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14 décembre 2022

GUERRE UKRAINE/RUSSIE : CE CONFLIT RISQUE D'EVOLUER VERS UNE TROISIEME GUERRE MONDIALE C'EST LA VOLONTE DES FAUCONS AMERICAINS

Les États-Unis ont déployé des armes
dangereuses pour la Russie en Ukraine
de Valentin Vasilescu

 

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par Valentin Vasilescu.

« Le Times affirme que le Pentagone « a donné le feu vert » à l’Ukraine pour frapper des cibles situées au cœur du territoire russe. Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a déclaré que les combats en Ukraine pourraient devenir incontrôlables et se transformer en une guerre entre la Russie et l’OTAN. Cette nouvelle montre que les États-Unis ne comptent pas sur des pourparlers de paix en Ukraine, mais souhaitent une escalade du conflit.

Parmi les systèmes de missiles reçus de l’Ouest par l’armée ukrainienne, seul le HIMARS peut accomplir avec une précision maximale la mission d’attaquer des cibles stratégiques au cœur du territoire russe. Jusqu’à présent, les États-Unis n’ont livré que les missiles M30A1/2 et M31A1, qui ont une portée maximale de 92 km. Les HIMARS lancent également des missiles guidés par GPS M57 (ATACMS 2000) d’une portée de 300-499 km. Il est possible que les États-Unis envoient également des missiles M57 à l’Ukraine si l’armée ukrainienne perd les batailles de Donbas, Herson et Kharkov.

Le HIMARS a détrôné les boucliers anti-missiles balistiques terrestres américains en Pologne et en Roumanie, qui étaient considérés comme les plus dangereux pour la Russie. Le système de lancement Mk-41 du bouclier tire non seulement le missile antibalistique RIM-161/Standard Missile3.1b, mais aussi le missile de croisière Tomahawk, qui peut être équipé de la tête nucléaire miniature W80 et a une portée de 1 300-2 500 km.

Les systèmes HIMARS sont mobiles et combattent déjà en Ukraine, à une distance plus proche de la Russie, et sont donc plus dangereux que les boucliers anti-missiles balistiques américains fixes. Le missile M57 a une vitesse de croisière de 3 600 km/h et une altitude de vol de 50 km, une altitude à laquelle seuls les missiles 48N6DM lancés par les systèmes S-400 et S-500 peuvent l’intercepter.

Vue-dartiste-du-programme-Hypersonc-Conventional-Strike-Weapon-de-Lockheed

1-armes russes

Le missile de croisière Tomahawk vole à basse altitude à une vitesse subsonique, avec une portée de 1 300 à 2 500 km.

L’ogive conventionnelle du M57 pèse 230 kg. Si nécessaire, la même ogive nucléaire miniaturisée W80 du missile de croisière Tomahawk de 5-150 kT, pesant 130 kg, peut être adaptée pour être utilisée sur le missile HIMARS M57.

Valentin Vasilescu

traduction Avic – Réseau International

Voir aussi : https://politros.com/23793034-ruminskii_ekspert_vasilesku_ssha_razvernuli_na_ukraine_opasnoe_dlya_rossii_oruzhie

 

 

Les « points chauds » de la planète :
où pourrait éclater la prochaine guerre ?

 

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par Andrea Muratore.

Ces dernières années, la guerre du Haut-Karabakh d’abord, puis le violent conflit en Ukraine ont enflammé des scénarios jugés critiques pour l’ordre international par les analystes et les décideurs. Les guerres préventives déclenchées par l’Azerbaïdjan et la Russie contre, respectivement, l’Arménie et l’Ukraine ont montré le retour du recours à la force comme moyen de résoudre les conflits entre États avec une véhémence jamais vue depuis la fin de la guerre froide.

La fin du bipolarisme et l’évanouissement rapide de l’utopie unipolaire du monde dirigé par les États-Unis ont conduit l’ordre mondial à se transformer en un grand désordre international, anarchique et sans règles précises. Cela a alimenté les poussées de tension dans le contexte d’une rupture de plus en plus progressive des freins et contrepoids qui délimitaient l’équilibre des pouvoirs. Le déclin du bipolarisme et les scénarios de guerre hybride et économique qui ont émergé dans divers contextes ont fait le reste, mettant essentiellement en contact les puissances dans diverses régions du monde. Conflits gelés ou de faible intensité sur le point de se réveiller, régions du monde âprement disputées entre puissances, points de contact entre anciens et nouveaux empires revenus s’affronter, zones à revendications politiques multiples : les zones de tension où la prochaine guerre pourrait éclater sont nombreuses.

Carte par Alberto Bellotto: les zones de tension dans le monde. Le théâtre finlandais et baltique rapproche la possibilité d’un conflit en Europe centrale et occidentale

 

Syrie, Libye, Yémen : trois « bombes » non désamorcées

Le Grand Moyen-Orient et l’Afrique du Nord sont les premières zones à être soigneusement évaluées. Celle de Syrie, dont il a été question récemment dans ces colonnes, est la plus violente des guerres gelées sans issue définitive, même si formellement personne ne met plus en péril le maintien au pouvoir du régime alaouite de Bachar el-Assad. Le pays peine à retrouver son unité, et la reprise des opérations turques contre les Kurdes du Rojava nous a récemment rappelé à quel point ce pays tourmenté du Moyen-Orient présente définitivement des problèmes de stabilité.

Outre la Syrie, le Yémen et la Libye sont aussi des pays déchirés par leurs propres guerres civiles dont la priorité est aujourd’hui de sortir du bourbier qui les voit comme des zones de conflits et de guerres par procuration entre des mosaïques hétéroclites de puissances. Bien que n’étant pas à l’ordre du jour des conflits directs entre États, ces trois nations correspondent à autant de « trous noirs » géopolitiques et stratégiques, sources de tensions pour l’ordre international, à l’instar d’une autre zone souvent sous-estimée, le Sahel.

Carte par Alberto Bellotto. Erratum: à la place du mot « Gabon », il faut évidemment écrire « Sénégal ».

Xi JINPING et les USA

Etats-Unis et Chine, le front du Pacifique

Bien entendu, les « trous noirs » peuvent être problématiques pour les litiges liés à d’éventuels effondrements d’États ou à l’infiltration de terroristes dans des pays à l’institutionnalisation réduite. Mais le vrai problème, aujourd’hui, reste les points de contact possibles entre les grandes puissances. Des espaces où le risque de confrontation entre blocs de pouvoir est direct.

La première pensée qui vient à l’esprit est évidemment la mer de Chine méridionale et le bras de fer entre la Chine et les États-Unis. Ces derniers mois, les exercices navals de Pékin dans le détroit de Taïwan et la visite de la présidente de la Chambre des représentants de Washington, Nancy Pelosi, sur l’île considérée comme une « province rebelle » par Pékin ont marqué les tensions et la rivalité politique entre les deux géants.

Depuis le début de l’année 2022, la Chine a complètement militarisé avec ses propres forces trois des nombreuses îles qu’elle a construites dans la mer de Chine méridionale contestée, les armant de systèmes de missiles de différents types, en premier lieu l’anti-navire Donfeng-21. Le Guardian rappelle que lors de l’effort décisif de la Chine en mars pour « armer » ses territoires artificiels, « le commandant américain pour l’Indo-Pacifique, l’amiral John C. Aquilino, a déclaré que les actions hostiles contrastaient fortement avec les assurances antérieures du président chinois Xi Jinping selon lesquelles Pékin ne transformerait pas les îles artificielles dans les eaux contestées en bases militaires ». 

Dans les îles Spratley, disputées avec plusieurs autres nations de la région, en premier lieu les Philippines et le Vietnam, la Chine utilise des bateaux de pêche comme élément de projection. En moyenne, ils jettent l’ancre dans l’archipel contesté de l’Indo-Pacifique pendant au moins neuf mois de l’année.

Washington répond par un système complexe de présence navale. Le commandement du Pacifique, qui gère également les opérations dans l’océan Indien, dispose de deux flottes, la troisième et la septième, avec les porte-avions Nimitz, Carl Vinson, Ronald Reagan et Theodore Roosevelt déployés à San Diego et l’Abraham Lincoln à Yokosuka, au Japon. En plus de Taïwan, armée jusqu’aux dents pour se défendre, Washington compte évidemment sur le Japon, le Vietnam, qu’ils ont redécouvert, et la base aérienne et navale de Guam pour contenir la Chine.

Carte par Alberto Bellotto
Cachemire et Kouriles, terres contestées

Toujours en Asie, il existe des contextes dans lesquels les différends territoriaux jouent le rôle principal et peuvent élever la barre de la confrontation entre puissances. L’agression de la Russie contre l’Ukraine et la mort tragique de Shinzo Abe, par exemple, ont rallumé les projecteurs sur la revendication du Japon concernant les îles Kouriles « arrachées » à Tokyo par l’Union soviétique après la brève guerre de Moscou contre l’Empire japonais en août 1945.

L’assassinat d’Abe a privé le Japon du seul homme d’État qui avait tenté une stratégie diplomatique pour s’approcher progressivement d’un règlement de la question avec la Russie. Le regain de tensions de ces derniers mois ajoute une zone de tension en Extrême-Orient.

La situation au Cachemire, disputé entre l’Inde et le Pakistan, dont New Delhi contrôle une partie importante, est encore plus problématique. L’Inde et le Pakistan ont tenté à plusieurs reprises d’entamer des dialogues pour résoudre le statut contesté de la région, qui fait l’objet de discussions depuis 1947, et se sont affrontés à quatre reprises dans le passé (1948, 1965, 1971 et 1998). Le véritable épicentre d’un conflit potentiellement dévastateur à l’échelle mondiale se trouve ici, où la tension est toujours à son comble entre deux puissances nucléaires.

 

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La Baltique : la nouvelle « mer chaude »

L’Europe n’est pas exempte de la présence de tels « points chauds », et après le tournant du 24 février 2022, jour de l’invasion de l’Ukraine, le nouveau « lac » atlantique, la mer Baltique, est devenu le point de confrontation le plus critique entre le camp euro-atlantique et la Fédération de Russie.

La Baltique est la région où se trouve la ligne d’expansion de l’OTAN, destinée à s’étendre à la Suède et à la Finlande dans les années à venir. Elle est affectée par la présence ostensible de la Russie à Kaliningrad et dans la région de Saint-Pétersbourg, qui est lourdement dotée en personnel. Elle dispose de la plus grande flotte russe de la région et des forces armées des pays européens les plus hostiles à Moscou : l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie et surtout la Pologne. Elle est centrale pour les infrastructures énergétiques: le cas du Nord Stream endommagé, dans cette perspective, l’enseigne.

Et justement, la Baltique pourrait être l’épicentre des tensions dans les années à venir. Un pivot européen d’un grand désordre mondial dans lequel les petites et moyennes turbulences se doublent de grands défis. Et qui pourrait semer les graines de nouveaux conflits dans les années à venir.

source: Insideover

via Euro Synrergies

 

 

Guerre orwellienne et Grand Reset

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Guerre Orwellienne et Grand Reset

par Nicolas Bonnal

Certains se demandent ce que font les Russes, d’autres se demandent s’ils perdent. Les plus enflammés crient au génie échiquéen et judoka et traitent d’agents de l’Otan ceux qui ne sont pas d’accord. Parfois il y en a qui réfléchissent.

Le général Delawarde a écrit un texte intéressant où il pose les vraies questions.

"Dès le début de l’opération en Ukraine, j’ai commencé à me poser de nombreuses questions sur ses buts, ses objectifs et son résultat final. Les actions de notre armée et de nos autorités ont clairement indiqué que la Russie ne s’efforçait pas d’achever rapidement l’opération".

Voyez comme c’est étrange :

– Retrait volontaire des troupes près de Kiev ;

– Refus de la prise d’initiative ;

– Arrêt des opérations offensives et passage en défensif ;

– Négociations délibérément dénuées de sens ;

– Étranges échanges de prisonniers ;

– Frappes quasi-exclusivement contre des cibles militaires ;

– Refus catégorique d’endommager les infrastructures stratégiques “civiles”;

– Référendums organisés à la hâte ;

– Refus d’attaquer les QG et centres de décision ennemis. »

Rasoir d’Ockham aidant, la réponse vient vite :

« Évidemment, l’option la plus simple est de considérer que nos autorités (russes) sont des imbéciles. Bien sûr, qu’elles sont capables de mener une guerre normale. Pourquoi ne le font-elles pas ? »

Mais le général fait une juste et audacieuse observation :

« De longues réflexions m’ont amené à la conclusion suivante :

Si l’on considère que l’opération n’est qu’une des étapes de la lutte contre l’Occident, il s’avère que la Russie n’a vraiment pas besoin d’une victoire rapide et décisive en Ukraine. L’armée est inutile trop en avant. Une défaite rapide et complète de l’Ukraine ne changera rien pour nous en termes géopolitiques. Nous aurons de nouveaux territoires et de nouvelles populations, mais l’alignement géopolitique mondial restera le même. »

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Russie magnifique

On fabriquerait donc à Moscou donc une guerre qui dure :

« L’objectif semble être complètement différent : forcer l’Occident à jeter autant de ressources financières et militaires que possible dans le brasier. Dans la partie d’échecs, une pièce est sacrifiée afin d’attirer un adversaire dans un piège dont il ne pourra plus sortir. Et si nous gardons cet objectif à l’esprit, il devient clair pourquoi les États-Unis ont fait sauter nos gazoducs : sans eux, l’importance des gazoducs ukrainiens augmente considérablement. Il s’agit d’une tentative d’engager davantage les européens dans le conflit. »

La cible de cette guerre est donc l’Occident qui va passer un hiver très dur, y compris en Amérique. On oublie dans la résistance que pour l’empire aucune population n’importe, pas plus l’américaine que l’européenne : une lectrice de retour d’Atlanta me raconte qu’une omelette vaut là-bas quinze euros, idem une bouteille de vin, idem un  paquet de cigarettes. Un petit repas dans un boui-boui vaut 80 euros. En Californie le gallon vaut huit dollars: l’essence est à plus de deux euros le litre dans un état grand comme la France, où tout se fait en bagnole. Biden n’a rien à faire de sa population qui reste de toute manière pour lui et ses marionnettistes de Wall Street trop blanche et trop rebelle.

Mais restons-en à cette idée d’une guerre qui dure et qui affaiblit tout le monde : les Russes ont du gaz mais pas de voitures. Les ventes de voitures ont chuté en moyenne depuis avril de 60 à 80%. L’effondrement du niveau de vie sera qualitatif, si la faible baisse quantitative du PNB le masque.

Pour moi qui suis toujours dans les livres et les films, cette guerre entre Eurasie et Océanie qui dure et qui nous ruine nous le peuple offre de fâcheux relents orwelliens. Car 1984 reste notre Apocalypse sinon notre livre d’Enoch.

On cite le mage sur cette vraie-fausse guerre qui dure (1984, p. 244, je donne le lien en français):

« La guerre donc, si nous la jugeons sur le modèle des guerres antérieures, est une simple imposture. Elle ressemble aux batailles entre certains ruminants dont les cornes sont plantées à un angle tel qu’ils sont incapables de se blesser l’un l’autre ».

La guerre a changé de cible : on tue son camp, pas l’autre. Orwell :

« Mais, bien qu’irréelle, elle n’est pas sans signification. Elle dévore le surplus des produits de consommation et elle aide à préserver l’atmosphère mentale spéciale dont a besoin une société hiérarchisée. Ainsi qu’on le verra, la guerre est une affaire purement intérieure. Anciennement, les groupes dirigeants de tous les pays, bien qu’il leur fût possible de reconnaître leur intérêt commun et, par conséquent, de limiter les dégâts de la guerre, luttaient réellement les uns contre les autres, et celui qui était victorieux pillait toujours le vaincu. De nos jours, ils ne luttent pas du tout les uns contre les autres. La guerre est engagée par chaque groupe dirigeant contre ses propres sujets et l’objet de la guerre n’est pas de faire ou d’empêcher des conquêtes de territoires, mais de maintenir intacte la structure de la société ».

C’est la vieille andouille De Closets qui se félicitait du rôle retrouvé de l’Etat avec la crise du Covid. Ce rôle se renforce pour Bruxelles et pour Paris avec la guerre contre la Russie qui permet d’accélérer le Reset et l’autoritarisme. Les deux premières guerres mondiales ont établi le mondialisme, celle-ci va numériser le troupeau et liquider « la vieille race blanche » dont j’ai parlé en 2009 (voir lien) pour établir le Reset voulu par les gnostiques de Davos, lieu de la Montage magique de Thomas Mann. Relisez ce livre étincelant et programmatique et incompris, où tous les personnages sont des malades et des moribonds entourés de médecins inefficaces.

Sur ce sujet on découvrira mon émission sur la Guerre et le Grand Reset. Je me suis désintéressé des opérations dès le début (et comme j’ai eu raison ! Et comme j’ai eu raison !) en soulignant que la guerre amenait le Reset alors que le vaccin ou le virus demeuraient trop dénués de victimes (cf. Léon Bloy à propos de l’incendie du Bazar de la Charité : « le petit nombre des victimes tempérait ma joie »).

https://www.youtube.com/watch?v=mkGsGUOdPJM

Orwell poursuit sur ce mot :

« Le mot « guerre », lui-même, est devenu erroné. Il serait probablement plus exact de dire qu’en devenant continue, la guerre a cessé d’exister. La pression particulière qu’elle a exercée sur les êtres humains entre l’âge néolithique et le début du vingtième siècle a disparu et a été remplacée par quelque chose de tout à fait différent. L’effet aurait été exactement le même si les trois super-États, au lieu de se battre l’un contre l’autre, s’entendaient pour vivre dans une paix perpétuelle, chacun inviolé à l’intérieur de ses frontières. Dans ce cas, en effet, chacun serait encore un univers clos, libéré à jamais de l’influence assoupissante du danger extérieur. Une paix qui serait vraiment permanente serait exactement comme une guerre permanente. Cela, bien que la majorité des membres du Parti ne le comprenne que dans un sens superficiel, est la signification profonde du slogan du Parti : La guerre, c’est la Paix. »

Cette guerre sera perpétuelle. Elle concerne en effet des super-Etats – qu’on ne nommera pas – tous  fascinés par le contrôle numérique du troupeau (les données sur l’Inde sont également terrifiantes) et qui ne sont pas pressés d’en terminer. C’est une guerre que nos dirigeants livrent contre nous, avec la collaboration de la population : le football, la bière et le jeu (1984, p. 87) contrôlent le troupeau. Nietzsche le disait : il faut maltraiter le petit peuple. Sinon l’appétit lui vient en mangeant.

Sources :

https://inventin.lautre.net/livres/Orwell-1984.pdf

https://www.mollat.com/livres/579219/nicolas-bonnal-mal-a...

https://www.zerohedge.com/geopolitical/these-are-worlds-m...

http://www.thule-italia.net/sitofrancese/Libri/Nietzsche....

https://www.ebooksgratuits.com/pdf/mann_la_montagne_magiq...

https://lilianeheldkhawam.com/2022/08/18/la-russie-a-lheu...

 

23:20 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : nicolas bonalgrand resetukrainegeorge orwell |  |   del.icio.us |  | Digg! Digg |  Facebook

Commentaires

C'est une évidence, les conséquences économiques de ce conflit européen sont correlées au donneur d'ordres américain ; mais aussi à la perfidie du gauleiter allemand. (n'oublions pas que les États-unis ont 40% de leur population d'origine allemande. Imaginons que la France est le même pourcentage et la situation ne serait pas la même) Il en est de même de la nature politique de cette pauvre Europe, incapable de se défendre et vassalisée par un empire maître chanteur démoniaque. C'est bien la nature agressive et corruptrice américaine qui déstabilise l'Europe politique et économique ; mais aussi bien d'autres pays et continents du temps présent comme du passé. Depuis 1945, les États-unis sont devenus infréquentables. Il est urgent de les mettre à l'écart sinon ils nous dissoudrons dans une colonie de servitudes. Le viatique de ce melting-pot déraciné : -C'est provoquer, fomenter, endoctriner, détruire et remplacer. C'est du communisme !!! On a compris que ce ne sont pas les Russes. Les présidences de Sarkozy, Hollande et Macron férus atlantistes, ont été néfastes pour la souveraineté de la France. Elles ont trahi. On constate depuis ces présidences universalistes françaises que nous ne sommes plus maître de notre destin mais supplétif d'un système criminel dévastateur. C'est l'état de guerre permanent. La France légitimée par une minorité offre ses "garçons" à cette permanence négative, à cette injustice, à ces mensonges ... Ça se voit et ça se vit cruellement. Il faudra juger cette complicité collabo méprisante ! - Nous le savons, cette machination politico économique, est née en 1973, par la commission Trilatérale du polonais Zbigniew, Brzezinski, du financier David, Rockefeller, et l'indispensable Henry, Kissinger. Cette trilogie active des réseaux corrupteurs sur les têtes de pouvoir des pays d'intérêts. Universalisme et progressisme sont les outils moraux de ce dressage temporaire ... Penser le contraire ... C'est être Faciste ! D'ailleurs, tout ce qui n'est pas conforme à cette idéologie introvertie, est désigné de faciste. Le communisme stalinien est de retour !
Voilà mon avis personnel.

Écrit par : Robert41 | vendredi, 02 décembre 2022

 

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