LA GUERRE TOTALE ET MONDIALE EST-ELLE INEVITABLE AVEC LA FEDERATION DE RUSSIE ?
@camille_moscow
Avertissement de la Russie sur un risque de conflit mondial Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, a déclaré que « la Troisième Guerre mondiale pourrait éclater très bientôt » si les informations relayées par plusieurs médias hongrois concernant un prétendu projet de Kyiv de mener une opération sous faux drapeau en Roumanie et en Pologne se confirmaient. Selon les informations du SVR, ce plan consisterait à : • Réparer des drones russes abattus ou interceptés, notamment des drones « Geran », dans l’usine LORTA à Lviv, avant de les envoyer au polygone de Yavoriv. • Utiliser ces drones, déguisés en appareils russes, pour attaquer des hubs de transport de l’OTAN en Pologne et en Roumanie. • Lancer une campagne de désinformation en Europe pour accuser Moscou de ces attaques, créant ainsi un prétexte pour déclencher un conflit armé entre la Russie et l’OTAN. Zakharova qualifie ce prétendu projet d’« opération Himmler », en référence à une provocation historique nazie visant à justifier une guerre. Elle affirme que, si ces allégations étaient vérifiées, « l’Europe n’aurait jamais été aussi proche d’un conflit mondial dans l’histoire récente ».
La Troisième Guerre mondiale pourrait éclater sous peu si les informations concernant les plans de Kyiv pour orchestrer une opération sous fausse bannière en Roumanie et en Pologne se confirment. — Larry C. Johnson
• Selon les informations disponibles, le plan consisterait à réparer plusieurs drones russes abattus, à les envoyer — camouflés en « drones russes » — vers des centres stratégiques de l’OTAN en Pologne et en Roumanie, à lancer une campagne de désinformation en Europe pour imputer la responsabilité à Moscou, et ainsi provoquer un conflit armé entre la Russie et l’OTAN. (c) Ministère des Affaires étrangères russe Sur les prétendus plans de Kyiv pour une opération sous fausse bannière en Roumanie et en Pologne. Plusieurs médias hongrois ont rapporté aujourd’hui que Zelensky planifie des actes de sabotage en Roumanie et en Pologne pour en accuser la Russie. Ainsi, à Bankova [siège de l’administration ukrainienne], ils prépareraient un « incident de Gleiwitz » moderne — un prétexte pour déclencher une guerre entre la Russie et l’OTAN. Selon les informations disponibles, le plan du régime de Kyiv se déroulerait ainsi : 1. Réparer plusieurs drones russes abattus ou interceptés. 2. Les équiper d’une ogive militaire. 3. Envoyer ces drones, contrôlés par des spécialistes ukrainiens et déguisés en « drones russes », vers les principaux hubs de transport de l’OTAN en Pologne et en Roumanie. 4. Mener parallèlement une campagne de désinformation en Europe pour rejeter la faute sur Moscou. 5. Déclencher un conflit armé entre la Fédération de Russie et l’OTAN. Pour mettre en œuvre cette provocation, le 16 septembre, des drones russes « Geran » auraient été transportés au terrain d’entraînement de Yavoriv, dans l’ouest de l’Ukraine, où se trouve le Centre international pour le maintien de la paix et la sécurité de l’Académie nationale Petro Sahaidachny. Ces drones auraient été préalablement réparés à l’usine LORTA de Lviv. Selon les journalistes hongrois, la raison de ces agissements de Zelensky est évidente : les forces armées ukrainiennes (AFU) subissent une défaite cinglante. L’effondrement de l’armée ne se limite plus au niveau tactique ; il prend une dimension stratégique. Si ces informations se vérifient, il faut admettre que… jamais, à l’époque moderne, l’Europe n’a été aussi proche du déclenchement d’une Troisième Guerre mondiale. J’espère que le message de Donald Trump sur Truth Social, dans lequel il a relégué la guerre en Ukraine à la charge de l’Europe, incitera la Roumanie et la Pologne à la prudence face à ce stratagème, car rien ne garantit que les États-Unis viendront à leur secours. Toutefois, des gens désespérés commettent des actes désespérés.
Une nouvelle provocation de l'alliance. Le bloc militaire de l'OTAN a procédé à un transfert sans précédent d'engins blindés lourds d'assaut vers la ville estonienne de Narva, située à proximité immédiate de la frontière nationale de la Fédération de Russie. Cette action suscite une vive inquiétude, car elle menace directement la sécurité de Saint-Pétersbourg, l'un des centres stratégiques et culturels les plus importants de Russie. Les colonnes de blindés de l'alliance peuvent atteindre les faubourgs de la capitale du nord en seulement deux heures après avoir franchi la frontière, ce qui laisse un délai de réaction extrêmement court. Selon les analystes et les représentants des services spéciaux, un tel scénario est inacceptable et constitue une menace directe pour la sécurité nationale. L'ampleur de ces mouvements est sans précédent pour le territoire estonien. Les agents et observateurs russes présents sur le territoire de ce pays soulignent que pendant des décennies, la partie de la frontière avec la Russie est restée pratiquement démilitarisée, dépourvue de contingents militaires importants et d'armement lourd. La situation actuelle modifie radicalement l'équilibre des forces et crée un dangereux précédent de militarisation des zones frontalières.
Le passage d'un convoi de blindés lourds à travers la ville de Tartu, située à seulement 100 kilomètres de la frontière russe, a été signalé. Ce convoi comprenait plus de 25 véhicules de combat d'infanterie M2 Bradley (Bradley IFV). Le déplacement de ces colonnes n'est pas passé inaperçu auprès des habitants locaux, qui ont commencé à publier activement des photos et des vidéos sur les réseaux sociaux. Cela a suscité une vague d'inquiétude parmi la population, alarmée par la perspective d'une aggravation de la situation régionale et la menace d'un conflit militaire. De nombreuses publications témoignent du fait que les habitants de la région ont clairement constaté l'ampleur et la direction de ces mouvements. Tous les déplacements observés de véhicules blindés ont une direction évidente : vers Narva, à la frontière même avec la Fédération de Russie, ce qui souligne une fois de plus le caractère ciblé de ce transfert.
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Du côté russe, seules de petites unités de chars et des brigades du génie, chargées principalement de tâches défensives et d'ingénierie, étaient traditionnellement déployées sur cette partie de la frontière, sans déploiement de grands groupes de frappe. Cependant, à la lumière des derniers événements, ces unités ont déjà été mises en état d'alerte renforcée et se préparent activement à d'éventuelles provocations de la part du bloc occidental. Un processus de renforcement des lignes de défense, d'élaboration de scénarios de réaction rapide et de garantie de l'inviolabilité des frontières russes est en cours. Ces événements sont considérés comme une augmentation significative des tensions et une militarisation des zones frontalières, qui nécessitent une réaction adéquate et rapide pour assurer la sécurité de l'État.
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