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18 octobre 2023

GUERRE ET TERRORISME ISLAMIQUE INTERNATIONAL AVEC LE HAMAS ET AUTRES RADICAUX ISLAMISTES CONTRE ISRAËL ET L'OCCIDENT ...

Tant qu’il y aura des
Gérald Darmanin,
les antifas seront
bien tranquilles

 

 

C'est une décision de justice qui n'a pas eu tout l'écho qu'elle méritait : le 16 mai dernier, le Conseil d'État a pourtant annulé un décret de dissolution du GALE, le groupe antifasciste de Lyon. Ce décret avait été pris par Gérald Darmanin le 30 mars. Une variante locale de la mouvance antifa a donc été renvoyée à ses activités habituelles en toute impunité, donc, les juges ayant estimé que « si le groupement relaie, parfois avec une complaisance contestable, les violences commises à l'encontre des forces de l'ordre, la revendication par le groupement d'un discours très critique à l'égard de l'institution policière ne saurait caractériser, à elle seule, une provocation à des agissements violents ».

 

Les dispositions de la loi sur le séparatisme, qui vise les groupes appelant à des agissements violents à l'encontre des personnes ou des biens, ne concernent pas le GALE, ajoute l'institution. Ils seront nombreux à apprécier : les Lyonnais, témoins de leurs actions violentes en marge des manifestations non déclarées, les observateurs de la diffusion de leurs propos « radicaux et parfois brutaux », ceux qui ont découvert ou ont été la cible de leurs tags « On va se venger », publiés à la suite de l'incendie d'une mosquée, les identitaires visés par des slogans du type « pour une bonne dissolution, une seule solution : vive la chaux vive », et l'ISSEP, école fondée par Marion Maréchal, victime de dégradations. D'autant que le GALE pourra empocher les 3.000 euros versés par le gouvernement condamné à lui rembourser ses frais de justice.

Pour une fois, une seule, dans l'histoire de l'extrême gauche française depuis le démantèlement du groupement terroriste Action directe, en 1982, le gouvernement décidait d'agir contre un mouvement antifa. On retrouvait là une ligne annoncée par le jeune Darmanin, version juillet 2020, à l'aube de sa prise de fonction au ministère de l'Intérieur, lorsqu'il jurait vouloir « stopper l'ensauvagement de la société ». L'époque des audaces, des bonnes résolutions et des grands mots, quitte à emprunter au vocabulaire « Laurent Obertone ».

« Il n'est pas possible, en France, de dissoudre des mouvements d'extrême gauche »

Si, sous le premier quinquennat d'Emmanuel Macron, 26 associations ont bien été dissoutes (13 d'entre elles parce que liées à l'islamisme, on se souvient des célèbres BarakaVity et CCIF, et 11 autres réputées « d'extrême droite », Génération identitaire, les Zouaves, l'Alvarium, Bastion social, Les Petits Reblochons, Cercle Frédéric Mistral...), curieusement, pas une d'entre elles ne relève de la mouvance antifasciste. Étonnant pour qui a connu les multiples épisodes de violence à l'époque des gilets jaunes, les dégradations de l'Arc de Triomphe, les nombreuses agressions de militants comme ceux de Reconquête aspergés d'essence, les vitrines brisées et les « démonstrations de force »en tout genre ?

Maître Thierry Bouclier, qui publie un passionnant ouvrage intitulé La Gauche ou le monopole de la violence : de 1789 à nos jours aux Éditions La Nouvelle Librairie, nous le confirme : « Il n'est pas possible en France de dissoudre des mouvements d'extrême gauche. » Il voit dans ce désaveu « caricatural » du gouvernement par le Conseil d'État deux explications possibles. Pas plus consolantes l'une que l'autre : première hypothèse, Gérald Darmanin, très conscient qu'il prend le risque d'un désaveu du Conseil d'État, a « volontairement bâclé le dossier ». Dans ce type d'affaire, on peut imaginer, selon Maître Bouclier, que « le gouvernement sait qu'il va être retoqué, il sait que son dossier est mal ficelé, mais il fait de l'esbroufe. Ou bien, et c'est la deuxième hypothèse, notre Conseil d'État est idéologiquement contaminé et c'est grave ! »

Gageons qu'il y a un peu des deux. Souvenons nous de « Nantes révoltée », autre groupement antifa célèbre pour ses violences en Pays de Loire. Il avait été annoncé comme bientôt dissout par Gérald Darmanin en janvier. Depuis, aucune procédure n'aura finalement été initiée sans que l'on sache vraiment pourquoi.

En quelques semaines quatre décisions gouvernementales ont ainsi été remises en cause par le Conseil d'État : outre la dissolution du GALE, deux associations pro-palestiniennes ont aussi été absoutes et, cerise sur le gâteau, le décret de fermeture de la mosquée de Pessac, « soupçonnée de diffuser une idéologie salafiste » a été annulé. Entre velléités et effets de manche, la perspective d'un « remake Darmanin 2 à l'Intérieur » ne fait décidément guère fantasmer...

[Réaction]
Israël, le Hamas .
et extrême gauche :
Gérald Darmanin
répond à BV

En déplacement, ce matin, dans une école juive de Sarcelles, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, accompagné du ministre de l'Éducation Nationale Gabriel Attal, a répondu aux questions de BV au sujet des polémiques entourant La France insoumise (qui refuse de définir clairement le Hamas comme un mouvement terroriste islamiste) et des dissolutions à venir de groupes d'extrême gauche propageant l'idéologie pro-palestinienne en France. À notre micro, le ministre étrille l'attitude de LFI, qui « n'est pas capable de qualifier de terroristes des atrocités commises sur des enfants » mais note la position plus particulière de François Ruffin qu'il remercie « au nom de la République ». Il travaille à la dissolution de plusieurs mouvements soutenant les actions du Hamas, et notamment le NPA. L'antisionisme est, pour le ministre, « un cache-nez de l'antisémitisme ».

Jordan Florentin. Quelle est votre réaction face à La France insoumise, qui refuse de qualifier le Hamas de terroriste ?

Gérald Darmanin. Tout le monde a été extrêmement choqué, et ce mot est extrêmement euphémique quand on constate que des partis et des responsables politiques ne sont pas capables de mettre le mot « terroriste » devant les attaques que l’on a vues. S’en prendre à une jeunesse qui est fauchée comme la France l'a connu au Bataclan, à des familles, des bébés… les horreurs des prises en otage avec des messages ignobles, ce sont des actes terroristes, ils sont là pour faire de la terreur qui relève de ce que fait Daech. Ne pas nommer les choses, c’est rajouter du malheur au monde, et c’est rajouter du malheur aux familles endeuillées que La France insoumise ne soit pas à la hauteur des événements. Ce n’est pas seulement le gouvernement de la république qui le dit, ou les institutions juives, ce sont les propres parlementaires de La France insoumise comme M. Ruffin. Je le remercie au nom de la République. M. Mélenchon et Mme Panot ne sont pas, à mon avis, dans des convictions profondes, ils sont dans un calcul électoral extrêmement cynique, extrêmement violent et extrêmement condamnable.

J. F. Travaillez-vous à la dissolution de groupes d’extrême gauche pro-Palestine comme le NPA ?

G. D. Depuis que je suis ministre de l’Intérieur, j’ai fait procéder à plus de 40 dissolutions qui touchent l’islamisme radical, l’ultra-droite ou l’ultra-gauche, souvent, d’ailleurs, pour des raisons d’antisémitisme ou d’antisionisme et d’appel à la haine. La plupart du temps, le Conseil d’État nous a suivis. Il ne nous a pas suivis sur deux collectifs qu’on pourrait qualifier trop abusivement de pro-palestiniens et qui, en fait, appellent à la haine, comme le collectif Palestine vaincra. Le Conseil d’État nous a donné tort lors d’un référé sur la forme. La décision du fond viendra dans quelques jours. Je constate que le collectif Palestine vaincra s’est encore illustré dans la haine en remerciant le travail qu’avaient fait un certain nombre de terroristes islamistes, appelant, parfois, à l’intifada, à la vengeance et justifiant ces actes ignobles. C’était donc à bon escient et sur ces renseignements que le ministère de l’Intérieur avait proposé, jadis, la dissolution de ce collectif. Je respecterai ce que décidera le Conseil d’État et j’espère, au fond, que dans quelques semaines, ce collectif sera dissous.

Il y a d’autres collectifs ou associations, voire même des partis politiques au sens juridique du terme, qui ont eu des propos, des actes que nous pensons contraires au droit qui peuvent effectivement être l’objet de condamnations judiciaires, et nous avons saisi à plusieurs reprises la Justice. Vous aurez, d’ailleurs, constaté que vos collègues d’Europe 1 ont sorti l’information que la police judiciaire de Paris est saisie d’une enquête concernant le NPA sur des propos que nous considérons comme effectivement contraires au droit. Si les renseignements du ministère de l’Intérieur et les condamnations judiciaires ou les procédures judiciaires le justifient, notre main ne tremblera pas. Quelles que soient les structures, on proposera les dissolutions en Conseil des ministres. J’ai chargé le ministère de l’Intérieur de constituer les pré-dossiers de dissolution. Il n'y a pas que le parti politique que vous évoquez, il y a d'autres collectifs que nous avons constatés qui appellent à la haine. Il ne peut pas y avoir une liberté d’expression qui appelle à la haine des Juifs, à leur massacre. Je veux dire ici que l’antisionisme est une forme d’antisémitisme caché, un cache-nez de l’antisémitisme. Il ne faut pas être naïf. Ceux qui défendent l’idée qu’on peut être en amour avec les Juifs tout en souhaitant la destruction d’Israël se moquent de nous.

Marion Maréchal
pose les bases
civilisationnelles de sa
campagne européenne

 

Le 14 octobre, le Mouvement conservateur a tenu, à Asnières (Hauts-de-Seine), sa journée de débats et de tables rondes, avec la présence, en guest-star, de Marion Maréchal. Devant plusieurs centaines de personnes réunies dans la grande salle du théâtre de la ville, les orateurs de ce courant associé à Reconquête ont voulu situer le débat à sa place, c’est-à-dire à hauteur de civilisation. Car tout est lié : « Tout cela est transversal, a martelé la tête de liste Reconquête à la tribune. Quand nous prenons position sur des sujets sociétaux, PMA sans père, mères porteuses, etc., en réalité, nous menons un combat identitaire. » Il s’agit de « défendre une certaine vision européenne, une certaine vision de l’homme, de sa dignité, de sa valeur. Des principes pas forcément partagés par les autres civilisations. »

Charia-compatibles

Quel parti politique de gauche met-il la barre à ce niveau d’enjeux ? C’est pourtant ce qui réunira demain, après le scrutin européen, les vieilles nations européennes et leurs représentants patriotes, pas tous exactement sur la même ligne. « Pour la première fois, aux prochaines élections européennes, nous avons l’opportunité historique de pouvoir renverser la majorité de Madame von der Leyen pour pouvoir enfin transformer cette Union européenne progressiste de gauche en une véritable Europe portée par un projet conservateur et de droite », lance une Marion Maréchal pressée d’en découdre.

Le défi commun est majeur : l’immigration et l’islamisation avancent, constate la candidate. « Nos sociétés sont de plus en plus charia-compatibles », déplore-t-elle. Dans cette évolution délétère, on n'en finirait plus de compter les coupables, les traitres, les aveugles et les couards. Marion Maréchal se concentre sur un des acteurs, une puissance particulièrement néfaste. « Je tiens à dénoncer devant vous un aveuglement, sinon une complicité, de la part des institutions européennes absolument scandaleux, dit-elle. Les Frères musulmans sont parmi les interlocuteurs privilégiés des instances européennes. » L’argent des Français contribue à financer pour 36,5 millions d’euros des organisations islamiques liées aux Frères musulmans, dénonce la candidate. L’Union européenne s’acharne sur les ingérences russes mais couvre d’un voile pudique, c’est le cas de le dire, « les infiltrations islamiques au sein des institutions européennes ».

Alors que « l’UE vit aujourd’hui sous perfusion démographique », Marion Maréchal veut relever le défi : « Nous poserons avec nos alliés conservateurs les bases d’une politique nataliste en Europe », dit-elle, en soulignant les premiers succès, sur ce plan, de la politique de Viktor Orbán. Wokisme, écologie : rien ne sera laissé de côté, et surtout pas les autres familles de la droite. « L’union des droites est en marche, alors la France se fait attendre, mais avec Reconquête et ses alliés, nous allons tâcher de lui faire accélérer le pas, pour mettre fin à l’ère von der Leyen et pour ouvrir une nouvelle page de l’aventure européenne. »

Les derniers debout sur la muraille

Une page que Laurence Trochu, la présidente du Mouvement conservateur, place sous la houlette du courageux homme politique anglais Enoch Powell. « Il y a déjà 55 ans, le visionnaire britannique Enoch Powell tenait, devant le congrès du Parti conservateur, un discours qui restera dans l’Histoire », rappelle Laurence Trochu. « La fonction suprême de l’homme d’État est de protéger la société de malheurs prévisibles », disait Powell, qui ajoutait : « Comme les Romains de Virgile, je vois confusément le Tibre écumant de sang. » Et Laurence Trochu interroge : « Qu’aurait-il dit, Enoch Powell, au spectacle des attentats du métro de Londres, en 2005 ? Qu’aurait-il dit au spectacle du Bataclan, en 2015 ? Que dirait-il à la vue de ce qui s’est passé à Gaza, il y a une semaine, le jour de la fête de Yom Kippour ? Que dirait-il de ce qui s’est encore passé hier à Arras ? » L'attentat de Bruxelles est venu, une fois de plus, confirmer la dérive aveugle de l’Europe de l’Ouest.

L’actualité dramatique de l’immigration rattrape tous les discours. « Il flotte dans l’air européen comme un parfum d’hypocrisie, de non-dits, de technocratie hallucinogène, de culture de mort et de mensonge, accuse Laurence Trochu. Et nous, Conservateurs de toutes les nations d’Europe, vous, mes chers amis, et les peuples qui savent que nous avons raison, nous sommes les derniers debout sur la muraille. » Cette muraille civilisationnelle, ils sont nombreux à se lever pour la défendre. Il est grand temps.

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