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17 février 2024

GUERRE UKRAINE/RUSSIE : TANT QUE L'OCCIDENT AVEC L'OTAN DONNERONT DES ARMES ET DES MILLIARDS A ZELENSKY LA GUERRE NE FINIRA PAS

Guerre en Ukraine :

toutes les armes françaises
livrées à Kiev
listées par l’Élysée

En marge de la visite de Volodymyr Zelensky à Paris, l’Élysée a dressé une liste des armes et du matériel militaire fournis à l’Ukraine par la France depuis le début de l’invasion russe.

Par Chloé Sémat pour Le Point

Publié le 16/02/2024 à 19h51

Trente canons Caesar ont été fournis par l'Élysée à Kiev, ainsi que des dizaines de milliers de munitions.
Trente canons Caesar ont été fournis par l'Élysée à Kiev, ainsi que des dizaines de milliers de munitions. © ISA HARSIN/SIPA / SIPA / ISA HARSIN/SIPA

Alors que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, est à Paris, ce vendredi 16 février, pour signer un accord de sécurité bilatéral, l'Élysée a dressé une liste du matériel militaire livré à Kiev depuis le début de l'offensive russe. Ce document, révélé par Le Monde, dévoile le nombre précis d'armes fourni jusqu'à présent à l'armée ukrainienne.

Ainsi, en matière de défense sol-air, la France a livré un système de moyenne portée (Samp/T) et des missiles Aster 30, ayant une portée de 100 km et une altitude maximale de 20 km. S'y ajoutent deux systèmes Crotale, de courte portée, ainsi que des missiles. Cinq postes de tirs et des centaines de missiles antiaériens Mistral, de très courte portée, ont également été livrés. Un radar Ground Master 200, permettant de détecter et d'identifier les aéronefs ennemis, figure aussi sur la liste.

Par ailleurs, une centaine de missiles de croisière air-sol Scalp, qui se lancent depuis un avion, a été livrée et plusieurs centaines de bombes air-sol A2SM le seront dès ce mois de février. Pour rappel, ces armes ont été promises par Emmanuel Macron lors de sa conférence de presse, le 17 janvier dernier.

À lire aussi Le canon Caesar, élève modèle de l'économie de guerreLe chef de l'État français avait également annoncé de nouvelles livraisons de canons Caesar – acronyme de « camion équipé d'un système d'artillerie ». Le Monde révèle que trente de ces canons ont en effet été fournis, ainsi que des dizaines de milliers de munitions.

char amx

Drones et véhicules blindés

En matière d'artillerie, six canons TRF1 et des dizaines de munitions figurent sur la liste. Ce type de canon est capable de tirer des obus à 25 kilomètres. L'armée française, qui en a utilisé des années 1980 aux années 2010, disposait de 106 exemplaires de ce canon. S'y ajoutent quatre systèmes de lance-roquettes unitaire et des centaines de roquettes.

Paris a également livré plusieurs types de véhicules blindés, à commencer par 38 AMX 10 RC – des chars de reconnaissance puissamment armés, accompagnés de dizaines de milliers de munitions de 105 mm. 120 véhicules de liaisons tout-terrain P4, 17 postes de tir Milan (missile d'infanterie léger antichar Nato) et des missiles ont aussi été fournis.À lire aussi  Livraison d'armes à l'Ukraine : la nouvelle stratégie françaisePlusieurs milliers de roquettes antichars, de mines antichars et de fusils d'assaut figurent aussi sur la liste de l'Élysée. Par ailleurs, on retrouve des centaines de mitrailleuses 12,7 mm et d'autres munitions.

Enfin, plusieurs centaines de drones de reconnaissance et des drones tactiques de petite taille ont été livrés, ainsi que plusieurs dizaines de milliers de mètres cubes de carburéacteurs – du carburant pour moteur à réaction.

Indépendamment de cette aide matérielle, Paris a contribué à l'accueil des réfugiés et à la reconstruction du pays. Par exemple, la France va accompagner la modernisation du réseau de distribution électrique ukrainien, avec un projet porté par EDF International Networks, filiale du groupe EDF, comme le précise le ministère de l'Économie. « S'ajoutent des contributions humanitaires et judiciaires », est-il également précisé dans le quotidien.

 

 

 

Guerre en Ukraine :
Avdiivka tombe aux
mains des Russes

Les soldats ukrainiens ont quitté la ville, sous la pression des forces armées russes depuis plusieurs semaines. C’est une victoire symboliquement importante pour Vladimir Poutine.

Par T.G. avec AFP

Publié le 17/02/2024 à 07h32, mis à jour le 17/02/2024 à 08h37

Avdiivka comptait 34 000 habitants avant la guerre. Il ne reste que 900 civils aujourd'hui.
Avdiivka comptait 34 000 habitants avant la guerre. Il ne reste que 900 civils aujourd'hui. © RFE/RL/SERHII NUZHNENKO / X06896 / REUTERS

 

La Russie a refermé son piège. Avdiivka, assiégée depuis des mois par l'armée russe, est tombée. Les forces ukrainiennes se sont retirées de cette ville de l'est ukrainien dans la nuit du vendredi 16 au samedi 17 février, a annoncé le général Oleksandre Tarnavsky, qui commande cette zone. « Conformément à l'ordre reçu, (nous nous) sommes retirés d'Avdiivka pour aller sur des positions préparées d'avance », a-t-il écrit sur Telegram.

Dans la zone, la situation s'était considérablement dégradée ces derniers jours. Confrontée à un manque de moyens croissant en raison notamment du blocage de l'aide militaire américaine, l'Ukraine pouvait difficilement éviter ce retrait face à la Russie qui, forte de davantage de soldats et de munitions, poussait ses troupes pour obtenir une conquête à quelques jours du deuxième anniversaire du début de l'invasion, le 24 février.

« Dans la situation où l'ennemi avance en marchant sur les cadavres de ses propres soldats et a dix fois plus d'obus […] c'est la seule bonne décision », a poursuivi le général Oleksandre Tarnavsky. Les forces ukrainiennes ont ainsi évité l'encerclement, près de cette cité industrielle largement détruite, a-t-il assuré.

CHAR UKRAINIEN EN FLAME

« Avec dignité »

Il s'agit d'une première grande décision du nouveau commandant en chef des armées ukrainiennes Oleksandre Syrsky après sa nomination à ce poste le 8 février. Il l'a justifiée par la volonté de « préserver » la vie de ses soldats.

« J'ai décidé de retirer nos unités de la ville et de passer à la défense sur des lignes plus favorables », a écrit auparavant Oleksandre Syrsky sur Facebook. « Nos soldats ont accompli leur devoir militaire avec dignité, ils ont fait tout leur possible pour détruire les meilleures unités militaires russes et infliger des pertes significatives à l'ennemi », a poursuivi le général.

Avant d'officialiser l'abandon de la ville, le général Oleksandre Tarnavsky avait reconnu que « plusieurs soldats » ukrainiens avaient été « capturés » par les forces russes, qui sont « en surnombre en matière d'effectifs, d'artillerie et d'aviation ».

Encore 900 civils

Avdiivka, qui comptait environ 34 000 habitants avant l'invasion russe lancée en février 2022, a une valeur symbolique importante. La ville est aujourd'hui en grande partie détruite mais quelque 900 civils y demeurent, selon les autorités locales. Moscou espère que sa prise rendra plus difficiles les bombardements ukrainiens sur Donetsk. Avdiivka était brièvement tombée en juillet 2014 aux mains de séparatistes prorusses pilotés par Moscou, avant de revenir sous contrôle ukrainien et de le rester malgré l'invasion et sa proximité avec Donetsk, capitale séparatiste dans l'est de l'Ukraine depuis dix ans.

Selon Kiev, l'armée russe multipliait les vagues d'assaut depuis octobre pour prendre la ville, malgré des pertes humaines très élevées, une situation rappelant la bataille de Bakhmout, une ville que Moscou a conquise en mai 2023 après 10 mois de combats au prix de dizaines de milliers de morts et de blessés. Par ailleurs, les autorités russes ont assuré avoir déjoué plusieurs attaques de drones ukrainiens au cours de la nuit de vendredi à samedi.

Le gouverneur de la région de Belgorod, près de la frontière avec l'Ukraine, Viatcheslav Gladkov, et celui de l'oblast de Kalouga, plus au nord, Vladislav Chapcha, ont annoncé sur le réseau social Telegram que la défense aérienne russe avait détruit au-dessus de leur territoire, respectivement, deux et sept drones qui n'ont fait aucun dégât selon un premier bilan. La prise d'Avdiivka survient au moment où le président ukrainien Volodymyr Zelensky mène une tournée européenne.

 

L’armée ukrainienne
s’enfuit alors que les
drapeaux russes flottent
sur Adviivka

 

Le 15 février, le président officiel du groupe opérationnel et stratégique ukrainien Tavria, responsable de la défense d’Avdiivka, a déclaré que les forces armées ukrainiennes avaient commencé à se retirer partiellement d’Avdiivka «vers des positions plus avantageuses».

Au cours des dernières 24 heures, les forces russes ont remporté de grands succès et ont pris le contrôle de bastions ukrainiens stratégiquement importants dans différentes parties de la ville.

La 1re brigade slave russe a brandi le drapeau russe sur la principale forteresse de l’AFU au sud d’Avdiivka, la zone fortifiée du Zénith. Le nœud le plus important de la défense ukrainienne dans le sud est tombé. Il s’agissait de la base de défense aérienne située au sud-ouest, près d’Avdiivka, qui a été transformée par l’AFU en une véritable forteresse dotée de fortifications souterraines en béton. Cette place forte a entravé l’offensive russe à Avdiivka venant du sud. Aujourd’hui, cette forteresse est tombée. 

La défense ukrainienne du secteur sud d’Avdiivka continue de s’effondrer sous la menace d’un encerclement de la ville. Dans la soirée du 15 février, outre Zenith, l’armée ukrainienne a quitté la station de filtration de Donetsk, à la périphérie sud-est de la ville, et s’est retirée vers le sud, dans les bois.

Le deuxième drapeau russe a été installé dans la partie nord de la ville, près de la dernière route pavée menant à Avdiivka. Le drapeau russe flotte à l’intersection de l’avenue Industrialny et de l’autoroute, à l’endroit où Zelensky a pris un selfie à l’entrée d’Avdiivka fin décembre 2023.

Les Russes ont pris le contrôle de l’entrée de la ville après que les détachements d’assaut soutenus par l’aviation ont pris pied au dépôt automobile d’Avdeevskaya et ont avancé vers le nord-ouest. A l’entrée de la ville, ils ont détruit le bastion ukrainien appelé Brevno, du nom du restaurant qui s’y trouvait.

Dans la ville elle-même, les troupes russes continuent d’avancer vers le centre-ville et de se déplacer le long des berges de la carrière de sable inondée. Les troupes d’assaut russes visent à couper les routes restantes le long desquelles l’AFU approvisionne la garnison de la ville sous le feu russe.

«Notre 3e Brigade d’assaut effectue des missions de combat dans des conditions que nous pourrions à peine imaginer. La confrontation ne se limite pas à des forces ennemies supérieures : il y a un très grand nombre d’ennemis, ils viennent de tous les côtés. Les combats à Avdiivka sont bien plus infernaux que les batailles les plus chaudes de cette phase de la guerre, qui ont eu lieu à Bakhmut», a déclaré le commandant adjoint de l’une des unités ukrainiennes les plus entraînées, la 3e brigade d’assaut séparée de l’AFU (ex-Azov). ) qui a été lancé dans la ville il y a environ une semaine.

L’armée ukrainienne se noie dans la boue : 

Les AFU se replient dans les immeubles de grande hauteur du 9e microdistrict et sur le territoire de l’usine de coke et de produits chimiques, où elles continueront à se défendre pour tenter d’infliger un maximum de dégâts à l’armée russe qui avance.

Pendant ce temps, les autorités locales, qui ont fui Avdiivka il y a longtemps, mènent leur guerre idéologique. Avant la perte d’Avdiivka, les autorités ont rebaptisé d’urgence les rues en l’honneur des nazis ukrainiens dans le cadre de la politique de «dérussification et décommunisation». Par exemple, la rue Gagarine a été rebaptisée au nom du célèbre nazi ukrainien Dmitri «Da Vinci» Kotsyubailo, tué lors de la bataille de Bakhut.

C’est là la véritable essence de la guerre de Kiev. Toutefois, Kiev a déjà perdu cette bataille idéologique.

source : La Cause du Peuple

 

ARMES RUSSES

Deux accords bilatéraux

Il avait indiqué depuis Berlin être en contact permanent avec le commandement militaire dont la principale tâche était selon lui de préserver la vie des soldats et de « minimiser les pertes ». Dans ce contexte tendu, le président ukrainien a signé vendredi à Berlin avec le chancelier allemand Olaf Scholz, puis à Paris avec le président français Emmanuel Macron, deux accords de sécurité bilatéraux. Il prévoit de participer samedi à la Conférence de sécurité à Munich et d'y rencontrer la vice-présidente américaine Kamala Harris.

 

argent par les fenetres

 

P.S. Ces accords prévoient que le Président ZELENSKY est sur de toucher un chèque de 100 milliards d'euros de la part des pays de l'Union Européenne ( essentiellement celle de la FRANCE et de l'ALLEMAGNE ) pour pouvoir continuer sa guerre avec la Confédération de Russie, ce qui compensera le blocage des 60 milliards de dollars que devait donner le Président Joe Biden des Etats-Unis, somme bloquée par les Républicains au Congrès Américain pour le moment ?

 

dollar

 

Guerre en Ukraine :
des bombardiers russes
frappent Kiev

L'armée de l'air ukrainienne avait indiqué que plusieurs bombardiers, déjà utilisés ces derniers mois, avaient décollé d'une base russe. 

Par N.J. avec AFP

Publié le 15/02/2024 à 05h41, mis à jour le 15/02/2024 à 11h35

 

Des explosions ont été observées, ce jeudi 15 février au matin, à Kiev, a indiqué le maire de la capitale, Vitali Klitschko, dans un message sur Telegram, précisant que « la défense aérienne est à l'ouvrage ».

Des bombardiers régulièrement utilisés

Le décollage de plusieurs Tupolev Tu-95MS depuis l'aérodrome d'Olenya situé dans la région de Mourmansk dans le nord-est de la Russie, a été enregistré, a indiqué l'armée de l'air ukrainienne, dans un message posté sur le réseau social Telegram. Des missiles « se dirigent vers Kiev », avait-elle précisé un peu plus tard.

À lire aussi Ukraine : l'heure de véritéL'armée de l'air avait déjà signalé, début février et le mois dernier, le décollage de ces bombardiers stratégiques qui datent de l'ère soviétique. Fin décembre, la Russie avait utilisé ces avions pour mener une vague de frappes sur des villes ukrainiennes, dont la capitale Kiev, des bombardements qui avaient fait 39 morts.

 

Vladimir POUTINE tout puissant

 

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