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22 janvier 2024

MONDIALISME A LA UNE : AVEC DAVOS TOUT LE MONDE L'A DANS L'OS !

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Autant vous dire que le président argentin a été fraîchement accueilli par Klaus Schwab, l’Homme des hommes de Davos.

A la fin, les applaudissements ont été peu fournis et tout juste polis.

C’est un signe important.

Un symbole majeur.

Vous connaissez cette citation apocryphe de Voltaire. « Pour savoir qui vous dirige vraiment, il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer. »

Vous avez également la symétrie intellectuelle.

Pour savoir qui a peut-être raison, il suffit de regarder ceux que l’on doit critiquer et faire passer pour des imbéciles !

Ma version est moins belle, mais elle n’en reste pas moins vraie.

Trump comme Poutine sont honnis parce qu’ils attaquent frontalement le mondialisme actuel et le projet de  » nouvel ordre mondial » porté par les hommes de Davos qui se gavent dans tous les sens du terme.

Javier Milei, lui n’attaque pas directement le mondialisme ou les entreprises.

Non.

Il dit aux chefs d’entreprises rassemblés à Davos que leurs entreprises seront toujours les bienvenues en Argentine, qu’il veut qu’ils gagnent de l’argent, bref, il leur déroule un tapis rouge, et rien.

Aucune réaction alors que la foule des chefs d’entreprise aurait du être en délire de joie.

Et rien.

Vous savez pourquoi ?

Parce que Milei dit la vérité sur le socialisme, qui est une vraie calamité. Je ne vous parle pas de la nécessaire protection sociale, de la juste, de la nécessaire et de l’indispensable solidarité. Je vous parle des dérives du socialisme, idéologie qui mène inéluctablement à l’échec parce qu’elle étouffe en réalité la liberté des hommes.

C’est cela qu’a dit Milei en commençant par mettre en garde sans faux-fuyant.

« Je suis ici aujourd’hui pour vous dire que l’occident est en danger. Il est en danger parce que ceux qui sont supposés défendre les valeurs de l’occident sont corrompus par une vision du monde qui conduit inéluctablement au socialisme et donc à la pauvreté ».

Il faut bien comprendre le projet des hommes de Davos.

C’est un projet dystopique chinois.

Une liberté de commercer pour les très grandes multinationales dirigées par la caste des seigneurs dans une nouvelle féodalité et une dictature politique où il n’y a ni droit politique ni droits sociaux mais un contrôle social.

Le projet des hommes de Davos ce n’est pas plus de liberté.

Le projet des hommes de Davos c’est moins de liberté.

Le projet des hommes de Davos, c’est moins de propriété pour vous mais tout pour eux. « Vous ne possèderez plus rien et vous serez heureux ». Vous serez surtout contrôlés, surveillés et sanctionnés si nécessaire.

Le projet des hommes de Davos n’est pas un projet libéral mais un projet dictatorial.

C’est l’histoire du plus grand vol de richesse, c’est l’histoire d’un vol rendu possible par la destruction systématique des Etats et des nations, unique protection de ceux qui n’ont rien ou pas grand chose. L’Union Européenne est partie intégrante de ce projet de destruction de la liberté et des nations.

Il faut comprendre ce qui se joue.

Milei a fait preuve d’un immense courage en allant à Davos leur parler de liberté pour tous.

De propriété pour chacun.

Vous n’entendrez pas parler de son discours.

On vous dira qu’il est fou.

On vous dira que c’est un malade.

Pourtant, il a raison.

La liberté est la clef.

La liberté et le droit de propriété libèrent et assurent la prospérité du plus grand nombre et c’est ce qu’il passe depuis la fin du féodalisme.

Alors Milei n’a pas été applaudi. Il n’a pas été acclamé.

Milei, le libertarien a pour projet l’inverse du projet des hommes de Davos.

Il met la responsabilité individuelle, la liberté et la propriété au cœur de son action politique parce que ces trois valeurs sont à la base du développement de toutes les sociétés qui réussissent, avancent et construisent un avenir meilleur aux générations futures.

Seul Elon Musk a compris et « twitté » le discours de Milei en disant  » bonne explication de ce qui rend les pays plus ou moins prospères ».

Rendre un pays prospère pour le plus grand nombre c’est un projet qui suffit dans ce monde orwellien pour vous faire passer pour un fou furieux ou un abruti.

Vous avez ci-dessous l’intervention de Milei en anglais ou en espagnol.

Comme dit le président argentin :

Vive la liberté bordel ! En espagnol c’est  » viva la libertad carajo ! »

 

 

 

 

 

Pour ceux qui sont inscrits à la lettre Strategies, cela doit vous parler, vous rappeler le contenu du dossier « L’Homme des hommes de Davos » que j’ai écrit en août 2020. Elles ne sont pas fortes mes poules de cristal ?!!

Retrouvez ma vidéo de l’époque :

https://youtu.be/lQ9cJqxYWcE?si=Q7Oq_-mJdJxLIfkk

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

 

 

Ce qui est dit sur l’attractivité de la France est plutôt une bonne chose. Et redonner de la liberté aux entreprises est une excellente idée, sans même parler de la simplification à laquelle je ne crois plus, tant tout se complexifie d’année en année les politiques n’arrivant plus à rien.

Ce qui est plus inquiétant c’est évidemment la couverture du chômage qui va encore être diminuée car il faut bien économiser de l’argent quelque part.

Au même moment les pensions de retraites sont revalorisées de l’inflation (je ne parle pas des petites pensions, je parle aussi des grosses pensions) et les minimas sociaux également.

On va donc punir ceux qui travaillent (encore) pour continuer à arroser ceux qui ne travaillent pas soit parce qu’ils sont retraités (mais au moins ils ont cotisé et travaillé) et ceux surtout qui vivent des minimas sociaux et qui n’ont jamais commencé à travailler.

Vous savez ce que je pense.

Le problème n’est pas de punir ceux qui travaillent déjà en les faisant travailler plus longtemps et en réduisant les droits au chômage, mais bien de mettre au boulot tous ceux qui n’y sont jamais vraiment allés.

Charles SANNAT

 

 

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Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Ursula Von Der Leyen, surnommée par quelques mauvaises langues dont je fais partie « Cruella » Von der la hyène, la chef de meute d’une troupe terrible mangeant et dévorant tous les gentils moutons qui croyaient pouvoir gambader librement dans les prés, en chantant, en dansant, en parlant et en lisant comme bon leur semblaient.

Non.

Pour la présidente de la grosse commission (de Bruxelles), le principal danger auquel nous sommes confrontés ce n’est pas le vilain Poutine (surnommé Palpoutine) ou la guerre en Ukraine.

Non.

Pour la Cruella de Bruxelles, le principal danger n’est pas le changement climatique (je ne vous dis pas qu’il faut avoir peur je vous dis néanmoins que l’on vous présente chaque jour le réchauffement climatique comme la cause de nos terribles souffrances à venir).

Non.

Le principal danger pour Cruella, c’est… la liberté d’expression.

Elle ne le dit pas tout à fait ainsi, mais c’est exactement ce qu’elle explique quand même.

« Notre principal sujet de préoccupation pour les prochaines années n’est pas le conflit ou la climat, c’est la désinformation et la mauvaise information suivie de près par polarisation au sein de notre sociétés, ces risques sont sérieux parce qu’ils limitent notre capacité à nous attaquer les grands défis mondiaux auxquels nous sommes confrontés comme celui des changements dans notre climatiques, géopolitiques, démographiques ou technologiques.  »

Ce que dit la Cruella de la commission est très logique à comprendre.

Elle ne fait aucune erreur.

Si vous voulez imposer des changements majeurs dans notre manière de vivre et liés à un changement majeur dans les politiques climatiques, géopolitiques, démographiques ou technologiques que nous mènerons contre les peuples, il faut, pour que le peuple les accepte, contrôler très précisément ce qui peut-être dit, et donc pensé.

Le problème du concept fourre-tout de « disinformation et misinformation », c’est que l’on peut y mettre tout ce qui ne va pas dans le sens de la caste de Davos, ces 5 000 personnes qui dirigent le monde parce qu’elles en dirigent les 5 000 plus grandes entreprises, les 5 000 plus grandes multinationales.

La caste des hommes de Davos (et des femmes, la parité est totale dans la méchanceté), a besoin de contrôler ce que nous pensons et donc ce que nous pouvons dire.

C’est tout le sens du combat de la grosse commission de Bruxelles contre le réseau Twitter d’Elon Musk.

N’oubliez jamais.

On n’est pas un peu libre de la même que l’on n’est pas un peu enceinte.

On est libre ou on ne l’est pas.

La liberté est le régime général. L’interdiction toujours l’exception.

Pour la liberté d’expression cette citation attribuée à Voltaire (sans doute à tort) reste cruellement d’actualité.

« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »

 

 

Ci-dessous, je vous re-publie le poème de Paul Eluard, « Liberté j’écris ton nom » et plus bas, en chanson !

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable de neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom

Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom

Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom

Sur chaque bouffées d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom

Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes raisons réunies
J’écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attendries
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom

Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté

 

 

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

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A Davos, les maîtres du monde et les grands de ce monde sous la houlette du grand Klaus Schwab se retrouvent dans le luxe le plus total, entre les centaines de jets privés et les villas de luxe, entre les « sports d’hiver » et le chauffage des chalets luxueux des montagnes suisses, le bilan carbone est effroyable, mais eux, ils ont le droit.

C’est vous qui devez faire des efforts.

Pas eux.

C’est exactement cela la société de castes.

Comme jamais, la société de castes est devenue le phénomène social le plus prégnant et c’est exactement ce qui saute aux yeux quand vous voyez Davos.

Quelques nantis, qui ne sont pas des milliardaires, mais à 99 % des grands patrons, des directeurs généraux de grosses boîtes qui ne sont que de simples « salariés » du privé quand bien même ils sont grassement payés, ces types ne sont que de vulgaires salariés interchangeables.

C’est le haut du panier, la caste qui dirige.

Une petite oligarchie qui dirige les multinationales, qui dirigent le monde.

En fonction de votre appartenance de castes, votre vie et vos droits seront de plus en plus, très différents.

Ne vous y trompez pas.

Pour ceux qui veulent en savoir plus sur la société de castes, vous pouvez télécharger le dossier que je viens d’y consacrer en cliquant ici, ou sur l’image de couverture ci-dessous.

 

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

 

Ceux qui nous dirigent ont généralement de bien piètre valeur morale.

L’homme étant bien imparfait, le problème n’est pas que la « chair soit faible », mais que l’on fasse la morale aux autres.

Le gros problème, c’est que nous sommes exactement dans une vision de castes, ou une petite oligarchie de quelques milliers de gus non élus à travers la planète et ne représentant que les intérêts de leurs propres porte-monnaies, s’arroge le droit de penser et de décider comment les autres castes doivent vivre, ou plutôt survivre, tout en sachant que les règles pour les masses se s’appliquent pas eux.

Car, eux, ce sont des nouveaux seigneurs, nos nouveaux saigneurs devrait-on dire.

Je vous invite à lire cet article on ne peut plus sérieux parlant pudiquement du côté obscur de Davos.

Le côté obscur de Davos : « Toutes les escorts sont entièrement réservées »

« En résumé : La 54ème réunion annuelle du Forum Économique Mondial (WEF) à Davos est un événement d’élite auquel participent 2 800 leaders de 180 pays. L’événement est également sous les feux de la rampe pour son caractère extravagant, controversé et la critique de l’hypocrisie qui l’accompagne.

Pourquoi est-ce important ?

Cette réunion, axée sur des questions mondiales telles que le changement climatique et l’intelligence artificielle, est éclipsée par des accusations de décadence morale et de double standard, ce qui mine la crédibilité et la confiance dans de tels forums.

Mais en plus de l’ordre du jour officiel, il y a un « côté sombre », y compris une forte demande pour des escorts et d’autres extravagances, comme le rapporte par The New York Post et le journal suisse 20 minutes.
Les escorts sont des femmes ou des hommes qui offrent leur compagnie pour une période convenue en échange d’une rémunération. En règle générale, il s’agit d’une forme de travail du sexe.
Dans le tabloïd allemand Bild, une escort raconte que la demande de prostituées explose pendant la durée du forum. « Les PDG réservent des escorts dans les suites des hôtels pour eux-mêmes et leurs employés. »
Zoom avant : « Titt4Tat », un service d’escorte dans la région de Davos, confirme l’énorme demande pendant la semaine du WEF avec des réservations totalement pleines.

Les coûts pour de tels services, selon une travailleuse du sexe, sont d’environ 2 000 francs suisses (2 135 €) pour quatre à douze heures.

Il y a une méfiance croissante envers l’élite « vertueuse » qui arrive en jets privés et utilise des voitures gourmandes en carburant pour parler du changement climatique.

Nous sommes dirigés par des porcs parce que nous laissons ces porcs diriger.

Chaque individu est le mieux placé pour savoir ce qui est bon ou pas pour lui, et même si c’est mauvais, c’est sa propre liberté que de prendre une bonne ou une mauvaise décision.

Vive la liberté.

Charles SANNAT

 

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