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9 mai 2017

MARINE LE PEN EST DE GAUCHE TOUT LA VIENT LE PROBLÈME DE SON ÉCHEC POUR ERIC ZEMMOUR !

Pour Zemmour, le problème

 

vient de Marine Le Pen

Capture_10

SOURCE : VALEURS ACTUELLES

https://www.valeursactuelles.com/politique/pour-zemmour-le-probleme-vient-de-marine-le-pen-82927

Présidentielle. Dans un exercice de questions-réponses avec les internautes de RTL, Éric Zemmour a vivement critiqué la campagne tenue par Marine Le Pen.

Éric Zemmour a donné son analyse des résultats de l'élection présidentielle, lundi 8 mai sur RTL. Marine Le Pen était dans le viseur. "Elle était donnée à 30% au premier tour, elle finit à 21%. Elle était donnée à plus de 40 % au second tour, elle finit à 35%. Ça, c'est l'effet campagne de Marine Le Pen. À chaque fois, ses idées sont bien plus hautes qu'elle. Il y a un vrai problème Marine Le Pen aujourd'hui", explique le polémiste.

"Marine Le Pen est de gauche"

Pour Éric Zemmour, le principal problème provient de sa stratégie de campagne. En d'autres termes, de la ligne Philippot, plus sociale qu'identitaire, plus économique que culturel. Une stratégie mortifère aux yeux du polémiste. "Même si dans ses discours, elle tient compte davantage de l'identité et de l'immigration, de l'islam qui sont les vrais sujets qui peuvent rassembler au-delà de son électorat, elle retombe dans sa stratégie inspirée de Florian Philippot, de gauche. Elle privilégie le social sur l'identitaire" a-t-il déclaré.

Mais Éric Zemmour ébauche également le scénario qui risque de secouer le FN dans les prochains mois : le remplacement de Marine Le Pen. Lors du débat face à Emmanuel Macron, elle a montré une incompétence crasse et une incapacité à prendre de la hauteur (...) Elle est tombée dans tous les pièges que lui tendait Emmanuel Macron, sans être capable de répliquer sur le plan économique et de parler de la France. Elle n'a pas la culture qu'avait son père ou la génération précédente.", a expliqué Éric Zemmour.

Enfin, après avoir rappelé que la présidente du FN était "de gauche, et que tous ses réflexes [étaient] de gauche", Éric Zemmour a évoqué l'union des droites qui permettrait selon lui d'asseoir des idées "majoritaires dans le pays" (sur l’immigration, l’islam…), mais cela dit-il, "ni Marine Le Pen, ni la droite classique ne veut de cette union".  

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Il m’a fallu du temps pour digérer
ce débat raté de Marine…

 

 

Publié le 7 mai 2017 - par Partager
SOURCE :

marine-macron

 

Au dessus de 40% c’eût été un succès. Avec 34%, c’est une claque sévère qui aura des conséquences douloureuses au sein du parti, et qui va singulièrement réviser à la baisse les ambitions législatives de Marine.

Si j’avais écrit en toute franchise, mercredi soir, ce que je pensais réellement du débat présidentiel, les inconditionnels de Marine m’auraient maudit, tant j’ai jugé avec une extrême sévérité sa médiocre prestation.

Mais il eut été peu judicieux de l’accabler à trois jours du scrutin final.

A l’issue du débat, je n’étais plus le mariniste convaincu qui l’a toujours défendue, allant même jusqu’à endosser les habits du parfait hypocrite pour soutenir certains de ses choix que je juge totalement irréalistes et suicidaires.

Non, j’étais devenu le félon qui allait enfoncer le dernier clou de son cercueil, parce qu’en deux heures de débat, elle n’a jamais su afficher la posture présidentielle que tous les patriotes attendaient d’elle. Ce débat fut un désastre.

La colère le disputait à la déception la plus totale. On attendait Austerlitz, on a eu Waterloo. On attendait une victoire par KO, mais c’est Marine qui a laissé quelques dents sur le tapis.

Tant d’énergie depuis 6 ans, tant de courage et de volonté, tant de succès électoraux, tant d’espoirs portés, tant de meetings grandioses, débordant de patriotisme et d’amour de la France, tout cela s’effondrait d’un seul coup devant le regard incrédule des patriotes médusés. C’était tout bonnement hallucinant !

Tout le fruit de tant d’efforts s’évanouissait soudain, tel un mirage dans le désert.

Comme beaucoup, j’ai eu envie d’aller gonfler le flot des abstentionnistes.

Après tout, si Marine avait l’intention de se saborder, c’était son problème.

Mais la colère se tasse. A l’approche du deuxième tour il  fallait bien raison garder et voter pour cette Marine que nous aimons, combative mais digne, très loin de cette furie qui semblait avoir perdu le contrôle de ses émotions lors du débat, et n’apportait pas les réponses qu’attendait le peuple.

Il convenait de relire l’essentiel de son programme visant à sauver le pays du naufrage, car il est clair qu’elle reste la seule capable de nous éviter la fin apocalyptique vers laquelle nous mènent le mondialisme sauvage et la dictature bruxelloise.

Pour tous les patriotes, sa sincérité et son courage seront toujours plus forts que ses échecs et ses erreurs. Ce sont les atouts qui la sauvent.

Elle seule veut restaurer notre souveraineté nationale.

Elle seule veut nous protéger de la concurrence déloyale qui tue nos salariés.

Elle seule veut combattre l’islam politique qui détruit le pays.

Elle seule veut stopper l’immigration de déshérités qui nous ruine.

Elle seule veut restaurer la puissance de nos forces armées qui nous défendent.

Elle seule veut renforcer les forces de polices qui nous protègent.

Elle seule veut rendre le pouvoir au peuple.

Car elle seule a la volonté et le courage de rendre sa grandeur à la France.

Et ceux qui ne croient pas encore en Marine, doivent se poser la seule question qui vaille, tant elle conditionne la réussite ou l’échec de toute politique menée :

Alors que plus de mille quartiers sensibles sont devenus des zones de non droit, des territoires perdus de la République, faudra t-il attendre que ces zones deviennent des villes, puis des départements, puis des régions, où l’autorité de l’Etat aura totalement disparu ? Car c’est bien cela qui se joue en ce moment.

Est-ce que les Français veulent à terme subir une partition de leur pays ?

Telle est la question que les adversaires de Marine ne se posent jamais !

Cela dit, Marine sera t-elle un jour présidente ? Mystère. Mais pour y parvenir, elle devra ranger au placard son agressivité et gagner en sérénité. On ne s’adresse pas à des millions de téléspectateurs du monde entier, comme on s’adresse à 15000 fans à Villepinte, tous acquis à sa cause.

La presse étrangère a été très sévère quant à la qualité du débat. Regrettable.

Ce soir, son score n’est donc pas celui qu’on espérait. Sa victoire semblait difficile, tant le système tout entier cherche à la détruire, mais un score supérieur à 40% semblait acquis, créant une dynamique très porteuse pour les législatives.

Après la belle Alliance avec Nicolas Dupont-Aignan, tous les espoirs étaient permis, jusqu’à ce maudit débat. Rien d’étonnant quand on sous-estime son adversaire…

Certes, elle enregistre le meilleur score jamais atteint par le FN, et fait deux fois mieux que son père en 2002. Celui-ci avait engrangé  5,5 millions de voix, Marine en totalise environ 12 millions. C’est mieux, mais loin des 15 millions espérés.

N’oublions pas que pendant 1 an Marine a caracolé en tête des sondages, avec 28% des intentions de vote du premier tour, et à 6 points de ses poursuivants.

Elle a donc nettement régressé.

C’est donc un demi-échec. Un résultat plutôt décevant. Elle a perdu 7 points entre la veille et le lendemain du débat, soit plus de 2 millions de voix. Une chute sévère dont on se serait bien passé !

Car le débat, loin de lui donner de l’élan, a cassé net la dynamique. Créditée d’un score de 41% dans les sondages, à la veille de l’épreuve, un score de 43%, voire 45% en cas de forte abstention du vote Macron, restait du domaine du possible.

Marine paie le prix de son erreur de jugement et de son insuffisance. La tactique de la canonnière, dans l’espoir de déstabiliser d’entrée de jeu son adversaire, a totalement échoué.

Ajoutons à cela une connaissance très approximative des dossiers, une agressivité quasi-permanente plutôt lassante, et la partie est vite devenue ingagnable. Deux téléspectateurs sur trois ont jugé Macron plus crédible. Tout cela était très flou…

On ne gagne pas la confiance des électeurs avec des ricanements incessants et des invectives malvenues. Ni avec des grandes envolées totalement hors sujet, donnant l’impression qu’elle noyait le poisson pour éviter de répondre.

Un débat présidentiel c’est carré, constructif, démonstratif comme un cours de maths. C’est fait pour convaincre les indécis, pas pour régler ses comptes.

Marine a bataillé pendant deux heures sans jamais rien expliquer. Effarant !

Mais l’heure n’est plus aux regrets ni aux lamentations.

La grande bataille des législatives se prépare, la droite tentant de rafler la mise pour empêcher Macron d’obtenir une majorité. Pari difficile pour les Républicains.

Marine, quant à elle, est créditée de 15 à 25 députés, avec un mode de scrutin très défavorable au FN. Il est clair qu’un groupe à l’Assemblée lui permettrait de s’affirmer davantage dans le débat politique.

C’est un combat qu’il faut gagner. Car si le FN doit un jour l’emporter, ce sera d’abord par la base, en tissant sa toile dans les communes, les départements, les régions.

Et gagner un groupe à l’Assemblée sans la proportionnelle, ce serait déjà un exploit.

De plus, étant arrivée en tête dans 47 départements au premier tour, et rassemblant 12 millions d’électeurs au second tour, elle peut prétendre au titre de première force d’opposition au pouvoir.

Et consolons nous. Il est beaucoup trop tôt pour la victoire. Les Français sont encore trop divisés pour se rassembler derrière Marine. Le pays ne suivrait pas.

Pour redresser la France, il lui faudra deux fois plus de fidèles qu’aujourd’hui.

Dès lundi, les syndicats se mobilisent déjà au cri de “ni peste, ni choléra”. C’est tout dire !

Macron a gagné, certes, mais il a été élu par défaut et il n’aura jamais le soutien du peuple. Je lui souhaite bien du plaisir…

C’est donc un long combat de 5 ans qui s’annonce pour Marine, avec de nombreux obstacles à franchir. Un marathon sans fin.

En espérant que les luttes fratricides au sein du FN, ne saborderont pas cette noble entreprise, à savoir rendre sa grandeur à la France et sa liberté au peuple français.

Jacques Guillemain

 

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