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28 avril 2020

REVUE DE PRESSE DU 28 AVRIL 2020

Un gouvernement d’union nationale, plus gros leurre de la Macronie ?

Par

Éloi Roche-Bruyn

Publié le 27/04/2020 à 18:00

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Emmanuel Macron. ( Photo © STEPHANE MAHE / POOL / AFP )

 

Le ton martial d’Emmanuel Macron semble le propulser chef de file d’une nouvelle union sacrée. Se rêvant rassembleur et au-dessus de la mêlée, comme une sorte de Raymond Poincaré, le chef de l’État tâtonne pourtant. Et pour cause, les premiers noms qui circulent paraissent loin des fortes personnalités de la Grande Guerre.

Gouvernement de concorde, d’union nationale, de salut public… ces dernières semaines, une ribambelle d’appellations d’origine protégée ont vu le jour, rappelant de plus ou moins de bons souvenirs de l’Histoire de France. Le 11 avril dernier, dans son allocution aux Français, le chef de l’État a assuré vouloir bâtir « un autre projet de concorde » qui rassemblera « toutes les composantes de la nation ». Le flou artistique habituel de la communication macronienne conduit à l’hypothèse d’un nouveau gouvernement qui rallierait des personnalités venues de la gauche et de la droite. Une façon pour Emmanuel Macron de brasser large pour anticiper l’après-coronavirus et préparer la présidentielle de 2022.

Un phagocytage en règle de l’opposition

En stratège politique, le président joue sa réélection et sa crédibilité de sortie de crise. Récupérer ici et là de nouvelles personnalités politiques lui assurerait de « rester spectateur de sa propre action politique », s’agace Julien Aubert, député LR du Vaucluse. S’ouvrir mais pas trop quand même. S’extraire de la logique partisane mais rester proche de son camp. Certains noms évoqués ne rappellent pas les meilleurs souvenirs, n’attendent parfois même qu’une main tendue pour rebondir : Manuel Valls, Stéphane Le Foll, Nathalie Kosciusko-Morizet, Michel Barnier, etc. Que du beau monde de « l’ancien monde ». D’autres ne sont pas cités par hasard : Christian Jacob, Gérard Larcher, Yannick Jadot. « Il veut faire le coup de partager sa gestion de crise calamiteuse en recyclant des fossiles. C’est vraiment Jurassic Park » s’amuse Julien Odoul, conseiller régional RN de Bourgogne-Franche-Comté, dans un entretien à Valeurs actuelles.

L’occasion est trop belle pour certains cadres de partis affaiblis de se positionner sur le marché des portefeuilles. À titre d’exemple, Geoffroy Didier, député européen et vice-président de la région Île-de-France, tend la main à Emmanuel Macron dans les colonnes du JDD : « Aux LR, nous devrons ne rien céder de nos convictions mais abandonner nos réflexes partisans […] Sur l’union nationale, je réponds : “oui, si” ». En somme, le gouvernement d’union nationale est l’occasion absolument rêvée pour Emmanuel Macron de donner le coup de grâce à cette opposition « responsable » que constitue encore tant bien que mal Les Républicains.

Zizanie complète à droite

Pendant que Geoffroy Didier miroite de façon à peine voilée une place au prochain gouvernement, nombre de ses collègues LR se désolidarisent d’un « choix individuel quelque peu déplacé ». C’est en tout cas ce qu’estime Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l’Assemblée Nationale. Aussi, contacté par nos soins, temporise-t-il les ardeurs du député européen : « Cette idée d'un gouvernement d’union nationale est un leurre qui vise à déstabiliser les forces politiques d’opposition. Les conditions d’une union nationale ne sont absolument pas réunies. »

Le coronavirus va pouvoir justifier toutes les compromissions.

De son côté, Julien Aubert distribue des piques sur son compte Twitter. Dans une réponse à l’entretien de Geoffroy Didier au JDD, l’élu du Vaucluse tacle de manière virulente l’opportuniste : « Après les “Macron compatibles”, les “Macron disponibles” : la réserve ministérielle du président Emmanuel Macron ». Le concerné se défend et affirme vouloir « assumer ses idées sans vouloir se claquemurer ». « La rhétorique macroniste du repli », dénonce Julien Aubert tout en décrivant son adversaire avec sarcasme : « une fenêtre […] où l’air circule en fonction du sens du vent ». Interrogé par notre rédaction, le président du collectif Oser la France ironise sur cette communication présidentielle visant à « faire renaître le mythe de la reconstruction de 1945 ».

Mieux encore, dans une interview à Valeurs actuelles, un ancien proche des Républicains ne s’étonne même plus de ces appels de phares envoyés à l’exécutif : « La jeune génération du parti est entrée en politique avec l’idée qu’un jour ils seraient ministres. Aujourd’hui, ils se rendent compte que leur parti n’a plus d’horizons. C’est pourquoi, grâce au coronavirus, ils vont pouvoir justifier toutes les compromissions. »

Un gouvernement d’union pas tout à fait nationale

Dans un entretien accordé au Financial Times, le président français s’inquiète de la potentielle montée des partis populistes en Europe si le défaut de solidarité persistait. Par une heureuse coïncidence, aucune personnalité de ces partis, que ce soit LFI et RN, n’a l’air d’avoir reçu un carton d’invitation, ce qui rend le député européen RN Thierry Mariani particulièrement septique : « L’appeler “gouvernement d’union nationale” est une escroquerie ! En réalité, cela va être une nouvelle preuve de la concrétisation de ce qu’on appelait à l’époque l’UMPS. »

On a bien compris que le RN ne fait pas parti de l’union nationale.

« Macron a dit tout le mal qu’il pensait des populistes. On a bien compris que le RN ne fait pas partie de l’union nationale » déclare Julien Odoul, fier de ne pas tomber dans le piège du « calcul du président de la République ». Ancien député européen, Bruno Gollnisch se veut pour sa part plus optimiste : « Un gouvernement d’union nationale ? Dans le principe je n’y serais pas opposé. Il devra inclure Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et pourquoi pas Yannick Jadot. En revanche, au préalable, quelques conditions essentielles doivent être respectées, notamment un discours de vérité de la part du gouvernement pour en finir avec le discours actuel semblable à un cache-sexe des carences du pays. »

Gouvernement d’union nationale ou non, ces réactions révèlent surtout que les traditionnels clivages politiques s’estompent de plus en plus au profit de nouveaux. Les membres des anciens partis de gouvernement cherchent à retrouver leur place, pour rester dans la course à la présidentielle de 2022. Ce qui ne sera pas une mince affaire.

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Macron doit être destitué et jugé, pour assassinat de Français
Publié le 16 avril 2020 - par - 158 commentaires

C’est bien lui qui a clamé que nous sommes en guerre, non ?

Sans préciser que c’est lui contre la France !

Il est clair que très vite après nous avoir été imposé par une poignée d’imbéciles ayant marché dans les promesses et magouilles du clan des mondialistes, Macron est apparu comme n’étant pas du tout à la hauteur de la tâche qu’il avait osé briguer.

Les plus lucides n’avaient pas oublié qu’il avait été un minable ministre des Finances du bouffon Hollande… chez les autres c’était Alzheimer dernier stade !

Incompétent, incapable, inconséquent, inapte sont les qualificatifs qui viennent immédiatement à l’esprit pour qui se penche sur son action, ou plus exactement sa non-action… notamment concernant l’inadmissible retard pris avant les premières mesures pour lutter contre la pandémie… alors qu’il se murmure de plus en plus fort qu’elle était annoncée largement en amont !

N’étant pas la dernière à employer ces qualificatifs, auxquels de bien plus graves s’ajoutent désormais tels, « assassin », « meurtrier », « criminel » … ceux-là ne faisant plus aucun doute ; il est pourtant très clair que son programme, ou plus exactement « le projeeeet » qu’il a braillé pendant la campagne de 2017, n’a absolument rien à voir avec ce qu’il fait sur le terrain…

Mais de toute évidence, plus on avance dans son quinquennat, plus il apparaît qu’il ne fait rien au hasard, mais suit au contraire, très scrupuleusement, le programme de ses maîtres mondialistes, lesquels disposent de fortunes colossales, passibles d’arroser énormément de monde pour réaliser leur but ultime : détruire les nations !

Pour la France, leur choix s’est porté sur Macron, qui a immédiatement mis du cœur à l‘ouvrage pour la dénigrer, niant son histoire, sa culture, ses valeureux héros… et injuriant copieusement les Français, dont il n’a rien à faire… sinon récolter les nombreux impôts sous lesquels il les étouffe !

Pour le sale boulot des mondialistes, Macron est bien plus compétent qu’il n’y paraît !

Alors, s’il est effectivement incompétent… et ce largement prouvé par ses hésitations, revirements, contradictions… et s’il s’emmêle régulièrement les pieds dans la manière de faire, malheureusement il ne perd jamais de vue le but qu’on lui a fixé, et donc, quelle que soit la manière dont il s’y prend, il ne lâchera pas le morceau pour arriver à ses fins.

Et dans son esprit retors, froid, mesquin, vaniteux… il n’y a aucune place pour autre chose que lui, étant parfaitement incapable d’éprouver de l’empathie pour tous ces peuples voués à la destruction.

Comment, dans ces conditions, croire un seul mot du baratin (qu’il croit bien rodé, alors que seulement ridicule) qu’il nous a servi lundi, dûment assorti de l’air grave de circonstance… pendant que la scrupuleuse observation de toutes ses actions confirme qu’il ne ménage pas ses effortspour laisser un maximum de citoyens sur le carreau… que ce soit sur le carrelage d’une morgue ou bien sur la courbe du chômage… ce qui pour certains se résumera rapidement à la même chose !

Démonstration :

Même s’il a déjà donné des signes de son odieuse « compétence » depuis son élection, il est clair que, complot téléguidé ou non, cette pandémie qu’il fait semblant de combattre est au contraire un allié de taille pour l’aider dans sa terrible tâche… ne lui posant aucun problème de conscience puisqu’il s’avère qu’il n’en possède aucune.

Ainsi, non content, dès l’annonce de la pandémie :

– d’avoir tardé à prendre les premières mesures indispensables, il a au contraire nié son importance,

– d’avoir prétendu que le masque ne servait à rien, que les tests étaient inutiles et que « la France était prête », en dépit du nombre de lits d’hôpitaux supprimés depuis des lustres, et du manque criant de matériel… puisque cela fait partie de la feuille de route suivie également par ses prédécesseurs,

– d’avoir refusé de fermer les frontières, annuler les vols en provenance et à destination de l’étranger,

– d’avoir laissé entrer des milliers d’Italiens pour un match de foot,

– d’avoir laissé se réaliser le premier tour d’une élection, qu’il a aussitôt rendue caduque après la décision qu’il imposait à tous les citoyens dès le lendemain,

– d’avoir imposé un confinement national, sans discernement, c’est-à-dire sans avoir auparavant testé tous les citoyens afin de n’isoler ensuite que ceux atteints par le virus afin de les soigner,

– de profiter de cet enfermement pour instaurer un nouveau racket des citoyens ne respectant pas le confinement à la lettre… même si dans le même temps les racailles de banlieue ne sont pas poursuivies…

– d’interdire un traitement qui a fait ses preuves, en sauvant des vies malgré son coût minime, sous de fallacieux prétextes de vérifications, qui prendront de nombreuses semaines, voire des mois… uniquement pour complaire aux labos pharmaceutiques visant de futurs vaccins très juteux…

– d’avoir ajouté, à l’injuste enfermement, l’exclusion des personnes âgées résidant en Ehpad, dont beaucoup sont parties sans un dernier adieu des familles… lesquelles doivent payer pour leur transfert dans des entrepôts de Rungis, et pour passer quelques minutes de recueillement,

– d’avoir surtout permis l’odieux tri des citoyens entre ceux à sauver et ceux à abandonner à leur triste sort… et l’infamie de l’injection létale dans les Ehpad pour activer leur départ !

Tout ce qui précède est déjà fortement propice à multiplier les décès de citoyens qui, avec d’autres mesures, auraient été sauvés, d’une manière ou d’une autre ; mais ce n’est sans doute pas encore suffisant pour Macron et ses donneurs d’ordres, puisque dans un même temps :

– Macron revient sur sa décision de fermer les frontières puisque déjà il ne parle que des frontières de Schengen, et jusqu’à septembre ; il faut donc comprendre que celles-ci seront donc rouvertes dès octobre…

– il a le culot d’aller « féliciter » certains habitants du 93, venus en groupes le rejoindre, qui pour le huer, qui pour lui demander de l’aide… là même où les racailles islamisées défient nos lois, y compris l’obligation de confinement, et continuent de caillasser flics et pompiers…

– il oublie de dire qu’en douce se poursuivent l’immigration et les régularisations en masse, quand le pays est déjà exsangue avec tout ce qui est accordé à ceux déjà là, et les nombreuses faillites qui attendent petites et moyennes entreprises ;

– il prévoie annulation de la dette plus de nouveaux secours à l’Afrique… alors qu’en France on meurt à cause de l’incurie de son gouvernement.

Comme toujours, seul Éric Zemmour trouve la bonne analyse, en réclamant une contrepartie :

Selon lui, l’initiative présidentielle a pour but d’éviter une vague migratoire massive. « Pourquoi pas ? Je pense que les Français qui ont entendu ça préféreraient qu’on réduise leur dette à eux, mais pourquoi pas », estime-t-il.

Il juge néanmoins qu’il faudrait une contrepartie. Par exemple, que les pays africains reprennent leurs migrants clandestins ou s’occupent de la maîtrise de la natalité sur leur territoire.

Entièrement d’accord, mais ne nous leurrons pas !

https://fr.sputniknews.com/france/202004161043572672-zemmour-voudrait-quelque-chose-en-echange-du-moratoire-sur-la-dette-des-pays-africains/

Et le comble c’est que pendant que Macron et ses sbires obligent la totalité des citoyens à rester cloîtrés chez eux… il libère des milliers de prisonniers, parmi lesquels des djihadistes, non parce qu’ils présentent une attitude de regrets de leurs actes passés… mais juste pour que les petits chéris ne soient pas contaminés en raison de la promiscuité dans les prisons !

Nul doute que lorsque nous sortirons, ceux-là ne seront pas loin, impatients de recommencer leurs tueries pour obéir à leur prophète de malheur !

Alors si l’on réfléchit posément à tout ceci, la conclusion en est évidente : Macron veut absolument qu’un maximum de Français meurent… notamment ceux de souche… ses préférences étant ailleurs comme nous l’avons déjà constaté à maintes reprises !

Macron est effectivement un assassin !

Allons-nous continuer encore longtemps à le laisser faire ?

Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

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Liberté Egalité Informés

source :

https://www.bastamag.net/Le-pouvoir-d-influence-delirant-des-dix-milliardaires-qui-possedent-la-presse

 

Liberté-Egalité-Informés

Le pouvoir d’influence délirant des dix milliardaires qui possèdent la presse française

par Agnès Rousseaux 5 avril 2017

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Dix milliardaires ont pris le contrôle d’une grande partie des médias français. Ces oligarques, venus du BTP, de l’armement, du luxe ou de la téléphonie, ont accaparé les grands quotidiens nationaux, les chaînes de télévision et les radios, pour asseoir leur influence. Avec à la clé, conflits d’intérêts, censures, pressions, licenciements, ingérence malsaine... Cette concentration des moyens de production de l’information entre les mains de quelques uns met en péril l’indépendance de la presse dans notre pays. Et porte ainsi atteinte au fonctionnement démocratique. Comment garantir la liberté de l’information et le pluralisme de la presse ? Résumé d’une situation critique, à l’occasion de la campagne #LibertéEgalitéInformés.

À qui appartient la presse française ?

Le secteur de la presse en France est un grand Monopoly. Tout s’achète, tout se vend, les journaux, les télés, les radios. Quelques milliardaires se partagent le gâteau. Résultat : 90 % des quotidiens nationaux vendus chaque jour appartiennent à 10 oligarques ! D’après les calculs de Basta !, les mêmes possèdent des télévisions et radios qui totalisent respectivement 55% et 40% des parts d’audience [1]. Vous avez donc une grande probabilité de lire, regarder ou écouter chaque jour des médias qui appartiennent à ce petit cercle de milliardaires.

Cela pose plusieurs problèmes. La concentration d’abord. Est-il sain qu’une si grande part de la presse appartienne à quelques personnes, richissimes, faisant partie d’une caste de privilégiés ? L’indépendance, ensuite. Est-il normal que les principaux médias de notre pays soient entre les mains de marchands d’armes, d’entreprises du luxe, du BTP, de la téléphonie, de banquiers ou de fabricant de toilettes ? Comment ces propriétaires peuvent-ils concilier liberté de l’information et intérêts privés ? Comment TF1, BFM-TV, Le Monde, Libération peuvent-il produire en toute indépendance des enquêtes sur le secteur de la téléphonie, quand leurs propriétaires sont les patrons de Free, Bouygues Telecom et SFR ? Comment les journalistes du Figaro peuvent-ils porter un regard critique sur la politique de défense de la France, quand le propriétaire de leur journal vend des avions de chasse à l’État français ? Enfin, cette situation ne peut qu’encourager la reproduction d’un système économique qui assure la continuité des intérêts financiers de cette petite classe de possédants. Ils constituent une véritable communauté d’intérêt ! Et ce qui motive de riches patrons à créer des conglomérats médiatiques – qui ne rapportent pas vraiment d’argent – c’est d’abord la possibilité d’acheter de l’influence.

Qui sont ces 10 milliardaires ?

Ils sont cinq à faire partie du cercle des dix premières fortunes de France : Bernard Arnault, PDG du groupe de luxe LVMH (patron des Echos, du Parisien), Serge Dassault (Le Figaro), François Pinault (Le Point), Patrick Drahi, principal actionnaire de SFR (Libération, L’Express, BFM-TV, RMC), Vincent Bolloré (Canal+). On trouve ensuite Xavier Niel, patron de l’opérateur de téléphonie Free et 11ème fortune de France, qui s’est associé avec Pierre Bergé, héritier du couturier Yves Saint-Laurent, et avec le banquier Matthieu Pigasse, pour devenir propriétaire du groupe Le Monde (L’Obs, Télérama, La Vie...). Matthieu Pigasse possède également Radio Nova et l’hebdomadaire Les Inrocks.

Martin Bouygues, 30ème fortune de France, est propriétaire du groupe TF1. La famille Mohn, qui contrôle le groupe allemand Bertelsmann [2], est propriétaire de M6, RTL, Gala, Femme actuelle, VSD, Capital,… Viennent ensuite Arnaud Lagardère, propriétaire d’Europe 1, Paris Match, du JDD, de Virgin radio, RFM, Télé 7 jours, et Marie-Odile Amaury, qui possède L’Equipe (et dont le groupe est, par l’une de ses filiales, organisateur du Tour de France notamment). Petite précision : ces deux derniers ne sont « que » millionnaires, avec tout de même une fortune évaluée entre 200 et 300 millions d’euros. A ce « Top 10 », on pourrait aussi ajouter la famille Bettencourt qui finance le journal ultra-libéral L’opinion. Ou le milliardaire d’origine libanaise Iskander Safa, 71ème fortune de France et propriétaire du très réac Valeurs actuelles.

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Conflits d’intérêts en pagaille

Quelles sont les conséquences sur l’indépendance des médias ? Un mélange des genres pour le moins douteux, qui peut mettre les journalistes en porte-à-faux. Comment TF1 pourrait-il produire des enquêtes critiques sur les abus des partenariats publics-privés (PPP) quand son propriétaire, Bouygues, fait partie des multinationales du BTP qui bénéficient de ces juteux contrats ? Autre exemple : comment un média peut-il s’intéresser de près aux affaires d’évasion fiscale quand son patron manifeste un attrait prononcé pour les paradis fiscaux ? C’est la question que doivent se poser les journalistes de BFM-TV à chaque nouveau scandale fiscal.

Leur boss, Patrick Drahi, a échafaudé, à partir de sa holding personnelle, un opaque et complexe montage de filiales et de trusts, dispersés au sein de paradis fiscaux notoires : Guernesey, Suisse ou Luxembourg. Comment BFM évoque-t-elle le scandale des Panama Papers, dans lequel apparaît le nom de Patrick Drahi ? « Vous avez vu la réaction des gens qui ont été cités ? Ils se défendent c’est normal. Patrick Drahi, par exemple, qui reconnaît avoir une société, mais rien d’illégal. (…) Est-ce que finalement c’est la bonne méthode de jeter en pâture des noms de personnalités, sans qu’elles aient vraiment la possibilité de se défendre ? », explique ainsi l’animateur Olivier Truchot dans son émission BFMStory...

Voir l’organigramme de l’empire industriel de Patrick Drahi, réalisé par l’économiste Benoît Boussemart et publié par Le Canard enchainé  :

 

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Autre problème, les proximités entre patrons de presse et politiques. C’est Nicolas Sarkozy, proche de Bernard Arnault, qui annonce en 2007 aux journalistes des Echos le nom de leur nouveau patron ! Car ces richissimes propriétaires de presse entretiennent quelques affinités avec des responsables politiques : lors du mariage de Nicolas Sarkozy avec Cécilia Ciganer-Albéniz, les deux témoins sont… Bernard Arnault et Martin Bouygues. C’est sur le yacht d’un autre ami, Vincent Bolloré, que Nicolas Sarkozy choisit d’aller se reposer après son élection en 2007. « Arnaud est plus qu’un ami, c’est un frère », déclare encore Nicolas Sarkozy à propos de l’héritier Lagardère. Enfin, il compte Serge Dassault parmi les clients de son cabinet d’avocats. La moitié de ces dix propriétaires de presse sont des proches de l’ancien président. Bref, question indépendance, on repassera !

Quel que soit l’impact réel de ces connivences et les éventuelles pressions, les dégâts du soupçon – le fait que ces riches patrons se trouvent en conflit d’intérêts, en situation de pouvoir abuser de leur position pour leur intérêt propre – sont bien là. Cette simple suspicion produit une délégitimation du secteur de la presse. Conséquence : seuls 34% des Français estiment que les médias fournissent des informations dignes de confiance. Plus de deux tiers des Français pensent que les médias subissent des pressions commerciales ou politiques qui impactent les informations délivrées [3].

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Licenciements et coups de pression

Lorsqu’on est journaliste, peut-on travailler en toute indépendance dans cette situation ? Quelques exemples – la face visible de l’iceberg des pressions souterraines ! – montrent que ce n’est pas le cas : l’ingérence de ces patrons est bien réelle. Certains ont une fâcheuse tendance à faire le ménage en arrivant, pour mettre à la tête des médias des dirigeants compatibles avec leurs intérêts, avec pour mission de purger les rédactions. Un cas d’interventionnisme remarqué fut la nomination de Guillaume Zeller, catholique traditionaliste, comme directeur de l’information du groupe Canal+, par Vincent Bolloré. Ce dernier semble vouloir actuellement enterrer Canal+, après avoir vidé de ses forces vives la rédaction d’iTélé, rebaptisée CNews, après la plus longue grève de l’histoire de la télévision.

Il semble ne plus y avoir de limites à ce « grand ménage ». En 2016, Aude Lancelin, directrice adjointe de la rédaction de L’Obs, est licenciée pour des raisons politiques. En 2017, Olivia Recasens, directrice adjointe de la rédaction du Point, est limogée du jour au lendemain, pour faute grave, et pour des motifs réels tout aussi inavouables. Autant de coups de pression, qui envoient un message clair aux rédactions : pas de vagues, rentrez dans le rang !

Ingérence et censures

Le patron de M6, Nicolas de Tavernost, avoue avoir exercé des pressions sur les journalistes de la chaîne pour « ne pas contrarier des clients ». Il explique ainsi avoir censuré une émission de Capital sur la téléphonie. Autre cas notable, la censure par Vincent Bolloré d’une enquête sur le Crédit mutuel, qui devait être diffusée par l’émission « Spécial investigation » sur Canal+. Un simple coup de fil a suffi pour contenter la banque, partenaire de Vincent Bolloré, qui ne voulait pas voir sortir cette enquête. Reporters sans frontières et le collectif « Informer n’est pas un délit » dénoncent par ailleurs la censure et la déprogrammation de quatre documentaires qui devaient être diffusés par Canal+.

Un autre risque, plus pervers car plus discret, est l’autocensure de journalistes. Des journalistes qui veulent bien faire leur métier, mais qui n’osent plus proposer des articles sur des sujets sensibles, ou qu’ils savent problématiques pour le propriétaire de leur média. Sans compter les pressions économiques, avec les suppressions de postes et des moyens nécessaires à tout travail d’enquête. Promouvoir des logiques managériales « musclées », imposer des contraintes économiques fortes sur la production de l’information, précariser les rédactions mises en permanence sur la sellette, bref, promouvoir une information low cost, est aussi une forme de censure.

A cette liste des moyens de censure, il faudrait ajouter les « poursuites baillons », dont l’objectif est de dissuader les médias de s’emparer de certaines affaires (lire notre article « Bolloré, la presse et les poursuites ‘homéopathiques’ en diffamation »). Ou les mesures de rétorsion, comme celle de Bernard Arnault, ulcéré par le titre « Casse-toi, riche con » de Libération, lors de sa demande de naturalisation en Belgique en 2012, et qui décide de couper les budgets de publicité alloués par le groupe LVMH au quotidien.

Comment cela évolue-t-il ?

Pas vraiment vers davantage de pluralisme ! En quelques mois, en 2015, on a vu le rachat par Patrick Drahi de Libération et du cinquième groupe de presse magazine en France, Express-Roularta, ainsi que sa prise de participation (à 49%) dans NextRadioTV (BFMTV, RMC). A la même période, Bernard Arnault, déjà propriétaire des Échos, rachète Le Parisien et Aujourd’hui en France, le groupe Le Monde rachète L’Obs, et Vincent Bolloré prend le contrôle de Canal +, via Vivendi. Des banques sont également entrées dans ce jeu de Monopoly. Le Crédit mutuel est ainsi devenu en dix ans l’unique propriétaire du groupe EBRA, premier groupe de presse quotidienne régionale, implanté dans l’Est de la France (Le Dauphiné libéré, Le Progrès, Dernières Nouvelles d’Alsace, L’Est républicain…) [4]. Et le Crédit agricole est devenu actionnaire de journaux régionaux, comme La Voix du Nord et Le Courrier picard (via le groupe belge Rossel).

Ce petit milieu multiplie les participations croisées [5]. En parallèle de cet accaparement, ces milliardaires ont mis la main sur l’ensemble de la chaine de production. Exemple avec les entreprises de production de contenus : c’est Lagardère qui produit pour France 5 les émissions « C dans l’air », par l’intermédiaire de sa société Maximal Productions. Ces oligarques sont aussi propriétaires des « tuyaux » de diffusion, comme les « box » (FreeBox, Bbox, Box SFR) qui permettent la diffusion dans tous les foyers de France d’internet et de la télévision. Une intégration « verticale » qui concentre la diffusion d’une grande part de l’information entre les mains de ceux qui détiennent les clés de sa production.

L’information devient ainsi un produit comme les autres : l’opérateur de télécoms SFR propose ainsi une box Internet « à partir de 19,99 euros par mois », avec, pour le même tarif, l’abonnement numérique à 18 journaux. « Une machine à tuer le journalisme de qualité », estime Le Point. Un peu comme un cadeau bonus. On achète le tuyau – une connexion web – et on gagne en prime un produit secondaire, des médias.

En quoi cela nous concerne tous ?

On pourrait se dire que chaque société a les médias qu’elle mérite. Ou que chacun lit, écoute, regarde ce qu’il veut. Que tout le monde peut faire son propre tri dans le flot médiatique. Sauf que les médias ne sont pas un business comme un autre. Défendre l’indépendance de la presse, ce n’est pas un combat « corporatiste », un « truc de journalistes » qui se battraient pour leur outil de travail. Il ne peut pas y avoir de démocratie forte, voire même de démocratie tout court, sans citoyens informés, et bien informés. L’information est un bien public. Autant de médias sous contrôle d’une petite oligarchie, véritables chiens de garde du néolibéralisme, c’est une atteinte à nos libertés fondamentales.

Cette situation n’est pas une fatalité. Lutter contre tout ce qui encourage la concentration des médias et leur financiarisation est possible (voir les propositions de la campagne #LibertéEgalitéInformés). On pourrait mettre en place des dispositifs anti-concentration plus exigeants. Ou interdire le contrôle de médias par des entreprises qui dépendent de marchés publics – Bouygues, Dassault,... – comme le propose l’association Acrimed. Ou conditionner le versement des aides à la presse aux médias qui ne sont pas détenus par des milliardaires, dont les intérêts principaux ne sont pas dans le secteur de la presse. Voire même, soyons fous, limiter ces aides aux médias à but non lucratif, qu’ils soient privés, coopératifs ou associatifs.

Il est nécessaire que ces propositions et réformes salutaires – ou d’autres ! – soient discutées et débattues. Mais aussi les conditions qui favoriseront l’émergence, le développement et la consolidation de médias indépendants, pour garantir le pluralisme de l’information en France. Défendre et faire vivre une presse libre ne semble malheureusement pas une priorité pour bon nombre de candidats à l’élection présidentielle.

@AgnèsRousseaux

 Voir la campagne #LibertéEgalitéInformés, lancée par le collectif Informer n’est pas un délit (dont fait partie la rédaction de Basta !) et Reporters sans frontières

Pour aller plus loin :

 Acrimed, « Les grandes manœuvres de concentration multimédia : comment et pourquoi ? »
 Acrimed, « Concentration des médias : convergences et dépendances »
 Le Monde diplomatique, « Médias français : qui possède quoi »
 Laurent Mauduit, « Main basse sur l’information ! », Médiapart
 Laurent Mauduit, Main basse sur l’information, Éditions Don Quichotte, 2016
 Aude Lancelin, Le monde libre, Editions Les liens qui libèrent, 2016

Et pour lire des médias indépendants :

Vous pouvez consulter l’itinéraire conseillé par Basta ! et la liste des 150 médias membres du Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (Spiil). Bonne lecture !

Les articles publiés pour la campagne #LibertéEgalitéInformés :

 Par Médiapart : #LibertéEgalitéInformés : des censures et des pressions, en veux-tu en voilà !
 Par Les Jours  : Manuel de manipulation du journaliste en campagne et La matinée où l’affaire Fillon a été supprimée d’i-Télé
 Par France Inter :
La chronique de Nicole Ferroni : Informer n’est pas un délit, c’est un défi !
L’invité de 8h20 : Patrick Boucheron : "On adore détester, on est au spectacle d’une parole dont on n’attend plus d’effet de vérité"
 Par Street Press : Coups de matraque, tirs de flashball et fiche S : Journalisme en état d’urgence
 Par Télérama : Une journée pour interpeller les candidats à la Présidentielle sur la liberté de l’information
 L’infographie de CFactuel
 Par Reporterre : Quand les puissants tentent de bâillonner l’information
 Par L’Humanité : Médias. Informer n’est pas un délit, c’est même un devoir
 Par Alternatives économiques, « Le modèle économique des médias s’effondre totalement »
 Par La Télé libre (reportage vidéo) : Les Colleurs de la Liberté de l’Information
 La tribune relayée par MarsActu, Le Journal minimal, AngersMag, Made in Perpignan, Causette, ArtSixMic, Médiacités, Revue XXI, DailyNord, ArtsHebdo Médias, L’Accent Bourguignon, Explicite, Le Zéphyr...

Notes

[1Méthodologie : Audience cumulée des médias appartenant (à titre personnel ou via des entreprises contrôlées par eux, leurs héritiers ou leur famille proche) à Bernard Arnault, Serge Dassault, François Pinault, Patrick Drahi, Vincent Bolloré, Martin Bouygues, le trio Xavier Niel - Pierre Bergé - Matthieu Pigasse, Marie-Odile Amaury, Arnaud Lagardère, la famille Mohn (groupe Bertelsmann). Sources des calculs de l’audience : 1 / Radio : Audience de la radio en France métropolitaine en novembre-décembre 2016, en semaine (lundi-vendredi), mesurée auprès de 28 425 personnes âgées de 13 ans et plus, par Médiamétrie. 2 / Presse écrite : Selon chiffres de diffusion des quotidiens nationaux français (les propriétaires de 6 quotidiens sur 8 appartiennent à la liste ci-dessus). Source : Classement Presse Quotidienne Nationale 2016, ACPM. 3 / Télévision : Part d’audience et couverture nationale des agrégats et des chaînes de télévision pour l’année 2016, du lundi au dimanche, pour les Français de 4 ans et plus. Chiffres Médiamétrie, Médiamat Annuel 2016.

[2] La famille Mohn détient aujourd’hui 19% du capital du groupe, le reste des parts étant détenues par des fondations créées notamment par la famille Mohn. Voir la structure du capital. C’est l’un des seuls groupes ici cités qui a une grande partie de ses activités dans le secteur de la presse et de l’édition.

[3] Source : Eurobaromètre spécial 452, Pluralisme des médias et démocratie, Septembre - Octobre 2016.

[4] En terme de concentration, la situation n’est guère plus enviable du côté de la presse régionale : la majorité de la presse quotidienne appartient à sept groupes (Ouest-France, Hersant, Rossel, La Dépêche, La Provence, Sud-Ouest et Crédit mutuel).

[5] Lire « Concentration des médias : convergences et dépendances », par Benjamin Lagues, Denis Perais, Martin Coutellier, Sophie Muret, publié par Acrimed : « En 1998, déjà, Vincent Bolloré avait revendu les parts qu’il détenait chez Bouygues à… François Pinault et à son groupe Artemis ; en 2004, Bernard Arnault entre au conseil d’administration de Lagardère, il y restera jusqu’en 2012 ; en 2010, Bernard Arnault rachète Le Journal des finances (devenu Investir-Le Journal des finances au sein du groupe Les Echos) à… Serge Dassault ; en 2012, Vincent Bolloré devient le premier actionnaire de Vivendi en revendant au groupe Canal+ ses chaînes D8 et D17 contre des actions ; la même année, c’est Lagardère qui cède sa participation dans Canal+ France (20%) au groupe Vivendi (de Vincent Bolloré …) ; en 2013, Amaury rachète au même Lagardère sa participation dans le groupe familial (25%) ; en 2014, Vivendi, dirigé par Vincent Bolloré, cède 80% de l’entreprise de télécommunications SFR au groupe Altice de Patrick Drahi, les 20% restants suivront le même chemin en 2015 ».

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Pour Dany-le-pédo, les clandos sont venus délivrer la France du Covid-19 !

Publié le 27 avril 2020 - par Josiane Filio - 43 commentaires - 1 439 vues

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cohn-bendit

Dany le Rouge a encore frappé !

Mais faites-le taiiiiiiire !!!

C’est vrai qu’ils osent tout ! Toujours ! À propos de tout !

Eux, ce sont les cons bien sûr : mais c’est encore pire quand ils sont doublés de pédophilie et d’islamo-collaboration assumées sans complexe.

Surtout le salopard du jour, qui sans vergogne, avouait jadis aimer se faire tripoter par de petits enfants, et qui normalement devrait depuis se terrer chez lui, la honte au front, et ne plus la ramener…

Mais cela serait si le monde, et particulièrement la France, n’était pas aux mains des dégénérés en tous genres, qui, au lieu d’entreprendre un traitement sérieux en vue de guérir de leurs vices, n’avaient au contraire entrepris de gangrener les autres, en se comportant comme si eux étaient « la norme », et nous les pervertis !

C’est ainsi qu’au fil du temps, puisant dans le vivier des nantis blasés, toujours à la recherche de nouvelles sensations, ceux qui rasaient les murs avant se sont regroupés en associations actives, représentant des minorités devenues tellement agissantes qu’elles ont acquis des droits pour les pervers de toutes sortes, quand ils mériteraient plutôt le fouet, la prison ou la corde !

Malheureusement, avec un nombre croissant de juges faisant désormais fi de la déontologie de leur beau métier, il est devenu difficile de stopper l’ascension de certains misérables, dont beaucoup paradent même dans les « hautes sphères » des pouvoirs.

Le nombre de vies brisées à cause de ces ordures importe peu aux puissants de ce monde, et l’on a pu s’étouffer de rage il y a peu, en apprenant que le prince Charles d’Angleterre avait eu le cœur brisé par la mort due au Covid-19 d’un jeune musulman… quand on attend toujours de lui, non seulement des mots, mais surtout des actions pour punir les violeurs des 18 700 petites filles violées par le gang pakistanais !

https://resistancerepublicaine.com/2020/04/25/un-jeune-muzz-mort-du-virus-bouleverse-le-prince-charles-pas-un-mot-pour-les-18700-fillettes-violees/

Mais le pire, si tant est qu’il puisse y avoir une échelle de grandeur dans les horreurs de ces monstres (ceux qui agissent et ceux qui les laissent faire !), c’est que non contents de ne pas se faire oublier, certains d’entre eux, bien au contraire, ne perdent jamais une occasion de la ramener pour nous infliger leur prétendue science !

En France, c’est Dany le Rouge, surnommé ainsi depuis mai 68, qui régulièrement ramène sa face de vipère pour nous asséner son point de vue… quand nous n’aurions qu’une envie, c’est de lui mettre le nôtre, de « poing » dans la tronche !

Cette saloperie vivante, bénéficiant de la scandaleuse double nationalité franco-allemande (ou l’inverse) sévit donc de part et d’autre de la frontière, et régulièrement nous impose son analyse sur l’actualité ; laquelle lui convient dès lors qu’elle concerne la fange dont il est issu.

Alors aujourd’hui, c’est depuis l’Allemagne où il est planqué, puisqu’il est moins dangereux d’y vivre qu’en France (il faut reconnaître que la Teutonne gère mieux la pandémie que Jupiter !) qu’il explique à Macron et à la France ce que nous devons faire à propos des envahisseurs qui nous imposent leur présence, et leurs exigences !

Écoutez-le éructer ses conseils empoisonnés, à savoir qu’il faudrait ni plus ni moins régulariser les clandestins, au titre de combattants (comme ceux qui ont jadis combattu ses concitoyens !) puisque d’après lui, ils seraient venus en France pour travailler (non mais, il vit sur quelle planète ?) et pour combattre le Coronavirus !

https://twitter.com/CPolF5/status/1254459209170726913

http://www.fdesouche.com/1368075-something-went-wrong-but-dont-fret-lets-give-it-another-shot-13

On croit mourir de rage en entendant cela !

Mettre sur le même plan les vrais combattants d’hier, dont certains ont laissé leur vie pour défendre la France, avec des traîne-savates, incapables de combattre leurs propres dirigeants, est absolument scandaleux !

Il est au courant, le rouquin, que la plupart d’entre eux sont jeunes, ayant fui lâchement leurs pays prétendus en guerre, abandonnant sur place la gente féminine ?

En temps de guerre, si c’était vrai, ils ne seraient que des couards ; mais il est bien plus probable qu’ils ne risquaient absolument rien dans leurs pays, et que ce ne sont que des opportunistes, accourant à la manne vantée par les saloperies d’ONG, ayant endetté leurs familles pour ces nouveaux méprisables esclavagistes les spoliant au passage.

Et une fois sur place, la majorité d’entre eux est bien plus véloce pour « faire valoir leurs droits » et exiger toujours plus du pays d’accueil… que pour travailler !

Alors, d’une manière ou d’une autre, en quoi cela leur vaudrait-il la reconnaissance de la nation, et le statut de « combattants » que l’on devrait donc régulariser en remerciement ?

Avec Cohn-Bendit, nous sommes bien dans la même folie que Macron quand il laisse entendre que la France devrait tout aux étrangers, tordant le cou à nos héros nationaux dont il traficote l’histoire à sa façon !

En septembre 2018, Yvan Rioufol, sur son blog, qualifiait avec justesse Cohn-Bendit de « mauvais génie » de Macron ; il n’est donc pas interdit de craindre que celui-ci décide d’accéder à sa demande, non seulement en régularisant les sans-papiers, mais comme il n’est jamais à une saloperie près pour humilier la France, pourquoi pas également leur créer un statut d’anciens combattants, comme si leur cas était semblable à celui des courageux venus délivrer la France… mais avec bien plus d’avantages que certains vrais combattants, actuels ou passés, que l’État représenté par ce genre de guignol oublie régulièrement pour mieux encenser ses protégés !

https://blog.lefigaro.fr/rioufol/2018/09/bloc-notes-cohn-bendit-le-mauv.html

Depuis mai 68, ce hâbleur à l’ego surdimensionné a trouvé moyen d’approcher certains des décideurs, et à ce titre est régulièrement venu nous em… avec ses conseils et recommandations, persuadé que la France a toujours eu besoin de lui, alors que l’immense majorité des citoyens n’éprouve que dégoût pour le répugnant personnage !

 

cohn-bendit-et-les-puissants

Parfait emblème de cette clique de dégénérés, dont les mœurs prouvent qu’ils n’éprouvent aucun respect pour les êtres humains (du moins ceux qu’ils sentent fragiles et influençables), ils osent néanmoins se dire touchés par la prétendue misère des clandestins… que pourtant ils s’arrangent pour laisser à la charge des autochtones, dont ils se foutent comme de leur première mauvaise action.

Sans âme ni conscience, ils se posent en donneurs de leçons envers ceux qui pourtant les supplantent aisément, en termes de mentalité… et risquent de tomber de haut si les choses changent comme nous l’espérons.

Ce déchet humain nommé Daniel Cohn-Bendit, comme ses pairs, mordra un jour la poussière sans rien comprendre à ce qui lui arrivera, car se prenant pour un personnage incontournable depuis qu’il fréquente assidûment les hommes politiques aussi pervertis que lui, il s’imagine que le petit peuple attend ses sentences… alors que c’est seulement en période d’éventuelle pénurie de PQ qu’elles pourraient avoir le commencement d’un début d’utilité…

Qu’il s’occupe de ses fesses, en commençant par choisir définitivement entre la France et l’Allemagne ; la double nationalité étant un pur scandale, qui ne devrait être toléré que pour les enfants nés de deux parents de nationalités différentes… en attendant de choisir à sa majorité celui des deux pays dans lequel il se reconnaît le plus… ce qui n’impliquerait pas pour autant qu’il renie ses doubles racines.

Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

 

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