plus de la même drivel hyperventilation qu’ils régurgitent tous les jours. Tout d’abord, consultez cette interview vidéo avec Sunetra Gupta, qui est professeur d’épidémiologie théorique au département de zoologie de l’Université d’Oxford, et un boursier de recherche Wolfson de la Royal Society. Voici ce qu’elle a dit:

« Il se peut bien que certaines de ces variantes sont plus transmissibles, mais la vérité est, que dans un système où vous avez beaucoup d’immunité partagée, ... ce que vous avez tendance à obtenir est l’exclusion concurrentielle de sorte que l’infection avec le taux de reproduction le plus élevé gagne. Cela signifie que même avec une augmentation marginale de la transmissibilité, cela pourrait voir une nouvelle variante passer à travers. Mais cela n’a pas beaucoup d’effet matériel ou de différence dans la façon dont nous traitons le virus. En d’autres termes, la surtension du virus ne peut pas être attribuée à une nouvelle variante....

L’autre question est sont ces variantes plus virulentes, et la vérité est que nous ne savons pas, mais il est peu probable parce que les données ne semblent pas le dire malgré les titres effrayants ... Les agents pathogènes ont tendance à évoluer vers une virulence plus faible... parce que cela maximise leur transmissibilité... Il est beaucoup plus probable que ces tensions ne seront pas sensiblement si différentes que nous devrions modifier nos politiques. (Sunetra Gupta: Ces nouvelles variantes sont-elles plus transmissibles?» You Tube)

Répétez: "Les agents pathogènes ont tendance à évoluer vers une virulence inférieure»

Ce que Gupta veut dire, c’est qu’à mesure que le nombre d’hôtes sensibles diminue, la souche qui s’adapte le mieux à cette nouvelle situation est celle qui dominera. Cela ne signifie pas qu’il deviendra plus contagieux ou mortel; bien au contraire, comme le souligne Gupta, ces infections ont tendance à s’affaiblir au fil du temps, à ne pas devenir plus fortes ou plus mortelles. Mais pourquoi?

Parce que le nombre de personnes capables de contracter Covid diminue constamment. Rappelez-vous, le virus a déjà déchiré la population à deux reprises, ce qui signifie que le bassin d’hôtes potentiels a diminué de façon spectaculaire. Ainsi, que les nouvelles variantes soient modestes ou non, le nombre de cas, d’hospitalisations et de décès continuera de diminuer. Les infections n’ont pas une durée de vie infinie et la variante n’est pas non plus un virus nouveau ou nouveau. Il s’agit d’une légère variation de l’agent pathogène d’origine, ce qui signifie que le virus est en voie de sortir.

Remarquez comment cette analyse entre en conflit avec la peur de l’article dans le Times. Nous essayons d’expliquer ce qu’est une variante, alors que le Times essaie d’utiliser la peur d’un pathogène sinistre et invisible pour coercer un certain comportement, dans ce cas, se faire vacciner. Notre explication est un appel à son sens de la raison et du jugement, tandis que l’autre est une manipulation des émotions les plus sombres et de la peur de la mort. Qu’est-ce que tu préfères ?

Voici plus sur le sujet de diagnostic pathologiste, Le Dr Claire Craig qui fournit une explication plus technique:

« La séquence génétique du SRAS-CoV-2 compte environ 30 000 lettres. Modifications dans une poignée de lettres ne changera pas sa forme beaucoup - si elle l’a fait, il ne fonctionnerait pas correctement de toute façon. La peur de l’évasion immunitaire n’est pas nécessaire et est irresponsable quand aucune preuve à l’appui des revendications. (Claire Craig ( Claire Craig ))

Essentiellement, Craig dit la même chose que nous avons dit plus tôt, que les légères mutations de l’infection n’auront pas d’impact sur la réaction immunitaire des personnes qui avaient déjà le virus. Ainsi, la culture actuelle de « variantes » ne devrait pas être une cause d’alarme. Si vous avez déjà eu Covid ou si vous avez déjà une immunité antérieure en raison d’une exposition antérieure à des infections similaires (SRAS, par exemple), la nouvelle souche ne devrait pas être un problème.

Voici une explication plus longue que certains lecteurs pourraient trouver trop technique et peut-être fastidieux, mais il vaut la peine de patauger à travers afin de voir que les médias est délibérément mal d’état de la science pour terrifier le public. Cet extrait est extrait d’un article de Michael Yeadon, ancien vice-président de pfizer de la recherche sur les allergies et les voies respiratoires. Voici ce qu’il a dit:

« L’idée est plantée dans l’esprit des gens que ce virus est en mutation de manière à échapper à l’immunité préalable. C’est totalement infondé, certainement en ce qui concerne l’immunité. (c’est-à-dire) gagné naturellement, après avoir repousser le virus ....

Il est important d’apprécier que lors de l’infection, le système immunitaire humain coupe un agent infectieux en petits morceaux. Chacun de ces courts morceaux de protéines sont présentés à d’autres cellules du système immunitaire, comme un défilé d’identité. Nos cellules ont une gamme vraiment étonnante de capacités à reconnaître différentes structures protéiques, et il y en aura qui reconnaissent chacun des morceaux de l’envahisseur. Les cellules qui reconnaissent une pièce sont chargées de se multiplier sélectivement de sorte que, après quelques jours à quelques semaines, notre corps contient un grand nombre de cellules spécifiques de morceau de virus. Ceux-ci ont une gamme de fonctions. Certains font des anticorps et d’autres sont programmés pour tuer les cellules infectées par le virus, reconnus en affichant sur leur surface des signaux qui disent au corps qu’ils ont été envahis.

Dans presque tous les cas,... ce système adaptatif intelligent surmonte l’infection. Façon décisive... cet événement vous laisse avec de nombreux types différents de cellules de « mémoire » à longue durée de vie qui, si vous êtes infecté à nouveau, rapidement effacer toute tentative de réinfectionAinsi, vous ne serez plus malade par le même virus, et parce que le virus n’est tout simplement pas autorisé à se répliquer, vous n’êtes plus en mesure de participer à la transmission.

Aux mutations et variantes.

De nombreux virus sont sujets aux erreurs lorsqu’ils se répliquent dans vos cellules. Ils font des « fautes de frappe » de sorte que le virus qui en résulte est légèrement différent du virus parent. Parfois, ces petits changements ne font aucune différence dans le comportement du virus. D’autres fois, le changement rend le virus incapable de quelque chose d’important pour sa survie. Il est possible qu’un changement le rend légèrement meilleur à survivre et ainsi au fil du temps, il devient une proportion plus élevée de virus séquencés à partir d’échantillons cliniques. La « direction générale du voyage » est de devenir moins préjudiciable, mais plus facile à transmettre, éventuellement rejoindre les quelque 40 autres virus qui causent ce que nous avons collectivement appelé « le rhume ».

Ce qui n’arrive généralement pas, c’est que les mutants deviennent plus mortels pour les hôtes (nous). Mais le point clé que je voulais faire passer est à quel point le SRAS-COV-2 est grand. Je me souviens que c’est de l’ordre de 30 000 lettres de code génétique qui, une fois traduites, font environ 10 000 acides aminés dans plusieurs protéines virales. Maintenant, vous pouvez voir que le genre de nombres de changements dans les lettres du code génétique sont vraiment minuscules par rapport à l’ensemble. 30 modifications de lettres peuvent être d’environ 0,1% du code du virus. En d’autres termes, 99,9% de ce code n’est pas différent de la souche dite wuhan. De même, les changements dans la protéine traduits par ces modifications de code de lettre sont accablés par la grande majorité des séquences inchangées de protéine. Donc, votre système immunitaire, reconnaissant comme il le fait peut-être des dizaines de pièces courtes .... ne sera pas dupe par quelques petits changements à une infime fraction de ceux-ci. Non: votre système immunitaire sait immédiatement qu’il s’agit d’un envahisseur qu’il a vu avant, et n’a aucune difficulté que ce soit à y faire face rapidement et sans symptômes. Donc, c’est un scientifiquement invalide ...

... même si les mutations ont changé quelques-unes d’entre elles, la majorité des pièces .... du virus muté sera toujours inchangé et reconnu par le système immunitaire vaccinal ou le système immunitaire infecté par le virus et une réponse rapide et vigoureuse vous protégera toujours. ..

Je dois vous exhorter à faire est de faire un peu de recherche de votre propre pour tester si ce que ... le gouvernement vous dit se marie avec la littérature scientifique d’avant 2020 et les conseils officiels .... ou si ce n’est pas le fait. Si vous trouvez une occasion où ce qu’on vous dit va directement à l’encontre de la science et des conseils d’avant 2020, félicitations! Vous avez découvert que vous êtes induit en erreur et menti à. (« Variantes, Covid », Michael Yeadon, My Thread Reader)

Bien que l’explication de Yeadon soit beaucoup plus longue que celle du Dr Craig, leur point de vue sur la variante semble identique. Enfin, il ya ceci, à partir d’un article de Rosemary Frei à l’Off Guardian:

« Il s’avère que le cas de la contagiosité et de la dangerosité des variantes repose en grande partie sur les effets théoriques d’un seul changement qui découle d’une mutation des gènes du virus. Et, comme je vais le montrer dans cet article, cette affaire est très fragile ....

Les responsables de la santé publique, les politiciens et les grands médias du monde entier ont allumé leurs phares collectifs sur les variantes juste après la publication de trois articles théoriques sur B.1.1.7, une variante originaire du Royaume-Uni. Le premier était un briefing technique de Public Health England publié le 21 décembre ..., le second un article publié le 23 décembre par un groupe de modélisation mathématique à la London School of Hygiene and Tropical Medicine, et le troisième un manuscrit de modélisation théorique publié le 31 décembre par un grand groupe de scientifiques britanniques.

La principale preuve que les trois principaux modèles théoriques citent comme preuve d’un lien plus fort entre la forme N501Y du nouveau coronavirus et la RBD est de seulement trois manuscrits scientifiques, et ceux-ci décrivent des expériences avec le virus chez des souris ou des boîtes de Pétri, pas l’observation de savoir si en fait les variantes sont vraiment plus contagieuses ou plus mortelles ... Aucun des trois documents n’a été vérifié pour vérifier l’exactitude par les observateurs objectifs – un processus appelé « examen par les pairs ». Néanmoins, tous les trois ont été dépeints comme des sciences solides par de nombreux scientifiques, politiciens, responsables de la santé publique et de la presse.

Les auteurs de cet article concluent eux-mêmes que :

ce résultat doit être interprété avec prudence. 

Comme un nombre limité d’échantillons ayant le profil négatif S [c.-à-d. des tests positifs pour deux des trois parties du test PCR, mais pas pour la troisième partie, le gène S] ont été séquencés, nous n’avons pas pu exclure la présence d’autres mutations S associées à ce profil. De plus, nous n’avons pas pu déterminer si la suppression affectait l’amorce ou toute autre région liant les sondes, car leurs coordonnées n’étaient pas disponibles.

C’est un bon pari que des tours de passe-passe similaires sont derrière la nouvelle vague de papiers et de titres mettant l’accent sur le changement d’acides aminés surnommé E484K .... Que les déclarations sur le danger terrible posé par les nouvelles variantes ne sont pas basées sur des données scientifiques solides... Ils semblent viser davantage à effrayer le public en se soumettant à des restrictions plus sévères et plus longues que d’aider à créer des politiques véritablement fondées sur des données probantes.

Alors suivez les règles d’or. Lisez les principales sources d’articles scientifiques. Analysez-les et pensez par vous-même. Ne laissez pas votre raisonnement être balayé par le cycle de nouvelles 24-7, rempli de peur. (« La science fragile derrière les « nouvelles souches mortelles » de Sars-Cov-2« , The Off Guardian)

Ainsi, toute la théorie de la « variante » est basée sur 3 ou 4 articles qui n’ont pas été examinés par les pairs, ne produisent pas de preuves solides de leurs conclusions, et n’ont même pas été vérifiés pour l’exactitude. Les auteurs auraient tout aussi bien pu écrire de la science-fiction et pourtant, les médias et les experts en santé publique le font monter et insistent sur le fait que le danger est réel. Mais est-ce le fait ?

Non, ce n’est pas le cas. La variante n’est que la dernière d’une longue liste de dispositifs générateurs de peur qui sont utilisés pour perpétuer l’état d’urgence, effrayer le public dans la conformité soumise, et contraindre le public à s’injecter un cocktail toxique qui modifie les gènes qui pourraient avoir un impact considérable sur la fertilité, la longévité et la survie elle-même.

Ne vous faites pas emporter par l’hystérie. Les gens qui orchestrent ce canular élaboré, n’ont pas vos meilleurs intérêts à l’esprit. En fait, ils voudront peut-être vous mettre un peu plutôt dans une tombe.

SOURCE :  

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