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13 septembre 2020

DEMAIN LES GUERRES CIVILES RACIALES ET ETHNIQUES TOTALES EN FRANCE MAIS AUSSI DANS TOUT LE RESTE DU MONDE ?

Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde (Albert Camus)
(Dictionnaire des Citations de Minurne)

 

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La France vit maintenant sous le fer et le feu, et les 2 ministres concernés échangent des « petites phrases » reprises par la presse officielle, qui compte les points. Le président de la République, bien obligé, a du faire un peu semblant de soutenir son ministre de l’Intérieur lors de son discours commémorant les 150 ans d’une république exténuée, mais il n’en pense pas moins.

darmanin-dupond-moretti

On s’en fout, Messieurs, des mots, des petites phrases, des insinuations et de la sémantique !

On s’en fout, de savoir si un ministre « stigmatise » ou non une partie de la population.
Tout le monde sait, d’ailleurs de quelle « population » il est question, mais ça n’est pas correct de le dire ; d’ailleurs comment peut-on le savoir, puisque les statistiques ethniques sont interdites en France, hein ? Et puis, il y a même des sociologues attitrés qui rappellent en toute occasion dans les médias que la délinquance « a plutôt baissé en France en 20 ans » ! Ben voyons !

D’ailleurs, précise l’avocat pénaliste reconverti en Garde des Sceaux, il n’y a pas d’insécurité, mais un « sentiment » d’insécurité !
On nous refourgue sans vergogne cette rengaine éculée qui transforme donc en simples trouillards – « sentiment » d’insécurité oblige – ceux qui n’osent plus monter dans un tram ou dans le métro, encore moins faire des remarques à des petits crétins qui ne payent pas, ne respectent pas les règles, fument, mettent les pieds sur les banquettes, ou se fâchent dès qu’on leur refuse une cigarette voire même dès qu’on croise leur regard. Et je ne parle pas des automobilistes irascibles au volant d’une voiture volée et conduisant sans permis. 

Entre Darmanin, patron des flics et Dupond Moretti, patron des juges, l’atmosphère n’est donc pas au beau fixe. Pas très étonnant, car elle n’est pas au beau fixe non plus entre les flics et les juges. Les premiers sont au front, épuisés, prennent les coups, font l’objet de sanctions voire de mise à pied dès que leur propre hiérarchie, au lieu de les soutenir, parvient à prouver qu’ils ont légèrement dérapé lors d’une interpellation. Les seconds, nourris depuis l’université au biberon du néocommunisme humanitaire et immigrationniste, se font un malin plaisir de relâcher ou de faire semblant de punir les petits merdeux désoeuvrés qui se sentent de plus en plus intouchables et se comportent en pays conquis.

Un rappel à la loi pour punir un refus d’obtempérer ou un trafic avéré de stupéfiants est pour certains magistrats la sanction maximale : il ne faut pas trop déstabiliser les quartiers… Et les petits salauds reviennent dans leur cités en roulant des mécaniques. Prêts à narguer, à insulter voire à lapider les policiers qui les ont interpellés, devant les regards envieux des petits frères qui feront bientôt de même. Et sans doute pire.

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Ils ne risquent rien. C’est le syndrome Malik Oussekine, mort en 1986 lors d’une confrontation musclée avec 2 « voltigeurs » lors des manifestations contre la Loi Devaquet. On ne veut pas de mort. Du moins pas chez les délinquants allogènes. Chez les autochtones, c’est moins grave, ils ne risquent pas de mettre le feu aux banlieues.

De concessions en concessions, par faiblesse ou par peur, les gouvernements successifs ont laissé la situation se dégrader.
Où en sommes-nous ? Est-ce récupérable ? Peut-on arrêter la machine infernale qui s’est allumée un peu partout en France ?
Nous avons publié un document édifiant à ce sujet il y a quelques jours, « l’Eté Meurtrier ».


Si vous ne l’avez pas lu, faites-le. Vous aurez ainsi une image précise de ce « sentiment d’insécurité » dont parle Dupond-Lajoie.
Il a du se tromper, en fait, ce que ressentent les Français, c’est une RÉELLE insécurité et un SENTIMENT d’impunité.

« Quand les bornes sont franchies, il n’y a plus de limites », disait le général de Gaulle, qui pratiquait volontiers les truismes et autres lapalissades.
Le pauvre Hollande lui-même, président scooteriste ahuri, a reconnu benoîtement dans le livre de Davet et Lhomme paru en 2016 « Un président ne devrait pas dire ça » que la partition du pays était inévitable… Rien que ça !

Notons qu’en quasi fin de mandat (mais encore en exercice), un président de la République a ainsi reconnu, devant des journalistes, que le premier alinéa de l’article 1er de la Constitution, stipulant que « la France est une république indivisible » pourrait n’être bientôt plus qu’un doux souvenir !
Rappelons quand même que le Président est le garant de la Constitution !
Mieux vaut en rire…

« Les peuples font l’histoire, mais ils ne voient pas l’histoire qu’ils font » aimait à rappeler Raymond Aron. C’est parfaitement exact, mais il y a quand même aujourd’hui un certain nombre de Français qui ont ouvert les yeux, et qui comprennent, ébahis, ce qui est en train de leur arriver. Et qui voudraient bien arrêter cette machine infernale en mettant aux commandes une équipe solide capable de prendre la barre…

On vient de lancer le procès des attentats de janvier 2015 (16 morts et 10 blessés). Il est surprenant de constater que l’émotion tragique de l’assassinat par des islamistes de l’équipe de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher s’est peu a peu transformée en douloureuse soumission.
Le même Hollande, qui se pavanait il y a quelques jours en s’auto-félicitant d’avoir alors « maintenu l’unité de la Nation (?) » en organisant un défilé mondial des chefs d’Etats et de gouvernements n’a alors rien fait, rien, pour mettre un terme immédiat à cette déclaration de guerre des islamistes sur notre propre sol.

Quelques mois plus tard, il y eut donc ce 13 novembre 2015 sanglant au Bataclan et dans les rues de Paris (131 morts, 413 blessés) ; et quelques mois plus tard encore, le 14 juillet 2016, ce rodéo sanglant sur la Promenade des Anglais (86 morts, 458 blessés).

Sans oublier ce policier et sa compagne tués chez eux à Magnanville en juin 2016 et le père Hamel assassiné en pleine messe à Saint Etienne du Rouvray en juillet 2016

Et j’en oublie… Bravo l’artiste !

Son successeur était donc prévenu. Pendant la campagne présidentielle, à une question de la journaliste (de TF1 je crois) lui demandant, après le nouvel assassinat d’un policier aux Champs Elysées DANS SON FOURGON le 20 avril 2017, ce qu’il comptait faire concernant l’insécurité et les attentats islamistes qui ensanglantaient la France, Macron eut cette réponse surréaliste : « vous n’imaginez quand même pas que j’ai conçu en une nuit un projet contre le terrorisme ? ».
Si, si, il a dit ça !

Et il fut élu quand même ! Une telle réplique, venant d’un postulant à la magistrature suprême, quelques jours avant son élection, et concernant un problème majeur pour le pays qu’il se préparait à diriger, aurait normalement dû le disqualifier immédiatement et définitivement.
C’est d’ailleurs ce qui se serait produit dans tout autre pays normal avec une presse libre qui aurait abondamment commenté la bourde de l’impétrant (jamais élu auparavant, rappelons-le).
Et bien non, il fut élu ! Le bon peuple n’avait rien vu, rien entendu, rien retenu.

Et l’ensauvagement a continué, s’est répandu. Il est maintenant partout, dans les grandes villes comme dans les plus petites. Il suffit d’un couteau et hop ! C’est sans danger en plus, les autochtones sont rarement armés et peu habitués à égorger leur bétail…

Aujourd’hui, on voudrait bien nous faire croire que la santé est le problème majeur de la France : une deuxième vague menaçant dit-on le pays, ceux qui ont été incapables d’anticiper et de gérer la première, ont remplacé le confinement par la muselière. Les sondages commencent pourtant à montrer que le peuple français en a assez de cette mascarade, et surtout de cette tolérance criminelle vis-à-vis de la racaille et du laxisme de la justice, devenue franchement insupportable.

On va donc tenter, pendant ces 20 mois qui nous séparent de la présidentielle, de nous faire croire que le problème majeur reste la santé. Bienheureux Covid-19, qui va servir de leurre, avec la crise économique qui va avec, mais qui, elle, n’en sera pas un.

Voila pourquoi le mot « ensauvagement » passe mal. Et voila pourquoi nous devons le rappeler en toute occasion !

Soit dit en passant, c’est Jean-Pierre Chevènement – un socialiste – qui l’a inventé ! Il parlait de « sauvageons » à l’époque, et ça n’était franchement pas bien passé auprès de ses collègues du PS…
Ce qui prouve que, quand on est un homme libre, on le reste.
Même au PS.
Mais ça, c’était avant !
Quand il y avait encore un PS…

Marc Le Stahler
5 septembre 2020

 

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