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20 novembre 2009

DOSSIER SANTE : VACCINATION CONTRE LA GRIPPE A H1N1 : LE PLAN SECRET DE LA MINISTRE DE LA SANTE EN FRANCE ROSELYNE BACHELOT

DOSSIER SANTE SUR LA GRIPPE PORCINE A/H1N1 ( SUITE ... )

LE PLAN SECRET DE  LA MINISTRE ROSELYNE BACHELOT

Révélation sur une stratégie subtile pour sortir du désastre financier de la vaccination antigrippe A H1N1 dite grippe porcine 

( coût pour l' état français 1, 5 Milliards d'Euros )


La communication du Ministère de la santé sur la vaccination antigrippale est l’objet de toutes les critiques. Pourtant, nous sommes en mesure de révéler que loin d’être une accumulation de bévues, la communication de Roselyne Bachelot est savamment orchestrée et s’intègre dans une véritable stratégie mise en place cet été. Il s’agit de rectifier une erreur commise au printemps et d’économiser quelques centaines de millions d’euros.

1_grippe_a

Nous avons pu interviewer un spécialiste particulièrement bien introduit dans les milieux ministériels, mais qui a souhaité garder l’anonymat. Nous l’appellerons donc M. X.

Atoute : Imaginer qu’une telle succession de bourdes puisse faire partie d’un plan organisé paraît incroyable. Qu’est-ce qui vous permet de dire cela ?

M. X : On a trop souvent le tort de prendre les politiques pour des idiots. Pour les côtoyer au quotidien, je peux vous affirmer que ce n’est pas le cas. Dans le cas de la vaccination anti-grippale, nous sommes face à un plan de communication savamment orchestré.

Atoute : Quand ce plan aurait-il été mis en oeuvre ?

M. X : En fait, tout commence bien sûr avec l’épidémie mexicaine début avril 2009. La France, comme la majorité des pays occidentaux, a mis en œuvre dès 2005 une procédure spéciale Pandémie de grippe aviaire (H5N1). Des pré-contrats de commandes de vaccins ont été préparés avec les industriels. Des procédures de production accélérées sont prévues, facilitées par des adjuvants permettant de multiplier les doses de vaccins pour une même quantité de substance immunisante difficile à produire. Tout est prêt depuis plusieurs années pour faire face à la terrifiante grippe aviaire, digne des films de science-fiction où les scientifiques luttent contre le temps pour sauver le monde.

Pour lancer le plan H5N1, il ne manque plus que la signature d’un ministre face à un parterre d’industriels au garde-à-vous, le petit doigt sur la couture du pantalon.

Atoute : Mais pourquoi utiliser cette procédure extrême alors qu’il ne s’agit pas d’une grippe aviaire ?

M. X : Vous touchez là au coeur du problème. Tout ces vaccins fabriqués à la hâte, ces millions de masques, ces procédures dignes d’une catastrophe naturelle, ont été prévus pour faire face à une grippe aviaire de type H5N1 et non H1N1. La grippe aviaire est grevée d’une mortalité de 30%, à comparer aux 0,01% de la grippe H1N1 saisonnière, cousine du nouveau virus. Si elles portent le même nom ces deux maladies ne sont pas comparables.

Mais un ensemble de considérations poussent le gouvernement français à ne pas tenir compte de ce distinguo. Tout d’abord, le monde politique en a assez de réagir toujours trop tard. L’amiante, le sang contaminé, le nuage de Tchernobyl sont encore gravés dans les esprits. Ensuite, il y a les partenariats anciens et intenses entre les politiques de tous bords et l’industrie pharmaceutique, notamment productrice de vaccins. On conclut plus vite des affaires avec des interlocuteurs que l’on connaît bien.

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Atoute : D’accord, mais il n’a pas fallu plus de quelques semaines pour se rendre compte que la nouvelle grippe A/H1N1 ne décimait pas les populations, pourquoi se précipiter ?

M. X : En effet, lorsque le nouveau virus a touché une mégalopole comme Mexico, le pire aurait pu arriver dans cette ville de 20 millions d’habitants dont beaucoup vivent dans la promiscuité et le dénuement. Or l’épidémie a été relativement bénigne. Après un mois de diffusion du virus, soit début mai 2009, il devenait clair que ce virus était certes contagieux mais surtout bénin. Quand on dit bénin, il faut s’entendre : la grippe saisonnière n’est pas une maladie totalement bénigne et elle fait des milliers de morts dans le monde tous les ans, mais ce virus en particulier n’était pas plus dangereux que ses cousins saisonniers. En revanche, du fait de sa nouveauté, le nouveau virus H1N1 touchait plus de patients jeunes. Les esprits étaient frappés par les annonces de décès, notamment d’enfants, médiatisées en temps réel. Le fait que ces décès ne soient pas plus nombreux que ceux attendus pour une épidémie de grippe saisonnière ne paraissait pas encore évident au public.

C’est pourtant dans ce contexte que les autorités françaises ont lancé dès l’été des commandes massives de vaccins en suivant la procédure "grippe aviaire". Le pari était de ne pas être pris au dépourvu et de réserver le plus tôt possible des doses vaccinales dont la production ne pouvait être que limitée. Il s’agissait, pour une fois, d’anticiper et de ne pas se faire doubler par les autres pays riches. Certes, cette stratégie maximaliste paraît absurde actuellement, mais il faut la replacer dans le contexte du printemps 2009.

Atoute : Je ne vois toujours pas où intervient votre "plan secret"

M.X : En fait, une fois les commandes passées et les contrats signés, quelques experts un peu plus raisonnables ont réussi à atteindre l’oreille de la Ministre. Dans le même temps, au sein de la majorité présidentielle, des voix discordantes se sont faites entendre, interpellant la Ministre sur la somme colossale de 800 millions d’euros affectée à une banale "grippette". Au milieu d’un plan d’économies drastiques, des sommes aussi importantes consacrées à une stratégie sanitaire mal fondée commençaient à faire désordre. Or les industriels contactés ont refusé de revoir leurs contrats : les processus de fabrication avaient été lancés, et la bénignité avérée de la grippe H1N1 rendait les clients plus rares.

Il fallait donc trouver une solution pour sortir de ce désastre. C’est alors que les conseillers en communication de la Ministre ont élaboré un plan d’action secret dont le nom de code était NASPAC (Noël au squalène, Pâques aux chrysanthèmes). Il s’agissait de désorienter les français par des actions incohérentes afin de créer un sentiment de méfiance vis-à-vis de la stratégie gouvernementale. Par chance, ces dizaines de millions de doses de vaccin contenaient un extrait huileux de requin : le squalène. En effet, pour accélérer la production dans un contexte de grippe aviaire mortelle, il avait été prévu dès 2005 d’ajouter cet adjuvant qui permettait de produire plus de doses de vaccin avec la même quantité d’antigènes. C’était une aubaine pour le plan NASPAC : l’origine inquiétante de l’adjuvant, le faible recul sur son utilisation, l’aspect laiteux qu’il donnait au vaccin, tout concourait à en faire un parfait repoussoir.

Vous avez compris que le plan NASPAC consiste à donner la pire image possible de ce vaccin. Le but est de revendre l’essentiel des doses commandées à des pays solvables mais imprévoyants qui, confrontés à une forte épidémie, seront prêts à payer à prix d’or des précieux stocks français devenus excédentaires. C’était un pari audacieux, mais qui est en train de se réaliser : le Canada, l’Ukraine et la Suède notamment, manquent de vaccins pour faire face à la panique de la population fortement touchée par l’épidémie.

Atoute : C’est incroyable, vous insinuez que tout ce bruit qui a été fait autour de la prévention était destiné à décourager les français de se faire vacciner ?

M. X : Exactement, et ce plan a été réalisé de main de maître. Souvenez-vous : tout à commencé avec la rentrée scolaire et la prévention de la contagion sur les lieux de travail. Contrairement à des pays pourtant réputés prudents comme les USA, nous avons lancé la mascarade des masques et des fermetures d’écoles. Tout le monde a pu constater que les masques étaient inutilisables et que les enfants malades guérissaient très bien et sans drame de cette grippe. C’était une bonne façon de faire croire que les autorités sanitaires faisaient n’importe quoi. Il ne fallait pas non plus que la ficelle soit trop grosse pour ne pas éventer le plan NASPAC, c’est pourquoi on s’est juste contenté de diffuser des informations imprécises ou contradictoires, tout en alimentant en continu les médias avec des prévisions terrifiantes que la réalité démentait au quotidien.

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Atoute : Mais enfin, les gens ne sont pas idiots, et leurs médecins pouvaient leur confirmer l’intérêt des vaccins !

M. X : C’est là que la stratégie a été particulièrement brillante : il fallait se mettre à dos le corps médical pour que le plan ait une chance de fonctionner. Cet aspect a été une réussite totale. Tout d’abord, les médecins généralistes et les pharmaciens ont été tenus à l’écart du dispositif vaccinal, alors qu’ils gèrent tous les ans sans problème la vaccination contre la grippe saisonnière. Dans le même temps, les procédures initiales lors des signalement de cas de grippe ont été volontairement absurdes : intervention du SAMU en tenue de cosmonautes dans les cabinets de ville, incohérence dans les directives, numéros d’urgence injoignables. Pour finir, les médecins ont été réquisitionnés par les préfets comme en temps de guerre pour assurer une vaccination de masse dans des écoles ou des gymnases qui seront, si le plan se passe bien, complètement vides.

Il n’en fallait pas beaucoup plus pour braquer contre la Ministre et son vaccin la quasi totalité de la profession. Or les patients font avant tout confiance à leur médecin, et en s’attaquant aux médecins de famille, le plan NASPAC gagnait une manche importante.

Atoute : Va pour les médecins de ville qui boudent, mais les patients ont tout de même confiance dans les vaccins qui ont permis d’éradiquer de nombreuses maladies graves !

M.X : Tout à fait. Malgré les errances de la vaccination contre l’hépatite B, les vaccins gardaient encore un crédit important dans la population. Mais ce crédit est fragile car la poliomyélite, le tétanos ou la diphtérie ont disparu et ne représentent plus rien pour les moins de 60 ans. De plus, il existe en France un mouvement antivaccinal très actif. Or, la communication sur les vaccins a été conçue pour semer le doute dans les esprits : adjuvant inquiétant et peu utilisé jusqu’alors, conservateur au mercure, industriels libérés contractuellement de leurs responsabilités.

Pour alimenter la théorie du complot, des informations ont été tenues secrètes, les contrats des industriels ont été partiellement masqués. Bref, en écho au harcèlement des antivaccinaux, les autorités sanitaires ont opposés le secret, le mensonge et les déclarations péremptoires. Elles ont donné au public l’impression qu’il allait servir de cobaye pour un produit expérimental au contenu peu ragoutant. Le bruit à même couru que ce vaccin serait pratiqué sur les enfants sans l’accord des parents. Pour couronner le tout, une vidéo tourne en boucle sur internet, qui montre le désastre de la campagne de vaccination antigrippale américaine de 1976, très proche dans son organisation de la campagne française actuelle. Enfin, les experts ont joué un rôle crucial dans la communication ministérielle.


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http://www.20minutes.fr/article/365100/Monde-Grippe-a-H1N1-Le-virus-a-mute.php

http://www.20minutes.fr/article/365104/Monde-Le-tamiflu-inefficace-sur-plusieurs-patients-qui-ont-la-grippe-A-H1N1.php

http://www.20minutes.fr/article/365092/France-Vaccin-contre-la-grippe-A-H1N1-place-aux-femmes-enceintes-et-aux-enfants-de-plus-de-six-mois.php

http://www.20minutes.fr/article/364736/France-Grippe-A-H1N1-une-femme-enceinte-perd-son-bebe-apres-s-etre-fait-vacciner.php

http://www.20minutes.fr/article/364383/France-Grippe-A-les-fermetures-de-classe-sont-elles-vraiment-necessaires.php

http://www.20minutes.fr/article/364077/France-1-5-million-de-personnes-deja-touchees-par-la-grippe-en-France.php

http://www.20minutes.fr/article/363349/France-Grippe-A-H1N1-des-seringues-dangereuses-dans-un-centre-de-vaccination.php

http://www.20minutes.fr/article/363283/France-Une-jeune-femme-sans-antecedents-medicaux-meurt-d-une-grippe-A-H1N1-foudroyante.php

http://www.20minutes.fr/article/363239/France-Grippe-A-H1N1-Un-vaccin-et-beaucoup-de-questions.php

http://www.20minutes.fr/article/362951/France-Vaccin-contre-la-grippe-un-cas-probable-de-syndrome-Guillain-Barre.php

http://www.20minutes.fr/article/362581/Monde-L-Ukraine-en-proie-a-la-panique-face-a-l-epidemie-de-grippe-A.php

http://www.20minutes.fr/article/362839/France-Grippe-A-H1N1-La-campagne-de-vaccination-est-lancee.php

http://www.lefigaro.fr/sante/2009/11/20/01004-20091120ARTFIG00023-grippe-a-les-cas-graves-se-multiplient-enreanimation-.php

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/11/20/01011-20091120FILWWW00664-h1n1-mutation-du-virus-.php

http://www.lefigaro.fr/sante/2009/11/20/01004-20091120ARTFIG00026-pas-de-lien-avere-entre-deces-et-vaccin-selon-l-oms-.php

http://www.lefigaro.fr/sante/2009/11/18/01004-20091118ARTFIG00365-les-generalistes-pourront-vacciner-contre-le-h1n1-.php

http://www.lefigaro.fr/sante/2009/11/13/01004-20091113ARTFIG00622-un-test-rapide-pour-detecter-le-h1n1-.php


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COMMUNIQUE DE LA PART DE JEAN-JACQUES CREVECOEUR SUR LA GRAVE AFFAIRE DE PANDEMIE MONDIALE SUR LA GRIPPE PORCINE A H1N1 AVEC SON VACCIN 

Pour rappel, c'est de ma propre initiative que je vous envoie ce courriel. Je ne suis financé par aucun groupe d'intérêt (qu'il soit pour ou contre les vaccins), je n'appartiens à aucune religion, à aucun parti politique, à aucune secte. Mes actions d'information contre cette campagne de désinformation, de manipulation et de contrainte autour de la grippe H1N1 sont motivées exclusivement par mon désir humanitaire de venir en aide à mon prochain. Et contrairement à ce que pensent certains esprits mal intentionnés, je ne profite nullement de cette campagne pour promouvoir ou pour vendre des services, des thérapies ou des produits.
       
        Si vous souhaitez prendre connaissance de mes courriels précédents, je vous
invite à vous rendre sur mon site Internet (www.jean-jacques-crevecoeur.com). Si vous voulez recevoir gratuitement mes prochains courriels d'information, je vous invite à vous inscrire à ma liste d'envoi.
       

        Madame, Monsieur,
        Chers amis,
       
Cela fait un peu plus de deux mois que je vous envoyais mon courriel du 10 septembre posant 26 questions auxquelles aucune instance officielle ne semble vouloir répondre. Depuis lors, je pourrais allonger cette liste d’autant de nouvelles questions, ce que je ne ferai pas. En deux mois et demi, j’ai reçu personnellement plus de 18.000 courriels. Énormément de courriels d’encouragement. Beaucoup de courriels d’informations. Un petit nombre de courriels d’injures.
       
Quelques dizaines d’entre vous m’ont écrit très amicalement pour m’alerter sur le fait que mes propos étaient perçus comme extrémistes et qu’ils déforçaient, du coup, le sérieux de ma démarche d’information et d’avertissement à propos de ce vaccin H1N1. Alors, c’est vrai, je le reconnais, mes propos ont été parfois extrémistes et mon langage parfois choquant. Mais plus encore que mes propos, c’est la situation mondiale qui est extrême et choquante. Et ça, beaucoup de personnes semblent ne pas le comprendre. Les événements de ces dernières semaines (accidents post-vaccinaux, décès post-vaccinaux, épidémie d’origine suspecte en Ukraine), occultés complètement (ou presque) par les grands médias, m’ont plongé dans une humeur encore plus pessimiste. Honnêtement, je crains que nous n’ayons pas encore vu le pire de ce qu’on nous prépare.
       
        Pour revenir à mes propos extrémistes et choquants, je tiens à dire que je ne suis pas seulement un scientifique ou un épistémologue des pratiques médicales. Je suis, avant tout, un être humain.
Et en tant qu’être humain, je revendique le droit d’avoir des émotions, de me mettre en colère, d’avoir peur pour tous ces innocents qu’on pousse vers un vaccin dangereux et injustifié. Je revendique aussi le droit de refuser l’instauration d’une dictature médico-pharmaceutique.
       

       

       
  • Oui, c’est vrai que je ne suis pas capable de garder mon calme quand je vois les responsables de Santé Publique (quelle ironie de se faire appeler comme cela, alors qu’ils me font l’effet d’irresponsables au service de la maladie des individus) affirmer, du haut de leur position de pouvoir, des contrevérités scientifiques grosses comme des montagnes.
  • Oui, c’est vrai que je pleure lorsque je vois les personnes les plus faibles immunitairement se faire vacciner dans les groupes dits prioritaires, alors que je sais que les vaccins affaiblissent encore davantage leur système immunitaire plutôt que de le renforcer.
  • Oui, c’est vrai que je désespère lorsque je constate que la plupart de mes frères et soeurs humains sont transformés en zombies par le lavage de cerveau télévisuel, incapables de discerner les mensonges et l’imposture des instances officielles.
  • Oui, c’est vrai que j’ai peur lorsque je vois les préparatifs militaires visant à « encadrer » la campagne de vaccination, soi-disant pour aider les efforts des gouvernements.
  • Oui, c’est vrai que j’enrage lorsque je constate que les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité juridique totale, au cas où leur vaccin provoquerait des effets secondaires négatifs ou la mort.
  • Oui, c’est vrai que je me sens impuissant quand j’apprends que des femmes enceintes font des fausses couches 24 heures après avoir reçu leur vaccin, quand j’apprends que des jeunes enfants meurent ou sont entre la vie et la mort, quelques heures après la prise du vaccin.
  • Oui, c’est vrai que je hurle lorsque je lis les rapports d’autopsie des victimes ukrainiennes, terrassées en quelques heures par plusieurs souches de virus qui se sont recombinées et dont l’origine ne peut être qu’artificielle.
                
       


        Mettez-vous à ma place,
un instant. Ma femme et moi passons toutes nos journées sur ce dossier de la grippe H1N1. Nous lisons des centaines de documents chaque semaine. Nous écoutons les déclarations officielles des responsables de santé publique et nous les comparons avec la réalité de la recherche scientifique et la réalité des chiffres. Nous relevons quotidiennement des mensonges et des incohérences.
       
Je suis très déçu de constater que l’immense majorité des grands médias qui nous subjuguent avec les rares morts de la grippe H1N1 n’ont pas jugé utile, depuis sept mois, d’organiser de vrais débats de fond sur l’efficacité des vaccins contre la grippe, sur les dangers d’une vaccination de masse, sur la nécessité de mobiliser des ressources face à cette pseudo-pandémie, sur les conflits d’intérêt évidents qui existent entre l’OMS, les compagnies pharmaceutiques et les décideurs politiques. À part quelques initiatives isolées, les journalistes relaient tous le même discours alarmiste autour d’une non-pandémie et la même propagande indécente au profit d’un vaccin qui commence à démontrer son extrême toxicité.
       
Je suis désolé pour ceux qui s’attendaient de ma part à un discours neutre, calme et posé. Si j’avais vécu dans les années 1940, avec le niveau de conscience et d’information qui est le mien, j’aurais probablement fait partie de ceux qui auraient hurlé aux Juifs de ne pas monter dans les trains, parce que je SAVAIS qu’ils ne reviendraient probablement jamais d’Auschwitz ou de Daschau. Lorsque je pressens ce qui se cache derrière cette campagne de vaccination massive, je prends le risque de passer pour un fou, pour un hystérique, pour un théoricien du complot, pour un hurluberlu. Mais je continue de crier à mes semblables : n’allez pas vous faire vacciner. Vous pourriez ne pas en revenir indemnes.
       
       
Les erreurs stratégiques que j’ai commises ces derniers mois
       

Je reconnais, en même temps, que mes émotions ont desservi mon objectif premier : celui d’informer de façon complète, honnête et exhaustive les êtres plongés dans la peur et la confusion à propos de cette pseudo pandémie. Je sais que de nombreuses personnes n’ont plus lu mes courriels, parce que ça leur faisait peur. Je reconnais que j’ai fait des erreurs stratégiques, ces derniers mois :
       
       

       
  • J’ai fait l’erreur de vous balancer une masse énorme d’informations, sans vérifier que vous étiez capables d’encaisser le choc que ces informations (pourtant véridiques et fondées) pouvaient provoquer ;
  • J’ai fait l’erreur de vouloir sauver un maximum de personnes, plutôt que simplement me contenter de délivrer une information complète sur le dossier ;
  • J’ai fait l’erreur de m’identifier à la cause que je défendais, sans toujours prendre le recul nécessaire pour être mieux entendu ;
  • J’ai fait l’erreur de me croire presque « Seul contre tous », lorsque j’ai entrepris de contrer les actions de propagande des médias et des responsables de Santé Publique ;
  • J’ai fait l’erreur de lutter CONTRE le système en place, plutôt que de continuer à promouvoir une dynamique POUR la prise de responsabilité des individus ;
  • J’ai fait l’erreur de considérer ceux à qui je m’adressais dans la position de victimes impuissantes et irresponsables, voulant les défendre seul contre les méchants !
                
       


Ce serait à refaire, j’agirais différemment. Mais comme me le faisait remarquer un de mes amis, celui qui n’agit pas ne risque pas de se tromper. Même si j’ai fait des erreurs, cette aventure personnelle a été pour moi un chemin initiatique extraordinaire. Dans ce sens, peu m’importe si je n’ai pas été parfait. Ceux qui devaient entendre mes avertissements les ont entendus, parce qu’ils étaient prêts et éveillés. Tant pis si les autres se sont arrêtés à la forme de mon message plutôt qu’à son contenu.
       
        Aldous Huxley disait, dans le Meilleur des Mondes : « L’expérience, ce n’est pas ce qui arrive à quelqu’un, mais ce que ce quelqu’un fait avec ce qui lui arrive ». En quatre mois, j’ai plus appris de la vie et sur moi que pendant les années qui ont précédé. J’espère qu’il en a été de même pour vous. Et je sais que j’ai contribué (avec d’autres) à ouvrir les consciences d’un grand nombre de personnes. Je sais que mon engagement a poussé d’autres individus à se mettre debout et à prendre leurs responsabilités à leur tour. Ça, sans aucun doute, fut ma plus belle récompense et ma plus belle satisfaction dans toute cette histoire.
       
        À vous de jouer, à présent !
       

       
Vous le savez, je suis loin d’être le seul à refuser cette vaccination de masse qui se prépare. De nombreux spécialistes ont fait entendre leur voix pour dénoncer les manipulations, les falsifications, mais aussi les dangers et l’inutilité de ce vaccin. Je pense aux docteurs Marc Girard, Marc Vercoutère, Alain Scohy, Louis De Brouwer, Guylaine Lanctôt, Martine Gardénal, Éric Ancelet, Michel Georget, Ryke Geerd Hamer, Tom Jefferson, Joseph Mercola, Russel Blaylock, Lima Raibow, Teresa Forcades, Leonard Horowitz, Marc Zaffran, Christian Tal Schaller et bien d’autres. Je pense à des journalistes comme Sylvie Simon et Alex Jones, mais aussi à des responsables politiques comme la Ministre de la Santé polonaise qui refuse (avec le soutien de son premier ministre) d’acheter des vaccins pour la population de son pays. Je pense à ces centaines de lanceurs d’alertes et à ces milliers de personnes qui s’expriment sur les forums de discussion pour informer, pour alerter, pour relayer, pour refuser.
       
        Vous êtes donc des dizaines de milliers à refuser non seulement ce vaccin, mais surtout la démarche de déresponsabilisation, d’infantilisation et d’obligation qui l’accompagne. Le piège serait de laisser quelques porte-parole se faire lyncher, se faire discréditer, se faire éliminer pour clore ou étouffer le débat.
       
Je vous le disais lors de mon tout premier courriel, fin août 2009 (note : tous mes courriels sont disponibles sur mon site Internet www.jean-jacques-crevecoeur.com) : cette campagne montée de toutes pièces (avec fausse pandémie et vaccination obligatoire) est une merveilleuse opportunité pour chacun de nous de manifester notre puissance individuelle et de reprendre en mains la responsabilité de notre vie, dans tous ses aspects. C’est ce que je disais également dans ma conférence du 12 septembre dernier. Allez l’écouter, si ce n’est déjà fait.
       
        Vous aurez compris qu’il est temps, pour chacun d’entre vous, de consacrer un temps prioritaire à étudier ce dossier et à agir, afin de bâtir une nouvelle dynamique.
       
Beaucoup d’entre vous m’ont demandé ce qu’ils pouvaient faire pour m’aider. Certains m’ont proposé de l’argent. Je n’attends rien comme aide directe, même si cette opération me coûte cher et m’amène à m’endetter de plus en plus. Ça n’a pas d’importance : c’est le choix que j’assume pleinement. Comme le nerf de la guerre actuellement, c’est l’information, c’est à chacun de vous, à présent, de contribuer à rétablir la vérité dans les mondes médical, politique et médiatique. C’est la raison pour laquelle je vous propose trois actions individuelles à mettre en oeuvre dès aujourd’hui, quelque soit le pays dans lequel vous vivez.
       
        ACTION N° 1 : RECENSEMENT DES VICTIMES DU VACCIN H1N1
       
       
Depuis le début de cette affaire, les médias ont amplifié exagérément la gravité de la grippe H1N1, en occupant tout l’espace médiatique avec les chiffres largement surestimés du nombre de cas de grippe H1N1 et chaque rare personne décédée soi-disant de la grippe H1N1 (alors que la cause du décès était souvent une maladie sous-jacente, l’utilisation du Tamiflu, une autre maladie (comme la méningite) ou la vaccination). Depuis que les vaccins sont distribués à la population, curieusement les mêmes médias rechignent à mettre en évidence les nombreux effets secondaires et les décès liés directement à la vaccination. De plus, quand ils le font, c’est parfois avec quinze jours de retard par rapport à l’événement et sans trop insister là-dessus.
       
Pourtant, les témoignages que je recueille font état de nombreux effets secondaires, dans plusieurs pays : paralysies partielles ou totales, chocs anaphylactiques graves, céphalées intenses pendant plusieurs jours, fausses couches chez les femmes enceintes, décès de personnes en bonne santé et d’enfants. Lorsque les médias nous en parlent, c’est pour nous rassurer sur le fait que tous ces effets secondaires et tous ces décès ne sont que des coïncidences dont on ne peut absolument pas déduire un lien de causalité entre le vaccin et les effets subis. Même s’ils sont statistiquement très nombreux.
       
Je rappelle, pour ceux qui pensent que j’affabule, que les études faites en Europe sur le vaccin H1N1 ont mentionné quand même 7 décès sur les 2.000 volontaires en bonne santé qui s’étaient prêté au jeu. Malgré ce résultat catastrophique qui aurait dû convaincre l’agence européenne du médicament d’interdire la mise en marché du vaccin, les autorisations ont été données comme s’il s’agissait d’une simple formalité. À ce sujet, j’invite tous mes lecteurs (surtout les parents d'enfants qui se posent des questions et qui angoissent) à prendre connaissance d’un des derniers articles du docteur Marc Girard, dont je précise (pour l’information de notre grand journaliste national Guy Gendron) qu’il n’est ni adepte d’une secte, ni promoteur de la Biologie Totale, ni un théoricien du grand complot.
       
        Face au silence des médias, c’est à nous à agir.
       
L’ACTION QUE JE VOUS PROPOSE EST DE TÉMOIGNER DE TOUS LES EFFETS SECONDAIRES NÉGATIFS DONT VOUS AVEZ CONNAISSANCE. CES TÉMOIGNAGES DOIVENT OBLIGATOIREMENT ÊTRE NOMINATIFS. JE VOUS INVITE À VOUS RENDRE SUR LE BLOG QUI RECUEILLERA EXCLUSIVEMENT LES ACCIDENTS POST-VACCINATION H1N1.
        ADRESSE DU BLOG : http://vaccinh1n1.blog.mongenie.com/ dans la rubrique Laissez votre trace. POUR UN MAXIMUM D’EFFICACITÉ, VOICI LA PROCÉDURE QUE JE PROPOSE :
       

       

       
  • Décrivez uniquement des faits – pas un roman, personne n’a plus le temps de lire des romans.
  • Indiquez les renseignements suivants :
  • Nom – prénom – localité – adresse électronique – sexe – âge
  • État de santé avant la vaccination (pas besoin de détails – juste : maladie chronique sous-jacente ou bon état de santé ou description en deux – trois mots)
  • Date de la vaccination H1N1 (nom du vaccin ou du fabricant)
  • Effets secondaires ressentis et/ou observés
  • Date d’apparition de ces effets secondaires et durée de ces effets
  • Remarques éventuelles
                
       


L’OBJECTIF DE CE BLOG EST DE RASSEMBLER UN MAXIMUM D’INFORMATIONS POUR LES ENVOYER UNE FOIS PAR SEMAINE, À TOUS LES JOURNALISTES QUE VOUS CONNAISSEZ, MAIS AUSSI, À TOUS LES RESPONSABLES POLITIQUES ET À TOUS LES MÉDECINS QUE VOUS CONNAISSEZ (VOIR ACTION N° 2).
       
        ACTION N° 2 : « JOURNALISTES, POLITICIENS, MÉDECINS, NE SOYEZ PLUS COMPLICES »
       
       
Vous en êtes conscients, nous subissons depuis des mois une désinformation complète de la part des médias, des responsables politiques et des experts médicaux, à de très rares exceptions près. Les journalistes, les politiciens et les experts sont utilisés exclusivement comme agents de propagande pour :
       
       

       
  • dramatiser les quelques rares histoires anecdotiques liées à des supposés cas de grippe H1N1 ;
  • amplifier les risques (on nous présente toujours le risque maximum encouru par la population – 25 à 35 % seront touchés, nous dit-on. Je rappelle qu’on nous avait déjà fait le coup avec la grippe aviaire en nous présentant la perspective de 320 millions de morts – en dix ans, nous en avons eu 248, à l’échelle de la planète !)
  • nous focaliser sur les risques (réels) de la grippe, en occultant tous les autres risques qui peuvent nous faire mourir (je rappelle qu’au Canada, par exemple, 8.000 personnes décèdent chaque année de maladie nosocomiale, parce qu’elles ont contracté une infection dans les hôpitaux à cause de leur insalubrité – et ça, pas un mot des médias sur ce grave problème récurrent)
  • attribuer faussement des décès à la grippe, alors que les personnes souffraient de problèmes cardiaques, respiratoires ou autres ou qu’ils sont morts à cause du Tamiflu
  • nous faire peur en agitant toujours le spectre de la grippe espagnole et des millions de morts potentiels que pourrait occasionner cette grippe.
                
       


Je lance donc l’opération « JOURNALISTES, POLITICIENS, MÉDECINS, NE SOYEZ PLUS COMPLICES ». L’idée est simple, et elle m’est venue lorsque j’ai vu les centaines de réactions que les Québécois ont eues à l’égard du journaliste Guy Gendron et de son faire-valoir Alain Gravel, suite à leur émission de salissage à mon égard et à l’égard de Guylaine Lanctôt, pour discréditer le mouvement anti-vaccinaliste.
       
        Je vous invite à commencer TOUS, à contacter les journalistes, les politiciens et les médecins que vous connaissez ou que vous écoutez. Écrivez-leur, téléphonez-leur, rappelez-les, encore et encore. Noyez-les d’appels pour leur réclamer la VÉRITÉ sur cette campagne de vaccination. Noyez-les de courriels pour leur envoyer toutes les informations dont vous disposez. Menacez-les de ne plus les écouter, menacez-les de déposer plainte contre eux pour complicité de crime contre l’humanité. Car il est criminel de ne pas nous informer des milliers d’effets secondaires que subissent les gens qui ont déjà reçu le vaccin contre la grippe H1N1. Il est criminel de donner la parole aux experts corrompus de la Santé Publique et du collège des médecins. L’idée est de les faire craquer dans la chape de silence qu’ils maintiennent, forcés et contraints. Dans un mois, il sera trop tard.
       
L’ENVOI DE CES INFORMATIONS DOIT SE FAIRE PAR TOUS LES CITOYENS QUI VEULENT PRENDRE LEUR VIE EN MAINS. NE COMPTEZ SUR PERSONNE POUR LE FAIRE À VOTRE PLACE. IL EST PRÉFÉRABLE QUE LES JOURNALISTES, LES POLITICIENS ET LES MÉDECINS REÇOIVENT DIX FOIS LA MÊME INFORMATION, DE DIX CITOYENS DIFFÉRENTS. IL EST TEMPS QU’ILS SE RENDENT COMPTE QUE L’OPPOSITION AU VACCIN N’EST PAS LE FAIT DE QUELQUES HURLUBERLUS.
       
        ACTION N° 3 : « DEVENEZ VOUS-MÊMES REPORTERS »
       

Comme on n’est jamais mieux servi que par soi-même, puisque les journalistes ne font pas leur boulot, je vous propose de le faire à leur place. Je vous invite donc à filmer toutes les personnes qui ont ou qui auront des effets secondaires suite aux vaccins. Peu importe la qualité de votre matériel vidéo. Menez vos entrevues, comme le ferait un journaliste. Interrogez les victimes avec les mêmes questions que celles suggérées dans l’action n° 1, histoire de garder une trace de ce que risquent ceux et celles qui se feront vacciner avec ce vaccin complètement bâclé et aux effets toxiques bien supérieurs à tout ce qu’on a connu jusqu’à présent.
       
Je vous encourage ensuite à mettre sur Internet, tous ces petits films (et de m’envoyer le lien de votre film par courriel).
       
        MAIS DE GRÂCE. NE RESTEZ PLUS PLANTÉS DEVANT VOTRE TÉLÉVISEUR OU DANS VOTRE FAUTEUIL.
        PASSEZ À L’ACTION :
       

       

       
  • POUR RECENSER LES VICTIMES DE LA VACCINATION ;
  • POUR RÉCLAMER AUX MÉDIAS, AUX POLITICIENS ET AUX MÉDECINS LA VÉRITÉ SUR LA GRIPPE ET LES VACCINS ;
  • POUR FILMER ET ARCHIVER LES TÉMOIGNAGES DES VICTIMES DU VACCIN.
                
       


        IL Y VA DE NOTRE LIBERTÉ ET DE NOTRE SOUVERAINETÉ !
       
        Remerciements
       

Je profite de ce courriel pour vous remercier pour les milliers de marques d’amitié, d’amour, de soutien que j’ai reçues ces trois derniers mois. J’ai peut-être perdu l’estime de bon nombre de mes connaissances et de mes amis, mais j’ai aussi fait la connaissance d’hommes et de femmes extraordinaires, tant au Québec que partout ailleurs dans le monde (et pas seulement francophone). Je veux remercier aussi mes deux filles aînées qui ont travaillé avec moi pour m’aider à gérer tous les messages reçus par courriel. Un merci tout particulier à ma femme Cyrinne Ben Mamou qui n’a pas hésité à mettre ses compétences scientifiques, son coeur et son énergie au service de cette cause.
       
        À présent, le temps est venu pour moi de me retirer pour vous laisser prendre votre place. Depuis plus de 20 ans, je me suis toujours présenté comme un accoucheur et un éveilleur des consciences. Je n’ai ni la vocation d’un gourou, ni la vocation d’un leader. Ma plus grande satisfaction et ma plus grande récompense ne sont pas d’avoir un troupeau de fidèles qui me suivent. C’est au contraire de vous voir vous mettre debout et prendre la responsabilité de votre vie. J’estime avoir fait ma part. Rester plus longtemps aux avant-postes de ce combat serait contreproductif.
       
Je continuerai d’agir, mais en soutien des individus et des groupes citoyens qui se mettent en place un peu partout dans la francophonie.
        Je formule le voeu que mon engagement n’aura pas été vain.
        Je vous salue avec le coeur, toujours debout et conscient.
       
       
       
        Jean-Jacques Crèvecoeur
        Www.jean-jacques-crevecoeur.com
       
        Nouvelles rubriques sur mon site :
       

Heureusement, quelques journalistes commencent à se poser sérieusement des questions. Et malgré les pressions qu’ils subissent, ils osent enfin aborder les questions de fond à propos de l’existence même de cette pandémie, du bien-fondé de la vaccination de masse, mais aussi de l’efficacité et de la sécurité du vaccin contre la grippe H1N1.
       
        Prenez connaissance donc de ces quelques informations qui font du bien au coeur et à l’âme :
       
       

       

Jean-Jacques CREVECOEUR










 

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