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23 février 2019

GILETS JAUNES ACTE XV : plus de 200 000 manifestants ont défilé dans toute la FRANCE ce samedi 23 Février 2019

Gilets jaunes acte 15 : 200.000 manifestants à 15h30 selon les estimations du syndicat France Police – Policiers en colère, cinquième puissance professionnelle du ministère de l’Intérieur et première force d’opposition de la police nationale

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Malgré les multiples articles de presse visant à salir notre organisation syndicale réputée pro Gilets jaunes et d’extrême droite, il est utile de rappeler à cette presse stalinienne à la solde du pouvoir en place les éléments suivants :

– France Police – Policiers en colère a recueilli 7.000 voix aux élections professionnelles en décembre dernier sans toucher un centime de subventions publiques pendant que les syndicats macronistes empochent des millions d’euros annuellement , généreusement financés avec l’argent des Français..

– Trois membres de notre organisation syndicale sont élus et siègent en comité technique.

– Parmi nos cadres, si certains sont des élus LR ou RN, la majorité de nos militants sont dégoutés des politiciens et ne votent même plus aux élections politiques.

Chaque semaine, notre organisation syndicale est très critiquée pour oser rendre public les résultats de son propre comptage depuis l’acte 1 le 17 novembre.

La majorité des médias n’ont jamais informé l’opinion publique de notre décompte, affirmant qu’ils ne disposaient pas d’autre chiffre, vraiment ?

Pourtant, dans toute l’histoire de notre démocratie moderne, le chiffrage des organisations syndicales a toujours été relayé par les médias dans le souci d’une information contradictoire.

En revanche, la presse relaye sans aucune précaution les chiffres d’une mystérieuse page intitulée « le chiffre jaune » dont le comptage ne présente aucune garantie de fiabilité.

Sans entrer dans la polémique, des collègues en Île-de-France ont été sollicités pour se rendre en province pour renforcer les policiers locaux ce week-end.

Jamais pour les rencontres sportives de Ligue 1, même dans les années les plus sombres du Hooliganisme, les collègues ont été sollicités pour se rendre en province pour renforcer les forces locales..

Dans quel pays y a-t-il eu besoin de mobiliser 80.000 forces de l’ordre pour 40.000 manifestants ?

BFM TV va bientôt nous expliquer que la création médiatique de l’Union européenne Greta Thunberg rassemble plus de manifestants dans la rue que les Gilets jaunes..

 

 

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Acte 15 des Gilets jaunes : 46 600 personnes ont défilé en France selon CASTANER le Ministre de l'Intérieur alors que le chiffre dépassait largement celui de + 200 000 Gilets Jaunes dans toute la France dèjà à 15h30 ! 
Acte 15 des Gilets jaunes : 46 600 personnes ont défilé en France selon l'Intérieur (EN CONTINU)
SOURCE : © Meriem Laribi / RT France
Des Gilets jaunes rassemblés à Paris, ce 23 février.

Après un acte 14 qui a vu un petit essoufflement de la mobilisation, les Gilets jaunes vont tenter de mobiliser les troupes pour le 23 février. Le sursaut aura-t-il lieu ?

Mise à jour automatique

L'acte 15 du 23 février aura l'objectif, pour les Gilets jaunes, de réveiller les troupes après un acte 14 moins mobilisateur. A Paris, cinq manifestations ont été déclarées selon la préfecture de police, dont deux partiront des traditionnels Champs-Elysées. Un rassemblement est également prévu place de la République dans l'après-midi. 

Voir l'image sur TwitterVoir l'image sur TwitterVoir l'image sur Twitter
Préfecture de police
@prefpolice

[] Demain samedi 23 février, à l’occasion de plusieurs événements de voie publique à , des restrictions de circulation seront mises en place. http://bit.ly/2IvUHIe 

45 personnes parlent à ce sujet

Ailleurs en France, 3 000 personnes sont attendues à Clermont-Ferrand, entre 2 000 et 3 000 à Rennes, et des rassemblements sont prévus à Bordeaux, Lille ou Toulouse, comme chaque semaine. A Chambord, des Gilets jaunes ont appelé à pique-niquer devant le château, comme pied-de-nez au président qui y avait célébré ses 40 ans en 2017. 

Pendant ce temps, Emmanuel Macron inaugurera le Salon de l'agriculture dans la matinée. Reste à savoir si des Gilets jaunes improviseront un rassemblement surprise au Parc des expositions, pour accueillir le chef de l'Etat. 

Lire aussi : Emmanuel Macron sur les Gilets jaunes : «C'est un gigantesque échec collectif, j'en prends ma part.»

 

Raconter l'actualité

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«Macron n'en a rien à foutre du peuple» : Jérôme Rodrigues répond à RT France lors de l'acte 15
«Macron n'en a rien à foutre du peuple» : Jérôme Rodrigues répond à RT France lors de l'acte 15 Source: RT France
Le Gilet jaune Jérôme Rodrigues au micro de RT France lors de l'acte 15, le 23 février.

Rejetant les accusations d'antisémitisme portées contre le mouvement, qu'il estime être une manœuvre du gouvernement pour le décrédibiliser, Jérôme Rodrigues cloue au pilori un Emmanuel Macron qu'il juge déconnecté de son peuple.

Au micro de RT France le 23 février à l'occasion de l'acte 15, Jérôme Rodrigues, une des figure des Gilets jaunes blessée à l'œil lors d'un rassemblement précédent, a donné son ressenti sur les accusations d'antisémitisme qui fusent contre le mouvement depuis l'agression verbale contre Alain Finkielkraut.

«On fait passer tous les Gilets jaunes pour des antisémites. C'est une version du gouvernement pour nous discréditer chaque jour un peu plus et ne pas entendre nos revendications», juge-t-il, déplorant le phénomène de «loupe médiatique» dont cet incident fait l'objet. Estimant que le gouvernement mettait «tous les fléaux» sur les Gilets jaunes, Jérôme Rodrigues a rappelé que le mouvement ne revendiquait que de meilleures conditions de vie et un renouveau démocratique. «En quoi est-on antisémite ? C'est simplement noyer le poisson, et nous faire passer pour des méchants, ce qu'on est pas», assène-t-il.

Auteur: RT France

 

Concernant la suite à donner au mouvement, Jérôme Rodrigues ne compte pas ranger le gilet malgré la sourde oreille de l'exécutif. «Le gouvernement n'en a rien foutre du peuple, mais il est important qu'on soit visibles», explique-t-il. «A moment donné, le nombre fera la différence, et ils ne pourront que plier», poursuit-il, qualifiant de «mensonges» les sondages qui font état d'une baisse du soutien des Français au mouvement. 

Jérôme Rodrigues conclut, sans concessions, sur la gestion de cette crise par le chef d'Etat : «[Emmanuel] Macron n'en a rien à foutre du peuple. Ce n'est plus son peuple puisqu'il ne s'y intéresse même pas. Il vit caché dans son château.»

Lire aussi : Acte 15 des Gilets jaunes : le cortège parisien défile dans le calme (EN CONTINU)

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La France n’a qu’un seul drapeau, par Henri Guaino
 La France n’a qu’un seul drapeau, par Henri Guaino© REUTERS/Philippe Wojazer
Le drapeau français (image d'illustration).

Réagissant à la décision de l'Assemblée nationale d'associer drapeaux français et européen dans les classes, Henri Guaino l'affirme : une nation n'a qu'une bannière et personne n'ira mourir pour une organisation comme l'Union européenne.

L'Assemblée nationale a approuvé un amendement qui rendrait obligatoire la présence du drapeau français dans les salles de classe. Curieuse idée à laquelle personne n'avait jamais songé depuis la création de l'école de la République. Il n'est pas sûr que cela suffise à réveiller le patriotisme, mais après tout le drapeau américain est bien présent dans les salles de classes aux États-Unis. 

Ce n'est pas la présence du drapeau français qui pose problème mais la volonté d’associer le drapeau européen au drapeau tricolore comme s’il y avait équivalence entre les deux. C’est devenu une manie du politiquement correct : partout on met la bannière de l'Union européenne à côté du drapeau français comme s'il fallait s'excuser de montrer ce dernier en attendant de le faire disparaître. Ceux qui tiennent à cette association rétorqueront qu'elle est naturelle puisque la France est un pays membre de l'Union européenne.

Dans un vrai drapeau, il y a l’âme d’un peuple, dans l'enseigne d'une organisation il n'y a que de la communication

 

A ce compte là, la France étant membre de l’ONU et même membre permanent du Conseil de sécurité, Il serait logique d'associer au drapeau français celui de l'ONU et tout naturellement aussi celui de l'OTAN dont la France est membre fondateur et, contrairement à ce que l’on entend parfois, n’a jamais cessé de l’être depuis sa création. Des soldats français ont bien été, ou sont encore, engagés sous la bannière de l'ONU et celle de l’OTAN. Pourtant on ne voit pas partout dans le pays le drapeau français associé à celui de l'OTAN et de l'ONU. Car c'est une chose de se battre sous un drapeau et une autre de se battre pour un drapeau, de risquer sa vie pour son drapeau. Sous la bannière de l’ONU et de l'OTAN, le soldat français ,comme le soldat américain, reste soldat de son pays et se bat pour lui. Les casques bleus qui sont tués en opération sont morts parce que leur pays leur avait confié une mission. Ils ne sont pas morts pour l’ONU : on meurt pour une patrie, pour un idéal, on ne meurt pas pour une organisation. L'ONU, l'OTAN sont des organisations qui peuvent parfois être les instruments d'un idéal mais elles ne sont pas par elle-mêmes des idéaux ni des patries. Il y a du sacré dans la patrie, il n'y en a pas dans l’ONU ou dans l’OTAN, encore moins dans l'Union européenne sous la bannière de laquelle aucun soldat ne s'est jamais battu, aucun citoyen n'a jamais risqué sa vie.

L'Union européenne n'est pas la civilisation occidentale

Peut-on mourir pour l’Europe comme lord Byron alla mourir pour la Grèce à Missolonghi ? Mourir pour la civilisation européenne, oui. Mourir pour l’idéal humain que l’Europe a forgé et qui, au-delà de la diversité des nations, forme le socle de la civilisation occidentale, oui.

Mais l'Union européenne n'est pas la civilisation occidentale. L'union européenne n'est pas une culture ni un idéal: c’est, elle aussi, une organisation. L’Europe existait avant que cette organisation vit le jour, elle existera après. L’Union européenne n'est pas un régime. On peut mourir pour la République, pour la Démocratie, pour la Monarchie… on ne  meurt pas pour une bureaucratie, pour une technocratie, pour une commission. On peut mourir pour la Liberté, mais l'Union européenne n'est pas la Liberté avec une majuscule. On peut mourir pour la Paix, mais l'Union européenne n'est pas la Paix et aucune organisation n'a jamais empêché la guerre. Un État fédéral n’empêche pas les guerres civiles, ni la guerre de sécession aux États-Unis, ni celle de la Yougoslavie, la Société des Nations n’a pas empêché la deuxième guerre mondial, pas plus que l’espèce de monnaie unique qu’était l’étalon or n’a empêché la première guerre mondiale. Ce n'est pas l'Union européenne qui a donné la paix à l’Europe, c'est la paix qui a permis à l’Union européenne de voir le jour. Les organisations sont passagères, transitoires, elles changent, disparaissent, renaissent en fonction des circonstances. Une patrie, une nation, une civilisation ne sont pas une affaire de circonstances. L’Europe, la vraie, n’est pas une affaire de circonstances. Croire qu’avec une monnaie unique, un droit unique, une enseigne unique on va faire une nouvelle patrie, une nouvelle nation, relève d'une idée bien superficielle de ce que sont les patries, et les nations.

Dans un vrai drapeau, il y a l’âme d’un peuple, dans l'enseigne d'une organisation il n'y a que de la communication. N'importe quel bout de chiffon ne peut pas exprimer un sentiment national. Le drapeau tricolore, lui, «a fait le tour du monde, avec le nom, la gloire et la liberté de la patrie». Il se suffit à lui-même. La France n’a qu’un seul drapeau.

Henri GUAINO

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