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27 mars 2017

HISTOIRE DU PARTI ITALIEN LE MSI DE GIORGIO ALMIRANTE SON FONDATEUR EN 1946 ET QUI EST DÉCÉDÉ EN 1988

Vie et mort d'un parti ... le MSI en ITALIE

Lundi, 27 mars 2017

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Par Camille Galic, Fondation Polémia cliquez ici

 

Pendant près de trois décennies, le Mouvement Social Italien (MSI) fut le phare des partis qu’on ne disait pas encore populistes. Même s’il était exclu de l’« arc constitutionnel » à la suite du « compromis historique » conclu entre le PCI et la démocratie chrétienne, son ancrage dans la population et ses nombreux élus –communaux, nationaux (29 députés et 9 sénateurs dès 1953) – faisaient rêver ses homologues européens.

Il disposait de son propre quotidien, l’influent Il Secolo d’Italia, d’une presse très diversifiée, de l’hebdo grand public Il Borghese aux revues théoriques, de son mouvement de jeunesse (Avanguardia Nazionale), de relais à l’Université comme dans la haute aristocratie (tel le marquis Pignatelli, prince de Cerchiara) et d’un puissant syndicat, la CISNAL.

C’est ce glorieux passé que fait revivre, en suivant l’ordre chronologique, le journaliste Massimo Magliaro, ancien rédacteur en chef d’Il Secolo, dans un livre tout récemment paru, depuis la naissance du précurseur Fronte dell’Italiano en septembre 1946, suivie en novembre par la fondation du Mouvement italien d’Unité sociale par Giorgio Almirante et quelques amis, rescapés de la République sociale italienne.

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Vite rejointe par des éléments aussi différents que le Parti national italien, l’Union syndicale des cheminots italiens, les Groupes nationalistes lombards, l’Organisation pour le travail aux chômeurs associés, etc., cette structure fut la matrice du MSI, créé le 26 décembre 1946.

Rançon de sa popularité, le nouveau parti connaît rapidement ses « années de plomb ». En mars 1947 à Milan, le directeur du Meridiano d’Italia est assassiné par des terroristes communistes, qui dévasteront les bureaux du journal quelques mois plus tard. A Milan encore, à Bari, à Florence, à Rome et autres lieux, les sièges du MSI sont pris d’assaut, ses meetings attaqués. En 1953, alors que le dictateur communiste yougoslave Josip Broz, dit Tito, exige la restitution de Trieste et que les nationalistes italiens refusent ce Diktat, ils sont chargés à plusieurs reprises par la police militaire britannique qui, assurant l’ordre pour le compte de l’ONU, tire à balles réelles, faisant en tout six morts et plus de 120 blessés.

Malgré ces bains de sang, les militants résistent et leurs chefs, Giorgio Almirante, Augusto De Marsanich et Pino Romualdi en tête, persévèrent dans le quadrillage du territoire et l’opposition résolue au « système ». Tant d’efforts et de sacrifices seront couronnés de succès : en 1993, quarante ans après l’hécatombe de Trieste –enfin revenue en novembre 1954 à l’Italie, son arrière-pays ou Istrie étant dévolu à la Yougoslavie –, le MSI comptera 8451 sections réparties dans toute la péninsule et 202.000 adhérents à jour de cotisation.

Ce seront ses derniers jours de gloire. En 1988 s’est éteint Giorgio Almirante, « l’archi-Italien » que certains se souviennent d’avoir aperçu aux BBR frontistes, et son dauphin Gianfranco Fini lui a succédé.

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Mais, battu de très peu en 1993 à la mairie de Rome, Fini se persuade que cet échec relatif est dû à son attachement au Duce. Dès lors, il n’a de cesse de rejoindre l’Establishment. Il en découlera le sabordage du parti qui deviendra, le 22 janvier 1994, l’Alliance nationale, afin d’intégrer plus aisément la coalition menée par Silvio Berlusconi qui fait de l’ancien protégé d’Almirante son ministre des Affaires étrangères, vice-président du Conseil.

Parvenu en 2008 au fauteuil de président de la Chambre des députés, Fini devra l’abandonner cinq ans plus tard, ayant été sèchement battu aux législatives en dépit – ou à cause – de ses positions en rupture totale avec le programme du MSI. Celui qui proclamait vingt ans plus tôt son admiration pour le Ventunnio fasciste et qualifiait Mussolini de « plus grand homme d’Etat du XXe siècle […] vaincu par les armes mais non pas par l’histoire », s’est en effet converti au libéralisme, à l’atlantisme, à l’européisme, à l’assouplissement des règles d’accueil des immigrés et même à la dépénalisation du haschich !

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Entre-temps, comme la nature a horreur du vide, la Ligue du Nord puis le Mouvement 5 étoiles de Beppe Grillo auront prospéré sur les ruines du MSI – qui, maintenu par des fidèles, n’est toutefois plus qu’un groupuscule. « Alors que partout en Europe les peuples se réveillent et que des mouvements nationaux se développent, paradoxalement, l’Italie est l’un des rares pays où la droite nationale est privée d’une véritable représentativité…

A force de déraciner l’arbre, celui-ci ne donne plus de fruits », conclut tristement Massimo Magliaro qui estime que « ce qui s’est passé en Italie doit être lu, étudié et compris par tous les militants nationalistes d’Europe ». Difficile de lui donner tort.

Massimo Magliaro, Le MSI, Cahiers d’histoire du nationalisme, Editions Synthèse Nationale, n°11, 25/02/2017.

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In Italiano

Lunedi, 27 marzo, il 2017

Vita e morte di un partito ... il MSI in ITALIA

Camille Galic Polémia Fondazione

Per quasi tre decenni, il Movimento Sociale Italiano (MSI) è stato il fiore all'occhiello dei partiti che non ha detto ancora populista. Anche se è stato escluso dal "arco costituzionale" che segue il "compromesso storico" tra il PCI e la Democrazia Cristiana, il suo ancoraggio nella popolazione e le sue numerose -communaux eletti nazionale (29 deputati e senatori da 9 1953) - sono stati sognare i suoi omologhi europei.

Aveva il suo giornale, l'influente Il Secolo d'Italia, una pressa molto vario, i pubblici Il Borghese riviste teoriche settimanali del suo movimento giovanile (Avanguardia Nazionale), il relè Università come l'aristocrazia (come il Marquis Pignatelli, principe di Cerchiara) e un potente sindacato, il CISNAL.

E 'passato glorioso che fa rivivere, in ordine cronologico, il giornalista Massimo Magliaro, ex direttore de Il Secolo, in un libro di recente pubblicazione, dalla nascita del precursore dell'Italiano Fronte a Settembre 1946 seguita a novembre dalla fondazione del Movimento sociale italiano Unità Giorgio Almirante e gli amici, i sopravvissuti della Repubblica sociale italiana.

Presto raggiunti da elementi diversi come il Partito Nazionale Italiana, l'Unione delle ferrovie italiane, nazionalisti Gruppi lombarda, l'Organizzazione per il lavoro associato con i disoccupati, ecc, questa struttura era la matrice di MSI, costituita il 26 dicembre 1946.

Ransom della sua popolarità, il nuovo partito diventa rapidamente i suoi "anni di piombo". Nel mese di marzo 1947 a Milano, direttore Meridiano d'Italia viene ucciso da terroristi comunisti che devasterà la redazione del giornale un paio di mesi più tardi. A Milano ancora una volta a Bari, Firenze, Roma e in altri luoghi, le sedi del MSI vengono attaccati, attaccati i suoi comizi. Nel 1953, quando il dittatore comunista jugoslavo Josip Broz, detto Tito, chiede la restituzione di Trieste e dei nazionalisti italiani rifiutano questo diktat, si pagano più volte dalla polizia militare britannica, garantendo l'ordine per conto di ONU, sparando proiettili veri, per un totale di sei morti e oltre 120 feriti.

Nonostante lo spargimento di sangue, militanti e dirigenti resistono, Giorgio Almirante, Augusto De Marsanich e Pino Romualdi avanti, perseverare nella griglia del territorio e decisa opposizione al "sistema". Tanta fatica e sacrificio avranno successo: nel 1993, quaranta anni dopo il massacro di Trieste -Infine indietro nel novembre 1954 in Italia, il suo entroterra e l'Istria viene devoluto alla Jugoslavia - il conteggio MSI 8451 capitoli in tutta la penisola e 202.000 membri fino ad oggi del contributo.

Questo sarà il suo ultimo giorni di gloria. Nel 1988 è morto Giorgio Almirante, "l'arci-italiano", come alcuni ricordano di aver visto i frontisti BBR, e il corridore Gianfranco Fini lo ha riuscito.

Ma molto poco battuto nel 1993 a sindaco di Roma, Fini è convinto che questo fallimento è dovuto al suo attaccamento al Duce. Pertanto, non cessa mai di aderire alla Fondazione. Ciò comporterà l'affondamento del partito diventerà, 22 gennaio 1994, Alleanza Nazionale, al fine di integrare più facilmente la coalizione guidata da Silvio Berlusconi che fa l'ex pupillo di Almirante suo ministro degli Esteri, vice Presidente del Consiglio.

Arrivato nel 2008 la cattedra di presidente della Camera dei Deputati, Fini abbandonerà cinque anni più tardi, dopo essere stato sconfitto in seccamente parlamentari, nonostante - oa causa di - le sue posizioni in rottura totale con il programma di MSI. Colui che ha proclamato vent'anni prima la sua ammirazione per il fascista Ventunnio e descritto Mussolini "il più grande statista del XX secolo [...] conquistato con le armi, ma non dalla storia," ha infatti convertito in il liberalismo di atlantismo nel dell'europeismo, il rilassamento delle regole di casa per gli immigrati e anche la depenalizzazione di hashish!

Nel frattempo, come la natura ha orrore del vuoto, la Lega Nord e il Movimento 5 stelle Beppe Grillo hanno prosperato sulle rovine del MSI - che, se mantenuta dai fedeli, tuttavia, è più di un piccolo gruppo. "Mentre in tutta Europa le persone si stanno svegliando e che i movimenti nazionali sviluppati, paradossalmente, l'Italia è uno dei pochi paesi in cui diritto nazionale viene privato di una rappresentazione fedele ...

Una forza di sradicare l'albero, non dà più frutti "conclude tristemente Massimo Magliaro che crede che" ciò che è accaduto in Italia deve essere letto, studiato e compreso da tutti i militanti nazionalisti in Europa " . Difficile dargli torto.

Massimo Magliaro, MSI, nazionalismo Storia notebook, pubblicato dalla National Synthesis, n ° 11, 25/02/2017.

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