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25 janvier 2023

GUERRE UKRAINE/RUSSIE ... L’armée russe est également passée à l’offensive sur le front sud du Donbass.

L’armée russe est également passée
à l’offensive sur le front sud du Donbass.

 

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par Valentin Vasilescu

Le succès obtenu par l’armée russe sur le front nord du Donbass à Bakhmut a forcé l’armée ukrainienne à amener des forces d’autres fronts dans cette région. Profitant de la situation difficile des Ukrainiens, les Russes sont passés à des actions offensives plus petites, sur 5 directions tactiques depuis le front au sud du Donbass, afin de consolider leurs positions. Toutes ces directions visent à perturber les voies de communication que détient l’armée ukrainienne ( Carte 1 ).

Carte 1. Donbas sud

Avdiivka est une ville située dans la banlieue nord-ouest de Donetsk. Les Russes ont tenté en vain de la conquérir par des attaques frontales. Hier, les Russes ont réussi à attaquer au sud d’Avdiivka et à occuper le village de Pervomaske. De là, ils se dirigeront vers le nord en prenant d’assaut les fortifications de Semenivka, pour encercler la ville d’Avdiivka (carte 2).

Carte 2. sud Adiivka

Une autre ville bien fortifiée des Ukrainiens est Krasnohorivka, située au sud d’Avdiivka. Le développement de l’offensive russe à Avdiivka permettra d’envelopper le flanc de la défense ukrainienne à Krasnohorivka par le nord. Dans le même temps, l’armée russe a la voie libre vers l’ouest, vers la ville de Kurakhiva (carte 3).

Carte 3. Kurakhivka

Mariinka, au sud de Krasnohorivka, est sur le point d’être entièrement occupée par les Russes. La ville est importante en raison de l’autoroute H15 par laquelle les défenseurs ukrainiens sont approvisionnés. L’assaut ultérieur des fortifications au nord de Mariinka conduira à l’encerclement de Krasnohorivka (carte 4).

Carte 4. Mariinka1

Au sud de Mariinka, les Russes ont atteint la ligne du village de Pobeda, où les Ukrainiens tiennent un point d’appui fortifié. Un éventuel assaut sur ce point d’appui, coordonné avec la rupture des défenses ukrainiennes à Novomykhailovka sous l’action des troupes russes, couperait une autre route d’approvisionnement, la route Novomykhailivka -Katerinivka (carte 5).

Carte 5. pobeda-Nova Mihailovka

L’action offensive la plus intéressante des Russes est menée à Ugledar. Les troupes russes ont avancé dans un quartier résidentiel du sud de la ville, où elles ont rencontré une forte résistance de l’armée ukrainienne. Par conséquent, les Russes ont fixé les principales forces ukrainiennes au sud et ont ouvert 2 autres directions d’attaque, à l’ouest et à l’est de la ville, pour l’encercler (carte 5). Une route périphérique vers Katerinivka, Novomikhaïlovski et Mariinka part d’Ugledar, à l’aide de laquelle le commandement ukrainien transfère des troupes vers la direction critique.

Carte 6. Ugledar

Valentin Vasilescu

traduction Avic – Réseau International

 

 

Il est beau, il est beau le chaton
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par Patrick Reymond

On peut rire. L’Allemagne va fournir des chars léopard à l’Ukraine. En fait, le léopard, c’est d’un chaton qu’il faut parler…

Un nombre impressionnant : 14.

« Il s’agit de blindés de 62 tonnes, modernisés en 2001 et dotés de canons de 120 millimètres à haute vélocité et long rayon de tir ». Là, j’ai tellement rigolé que j’en ai failli me pisser dessus. « Modernisé il y a 22 ans », autant dire, ça remonte à la préhistoire des chars… Des chars dont la conception remonte à 1979, et chars, qui, comme tous les oxydentaux, n’ont pas de chargeurs automatiques, comme les Russes… Donc, un homme de plus dans l’habitacle.

En plus, du 120, alors, les Ukrainiens, souvent démissionnaires et en fuite on ne sait où (les responsables, pas la chair à canon), devront composer avec ce 120, le 152 soviétique, le 155 OTAN, etc… Donc, on peut imaginer un bordel monstre pour la logistique, l’intendance et la maintenance. Déjà que les effectifs de l’arrière dépassent largement ceux au front, cela va encore empirer… En 1939-1940, l’intendance française s’était particulièrement distinguée en donnant des obus de 105 à des pièces de 75 et de 75 au canon de 105…

 

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Le trublion de l’Élysée, pour ajouter au bazar ambiant, parle d’envoyer, lui, des Amx 30 leclerc. Avec, bien entendu, les mêmes problèmes de biotope logistique et des problèmes d’embouteillages qui empirent… Et vu qu’il faut renvoyer le dit Leclerc au garage au bout d’environ 16 heures de fonctionnement, il passera beaucoup, beaucoup plus de temps en voyage que sur le champ de bataille. Avec de pareils amis, pas besoin d’ennemis…

Pour rappeler l’histoire, fin 1942, les Allemands avaient regroupé tous les chars restant du 22 juin 1941 en créant un 48° corps blindé. Un dit corps blindé qui aurait dû en posséder 600… Bien entendu, la plupart de ces chars étaient – déjà – obsolètes, et n’avaient aucune chance devant les T34. Les souris en mirent hors d’état de nuire la plupart, et le reste se perdit dans la débâcle de l’armée roumaine pendant la bataille de Stalingrad…

Les souris actuelles s’appellent cannibalisation, manque de pièces détachées, conflits coloniaux lointains ne nécessitant jamais de gros moyens, surfacturations…

Un autre travers était de considéré des reliquats, des restes, des morceaux de panzer division comme des divisions à part entière. Ce n’est pas le cas. Les 600 qui n’étaient que 100… 14 chars, et l’autorisation donnée aux clients d’en fournir, ça ne dépassera pas les 200, et vu les délais d’arrivages et la cadence de destruction, il n’y en aura pas 10 en simultané sur le champ de bataille. Il faut en moyenne 6 mois aux armées oxydentales pour se concentrer. Un vrai train de fonctionnaires… Dans les armées en attrition, on garde les anciennes appellations, qui créent des illusions de puissances. Les divisions n’ont plus 20 000 hommes, mais 17 000, ensuite 10 000 puis, 3000… Avec une chute de puissance équivalente, mais qui dans les têtes des napoléons, des Hitlers et des Bidens, leur font croire que tout est possible.

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En Syrie, de plus, les léopards turcs engagés se sont surtout distingués pour s’être fait massacrer…

Des Abrams viendront aussi, au compte-goutte. 30 Apparemment. Comme, à l’américaine, ces blindés sont des gloutons, il y a aussi de très fortes chances qu’on ajoute encore aux problèmes…

Là aussi, on ne comprend pas que les Russes jouent à domicile, ou pas loin. Et que les oxydentaux, eux, traversent tout le pays et tout le continent…

Les cartes de readovka indique une extension des bombardements, tout le long de la frontière russe au nord de Karkhov, en plus des concentrations qui s’opèrent en Biélorussie. Sans, bien entendu, que les bombardements du Dniepr à Karkhov perdent en intensité. Si la poussée russe qui s’opéraient à partir du sud n’est plus aussi forte, et que certains pensent l’offensive qui devait avoir lieu, finie, il me semble que ce raisonnement est erroné. Cela me semble correspondre aux offensives soviétiques de 1943 qui martelaient à différents endroits le front, progressaient là où c’était possible, et passaient à un autre secteur, dès que l’élan était passé. Cela avait pour avantage, outre de faire tourner en bourrique l’ennemi, de l’épuiser et notamment, de gaspiller l’essence à courir partout, aggravant les problèmes de logistique.

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Là, la puissance de l’artillerie russe, déjà proverbiale devient plus accentuée encore, et garde de nombreuses pièces en réserves pour servir de contre-batterie.

Le principal problème oxydental, c’est la désindustrialisation, et notamment, la militaire. Il y a belle lurette que les complexes militaro-industriels en oxydent-oxydés fonctionnent à 100% de leurs capacités, une capacité réduite à l’état de string brésilien. Et le problème de dépendance aux intrants extérieurs se pose à tous les secteurs, pas seulement militaires… L’armée russe détruit patiemment les arsenaux oxydentaux-oxydés, sans que les remplacements puissent avoir lieu, d’abord par manque de capacités, ensuite par manque de moyens financiers pour acheter des armes survendues, pas seulement financièrement…

Pour la russophobie, elle est simple à comprendre. Aux différentes époques de l’histoire, combattants et généraux russes n’ont pas été tellement plus nombreux, ils ont été meilleurs.

source : La Chute

 

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Un ex-chef de l’OTAN : la guerre de l’OTAN en Ukraine est perdue… L’Allemagne risque aussi d’être perdue

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Nouvel avertissement de la part d’un deuxième général allemand sur les conséquences de la guerre en Ukraine sur son pays. Le général de division à la retraite Harald Kujat a mis en garde que la guerre sur le champ de bataille ukrainien par les armées américaines et de l’OTAN est perdue, et l’Allemagne sera ensuite perdue si l’avancée des forces russes vers Kiev et Lvov n’est pas stoppée rapidement par un armistice.

Le général de division Kujat est le fils d’un soldat de la Wehrmacht qui a été tué au combat dans l’Armée rouge. Il est par la suite devenu chef de l’armée allemande puis des états-majors de l’OTAN.

La faute à la presse, à Merkel et à Johnson

Dans son bilan militaire, il accuse la presse allemande, l’ex-chancelière Angela Merkel, le Premier ministre britannique Boris Johnson et d’autres alliés de l’OTAN qu’il ne nomme pas de coup de poignard dans le dos.
Dans ce plan, selon Kujat, les alliés de l’OTAN ont cherché à saboter la puissance de l’Allemagne en Europe. Cela se fait, a-t-il dit, en augmentant le « risque d’une attaque conventionnelle contre l’Allemagne » et en « poursuivant l’objectif d’exposer l’Allemagne à la Russie en particulier ».

Les USA ont créé une menace nucléaire

Sans viser explicitement les États-Unis, Kujat accuse Washington d’avoir créé une menace nucléaire directe contre la Russie dans les batteries de missiles Aegis désormais installées en Pologne et en Roumanie ; pour avoir fait de l’Allemagne une partie directe à la guerre en Ukraine en permettant « aux États-Unis [de] former des soldats ukrainiens en Allemagne » ; et pour avoir détruit les gazoducs Nord Stream vers l’Allemagne.

L’évaluation de Kujat a été publiée en Suisse le 18 janvier ; La publication allemande a suivi le 20 janvier.  Attaquée dans le passé par les grands médias allemands et par des représentants du gouvernement américain, la nouvelle déclaration de Kujat a été ignorée en Allemagne et aux États-Unis.

« Plus la guerre dure, plus le risque d’expansion ou d’escalade est grand», a averti Kujat, ajoutant que l’armée allemande, la sécurité territoriale allemande et la puissance industrielle allemande seront les perdants car « la Russie pourrait dépasser l’escalade occidentale à tout moment avec tout ce qu’elle possède comme armes… »
Kujat voulait dire que cela incluait l’utilisation d’armes nucléaires.

Kujat est l’officier allemand le plus haut gradé à avoir rendu publique une attaque contre la guerre.

D’autres généraux critiques de la guerre

Il succède au vice-amiral Kay-Achim Schönbach, chef de la marine allemande, qui a été contraint de démissionner en janvier 2022, après un discours public dans lequel il a déclaré que « la péninsule de Crimée est partie : elle ne reviendra jamais – c’est un fait » ; et que les préoccupations russes en matière de sécurité doivent être traitées avec « respect ». « Ce que [Poutine] veut vraiment, c’est le respect. Et, mon Dieu, donner du respect à quelqu’un coûte peu, voire pas de coût. … Il est facile de lui accorder le respect qu’il exige vraiment – et qu’il mérite probablement aussi ».

Après l’éviction de Schönbach, aucun officier allemand en service n’a osé risquer la critique publique de la politique de guerre en Allemagne. Au lieu de cela, ils s’expriment par l’intermédiaire d’officiers à la retraite.

Le général de brigade Erich Vad, l’ancien chef du groupe militaire de la chancellerie de Merkel, a lancé une attaque détaillée au début du mois.

Char Leopard: des médias qui font la politique

Se référant à la résistance du chancelier Olaf Scholz à l’envoi de chars Leopard allemands en Ukraine, Kujat déclare que « le débat sur la fourniture de certains systèmes d’armes montre clairement l’intention de nombreux médias de faire eux-mêmes la politique. Il se peut que mon malaise face à cette évolution soit la conséquence de mes nombreuses années de service au sein de l’OTAN, notamment en tant que président du Conseil OTAN-Russie et de la Commission des chefs d’état-major OTAN-Ukraine. Je trouve particulièrement ennuyeux que les intérêts de sécurité allemands et les dangers pour notre pays posés par une expansion et une escalade de la guerre reçoivent si peu d’attention. Cela montre un manque de responsabilité ou, pour utiliser un terme démodé, une attitude hautement antipatriotique ».

Une guerre qui aurait pu être empêchée

Kujat affirme « avoir toujours cru que cette guerre devait être empêchée et qu’elle aurait pu l’être ». Que cela n’a pas été le résultat et c’est ce qu’il reproche à Merkel avec sa politique de tromper la Russie, qualifiant cela « d’abus de confiance flagrant » et « de violation du droit international, c’est clair ».

Le tournant dans l’équilibre des forces de sécurité russo-allemand a commencé à Washington en 2002, dit Kujat, lorsque le président américain George W. Bush a annulé le traité sur les missiles anti-balistiques (ABM), puis en 2008 lorsque Bush « a tenté de faire passer une invitation de l’Ukraine et de la Géorgie à rejoindre l’OTAN ». La décision de l’administration Obama en 2009 de déployer « le système de défense antimissile balistique de l’OTAN en Pologne et en Roumanie» était une nouvelle escalade « parce que la Russie est convaincue que les États-Unis pourraient également éliminer les systèmes stratégiques intercontinentaux russes de ces installations de lancement et ainsi mettre en danger l’équilibre stratégique nucléaire. »

La survie de l’Allemagne est menacée par ce déséquilibre nucléaire, selon Kujat, car les armes nucléaires russes sont désormais directement menacées par les États-Unis, et par l’escalade des armes conventionnelles américaines et de l’OTAN sur le champ de bataille ukrainien.
« Il faut compter avec ça. Plus la guerre dure, plus le risque d’expansion ou d’escalade est grand. [Question : Nous avons déjà eu cela lors de la crise des missiles de Cuba ?] C’était une situation comparable ».

(…)

Johnson a torpillé les négociations de mars 2022

Kujat accuse les Britanniques, et non les Américains, d’avoir perturbé les conditions de cessez-le-feu qu’il pense que le Kremlin était prêt à signer à la suite des négociations d’Istanbul fin mars 2022. Suivez ce qui s’est passé à Moscou et à Istanbul à l’époque dans ce rapport.

Selon la version de Kujat, « la Russie avait apparemment accepté de retirer ses forces au niveau du 23 février, c’est-à-dire avant le début de l’attaque contre l’Ukraine. Aujourd’hui, le retrait complet est réclamé à plusieurs reprises comme condition préalable aux négociations… L’Ukraine s’était engagée à renoncer à l’adhésion à l’OTAN et à ne pas permettre le stationnement de troupes étrangères ou d’installations militaires. En contrepartie, elle devrait recevoir des garanties de sécurité des États de son choix. L’avenir des territoires occupés devrait se régler diplomatiquement d’ici 15 ans, avec le renoncement explicite à la force militaire… »

Selon des informations dignes de foi, le Premier ministre britannique de l’époque, Boris Johnson, est intervenu à Kiev le 9 avril et a empêché une signature. Son raisonnement était que l’Occident n’était pas prêt pour la fin de la guerre.

Kujat n’a pas révélé les sources « apparentes » et « fiables » de ses affirmations. Il semble également signaler que les responsables américains n’étaient pas derrière l’action de Johnson, et ce que Kujat appelle également le président Vladimir Zelensky « modifiant à plusieurs reprises les objectifs stratégiques de la guerre ukrainienne ».

Kujat a déformé et déformé le rôle de Hill dans l’escalade des objectifs de guerre américains contre la Russie pendant plusieurs années ; pour en avoir la preuve, cliquez pour lire l’archive. Kujat a fait de même en affirmant que Johnson, et non des responsables américains, contrôlait Zelensky.

La défaite tactique des armes occidentales inévitable

Comme Vad au début du mois, Kujat appelle le Pentagone, les officiers militaires américains et les fabricants d’armes américains à arrêter l’escalade de la guerre sur le champ de bataille ukrainien alors que les objectifs stratégiques russes se durcissent et que la défaite tactique des armes américaines, allemandes et de l’OTAN devient inévitable.

« Selon les chefs d’état-major interarmées américains, le général Mark Milley », déclare Kujat, « l’Ukraine a réalisé ce qu’elle pouvait réaliser militairement. Plus n’est pas possible. C’est pourquoi des efforts diplomatiques doivent être faits maintenant pour parvenir à une paix négociée175 ». Je partage ce point de vue… on peut se demander si les forces armées ukrainiennes disposent encore d’un nombre suffisant de soldats aptes à pouvoir utiliser ces systèmes d’armes compte tenu des pertes importantes de ces derniers mois.

En tout cas, la déclaration [du chef d’état-major ukrainien, le général Valery] Zaluzhny  explique aussi pourquoi les livraisons d’armes occidentales ne permettent pas à l’Ukraine d’atteindre ses objectifs militaires, mais ne font que prolonger la guerre.
De plus, la Russie pourrait surpasser l’escalade occidentale à tout moment avec la sienne.

 

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Pourquoi envoyer les Leopard à l’Ukraine

Dans la discussion allemande, ces connexions ne sont pas comprises ou ignorées. La manière dont certains alliés tentent publiquement d’exhorter le gouvernement fédéral à livrer des chars de combat Leopard 2 joue également un rôle. Cela ne s’est pas produit à l’OTAN jusqu’à présent. Cela montre à quel point la réputation de l’Allemagne au sein de l’alliance a souffert de l’affaiblissement de la Bundeswehr et de l’engagement avec lequel certains alliés poursuivent l’objectif d’exposer l’Allemagne à la Russie notamment.

Kujat laisse entendre que le chancelier Olaf Scholz subit secrètement des pressions de la part des États-Unis pour des raisons que Kujat ne veut pas révéler maintenant – à l’exception de son indice selon lequel les Américains et les Britanniques visent à affaiblir politiquement l’Allemagne en Europe et à supplanter l’industrie allemande de l’armement avec leurs propres entreprises.  « Les efforts actuels des États-Unis pour inciter les Européens à fournir davantage d’armes pourraient avoir quelque chose à voir avec cette situation».
NOTE BB : Olaf Scholz subit secrètement des pressions. Ces pressions sont évidemment monétaires et bancaires, car ce sont les USA qui détiennent la clef de la stabilité de l’édifice bancaire et monétaire européen.

(…)

Avec Bruno Bertez

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