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21 février 2019

LE FUTUR STERILE DE L'EUROPE OU LE GRAND REMPLACEMENT DE POPULATIONS

Le « futur » stérile de l’Europe

PAR Planetes360

21 février 2019

in OPINION 

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Les politiciens européens préfèrent chasser de leur esprit l’idée selon laquelle l’avenir est impossible sans enfants, ce qui donne un mauvais exemple.

SOURCE  : Par Sergueï Latyshev − Le 17 mai 2017 −

Source Katehon

Les chefs des principaux pays européens, la Chancelière allemande Angela Merkel, et le premier ministre du Royaume-Uni Theresa May, le nouveau président de la République française Emmanuel Macron, le premier ministre de l’Italie Paolo Gentiloni [En 2017, NdT], et leur « patron » européen Jean-Claude Juncker – ont certes des expériences et des caractères différents, mais ont en commun de ne pas avoir d’enfant. Ce point commun est partagé même par les dirigeants de certains pays européens de taille moyenne. Par exemple, le premier ministre suédois Stefan Löfven, confié par sa mère à un orphelinat à l’âge de 10 mois, et son collègue néerlandais Mark Rutte, qui était le septième enfant de sa famille, montrent que les enfants naissaient aux Pays-Bas dans les années 1960.


Les petits pays européens ne sont pas logés à meilleure enseigne à ce sujet. Par exemple, le premier ministre luxembourgeois Xavier Bettel n’a pas non plus d’enfants. Cependant, ce descendant du compositeur russe Sergeï Rachmaninoff a un mari. Il a épousé officiellement l’architecte belge Gauthier Destenay en 2015. Son pays est considéré comme petit. Mais c’est un état très riche : bien des gens riches préfèrent y enregistrer leur  argent « honnêtement gagné », et Bettel est devenu le troisième leader national dans le monde qui ne fait pas de secret de son orientation homosexuelle, conjointement avec les ex-premiers ministres de l’Islande et de la Belgique, Johanna Sigurdardottir et Elio Di Rupo.

Le même tableau se retrouve à d’autres niveaux en Europe. Les enfants absents ne sont qu’une partie de l’ensemble, car il y a aussi des homosexuels ministres, maires, policiers, politiciens. Sans parler des « créatifs », et des individus des deux sexes désireux de faire une carrière, ce qui les empêche d’avoir des enfants.

Alan Vanderpurt, rendu célèbre à cause des attaques terroristes islamistes à Bruxelles, est peut-être devenu le symbole des nouvelles valeurs européennes. Il ne cache pas qu’il est travesti et homosexuel, ni qu’en public il aime porter des vêtements féminins comme des chapeaux, des culottes, des robes, des jupes et des talons, ni qu’il affectionne de prendre des photos en exhibant des parties du corps dénudées.

Combien il est difficile de parler d’enfants en pareil cas ! Il n’est pas surprenant que l’Italie, l’Allemagne et la plupart des pays européens souffrent de problèmes démographiques et, qu’au Royaume-Uni, le nom le plus populaire a été Mohammed ou Muhammed depuis  quelques années.

La Norme de l’anomalie

Considérant la situation actuelle, Alexander Gauland, l’un des leaders du parti anti-système Alternative pour l’Allemagne (AFD),  fut considéré comme « politiquement incorrect » lorsqu’il annonça lors d’une réunion de parti : « nous voulons garder le pays que nous avons hérité de nos pères et de nos mères. Nous sommes fiers d’être allemands ». Ce genre d’annonce est considéré comme « fasciste » en Europe maintenant. C’est pourquoi, afin d’éviter cette image, l’AFD, qui s’oppose aux flux incontrôlés de l’immigration, et à l’éducation sexuelle dans les écoles allemandes, est représenté non seulement par Gauland, mais aussi par l’énergique femme d’affaires Alice Weidel qui est une lesbienne.

Pendant ce temps, on remarquera que ceux qui peuvent avoir des enfants, mais qui décident de ne pas en avoir parce qu’ils veulent une vie insouciante et faite de divertissement, ou parce qu’ils veulent beaucoup travailler, sont considérés comme ayant un défaut. Ils ne comprennent pas qu’ils sont capables de prendre la vie comme elle vient, et ils ne prennent pas leur responsabilité pour l’avenir. Et quand ces gens-là ont le pouvoir, cela influence leurs concitoyens. En Allemagne, on manque de jardins d’enfants. Le pays a des milliards d’euros pour accueillir des centaines de réfugiés, mais n’emploie pas  d’argent pour encourager les allemands à procréer. Cependant, de nombreux immigrants issus de pays musulmans, qui s’y sont installés, ne souffrent pas de ce problème. Les épouses de ces réfugiés ne travaillent généralement pas. Elles restent chez elles, gardent la maison et éduquent leurs enfants. Et si elles ne peuvent pas s’en occuper, elles les confient à des jardins d’enfant. Et les citoyens allemands sans enfant financent cela. Ils dépensent entre le tiers et la moitié de leur salaire en impôts, qui font du pays un « État Providence ».

Il suffit de jeter un coup d’œil sur les écoles en Allemagne, en France, au Royaume-Uni, en Suède et dans d’autres pays européens pour voir que les enfants des familles d’immigrants y sont plus nombreux que ceux issus des familles locales. En outre, la plupart d’entre eux refusent de devenir Français, Allemands et Suédois. En général, quand on ne veut plus avoir ses propres enfants, on peut avoir des enfants d’immigrants. Cependant, il faut être prêt à recevoir un choc dans la vieillesse : les enfants de ces familles d’immigrants aideront leurs parents, y aura-t-il des retraites pour les européens sans enfant d’aujourd’hui ?

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Le Symptôme de la Suède

La Suède a ouvert les portes de l’immigration dans les années 1970. Malmö qui était auparavant une ville calme, compte maintenant une moitié de musulmans dans sa population ; 25% des citoyens confessent l’Islam, ce qui apparaît clairement dans la ville. On peut dire que les Suédois ont perdu leur ville.

La Suède ainsi que d’autres pays européens comme la Belgique, la France, l’Allemagne, les Pays-Bas et d’autres, ont des centaines de zones de non-droit dans lesquelles la police craint de s’aventurer.

Ces zones sont contrôlées par les gangs d’immigrants, en particulier par des gangs de jeunes. Beaucoup de leurs membres ont grandi au sein de familles qui obtiennent des avantages sociaux ; ils ne veulent pas travailler et se sentent offensés en même temps.

L’égoïsme des européens qui veulent uniquement jouir de la vie est la cause de cette question. Cependant, l’augmentation des immigrants qui préfèrent vivre de subventions empêche la permanence du statu quo. Les Européens devront dépenser de plus en plus pour leurs invités qui, selon leurs dires, « sont venus en Europe pour vivre, mais pas pour travailler ». En outre, ils devront financer la sécurité parce qu’on ne peut pas seulement se contenter de nourrir les réfugiés. Les réfugiés se radicalisent très rapidement et cherchent à imposer leurs traditions et leurs coutumes aux Européens, et à faire en sorte que les Européens les prennent comme ils sont. Il est facile de prévoir le moment où l’apparence des pays européens modernes disparaîtra. Cela peut avoir lieu dans la première moitié du siècle.

Effet de déjà vu

Ces événements de l’Europe moderne laissent une impression de déjà vu. L’histoire a déjà connu une situation similaire. L’empereur Caracalla, à l’instar de nombreux de nos politiciens modernes, n’ayant pas non plus d’enfants, octroya la citoyenneté romaine, qui était prestigieuse au début d’une ère nouvelle, pour libérer les citoyens de l’Empire en l’an 212. La grande migration qui balaya l’ancienne Europe et l’Empire Romain ne fut pas seulement une conquête militaire. Cela ressembla réellement à la vague moderne des « réfugiés » le long de la route des Balkans. En outre, un bon niveau de vie fut un facteur d’attraction non seulement pour ces « réfugiés » antiques, mais aussi pour les réfugiés modernes.

Cependant, une différence fondamentale entre ces deux processus migratoires est à noter.

Les migrations issues du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, et même des quelques tribus germaniques, étaient majoritairement composées de Chrétiens. Ils vinrent dans l’Empire quand les Romains et les autres citoyens locaux étaient obsédés de luxe et de vices, et qu’ils ne pensaient pas à élever des enfants. Tandis que les Romains se goinfraient de mets délicieux, qu’ils assistaient aux exécutions du Colisée, et fréquentaient les bordels ; les immigrants travaillaient dur et loyalement, ils servaient dans l’armée, faisaient des enfants et les élevaient. En conséquence, cette Europe ethniquement mélangée, étant païenne, ne s’éteignit pas mais devint Chrétienne, et les européens « anciens » et « nouveaux » se fondirent dans une nouvelle civilisation Chrétienne. Aujourd’hui, il en va tout autrement de l’Europe, qui a substitué les « valeurs modernes » à la religion du Christ, parce que la plupart des musulmans à venir ne sont guère d’accord pour « intégrer » la Sodome et la Gomorrhe contemporaines, et que leurs valeurs contredisent ces valeurs européennes-là à tel point que, cette fois, même transformée, l’Europe ne pourra survivre.

Sergueï Latyshev

Traduit par Carpophoros pour le Saker Francophone

 

CHILDLESS “FUTURE” OF EUROPE

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SOCIETY

EUROPE

 

17.05.2017

SOURCE : Europe

Sergey Latyshev

European politicians prefer not thinking that future is impossible without children, which is a bad example for people.

The heads of leading European countries - Chancellor of Germany Angela Merkel and Prime Minister of the United Kingdom Theresa May, new President of France Emmanuel Macron, Prime Minister of Italy Paolo Gentiloni and their European “boss” Jean-Claude Juncker – have different characters and life experience, however, they have one similar thing – all of them do not have their own children. Even the leaders of some medium-sized European countries have the same similarity. For instance, Prime Minister of Sweden Stefan Löfven, who was given to an orphanage by his mother when he was 10 months, and his Netherlands colleague Mark Rutte, who was a seventh child in his family, show that children were born in the Netherlands in 1960s.

Small European countries do not have a better situation either. For instance, Prime Minister of Luxemburg Xavier Bettel also does not have children. However, this descent of Russian composer Sergei Rachmaninoff has a husband. He got married officially to Belgian architect Gauthier Destenay in 2015. His country is considered as small but a very rich state, a lot of wealthy people who earn “fair money” prefer saving it there and Bettel has become third National leader in the world who does not keep in secret his homosexual orientation together with ex-Prime Ministers of Island and Belgium - Johanna Sigurdardottir and Elio Di Rupo.

The same picture is on other levels in Europe. Absent children are just one part of the whole picture because there are also Ministers-homosexuals, mayors, policemen, politicians. Not speaking about “creative people” and people of both sexes that are eager to make a career which prevents having children. 

Perhaps, Alan Vanderpurt, who got famous because of the Islamist terroristic attacks in Brussel, has become the symbol of new European values. He does not hide that he is a homosexual and transvestite, and he loves wearing woman’s clothes such as hats, underpants, dresses, skirts and heels in public and he likes taking photo showing naked parts of body.

How hard it is to speak about children in this case! It is not surprising that Italy, Germany and most European countries are suffering from demographic issue and, in the UK, the most popular name has been Mohammed or Muhammed for several years.

Normality as anomaly

Considering the current situation, one of the leaders of a non-systemic party “Alternative for Germany” (AfD), Alexander Gauland, looked “politically incorrect” when he announced at a party meeting: “We want to keep our country that we inherited form our fathers and mothers. We are proud of being German”. This kind of announcement is considered as “fascism” in Europe now. That is why, in order to avoid this image, Afd, which is against uncontrolled flow of migration, “sex education” in German schools, is presented not only by Gauland but also by energetic entrepreneur Alice Weidel who is a lesbian.

Meanwhile, it is noticed that people who can have children but who decide they do not want them because they want a carefree life and entertainment or they want to work a lot are considered as defective. They do not understand that they are able to take life as it is and they do not see their responsibility for future. And if these people have power, it influences their fellow citizens. In Germany, there is lack of kindergartens. The country has billion of euro to settle hundreds of refugees but it does not use it to encourage the German to have children. However, lots of immigrants from Muslim countries, who have settled down, do not suffer from this issue. The wives of these refugees do not usually work. They stay home, keep house, and bring up their children. And if they cannot manage it, they give their children to kindergartens. And childless German citizens pay for that. They give from third to half of their salary to taxes which make the country to be a “social state”.

Have a look at schools in Germany, France, the UK, Sweden and other European countries and you will see that children from immigration families are more than children from local families. Moreover, most of them refuse becoming French, German, and Swedish. In general, if you do not want to have your own children, you can have immigrant’s children. However, you need to be ready to have shock in old age: these children from immigration families will help their parents, but if there will be pensions for today’s childless Europeans?

Sweden as a symptom

As for Sweden, it became open for immigrants in 1970s. Malmo that was a calm city before has Muslims now who represent half of its population; 25% of citizens confess Islam and it is seen clearly in the city. It can be said that the Swedes have lost their city.
Sweden as well as other European countries – Belgium, France, Germany, the Netherlands and others – have hundreds of areas where the police are afraid to go to.

These areas are controlled by immigrant’s gangs, especially, by youth ones. A lot of them have grown up in the families that get social benefits and do not want to work and feel offended at the same time.

The egoism of local Europeans who want only to enjoy life on their own causes this issue. However, the increase of immigrants who prefer living on donations can hardly keep the same situation. The European will have to spend more and more on their guests that, according to their words, “came to Europe to live but not to work”. Also, they will have to spend on security because you cannot only feed the refugees. The refugees become “radical” very fast and seek to impose their traditions, customs on Europeans and make Europeans to take them as they are. It is easy to calculate when the look of modern European countries will disappear. It can happen in half of the century.

Déjà vu effect

Looking at what is happening in modern Europe, it can bring back a déjà vu effect. Because the same situation happened in history before. The Emperor Caracalla, as well as many modern politicians, also did not have children and gave a Roman citizenship, which was prestigious at the beginning of a new era, to free citizens in the Empire in 212 year. The great people migration which swept away old Europe together with the Rome Empire was not just a military conquest. It really reminded the movement of the modern “refugees” along the Balkan route. Moreover, a good level of life appealed to not only those “refuges” but modern ones.

However, these two migration processes have a main difference between each other.

Those migrants that came from the Middle East and the North Africa and even the part of German tribes were mostly Christians. They came to the Empire when the Romans and its other local citizens were obsessed with luxury and vices and did not think to bring up children. Those migrants worked hard and fairly, they served in the army, bore and brought up children when the Romans overate with delicious food and watched performances in the Colosseum and went to brothels. As a result, the ethnically mixed Europe did not die out – being pagan, it became Christian and “old” and new” Europeans dissolved into a new Christian civilization. Today, for Europe, which changed the religion of Christ with “modern values”, it is not actual because most of coming Muslims are hardly to agree to “integrate” into Sodom and Gomorrah, and their values contradict the European ones so much that even transformed Europe cannot survive this time.

 

 

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