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7 janvier 2019

LE JOURNALISME A ETE LE PLUS BEAU METIER DU MONDE IL EST DEVENU AU XXIème SIECLE LE PLUS DANGEUREUX METIER DU MONDE !

HALTE AU MASSACRE ET AUX MEUTRES DE JOURNALISTES DANS LE MONDE !

images (1)

 

SOURCE : UNION DE LA PRESSE INTERNATIONALE FRANCOPHONE

Avec 94 victimes en 2018, les meurtres de journalistes repartent à la hausse

publié le 5 janvier 2019

 

image Avec 94 victimes en 2018, les meurtres de journalistes repartent à la (...)

Dans sa 29e “liste des tués”, la FIJ indique cette année que le nombre de victimes de violences inclut 84 journalistes, caméramans, fixeurs et techniciens, morts lors d’exécutions ciblées, d’attaques à la bombe ou dans des échanges de tirs en zones de conflit. Dix autres travailleurs des médias, qui exerçaient en tant que conducteurs, agents de protection et pour l’un d’entre eux comme assistant commercial, ont également perdu la vie. On dénombre 6 femmes parmi les 94 victimes. Trois accidents du travail mortels ont également été recensés par la FIJ cette année.

La liste de la FIJ pour l’année 2018 dépeint une situation de crise continue en matière de sécurité pour le journalisme, crise soulignée par le cruel meurtre de Jamal Khashoggi, chroniqueur au Washington Post et citoyen saoudien, tué au consulat saoudien d’Istanbul le 2 octobre. C’était la dernière d’une longue série d’attaques dévastatrices contre les travailleurs des médias, incluant notamment de nombreux attentats à la bombe qui ont transformé l’Afghanistan en zone meurtrière pour les journalistes sans oublier la violence du crime organisé au Mexique, qui vise toujours les journalistes.



“Ces actes de violence et ces meurtres ont brutalement mis fin à la courte diminution des meurtres de journalistes enregistrée ces trois dernières années” a déclaré Philippe Leruth, le président de la FIJ. “Une fois encore, la FIJ demande d’urgence aux Nations Unies d’adopter en assemblée générale la Convention pour la sécurité et la protection des journalistes, que la FIJ a présentée aux missions diplomatiques à New York en octobre dernier. Cette Convention, soutenue par la profession dans son entier, est une réponse concrète aux crimes commis contre les journalistes en toute impunité.”


Parmi les développements inquiétants, la liste compte cette année cinq journalistes et travailleurs des médias de Capital Gazette, un quotidien publié à Annapolis, capitale de l’état du Maryland aux Etats-Unis, tués par balles dans ce que la police appelle une “attaque délibérée”, par un individu mécontent d’avoir perdu dans un procès en diffamation contre le journal.


La liste de la FIJ pour l’année 2018 illustre que les conflits armés et les militants extrémistes sont responsables de la plupart des meurtres de journalistes dans des pays comme l’Afghanistan, la Syrie et le Yémen, tandis que l’on enregistre une forte baisse de la violence contre les journalistes en Irak ces dernières années, depuis que les groupes armés ont perdu du terrain dans le pays. Néanmoins, d’autres facteurs ont joué un rôle, tels que l’augmentation de l’intolérance envers les reportages indépendants, le populisme, la corruption endémique, les crimes ainsi que la détérioration générale de l’ordre public qui a affecté des pays dans une période prétendue de paix comme l’Inde, le Pakistan et les Philippines.
Ces éléments montrent aussi que de plus en plus de journalistes sont tués pour avoir couvert le quotidien de leur communauté, de leur ville ou de leur pays, qui ne sont pas des zones de conflits à proprement parler.


“Ces terribles chiffres en augmentation rappellent aussi que la sécurité des journalistes restera un problème tant que les pays concernés par ces meurtres seront paralysées par la corruption et l’incompétence”, a ajouté Anthony Bellanger, le secrétaire général de la FIJ. “Les statistiques de la FIJ montrent une fois encore l’échec de ces institutions, incapables de faire respecter un des droits humains fondamentaux : la sécurité”.


Selon les chiffres de la FIJ pour l’année 2018, l’Asie-Pacifique recense le plus grand nombre de meurtres avec 32 journalistes et travailleurs des médias tués, suivie par les Amériques avec 27 meurtres, le Moyen-Orient et le Monde Arabe en enregistrant 20. L’Afrique arrive en quatrième position avec onze meurtres, devant l’Europe comptabilisant quatre meurtres de journalistes.
Journalistes et travailleurs des médias tués en 2018 : voici les derniers chiffres de la FIJ :
Au 31 décembre 2018, la FIJ a enregistré les assassinats suivants :
• Meurtres ciblés, attaques à la bombe et feux croisés lors de conflits : 94
• Meurtres liés à des accidents et catastrophes naturelles : 3
• Nombre total de morts : 97
Voici les pays où l’on recense le plus grand nombre de meurtres de journalistes et de travailleurs des médias sont :
Afghanistan : 16, Mexique : 11, Yémen : 9, Syrie : 8, Inde : 7, Pakistan : 5, États-Unis : 5, Somalie : 5, Philippines : 3, Équateur : 3, Brésil : 3, Colombie : 2, Palestine : 2, Guatemala : 2
Source : FIJ

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EN FRANCE AVEC LA REVOLTE DES GILETS JAUNES DE NOMBREUSES BAVURES ONT EU LIEU AVEC LES FORCES DE POLICE ENVERS DE TRES NOMBREUX JOURNALISTES INDEPENDANTS 

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"Gilets jaunes" : une vingtaine de photoreporters et journalistes indépendants vont porter plainte pour des "violences" de la police

Plus d'une vingtaine de reporters photographes et journalistes indépendants, estimant avoir été pris pour cible par les forces de l'ordre lors de la manifestation des "gilets jaunes", annoncent, dans une lettre de leur avocat transmise à franceinfo, leur intention de déposer une plainte avec constitution de partie civile. 

Un journaliste de l'agence A2PRL touché par un lanceur de balle de défense (LBD), des photoreporters de l'agence Hans Luca "pris pour cible par des forces de l'ordre" mais aussi des journalistes qui ont vu leur matériel de protection confisqué par les forces de l'ordre... Au lendemain de l'acte 4, samedi 8 décembre, de la mobilisation des "gilets jaunes",Libération avait compilé les témoignages de plusieurs reporters "visés et blessés par la police" tandis que franceinfo avait témoigné des conditions très difficiles de travail des médias ce jour-là.

>> Acte 5 de la mobilisation des "gilets jaunes" : informations, évolutions et réactions en direct

Une semaine après les faits, certains ont décidé de ne pas en rester là alors que l'acte 5 des "gilets jaunes" est attendu samedi. Dans une lettre obtenue par franceinfo et envoyée, vendredi 14 décembre, au procureur de la République, au préfet de police de Paris et au ministre de l'Intérieur, 24 photoreporters et journalistes indépendants, représentés par Jérémie Assous, également avocat de Julien Coupat, annoncent leur intention de déposer plainte avec constitution de partie civile pour confiscation de matériel professionnel et de protection ainsi que pour violences avec arme. 

"Ils m'ont expliqué qu'ils n'en avaient rien à faire de ma carte de presse"

"Leur travail, qui participe des fondements de l'Etat de droit, a été gêné, empêché, entravé par ceux-là même qui ont pour seule mission le maintien de l'ordre public", écrit maître Assous, dans cette lettre longue de cinq pages. "Les témoignages écrits et les vidéos édifiantes affluent, révèlent les comportements délicteux des fonctionnaires de police, qui se banalisent au fil des derniers événements", poursuit-il. 

A ces propos généraux, s'ajoute le détail des situations de chacun des journalistes. Véronique de Viguerie, photoreporter, était par exemple en mission le 8 décembre à Paris pour le Washington Post lorsque les policiers lui ont confisqué son matériel de protection. "J'ai pris une photo et tout de suite les policiers sont venus vers moi et m'ont demandé de fouiller mon sac", raconte-t-elle à franceinfo. D'après son récit, les forces de l'ordre lui ont confisqué ses deux casques de protection estampillés "presse", ses deux masques, mais également "des protections de peintre pour se protéger des gaz lacrymogènes". Véronique de Viguerie dit leur avoir montré sa carte de presse, sans succès : "Ils m'ont expliqué qu'ils n'en avaient rien à faire." 

Quand je leur ai demandé comment j'allais pouvoir récupérer mon matériel, ils ont rigolé et m'ont dit que ça allait être brûlé.Véronique de Viguerie, photoreporter à franceinfo.

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L'Intérieur réagit dans un communiqué

L'IGPN (l'Inspection générale de la police nationale) "est d'ores et déjà saisie d'un grand nombre de plaintes", précise la lettre de Jérémie Assous. "A ces plaintes, s'ajouteront celles de ceux qui ont décidé de me confier la défense de leurs droits avec le soutien de l'UPP (Union des photographes professionnels), du SNJ (Syndicat national des journalistes), de RSF, de la CGT et de FO qui se constitueront parties civiles". 

Interpellé justement par le SNJ sur le sujet, le ministère de l'Intérieur avait précisé le 11 décembre dans un communiqué qu'"aucune consigne n'a été adressée aux forces de l'ordre qui aurait eu pour effet de limiter l'exercice de la presse". "Si des journalistes ont eu à souffrir de l'emploi de la force par des unités de police ou de gendarmerie, il invite ceux-ci à déposer plainte au plus vite ou à procéder à un signalement sur la plateforme internet de l'inspection générale de la police nationale prévue à cet effet", rappelait le communiqué. C'est désormais chose faite. 

SOURCE  : https://www.francetvinfo.fr

 

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