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24 janvier 2024

LE MONDE AGRICOLE FRANCAIS ET EUROPEEN MANIFESTE SA COLERE DANS LA RUE OU TOUT CELA FINIRA-T-IL ?

Aux Pays-Bas, il y avait eu des grosses manifestations d’agriculteurs. Actuellement, en Allemagne la profession qui nourrit les peuples est également dans les rues et les blocages sont nombreux.

Pendant ce temps à Davos, les conférences s’enchaînent en expliquant doctement le bilan carbone effroyable de l’agriculture et de l’élevage. Il est évident que lorsque l’on aura détruit le secteur agricole, on tentera de nourrir les gens avec de la poudre de cafards et de la viande de synthèse issues de grosses usines appartenant à quelques immenses industries agroalimentaires. Nous aurons droit à notre ration quotidienne d’horreur alimentaire qui nous sera vendue à prix d’or et qui sera un support à marge, à bénéfices.

Il y a quelques jours, la FNSEA était traitée de vendue par quelques agriculteurs sur la place du Capitole à Toulouse.

Les syndicats servent effectivement de manière générale à encadrer le mécontentement. On sort les gueux. On les fait marcher quelques samedis d’affilés, puis une fois que tout le monde s’est défoulé les syndicats expliquent qu’il faut rentrer à la maison après avoir obtenu deux concessions symboliques qui seront supprimées dans tous les cas à la réforme suivante.

Et le cirque recommence.

Quand c’est très grave, il y a un « grenelle » ou des « grands débats ». Quand la France est au bord de la révolution, on sort les « cahiers de doléances » et surtout les flash-ball.

Et le cirque recommence.

Avoir une agriculture forte est la base de la souveraineté alimentaire d’une nation. Nourrir sa population est une condition de base de la stabilité politique et surtout, une nécessité sociale. Les gamelles doivent être pleines. Les ventres ne doivent pas crier famine.

 

Là où les choses se gâtent un peu pour le gouvernement du gamin Attal, c’est que les blocages, là, ont lieu hors syndicats.

Les mouvements spontanés ne sont jamais bons, car ils ne sont pas aimablement encadrés par les syndicats, qui eux, profitent également du système avec quelques « plaçous » bien confortables et des centrales syndicales qui sont toujours renflouées miraculeusement.

Charles SANNAT

 

 

Colère des agriculteurs :
le projet de loi qui devait
être présenté mercredi est
reporté "de quelques
semaines", annonce
le ministre Marc Fesneau

 

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Cette annonce survient dans un contexte de mobilisation des agriculteurs, qui dénoncent notamment le trop grand nombre de normes.
Article rédigé parfranceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié le 21/01/2024 16:11Mis à jour le 21/01/2024 16:19
Temps de lecture : 1 min
Le ministre de l'Agriculture, Marc Fesneau, dans une exploitation agricole, à Massay (Cher), le 20 janvier 2024. (PASCAL LACHENAUD / AFP)
Le ministre de l'Agriculture, Marc Fesneau, dans une exploitation agricole, à Massay (Cher), le 20 janvier 2024. (PASCAL LACHENAUD / AFP)

Le ministre de l'Agriculture assure "être au côté des agriculteurs." Marc Fesneau a annoncé, dimanche 21 janvier, le report de "quelques semaines" du projet de loi sur l'installation de nouveaux agriculteurs, qui devait être présenté mercredi en Conseil des ministres. Le texte va être complété d'un volet "simplification", a-t-il précisé, lors de l'émission "Le Grand Jury" RTL/Paris Première/M6/Le Figaro. Cette annonce survient dans un contexte de colère des agriculteurs, qui dénoncent notamment le trop grand nombre de normes. 

"Le projet de loi devait être présenté la semaine prochaine. Pour adjoindre quelques mesures réglementaires – il y a quand même des sujets juridiques qu'il faut qu'on pose –, donnons-nous quelques semaines", a-t-il déclaré, au lendemain d'un déplacement auprès d'agriculteurs dans le Cher. Il avait déclaré son intention de s'attaquer aux "normes", pour les rendre "plus lisibles, plus simples". 

 

 

« L’agriculture urbaine, forte émettrice de CO2

On l’imagine vertueuse et utile aux métropoles. Mais d’après une étude internationale menée par l’université du Michigan, publiée le 22 janvier dans Nature Cities, l’agriculture urbaine émettrait plus de CO2 que l’agriculture conventionnelle. Les chercheurs ont calculé les émissions de gaz à effet de serre liées aux matériaux et aux activités de l’exploitation pendant toute sa durée de vie. Résultat : les fruits et légumes cultivés dans les soixante-treize fermes et jardins urbains étudiés au travers de cinq pays ont une empreinte carbone en moyenne six fois supérieure à l’agriculture conventionnelle (0,42 kilogramme d’équivalent dioxyde de carbone par portion, contre 0,07 kg).

Pour Benjamin Goldstein, coauteur de l’étude, cette différence s’expliquerait par « les matériaux utilisés pour construire les fermes urbaines (telles que les plateformes surélevées dans lesquelles les aliments sont cultivés, les allées entre les parcelles) ou les fournitures (compost, engrais, tissus anti-mauvaises herbes, essence pour les machines). Tous ces équipements émettent du CO2, d’autant plus qu’ils sont renouvelés régulièrement, les projets urbains étant souvent de courte durée. De son côté, l’agriculture intensive — à grand renfort d’engrais et de pesticides — produit beaucoup : ramené au kilo de nourriture produit, l’impact carbone de ces fermes est ainsi moindre que dans les fermes urbaines ». Une analyse qui n’enlève rien aux autres impacts nocifs de l’agriculture intensive, parfois moins évidents, tels que la destruction d’habitats naturels ou l’appauvrissement des terres. »

Ce que montre cette étude dont parle cet article est simple.

En déplaçant la production alimentaire des champs à l’usine urbaine, nous ne polluerons pas moins.

Nous changerons la chaîne de valeur.

Nous augmenterons les profits des multinationales de l’agro-business au détriment des paysans qui disparaitrons, et de la qualité des produits que nous mangerons.

L’agriculture urbaine est une mauvaise idée, si elle va vers ce que l’on appelle les fermes urbaines.

 

Sur ces images vous voyez la plus grosse ferme industrielle et verticale d’Europe en Italie près de Milan qui vient de partir en fumée.

Tout un symbole.

Charles SANNAT

 

GEnmyUPXsAEuRJa

Face à BFMTV, j’alerte sur

la disparition programmée

de 100 000 agriculteurs en France !

 

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Chère amie, cher ami,

J’étais, avec Nicolas Bay, aux côtés des agriculteurs en colère qui manifestaient devant le Parlement européen, à l’appel du syndicat agricole de la Coordination Rurale.

J’étais interrogée par BFMTV sur le Pacte vert, ce tsunami réglementaire que prépare la Commission européenne d’Ursula Von Der Leyen et de ses alliés du PPE-LR, de Renaissance, des écologistes, et qui organise la disparition programmée de près de 100 000 agriculteurs dans les 10 prochaines années !

La France rurale, la France des paysans, c’est la France que j’aime, c’est la France qui ne vit pas de l’assistanat, qui se lève tous les matins, qui ne demande rien à personne, qui est payée une misère alors qu’elle nous nourrit et incarne le terroir français.

C’est la France que la gauche et les élites parisiennes détestent et méprisent.

Qui d’autres pour la défendre à part nous ?

Le 9 juin prochain, c’est aussi à Bruxelles que la bataille pour sauver l’agriculture française se jouera !

Regardez cet entretien en cliquant ici ou sur l'aperçu ci-dessous :

Commentez et surtout partagez la vidéo !

Vive la Reconquête !

Marion Maréchal 

 

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Soutien à nos agriculteurs
par Gérard HARDY
Vice-Président de
Place d'ARMES
 

téléchargement

Les souffrances du monde agricole français s'invitent dans l'actualité. A l'instar de leurs voisins néerlandais et allemands, nos agriculteurs manifestent leur colère à travers le pays, rappelant le mépris dont ils font l'objet depuis des décennies par une large partie de la classe politique plus soucieuse de pérenniser ses mandats et ses privilèges que de soutenir concrètement la ruralité et la paysannerie française poussée au suicide et à la famine.

Les raisons de cette "jacquerie" sont connues de tous, poids des normes européennes, concurrence déloyale organisée et entretenue par les choix de nos dirigeants collabos de la soumission à l'UE, volonté de vivre de son travail plutôt que des aides de la Politique Agricole Commune, etc...
Ce qui est notable aujourd'hui, c'est de voir le monde politique français, de droite comme de gauche, pourtant coupable de tous les abandons, assurer son soutien aux agriculteurs après les avoir trahis et soumis aux pouvoirs supranationaux. Les mêmes politiques qui ont menés à ces dramatiques situations viennent désormais, timidement, témoigner que la colère est légitime, mais chacun sait qu'ils ne remettront pas en cause les institutions européennes qu'ils chérissent plus que tout. Il est tout aussi absurde de vouloir défendre nos paysans sans les libérer de Bruxelles et des traités internationaux, qu' il est ubuesque de se plaindre de l'immigration sans vouloir reprendre le contrôle de nos frontières.
Au-delà de la défense de notre souveraineté, le monde militaire, lui, a toujours été du côté de ceux qui travaillent notre terre, nourrissent notre peuple, façonnent et entretiennent nos paysages et la vie rurale en général. Militaires et paysans partagent l'amour de leur terre et l'envie de la défendre, l'enracinement sans lequel on n'a pas d'avenir, le respect des traditions et de l'héritage. Le général Bugeaud, fondateur de la doctrine coloniale de la France associait "l'épée et la charrue" comme les vecteurs essentiels du renforcement de l'empire.
Place d'Armes apporte son soutien sincère et entier aux agriculteurs et au monde rural. Que la voix de cette juste colère soit entendue et mette en lumière l'impérieuse nécessité de reprendre en main notre souveraineté.

Gérard HARDY

Vice-président de Place d'Armes

 

Gerard HARDY VICE PRESIDENT PLZACE DARME

 

 

 

 

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Hier soir, j’assistais à l’AG des agriculteurs en colère (et pas en grève) devant la sous-Préfecture de ma petite ville de Normandie. Il y avait là les responsables locaux des principaux syndicats d’agriculteurs de notre secteur et ils ont décidé la veille, des actions à mener le lendemain.

Pour le moment les syndicats restent relativement écoutés dans leurs appels au calme, et même si la colère est forte, les agriculteurs ne font pas n’importe quoi et signalent aussi leurs manifestations aux gendarmes pour éviter les drames.

Ce que je voulais partager avec vous c’est la cause de leur colère.

Une colère normative.

Une colère administrative.

Cette colère, c’est celle de tous ceux, qui, dans leur vie, veulent faire quelque chose.

Quoi que vous vouliez faire, ce pays est devenu un enfer sur terre.

Il faut des permis, des autorisations, des dossiers, des validations, des formulaires, des accords, des refus, des dispenses, des dérogations aux obligations intenables et des temps interminables à remplir des documents pour satisfaire l’appétit insatiable d’une administration devenue totalement folle et hors de contrôle.

Des normes devenues un supplice quotidien pour tous

Nos technocrates, de Paris à Bruxelles, de Berlin à Madrid, ont créé un monde imaginaire parfait mais qui ne fonctionne plus. Nous allons y revenir pour comprendre ce qu’il se passe et qui n’est pas que financier, et mes amis agriculteurs normands expliquent parfaitement bien en image et en dessin.

Hier, ils ont apporté de la terre devant la Sous-Préfecture, appelée désormais « Maison de l’Etat » pour y planter une haie symbolique.

  

Comme vous pouvez le voir, en plus d’être surveillée par les satellites de la Commission Européenne tous les trois jours en attendant les survols de drones de l’administration fiscale ou de la police de l’environnement, chaque tâche autrefois simple est devenue compliquée comme le fait de tailler une haie, de couper une haie ou de déplacer une haie.

Plus rien n’est possible dans une complexité étouffante.

Le résultat c’est évidemment l’effondrement de la productivité dans les pays européens et occidentaux qui sont tous partis dans le même délire de contrôle normatif. Cette volonté de contrôle est très facilement « datable ». Tout a commencé à partir du 11 septembre au nom de la lutte contre le terrorisme, puis après au nom de la lutte contre le financement du terrorisme, puis après au nom de la lutte contre le blanchiment d’argent sale, puis après au nom de la lutte contre la fraude fiscale.

Bref, chaque années nous empilons de nouvelles normes.

Puis après sont apparus de nouveaux besoins comme la mise en accessibilité, comme la rénovation énergétique, comme encore, la protection des données.

Nous avons de la RGPD, ou des DPO, des types occupés à nous couper les cheveux d’abord en 4.

Puis en 8.

Puis en 16.

Maintenant ils nous cassent tous les pieds puissance infinie.

Que l’on soit dans le BTP avec la gestion des DIB, que l’on soit pêcheur avec une sardine trop longue, éleveurs de porcs ou de cochons ce qui est la même chose, que l’on soit dans une boulangerie ou dans une poissonnerie il faut du contrôle, de la traçabilité tout doit être enregistré, consigné, surveillé, contrôlé.

Dans son délire toujours plus total, il faudra bientôt envoyer toutes les factures de toutes les entreprises directement à Bercy via une plateforme dématérialisée. Votre facture adressée à Bercy sera alors validée par l’administration fiscale puis envoyée à votre client qui pourra payer…. ainsi le système génial pensé par nos psychopathes de la technocratie européenne pourront tout surveiller en temps réel, tout taxer et rien ne leur échappera plus.

Ces abrutis pensent qu’ils vont payer les dettes comme ça.

Hahahahahahahahahahahaha.

Mais quelle bande d’imbéciles en costards slim et aux chaussures pointues de consultants de chez McKinsey.

Vous savez ce qu’il va se passer ?

L’effondrement des ressources fiscales.

Vous savez pourquoi ?

Parce que tout est tellement compliqué qu’il arrive un moment où mieux vaut rester coucher.

C’est ainsi que l’URSS s’est effondrée et c’est ce que j’ai tenté d’expliquer hier.

Quand on passe plus de temps à faire des plans quinquennaux et à contrôler avec le KGB et les commissaires politiques, la productivité tend vers 0.

Nous en sommes exactement là.

C’est cela que disent les agriculteurs, et toutes les professions sont concernées.

Vous êtes tous confrontés à cette complexité étouffante.

Castratrice.

Ce n’est même plus une question d’argent

Vous l’avez compris, il n’est pas ici uniquement question d’argent et de « cours » des produits agricoles. Il est aussi et surtout question de liberté de travailler, de liberté d’entreprendre, de liberté de vivre, de liberté de faire.

Personne ne demande la liberté de pouvoir tout faire, de voler ou de piller, bien que cette liberté soit un peu trop laissée aux très grandes multinationales, il s’agit d’un retour au bon sens, oserait-on dire au bon sens paysan.

Un autre monde est évidemment possible.

Un autre monde est évidemment souhaitable.

C’est ainsi que vous pouvez commencer à comprendre le « cri » politique de Javier Milei en Argentine quand il hurle à la fin de chaque discours, « Y viva la libertad carajo ».

Et vive la liberté bon sang !

Si vous comprenez ce message, vous êtes la résistance. Partagez !

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

 

 

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