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26 août 2020

DEMAIN AVEC LA FAMINE QUI SE PROFILE EN CHINE COMMUNISTE CE SERA PROBABLEMENT LA CHUTE DU DICTATEUR COMMUNISTE XI-JINPING

 

 

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LA FAMINE QUI ARRIVE EN CHINE VA-T-ELLE CHASSER XI-JINPING ?

Une campagne publique récemment lancée en Chine a attiré l’attention des observateurs attentifs  du pays.
Son nom : « Campagne des assiettes terminées« .
Quand on connaît un peu l’esprit poétique du Parti Communiste Chinois, on traduit tout de suite en « Vous mangez trop, c’est terminé » ! Mais pourquoi ?
Dans un pays qui se prétend en pleine croissance, le bien-être nouveau et l’augmentation du niveau de vie entraînent naturellement une augmentation de la consommation alimentaire, ce que font ceux ayant les moyens d’acheter un peu plus de nourriture et de meilleure qualité.
Le plat de base dans la Chine pauvre – celle des campagnes et des milieux ouvriers – c’est boulettes de riz (ou en bol) et quelques dizaines de grammes de porc. Dès que vous touchez plus d’un euro par jour (le revenu agricole de base pour cent cinquante millions de Chinois), vous avez envie de mieux manger…



LES FAMINES ONT TOUJOURS ÉTÉ FRÉQUENTES EN CHINE

Dans le passé, cela tenait – et tient toujours – au peu de terres cultivables dans le pays dont une grande partie, le Sud, est, soit montagneuse tropicale, soit montagneuse froide (plateau du Tibet) ; le Nord est semi-désertique (désert de Gobi), comme l’Ouest et le Sud-ouest (désert de Takiamakan). Seul l’Est a de grandes plaines.
En gros, la Chine  ne possède que 10 % des terres arables du monde, mais doit nourrir 20 % de la population mondiale.

La Chine est victime, comme le monde entier agricole, des variations climatiques, des gelées, des pluies excessives, des périodes de réchauffement et de sécheresse.  Au temps des empereurs il y avait donc régulièrement des périodes plus ou moins longues de famine.

La famine de 1907

En 1949, le PCC et Mao prennent le pouvoir et mettent en place une économie socialiste, égalitaire, sans propriété privée, etc. Comme l’avait fait l’URSS dès 1918. Les paysans, 750 millions, ne sont plus propriétaires mais louent une parcelle de terrain à l’Etat par l’entremise de la communauté communiste villageoise. Ayant eu connaissance de l’échec du système des kolkhozes en URSS, Mao a laissé la paysannerie gérer la production, mais pas les prix du marché, car il fallait de la nourriture à bas prix pour développer l’industrie sur la base de bas salaires.

Mais il a oublié l’essentiel ! Comment réagit le paysan qui n’est pas propriétaire de son champ ni maître de son prix de vente ? Il produit de quoi nourrir sa famille correctement, et a minima pour un supplément qui, selon les statistiques officielles ne rapporte qu’entre 0,5 et 2 euros par jour.
Aujourd’hui encore, 150 millions de paysans gagnent en moyenne 0,80 €/jour.
Les parcelles sont de petite taille (0,6 ha en moyenne), et il y a peu de production agricole industrielle capable de forts rendements.
La production  de nourriture est donc trop faible. Mais elle est « bio » ! Engrais naturels, comme l’urine ramassée régulièrement par camions citernes dans les écoles et les administrations ; et les circuits sont courts, du paysan à la coopérative villageoise qui se charge de la réexpédition vers les villes.

AVEC LE PCC LES FAMINES NE SONT PLUS NATURELLES MAIS PROVOQUÉES

La grande famine de Mao, 1960

En 1958, Mao décide de secouer tout ça. Il lance Le « Grand Bond en Avant ».
Les paysans ne produisent pas assez ? On collectivise !
Les ouvriers sont feignants ? On leur fixe des obligations de rendements totalement irréalistes avec des projets de développement pharaoniques !
En bon communiste, Mao n’avait pas compris que le paysan produit quand il peut gérer son travail et ses revenus, quand ses efforts lui rapportent.
Il n’avait pas compris que l’ouvrier travaille si le salaire reçu lui permet de vivre correctement.
Il n’avait pas compris que si l’économie est gérée par des fonctionnaires, et non des agriculteurs et des industriels, c’est l’échec assuré, destin fatal de toutes les économies socialistes, comme nous le prouvent encore aujourd’hui le Venezuela, la Corée du Nord, quelques pays d’Afrique et peut-être bientôt la France si elle n’est pas rapidement remise sur les rails.

En 1959 se produit donc une famine provoquée par la gestion socialiste de l’économie.

Les autorités communistes locales ont pensé que, pour faire plaisir à Mao, il fallait privilégier l’industrie. Des millions de paysans inexpérimentés ont donc été envoyés pour travailler dans les usines, les aciéries… et la production industrielle a chuté du fait des malfaçons pendant que l’agriculture s’effondrait : entre 40 et 45 millions de morts de faim !

LE PARTI COMMUNISTE INVENTE LE COMMUNISME ULTRA-CAPITALISTE

Le PCC réfléchit et en 1972,  Deng Xiaoping déclare que « peu importe la couleur du chat, pourvu qu’il attrape la souris ». On passe donc au capitalisme ultra, mais sous contrôle étroit du parti. Le capitalisme-communiste est inventé.

Xi Jinping arrive alors. Il a passé son enfance avec ses parents dans un appartement doré et luxueux, avec domestiques, de la Cité Impériale, en zone interdite à Pékin. Son père ex-compagnon de Mao et ministre, faisait partie de la noblesse communiste (1). Mais, menaçant la suprématie du secrétaire du parti de l’époque, il est envoyé en prison.
Son fils, Jinping, futur patron du pays, est envoyé à 9 ans en camp de concentration rural. Pardon, en camp de rééducation par le travail. Re-pardon, depuis 2019 c’est « camp de formation professionnelle » : 10 h de travail par jour, 7 jours sur 7 dans les champs par tous les temps, plus deux heures de rééducation au communisme le soir et il vaut mieux avoir une bonne mémoire car si l’on répond mal à une question de l’animateur le lendemain c’est la bastonnade. Le tout non payé, bien sûr. Il y passe neuf ans et y a appris par cœur tous les discours de Mao.

Le secrétaire général du PCC, hostile à la famille Xi ayant disparu, le père Xi est réhabilité. Le parti se souvient qu’il est membre de la noblesse rouge, le fils Xi Jinping est placé en observation comme secrétaire personnel du ministre de la guerre Chi Haotian qui, à l’époque, (2003) réfléchissait à une guerre bactériologique susceptible de donner la suprématie mondiale à la Chine.

Devenu en quelques années secrétaire à vie du PCC et président à vie, Xi Jinping a réorganisé le système agricole en commettant les mêmes erreurs que ses prédécesseurs : les paysans n’ont plus aucun intérêt à cultiver. Que font-ils ? Ils confient aux grands-parents le lopin de terre loué à l’État, leur laissent en garde  leur unique ou leurs deux enfants, et vont en ville dans un appartement de 9 à 15 m2 chercher du travail, d’ouvrier pour lui, d’employée pour elle, ce qui permet d’avoir deux salaires… disons « corrects », avec lesquels ils gagnent beaucoup plus qu’en étant paysans. La production agricole chute.

Appartements ouvriers en Chine communiste

PAS DE CHANCE POUR XI JINPING, LA NATURE S’EN MÊLE

La Chine est riche, elle ne s’en inquiète pas, elle achète des céréales à l’Australie, au Canada, et même aux États-Unis. Une épidémie décime les poulets ? Pas grave, elle achète du poulet en Thaïlande. Une épidémie décime la moitié du cheptel porcin, viande de base de la cuisine chinoise ? Pas grave…  Aïe, si ! Car le porc chinois, c’est plus de la moitié du porc mondial. Si la moitié de la production chinoise manque, le monde ne peut pas la fournir, loin de là.

La catastrophe se double de Covid-19, le virus-chinois (2) échappé de Wuhan, qui réduit drastiquement la production mondiale, céréales et poulets compris, donc surtout les exportations. De plus, Australiens et Américains se fâchent en constatant que les bornes Huawei de 5G sont équipées sournoisement de puces-espions. Ils prennent des mesures de rétorsion sur leurs exportations de produits agricoles vers la Chine. « Il faut réduire la consommation de nourriture des Chinois », dit le PCC, les assiettes pleines, c’est terminé !

Le PCC a bien pensé à développer les élevages de larves, de scorpions, de blattes, de rats et de scolopendres, mais c’est de la protéine de luxe, au kilo c’est nettement plus cher que le prix du kilo de porc qui a pourtant doublé en un an. Et les autres denrées ont augmenté déjà de 10 %.
Que faire ?

On  va commencer par diminuer d’autorité les rations dans les restaurants, les cantines des écoles et des entreprises, puis, progressivement on étendra la mesure aux foyers domestiques. On réduira ensuite la quantité de produits alimentaires sur les marchés, dans les grandes surfaces et les supérettes. Une loi est en préparation, selon le journal chinois Epoch Times.

Va-t-on en Chine vers les tickets de rationnement ? Quelle perte de face pour celle qui se prend déjà pour la plus grande puissance mondiale !

Alors, comme toute administration habituée à tout réglementer se trouvant prise en faute, la patate chaude passe de main en main, et la chasse au coupable (de préférence extérieur à l’administration), fait rage.

On connait ça en France : d‘abord culpabiliser « les gens de rien ». Les masques ne servent à rien ont-ils dit, mais si ces jours-ci Covid remonte légèrement  par endroits, surtout dans les quartiers racailles de Seine Saint-Denis, Paris et Marseille, c’est parce que vous ne les portez pas partout, sur les plages, dans les mariages, en haute montagne…

En Chine, si le porc et les céréales manquent, c’est que les Chinois mangent trop, il faut donc sévir !

Au PCC, c’est encore plus grave, un début de panique. Et si, rendus furieux par le manque de nourriture et la flambée des prix, des troubles civils généralisés se déclenchaient un peu partout ? Surtout que des lanceurs d’alerte (ceux qui ne sont pas encore en rééducation professionnelle dans les camps de concentration) ont divulgué des photos où l’on voit des silos de maïs du stock stratégique complètement pourri faute d’entretien et de traitements antifongiques adaptés.
Et des rumeurs de corruption aux plus hauts niveaux courent sur le net.

En plus, au PCC, on est bien placés pour savoir que les pénuries ont une forte probabilité de s’accroître dans les mois qui viennent et les prix de grimper encore.

LA NATURE S’ACHARNE CONTRE LE PCC

En effet, une nouvelle catastrophe naturelle approche : des attaques massives d’insectes prédateurs sur les cultures.

Selon Epoch Times, « En plus (d’un retour possible) de la grippe porcine africaine, les cultures chinoises sont menacées par l’infestation d’insectes voraces. Des essaims de criquets pèlerins aux proportions bibliques ont ravagé l’Afrique de l’Est et le Pakistan. Ils pourraient aussi bientôt avoir un impact sur la production céréalière chinoise dans la province du Yunnan, située dans le sud-ouest de la Chine. Mais il n’y a pas que les criquets. Des essaims d’une race différente de celle du Laos dévorent déjà les cultures chinoises. »

Apparu dans le Sud et le Sud-Ouest en 2019, le lépidoptère Spodoptera frugiperda a ravagé les cultures de maïs et de blé. C’est un petit papillon surnommé au Brésil Le légionnaire d’automne dont la chenille est dite polyphyllophage (elle mange tout) ! Blé, maïs, sorgho, mil, et même le coton ! En 2016 elle a fait de gros dégâts en Afrique. En 2019 en Inde, puis dans tout le Sud-est asiatique et au Yunnan où elle réapparaît maintenant avec l’arrivée de l’automne.

(https://fr.theepochtimes.com/chine-a-faim-1500531.html)

Chenille dans une tige de maïs (ici découpée). La chenille mesure entre 1 et 2 cm

Et pour le bouquet final, il y a des inondations. Plus de 5,2 millions d’hectares de terres agricoles sont sous l’eau, détruisant 5 % au moins de la production de riz de la Chine, et peut-être le double si les inondations devaient se poursuivre.

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DESTIN PROBABLE DE XI JINPING : UN BEAU PLACARD DORÉ

Ajoutons à cela les tensions entre la Chine et les Etats-Unis d’où elle importe des millions de tonnes de soja, du maïs et du blé.
Et des stocks stratégiques au plus bas, China Grain Reserve Corp. et National Grain Rade Center ayant distribué dès juillet 2020 plus que durant toute l’année 2019.

De plus, le doute monte dans la population chinoise sur la capacité du PCC à la nourrir et apparaissent les premiers signes de colère dus à la rareté grandissante de la nourriture, les prix qui flambent, le chômage qui monte, les revenus qui baissent. Les bruits se répandent  dans l’opposition sur la mauvaise gestion nationale et internationale de la crise Covid et celle encore plus mauvaise de la crise agricole. S’ajoute alors l’erreur de communication colossale de la campagne de propagande « terminez votre assiette ».
Xi  Jinping a du souci à se faire pour l’avenir.

https://www.courrierinternational.com/article/chine-cai-xia-exclue-du-parti-communiste-xi-jinping-tue-un-parti-et-un-pays

Si l’échec de Xi Jinping est avéré cet hiver, deux facteurs vont jouer dans une première phase : ne pas perdre la face et sauver le parti communiste. Car c’est bien le parti qui l’a élevé en camp de rééducation, nommé secrétaire général à vie du parti et président de la Chine à vie. Il ne peut ni renvoyer ni destituer Xi Jinping sans perdre la face. Celui-ci connaîtra une fin similaire à celle de Mao dans les années 1975 suite à la grande famine et la Révolution culturelle, placardisé discrètement sous un prétexte de santé quelconque.
Puis, comme pour Mao, les critiques publiques commenceront à fuser.

C’est l’hypothèse la plus vraisemblable. La suite dépendra du niveau de colère du peuple chinois. Dans sa majorité, il n’est communiste que par obligation. Les paysans, les ouvriers, les colonisés (Mongols, Ouighours, Tibétains), les religieux, chrétiens, bouddhistes, musulmans, et les cent millions de membres de Falun Gong subissent, mais n’en pensent pas moins.

Globalement, d’un côté 90 millions de communistes encartés et 260 millions de partisans du PCC (fonctionnaires, armée).
En face, 1,1 milliards d’opposants potentiels.
La grande question est : que fera l’Armée Populaire ? Qui choisira-t-elle, peuple ou parti ?

Xi Jinping ferait bien de relire l’histoire biblique de Pharaon obligé de céder aux Juifs. Non à cause de la politique, mais à cause des dix plaies d’Egypte.

L’Imprécateur
22 août 2020

1 : Les communistes, comme les socialistes et finalement tous les partis politiques du Monde ont leur bourgeoisie. Comme Martinez de la CGT, et sa noblesse, comme Lénine qui en URSS roulait en Rolls. Kim Jong Un, qui a une magnifique villa sur une île privée et roule dans l’équivalent chinois d’une Cadillac.

2 : Dans un article récent, le professeur de virologie, Luc Montagnier, prix Nobel de médecine et de deux autres grands prix internationaux, a confirmé que Covid-19 est bien un coronavirus fabriqué en laboratoire.

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