par F. Meylan.
Je l’ai évoqué dans un précédent billet1, nos gouvernements se sont engagés dans une fuite en avant, en matière d’imposition de la vaccination. Pour écouler des stocks faramineux de vaccins acquis au prix fort avec les deniers publics et dans l’espoir de taire tout discours contrariant à une doxa fabriquée à coups de subventions publiques à la faveur des médias mainstream. Les mêmes consultants et bureaux conseils sont aux commandes. La stratégie est toujours la même : avancer par « enfumage ».
En France, on commence par prescrire la troisième dose au personnel soignant puis on conditionne la validité du pass sanitaire pour les personnes âgées de 65 ans et plus à une troisième dose et seulement quelques jours plus tard on abaisse le seuil «d’éligibilité » – ou plutôt d’astreinte – à l’âge de 40 ans. Pourquoi 40 et non 42 ou 38 ans ? Ce n’est pas important. Le régime macronien a déjà fait savoir, fin de semaine dernière, que la troisième dose va rapidement être étendue à toutes et à tous : « C’est le sens de l’histoire » dixit l’autocratique Emmanuel Macron qui gouverne seul, à l’abri d’un conseil de défense, dont les présupposées activités sont au bénéfice du secret défense pour 50 ans !2
Mais dans ce cas, pourquoi les nouvelles mesures ne s’appliquent qu’à partir du premier décembre et non immédiatement ? Puisque les médias mainstream s’appliquent à nous brosser un tableau des nouvelles contaminations des plus noirs et ce au quotidien. La réponse on l’a eu vendredi dernier sur le plateau de la chaîne télévisée LCI où un chef de clinique convié pour vendre les mérites de la troisième dose vaccinale – un de plus – a mis les pieds dans le plat. Il a admis, à demi mot, que c’était le rythme des livraisons de vaccins qui dictait l’adoption des nouvelles mesures. Plus fort encore, c’est la récente annonce du chancelier autrichien Alexander Schallenberg qui veut imposer la vaccination à toute sa population dès le 1er février prochain3. Faisant fi des critères impératifs contenus dans la liste du « Code de Nuremberg. »4
Reste à savoir comment cela va s’appliquer. Avec quels moyens ? Avec quelles méthodes ? Et comment les victimes des vaccins seront-elles reconnues et indemnisées ? Dès que la raison d’État impose un vaccin (fait rarissime), la collectivité devient de facto responsable non seulement moralement mais aussi pécuniairement. Nous sommes passés d’un paradigme de gestion de la maladie à celui de la distribution des stocks de vaccins.
Hors voilà, la baisse sensible de l’été dernier des contaminations n’est pas plus à mettre au bénéfice du vaccin qu’à la hausse des températures estivales. C’est du déjà vu. Nous avions vécu pareille accalmie au cours de l’été 2020 et sans vaccin. L’appareil propagandiste qui sait très bien imposer la formation du consentement par la peur sait aussi très bien taire les effets indésirables des vaccins ARN messager. L’arrivée de températures plus fraîches et de la saison d’hiver n’augmentent pas seulement le nombre de contaminations à la Covid-19 mais également les surréactions à la vaccination qui est toujours au stade expérimental. Attention, avec la vaccination des enfants puisque cette dernière vient au galop. On sait que les organismes de nos juniors pour lesquels le consensus scientifique reconnaît que la balance «risque – bénéfice » est clairement défavorable peuvent surréagir.
Une rapide observation du site Internet de Swissmedic5 nous apprend qu’en Suisse, entre le 12 octobre et le 3 novembre 2021, les réactions à la vaccination sont passées de 28’148 à 32’176 – depuis le début de la vaccination, soit en janvier dernier; que les effets graves recensés passent de 2978 à 3396 (+ 14 %); les décès présumés passent de 150 à 155 (+ 3.33 %) et que la population entièrement vaccinée ne progresse «que » de 5’646’798 à 5’750’670 (+ 1.83 %). La hausse des effets indésirables graves est exponentielle.
Quant à l’Union Européenne (UE), la résolution portant sur la création d’un Fond européen d’indemnisation des victimes des vaccins contre la Covid-19 et déposée le 23 octobre 2021 par la députée française Virginie Joron nous apprend ce qui suit6 :
1-) considérant que l’Agence européenne du médicament répertorie déjà environ un million de cas d’effets indésirables suite à l’injection de vaccins contre la COVID-19 :
– 435 779 pour le vaccin Pfizer BioNTech,
– 373 285 pour le vaccin AstraZeneca,
– 117 243 pour le vaccin Moderna,
– 27 694 pour le vaccin Janssen ;
2-) considérant que ces effets indésirables sont parfois sévères ; considérant qu’ainsi, environ 75.000 personnes auraient souffert d’effets neurologiques sérieux après le vaccin Pfizer7;
3-) considérant que l’Agence européenne des médicaments affirme que les vaccins contre la COVID-19 ont eu, dans l’Union européenne, une issue fatale pour environ 5000 personnes :
– 4198 pour celui de Pfizer,
– 1053 pour celui d’AstraZeneca,
– 392 pour le vaccin Moderna,
– 138 pour le vaccin Janssen.
Les sources mentionnées dans le document de la courageuse députée et les données mentionnées se basent sur les chiffres officiels de l’Agence européenne des médicaments (en anglais EMA, pour European Medecines Agency).8
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- https://reseauinternational.net/la-confederation-suisse-sest-engagee-avec-pfizer-a-vacciner-a-tour-de-bras-jusquen-2023/
- https://youtu.be/FhUmXLrvfos
- https://www.france24.com/fr/vid%C3%A9o/20211119-covid-19-l-autriche-reconfine-sa-population-et-rend-obligatoire-la-vaccination
- https://www.erasme.ulb.ac.be/fr/enseignement-recherche/comite-d-ethique/consensus-ethiques/le-code-de-nuremberg-1947
- https://www.swissmedic.ch/swissmedic/fr/home/news/coronavirus-covid-19/covid-19-vaccines-safety-update-8.html
- Le texte est disponible sur le site du Parlement européen et les vaccins dont fait mention le texte sont : « Comirnaty (Pfizer, BioNTech)», «Vaccin COVID-19 Janssen », « Spikevax (vaccin Moderna)», « Vaxzevria (vaccin AstraZeneca). »
- Le caractère « grave » ou « sérieux » de certains effets indésirables est défini par l’EMA comme : « Une réaction indésirable qui entraîne la mort, met la vie en danger, nécessite une hospitalisation ou la prolongation d’une hospitalisation existante, entraîne une invalidité ou une incapacité persistante ou importante, ou est une malformation congénitale ».
- https://www.rtbf.be/info/monde/detail_non-le-parlement-europeen-n-a-pas-prevu-de-creer-un-fonds-d-indemnisation-des-victimes-de-la-vaccination-contre-le-covid-19?id=10872216
par Jean-Yves Jézéquel.
Pourquoi donc un tel acharnement des Etats profonds, contre les Etats Nations, à vouloir leur imposer de force ces « vaccins », alors que rien de sanitaire vient justifier cet acharnement, sauf évidemment dans le discours ouvertement mensonger, manipulateur, outrancier des politiques au pouvoir qui nous content leurs menaces, leur chantage, leur criminalité consciente ou inconsciente…
Nous avons les preuves multiples, objectives, statistiques, chiffrées, vérifiées, et de plus provenant des institutions officielles elles-mêmes, qui se sont accumulées depuis plus d’un an, indiquant clairement que le narratif lui aussi officiel sur la « vaccination » et la « pandémie », les « variants », les « vagues successives » menaçant les « non-vaccinés », sont clairement mensongères et ouvertement odieuses en plus d’être incohérentes avec les sources même de ce qui est déclaré « officiel ».
Ceux qui réclament des références, des confirmations, des sources, peuvent les trouver en abondance dans le dossier COVID de www.mondialisation.ca
Ces prédateurs au pouvoir et leurs chiens de garde qui traitent les « non-vaccinés » de « coupables », « d’inconscients », de « criminels » qui « mettent en danger la vie des autres », sont précisément eux-mêmes ce qu’ils condamnent !
Selon la DREES (Données statistiques publiques en santé et social) le taux de positivité des vaccinés est devenu le même que chez les non « vaccinés », à partir de la semaine 42, soit le 18 octobre.
Depuis cette date, la situation ayant évolué, le taux de positivité des « vaccinés » est devenu supérieur à celui des non « vaccinés ».
Depuis cette semaine 42, en France, les vaccinés de plus de 40 ans avaient un risque plus important d’être infectés que les non-vaccinés !
Une étude israélienne d’octobre a démontré que les anticorps ont diminué de 40% chaque mois chez les personnes « vaccinées ».
De plus, rappelons que les Autorités publiques ont sciemment, volontairement, farouchement empêché les médecins de traiter la Covid-19. Les traitements y compris naturels connus et efficaces ont été interdits et les covidistes qui continuent de railler ceux qui rappellent cette « incohérence », sont démunis de tout argument pour justifier cette décision criminelle qui devra bien un jour rendre des comptes. Si vous étiez malade, vous deviez vous contenter de paracétamol et rester chez vous ou courir le risque de vous faire intuber et en mourir. Que les covidistes se calment en entendant ce que nous venons de dire, car cette déclaration n’est pas gratuite : elle est basée sur de nombreux cas et multiples témoignages que nous avons pu entendre ou lire dans les différentes publications de l’année 2020/2021, venant du personnel soignant ou de la part des familles concernées par ces nombreux cas.
Une étude australienne publiée dans le très sérieux MJA (The Medical Journal of Australia) révèle qu’entre 2007 et 2017 il y a eu 95 668 admissions avec un diagnostic confirmé d’intoxication au paracétamol dans les hôpitaux australiens, occasionnant plus de 200 morts.
Les chercheurs indépendants sont encore plus que jamais traînés dans la boue : tout esprit critique, libre des « conflits d’intérêts », qui interroge le narratif officiel sur les « vaccins », en débusquant ses nombreuses contradictions et ses incompatibilités avec la connaissance scientifique, se retrouve discrédité, attaqué devant les institutions de l’Etat profond, toutes au service d’une guerre contre l’Etat Nation. C’est le cas des Professeurs Didier Raoult, du Professeur Christian Perronne, du Professeur Fourtillan, du Dr Louis Fouché ou du Prix Nobel de médecine le Pr Luc Montagnier, pour ne citer que les plus connus concernant la France, mais la longue liste des maltraités dans le monde ne s’arrête pas là…
Les principaux moteurs de recherche sur Internet, censurent les informations qui démontrent clairement que les « vaccins » ne sont pas motivés par des raisons sanitaires. Des groupes en ligne sont brutalement fermés ; des vidéos sont vite introuvables ; des reportages de journalistes indépendants sont déclarés « complotistes », parce qu’il n’y a aucun argument solide à leur opposer ! Pourquoi cet acharnement ? Pourquoi cette violence, si les responsables de ce délire collectif étaient au service de la vérité qui a l’habitude de se défendre toute seule sans menacer personne ?!
Les grands médias des milliardaires, aux ordres, sont au service exclusif de cette gigantesque manipulation mondiale : la pensée unique triomphe ; la tyrannie des pouvoirs tous convertis aux lois du Nouvel Ordre Mondial, appliquent le plan du « Great Reset » qui déclare clairement que « la vie ne redeviendra jamais plus comme avant » !
Nous savons tous qu’il existe des traitements efficaces, peu coûteux, simples, ayant depuis longtemps fait leurs preuves, contre les menaces éventuelles de la Covid-19 pour les personnes fragiles. Les pays qui ont utilisé le protocole du Pr Raoult ont obtenu une mortalité inférieure de 76% par rapport aux pays comme la France qui l’ont interdit ! Les chiffres sont réels, ils sont objectifs et têtus, c’est pourquoi, le « narratif officiel » préfère les ignorer et faire comme s’ils n’existaient pas… !
L’Uttar Pradesh, un pays trois fois plus peuplé que la France, a utilisé l’ivermectine : grâce à cela, il a éliminé en quelques semaines le « Variant Delta ».
Le Rédacteur en Chef du Lancet, une prestigieuse revue de publications scientifiques spécialisée en médecine, déclarait : « Une grande partie des études scientifiques, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. » Nous savons tous, ou nous devrions tous le savoir, que ces études sont la plupart du temps financées par l’industrie pharmaceutique !
Enfin, les solutions naturelles qui existent et dont l’efficacité a été démontrée par la recherche libre des « conflits d’intérêts », ne sont jamais évoquées par les médias qui les ignorent radicalement !
Lorsqu’on évoque tout cela, on entend aussitôt certains médecins de plateaux TV, des politiques collabos et d’autres hallucinés avec eux, ricaner bêtement, en tournant en dérision tout ce qui ne va pas dans le sens de la dictature estampillée au pan-médicalisme actuel servant de couverture à l’usage exclusif des prédateurs du Nouvel Ordre Mondial qui ont aboli de cette manière les « valeurs » de civilisation pour imposer la prévalence des « biens » : un matérialisme radicalisé ayant ainsi l’occasion rêvée de pouvoir s’imposer aux esprits en violant les corps de chaque personne humaine. On ne peut pas imaginer un esclavage plus féroce que celui qui a été généré par ce programme du « Great Reset » du FEM de Davos.
Bien entendu, il n’est pas question d’attendre une réflexion, une pensée, une cohérence, une objectivité, un argumentaire étayé, une manifestation de l’intelligence chez les fanatiques du « covidisme » et du « vaccinalisme » converti aux produits expérimentaux ! Demandez à n’importe quel covidiste ou simplement à n’importe quel « vacciné » de vous parler du contenu des « vaccins » anti-covid : aucun d’entre eux ne peut vous répondre ! C’est sidérant ! Des gens théoriquement intelligents consentent docilement à se faire injecter une substance expérimentale dans le corps sans rien savoir sur son contenu ! c’est le dernier « monsieur vaccin » nommé par Macron qui disait, dans son discours d’intronisation à sa nouvelle fonction, qu’il « n’existait encore aucun document scientifique à sa disposition, publiés sur les vaccins, mais seulement des notices publicitaires éditées par les laboratoires » ! Chacun sait que les députés européens ayant exigé de pouvoir consulter les contrats négociés par la commission européenne avec les laboratoires, ont été bloqués dans leur demande et lorsqu’ils ont pu obtenir les documents, des pages entières du contrat ont été occultées de telle sorte qu’on ne puisse pas savoir ce qu’elles contiennent ! C’est quelque chose qui dépasse l’entendement et qui signifie clairement qu’une « élite » de prédateurs décide seule le sort des peuples maintenus dans l’ignorance de ce qui les concerne au plus haut point !
Plusieurs études, notamment espagnole et japonaise, ont découvert du graphène dans les « vaccins » anti Covid. Le graphène est un nanomatériau qui est toxique pour l’organisme. Les études démontrent que ce produit peut provoquer des thromboses, comme l’explique Amin Gasmi, chercheur en nutrition clinique. Pour les intéressés, il est utile de savoir que le graphène peut être dégradé par une enzyme – la myeloperoxydase – puis être ainsi éliminé facilement par les reins.
On peut également noter que certains de ces sectateurs du « covidisme » sont encore « choqués » lorsque nous faisons un parallèle avec les Juifs allemands, des années 1930, qui n’avaient pas quitté le pays parce qu’ils pensaient jusqu’au bout que le délire nazi finirait bien par s’estomper et que les choses allaient peu à peu « s’améliorer ». En 1933, quand Adolphe Hitler prenait les premières mesures anti-juives, personne n’imaginait que cela finirait par un génocide !
Voyez pourtant : la Lettonie vient de faire passer une loi qui prive ses parlementaires non « vaccinés » du droit de vote, sans aucune justification sanitaire !
L’Autriche vient de décider le confinement pur et simple pour tous les non « vaccinés » et depuis jeudi dernier, le confinement généralisé de la population.
En Allemagne il y a le pass vaccinal obligatoire. Les tests négatifs ne suffisent plus.
Depuis le 1er novembre 2021, l’Australie interdit à ses ressortissants non « vaccinés » de quitter le pays, même à ceux qui vivent à l’étranger et qui sont venus passer quelques jours dans leur famille. Une chasse à l’homme a même été organisée en Australie pour capturer un jeune homme, traité comme un animal, afin de l’interner dans un camp de déportés pour « non vaccinés »…
Au Canada c’est la même chose : on ne peut plus quitter le pays, même pour les étrangers qui ne présentent pas à l’embarquement leur QRcode de « vaccinés » ! Pour faire respecter cette règle de répression, il y a des camps d’internement spécialement édifiés pour les récalcitrants aux « vaccins » à produits expérimentaux.
A Singapour, les malades non vaccinés doivent payer eux-mêmes leurs frais d’hospitalisation ! D’ailleurs, depuis que le pays est passé à 90% de « vaccinés », il a été frappé par la plus grosse vague de contamination avec le nombre de décès le plus élevé de toute son histoire covidienne…
En France, depuis le « pass sanitaire », les non-vaccinés qui ont des maladies longue durée (cancéreux, diabétiques, porteurs d’une infection de longue durée, etc.) ne peuvent plus se faire soigner, sauf à faire des tests fréquents : c’est une obligation vaccinale de fait.
Les non-vaccinés qui ont un proche malade ou vulnérable ne peuvent pas visiter leurs parents en maison de retraite, ni leur enfant hospitalisé, ni leur épouse victime d’une crise cardiaque… sauf à se soumettre à des tests réguliers qu’ils doivent payer de leur poche.
Il faut payer (un test), pour accéder à l’hôpital en France…!
Les soignants français n’ont pas la possibilité de se faire tester pour éviter le « vaccin » : le saviez-vous ?!
Mardi, 16 novembre 2021, Renaud Muselier, président de la région Paca, traitait les non vaccinés de « bombes virales potentielles pour les autres… On ne va pas arrêter la totalité de notre vie économique et sociale parce que quelques-uns ne veulent pas se faire vacciner. »
Voilà le genre de sectaire fanatique ignare, responsable politique, à qui il faudrait expliquer que la vaccination n’empêche pas d’être positif au Covid, ni d’être source d’infection pour les autres… !
Si toutes ces mesures – incluant la réactualisation du confinement dans plusieurs pays de l’UE – sont absurdes et sidérantes, c’est parce qu’elles n’ont aucune motivation sanitaire (rappelons que la Covid-19 est une maladie existante, frappant les personnes fragiles, âgées et porteuses de comorbidités avérées, mais il ne s’agit pas d’une pandémie, compte tenu des chiffres officiels qu’il est impossible d’ignorer !)
Ces mesures visant les « non-vaccinés » et aussi désormais les « vaccinés », sont tout à fait incohérentes, anti-scientifiques ; elles ne protègent pas de quelque épidémie que ce soit ; elles facilitent même la circulation de tous les virus et favorisent leur émergence… Ces « vaccins » n’empêchent pas les contaminations ni la transmission des virus.
Au mois d’octobre dernier les infections chez les « vaccinés » de plus de 30 ans, étaient plus nombreuses que chez les non « vaccinés ». Que ce soit en Irlande ou en Islande, où on a des 99,7% d’adultes « vaccinés » comme à Waterford, se présente une nouvelle vague cadrant avec l’incohérence habituelle du narratif covidiste. Là, personne ne peut invoquer la « culpabilité » des inconscients « non vaccinés », responsables de la nouvelle vague ! Là, ce sont les dressés, obéissants et victimes de la fabrique du consentement qui sont directement frappés sans aucun « boucs émissaires » coupables et présents pour sauver le mensonge !
De plus, les pass sanitaires aggravent l’épidémie : les « vaccinés » se croyant protégés, participent largement à la circulation du virus. Des personnes qui se savaient « positifs » ont pris l’avion, sans qu’on leur demande quoi que ce soit parce qu’elles étaient vaccinées !
Certes, il faut souligner également que les Tests RT-PCR se sont révélés, au cours de l’année passée, comme étant peu fiables à cause des critères d’analyse sciemment appliqués, très élevés pour avoir toutes les chances de trouver obligatoirement des cas positifs…
L’acronyme RT-PCR signifie Reverse Transcriptase PCR, soit une PCR après transcription inverse d’un acide ribonucléique (ARN) en ADN complémentaire (ADNc).
Concernant les « vaccins » eux-mêmes, nous savons aujourd’hui que la principale raison pour laquelle les laboratoires ont refusé de publier les contenus de leurs produits expérimentaux, c’est qu’ils connaissaient la vérité sur la nocivité de leurs créations. Aujourd’hui des équipes de scientifiques indépendants du monde entier, libres des « conflits d’intérêts », ont pu analyser différents flacons de ces pseudo-vaccins. Elles ont découvert dans ces théoriques « vaccins », la présence de parasites, des organismes intelligents inconnus, du graphène et autres substances inattendues…
Redisons-le, l’interdiction faite aux non-vaccinés de sortir de chez eux, ou de quitter le territoire, sauf exception ; l’interdiction d’exercer faite aux médecins non-vaccinés, la suspension et le licenciement des soignants non-vaccinés ; l’interdiction de certaines manifestations sportives aux non-vaccinés ; ce qui est sidérant dans tout cela, c’est que ces mesures n’ont jamais aucune finalité sanitaire.
Tout cela est d’autant plus choquant qu’il y a des traitements précoces existants, plus efficaces que les vaccins et sans le moindre effet indésirable grave !
Les médecins honnêtes qui osent s’exprimer sont systématiquement poursuivis par l’Ordre des médecins (y compris le Pr Raoult, pourtant le meilleur infectiologue du pays !), et même les avocats comme Maître Di Vizio sont poursuivis par leur Ordre ; plus de 1000 morts suspects ont été déclarés à la pharmacovigilance, en France. Maxime Beltra, un jeune de 22 ans, était en pleine santé jusqu’à sa « vaccination » : il en est mort 9h00 après son injection. Sonia B, 17 ans, est morte d’une embolie pulmonaire 11 jours après son injection Pfizer. Mélanie, 16 ans, est décédée quelques jours après sa « vaccination » Pfizer…
Toutes les courbes officielles actuelles, comme l’a indiqué le Dr Gérard Delépine dans Global Research du 17 novembre 2021, indiquent que les décès et les maladies augmentent avec la vaccination dans tous les pays.
Ce que les covidistes disent être « la cinquième vague » de l’épidémie, ou « nouveaux cas de Covid », sont d’ores et déjà annoncés par les courbes sur les effets indésirables du « vaccin » lui-même et sur la flambée des autres maladies graves laissées pour compte par les mesures incohérentes de la répression pan-médicaliste du délire actuel, telles que les cancers, parce que les systèmes immunitaires naturels ne peuvent plus jouer leur rôle déterminant, comme l’annonçait depuis longtemps le Dr Vanden Bossch. (Voir article posté le 20 juin 2021 par Jean-Yves Jézéquel dans mondialisation.ca)
Madame Cécile Thibert, journaliste au Figaro, écrivait le 17 novembre dernier : « Non seulement la progression de personnes vaccinées est en constante augmentation dans les services de réanimation, mais elle est désormais majoritaire. »
« Il y a désormais plus de personnes vaccinées admises chaque jour en réanimation pour une forme grave de Covid que de non-vaccinés. Ces chiffres ne sont pas l’invention de quelques réfractaires à la vaccination. Il s’agit de données tout à fait officielles de la Drees, le service « statistiques » du ministère de la Santé. On apprend ainsi que le 31 octobre (date des dernières données disponibles), 26 personnes vaccinées ont été admises dans un service de soins critiques, contre « seulement » 23 non vaccinées. Le même phénomène est constaté pour les hospitalisations conventionnelles. »
Cette journaliste reconnait que les chiffres de la DREES sont « parfaitement exacts » et donc incontestables. Mais on est bien surpris de lire la suite, car on se demande d’emblée pourquoi cette personne se permet d’être à ce point-là irrespectueuse envers ses lecteurs, en pratiquant sa gymnastique rhétorique scabreuse au risque d’ailleurs de passer elle-même pour une idiote ?!
Elle écrit, sans scrupules : « Dans une population majoritairement vaccinée, où le vaccin n’empêche pas à 100% les formes graves (mais autour de 90% environ), il était attendu que la part des personnes vaccinées hospitalisées serait probablement plus importante un jour que celle des non-vaccinées. D’ailleurs, si 100% de la population était vaccinée, alors 100% des malades hospitalisés seraient vaccinés, CQFD ! »
Cette même journaliste devrait pourtant savoir qu’il y a déjà bien longtemps que la déclaration d’efficacité des « vaccins » à 90% est tombée dans les oubliettes et que tout le monde sait aujourd’hui les sérieuses déficiences accumulées par les études faites sur ces nouveaux produits, voire même carrément frauduleuses, comme le Dr Michel de Lorgeril l’a démontré.
De plus, notre journaliste du Figaro tire une conclusion sur une soi-disant évidence : « CQFD », dit-elle ! Si les « vaccins » avaient été efficaces et protégeaient réellement la population « vaccinée » à 100%, elle ne serait pas en train de se poser la question de savoir combien de « vaccinés » seraient admis en réanimation !
Quant à la réflexion suivante, on se demande aussi où sont formés les journalistes pour être aussi simplistes et pitoyables ?! Notre Madame Thibert déclare dans ce même article : « Avec plus de 7,3 milliards de doses de vaccins administrées dans le monde, cet outil a largement fait ses preuves. » N’importe qui est doté de quelques neurones qui lui permettent de comprendre que le nombre d’injections réalisées à travers le monde n’est pas la preuve par A+B d’une efficacité du produit injecté ! Ce genre de déclarations incongrues, prenant les lecteurs pour des débiles, prolifèrent et se succèdent dans l’article du Figaro et chez les covidistes en général…
La journaliste considère ensuite comme preuve de l’efficacité des « vaccins », le fait que les hospitalisations et les décès en mars/mai dernier ont été en baisse très nette ! Les « vaccins » auraient donc été la raison de cette amélioration de la situation, alors qu’elle signale elle-même que « le taux de couverture vaccinale n’était pas encore optimal » !
Qui ne sait pas encore qu’un virus en circulation est moins virulent à la période du printemps/été qu’en automne/hiver ?
Qui ne sait pas encore que les virus répandus évoluent naturellement vers une plus forte contagiosité tout en étant de moins en moins dangereux ?
Si, comme l’écrit tranquillement cette journaliste, l’amélioration de la situation en Mars/mai 2021 était due aux « vaccins », pourquoi la reprise des hospitalisations et des décès est à nouveau d’actualité alors que le taux des vaccinations est bien plus élevé aujourd’hui qu’en mars/mai dernier ?
Elle finit par avouer : « L’efficacité du vaccin baisse au cours du temps » ! Conclusion, selon cet article du Figaro, « il faut donc faire une troisième dose » ! Ainsi, la démonstration est faite qu’il est impossible de « revenir à la vie normale », contrairement à ce que promettait l’équipe des clowns au pouvoir… Il faudra se faire « vacciner » régulièrement et obligatoirement, comme vient de l’annoncer le Chancelier autrichien; il faudra garder le masque ; il faudra s’en tenir aux « gestes barrière » ; il faudra continuer la « distanciation sociale » ; et cerise sur le gâteau : il faudra « reconfiner » les « vaccinés » et les « non vaccinés », comme vient de l’annoncer encore le Chancelier autrichien et le gouvernement belge, en décrétant la reprise du télétravail ; Borris Johnson avec Emmanuel Macron disent que « l’épidémie repart à la hausse », une « cinquième vague » déferle sur l’Europe, sans se dire que le facteur saisonnier est naturel. Ils en profitent pour marteler la nécessité d’une troisième dose de « vaccin ». Ils savent chacun respectivement dans leur pays que les agences officielles, comme l’ANSM pour la France, dans son dernier rapport, parle de 110.000 effets secondaires tragiques et que les « vaccins » n’empêcheront pas la cinquième vague en Europe. Borris Johnson ou Emmanuel Macron doivent convaincre les « non-vaccinés » sur l’efficacité des « vaccins » et convaincre les « vaccinés » que les « vaccins » sont si peu efficaces qu’il est nécessaire d’envisager une troisième dose !
Cette nouvelle vague qui est liée à la saison, sera sans doute beaucoup moins grave que les précédentes vagues, mais les covidistes l’attribueront évidemment au taux de vaccination et à l’efficacité des « vaccins ». Si éventuellement cette nouvelle vague s’avérait plus meurtrière que les autres, par exemple, à cause d’une dégradation du système immunitaire naturel, les covidistes l’attribueront aux « anti-vax », les boucs émissaires, aujourd’hui minoritaires mais toujours trop nombreux !
Tout ce que nous avons pointé dans ce tour d’horizon sur la situation présente, tout ce que chacun peut objectivement constater aujourd’hui, c’est ce que nous étions nombreux à annoncer déjà il y a plus d’un an. Mais, à cette époque-là, tous les chiens de garde du système nous traitaient de « complotistes » et nous harcelaient par toutes sortes de mesures coercitives. Ce qui était vrai hier est encore vrai aujourd’hui comme on peut le voir et sera vrai demain. Ceux que l’on traite de « complotistes » sont de fait les seuls à défendre l’honneur de l’humanité, la raison, l’objectivité, la vérité et donnent au monde la bonne direction, le bon sens à rétablir, indiquant la porte de sortie de cette folie collective !
La mobilisation exceptionnelle des Etats profonds contre les Etats Nations, démontre, à cause de trop nombreuses incohérences et des contradictions scientifiques, la violence verbale de l’agressivité officielle contre les opposants à l’injection aux produits expérimentaux. Les « vaccins » ne sont pas imposés par des personnes au-dessus de tout soupçon, ils sont imposés par des gens en « conflits d’intérêts » et dont la parole est obligatoirement suspecte ! Plus nous avançons dans le temps et plus nous constatons à quel point les motifs sanitaires sont une pure façade pour naïfs ou innocents installés dans une croyance en l’impossibilité d’imaginer que le Pouvoir puisse se tromper et les tromper.
L’objectif évident des Etats profonds est de « vacciner » coûte que coûte leurs populations en rendant la vie impossible aux libertaires impénitents, en imaginant tous les coups tordus possibles pour enfin dresser les derniers résistants à la soumission et à la piqure du marquage indélébile pour un esclavage de masse et l’avènement du transhumanisme. Le programme du « Great Reset » traduisant la volonté du Nouvel Ordre Mondial, sera imposé au monde et « personne ne pourra s’y opposer » dixit Sarkozy. Grâce aux « vaccinations », une grande partie de l’humanité sera éliminée de facto ; une autre partie sera exterminée par les artifices de la « loi », pour s’y être opposée ; et enfin, les survivants constitueront la nouvelle société faite d’êtres ayant consenti en eux-mêmes le mariage de l’homme et de la machine, les transhumains, une sorte de « cyborgs » formatés aux directives et consignes tyranniques émises par une « élite » de dominants régnant sans partage sur des dominés ! Tous seront au service exclusif de l’argent, garantissant le pouvoir indéfini des riches sur le monde. Tous devront adorer le chiffre en étant marqués par le chiffre et ne pouvant rien faire d’autre que de servir sa cause …
[https://michel.delorgeril.info/politique-de-sante/la-protection-conferee-par-les-vaccins-anticovid-est-elle-reelle/https://ansm.sante.fr/actualites/a-la-une
https://edition.cnn.com/2021/11/17/world/coronavirus-newsletter-intl-17-11-21/index.html
source: https://www.mondialisation.ca/
La pandémie Covid-19 n’existe pas
Il y a beaucoup de confusion et de désinformation concernant la nature de la soi-disant « pandémie » de Covid-19.
La définition d’une pandémie est rarement mentionnée par les gouvernements et les grands médias.
Ce qui confirme l’existence d’une pandémie, ce n’est pas seulement le nombre de personnes touchées par la Covid-19, mais aussi il faut des preuves fiables d’une épidémie qui se propage sur une vaste zone géographique « y compris plusieurs pays ou continents ».
« Une pandémie est une épidémie qui se généralise et touche toute une région, un continent ou le monde » (Nature)
La définition ci-dessus ne décrit en aucune façon la propagation présumée du CoV-2 du SRAS.
Il n’y a jamais eu de pandémie
J’ai longuement étudié cette question depuis janvier 2020 et j’en suis arrivé à la conclusion sur la base de définitions pertinentes, de l’historique de la crise corona ainsi que des « estimations » officielles de l’OMS sur les « cas positifs au Covid » qu’il n’y a jamais eu de pandémie.
Au début de la crise corona, le nombre de cas dits positifs confirmés était extrêmement faible, à commencer par 83 cas positifs en dehors de la Chine (6,4 milliards de personnes). Ces chiffres ridiculement bas ont néanmoins été utilisés pour justifier l’annonce d’une urgence de santé publique mondiale le 30 janvier 2020, menant six semaines plus tard à la déclaration officielle d’une pandémie mondiale le 11 mars 2021 (44 279 cas positifs au covid en dehors de la Chine).
Test, test, test
Ce n’est qu’à la suite de l’annonce officielle de la pandémie (le 11 mars 2020) que le nombre de cas de Covid-19 est devenu élevé. Et cela n’avait rien à voir avec la propagation présumée de la maladie dans les principales régions du monde.
Un appareil de dépistage du Covid hautement organisé a été mis en place. Le mandat était le test test test.
Pendant ce temps, la Fondation Gates et d’autres philanthropes milliardaires ont ont considérablement investi dans les tests PCR-RT.
Capture d’écran, Forbes, 1er juillet 2021
Le test de réaction en chaîne de la polymérase (PCR-RT)
Le test PCR-RT « personnalisé » et invalide (qui n’identifie en aucun cas le virus SARS-CoV-2) a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de cas erronés positifs au Covid. Ces derniers ont ensuite été utilisés pour soutenir l’illusion que la prétendue pandémie était réelle et que le virus SARS-CoV-2 se propageait sans relâche dans toutes les grandes régions du monde.
Cette évaluation basée sur des chiffres erronés a ensuite été utilisée pour mener la campagne de peur.
Des chiffres erronés de cas positifs font maintenant partie d’une immense base de données, associée à de fausses données sur la mortalité dite de la Covid-19.
À leur tour, ces millions de cas positifs sont ensuite utilisés pour justifier chaque politique liée à la Covid-19 adoptée depuis mars 2020, y compris le confinement, le confinement de la main-d’œuvre, la distanciation sociale, le masque facial, la fermeture d’écoles, de collèges et d’universités, la suspension d’événements culturels et sportifs, etc.
Cette compilation des cas positifs de Covid a également servi de prétexte pour justifier la « fermeture » de l’économie mondiale en mars 2020 (« fermeture » simultanée de 190 économies nationales des États membres des Nations Unies) prétendument en vue de sauver des vies.
Et depuis décembre 2020, la prétendue « pandémie de Covid-19 » est utilisée pour convaincre les gens du monde entier que le vaccin contre la Covid-19 (accompagné du passeport vaccinal) est la « solution » pour freiner la propagation de la maladie.
En analysant l’évolution de la crise Covid-19, nous devons faire la distinction entre trois concepts importants : l’apparition de la maladie, l’épidémie et la pandémie.
L’épidémie constitue :
« une augmentation soudaine de l’incidence d’une maladie » et se limite généralement à une zone localisée ou à un groupe spécifique de personnes. Si une épidémie devient plus grave et moins localisée, elle peut être qualifiée d’épidémie. Si elle s’élargit encore davantage et touche une partie importante de la population, la maladie peut être qualifiée de pandémie. Webster-Merriam
[Définition en français du dictionnaire médical: Une épidémie est définie par l’augmentation rapide de l’incidence d’une maladie en un lieu donné, pendant une période donnée.]
L’épidémie est définie comme l’éclosion d’une maladie :
« affectant ou ayant tendance à affecter en même temps un nombre extrêmement important d’individus au sein d’une population, d’une communauté ou d’une région. »
La pandémie est définie de manière générale comme une expansion de l’épidémie :
« Une épidémie d’une maladie survenant sur une vaste zone géographique (comme dans plusieurs pays ou continents) et affectant généralement une proportion importante de la population » (Webster-Merriam, soulignement ajouté)
Sur la base des définitions ci-dessus, ainsi que des données publiées par les autorités sanitaires chinoises concernant les cas positifs, il y a eu une épidémie de la maladie à Wuhan, dans la province du Hubei, à la fin décembre 2019.
Un examen des données ayant conduit à la décision officielle de l’OMS de déclarer une pandémie le 11 mars 2020 confirme ce qui suit :
- aucune preuve d’une pandémie, caractérisée par une épidémie de Covid-19 « sur une vaste zone géographique telle que dans plusieurs pays ou continents »
- Les données officielles publiées par l’OMS concernant la propagation présumée de la Covid-19 ne confirment l’existence ni d’une épidémie ni d’une pandémie.
L’urgence de santé publique de portée internationale (USPPI)
La première étape vers la construction d’un faux consensus sur la propagation de cette maladie a été lancée le 30 janvier 2020 avec la décision de l’OMS de déclarer une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI).
En vertu du Règlement sanitaire international (RSI) de 2005, les États membres de l’OMS ont « l’obligation légale de répondre rapidement à une PHEIC ».
Sans la moindre preuve, le directeur général de l’OMS a déclaré la USPPI, soulignant
« un risque pour la santé publique d’autres États en raison de la propagation internationale de la maladie et d’exiger potentiellement une réponse internationale coordonnée ».
Cet avertissement indiquait la survenue possible d’une pandémie.
Une urgence sanitaire mondiale basée sur 83 cas positifs de Covid-19 en dehors de la Chine
La USPPI du 30 janvier 2020 laisse entendre la possibilité d’une pandémie. Dans un avis publié le 19 décembre 2019 (à peine deux semaines avant l’épidémie de Wuhan), l’OMS a reconfirmé la définition de la USPPI :
« une situation qui est :
- grave, soudaine, inhabituelle ou inattendue ;
- a des implications pour la santé publique au-delà de la frontière nationale de l’État concerné ;
- peut nécessiter une action internationale immédiate. »
L’appel d’une USPPI était une décision frauduleuse de la part du directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus. Pourquoi ? Parce qu’au 30 janvier 2020, il y avait 83 cas positifs de Covid en dehors de la Chine pour une population de 6,4 milliards de personnes.
83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine (voir OMS, 30 janvier 2020).
Les « preuves » indiquent une fraude
Ces chiffres ridiculement bas, qui n’ont pas été mentionnés par les médias, n’ont pas empêché le lancement d’une campagne mondiale de peur.
Dans la semaine précédant cette décision historique de l’OMS. La USPPI a fait l’objet de « consultations » au Forum économique mondial (FEM), Davos (21-24 janvier). Le directeur général de l’OMS, le Dr. Tedros était présent à Davos. Ces consultations ont-elles contribué à influencer la décision historique de l’OMS de déclarer une USPPI le 30 janvier 2020 ?
Y a-t-il eu un conflit d’intérêts tel que défini par l’OMS ? Le plus grand donateur de l’OMS est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui, avec le FEM et le CEPI, avait déjà annoncé à Davos le développement d’un vaccin contre la Covid-19 avant le lancement historique de la USPPI le 30 janvier.
Le directeur général de l’OMS avait le soutien de la Fondation Bill et Melinda Gates, de Big Pharma et du Forum économique mondial (FEM). (Voir Michel Chossudovsky, livre E, chapitre II)
« Divisions » au sein de l’OMS
Il semble que la décision du directeur général de l’OMS de déclarer une USPPI a été prise en marge du Forum économique mondial (FEM) à Davos (21-24 janvier), chevauchant la réunion du Comité d’urgence de l’OMS à Genève le 22 janvier 2020. Selon le procès-verbal de cette réunion (extrait ci-dessous), il y avait des divisions au sein du comité d’urgence concernant la convocation d’une USPPI.
Le 22 janvier, les membres du Comité d’urgence ont exprimé des points de vue divergents sur la question de savoir si cet événement constitue une ou non. À l’époque, l’avis était que l’événement ne constituait pas une USPPI, mais les membres du Comité se sont mis d’accord sur l’urgence de la situation et ont suggéré que le Comité soit convoqué de nouveau dans quelques jours pour examiner davantage la situation.
Les « points de vue divergents » sont un euphémisme. Il y a eu une ferme opposition à la mise en œuvre de la USPPI. 83 cas positifs le 30 janvier « ne constituent pas une USPPI« .
Je dois mentionner que la première USPPI remonte à 2009. Elle a été inaugurée par l’OMS en relation avec la pandémie de grippe porcine H1N1, qui s’est avérée être une fraude.
Le 29 janvier 2020, la veille du lancement de la USPPI(enregistré par l’OMS), il y a eu 5 cas aux États-Unis, 3 au Canada, 4 en France, 4 en Allemagne.
Il n’y avait pas de « base scientifique » pour justifier le lancement d’une urgence de santé publique mondiale (USPPI).
Et gardez à l’esprit que les chiffres cités ci-dessus sont basés sur des estimations positives de cas Covid générées par la méthodologie PCR-RT litigieuse et contestée.
Capture d’écran du tableau de l’OMS, 29 janvier 2020, (le document pdf n’est plus disponible)
Le 31 janvier 2020 : Décision du président Trump de suspendre le transport aérien avec la Chine
Et ces chiffres extrêmement bas de cas positifs Covid ont ensuite été utilisés par le président Trump pour suspendre le transport aérien en Chine dès le lendemain (le 31 janvier 2020).
… Trump a annoncé qu’il refuserait l’entrée aux États-Unis des ressortissants chinois et étrangers « qui ont voyagé en Chine au cours des 14 derniers jours ». Cela a immédiatement déclenché une crise dans le transport aérien, le transport dans son ensemble, les relations commerciales entre les États-Unis et la Chine ainsi que les échanges de marchandises et de transport maritime.
…Les cinq soi-disant « cas confirmés » aux États-Unis étaient suffisants pour « justifier » la décision du président Trump le 31 janvier 2020 de suspendre le transport aérien en Chine tout en précipitant une campagne de haine contre les Chinois dans le monde occidental. (Michel Chossudovsky, E-Book Chapitre II)
Cette décision historique du 31 janvier 2020 a ouvert la voie à la perturbation du commerce international des produits de base ainsi qu’à l’imposition de restrictions mondiales sur le transport aérien. Il a également conduit à la faillite de grandes compagnies aériennes, de chaînes hôtelières et de l’industrie touristique dans le monde entier.
Et tout ce dont ils avaient besoin, c’était d’avoir 83 cas positifs au Covid.
La prochaine étape de la saga COVID-19 se déroule le 20 février 2020.
Les 20 et 21 février 2020. Dr. Tedros indique que la pandémie est imminente. 1073 cas positifs au Covid en dehors de la Chine
Lors d’une conférence de presse le jeudi 20 février après-midi (heure CET) lors d’un briefing à Genève, le Directeur général de l’OMS. Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré qu’il était
« préoccupé par le fait que la chance de contenir l’épidémie de coronavirus était « fermée »…
« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais que la fenêtre se rétrécit. »
Des absurdités et des mensonges purs et simples. Le jour de la Conférence de presse historique de Tedros (le 20 février 2020), le nombre enregistré de cas confirmés en dehors de la Chine était de 1 073, dont 621 passagers et membres d’équipage du navire de croisière Diamond Princess (bloqué dans les eaux territoriales japonaises).
Le même jour, 57,9 % des « cas confirmés » mondiaux de Covid-19 provenaient du navire Diamond Princess, ce qui n’Est guère représentatif d’une « tendance statistique » mondiale. D’un point de vue statistique, la décision de l’OMS indiquant une « propagation potentielle du virus dans le monde entier » n’avait aucun sens.
Une quarantaine avait été imposée au bateau de croisière (Voir l’étude NCBI). De nombreux passagers sont tombés malades à cause du confinement sur le bateau. Tous les passagers et l’équipage du Diamond Princess ont fait le test PCR. Sans les données du Diamond Princess, les cas dits confirmés dans le monde entier en dehors de la Chine le 20 février 2020 étaient de l’ordre de 452, sur une population de 6,4 milliards d’habitants. (Voir le graphique ci-dessous indiquant la convention internationale (Diamond Princess))
Inutile de dire que ces soi-disant données ont joué un rôle crucial dans la campagne de peur et l’effondrement des marchés financiers au cours du mois de février 2020.
Capture d’écran, Conférence de presse de l’OMS, 20 février 2020
Remarque : Les chiffres dans le tableau ci-dessus pour le 20 février 2020 indiquent 1 073 cas. 1 076 cas, (conférence de presse de l’OMS)
La déclaration du Dr Tedros (basée sur des concepts et des statistiques erronées) avait préparé le terrain pour l’effondrement des marchés boursiers des 20 et 21 février.
Voici les chiffres (tableau à droite) utilisés pour appuyer les déclarations du Dr Tedros selon lesquels la pandémie est imminente.
Début mars 2020
Les cas positifs covid enregistrés restent extrêmement faibles. Le 5 mars, le directeur général de l’OMS confirme qu’en dehors de la Chine, 2 055 cas ont été signalés dans 33 pays. Environ 80 % de ces cas provenaient de trois pays (la Corée du Sud, l’Iran et l’Italie).
Le 8 mars, trois jours avant la déclaration officielle de la pandémie Covid-19, le nombre de « cas confirmés » (infectés et guéris) aux États-Unis était de l’ordre de 430, passant à environ 600 le 8 mars 2020.
Comparez ces chiffres ridiculement bas à ceux relatifs au virus de la grippe B : Les CDC ont estimé pour 2019-2020 « au moins 15 millions de maladies grippales virales [américaines]… 140 000 hospitalisations et 8 200 décès. (La colline)
Il convient de noter qu’au début du mois de mars, les nouveaux cas déclarés en Chine tombent à deux chiffres. 99 cas enregistrés le 7 mars. Tous les nouveaux cas en dehors de la province du Hubei ont été classés comme des « infections importées » (de pays étrangers). La fiabilité des données reste à établir :
99 nouveaux cas confirmés, dont 74 dans la province du Hubei, … Les nouveaux cas comprenaient 24 infections importées – 17 dans la province du Gansu, trois à Pékin, trois à Shanghai et un dans la province du Guangdong.
Alors que l’épidémie dans la province du Hubei était pratiquement terminée, la fausse pandémie en dehors de la Chine lancée le 11 mars commençait.
11 mars 2020 : La pandémie historique de Covid-19, 44 279 « cas confirmés »
L’OMS a officiellement annoncé une pandémie mondiale à un moment où il y avait 44 279 cas confirmés en dehors de la Chine (6,4 milliards d’habitants). Voici la justification du Directeur général de l’OMS concernant la décision de l’OMS de déclarer une pandémie mondiale :
Comme je l’ai dit lundi, le simple fait de regarder le nombre de cas et le nombre de pays touchés ne raconte pas toute l’histoire.
Sur les 118 000 cas signalés dans le monde dans 114 pays, plus de 90 % des cas se trouvent dans seulement quatre pays, et deux d’entre eux – la Chine et la République de Corée – ont des épidémies en baisse significative.
81 pays n’ont signalé aucun cas et 57 pays ont signalé 10 cas ou moins.
Déclaration absurde et contradictoire. Il n’y avait aucune preuve d’une pandémie en cours.
Ce sont les chiffres utilisés pour justifier le confinement et la fermeture de 190 économies nationales, en vue de sauver des vies.
Aux États-Unis, enregistrés le 11 mars 2020, il y avait selon John Hopkins : 1 335 « cas » et 29 décès (« présumés » plus confirmés par le test PCR).
Aucune preuve d’une pandémie le 11 mars 2020.
Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de la peur est passée à la vitesse supérieure. Les marchés boursiers se sont effondrés le lendemain : Le Jeudi noir (Black Friday).
Le 18 mars 2020, un confinement (lockdown) a été instauré aux États-Unis.
La tendance à la hausse des cas positifs Covid dans le sillage du confinement du 11 mars 2020
Ce qui peut être observé dans le diagramme ci-dessous, c’est que les cas positifs Covid enregistrés étaient extrêmement faibles avant la déclaration officielle d’une pandémie le 11 mars 2020 : 44 279 cas en dehors de la Chine. Il n’y avait absolument aucune justification pour imposer le confinement comme moyen de lutter contre une « pandémie » inexistante.
À compter du 11 mars 2020, à la suite du confinement, les gouvernements nationaux ont été exhortés à mettre en œuvre le test PCR-RT à grande échelle, en vue d’augmenter le nombre de cas positifs de Covid dans le monde entier.
Test, test, test : Les chiffres ont commencé à grimper en vue de générer de plus en plus de fausses statistiques.
Regardez le tableau ci-dessous. On remarque un très petit nombre de cas positifs au début mars. Et puis, les cas positifs au Covid ont atteint un niveau très élevé en avril, mai juin 2020.
Michel Chossudovsky
***
Dans la partie II, nous examinerons le rôle du test PCR-RT invalide et comment il a été appliqué pour soutenir l’illusion d’une pandémie mondiale.
Article original en anglais :
The Covid-19 Pandemic Does Not Exist
Traduit par Maya pour Mondialisation.ca
Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky, 13 chapitres :
***
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À propos de l’auteur
Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.
Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (1979, 1983)
Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté, America’s « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).
Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com
Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique
Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research
Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca
Évolution sanitaire des pays les plus vaccinés au 14 novembre 21 — Faits avérés d’après les chiffres OMS
Depuis plus de 18 mois, nos gouvernants et les médias complices nous rabâchent :
« le retour à la vie normale sera possible grâce au vaccin »,
« vous retrouverez vos libertés quand vous serez vaccinés »
« les non-vaccinés sont responsables de la poursuite de l’épidémie ».
Mais aucune étude dans le monde réel n’a apporté le moindre début de preuve à l’appui de cette propagande marchande pro injection anti-covid.
Et l’analyse des données officielles de l’OMS (consultable à OMS covid dashboard) est très inquiétante. Aucun des champions de la vaccination n’est parvenu à éliminer le virus, ni à éviter de fortes reprises de l’épidémie et très peu ont totalement libéré leur peuple vacciné des mesures liberticides prétendument sanitaires imposées sans preuve scientifique de leur efficacité.
Mais son haut niveau de « vaccination » ne l’a pas protégée d’une forte reprise de l’épidémie qui persiste depuis quatre mois, avec une moyenne de 40000 cas quotidiens.
Le 10 août 21, témoignant devant les députés anglais, le professeur Sir Andrew Pollard chef de l’Oxford Vaccine Group a déclaré « le fait que les vaccins n’arrêtent pas la propagation de Covid signifiait que l’atteinte du seuil d’immunité globale dans la population était “mythique”. », ajoutant « avec la variante Delta actuelle, ce n’est pas possible »
Au printemps 2021, avant l’émergence du variant Delta, Israël avait été le premier pays au monde à croire avoir atteint l’immunité collective grâce à l’injection Pfizer.
Mais son très haut taux d’injection ne lui a pas permis d’éviter une nouvelle vague avec l’établissement d’un nouveau record absolu de contaminations quotidiennes (11000/J soit l’équivalent pour la France de 70000 cas/J). Et la mortalité quotidienne a suivi malgré les troisièmes injections. Cette résurgence de la maladie a fait reconnaître au ministre de la Santé que le taux d’efficacité de l’injection ne dépassait pas 39 % et qu’elle ne durait que quelques mois.
S’adressant à Channel 13 TV News le 5 août 2021, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog à Jérusalem, a précisé que « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées » et « 95 % des patients sévères sont vaccinés. » détruisant ainsi la propagande vaccinale prétendant que le vaccin protégerait des formes graves.
mais ce grand succès de vente de pseudo vaccin est actuellement marqué par un record absolu des contaminations quotidiennes (12000/J soit l’équivalent français de 50000 cas/J) qui fait envisager de nouvelles mesures restrictives.
Là aussi la vaccination s’est révélée incapable de protéger la population.
Le 13 novembre le docteur Kuipers, spécialiste des soins intensifs a déclaré[1]
« La suggestion a été faite de l’immunité collective. Oubliez ça ! ».
« Nous travaillons maintenant avec plusieurs scénarios. L’un est le suivant : il y aura toujours un grand nombre de patients corona. Avec un nombre substantiel de patients, nous devons vraiment organiser les soins différemment à long terme. Augmenter la capacité hospitalière pour accueillir tous les patients atteints de Covid-19 et de soins réguliers ».
Mais ce succès du nombre des injections ne l’a pas empêché de subir un véritable tsunami de contaminations avec un nombre 4 fois supérieur au pic d’avant injection.
Le jeudi 19 août 2021, lors d’un multi- conférence du groupe de travail du ministère, le ministre des Finances Lawrence Wong a averti :
« Singapour n’atteindra pas l’immunité collective pendant la pandémie malgré son taux élevé de vaccination contre le COVID-19[2]»
« Le chemin pour devenir une nation résiliente au COVID sera une tâche longue et difficile. Même avec des taux de vaccination très élevés, nous n’allons pas atteindre l’immunité collective ».
Le 8 septembre 21, Tikki E. Pangestu, expert en maladies infectieuses et professeur invité à la NUS Yong Loo Lin School of Médecine à Singapour a déclaré :
« Atteindre 95 % d’immunité collective contre le Delta est un mythe. La variante Delta étant désormais dominante dans la plupart des pays, la cible devrait plutôt être l’immunité aux maladies ou la prévention des maladies graves et des décès dus au virus ».
En juin les médias coréens se réjouissaient que l’immunité de groupe était à portée de main.[3][4]
Ils prétendaient même « qu’elle serait atteinte dès novembre[5]». Le porte-parole du ministère de la Santé, Son Young-rae, prévenait que :
« même après que l’immunité collective sera atteinte en novembre, les masques faciaux et d’autres mesures de sécurité resteront nécessaires ».
Mais, depuis octobre leur mirage s’évanouit, l’épidémie explose et la mortalité également :
En octobre, le nombre quotidien de contaminations s’est élevé à 2,5 fois celui du pic de l’épidémie avant la vaccination (2600 vs 1000) et la mortalité a suivi.
démontrant que les vaccins ne résolvent pas le problème Covid ni celui des restrictions sanitaires.
Mais ce succès des ventes de pseudo vaccins n’a pas évité une forte reprise de l’épidémie en juillet avec croissance exponentielle depuis septembre avec un nombre de contaminations quotidiennes (36000) dépassant largement les records d’avant « vaccination ».
Les habitants du quartier gouvernemental de Berlin font un adieu lent et silencieux, sans déclaration, sans communiqué de presse, l’adieu à une illusion, à l’objectif que les politiques poursuivent depuis le début de l’année : l’immunité collective.
« Je peux malheureusement difficilement imaginer à ce stade que nous atteindrons l’immunité collective », a déclaré K. Lauterbach[6] expert en santé des sociaux-démocrates de centre gauche (SPD).
L’euphorie vaccinale a apparemment cédé la place à la lassitude vaccinale, et une partie de la population ne veut toujours pas se faire vacciner, sachant que la protection vaccinale est beaucoup plus faible et plus courte qu’annoncée et les accidents post vaccinaux plus nombreux. Le pays apprend progressivement à vivre avec la pandémie, mais il peine, en partie parce que toutes les conséquences ne sont pas avouées et restent imprévisibles.
mais ce haut taux de « vaccination » a été incapable de lui éviter une reprise brutale de l’épidémie et une menace de nouveau confinement.
L’agence danoise des maladies infectieuses SSI a déclaré qu’elle ne pensait plus qu’il serait possible d’obtenir une immunité collective dans le pays grâce à la vaccination,[7] ce qui signifie que sars CoV 2 pourrait continuer à circuler pendant des années.
« Si les vaccins étaient efficaces à 100 % contre les variantes actuellement en jeu et si nous avions une couverture vaccinale à 100 % chez les personnes de 12 ans et plus, alors nous pourrions parler de l’obtention d’une véritable immunité collective contre la variante delta », a déclaré Krause. « Mais malheureusement ce n’est pas la réalité, nous ne pouvons pas y parvenir. »
« Cela signifie qu’il est désormais logique de traiter Covid-19 de la même manière que nous traitons la grippe saisonnière, et de ne pas répondre aux vagues d’infection avec des restrictions strictes ». « Cela rappellera plus la grippe qu’avant », a-t-elle ajouté.
Malheureusement, cette couverture vaccinale ne lui a pas évité une récidive majeure de l’épidémie.
En juin 2021 Þórólfur Guðnason l’épidémiologiste en chef de l’Islande déclarait que l’immunité vaccinale progressait bien.[8]
Mais depuis la nouvelle vague, il a dû déchanter et reconnaître dans une interview à la radio publique que :
« la vaccination n’a pas conduit à l’immunité collective que les experts espéraient et qu’en réalité l’immunité collective ne pouvait pas être obtenue par la vaccination. »[9]
Faute de mieux, il tente une dernière fois de l’atteindre en incitant à un rappel (3e dose).[10]
En juin le Dr Vellinga déclarait[11]:
« avec les vaccins, si nous continuons comme nous le faisons, d’ici la fin de l’année, nous devrions avoir une situation assez normale ».
Mais une rechute majeure des contaminations est survenue début juillet 2021 qui s’amplifie encore depuis un mois.
La ville de Waterford a l’un des taux de vaccination les plus élevés d’Irlande contre Covid-19, avec 99,7 % des adultes de plus de 18 ans entièrement vaccinés, mais est devenue l’endroit avec le taux d’infection Covid-19 le plus élevé du pays.
Le taux d’incidence sur 14 jours atteint 1 486 cas pour 100 000 habitants, soit trois fois la moyenne nationale qui s’élève à 493 infections pour 100 000 habitants. La zone électorale adjacente de Tramore-Waterford City West a un taux sur 14 jours de 1 121 pour 100 000, selon les derniers chiffres hebdomadaires publiés par le Health Service Executive’s Health Protection Surveillance Centre.
Thierry Breton, le commissaire européen en charge des vaccins, avait jugé possible une immunité collective le 14 juillet 2021 dans l’Union européenne. Devant le sénat, il exposait ainsi le principe du certificat vaccinal :
« Rien ne sera obligatoire ! ».
« On n’utilisera jamais le mot passeport. Ça donne le sentiment d’être obligatoire. Il ne le sera pas. Ce sera volontaire ».
Comment pourrait-on encore le croire ?
L’OMS avait d’emblée prévenu :
« jamais, dans l’histoire de la santé publique, l’immunité collective n’a été utilisée comme stratégie pour répondre à une épidémie ».[12]
Le 12/11/2021 le Dr Jefferson Jones, médecin du groupe de travail sur l’épidémiologie COVID-19 du CDC concluait lors de la réunion :
« penser que nous serons en mesure d’atteindre une sorte de seuil où il n’y aura plus de transmission d’infections peut ne pas être possible. »
Depuis lors, le CDC détourne son attention d’un objectif de vaccination spécifique qui, une fois atteint, présagerait la fin de la pandémie.
L’immunité de groupe ne pourrait être espérée par le vaccin que si celui-ci protégeait totalement les individus vaccinés suffisamment longtemps et les empêchait de transmettre la maladie. C’est le cas des vaccins contre la variole ou contre la fièvre jaune.
Or les faits avérés montrent qu’aucune de ces deux conditions n’est remplie par les pseudo vaccins anti-Covid. Les vaccinés ne sont protégés qu’à 40 % et guère plus de quelques mois, en cas d’infection leur charge virale est égale à celle des non-vaccinés infectés et ils peuvent transmettre parfaitement la maladie. Cela explique que l’immunité collective est irréalisable par la pseudo vaccination actuelle.
Ce panorama de l’évolution de l’épidémie dans ces pays champions de la vaccination, telle qu’elle est décrite par les données de l’OMS et les courbes de l’Université John Hopkins démontre :
- Que les pseudo vaccins Covid ne protègent pas les populations des récidives de l’épidémie
- Que les agences sanitaires abandonnent l’espoir d’une immunité collective par la vaccination maintenant qualifiée de mythe par la quasi-totalité des agences qui y croyaient
- Que cet échec est la conséquence de l’efficacité insuffisante et de la durée beaucoup trop courte[13] des pseudo vaccins actuels qui n’empêchent ni d’être malade ni de transmettre la maladie
- Que beaucoup d’experts pensent qu’il est temps d’apprendre à vivre avec le covid comme avec la grippe saisonnière.
Il est grand temps que notre ministre de la Santé considère
les faits avérés et les conclusions des agences étrangères
et cesse la quête infructueuse d’un Graal vaccinal illusoire et dangereux.
L’échec maintenant patent des pseudo vaccins est d’autant plus criant que les traitements précoces bon marché ont fait leurs preuves d’innocuité et d’efficacité en Inde comme en Afrique (Nigéria, Madagascar) lorsqu’on regarde leurs données publiées par l’OMS.
L’inde a privilégié les traitements précoces et préventifs par hydroxychloroquine et Ivermectine avec succès.
Le Nigéria a bénéficié des traitements quotidiens par les antipaludéens
Madagascar est le champion victorieux de l’Artémisine
Dr Gérard Delépine
Notes :
[2] : Lawrence Wong Singapour n’atteindra pas l’immunité collective contre le COVID
https://www.bworldonline.com/95-herd-immunity-vs-delta-is-a-myth-says-infectious-disease-expert/
[3] La Corée du Sud est en passe de créer une immunité collective après avoir vacciné 20 millions de personnes
https://en.yna.co.kr/view/AEN20210803004500320
[5] https://www.nationthailand.com/international/40004280
[6] Milena Hassenkamp, Christoph Hickmann, Armin Himmelrath, Martin Knobbe, Timo Lehmann, Martin U. Müller, Miriam Olbrisch, Gabriel Rinaldi et Christoph Schult L’immunité collective est impossible. Maintenant quoi ? Der Spiegel 21/7/2021
https://www.spiegel.de/international/germany/herd-immunity-is-impossible-now-what-a-35335ea0-5ab2-4e3d-95e5-f2672b817056-amp
[7] Ritzau/Le local news@thelocal.dk @thelocaldenmark 6 août 2021
https://www.thelocal.dk/20210806/explained-why-has-denmark-given-up-on-achieving-herd-immunity-via-vaccines/
[8] https://grapevine.is/news/2021/06/11/icelands-herd-immunity-is-progressing-well/
[10] https://icelandmonitor.mbl.is/news/news/2021/11/08/hopes_booster_shot_will_create_herd_immunity/
[11] https://www.rte.ie/news/primetime/2021/0608/1226962-covid-19-ireland-herd-immunity/
[12] Allocution liminaire du Directeur général de l’OMS lors du point de presse sur la COVID-19 — 12 octobre 2020
https://www.who.int/fr/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19—12-october-2020
[13] 4 à 6 mois alors que L’immunité naturelle dure beaucoup plus longtemps
Coronacircus : l’une des plus grandes arnaques financières de l’époque
Dès le début de la campagne Covid-19, j’ai dénoncé l’imposture, les analogies avec la campagne antérieure (ratée) H1N1 étant trop évidentes. Hélas, celle-ci a été beaucoup mieux préparée par les complotistes financiers à la tête des plus grandes banques et entreprises mondiales, au rang desquelles les Bigpharmas, tirant les leçons du précédent essai qui avait échoué. Les relais ont été mieux huilés et chaque maillon qui participe à cette arnaque se trouve remercié par ce que l’on pourrait appeler des ‘retro-commissions’. Même votre généraliste qui vous vante les vertus de ce ‘vaccin’ et vous l’inocule, oui.
N’allez pas chercher une quelconque préoccupation médicale ou sanitaire à tout le cirque mis en place pour grossir et aggraver une soi-disant pandémie qui allait décimer la moité de l’humanité du côté des responsables politico-médiatiques, ceux-ci comme les autres maillons de la chaîne font partie de la courroie de transmission et se trouvent également gratifiés pour leurs bons services, mais ‘discretos’ évidemment, dans quelques paradis fiscaux qu’ils disent combattre mais qu’ils alimentent au premier rang, comme l’ont encore révélés les ‘Pandora papers’ dont bien peu des grands médias parlent (cqfd!). Rappel, l’évasion fiscale en France est estimée à ~ 80 milliards d’euros annuels dont à peine 10 % (~ 8 milliards d’euros) sont récupérés à coup de cocoricos aussi minables que ringards !
Une minorité de citoyens ne s’y sont pas trompés et continuent à résister courageusement au rouleau compresseur merdiatique qui poursuit le calendrier dicté d’en haut d’un objectif de vaccination multi-doses de toute la planète, animaux domestiques compris s’ils le pouvaient, mais se sont à mon humble avis, égarés dans des scénarios que je pense erronés, chacun essayant de s’y retrouver dans l’imbroglio qui nous est asséné à longueur d’antennes depuis bientôt deux ans où tout et son contraire ont été annoncé par les plus hautes autorités, sans le moindre mea culpa malgré de grossières bévues prouvées depuis.
Plutôt que se perdre dans les visions apocalyptiques de certains et qui je pense, les détournent du vrai sujet, j’ai dit et continue à dire que ce cirque n’est qu’une gigantesque arnaque financière orchestrée par des malades, au sens premier et entier du terme même s’ils portent costumes et cravates. Mais le citoyen ordinaire se situe à tellement d’années-lumière des chiffres de ces financiers qu’il ne comprend pas de quels montants il s’agit parce qu’il ne peut tout simplement pas se les représenter.
Pour aider à une compréhension de ces chiffres abstraits pour la plupart d’entre nous, je reprends ici un exemple que j’ai vu passer sur internet et qui résume bien ce qu’il en est, en prenant le temps comme échelle :
1 seconde, tout le monde connaît et voit ce que c’est.
1000 secondes, on suppose que cela doit représenter quelques minutes. Et en effet, cela représente environ 16 minutes et demi, soit un peu plus d’un quart d’heure.
1 million de secondes, c’est déjà plus compliqué à saisir, mais on imagine que cela doit faire plusieurs jours. Et cela fait environ 11 jours et demi.
Mais maintenant, 1 milliard de secondes, cela représente combien de temps ? Des semaines, des mois, des années ? En fait, 1 milliard de secondes, cela fait environ 31 ans et demi ! Saisissez bien la différence colossale entre 1 million et 1 milliard de secondes.
Voilà donc l’échelle de grandeur qu’il faut maintenant transposer à l’argent, au salaire, à la fortune pour comprendre la différence entre 1 million et 1 milliard, sachant que ceux dont on parle dans le classement des grandes fortunes possèdent souvent plusieurs milliards !
Après ce petit détour revenons maintenant à ce que l’on nous dit à propos du coronacircus. ‘’Pfizer, BioNTech & Moderna gagnent plus de 1000 dollars par seconde grâce aux seuls ‘vaccins’ Covid.
Pfizer, BioNTech et Moderna engrangent un profit combiné de 65.000 dollars par minute grâce à leurs vaccins contre le Covid-19, selon une étude de la People’s Vaccine Alliance. L’organisation milite pour une meilleure répartition des vaccins à travers le monde.
Ces groupes pharmaceutiques ont amassé cet argent en vendant l’immense majorité de leurs doses à des pays riches, aux dépens des nations moins développées qui restent très faiblement vaccinées, déplore l’association.
D’après ses calculs, basés sur les résultats publiés par ces entreprises, le trio réalisera des bénéfices avant impôts de 34 milliards de dollars (31,5 milliards de francs suisses) cette année, soit plus de mille dollars par seconde, 65 000 dollars par minute ou 93,5 millions de dollars par jour.
Pfizer, BioNTech et Moderna se distinguent ainsi d’AstraZeneca et Johnson & Johnson qui vendent pour l’instant leurs vaccins à prix coûtant. «Il est indécent que quelques entreprises empochent des millions de dollars de bénéfice chaque heure, alors que seulement 2% des personnes dans les pays à faible revenu ont été entièrement vaccinées contre le coronavirus», a déploré Maaza Seyoum de la branche africaine de People’s Vaccine Alliance et African Alliance.’’ (www.letemps.ch)
Nul besoin d’aller s’imaginer un génocide planétaire, une apocalypse imminente, un retour du Messie et le jugement dernier dans ce plan qui est d’abord et avant tout financier, se suffisant à lui-même et aux détraqués qui en sont à l’origine. Et arrêtons-nous un moment pour bien comprendre ce dernier terme ‘détraqué’ : un alcoolique souffre d’une pathologie qui l’amène à boire toujours plus. Même ivre, il continue, ce qui en fait un malade. Il en est de même pour ces gens-là. Ils ne pourront jamais dépenser les fortunes amassées, mais il leur en faut toujours davantage. Il s’agit donc bien d’une pathologie.
Que par la suite, les gouvernements en aient profité pour élaborer un système de plus en plus intrusif pour avoir un contrôle plus serré de leurs populations, cela semble bien être le cas au travers tout ce qui s’est mis en place grâce aux technologies toujours plus pointues en la matière. Mais comme déjà dit, la Chine n’avait-elle pas instauré un contrôle des naissances par sa loi de l’enfant unique, il y a de cela plusieurs décennies, et sans aucun scénario viral comme décor ? Ne mélangeons donc pas les plans au risque de n’y rien comprendre, ce qui d’ailleurs convient bien aux déments qui sont à la manœuvre, ravis d’entretenir la perte de repères et de raison des citoyens, afin d’exacerber leurs peurs. Technique ancienne utilisée par tous les petits potentats, piétinant au passage nombre de libertés acquises de longues luttes par nos aînés. La plupart des démocraties occidentales actuelles s’articulant sur des valeurs de droite, il n’a pas fallu attendre longtemps pour voir émerger d’anciens réflexes et basculer dans un autoritarisme proche de méthodes que l’on pensait appartenir aux années brunes. Les Etats occidentaux préfèrent investir dans leurs organes de contrôle de l’ordre et dans les armes plutôt que dans l’éducation, la prévention, la justice, les hôpitaux, le personnel soignant, l’accompagnement, l’aide, l’accueil et tout l’aspect social gravement abîmé par ces pratiques de délinquants.
Au vu des présidentielles qui s’annoncent en France, et contrairement à ce que d’aucuns veulent nous faire croire, il y a bien des valeurs de droite et des valeurs de gauche qui ne sont pas identiques. Et ce n’est pas parce que le PS dans nombre de pays a été trahi par ses représentants (tels Mitterrand, Hollande et leurs valets en France, sans parler des retournements de vestes du PC) que les valeurs de gauche n’existent plus. (Lisez le dernier papier et les exemples cités par Br. Guigue à cet effet : https://reseauinternational.net/le-gauchisme-stade-supreme-de-limperialisme/). Ces valeurs de gauche sont de manière claires à l’opposé des valeurs de droite et l’un des aspects les plus marquants de cette différence est illustré par les écarts criminels à tous niveaux, y compris celui de l’environnement dont il est tant question de nos jours, entre les toujours plus riches et les précaires de plus en plus nombreux au sein même des pays nantis !
Pour revenir à l’article du ‘Temps’ : encore heureux de voir le peu de ‘vaccinés’ dans certains pays, avec ce produit génique expérimental. Il faut espérer qu’ils resteront préservés du lavage de cerveaux en cours sous nos latitudes. Cela les protégera sans doute des effets à moyen et long termes qui semblent s’annoncer médiocres voire désastreux pour ceux qui auront cru à cette fable grotesque d’un virus génocidaire en lieu et place de faire confiance à leur propre système immunitaire et de (se) soigner avec les produits disponibles qui ont fait leurs preuves. Finalement, l’on ne sait plus s’il faut rire ou pleurer de voir tant de paniqués se ruer sur ces injections… comme des mouches sur des étrons !
Vienne je jour de la justice où tous ces responsables et relais d’une telle imposture seront traînés devant les tribunaux afin d’y être jugés et condamnés pour leurs crimes contre l’humanité.
Daniel Vanhove
16.11.21