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10 décembre 2013

LES GUERRES CIVILES AU CENTRAFRIQUE

Troisième guerre civile de Centrafrique

 

1158-CentrafriqueSeleka2

 

Troisième guerre civile de Centrafrique
Informations générales
Date Septembre 2013 - en cours
Lieu Drapeau de la République centrafricaine République Centrafricaine
Issue  
Belligérants
Drapeau de la France France
ECCAS logo.gif FOMAC (MICOPAX) (jusqu'au 15 décembre 2013)
Drapeau de l'Union africaine (2010).svg MISCA
Anti-balaka Drapeau de la République centrafricaine République centrafricaine
Commandants
Drapeau de la France
François Hollande
Drapeau de la France Général Francisco Soriano
  Drapeau de la République centrafricaine Michel Djotodia
Drapeau de la République centrafricaine Général Yahia †
Forces en présence
Drapeau de la France 1200 militaires
ECCAS logo.gif FOMAC: 2694 militaires
Drapeau de l'Union africaine (2010).svg MISCA: 3500 hommes
700+1 ~25 0001
Pertes
Drapeau : République du Congo 1 tué2,3
Drapeau de la France 2 tués
   
Notes
Plusieurs milliers de victimes civiles
480 000 déplacés
Batailles
Première guerre civile de Centrafrique (2004-2007)

Deuxième guerre civile de Centrafrique (2012-2013)
1er Bangui

Troisième guerre civile de Centrafrique (2013-)
Bouca — Gaga — Bouar — Massacre de Bouar — Incendie de Camp Bangui — Massacre de Boali — 2e Bangui — Bossangoa — Opération Sangaris
 

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La troisième guerre civile de Centrafrique est un conflit inter-communautaire apparu au cours de l'année 2013 en République Centrafricaine.

Elle oppose notamment les milices de la Seleka, à majorité musulmane et fidèle au nouveau président Michel Djotodia, à des groupes d'auto-défense chrétiens, peut-être soutenus par des anciens militaires des Forces armées centrafricaines fidèles à l'ancien président François Bozizé.

Le conflit se caractérise par de nombreuses exactions contre les civils, musulmans ou chrétiens. Un grand nombre d'entre-eux fuient les villages pour se réfugier dans la brousse. La situation débouche sur une crise humanitaire importante, aggravée par le chaos sécuritaire.

Le 5 décembre 2013, alors que des violents combats éclatent à Bangui et Bossangoa, une résolution de l'ONU autorise la France à intervenir afin de stabiliser la situation.

Contexte

A la suite de la victoire militaire de Michel Djotodia sur François Bozizé en mars 2013 à l'issue de la deuxième guerre civile de Centrafrique, la stabilité n'est pas revenue dans le pays. Les combats entre milices d'autodéfense (parfois appelées anti-balaka, « antimachettes ») et forces armées centrafricaines se multiplient à partir d'octobre 2013 et l’État ne semble plus en mesure de faire régner l'ordre4. La force multinationale de l'Afrique centrale déployée par la Communauté économique des États de l'Afrique centrale pour aider à sécuriser la région est dépassée5.

Le 5 décembre 2013, par la résolution 2127, le conseil de sécurité des Nations unies autorise le « déploiement de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA) pour une période de 12 mois » officiellement pour mettre fin à la « faillite totale de l'ordre public, l'absence de l'état de droit et les tensions interconfessionnelles »6. La MISCA est appuyée par des forces françaises autorisées à prendre « toutes les mesures nécessaires ».

Déroulement

Entre mars et juin 2013, de très nombreuses exactions sont commises par les membres de la Seleka. Human Rights Watch, présent sur place, chiffre à un millier le nombre de maisons ou habitations détruites, et dénombre des dizaines de victimes. Un total de 34 villages comme Bogoro, Bobafio, Kadi ou Gbadene ont été entièrement brûlés7. Plusieurs dizaines de cas de viols ont été recensés8.

Le 27 mars, la Seleka tue 17 habitants du quartier Damala, de Bangui. Le 13 avril, une voiture de la Seleka fonce dans un cortège funéraire, déclenchant de la part de la foule des hostilités avant que les miliciens n'ouvrent le feu, tuant 18 civils. Les 13 et 14 avril, les membres de la Seleka investissent le quartier de Boy-Rabé, majoritairement chrétien, tuant 28 personnes dont des enfants7. Le 15 avril, voulant réquisitionner de force un camion, des miliciens abattent l'épouse et l'enfant de 8 mois du chauffeur. Courant avril, des habitants découvrent les corps de nombreux membres des Forces armées centrafricaines, exécutés. Le 19 mai, 12 personnes tentant de fuir sont abattues sur la route de Bossangoa-Boguila8.

Le 7 septembre, 2 membres d'une ONG française sont tués, probablement par des membres de la Seleka. Devant les critiques, le président par intérim, Michel Djotodia, déclare dissoudre la coalition Seleka, mais la majorité des miliciens refusent de désarmer7.

Début septembre 2013, des villageois, excédés par les exactions de la Seleka, créent des milices d'auto-défense, les anti-balaka. Ils sont surtout concentrés dans la région de Bossangoa, ancien fief du président Bozizé1. Le 6 septembre, ces milices attaquent des bases de la Seleka et des communautés musulmanes, tuant plusieurs dizaines de personnes9. Ces premières attaques ont lieu notamment à Zéré10. Des réfugiés commencent à arriver à Bossangoa le 8 septembre. Le 15, ils sont 15 000 à être réuni sur les terrains de l'archevêché11. Le 9 septembre, des heurts à Bouca sont provoqués par une attaque d'anti-balaka. Une quarantaine de musulmans sont tués, 250 maisons brûlées. En représailles, la Seleka investit à son tour la ville, tuant une trentaine de chrétiens, et détruisant 300 maisons10.

Le 26 octobre, des miliciens anti-balaka attaque la ville de Bouar où sont présent des membres de la Seleka. Les combats font 5 morts chez ces derniers, et 6 miliciens anti-balaka. Deux membres de la Seleka visent une maison où se serait retranchés des anti-balaka, tuant en réalité 18 civils et en blessant 12 autres.

Le 10 novembre, les forces de la Seleka incendie le village de Camp Bangui, détruisant 235 habitations12.

Le 2 décembre, des anti-balaka attaquent des éleveurs peuls musulmans, tuant une douzaine d'entre-eux dont des enfants. Plusieurs civils sont tués en représailles par la Seleka.

Le 5 décembre, les milices anti-balaka prennent part à la bataille de Bangui, épaulés par des anciens membres des Forces armées centrafricaines. Les membres de la Seleka riposent, exécutant les hommes soupçonnés d'aider les anti-balaka. Le 6 décembre au soir, la Croix Rouge dénombre plus de 280 morts. Des combats ont aussi lieu à Bossangoa13.

A la suite de l'adoption à l'unanimité de la résolution 2127 du conseil de sécurité des Nations unies, la France annonce, le 5 décembre 2013, l'envoi de 1200 soldats pour rétablir la sécurité dans le pays dans le cadre de l'Opération Sangaris14 et le conseil de sécurité des Nations unies décide la mise en place de la mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA).

Conséquences

Courant octobre 2013, environ 40 000 chrétiens ont trouvé refuge sur les terrains de l'archevêché de Bossangoa. De même, dans la même ville, près de 2 000 musulmans se sont réfugiés dans une école, à l'intérieur de la ville11.

Fin octobre, une journaliste de TV5 Monde estime à 300 000 le nombre de déplacés, éparpillés pour la plupart dans la brousse. Des cas de viols nombreux sont évoqués12. Au 6 décembre, alors que la situation est extrêmement tendue après les attaques de Bangui et Bossangoa, Valérie Amos, secrétaire générale adjointe des Nations unies chargée des affaires humanitaires, parle de 415 000 déplacés, et 1 300 000 personnes ayant besoin d'une assistance alimentaire, soit près de la moitié du pays. Elle dénombre 68 000 réfugiés dans les pays voisins15. Ce nombre s'établit à 480 000 selon l'UNICEF12.

Voir aussi

3000374

Opération Sangaris
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Opération Sangaris
Informations générales
Date 5 décembre 2013 -
Lieu Drapeau de la République centrafricaine République centrafricaine
Issue En cours
Belligérants
Seleka Anti-balaka
Commandants
Drapeau de la France
Général Francisco Soriano
   
Forces en présence
Drapeau de la France 1 600 miltaires1    
Pertes
2 militaires tués    
Guerre civile de Centrafrique
Batailles
Première guerre civile de Centrafrique (2004-2007)

Deuxième guerre civile de Centrafrique (2012-2013)
1er Bangui

Troisième guerre civile de Centrafrique (2013-)
Bouca — Gaga — Bouar — Massacre de Bouar — Incendie de Camp Bangui — Massacre de Boali — 2e Bangui — Bossangoa — Opération Sangaris
 

L’opération Sangaris est le nom d'une opération militaire de l’armée française conduite en République centrafricaine à partir du 5 décembre 2013.

Nom

Le nom de l'opération fait référence au papillon africain Cymothoe sangaris car l'intervention doit rester courte4.

Contexte

A la suite de la victoire militaire de Michel Djotodia sur François Bozizé en mars 2013 à l'issue de la deuxième guerre civile de Centrafrique, la stabilité n'est pas revenue dans le pays. Les combats entre milices d'autodéfense (parfois appelées anti-balakas, « antimachettes ») et forces armées centrafricaines se multiplient à partir d'octobre 2013 et l’État ne semble plus en mesure de faire régner l'ordre5. La force multinationale de l'Afrique centrale déployée par la Communauté économique des États de l'Afrique centrale pour aider à sécuriser la région est dépassée6.

Le 5 décembre 2013, par la résolution 2127, le conseil de sécurité des Nations unies autorise le « déploiement de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA) pour une période de 12 mois » officiellement pour mettre fin à la « faillite totale de l'ordre public, l'absence de l'état de droit et les tensions interconfessionnelles »7. La MISCA est appuyée par des forces françaises autorisées à prendre « toutes les mesures nécessaires ».

Chronologie

Préparation

Dès le 24 novembre 2013, la France projette à l'aéroport international de Bangui une trentaine de militaires du 25e régiment du génie de l'air présent à Libreville ainsi qu'une vingtaine d’engins de travaux lourds, acheminés par Antonov An-1248,9. Complété par d'autres éléments en provenance de la base aérienne 125 Istres-Le Tubé, ce module « a pour mission d’aménager les plateformes de l’aéroport M’Poko de Bangui, afin qu’elles soient en capacité d’accueillir, le renforcement probable du dispositif souhaité par le Président de la République et la communauté internationale » selon le ministère de la Défense français8. Les aménagements effectués par le génie de l'air comprennent notamment la remise à niveau de la zone aéronautique de l'aéroport, la création de plateformes logistiques, ainsi que l’extension de la zone « vie »8.

Le 28 novembre 2013, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude, escorté par l'aviso Commandant L'Herminier, accoste dans le port de Douala au Cameroun10. Le BPC accueille, en plus de deux hélicoptères Gazelle, un détachement de 350 militaires de la 11e brigade parachutiste de l’armée de terre10. À partir du 1er décembre, les éléments de la réserve opérationnelle embarquée sur ce bâtiment entament les opérations de débarquement. Les véhicules tactiques de cette force, essentiellement des véhicules blindés de combat de type VAB et VBL, ainsi que des camions logistiques sont débarqués et rassemblés dans une zone de regroupement et d’attente (ZRA) dans le port autonome de Douala10.

Le 30 novembre 2013, un détachement composé d’un peu plus de 200 militaires spécialistes des transmissions, du matériel et du service des essences des armées arrive à Bangui à bord d'un Airbus A340 de l'escadron de transport 3/60 Estérel11. Dans les jours qui suivent, une dizaine de rotations d’Antonov An-124 acheminent le matériel logistique et de soutien nécessaire à l’installation d’un tel renforcement. Selon l'état-major des armées, « ce déploiement a été réalisé au titre des mesures conservatoires et préparatoires à un éventuel renforcement du dispositif à Bangui, comme l’a souhaité le président de la République »11.

Le dispositif militaire français déployé à Bangui s’établit, le 5 décembre 2013, à plus de 600 militaires dont 240 au titre du détachement permanent de l’opération Boali. Deux compagnies du 8e RPIMa ainsi que plusieurs éléments du 2e RIMa, 6e BIMa et 1er RHP sont déjà sur place. Par ailleurs, le 25e Régiment du Génie de l'Air (25e RGA) sera la première unité de génie à être déployée sur place. Une autre unité issue du 1er RCP, partie le 6 décembre est déjà présente sur place.

L’opération Boali vise à apporter un soutien logistique, administratif, technique et opérationnel à la Mission de consolidation de la paix en République Centrafricaine (MICOPAX), qui doit devenir la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (MISCA) le 19 décembre 2013. Si la situation l’exige, la force est également en mesure d’assurer la protection des ressortissants français. Parallèlement, la présence des militaires français à Bangui permet de maintenir en activité l'aéroport international de Bangui, seule voie d’accès internationale à la République Centrafricaine11.

Lancement de l'opération Sangaris (du 5 au 8 décembre 2013)

À la suite de l'adoption à l'unanimité de la résolution 2127 du Conseil de sécurité des Nations unies, Sangaris commence officiellement dans la nuit du 5 au 6 décembre avec l'arrivée à Bangui du général Francisco Soriano qui commande l'opération12.

Dans la journée du 5 décembre 2013, alors qu’elles sécurisaient l’accès à l’aéroport de M’Poko sur lequel se sont réfugiés près de 2 000 Centrafricains pour fuir les combats, les forces françaises ont été prises à partie à trois reprises par un pick-up armé. Selon le ministère de la défense française, au troisième tir, les militaires français ont riposté détruisant le véhicule. Cette prise à partie n’a fait aucun blessé du côté des militaires français, ni des civils venus chercher leur protection13.

24 heures après le lancement de l'opération Sangaris, l'effectif français est doublé en Centrafrique, atteignant un volume de 1 200 militaires14. Le 7 décembre 2013, l'armée française sécurise difficilement la capitale Bangui car des affrontements sporadiques ont encore lieu. De plus, une opération terrestre depuis le Cameroun a permis à l'armée française de venir sécuriser la ville de Bouar avant de pénétrer dans Bossangoa.

À la clôture du sommet paix et sécurité en Afrique à Paris, François Hollande annonce le déploiement « aussi longtemps que nécessaire » de 1 600 soldats et que la mission des soldats français est de « désarmer toutes les milices et groupes armés qui terrorisent les populations ». Enfin il confirme que l’intervention française sera « rapide, efficace » et devra permettre de « retrouver la stabilité, et permettre le moment venu des élections libres et pluralistes ». À l'issue du sommet, l'Union africaine décide de porter la force de la MISCA à 6 000 hommes15.

À partir du 6 décembre, les soldats français multiplient les patrouilles motorisées ou à pied dans Bangui afin de sécuriser les points d’intérêts français. Certaines sont réalisées conjointement avec les militaires de la FOMAC, appelée à devenir la MISCA16. Dans la nuit du 6 au 7 décembre, l’escadron d’aide à l’engagement (EAE) débarqué du BPC Dixmude franchit la frontière centrafricaine. Dans le même temps, des éléments déployés en dehors de la capitale entament une mission de reconnaissance des axes menant vers le Nord16. Ce détachement d'une centaine de militaires atteint la ville de Bossangoa sans rencontrer de résistance mais constate un nombre important de réfugiés17. Des patrouilles de Rafale en provenance de Ndjamena conduisent par ailleurs des démonstrations de force à basse altitude au-dessus de Bangui et Bossangoa destinées à signifier la présence des forces françaises et faire cesser les combats17.

La force Sangaris est renforcée à partir du 7 décembre par la projection de moyens aéromobiles d’attaque et de manœuvre. Deux hélicoptères Gazelle et quatre hélicoptères Puma sont engagés16. Ces derniers sont renforcés par l'arrivée par Antonov An-124 de deux Fennec de l'armée de l'air, en provenance des bases aériennes de Villacoublay et Orange17.

Le 8 décembre, l'état-major français annonce que l'axe Bouar-Bossembélé a été ouvert sans que la force ne soit freinée par aucune résistance17.

Désarmement des groupes armés (à partir du 9 décembre)

Le 8 décembre 2013, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, annonce que les opérations de désarmement des groupes armés commenceront dès le lendemain, lundi 9 décembre. Ce dernier rappelle les trois objectifs de l'intervention française en Centrafrique : « instaurer un minimum de sécurité et permettre l'acheminement de l'aide humanitaire, permettre à la mission africaine d'intervenir et mettre en place un processus démocratique »18.

Réactions internationales

Les médias et les opinions publiques sont partagées. Ainsi, le quotidien algérien Liberté dénonce le retour de la Françafrique et affirme que l'intervention est perçue « en Afrique et ailleurs comme une manœuvre de la France pour s'affirmer sur la scène mondiale »19. Le quotidien britannique The Times juge à l'inverse que par sa « volonté d’intervenir et d'empêcher une catastrophe humanitaire », la France est admirable20. Pour le journal burkinabé L'Observateur paalga, la France est accusée de « néocolonialisme et d'impérialisme » quand elle intervient et de « non-assistance à peuple en danger » lorsqu'elle reste neutre, mais c'est à cause du manque d'implications des États de la région qu'elle peut ou doit jouer au « gendarme de l'Afrique »21.

Notes et références

  1. Centrafrique : L’opération Sangaris comptera 1.600 militaires français pour désarmer les milices [archive],‎ 7 décembre 2013 (consulté le 7 décembre 2013)
  2. a et b Sangaris point de situation du 7 décembre 2013 [archive],‎ 7 décembre 2013 (consulté le 7 décembre 2013)
  3. Sangaris point de situation du 8 décembre [archive],‎ 8 décembre 2013 (consulté le 8 décembre 2013)
  4. Agence France-Presse, « Centrafrique : pourquoi l'appellation "Sangaris" ? » [archive], sur Les Échos.
  5. Vincent Duhem, « Le régime de Djotodia face à la multiplication des groupes armés hostiles », Jeune Afrique,‎ 29 octobre 2013 (ISSN 1950-1285)
  6. Peter Bouckaert, « Silence, on tue », Jeune Afrique,‎ 3 décembre 2013 (ISSN 1950-1285)
  7. RCA : le Conseil de sécurité autorise le déploiement de la MISCA, avec l'appui des forces françaises [archive], sur http://www.un.org [archive], Centre d'actualités de l'ONU,‎ 5 décembre 2013 (consulté le 7 décembre 2013)
  8. a, b et c Centrafrique : travaux d’aménagement à M’Poko [archive], sur defense.gouv.fr, ministère de la Défense,‎ 29 novembre 2013 (consulté le 6 décembre 2013).
  9. Phillipe Chapleau, « Le génie de l'air à Bangui pour préparer une plateforme aéroportuaire (actualisé) » [archive], sur Ouest-France,‎ 28 novembre 2013 (consulté le 6 décembre 2013).
  10. a, b et c Centrafrique: des éléments prépositionnés au Cameroun [archive], sur defense.gouv.fr, ministère de la Défense,‎ 2 décembre 2013 (consulté le 6 décembre 2013).
  11. a, b et c Centrafrique : un détachement de militaires spécialistes projeté à Bangui [archive], sur defense.gouv.fr, ministère de la Défense,‎ 30 novembre 2013 (consulté le 6 décembre 2013).
  12. Vincent Duhem, « L'opération française Sangaris a commencé », Jeune Afrique,‎ 6 décembre 2013 (ISSN 1950-1285, lire en ligne [archive])
  13. Sangaris : prise à partie sur l'aéroport de Bangui [archive], sur http://www.defense.gouv.fr [archive], Ministère de la Défense (France),‎ 6 décembre 2013 (consulté le 7 décembre 2013)
  14. Sangaris: 1200 hommes [archive], sur defense.gouv.fr, ministère de la Défense,‎ 7 décembre 2013 (consulté le 9 décembre 2013).
  15. Centrafrique : Hollande annonce le déploiement de 1600 soldats [archive], Libération,‎ 7 décembre 2013 (consulté le 7 décembre 2013).
  16. a, b et c Sangaris : point de situation du 7 décembre 2013 [archive], sur defense.gouv.fr, ministère de la Défense,‎ 7 décembre 2013 (consulté le 9 décembre 2013).
  17. a, b, c et d Sangaris: point de situation du 8 décembre [archive], sur defense.gouv.fr, ministère de la Défense,‎ 8 décembre 2013 (consulté le 9 décembre 2013).
  18. RTL : Centrafrique : Le Drian annonce le début du désarmement dès lundi, si besoin par la force [archive]
  19. Djamel Bouatta, « Alors que sa guerre au Mali n’est pas derrière elle, la France ouvre un nouveau front en Centrafrique », Liberté (Algérie),‎ 28 novembre 2013 (ISSN 1111-4290, lire en ligne [archive])
  20. Editorial, « La France montre la voie », The Times,‎ 27 novembre 2013
  21. Hyacinthe Sanou, « Sommet de l’Elysée : Au centre,… la Centrafrique », L'Observateur paalga,‎ 4 décembre 2013 (lire en ligne [archive])

Sur les autres projets Wikimedia :

Terangaweb_Enjeux-Centrafrique

Notes et références

  1. a, b et c France 24, 20/09/2013: Les "anti-machette" se soulèvent contre la Séléka [archive]
  2. Reuters, Dec 6, 2013 : French launch Central African Republic mission but deaths mount [archive]
  3. Tweet de Thomas Fessy, correspondant à la BBC [archive]
  4. Vincent Duhem, « Le régime de Djotodia face à la multiplication des groupes armés hostiles », Jeune Afrique,‎ 29 octobre 2013 (ISSN 1950-1285)
  5. Peter Bouckaert, « Silence, on tue », Jeune Afrique,‎ 3 décembre 2013 (ISSN 1950-1285)
  6. RCA : le Conseil de sécurité autorise le déploiement de la MISCA, avec l'appui des forces françaises [archive], sur http://www.un.org [archive], Centre d'actualités de l'ONU,‎ 5 décembre 2013 (consulté le 7 décembre 2013)
  7. a, b et c Human Rights Watch, 18 SEPTEMBRE 2013: République centrafricaine : Les nouveaux dirigeants commettent de terribles exactions [archive]
  8. a et b Rapport d'HRW, « Je
  9. peux encore sentir l’odeur des morts » : La crise oubliée des droits humains en République centrafricaine [archive]
  10. HRW, 19 NOVEMBRE 2013 : “Ici, on vit et on meurt comme des animaux” [archive]
  11. a et b Le Monde, 02.10.2013: En République centrafricaine, Bossangoa face à ses démons [archive]
  12. a et b France 24, 17/10/2013 : En images : situation dramatique dans les camps de réfugiés de Centrafrique [archive]
  13. a, b et c Slate.fr, 02/12/2013 : CENTRAFRIQUE: COMMENT UN CRIME DE GUERRE EST VISIBLE DE L'ESPACE [archive]
  14. Le Figaro, 06/12/2013: Centrafrique : la France déclenche l'opération militaire [archive]
  15. Le Point - 26/11/2013 - Centrafrique : pourquoi la France entre en guerre [archive]
  16. USG/ERC VALERIE AMOS ON THE WORSENING HUMANITARIAN SITUATION IN THE CENTRAL AFRICAN REPUBLIC [1] [archive]
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