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17 décembre 2016

TRUMP SUR RESEAUX ADMINET

Trump  sur 

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Crushing Hillary: Trump's Landslide by the Numbers


Après Trump, Marine Le Pen à l'Élysée ?

[Ukraine] [Wikileaks] [Poutine]

Donald Trump, 45ème président des Etats-Unis

Voir les commentaires de

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SOURCE : PUBLIÉ PAR MAGALI MARC LE 16 DÉCEMBRE 2016
Trump a invité les dirigeants des plus importantes entreprises de la Silicon Valley

Michael Goodwin du New York Post se gausse des prophètes de malheur dans les médias et des gauchistes qui disent que la victoire de Trump est due à un complot dirigé directement par Vladimir Poutine.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit ce texte de Michael Goodwin paru le 11 décembre dernier dans le New York Post

La nouvelle panique des gauchistes prouve qu’ils sont incapables de s’accommoder de la vérité

Hillary Clinton se plaint d’une «épidémie» de fausses nouvelles, Brian Williams, le menteur* dénonce les «mensonges» du camp de Trump, et Dan Rather, le loufoque, s’inquiète d’à peu près tout.
Pour ne pas être en reste, le New York Times épie une nation où les gens tentent de démêler la vérité dans une mer de mensonges.

Permettez-moi de venir en aide à nos prophètes de malheur dont l’effroi évoque l’image des Quatre Cavaliers de l’Apocalypse.

La première étape consiste à les aider à sortir leurs têtes coincées dans leurs postérieurs.

La deuxième étape consiste à localiser la source de leur peur et de leur dégoût, et ils n’ont pas besoin d’un psy pour cela : c’est la victoire retentissante de Donald Trump.

Parce qu’ils ne peuvent pas vivre avec la vérité, ils exorcisent leur rage en se lançant dans une chasse aux sorcières et des théories de la conspiration les plus échevelées.

Leur soudaine fascination pour les fausses nouvelles et le piratage russe ne fait que révéler leur désarroi devant la réalité.

Oui, il est vrai que certains sites Web affichent des nouvelles complètement fabriquées.

Mais , certains journaux, qui ont pourtant d’excellentes réputations, traitent leurs propres préjugés comme des vérités d’évangile.

Rappelez-vous que le Times et ses co-conspirateurs ont créé un Trump fictif arrivé au sommet grâce à des chemises brunes marchant au pas de l’oie et à des bigots édentés tout droit sortis de puants marécages.

Leur but était de terroriser les gens dans tout le pays afin qu’ils appuient Hillary Clinton, en faisant de leurs premières pages des pages éditoriales où le terme de «vraies nouvelles» était devenu un oxymore.

Avec leur distorsion amplifiée par les radiodiffuseurs perroquets et la bile gauchiste qui s’est répandue sur le câble, il ne faut pas s’étonner si ces marchands de peur n’ont pas une seconde imaginé que Trump allait gagner.

Aucune voix dissidente n’a été autorisée à interrompre leur réflexion en groupe, et aucune ne l’a fait.
Pourtant, même maintenant, au lieu d’essayer de comprendre où ils ont fait erreur, ils tapent sur la table et déclarent que tout le monde se trompe.
Pour le clergé médiatique, la Terre est encore plate.

L’un des résultats de cette attitude de déni est l’hystérie que l’on retrouve sur les campus universitaires, les sous-sols gauchistes et les salons hollywoodiens.
Ayant bu le Kool-Aid des médias nationaux, ils sont étonnés que le soleil se lève encore. Comment la vie pourrait-elle continuer avec Trump dans le bureau ovale ?
Un autre résultat est la recherche par la gauche battue à plate couture de «solutions» à la prolifération d’idées sur lesquelles ils n’ont aucun contrôle.

Leurs propositions frisent la démence ou deviennent carrément dangereuses, car elles visent à restreindre la liberté d’expression de tous ceux qui osent contester leur monopole de la vérité.

Ainsi, les anti-Trump cherchent à enrôler les responsables des médias sociaux afin qu’ils bloquent tout autant les «fausses» nouvelles que les discours « haineux » qu’ils sont les seuls à avoir le droit de définir.

Comme c’est réconfortant.

Voici un exemple des complications qu’ils doivent résoudre : brûler le drapeau américain est-ce un acte patriotique ou une forme de discours haineux ?

Qui doit décider cela en dernière instance, ceux qui brûlent le drapeau ou ceux qui ont combattu pour le défendre ?

Considérons la prétention du président Obama selon laquelle le problème des médias réside dans leur «segmentation», ce qui signifie que les gens gravitent vers leurs préférences, comme si c’était une mauvaise chose.

Dans le même souffle, il souligne que le magazine Rolling Stone a fait un «excellent travail.»
C’est étrange, car en fait, ce magazine vient de perdre une poursuite en diffamation à propos d’une fausse histoire de viol sur un campus, et il a été contraint de se rétracter.
Ah, mais voilà que sort la vérité : Rolling Stone a présenté Obama 10 fois en page couverture, donc bien sûr, il fait un excellent travail. Il est d’accord avec lui !
La plupart des vérités politiques sont comme ça, valables selon celui qui regarde. C’est pourquoi les Fondateurs (de la Constitution) ont créé un système basé sur l’idée que plus il y a de points de vue, mieux c’est.

Selon Hillary Clinton des vies seraient mises en jeu à cause des fausses nouvelles.
Le premier amendement a été conçu pour produire une cacophonie de points de vue concurrents au lieu d’en établir un seul. Et aucune autorité ne peut seule décider de ce qui est vrai et de ce qui est faux.

Le juge Louis Brandeis, qui vénérait l’idéal américain, écrivait que, lorsqu’il affrontait les faussetés et les mensonges, «le remède à appliquer (était) davantage de parole et non l’imposition du silence ».

Dans un autre cas, Brandeis écrivait : « Une expression franche d’opinions contradictoires demeure la plus grande promesse de sagesse dans l’action gouvernementale ; et c’est dans sa suppression que se trouve ordinairement le plus grand péril ».
Les suppresseurs de parole sont maintenant en force, se débattant dans leur fièvre et déterminés à faire taire une parole qui ne correspond pas à la leur.
La seule réponse raisonnable est de leur dire de rester loin du Premier Amendement.
Il est très bien comme il est.»

Conclusion

Michael Goodwin n’est pas le seul à observer la réaction hystérique des milieux de gauche aux États-Unis.
Emily Zanotti a écrit le 10 décembre dernier sur le site de Heatstreet.com :

« Pendant que le Washington Post continue dans sa mission de fomenter l’hystérie face à la future présidence de Trump, – la nouvelle concernant la CIA été imprimée directement au-dessus d’un gros titre qui disait « Donald Trump est un fasciste» – il rate complètement la vraie nouvelle de cette élection : l’échec total et complet d’une des campagnes électorales les mieux financées de l’histoire présidentielle américaine».

SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pourDreuz.info.

*Williams était l’hôte du NBC Nightly News, il a été suspendu pendant six mois et a perdu sa place d’hôte des NBC Nightly News pour avoir exagéré des histoires sur ses reportages en Irak et en Nouvelle-Orléans après l’ouragan Katrina. Il a prétendu pendant des années que l’hélicoptère dans lequel il était avait essuyé des tirs en Irak. MSNBC l’a réembauché.

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SOURCE : PUBLIÉ PAR FRANÇOIS PRÉVAL LE 14 DÉCEMBRE 2016


Donald Trump, le candidat républicain outsider, a déjoué tous les pronostics et remporté haut la main la victoire la présidence des Etats-Unis d’Amérique, devenant son 45e président, suite à une campagne particulièrement inique et malhonnête à son encontre.

Son adversaire, la démocrate Hilary Clinton, a admis sa défaite alors même qu’elle avait été soutenue par non seulement l’ensemble de son parti, mais aussi certains républicains, les médias, la quasi-totalité de l’élite artistique, intellectuelle et politique. Un résultat qui a surpris beaucoup de monde, y compris parmi certains partisans de Trump. Plusieurs leçons sont à tirer de cet événement à la portée historique.

La première et la plus importante est la rupture désormais consommée entre les élites de tous les domaines (politique, média, culture, économie) et le peuple. Cela a déjà été dit et répété à satiété dans divers médias et cette rupture a déjà été évoquée lors d’évènements antérieurs, notamment le référendum sur la constitution européenne de 2005. Mais le phénomène semble être passé à un stade supérieur, le peuple ayant bravé les recommandations de pratiquement tous les grands médias connus et porté au pouvoir le candidat le plus haï de l’histoire présidentielle Américaine, sans doute davantage encore que Georges W Bush en 2004. Trump avait défié le politiquement correct sur pratiquement tous les sujets, de l’immigration à l’avortement en passant par l’islam et le droit au port d’arme. Son succès valide donc ses propres prises de position sur ces sujets. Le peuple semble n’être nullement impressionné ou influencé par la propagande massive des médias aux ordres et vouloir persévérer à pourfendre la chape de plomb de l’idéologie dominante de gauche, tiermondiste, islamophile, antioccidentale et antichrétienne.

L’autre leçon est la confortation du succès en politique des candidats outsiders et anticonformistes, souvent non-politiciens professionnels, iconoclastes et politiquement incorrects. Je l’avais déjà signalé dans un de mes précédents articles concernant les victoires du Brexit en Grande-Bretagne et du mouvement Cinq Etoiles en Italie. Trump est un outsider, n’étant pas politicien et étant au parti républicain depuis peu. Ce succès se confortant au fil des événements, la possibilité d’une réelle alternance politique et donc d’une nouvelle organisation internationale s’envisage plus nettement. Or, tous ces mouvements se sont signalés par leur hostilité affichée à une immigration extraeuropéenne massive et à l’islam. On peut donc plus aisément envisager de voir au pouvoir des personnalités authentiquement hostiles au panislamisme mondial et au tiermondisme.

Ce fut donc essentiellement une victoire des idées et des mentalités

Enfin, dernier enseignement, cette victoire surprise d’un candidat en butte contre le politiquement correct le plus dogmatique et sectaire témoigne d’une victoire totale sur cette chape de plomb idéologique provoquée par l’action de la gauche et la lâcheté de la droite. Au-delà de la victoire politique, ce fut donc essentiellement une victoire des idées et des mentalités. Dorénavant, la position des gens opposés au discours officiel sur les différents sujets sensibles susmentionnés sont représentés politiquement, et ce au plus haut niveau de la planète. Il faudra désormais compter avec eux d’une manière ou d’une autre et ils pourront même influencer la marche du monde.

Bien sûr, toutes ces perspectives dépendent largement de ce que les vainqueurs feront de leurs victoires, notamment Donald Trump.

Il faudra que ce dernier résiste aux pressions diverses que ne manqueront pas de lui faire subir l’opposition démocrate, les médias de gauche (que sont la quasi-totalité des médias) et même une bonne partie de l’appareil républicain. Il faudra aussi qu’il fasse preuve d’honnêteté et de courage, qu’il soit à la hauteur du défi de l’exercice du pouvoir. Si Trump a déjà amendé son programme en retirant les propositions les plus polémiques et en revenant sur certaines prises de position antérieures (le pseudo-mariage gay notamment), on peut encore espérer qu’il tiendra l’essentiel de ses promesses, notamment en matière de politique extérieure et d’immigration. Tout demeure encore possible.

En tous les cas, Trump confirme qu’il est une personnalité atypique et imprévisible, comme candidat et président, renonçant à son salaire de chef d’Etat, dénonçant le coût de l’Air Force One, répondant directement à un appel de la cheffe d’Etat de Taiwan, recrutant aussi bien des modérés que des ultra-conservateurs dans son équipe. Symbole des symboles, à quelques semaines près, l’élection de cet authentique hors la «loi de la politique» coïncide avec le décès d’un des derniers dictateurs communistes de la planète issus du siècle dernier.

Au milieu de l’indigne concert de louanges, de Justin Trudeau à Ségolène Royal en passant par Diego Maradona, Trump s’est encore distingué en dénonçant Fidel Castro pour ce qu’il fut, un dictateur brutal et sanguinaire. Ainsi, même si Trump n’est pas le président parfait (mais en existe-t-il ?), il a d’emblée marqué de son empreinte la vie politique américaine et mondiale et aura infligé une défaite cinglante à l’auto proclamée camp du bien incarné par Clinton. En cela, il est déjà entré dans l’histoire.

SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © François Préval pour Dreuz.info.

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