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21 juin 2022

MACRON N'AYANT PLUS DE MAJORITE ABSOLUE NE POURRA PAS GOUVERNNER COMME IL LE VEUT ADIEU SES REFORMES CONTRE LES FRANCAIS

RESULTATS  DES ELECTIONS

 

LEGISLATIVES DU 19 JUIN 2022 :

 

POUR MACRON ET SA MAJORITE

 

C'EST LA BEREZINA PAR

 

UN VOTE SANCTION MASSIF

 

EDITORIAL de Gérard DIACONESCO

 

LE RROY UBU

On peut dire tout ce que l'on veut mais il ressort qu'au vue des résultats pour ces élections législatives ce fût la Bérézina pour le Président MACRON fraîchement réélu pour refaire une deuxième mandature lui croyant comme fer qu'il obtiendrait une majorité absolue pour passer ses réformes de lois sans problèmes pour pouvoir modifier lui le Monarque sans partage le paysage politique de notre belle FRANCE qu'il a massacré lors de sa première mandature !

Et ben non c'est râpé ou plutôt c'est échec et mat cette fois-ci son château de cartes s'écroulant à ses pieds  !!!!    

Car pour une mauvaise surprise ce fût une mauvaise surprise pour lui croyant qu'il obtiendrai pour continuer à gouverner son royaume en despote absolu une majorité de courtisans de députés à sa botte encore pour cinq longues années de souffrance sur un Peuple Français qu'il méprise souverainement ! 

Fort heureusement ce Peuple Souverain vient enfin de se réveiller du cauchemar dans lequel MACRON l'avait plongé, car en votant cette fois-ci avec intelligence il vient d'enlever au monarque MACRON toute possibilité de régner en maître absolu sur tous ses sujets, le Roy UBU est nu !  

Car comment pourrai-il faire passer ses nouvelles réformes sans majorité en n'ayant obtenu à cette l'élection que 234 sièges de députés ENSEMBLE alors qu'il en faut 289 pour obtenir une majorité absolue à l'Assemblée  Nationale ?

Dans cette élection personne n'avait jamais pensé ou même imaginé un seul instant que le RASSEMBLEMENT NATIONAL de Marine le PEN crèverait pour la première fois depuis des lustres le plafond de verre avec une arrivée massive de 89 député RN à l 'Assemblée Nationale, ce fût une bonne surprise pour plus d'un, mauvaise pour bien d'autres et cette fois-ci çà été la surprise du Chef !

Dans cette élection pour une fois très à DROITE de la DROITE chez les LR 75 députés ont été élus et on compte aussi en plus 11 députés DVD. Un vrai changement chez les LR et ses alliés avec ce  redressement de 75 sièges obtenus et 4 autres aux centristes.

 Maintenant venons-en à la coalition de toutes les Gauches sous la bannière de MELENCHON dite mouvement NUPES c'est le chiffre de 141 députés de gauche qu'il obtient et en plus 22 sièges de dissidents Divers gauche, lui aussi le débateur gauchiste qui croyait obtenir une majorité absolue de députés à gauche pour devenir le premier ministre de notre pays la FRANCE, le Peuple souverain de Droite l'a fort heureusement empêcher d'y arriver !!!!

Dans cette élection pochette surprise le grand gagnant fût une fois de plus l'abstention de 54% avec un taux de seulement 46% de votants en France, dans les DOMS TOMS et chez les Français de l'étranger.

Pour résumer la situation aujourd'hui dans le pays de la belle FRANCE qui est donc devenue ingouvernable pour MACRON et le nouveau Gouvernement qu'il va essayer de mettre en place dans la semaine qui vient, il va devoir chercher désespérément une majorité absolue qui pour le moment lui reste introuvable, on risque une situation comme chez nos voisins à l'italienne et au coup par coup, mais qui vivra verra ?

Gérard DIACONESCO    

 

 

Législatives 2022 : la première (vraie)
défaite d’Emmanuel Macron

 

Comme pressenti lors de la campagne législative, la macronie n’est pas parvenue à maintenir sa majorité absolue à l'Assemblée nationale, une première débâcle pour un parti, désormais dos au mur.
Emmanuel Macron dans l'isoloir
Emmanuel Macron dans l'isoloir, © Michel Spingler / POOL / AFP

« Dans la majorité relative, il y a le mot majorité », tente de se rassurer un militant Ensemble sur une boucle WhatsApp d’un candidat macroniste. Dès la fin d’après-midi, ce dimanche 19 juin, les éléments de langage pour survivre à cette difficile soirée électorale sont déjà en cours d’élaboration. Et pour cause, les tendance confirment rapidement les projections de ces dernières semaines : Emmanuel Macron n’aura pas de majorité absolue à l’Assemblée nationale. La NUPES, mouvement de Jean-Luc Mélenchon, devrait récupérer autour de 149 sièges, quand la majorité présidentielle ne dépasserait pas 224. « C’est ingouvernable… », continue-t-on de commenter dans les conversations privées.

Ni Macron / Ni Mélenchon : ces français qui refusent le duel des « déconstructeurs »

Déjà, dans la matinée, une première nouvelle venue d’outre-mer lance mal la journée. Justine Bénin, secrétaire d’Etat chargée de la Mer, finit battue par Christophe Battu (DVG) dans la 2e circonscription de Guadeloupe. La candidate est, selon les règles établies par l’Élysée, contrainte de quitter son poste au gouvernement. « Des places vont se libérer… », peut-on lire sur les boucles WhatsApp.

Une première contre-performance qui ne sera que l’entame d’une hécatombe. Bon nombre de cadres historiques de la macronie ou de ministres en poste n’ont pas remporté la mise dans leur circonscription. Pour ce qui est des vétérans de la majorité présidentielle, Christophe Castaner, ancien ministre de l’Intérieur, ne reconduira pas un second mandat, battu par Léo Walter, candidat NUPES dans la 2e circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Pareille débâcle pour Richard Ferrand dans la 6e circonscription du Finistère. L’ancien président de l’Assemblée nationale a échoué face à Mélanie Thomin (NUPES). Un sacré revers pour celui qui a orchestré les investitures après l’élection présidentielle.

Autre contre-performance pour des membres du gouvernement : Amélie de Montchalin, ministre de la Transition énergétique, a échoué face à Jérôme Guedj. Son confrère, Clément Beaune, lui aussi menacé par ce second tour a finalement remporté le scrutin face à la candidate NUPES Caroline Mécary. Une maigre consolation pour un gouvernement plus que jamais en danger.

Retour sur Terre

Front républicain aux législatives : la macronie ne sait plus quoi penser

C’est l’histoire d’un parti qui n’avait jamais connu de déconvenues et qui vient d’expérimenter son premier revers. Sur le papier, ce n’est pas une défaite électorale. La majorité présidentielle conserve le plus grand nombre de sièges à l’Assemblée nationale. Seulement, à côté, les défaites aux élections régionales, européennes ou municipales sont bien insignifiantes. Surtout lorsqu’on reste à la tête des institutions. Cette contre-performance législative dépasse n’importe quel canton perdu.

Longtemps considéré comme inébranlable, le parti présidentiel vient de connaître sa première déroute. Depuis six ans, l’opposition, aussi bien médiatique que politique, a pu s’indigner autant qu’elle a pu contre Emmanuel Macron et son mouvement, les polémiques ont glissé sur eux comme l’eau sur les plumes d’un canard. Pour n’en citer qu’une, l’affaire McKinsey n’avait finalement eu aucune incidence sur le scrutin présidentiel. Désarmant pour ceux qui tentent de déstabiliser un mouvement inflexible.

Mais la réussite insolante s’arrête ce soir. Au soir du second tour de la présidentielle, au Champ-de-Mars à Paris, le 24 avril dernier, Emmanuel Macron avait triomphé devant une foule muette, presque lassée par cette victoire sans saveur annoncée depuis longtemps. Un mois plus tard, au QG du parti dans le 5e arrondissement, aucun militant ne s’était déplacé pour vivre la soirée électorale du premier tour des législatives. La Première ministre Élisabeth Borne se rendait, quant à elle, rue du Rocher pour y prononcer une allocution bien plate. Personne, si ce n’est Stanislas Guérini, n’était venu pour la soutenir. La candidate s’exprimait alors devant des journalistes. Ce dimanche 19 juin marque le retour de bâton.

 

Antoine YOU

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