Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
NEWS OFF AMERICAN INTERNET COUNCIL COMPANY - DIACONESCO.TV Phone : 06.32.17.36.33/ 06.50.34.10.26 diaconesco@gmail.com
NEWS OFF AMERICAN INTERNET COUNCIL COMPANY - DIACONESCO.TV Phone : 06.32.17.36.33/ 06.50.34.10.26 diaconesco@gmail.com
Publicité
Visiteurs
Hier 0
Ce mois ci 247
Depuis la création 1 241 410
Newsletter
123 abonnés
NEWS OFF AMERICAN INTERNET COUNCIL COMPANY - DIACONESCO.TV Phone : 06.32.17.36.33/ 06.50.34.10.26 diaconesco@gmail.com
Derniers commentaires
Archives
27 décembre 2024

  •  
  • Enfant transgenre: Elon MUSK estime que son «fils a été tué par le virus woke»
  •  

  • Enfant transgenre: Elon Musk estime que son «fils a été tué par le virus woke»
  • Mardi, 23 juillet 2024 15:09
  • MISE À JOUR Mardi, 23 juillet 2024 15:09
  •  
  • Le milliardaire Elon MUSK, après avoir donné son consentement à des bloqueurs de puberté permettant à son fils de devenir une femme, est convaincu que ce dernier a été «tué par le virus woke».
  •  
  • «J’ai essentiellement été piégé à signer des documents pour l’un de mes garçons plus âgés, Xavier», a déclaré le propriétaire de X au psychologue Dr Jordan Peterson dans une entrevue accordée au Daily Wire.
  • Née sous le nom de Xavier, Vivian Jenna Wilson a subi une opération de changement de sexe en 2022.
  •  
  • «C’était avant que je comprenne ce qui se passait. [...] On m’a dit que Xavier risquait de se suicider s’il ne faisait pas [l’opération]», a-t-il dit. M. MUSK a expliqué qu’il ne comprenait pas, au moment de signer les papiers, que les bloqueurs de puberté étaient «des médicaments de stérilisation».
  • Selon le fondateur de SpaceX, les personnes qui encouragent ce genre de procédure chez les enfants «devraient aller en prison».
  • «Il est très possible que des adultes manipulent des enfants qui traversent une véritable crise identitaire en leur faisant croire qu’ils ne sont pas dans le bon sexe», a précisé MUSK.
  • Il se donne maintenant comme mission de supprimer la procédure de changement de sexe pour les enfants.
  • «J’ai juré de détruire le virus de la culture woke après cela», a-t-il affirmé. «Et nous faisons des progrès.»
  • «J’ai essentiellement perdu mon fils. Ce n’est pas pour rien qu’ils nomment cela le “deadname” [morinom, ancien prénom d’une personne en transition de genre]. Mon fils Xavier est mort, tué par le virus de la culture woke», a-t-il conclu.
  • Vivian, âgée de 20 ans, est l’un des 12 enfants de MUSK. Elle a fait une demande de changement de nom et de sexe à un tribunal californien, en 2022.
  •  
  • Dans le dossier déposé au tribunal, elle a demandé à prendre le nom de famille de sa mère puisqu’elle «ne vit plus avec [son] père biologique et ne souhaite pas être liée à lui de quelque manière que ce soit».
  • Les commentaires d’Elon MUSK surviennent quelques jours seulement après qu’il a décidé de déménager son siège social de l’entreprise aérospatiale SpaceX et du réseau social X de la Californie au Texas.
  • En effet, une loi a été signée par le gouverneur de Californie, Gavin NEWSOM , interdisant aux districts scolaires d’exiger que les parents soient informés si un enfant commence à utiliser des pronoms différents.

 

Trump dit vouloir «stopper le délire transgenre» dès son premier jour

Trump dit vouloir «stopper le délire transgenre» dès son premier jour

 
 

Dimanche, 22 décembre 2024 17:06

MISE À JOUR Dimanche, 22 décembre 2024 17:06

 

Donald TRUMP a annoncé dimanche vouloir arrêter le «délire transgenre» dès son premier jour à la Maison-Blanche le mois prochain, dans une nouvelle salve du camp républicain contre les droits de la communauté LGBT+.

Dès l'investiture le 20 janvier, «je signerai des décrets pour mettre fin aux mutilations sexuelles des enfants, exclure les transgenres de l'armée et les exclure des écoles primaires, des collèges et des lycées», a martelé le prochain président américain.

 «La politique officielle des États-Unis sera qu'il n'y a que deux genres, homme et femme», a poursuivi le vainqueur de la présidentielle du 5 novembre devant une foule de jeunes conservateurs réunis à Phoenix, dans le sud-ouest du pays.

Les traitements médicaux destinés aux mineurs pour changer de genre ou l'accès des femmes transgenres aux compétitions sportives féminines sont des sujets brûlants dans des États-Unis polarisés.

Pendant la campagne électorale, le milliardaire républicain avait brandi a l'envi l'épouvantail de ce que le camp conservateur voit comme le diktat de la bien-pensance.

Les républicains s'opposent aux droits LGBT+ dans les États qu'ils contrôlent et, au Congrès américain, des élus de droite ont voulu bloquer en novembre l'accès aux toilettes pour femmes du Capitole de la première femme transgenre élue à la Chambre, Sarah McBride.

Le «wokisme doit s'arrêter», a encore dit le républicain sous les applaudissements de la foule.

Le terme «wokisme», emprunté aux luttes afro-américaines, est détourné par des personnalités politiques et des mouvements conservateurs pour dénoncer ce qu'ils considèrent comme un excès de militantisme à l’égard des revendications de minorités et des injustices sociales et climatiques.

«Jour de la libération»

Donald TRUMP, qui deviendra le 20 janvier le 47e président des États-Unis après avoir battu la démocrate Kamala Harris, a également redoublé d'attaques dimanche à Phoenix sur l'immigration, autre thème de prédilection durant sa campagne.

Ce jour-là, a-t-il promis, «je signerai toute une série de décrets pour fermer notre frontière aux immigrés illégaux et stopper l'invasion de notre pays. Et le même jour, nous allons débuter la plus grande opération d'expulsion de l'histoire des États-Unis.»

Le président élu a dénoncé l'arrivée de migrants illégaux depuis la frontière sud des États-Unis, assurant avoir parlé à la présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum. «J'ai dit: vous ne pouvez pas faire ça à notre pays.»

«Le 20 janvier sera véritablement le jour de la libération en Amérique», a-t-il asséné lors de cet événement organisé par Turning Point USA, une organisation fondée par le polémiste d'extrême droite Charlie KIRK, soutien de Donald TRUMP.

«Tout membre étranger d'un gang sera expulsé et je désignerai immédiatement les cartels comme des organisations étrangères terroristes», a tonné M. TRUMP.

Dans son propos de plus d'une heure -- à la manière de ses meetings de campagne -- l'ancien et futur président a enchaîné ses priorités pour son prochain mandat, qu'il promet comme un «âge d'or», et a insisté sur la rapidité avec laquelle il veut mettre en place ses réformes.

Sans mentionner les longues négociations politiques qui ont évité in extremis samedi une paralysie du gouvernement fédéral américain, il a également répété ses priorités en matière de politique étrangère.

«Je vais mettre fin à la guerre en Ukraine, je vais arrêter le chaos au Moyen-Orient et je vais empêcher, je le promets, la Troisième Guerre mondiale», a déclaré Donald TRUMP, sans donner de détail sur sa manière d'y parvenir.

Il a également réitéré ses menaces de la veille vis-à-vis du canal de Panama, accusant les autorités panaméennes qui le contrôlent entièrement depuis 1999 de ne pas traiter les navires américains «équitablement».

Si cela ne change pas, a tonné l'ancien magnat de l'immobilier, «nous demanderons à ce que le canal de Panama soit tout de suite rendu aux Etats-Unis.»

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité