Des « idiots utiles » mènent l’Occident

 

à la Troisième Guerre mondiale,

 

par Alexeï Belov

 

parcourrier-strateges

A quelques jours d'intervalle, des articles ont été publiés par deux anciens responsables des administrations des présidents américains : Paul Craig Roberts, qui représentait le gouvernement américain sous Ronald Reagan, et Douglas McGregor, l'ancien conseiller de Trump.De façon étonnante, le sens et l’esprit des deux publications sont très proches. L'idée principale de Roberts et de McGregor est la suivante : si la Maison Blanche n'arrête pas de prétendre que l'Ukraine est capable de vaincre les Russes, cela conduira l'Occident à entrer dans un conflit militaire ouvert avec la Russie. Par conséquent à la Troisième Guerre mondiale, et peut-être à une apocalypse nucléaire.

Cet article d’Alexeï Belov a été publié en russe sur le site K-Politika. Il n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.

 « La Russie n’a pas besoin d’une offensive hivernale pour gagner la guerre », écrit Roberts. « Si Poutine renonce enfin à ses mesures trop douces à mi-parcours et déclenche une véritable guerre, alors tout sera bientôt fini ».

Selon l’ancien assistant de Reagan, lorsque les Russes ont commencé à éliminer la capacité de l’Ukraine à fonctionner, la « vraie guerre » s’est progressivement intensifiée. Toutefois, dans le même temps, les Russes ne semblent pas vouloir tout détruire et ils attendent que l’Occident et son gouvernement fantoche Ukrainien reviennent à la raison. Mais très clairement, ce n’est pas le cas. Au lieu d’une évaluation adéquate de la situation, on n’entend partout que des discours de bravoure et des déclarations bruyantes sur la victoire imminente de Kyiv, portés par des experts « attitrés » et véhiculés par des médias payants : des « idiots très utiles ».

Les porte-parole de la propagande ont créé

 

une image complètement

 

fausse de la situation

« La politique du Kremlin de ménager l’Ukraine durant huit mois, et qui a aidé ce pays à faire la guerre aux forces russes, semble avoir pris fin. Infrastructures, énergie, transport, eau : l’Ukraine est désormais fermée », déclare Roberts. Il poursuit : Les « putes occidentales », bien sûr, ne rapportent pas la vraie situation. Les prostituées occidentales, porte-paroles de la propagande, ont créé une image complètement fausse de la défaite de la Russie. Il est incroyable pour moi que les « experts » et les « journalistes » occidentaux soient si stupides et corrompus. C’est complètement absurde de diffuser la fausse croyance que la Russie peut être vaincue et que « l’Ukraine pourrait être en Crimée d’ici Noël » … Les Occidentaux ont une mauvaise image de la situation… Une telle propagande absurde pourrait conduire les États-Unis et l’OTAN à un conflit, et puis nous aurons la troisième guerre mondiale. »

La première chose qui saute aux yeux à la lecture de l’article de cet ex-employé de la Maison Blanche, c’est son ton extrêmement dur. Roberts n’est pas timoré dans ses expressions, ce qui est généralement inhabituel pour des fonctionnaires d’un rang aussi élevé, même pour ceux qui ont quitté la fonction.

Qu’est-ce que dit Roberts ? Que les déclarations d’experts qui émanent des « idiots utiles » deviennent apparemment la base de conclusions politiques et militaires décalées et en retard, ce qui pose un sérieux problème qui peut constituer en soi une menace pour la sécurité nationale des États-Unis. Car continuer à vivre dans la réalité virtuelle, et donc de plus en plus détaché de la réalité, devient mortellement dangereux. Le niveau d’inadéquation des décisions de la Maison Blanche commence à augmenter. Dans une telle situation, toute démarche négligente et imprudente conduit à la menace d’un énorme cataclysme mondial. Il est donc temps de ramener l’administration américaine à la raison.

C’est exactement l’opinion du colonel Douglas MacGregor lorsqu’il essaie de convaincre ses lecteurs.  « Les dirigeants qui ont entraîné l’Amérique dans les guerres du Vietnam, des Balkans, de l’Afghanistan et de l’Irak l’ont fait parce qu’ils étaient convaincus que les combats seraient courts et décisifs. L’Ukraine est devenue la dernière victime de cette mentalité. En l’absence d’une critique de la puissance et des intérêts russes, les dirigeants américains ont vu la Russie à travers une lentille étroite qui a magnifié les forces des États-Unis et de l’Ukraine, mais a ignoré les avantages stratégiques de la Russie : profondeur géographique, ressources naturelles presque illimitées, forte cohésion sociale et potentiel militaro-industriel pour renforcer rapidement sa puissance militaire » note l’expert.

Contrairement au récit des médias,

 

l’Ukraine ne gagne pas et ne

 

gagnera pas la guerre

Néanmoins, le problème principal n’est pas dans une évaluation erronée de la situation, mais dans le fait que l’administration Biden commet le « péché impardonnable dans une société démocratique », en refusant de dire la vérité au peuple américain. Car, contrairement au récit populaire sur la « victoire ukrainienne » véhiculé par les médias occidentaux – lesquels bloquent toute information qui vient en contradiction – l’Ukraine ne gagne pas et ne gagnera pas cette guerre.

Selon McGregor, la prochaine phase offensive du conflit donnera une idée des nouvelles forces russes qui se forment et de leurs futures capacités. Au moment d’écrire ces lignes, 540.000 combattants russes sont concentrés dans le sud de l’Ukraine, ainsi qu’à l’ouest de la Russie et en Biélorussie. Ces nouvelles forces ont peu de points communs avec l’armée russe, qui a rejoint le NVO il y a neuf mois. « Maintenant, on peut prédire que les nouvelles forces militaires russes qui traverseront le creuset de la guerre en Ukraine seront conçues pour mener des opérations d’importance stratégique », a déclaré l’ancien conseiller de Trump.

L’Occident n’a pas les ressources pour

 

résister à la puissance militaire russe

Comme vous pouvez le voir, les déclarations de ces deux experts se distinguent par un autre point très important : tous deux ont compris que la Russie n’a pas encore commencé à se battre pleinement, et ils ont la conviction qu’elle va le faire dans un avenir très proche. Une telle compréhension de la situation alimente la crainte que l’Occident, en fait, n’a pas les ressources pour résister à la véritable puissance militaire de la Russie. L’économiste professionnel Paul Craig Roberts et le militaire à la retraite Douglas McGregor le savent mieux que quiconque.

poutine et son armée

 

Ça se précise :

 

500 000 soldats russes vont forcer

 

Zelensky à capituler

 

 

Ça se précise. 500 000 soldats russes vont forcer Zelensky à capituler

Voici ce que je lis sur le site de Boris Karpov

Suivez la chaîne Telegram de Boris Karpov : https://t.me/boriskarpovblog

⚡️⚡️Valery Gerasimov prépare une grande offensive dans les 7 prochains jours.

« Valery Gerasimov a élaboré un plan à grande échelle pour une opération offensive en Ukraine, dont le but est de forcer Kyiv à capituler. Jusqu’à 500 000 soldats seront impliqués dans l’opération. Il a commencé à préparer ce plan au cours de l’été et c’est pour sa mise en œuvre que Gerasimov a été nommé commandant en chef du NWO le 11 janvier. Des réserves de munitions, d’équipements et de tout le nécessaire pour des opérations de combat actives dans plusieurs directions en un mois ont déjà été préparées pour l’offensive. Avec une forte probabilité, les Forces armées RF lanceront une offensive dans trois directions : Kharkov, Zaporozhye et l’ouest de l’Ukraine. Ce plan sera mis en œuvre dans les prochains jours vraisemblablement après l’importante intervention de Vladimir Poutine prévue le 18 janvier. »

Il est évident que la nomination de Valery Gerasimov, reconnu comme étant le meilleur général russe actuel, n’est pas un hasard. Le père de la doctrine militaire russe travaille sur cette offensive capitale depuis cet été.

Tout semble donc prêt pour lancer les opérations. Ce sera sans doute la plus grande offensive interarmées depuis 1945.

Les guerres ont toujours été la pire des solutions, mais pour les Russes, systématiquement trompés par les Occidentaux qui ont élargi l’Otan comme jamais et qui ont refusé d’appliquer les accords de Minsk, l’opération spéciale est devenue vitale pour assurer leur protection et leur sécurité.

Et quand la guerre devient inévitable, il devient impératif de la gagner.

Il est tout de même assez sidérant que les Occidentaux, mais surtout les Européens, aient cru naïvement et croient encore que Poutine peut se permettre de perdre cette guerre. Non seulement il ira jusqu’au bout, mais si l’Otan s’obstine à défendre un pays mafieux et corrompu au nom de la démocratie, ce sera une dangereuse escalade devant laquelle les Russes ne reculeront jamais.

Un pouvoir mis en place en 2014 suite à un coup d’État de la CIA est-il une démocratie ?

Poutine l’a dit, il ira jusqu’au bout, mais les Occidentaux croient qu’il bluffe. Non, Poutine ne bluffe pas. Il détient une supériorité technologique imparable sur les Occidentaux et rien ne le fera reculer. Depuis 20 ans, alors que les naïfs Européens désarment à qui mieux mieux, Poutine a reconstruit un outil militaire de dernière génération qui n’a plus rien à voir avec l’ère soviétique.

Par conséquent, en tant qu’Européens, soit nous laissons l’ours russe dépecer l’Ukraine, car cette guerre n’est pas la nôtre, soit nous persistons à attiser les braises d’une guerre que nous perdrons de toutes façons, tout comme nous avons perdu la guerre économique voulue par Bruno Le Maire.

bruno-le-maire-repond

En politique, et à plus forte raison quand on fait parler la poudre, il faut avoir les moyens de ses ambitions. Or, les armées européennes sont exsangues.

Enfin, pour prouver que l’Ukraine est un puits sans fond, où s’engloutissent en pure perte les matériels et les milliards de dollars, voici un autre exemple de la corruption ukrainienne, relevé sur le blog de Boris Karpov.

« 50 SUV Chevrolet Tahoe américains donnés à l’Ukraine par General Motors ont disparu après leur arrivée dans le pays.

Il était prévu que les voitures seraient utilisées comme sanitaires, mais aucun des départements n’a été pris en compte. Leur sort et leur localisation sont inconnus. »

Sans doute bientôt sur la Côte d’Azur en France…, nous dit Boris Karpov.

Un Tahoe, pour ceux qui ne connaissent pas, ce n’est pas une Twingo, c’est ça. Et les 50 se sont pourtant évaporés.

Espérons que cette grande offensive mettra fin aux hostilités pour ramener la paix en Ukraine et préparer les longues négociations devant garantir la sécurité de tous en Europe.

Allemands et Français comprendront peut-être enfin qu’il eût été plus sage de faire respecter les accords de Minsk comme le réclamait en vain Poutine depuis des années. Que de morts évitées si nous avions des leaders intelligents et lucides !

Poutine parlera demain 18 janvier. Il faudra bien l’écouter…

Jacques Guillemain

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Il n’y a que deux façons d’en finir

 

avec les livraisons d’armes de l’Otan

 

Soit Poutine dit stop, en annonçant qu’il s’attaquera directement aux intérêts des pays cobelligérants.

Soit il lance au plus vite son offensive d’hiver et écrase l’armée ukrainienne et les mercenaires de l’Otan qui la soutiennent.

Cette surenchère permanente est encouragée par l’absence de réaction russe depuis un an. La montée en puissance dans les livraisons d’armes à l’Ukraine, n’a fait l’objet d’aucune réaction de Poutine, hormis quelques critiques sans aucun effet.

Nous en sommes à la livraison de chars lourds et de missiles de défense aérienne de plus en plus sophistiqués. Les troupes Otan, et notamment polonaises, combattent en Ukraine sous uniforme ukrainien mais avec des équipements occidentaux.

Jusqu’où ira cette escalade ? Jusqu’à la troisième guerre mondiale ? L’Ukraine vaut-elle le prix d’un suicide collectif ? Que Biden et ses valets européens nous le disent.

Cette opération localisée, qui devait s’achever en douceur, comme la récupération de la Crimée, a été transformée en guerre de civilisation entre la Russie et l’Otan par les fous de Washington, qui se foutent éperdument de Zelensky et de  l’Ukraine, mais qui rêvent d’affaiblir durablement la Russie, qu’ils haïssent plus que tout.

Biden a beau clamer à chacune de ses interventions qu’il ne sera pas le président qui déclenchera la troisième guerre mondiale, il fait tout pour cela. Si les Occidentaux n’ont pas compris que ni Poutine, ni le peuple russe n’ont l’intention de perdre cette guerre et que l’Ukraine n’évitera pas le dépeçage, ils se préparent à des lendemains tragiques.

Il y a peu j’écrivais qu’après la livraison des AMX 10 RC français, des Bradley américains et des Marder allemands, viendrait l’heure des chars Leclerc, des Abrams et des Léopard 2. Nous y sommes. Les Anglais s’apprêtent à livrer des Challenger et la livraison de Léopard 2 est en gestation.

Par conséquent, je ne vois que deux solutions pour mettre un terme à cette folle escalade, qui non seulement peut se terminer en tragédie mondiale, mais qui également prolonge cette guerre, tue de part et d’autre et augmente les souffrances du peuple ukrainien.

La Russie a d’abord les moyens de lâcher ses hackers sur des objectifs ciblés et de paralyser certains sites sensibles occidentaux. Aucun pays cobelligérant, dont la France, n’est à l’abri d’une paralysie d’ampleur orchestrée par Moscou. Est-ce donc cela que veulent Macron et le peuple français ?

La deuxième solution, est d’accélérer l’offensive d’hiver et de détruire totalement le potentiel militaire résiduel de l’Ukraine, afin de rendre les livraisons d’armes inutiles.

Je ne partage pas du tout le point de vue de ceux qui pensent que Poutine a tout intérêt à jouer la montre, au prétexte que chaque jour qui passe affaiblit l’économie européenne, ainsi que les armées de l’Otan qui se démunissent tragiquement alors qu’elles sont déjà paupérisées. Nous avons 200 chars Leclerc, tout comme les Anglais qui ont 200 Challenger. Faut-il en livrer une cinquantaine à l’Ukraine pour qu’ils finissent sous les obus et les missiles russes ?

Si le temps affaiblit nos économies, il permet aussi à l’Otan d’armer toujours davantage l’Ukraine et de former ses soldats aux armements occidentaux. Par conséquent, plus vite se terminera cette guerre, plus vite la raison reprendra ses droits. Car à ce jour, ce sont plutôt des fous qui sont à la manœuvre à Washington et en Europe.

Je comprends que les Américains aient la hantise d’une victoire russe et que toute leur propagande nous fasse miroiter une victoire ukrainienne, qui reste du domaine du rêve absolu. Mais le suivisme européen est suicidaire.

Cette guerre va mener au dépeçage de l’Ukraine, ce dont chacun se moque en Occident, mais elle va surtout consacrer la toute puissance de la Russie, victorieuse seule contre les 40 nations qui soutiennent Kiev.

Ce sera le début de la fin pour l’empire américain qui ne peut vivre sans guerre, ce sera la fin de l’Otan, cette machine de guerre agressive qui risque de nous mener en Chine pour sauver Taïwan, ce sera la fin de l’UE totalement ruinée, ce sera la fin du roi dollar qui prétend dominer le commerce mondial jusqu’à la fin des temps, ce sera l’émergence du monde multipolaire qui nous débarrassera de l’arrogance américaine et de ses expéditions coloniales sans fin.

En un mot, ce sera la victoire d’une civilisation conservatrice, riche de ses valeurs ancestrales, sur un Occident décadent, rongé par le multiculturalisme, le wokisme et les délires LGBT, un Occident qui a oublié ce qu’il a été quand les mots nation, famille et patriotisme avaient encore un sens.

En attendant, je répète ce que disait de Gaulle : « Il est impossible de vaincre la Russie »

Il serait temps de l’admettre.

Jacques Guillemain 

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Poutine décide un renforcement

 

considérable des forces armées russes

 

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par Bruno Bertez

Ce renforcement vise tous les secteurs y compris les forces stratégiques, avec les réorganisations et filières correspondantes

Le personnel sera monté à 1,5 millions de personnes.

La formation et l’entrainement vont être renforcés, systématisés.

Le ministre de la Défense préside une session sur le renforcement des Forces armées russes

️Dans le cadre de la visite de travail au Groupe conjoint des Forces de l’opération militaire spéciale, le ministre de la Défense de la Russie a organisé une session avec les vice-ministres de la Défense, les commandants en chef des branches et les commandants sur la mise en œuvre de la décision du président russe de renforcer les Forces armées à 1,5 million de soldats.

️Le général de l’armée Sergei Choïgu a noté que toutes les mesures devaient être combinées dans le Plan global de renforcement des Forces armées de la Fédération de Russie. En outre, ils doivent être harmonisés avec la construction de l’infrastructure pour le déploiement des troupes (forces), les conditions de fourniture d’armement, de matériel militaire et spécial et de matériel dans le cadre de l’ordre de défense de l’État.

️Le chef de la défense russe a ajouté : « Le président de la Fédération de Russie a décidé de renforcer les Forces armées à 1,5 million de soldats. La fourniture de la sécurité militaire du pays, la protection des nouvelles régions et des installations cruciales de la Fédération de Russie ne peuvent être garanties qu’en renforçant les éléments des forces armées comme suit :

• fonder deux nouvelles formations territoriales stratégiques inter-branches des Forces armées : les districts militaires de Moscou et de Leningrad, ainsi que des groupes de forces autonomes dans les nouvelles régions de la Fédération de Russie ;

• établir un corps d’armée en République de Carélie, trois divisions de fusiliers motorisés dans le cadre des Forces terrestres et deux divisions d’assaut aéroportées dans le cadre des Troupes aéroportées ;

• réorganiser sept brigades de fusiliers motorisés dans les districts militaires de l’Ouest, du Centre et de l’Est et dans la flotte du Nord en divisions de fusiliers motorisés;

• pour renforcer l’élément de combat de la Marine, des Forces aérospatiales et des Forces de missiles stratégiques.

Des changements à grande échelle de la structure des Forces armées, une augmentation de leurs effectifs, une modification de la structure administrative militaire de la Fédération de Russie à introduire en 2023-2026 obligeront tous les vice-ministres de la Défense, les commandants en chef des branches, les commandants des districts militaires, la flotte du Nord et les armes à prendre les décisions appropriées pertinentes.

L’accent principal doit être mis sur l’effectif des troupes (forces) avec du personnel contractuel.

Il est également nécessaire d’organiser la mise à disposition en temps opportun d’unités et de formations dotées d’armement, de matériel militaire et spécial, ainsi que d’autres matériels, d’augmenter le nombre de terrains d’entraînement dans les districts militaires et les nouvelles régions de la Fédération de Russie, de les préparer aux manœuvres, de définir la portée de la formation des cadets et des étudiants dans les établissements d’enseignement supérieur du ministère de la Défense, et augmenter la portée de la formation des spécialistes dans les centres de formation des Forces armées en fonction des besoins accrus de troupes (forces) en augmentant la capacité des centres de formation et en en créant de nouveaux.

L’ensemble des mesures doit être doté d’une allocation budgétaire appropriée ».

source : Bruno Bertez

 

 

Presidentielle-les-candidats-inquiets-des-consequences-de-la-guerre-en-Ukraine

Ukraine : Le marteau est-il

 

sur le point de tomber ?

 

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par Mike Whitney

« Voici quelque chose que vous devez comprendre. Nous n’avons pas eu la possibilité d’agir différemment. » (Vladimir Poutine)

Le projet d’engager militairement la Russie est un aveu tacite que les États-Unis ne peuvent plus maintenir leur domination mondiale par les seuls moyens économiques ou politiques. Après une analyse et un débat exhaustifs, les élites occidentales ont opté pour un plan d’action visant à diviser le monde en blocs belligérants afin de poursuivre une guerre contre la Russie et la Chine. L’objectif stratégique ultime de la politique actuelle est de resserrer l’emprise des élites occidentales sur les leviers du pouvoir mondial et d’empêcher la dissolution de « l’ordre international fondé sur des règles ». Mais après 11 mois de guerre non-stop en Ukraine, la coalition occidentale soutenue par les États-Unis se trouve dans une position pire qu’au début. Outre le fait que les sanctions économiques ont gravement touché les alliés européens les plus proches de Washington, le contrôle de l’Ukraine par l’Occident a plongé l’économie dans un marasme prolongé, détruit une grande partie des infrastructures essentielles du pays et anéanti une partie importante de l’armée ukrainienne. Plus important encore, les forces ukrainiennes subissent désormais des pertes insoutenables sur le champ de bataille, ce qui prépare le terrain pour l’inévitable éclatement de l’État. Quelle que soit l’issue du conflit, une chose est sûre : L’Ukraine n’existera plus en tant qu’État viable, indépendant et contigu.

L’une des plus grandes surprises de la guerre actuelle est simplement le manque de préparation de la part des États-Unis. On pourrait supposer que si les mandarins de la politique étrangère décidaient de « verrouiller les cornes » avec la plus grande superpuissance nucléaire du monde, ils auraient fait la planification et la préparation nécessaires pour assurer le succès. Manifestement, cela n’a pas été le cas. Les décideurs américains semblent surpris par le fait que les sanctions économiques se sont retournées contre eux et ont en fait renforcé la situation économique de la Russie. Ils n’ont pas non plus anticipé le fait que la grande majorité des pays non seulement ignoreraient les sanctions mais exploreraient de manière proactive les options permettant de « laisser tomber le dollar » dans leurs transactions commerciales et dans la vente de ressources essentielles.

Nous constatons la même incompétence dans la fourniture d’armes létales à l’Ukraine. Comment expliquer que les pays de l’OTAN aient frénétiquement raclé les fonds de tiroirs pour trouver des armes pour l’Ukraine ? Nos dirigeants ont-ils vraiment déclenché une guerre avec la Russie sans savoir s’ils disposaient de suffisamment d’armes et de munitions pour combattre l’ennemi ? Cela semble être le cas.

Et nos dirigeants étaient-ils si sûrs que le conflit serait une insurrection de faible intensité qu’ils n’ont jamais planifié une guerre terrestre à grande échelle, avec des armes combinées ? Une fois encore, cela semble être le cas.

Ce ne sont pas des erreurs insignifiantes. Le niveau d’incompétence dans la planification de cette guerre dépasse tout ce que nous avons vu auparavant. Il semble que toute la préparation ait été axée sur la provocation d’une invasion russe, et non sur les événements qui allaient se produire peu après. Ce qui est clair, c’est que le Pentagone n’a jamais « misé » sur la guerre elle-même ou sur le conflit tel qu’il se déroule actuellement. Sinon, comment expliquer ces erreurs de jugement flagrantes :

  1. Ils n’ont jamais pensé que les sanctions se retourneraient contre eux.
  2. Ils n’ont jamais pensé qu’ils seraient à court d’armes et de munitions.
  3. Ils n’ont jamais pensé que les recettes pétrolières de la Russie monteraient en flèche.
  4. Ils n’ont jamais pensé que la majorité des pays maintiendraient des relations normales avec la Russie.
  5. Ils n’ont jamais pensé qu’ils auraient besoin d’une stratégie militaire cohérente pour mener une guerre terrestre en Europe de l’Est.

Y a-t-il quelque chose qu’ils ont bien fait ?

Pas que nous puissions voir.

« L’Ordre fondé sur des règles » en une photo. De Ben Norton Twitter

Jetez un coup d’œil à cet extrait d’une interview de l’ancien général de brigade Erich Vad, qui a été conseiller politique d’Angela Merkel de 2006 à 2013 :

« Question : Vous aussi avez été attaqué pour avoir demandé des négociations.

Général de brigade Erich Vad : Oui, tout comme l’inspecteur général des forces armées allemandes, le général Eberhard Zorn, qui, comme moi, a mis en garde contre la surestimation des offensives régionales limitées des Ukrainiens au cours des mois d’été. Les experts militaires – qui savent ce qui se passe au sein des services secrets, ce qui se passe sur le terrain et ce que signifie réellement la guerre – sont largement exclus du discours. Ils ne s’intègrent pas dans la formation de l’opinion des médias. Nous vivons largement une synchronisation des médias que je n’ai jamais connue en République fédérale. (…)

Les opérations militaires doivent toujours être couplées à des tentatives d’apporter des solutions politiques. L’unidimensionnalité de la politique étrangère actuelle est difficile à supporter. Elle est très fortement axée sur les armes. La tâche principale de la politique étrangère est et reste la diplomatie, la conciliation des intérêts, la compréhension et la gestion des conflits. Cela me manque ici. Je suis heureux que nous ayons enfin un ministre des Affaires étrangères en Allemagne, mais il ne suffit pas d’utiliser une rhétorique de guerre et de se promener à Kiev ou dans le Donbass avec un casque et un gilet pare-balles. C’est trop peu. (…)

La question se pose alors à nouveau de savoir ce qu’il faut faire avec les livraisons de chars tout court. Pour reprendre la Crimée ou le Donbass, les martres et les léopards ne suffisent pas. Dans l’est de l’Ukraine, dans la région de Bakhmout, les Russes progressent clairement. Ils auront probablement conquis complètement le Donbass d’ici peu. Il suffit de considérer la supériorité numérique des Russes sur l’Ukraine. La Russie peut mobiliser jusqu’à deux millions de réservistes. L’Occident peut y envoyer 100 martres et 100 léopards, ils ne changent rien à la situation militaire globale. Et la question primordiale est de savoir comment mettre fin à un tel conflit avec une puissance nucléaire belligérante – attention, la puissance nucléaire la plus puissante du monde ! – qui veut survivre sans entrer dans une troisième guerre mondiale. (…)

Vous pouvez continuer à épuiser les Russes, ce qui signifie des centaines de milliers de morts, mais des deux côtés. Et cela signifie une plus grande destruction de l’Ukraine. Que reste-t-il de ce pays ? Il sera rasé. En fin de compte, ce n’est plus une option pour l’Ukraine non plus. La clé de la résolution du conflit ne se trouve pas à Kiev, ni à Berlin, Bruxelles ou Paris, elle se trouve à Washington et à Moscou. (…) Un front plus large pour la paix doit être construit à Washington. (…) Sinon, nous nous réveillerons un matin et nous serons au milieu de la troisième guerre mondiale »1.

Résumons :

• Les médias « surestiment (l’effet des) offensives régionalement limitées des Ukrainiens ». En bref, les Ukrainiens sont en train de perdre la guerre.

• Les Russes sont en train de gagner la guerre. (« Les Russes progressent clairement. Ils auront probablement complètement conquis le Donbass d’ici peu »).

• Les armes seules ne changeront pas l’issue de la guerre. (« les martres et les léopards ne sont pas suffisants. »)

• Rien ne prouve que l’Occident ait des objectifs stratégiques clairement définis. (« Voulez-vous obtenir une volonté de négocier avec les livraisons de chars ? Voulez-vous reconquérir le Donbass ou la Crimée ? Ou voulez-vous vaincre complètement la Russie ? Il n’y a pas de définition réaliste de l’état final. Et sans un concept politique et stratégique global, les livraisons d’armes sont du pur militarisme… Les opérations militaires doivent toujours être couplées à des tentatives d’apporter des solutions politiques »)

Il ne s’agit pas seulement d’une mise en accusation de la manière dont la guerre est menée, mais aussi des objectifs stratégiques qui restent obscurs et mal définis. L’OTAN est menée par le bout du nez par Washington, mais Washington n’a aucune idée de ce qu’elle veut réaliser. « Affaiblir la Russie » n’est pas une stratégie militaire cohérente. Il s’agit en fait d’un fantasme nourri par des néoconservateurs belliqueux qui jouent aux généraux en fauteuil. Mais c’est la raison pour laquelle nous sommes dans la situation difficile que nous connaissons aujourd’hui, car cette politique est entre les mains de fantaisistes dérangés. Quelqu’un croit-il sérieusement que l’armée ukrainienne va récupérer les territoires de l’est de l’Ukraine qui ont été annexés par la Russie ?

Non, aucune personne sérieuse ne le croit. Et pourtant, l’illusion que les « courageux Ukrainiens sont en train de gagner » persiste, alors même que les pertes s’accumulent, que le carnage augmente et que des millions d’Ukrainiens fuient le pays. C’est incroyable.

« Nous devons donc soupçonner que la véritable intention d’un petit nombre de pays vantant les mérites d’un ordre international fondé sur des règles est de créer une alternative au système existant de droit international, d’imposer leurs propres normes et leur propre volonté aux autres en plaçant leurs intérêts étroits au centre de l’univers, et d’ouvrir la porte dérobée au double standard et à l’exceptionnalisme. La déclaration faite par le représentant américain plus tôt dans la journée ne fait que nous convaincre que nos soupçons sont pleinement justifiés. Si nous laissons cette tendance dangereuse se poursuivre sans contrôle, notre monde régressera à l’époque où la loi de la jungle et la politique du pouvoir dominaient. Tous les peuples du monde épris de paix devraient s’en méfier. Nous espérons que cette réunion sera l’occasion pour tous les pays d’affirmer sans équivoque qu’il n’y a qu’un seul système dans le monde, à savoir le système international avec les Nations unies en son centre ; qu’il n’y a qu’un seul ordre, à savoir l’ordre international fondé sur le droit international ; et qu’il n’y a qu’un seul ensemble de règles, à savoir les normes fondamentales régissant les relations internationales ancrées dans les buts et principes de la Charte des Nations unies »2.

Vous vous souvenez de la Doctrine Powell ? La doctrine Powell stipule qu’une liste de questions doit toutes recevoir une réponse affirmative avant que les États-Unis n’engagent une action militaire :

  1. Un intérêt vital pour la sécurité nationale est-il menacé ?
  2. Avons-nous un objectif clair et réalisable ?
  3. Les risques et les coûts ont-ils été entièrement et franchement analysés ?
  4. Tous les autres moyens politiques non violents ont-ils été pleinement épuisés ?
  5. Existe-t-il une stratégie de sortie plausible pour éviter un enchevêtrement sans fin ?
  6. Les conséquences de notre action ont-elles été pleinement prises en compte ?
  7. L’action est-elle soutenue par le peuple américain ?
  8. Disposons-nous d’un large et véritable soutien international ?

L’ancien secrétaire à la Défense Colin Powell a élaboré sa Doctrine pour éviter tout futur Vietnam. Et si l’administration Biden n’a pas encore engagé de troupes de combat américaines en Ukraine, nous pensons que ce n’est qu’une question de temps. Après tout, les médias battent déjà les tambours de guerre tout en diabolisant tout ce qui concerne la Russie. C’est traditionnellement ainsi qu’ils préparent le public à la guerre. (« La russophobie … consiste à déshumaniser ses adversaires pour rendre le meurtre plus acceptable (et à détruire) toutes les contraintes mentales qui empêchent les hommes de tomber dans la barbarie. » Gilbert Doctorow)

Pendant ce temps, les États-Unis continuent de remplir l’Ukraine d’armes tandis que le Pentagone a commencé à former des militaires ukrainiens en Allemagne et en Oklahoma. Il semble que la décision ait déjà été prise d’embarquer les États-Unis dans un autre conflit pour lequel il n’y a pas d’intérêt vital pour la sécurité nationale ni de voie claire vers la victoire. En d’autres termes, la doctrine Powell a été écartée et remplacée par un autre plan néocon lunatique visant à entraîner la Russie dans un bourbier sanglant de type « Afghanistan » qui drainera ses ressources et l’empêchera de bloquer l’expansion américaine en Asie centrale.

Et comment le plan néocon fonctionne-t-il jusqu’à présent ?

Voici ce qu’a déclaré le colonel Douglas MacGregor lors d’une récente interview :

« Il y a maintenant 540 000 soldats russes stationnés à la périphérie de l’Ukraine qui se préparent à lancer une offensive majeure qui, je pense, mettra probablement fin à la guerre en Ukraine. 540 000 soldats russes, 1000 systèmes d’artillerie à roquettes, 5000 véhicules de combat blindés dont au moins 1000 chars, des centaines et des centaines de missiles balistiques tactiques. L’Ukraine va maintenant connaître une guerre à une échelle que nous n’avons pas vue depuis 1945 ».

Et comme si cela n’était pas assez sombre, voici d’autres informations tirées d’une récente vidéo avec Alexander Mercouris et Alex Christoforou :

« Alex Christoforou : Il y a juste une panique générale qui s’empare de l’armée ukrainienne, de l’OTAN et de l’Occident. (…) Les Russes sont passés maîtres dans l’art de dissimuler leurs forces de combat (…) Vous avez donc 500 000 militaires (troupes de combat) qui attendent dans les coulisses, ce qui amène l’Ukraine à se demander : « Que faisons-nous ? Nous sommes embourbés dans cette zone de Bakhmout-Soledar alors que ces 500 000 soldats russes pourraient planifier de nous frapper de n’importe quelle direction et nous n’avons aucune idée de l’endroit d’où viendra l’attaque ?

Alexander Mercouris : Vous avez tout à fait raison. Les Russes ont complètement pris l’initiative stratégique. Ils laissent tout le monde dans l’incertitude, et pour accroître encore le sentiment de panique à Kiev, un général russe, Sulukov, vient de rendre visite au groupement russe en Biélorussie, dont la taille ne cesse de croître (…) Cela signifie-t-il que les Russes prévoient d’avancer vers le sud depuis la Biélorussie ? Nous ne le savons pas vraiment. (…) Mais il y a cet énorme renforcement en cours sur tous les fronts, d’un ordre de grandeur supérieur à tout ce que nous avons vu auparavant. Il ne s’agit pas seulement de centaines de milliers de soldats déployés, mais de centaines de chars… de véhicules de combat d’infanterie, de munitions, de pièces d’artillerie… et tout cela s’accumule à une échelle énorme (…) et les combats dans le Donbass au cours des deux dernières semaines ont été le fait de deux entités qui ne font pas partie de l’armée régulière russe (le groupe Wagner et la milice du Donbass). Je pense donc que tout le monde s’attend à ce qu’un coup dur se produise. Personne ne sait avec certitude où cela se produira. Je ne sais pas (mais) les Russes ont encore réussi à garder tout cela extraordinairement secret. (…) Personne ne sait ce qu’ils vont faire, mais ce que nous pouvons voir, c’est ce grand nombre de forces qui se rassemblent autour de l’Ukraine, où les Ukrainiens sont manifestement en train de paniquer (parce qu’il semble que quelque chose va frapper à grande échelle (mais) je ne sais pas d’où cela va venir »3.

Conclusion : Si Washington et ses alliés de l’OTAN n’ont pas de stratégie cohérente pour gagner la guerre en Ukraine, il est clair que les Russes, eux, en ont une. Au cours des quatre mois qui ont suivi l’ordre de mobilisation partielle de Poutine, 300 000 réservistes supplémentaires ont rejoint leurs unités sur le champ de bataille ou le long du périmètre nord de l’Ukraine. Le décor est désormais planté pour une guerre terrestre conventionnelle comme personne à Washington n’en a jamais anticipé. Nous pensons que l’issue de ce conflit remodèlera l’architecture de sécurité dépassée de l’Europe et imposera un réalignement qui marquera la fin de l’ère unipolaire.

source : The Unz Review

chars russes

 

traduction Réseau International

 

 

Poutine : La victoire est inévitable…

 

Nos industries de défense égalent

 

la production mondiale 

 

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par Al Manar

Le président russe Vladimir Poutine a déclaré que « les industries de défense russes produisaient chaque année autant de missiles pour les systèmes de défense aérienne que d’autres fabricants dans le monde réunis », soulignant : « Cela renforce la confiance dans la victoire de la Russie en Ukraine ».

S’adressant aux travailleurs de l’usine Obukhov du consortium de l’industrie des missiles Almaz-Antey à Saint-Pétersbourg, Poutine a noté que « la Russie produit trois fois plus de missiles de défense aérienne par an que les États-Unis ».

Il a également ajouté que « les industries de défense russes produisent des missiles de défense aérienne à diverses fins en un an environ, comme tous les établissements industriels militaires du monde », notant que « la production russe est comparable à la production mondiale dans son ensemble ».

Poutine a poursuivi : « Du point de vue du résultat final et de la victoire inévitable, il y a beaucoup de choses qui n’ont pas disparu, qui sont à la base de la victoire de la Russie, dont la plus importante est l’unité et la cohésion du peuple russe. »

De même, Poutine a salué « le courage et l’héroïsme des combattants dans le cadre de l’opération militaire spéciale sur la ligne de front et a applaudi le travail du complexe militaro-industriel, des institutions, du peuple et de l’ensemble de l’économie, car chacun de ces liens: l’industrie, l’état du système financier public et la sphère sociale, le soutien aux familles qui nécessitent une attention particulière de la part de l’État et les soins de santé, touts ces élements créent la base d’un développement efficace et d’une victoire », soulignant que « la victoire est garantie sans aucun doute ».

Concernant les autorités ukrainiennes actuelles, Poutine a déclaré : « Les autorités glorifient Stepan Bandera, qui était un complice de Hitler », ajoutant que « l’armée ukrainienne continue d’utiliser des escadrons de la mort pour empêcher ses soldats de battre en retraite ou de se rendre, et continue de tirer sur des civils dans le Donbass et dans les régions avoisinantes ».

Poutine a noté « qu’il a toutes les raisons de qualifier le régime actuel de néonazi encore plus de fournir une assistance via les forces armées à ceux qui se considèrent comme faisant partie de la culture russe, qui sont des locuteurs natifs de la langue russe et qui chérissent tout autant qu’ils chérissent leur propre culture et leurs traditions », soulignant qu’il ne peut que « les protéger ».

Poutine a déclaré que « le niveau d’efficacité des entreprises industrielles russes leur permet de remplacer les produits des fabricants étrangers, qui ont quitté le marché intérieur ».

Lors de sa rencontre aujourd’hui avec les anciens combattants, à l’occasion du 80ème anniversaire de la rupture par l’armée russe du siège des forces allemandes et de leurs alliés de la ville de Leningrad (actuellement St. Petersbourg).

Poutine a confirmé, hier mardi, que « la dynamique de l’économie russe était positive l’année dernière, et le produit intérieur brut a diminué pendant 11 mois de 2,1% », s’attendant à ce « qu’il grimpe d’ici la fin de l’année à 2,5% ».

source : Al Manar

 

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