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4 avril 2017

MÉDIAS HYSTÉRIQUES ANTI-TRUMP ET CE QUI NE LE SONT PAS LES MONDIALISTES CONTINUENT A VOULOIR DÉTRUIRE LE PRÉSIDENT DES USA

CE QUE NOUS APPRENNENT LES MEDIAS QUI NE SUIVENT PAS L'HYSTERIE ANTI-TRUMP
SOURCE : PUBLIÉ PAR MAGALI MARC LE 4 AVRIL 2017

Howard Kurtz de Fox News et Michael Goodwin du New York Post sont des analystes et chroniqueurs qui ne suivent pas la gauche américaine dans son hystérie anti-Trump.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit deux chroniques qui offrent des points de vue différents des médias de masse sans tomber dans la complaisance.

Media Buzz–Les médias prétendent que sa présidence est un échec, mais Trump ne fait que commencer

Par Howard Kurtz – Publié le 3 avril 2017 sur le site de FoxNews.com

La carte de pointage des médias de masse est arrivée : la présidence de Donald Trump est coincée dans le sable.

Je n’utilise pas cette métaphore de golf par hasard. La couverture de The Economist décrit Trump comme étant enterrée dans un immense trou sur les verts. Et la couverture du New-Yorker le montre pivotant sur la pelouse de la Maison-Blanche, brisant les fenêtres du bâtiment.

De nombreux journalistes et commentateurs ne veulent pas attendre la fin des 100 premiers jours pour annoncer que la présidence de Trump est un échec.

Ils sont pratiquement en train d’oblitérer la présidence de Trump après seulement 10 semaines. Et beaucoup se lèchent les babines avec délectation après avoir couvert sa campagne avec scepticisme ou avec une hostilité qu’ils n’arrivaient même pas à dissimuler. L’heure de la vengeance a sonné.

Il y a un «je-vous-l’avais-bien-dit» qui s’exprime chaque chaque fois qu’ils rapportent que les sondages d’approbation de Trump inclinent vers le bas.

De toute évidence, un président néophyte en politique va commettre des erreurs et des faux pas. Pourtant, porter un jugement d’ensemble sur sa présidence aussi tôt relève de la myopie.

Jack Kennedy, en début de mandat, a connu un échec militaire désastreux lors de l’épisode bien connu de la baie des Cochons.

Les premiers six mois de Bill Clinton ont été orageux et il a dû passer près de deux ans à réécrire le programme des soins de santé d’Hillary, qu’il n’a jamais réussi à faire adopter au Congrès.

Les présidents se relèvent la plupart du temps de leurs faux pas initiaux.

 

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Cela, bien sûr, exige que l’occupant du Bureau ovale apprenne de ses erreurs et corrige le tir – une chose que l’équipe de Trump est en train de faire en mettant au point une nouvelle stratégie après l’échec du remplacement de l’ObamaCare.

C’est cet échec qui a ouvert les vannes par lesquelles s’engouffrent les «experts» qui souhaitent la chute de Trump et qui remettent ça avec des révélations concernant des soi-disant liens des républicains avec les Russes et cherchent à mettre la Maison-Blanche sur la défensive.

Voici quelques exemples :

le chroniqueur du Washington Post, Michael Gerson, un ancien membre de la Maison-Blanche sous Bush et un anti-Trump, a publié un article intitulé «La présidence de Trump en situation d’échec, le GOP est en chute libre».

«Ainsi, un parti au sommet de sa réussite est totalement paralysé. Le caucus qui contrôle tout est lui-même incontrôlable», écrit Gerson.

Plus à gauche, Salon appuie sur le bobo : «Chaos dans la West Wing, le style de gestion de Donald Trump est très mal adapté à la Maison-Blanche».
L’historienne Doris Kearns Goodwin, invitée du «Morning Joe», dit de Trump :

«Je ne pense pas qu’il ait pris le contrôle de l’ordre du jour d’aucune façon. Il a perdu le contrôle de la bully pulpit ( la chaire d’intimidation).»

Certes, grâce à Trump la confiance en l’économie est revenue. Il a lancé le pipeline Keystone, a mis fin à l’accord commercial du Pacifique et publié une série d’ordres exécutifs. Cela peut prendre un certain temps, mais Neil Gorsuch est sur le point d’être nommé à la Cour suprême.

Pourtant, alors que les républicains contrôlent la Maison-Blanche et les deux chambres du Congrès, on pourrait croire que le président est en mesure de faire adopter un programme ambitieux.

Mais le GOP est un parti profondément divisé, avec des tensions qui étaient moins apparentes quand il était minoritaire.

Kellyanne Conway m’a dit l’autre jour que c’est le prix de la réussite.

Avec les républicains gagnant plus d’élections dans les États bleus (démocrates), dit-elle, c’est devenu un grand parti géographiquement diversifié avec de grandes différences parmi ses membres. Cela va du point de vue énergique du «Freedom Caucus» au «Tuesday Group» plus modéré.

 

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Le défi pour Trump est de rassembler ces factions en une majorité active, avec ou sans l’aide des démocrates.

Et sur ce point, il n’en est qu’au premier trou.

*Howard Kurtz est un analyste de Fox News et l’hôte de «MediaBuzz». Il est l’auteur de cinq livres et vit à Washington.

Les scandales du genre «Watergate» qui secouent les administrations Trump et Obama

Michael Goodwin– 2 avril 2017– New York Post

Au moment où vous pensiez que la situation à Washington ne pouvait pas empirer, nous sommes submergés par des reportages de journaux à sensation, tout excités, qui n’en finissent pas de parler de la Russie, des écoutes téléphoniques et des fuites illégales d’informations classées top-secret.

Ajoutez à cela un rendez-vous d’un membre du Congrès à la Maison-Blanche pour une rencontre de haut niveau, et tout cela ressemble à un complot dans un film de deuxième ordre.

Mais n’éteignez pas encore la télé, car nous sommes en train d’assister à un événement sans précédent : deux scénarios potentiels de type «Watergate» impliquant deux présidents, apparaissent simultanément.

Est-ce que Donald Trump a comploté avec la Russie pour vaincre Hillary Clinton ? Est-ce que Barack Obama a politisé les forces de l’ordre et la collecte de renseignements afin d’espionner Trump et de détruire sa présidence ?

Ce sont-là des questions extraordinaires, d’autant plus que la course aux réponses se déroule sur des pistes parallèles.

La partisanerie habituelle est devenue une guerre acharnée dans laquelle le gagnant parvient à démontrer que le président de l’autre parti est coupable de conduite antiaméricaine.

Le scandale n ° 1 a commencé par des des reportages selon lesquels des pirates russes ont tenté d’influencer les élections présidentielles de manière à favoriser Trump.

Ensuite est arrivée l’accusation supplémentaire selon laquelle l’équipe de Trump travaillait avec Vladimir Poutine, comme c’est décrit dans le fameux dossier discrédité concernant les prostituées russes.

Hillary Clinton a beaucoup insisté sur le fait que Trump était coupable de quelque chose, et ses alliés dans les médias ont attisé la fumée en cherchant désespérément à créer des flammes.

Bien qu’il n’y ait pas encore de preuves jusqu’à présent, l’enquête continue du FBI donne aux démocrates une occasion de créer leurs propres faits, alors que la leader de la minorité de la Chambre, Nancy Pelosi, a suggéré vendredi que la Russie faisait chanter Trump.

Le prochain élément de cette soi-disant collusion sera le premier, mais cela n’empêche pas la gauche de fantasmer sur un éventuel désistement de Trump.

Certains enfreignent la loi pour bâtir leur dossier d’accusation.

Cela nous amène au scandale n ° 2, qui a connu un début tardif, mais qui arrive à grands pas et risque de se révéler être un bon filon.

Cela a pu sembler loufoque quand Trump a lancé l’accusation selon laquelle Obama l’avait fait mettre sur écoutes, mais il y a maintenant des preuves convaincantes montrant que Trump a mis le doigt sur quelque chose de très important.

De nombreux reportages dans les médias continuent de révéler que les agents fédéraux ont recueilli des informations secrètes sur l’équipe de Trump et les ont utilisées à des fins de sabotage.

Si l’on peut prouver qu’un président en exercice a utilisé les autorités gouvernementales pour espionner un candidat qui est devenu président et que des fuites de matériel top-secret ont été orchestrées, Watergate, en comparaison, apparaîtrait vraiment comme un cambriolage de second ordre.

 

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Il y a de fortes chances qu’Obama ait été le roi des coups fourrés.

Considérons le fait qu’Evelyn Farkas, une ancienne responsable au ministère de la Défense d’Obama dont le portefeuille comprenait la Russie, a déclaré dans une interview du 2 mars, peu remarquée jusqu’à la semaine dernière, qu’elle avait demandé à la Maison-Blanche d’Obama et aux démocrates de recueillir des informations sur Trump et de dissimuler cette enquête à la nouvelle administration.

«S’ils avaient découvert comment nous savions ce que nous savions de leur personnel, du personnel de Trump qui traitait avec les Russes, ils essayeraient de compromettre ces sources et ces méthodes, ce qui signifie que nous n’aurions plus accès à ces renseignements», a déclaré Farkas à MSNBC. «Donc, je suis devenue très inquiète, car il n’y avait pas suffisamment d’information révélée, et je savais qu’il y en avait davantage».

Elle a ajouté : «Nous avons de bons renseignements concernant la Russie. C’est pourquoi il y a des fuites. Les gens sont inquiets.»

Farkas a essayé de revenir sur ces paroles, mais c’était trop tard. Son prochain discours, elle devra le prononcer devant un jury fédéral.

Son apparente admission selon laquelle les fuites de sécurité nationale provenaient de fonctionnaires d’Obama qui tentaient de compromettre Trump est un développement majeur, et le New York Times y a ajouté un élément important.

Peut-être par inadvertance, un reportage à la une du NYT a abandonné la référence habituelle à la surveillance des «associés de Trump» et a cité «des rapports de renseignement qui montraient que le président Trump et ses associés avaient été accidentellement inclus dans les écoutes d’étrangers effectuées par les agences d’espionnage américaines».

À ma connaissance, c’est le premier reportage qui révèle que Trump lui-même aurait été pris en charge par la surveillance. Si c’est vrai, c’est une véritable bombe qui change tout.

Quand Trump a-t-il été écouté ? A qui s’adressait-il ? Comment le Times sait-il que c’était «accessoire» plutôt qu’intentionnel, à moins que cela ait été révélé par le «fuiteur» anonyme ?

Le reportage ne répond pas à ces questions et prétend pourtant que l’affirmation de Trump selon laquelle il y eu des écoutes téléphoniques à son endroit est «démolie».

C’est faux. L’accusation a été niée, mais elle n’a pas été démolie.

En outre, c’était illégal de révéler le nom de Trump au Times et de «démasquer» tout citoyen américain qui n’était pas la cible de la surveillance.

Pourtant, Trump est au moins la sixième personne de son entourage à avoir été identifiée publiquement comme ayant été prise en charge par les écoutes de l’ère Obama.

Les preuves accumulées que Trump et son équipe ont été ciblés par des agents secrets américains font maintenant partie intégrante des enquêtes du Congrès, mais cela mérite également une enquête criminelle.

Les références au Watergate peuvent paraître banales, mais la fin de Richard Nixon devrait nous servir de leçon pour savoir vers quoi nous nous dirigeons.

D’abord, trouver et coincer un initié informé constitue une étape cruciale, et Farkas est un bon point de départ pour le ministère de la Justice.

Parce qu’elle a par la suite été conseillère de la campagne d’Hillary Clinton, cela vaut la peine d’explorer si elle a servi de relais pour la Maison-Blanche d’Obama et si elle a divulgué des données secrètes aux médias.

Une deuxième leçon du Watergate est que la guerre n’est pas terminée tant que l’équipe en place n’a pas agité le drapeau blanc. Rappelons-nous que ce sont les républicains qui ont convaincu Nixon qu’il était temps de partir.

Donc, le GOP détient la clé du résultat de l’enquête concernant les écoutes de Trump et des Russes, et les démocrates auront leur mot à dire si l’enquête sur les fuites implique Obama.

C’est là une possibilité vraiment effrayante : si les deux présidents se révèlent coupables, que diable allons-nous faire d’eux ?

SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : traduction et adaptation © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

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SOURCE PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 5 AVRIL 2017

 

Un énorme scandale politique est en train d’éclater. Il implique directement l’ex-président Obama.

Comme Obama et son entourage proche sont mis en cause, il faut s’attendre à ce que le sujet soit totalement occulté par les médias, dans un premier temps, puis, lorsqu’ils ne pourront plus le cacher à leurs lecteurs, à ce qu’il soit déformé, que des informations cruciales soient «oubliées» pour que les gens comprennent l’inverse de la réalité.

L’affaire a commencé il y a un mois lorsque le Président Trump a tweeté qu’Obama a fait mettre sur écoute la Trump Tower.

Terrible! Just found out that Obama had my "wires tapped" in Trump Tower just before the victory. Nothing found. This is McCarthyism!

Tout le monde a bien rit. Aujourd’hui ils rient jaune.

Jusqu’à il y a 3 jours, le dossier était si complexe, et les développements si fréquents, qu’il m’était impossible d’en parler tant l’affaire recevait de fréquents développements.

Là, une très grosse révélation a été publiée : Susan Rice, la conseillère sécurité et amie du Président Obama serait, selon plusieurs sources dont Bloomberg et Fox News, à l’origine d’un scandale identique à celui du Watergate :

la mise sur écoute du candidat républicain à l’élection présidentielle pendant plus d’un an.

  • 1– Espionner un citoyen américain ou un résident légalement sur le sol américain est illégal. Pour que l’espionnage soit légal, il faut obtenir le feu vert d’un juge et motiver la demande pour des raisons de sécurité nationale : un citoyen peut être soupçonné d’espionner ou de conspirer pour un Etat étranger, ou pour commettre un attentat.
  • 2– Lorsqu’un citoyen américain est écouté par inadvertance dans le cadre d’une enquête sur une autre personne, son nom est noirci des transcriptions pour qu’il ne puisse pas être révélé. Cela peut se produire si un diplomate russe est sous écoute, et qu’il téléphone à Donald Trump ou un de ses collaborateurs de campagne pour l’inviter à une soirée officielle.
  • 3– Lorsque le nom de citoyens américains écoutés par inadvertance, donc en dehors de l’objet d’une enquête, est noirci d’une retranscription de conversation ou de surveillance, la loi interdit de «dénoircir» leurs noms. Ce délit est pénalement puni.
  • 4– La loi interdit évidemment de fuiter à la presse les transcriptions d’une enquête des services de renseignement, et plus grave encore, la fuite de documents où les noms des citoyens américains pris indirectement dans une enquête ont été «dénoircis».

Dans le cas présent, nous savons maintenant les choses suivantes :

  • Premier scandale : Donald Trump et son équipe de campagne ont été mis sous surveillance pendant plus d’un an, sans aucun rapport avec une enquête du FBI sur une affaire d’espionnage avec la Russie, mais pour de pures raisons politiques, à savoir, dans le but d’embarrasser le candidat Trump, de connaître ses futurs mouvements, de lui mettre des bâtons dans les roues et éventuellement de le faire battre à la présidentielle par Hillary Clinton.
  • Second scandale : Susan Rice, conseillère sécurité du Président OBAMA, a selon plusieurs sources, mis en place ou été requise de mettre en place cette surveillance, alors que son emploi était sans le moindre rapport avec cette surveillance : sa fonction consistait à établir la politique sécuritaire des Etats-Unis.
  • Troisième scandale : Susan Rice a, selon les mêmes sources, ordonné de «dénoircir» les noms des collaborateurs de campagne de Trump et les a fait fuiter à la presse.

Ces faits ont été révélés et confirmés :

  • Par l’ancien Procureur fédéral Joseph di Genova. Source : dailycaller.com.
  • Par le président de la commission d’enquête du Congrès Devin Nunes – qui s’est déplacé à la Maison-Blanche dans des salles qui permettent d’accéder aux ordinateurs protégés, et a vu les retranscriptions des écoutes dont les noms des collaborateurs de Trump ont été dénoircis, et qui a pu constater que les écoutes n’avaient pas pour base une enquête de contre espionnage sur la Russie.
  • Par le journaliste d’investigation Mike Cernovich qui a le premier dévoilé le nom de Susan Rice comme étant à l’origine des enquêtes, de la révélation des noms des personnes enquêtées, et des fuites à la presse. Source : circa.com.
  • Bloomberg a confirmé l’enquête de Cernovich.
  • Eli Lake, journaliste à Bloomberg a reçu de ses sources des informations concomitantes. Lire l’article : bloomberg.com/top-obama-adviser-sought-names-of-trump-associates-in-intel
  • Sur MSNBC le 2 mars, la journaliste Evelyn Farkas a explicitement reconnu qu’elle espionnait Trump pour Obama, et qu’elle était inquiète que les fuites risquent de disparaître. Voici son interview :
  • La journaliste Sara Carter a confirmé sur Fox News qu’il n’existait aucun lien entre les surveillances de l’équipe de campagne de Trump et l’enquête sur les implications de la Russie dans la campagne présidentielle, qui a commencé en janvier 2017. Voici son interview :

CNN a spécifiquement demandé à ses auditeurs de ne pas suivre l’affaire Susan Rice ! D’autres médias l’ont enterrée en page 4 de leur édition papier.

Susan Rice n’en est pas à son premier coup tordu. Alors que l’administration Obama y compris Hillary Clinton savait que l’attentat de l’ambassade de Benghazi était terroriste, elle était apparue devant les caméras du pays et avait menti en accusant une sombre vidéo publiée sur YouTube d’avoir enflammé les passions et déclenché une «réaction spontanée» contre l’ambassade américaine.

Lors de trois interviews depuis que son nom a été publié, Susan Rice a donné trois versions différentes des faits, niant toute implication.

Elle sera convoquée dans les jours prochains par le Congrès dans le cadre de son enquête sur le triple délit dont

Donald Trump est victime : espionnage illégal, exposition illégale des noms de ses collaborateurs, fuites illégales à la presse.

Susan Rice devra témoigner sous serment de son implication. Les observateurs pensent qu’elle plaidera le 5e amendement, car elle a beaucoup à cacher. L’ex-président Obama devrait également être convoqué devant la commission d’enquête.

L’affaire ne fait que commencer.

Elle a été déclenchée par les Démocrates qui ont inventé une collusion entre la Russie et Trump pour lui faire gagner l’élection afin de rendre sa victoire illégitime. L’enquête sur la Russie n’a jusqu’à présent strictement rien révélé. Elle est toujours en cours.

Mais cette enquête a attiré l’attention de quelques journalistes d’investigation et de membre de la commission d’enquête sur la quantité d’informations dont disposaient les Démocrates.

L’affaire leur revient comme un boomerang, et les médias ne pourront pas longtemps l’étouffer : trop de journalistes honnêtes outre-Atlantique la suivent, tout comme internet.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pourDreuz.info.

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