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30 mars 2010

REVUE COMPLETE DE LA PRESSE FRANCAISE SUR LES RESULTATS DES ELECTIONS REGIONALES DES 28 ET 29 MARS 2010 EN ITALIE

Italy_FlagREVUE COMPLETE DE LA PRESSE FRANCAISE SUR LES RESULTATS DES ELECTIONS REGIONALES EN ITALIE DES 28 ET 29 MARS 2010

silvio_berlusconi

source sur LE FIGARO ( merci pour ces informations passées gratuitement et bénévolement par DIACONESCO.TV )
http://www.lefigaro.fr/

italie_4La coalition de Silvio Berlusconi s'est emparée de quatre fiefs de la gauche.

Forte progression de la Ligue du Nord, maintien de la gauche dans ses bastions traditionnels et affirmation du «Peuple de la liberté» (PDL) de Silvio Berlusconi dans quatre régions autrefois détenues par l'opposition : les résultats des élections régionales qui se sont déroulées dimanche et lundi matin en Italie ont conforté la majorité au pouvoir. Il devrait satisfaire le président du Conseil qui a mené une intense campagne électorale pour éviter la débâcle qui menaçait.

Dans le Latium, deuxième région d'Italie par le nombre d'électeurs, la syndicaliste de droite Renata Polverini a fini par remporter le duel serré qui l'opposait à la radicale et ancienne commissaire européenne Emma Bonino. L'abstention y a été de 13 % supérieure à celle de 2005 dans le Latium et est plus élevée que la moyenne nationale (36 % d'abstentions soit 8 points de plus qu'aux dernières régionales) et pourrait s'expliquer par l'absence du PDL, interdit de compétition électorale par les tribunaux du Latium faute d'avoir inscrit ses listes en temps utile.

Silvio Berlusconi avait pourtant soutenu massivement sa candidate, allant jusqu'à faire de Renata Polverini la vedette du grand rassemblement du PDL qu'il avait présidé le 20 mars, place Saint-Jean-de-Latran à Rome.

La gauche maintenue dans sept régions

La Ligue a également remporté une autre victoire un peu inattendue : dans la bataille très disputée du ­Piémont, autre région industrielle, ­Roberto Cota a pris l'avantage en fin de soirée, avec une avance de plus de trois points sur le gouverneur sortant de la gauche Mercedes Bresso.

À l'issue du scrutin dans les treize régions, selon des résultats partiels, la droite conserve les deux régions industrielles du Nord qu'elle détenait, la Lombardie et la Vénétie, et en conquiert quatre autres, la Campanie, la ­Calabre, le Piémont et le Latium. Quant à la gauche, qui en détenait onze, elle en conserve sept, pour la plupart situées dans l'Italie centrale et du sud. Le meilleur score a été réalisé en Vénétie par le ministre de l'Agriculture Luca Zaia, gratifié de 60 % des suffrages, tandis que son parti, la Ligue du Nord, réalise une belle opération avec 35 % des votes, devançant son allié du PDL (24 %).

La coalition de Silvio Berlusconi s'est emparée de quatre fiefs de la gauche.

La coalition de Silvio Berlusconi paraissait, mardi matin, en mesure de l'emporter dans six régions. Outre la Vénétie et la Lombardie qu'elle conserve, elle a ravi quatre régions à la gauche : le Latium, le Piémont, la Campanie et la Calabre.

Selon les dernières projections, la gauche se consoliderait dans au moins sept régions, toutes des fiefs traditionnels qu'elle contrôlait déjà : Basilicate, Émilie-Romagne, Toscane, Marches, Ombrie et Ligurie ainsi que dans les Pouilles, où elle bénéficiait du soutien local des centristes de l'UDC, alliés dans d'autres régions à la coalition au pouvoir.

Lors des précédentes élections de 2005, la gauche s'était emparée de onze régions, n'en laissant que deux à Berlusconi.

La gauche résiste

Au sein de sa coalition, la Ligue du Nord réalise une excellente opération. Son représentant en Vénétie, le ministre de l'Agriculture, Luca Zaia, réalise le meilleur score de ces élections avec 62,5% des suffrages. Son parti obtient près de 38% des suffrages contre moins de 24% pour son allié du PDL (Peuple de la liberté).

Nette victoire pour deux candidats du PDL : Stefano Caldoro en Campanie (Naples) avec 57% et Roberto Formigoni, le gouverneur sortant, en Lombardie (55,1%). Le PDL avait failli être exclu du scrutin dans la première région industrielle d'Italie. Seul un recours en justice avait permis in extremis de l'inscrire sur les listes électorales.

Cela n'a pas été le cas dans le Latium, où le PDL a été éjecté de la compétition, faute d'avoir pu inscrire ses listes en temps utile. La syndicaliste de droite Renata Polverini est sortie gagnante d'un duel très serré avec Emma Bonino (ancienne commissaire européenne) présentée par la gauche. Le soutien de Silvio Berlusconi, qui avait organisé une vaste manifestation de soutien en sa faveur à Rome le 20 mars, lui aura été utile.

Quelque 64,2% des électeurs ont voté. Soit un taux d'abstention inférieur de 8% par rapport à 2005 et anormalement élevé en Italie pour une telle consultation.

LIRE AUSSI :

» Silvio Berlusconi force la loi électorale

» Berlusconi face à une élection test en Italie

» L'inoxydable popularité du Cavaliere

Stefano Caldoro a fait tomber Antonio Bassolino, baron du Parti démocrate. La Campanie fait partie des quatre régions conquises par la droite.

Pour encourager «le tombeur du gouverneur Antonio Bassolino», le théâtre d'Afragola est comble. Par centaines, ils sont accourus de la province, toutes bannières déployées, pour saluer «leur» candidat, Stefano Caldoro, un politicien de 50 ans aux allures de jeune premier choisi par Silvio Berlusconi pour conquérir ce bastion de la gauche.

Pendant deux heures, ils vont suivre avec passion des torrents d'élocution, interrompant à tout bout de champ les orateurs par des salves d'applaudissements. Un meeting comme tant d'autres, un peu de fièvre en plus ? Pas seulement : à Afragola, ce dernier rendez-vous de la campagne a un avant-goût de revanche. Cette agglomération hideuse de 63 000 habitants, avec ses rues étroites, ses murs lépreux et ses ordures qui jonchent le sol, sans industrie autre qu'une panoplie d'hypermarchés, est le fief incontesté du gouverneur sortant, Antonio Bassolino, l'homme le plus puissant mais aussi le plus haï de Campanie.

Des ennemis dans son propre parti

Militant du Parti communiste dès l'âge de 17 ans, puis baron du Parti démocrate, Antonio Bassolino est un exemple remarquable de survie politique. Député, il s'est fait élire maire de Naples en 1993, puis gouverneur de Campanie en 2000, poste qu'il a occupé pendant dix ans.

Ses ennemis au sein de son propre parti ne se comptent pas. Le chef de l'État, Giorgio Napolitano, napolitain lui aussi, ne l'apprécie guère. Le «désastre» de Naples, les zones industrielles en friche, les banlieues miteuses, l'image épouvantable de ses rues et de ses routes envahies de monceaux d'ordures en 2008, «c'est sa faute».

Ex-showgirl

Tel est du moins l'argument martelé par Stefano Caldoro. «Après dix-sept ans d'oppression, il est temps de changer», lance-t-il. Argument d'autant plus sensible que son adversaire, le maire de Salerne, Vincenzo De Luca (61 ans), mène une campagne en solitaire, avec pour seul appui politique précisément Antonio Bassolino.

Tout au long de sa campagne, le poulain de Silvio Berlusconi est épaulé par Mara Carfagna, femme de 35 ans d'une grande beauté, ancienne vedette de show-biz devenue ministre de l'Égalité des chances. L'ancien mannequin se révèle une actrice de la politique. Tête de liste de la majorité dans la province, elle décline les thèmes de campagne, rendant hommage «au fair-play, à l'éducation et au sérieux» de Stefano Caldoro.

Dans l'autre camp, le candidat de gauche, Vincenzo De Luca ne veut prendre aucun risque. À Casal di Principe, ce gestionnaire efficace qui a fait de sa ville de Salerne un exemple de bonne administration présente son propre plan emploi : 1 milliard d'euros pour réaliser en Campanie 50 000 postes de travail. «C'est du concret. Rien à voir avec la propagande de Berlusconi» , assure-t-il.

Pour son dernier meeting, il a choisi Casal di Principe, un symbole. Le clan camorriste des Casalesi a longtemps régné en maître dans cette ville de 21 000 habitants à l'urbanisme désespérant. En 2008, il a mitraillé six Africains dans un bar.

Depuis, il a été démantelé par les forces de l'ordre. Très honnêtement, De Luca en rend hommage au ministre de l'Intérieur, Roberto Maroni, de la Ligue du Nord. Tout en ajoutant : «La meilleure manière de battre la Camorra, c'est sur le terrain, en créant des emplois.»

LIRE AUSSI :

» Italie : la droite progresse aux régionales

» L'inoxydable popularité du Cavaliere

» Silvio Berlusconi force la loi électorale

» Des régions piégées par des montages financiers

Par Richard Heuzé

silvio_berlusconi_shaking_hands

source sur 20 MINUTES.FR ( merci à eux ) :

http://www.20minutes.fr/article/394302/Monde-Regionales-La-coalition-de-Berlusconi-derobe-quatre-regions-a-la-gauche.php

ITALIE - Résultats surprises, sous fond d'abstention et de forte poussée de la Ligue du nord...

Ne pas enterrer le Cavaliere. Déjouant les pronostiques négatifs, la coalition de droite de Silvio Berlusconi a remporté 6 des 13 régions en jeu dimanche et lundi, dont 4 qui étaient tenues par la gauche, notamment les cruciales de Rome et Turin.

Le camp Berlusconi a crié victoire alors qu'à la veille du scrutin, il pariait au mieux sur le gain de deux régions (Calabre, Campanie).

Participation en baisse

Le porte-parole du gouvernement Paolo Bonaiuti a qualifié de «succès» ces performances pour des élections de mi-mandat qui sont d'habitude l'occasion de donner un avertissement au gouvernement en place. Il s'est réjoui sur la chaîne d'information en continu Sky TG24, que «les Italiens aient décidé au contraire de le récompenser dans un moment de crise».

La participation a été très basse au regard de l'affluence habituelle en Italie, à 64,2% –en baisse de 8 points par rapport à 2005 et le plus faible score depuis 15 ans pour ce type de scrutin. Cela montre que «la classe politique ne donne pas de réponses aux difficultés économiques provoquées par la crise», a estimé Paolo Gentiloni du Parti démocrate (gauche).

Symbole de cette grogne, à Bocchigliero, un petit village de Calabre, seulement 2,85% des électeurs ont voté pour protester contre «un Etat qui les a abandonnés». Autre signe de mécontentement: la liste du comique Beppe Grillo a recueilli près de 7% des voix dans la région traditionnellement à gauche d'Emilie-Romagne.

Merci la Ligue du nord

Selon les estimations, la coalition de Berlusconi a bénéficié d'une aide majeure de la Ligue du nord: en Vénétie, son candidat Luca Zaïa a remporté le scrutin haut la main et dans le Piémont, région ouvrière siège de Fiat, Roberto Cota a de justesse supplanté la présidente sortante de gauche Mercedes Bresso.regit2010

Commentant l'avancée de son parti dans ces deux régions, le chef du parti populiste, Umberto Bossi, a lancé: «La gauche est KO, elle a perdu toutes les voix qu'elle avait. Dans le nord, les ouvriers ne votent plus à gauche».

La Ligue fera payer cher à Berlusconi ses victoires dans le Piémont et en Vénétie, en réclamant probablement un ministère de plus et la mairie de Milan, selon le politologue Marc Lazar.

Dans la symbolique région de Rome, la syndicaliste de droite Renata Polverini est sortie gagnante d'un duel très serré avec l'ex-commissaire européenne de gauche Emma Bonino, une victoire célébrée dans les rues de la capitale par des klaxons et un rassemblement Piazza Del Popolo.

Il y a trois mois, surfant sur un regain de popularité après l'agression de Silvio Berlusconi à Milan par un déséquilibre, la majorité au pouvoir pensait remporter jusqu'à 9 régions sur les 13.

Mais le PDL (Peuple de la liberté) de Berlusconi avait dû revoir ses ambitions à la baisse après des scandales de corruption impliquant ses élus et un «cafouillage» dans le dépôt de ses listes à Milan et Rome.

P.B. avec agence  ( merci à eux )


IN ITALIANO

La coalizione di Silvio Berlusconi ha sequestrato quattro roccaforti della sinistra.

Forte crescita della Lega Nord, tenendo la sinistra nelle sue roccaforti tradizionali e l'affermazione del "popolo della libertà (PDL) di Silvio Berlusconi in quattro aree precedentemente detenuta da parte dell'opposizione: i risultati delle elezioni regionali che hanno avuto luogo Domenica e Lunedi mattina in Italia hanno confermato la maggioranza al potere. Esso dovrebbe incontrare il primo ministro, che ha condotto un'intensa campagna per evitare la sconfitta che la minacciava.

Nella regione Lazio d'Italia secondo il numero degli elettori, il giusto connubio Renata Polverini alla fine vincere la gara stretti che si oppone al radicale ed ex commissario europeo Emma Bonino. Astenuti fa era del 13% in più rispetto al 2005 nel Lazio ed è superiore alla media nazionale (36% di astensioni o 8 punti in più rispetto lo scorso regionale) e potrebbe essere spiegato con l'assenza PDL, bandito dalla competizione elettorale da parte del giudice di colpa Lazio per mettere i loro elenchi nel tempo.

Silvio Berlusconi non era ancora prevalentemente sostenuto il suo candidato, fino a Renata Polverini headliner della manifestazione che l'LDP ha presieduto il 20 marzo luogo San Giovanni in Laterano a Roma.
La sinistra ha in sette regioni

La Lega ha anche vinto un altro un po 'inaspettata vittoria nella battaglia molto contestata del Piemonte, un altro settore industriale, Roberto Cota ha assunto la guida in tarda serata, con un vantaggio di più di tre punti sul governatore uscente del Mercedes Bresso sinistra.

A seguito dello scrutinio in tredici regioni, secondo i risultati parziali, il diritto mantiene le due aree industriali del Nord che aveva, Lombardia e Veneto, e ha vinto quattro, Campania, Calabria, Piemonte e Lazio. Come per la sinistra, che aveva undici anni, che conserva sette, la maggior parte situati nel centro Italia e sud. Il miglior punteggio è stato fatto in Veneto dal ministro dell'Agricoltura Luca Zaia, premiata il 60% dei voti mentre il suo partito, la Lega Nord, effettua un'operazione di ammenda con il 35% dei voti, battendo il suo alleato PDL (24%).
La coalizione di Silvio Berlusconi ha sequestrato quattro roccaforti della sinistra.

La coalizione di Silvio Berlusconi apparso Martedì mattina in una posizione per vincere in sei regioni. In aggiunta al Veneto e Lombardia si registra, ha derubato di quattro regioni a sinistra: Lazio, Piemonte, Campania e Calabria.

Secondo recenti proiezioni, la sinistra dovrebbe consolidare almeno sette regioni, tutte le sue roccaforti tradizionali già controllato: Basilicata, Emilia-Romagna, Toscana, Marche, Umbria e Liguria e Puglia, dove ha goduto del sostegno locale del alleati centristi dell'Udc in altre regioni della coalizione di governo.

Nei precedenti elezioni del 2005, la sinistra aveva catturato undici regioni, lasciando solo due a Berlusconi.
La sinistra resiste

All'interno della sua coalizione, la Lega Nord fa un'operazione eccellente. Il suo rappresentante nel Veneto, il ministro dell'Agricoltura Luca Zaia, realizza il miglior punteggio delle elezioni con il 62,5% dei voti. Il suo partito vince quasi il 38% dei voti, contro meno del 24% per il suo alleato PDL (Popolo della Libertà).

Chiara vittoria per entrambi i candidati PDL: Stefano Caldoro in Campania (Napoli) con il 57% e Roberto Formigoni, il governatore uscente, la Lombardia (55,1%). Il PDL è stato quasi escluso dal ballottaggio nella prima regione industriale d'Italia. Solo un giudice d'appello aveva permesso l'ultimo minuto per l'iscrizione nelle liste elettorali.

Non era questo il caso del Lazio, dove il LDP è stato espulso dalla competizione dopo il fallimento di registrare le proprie liste nel tempo. L'unione di dritto Renata Polverini è uscito a vincere un duello serrato con Emma Bonino (ex commissario europeo) da parte della sinistra. Il sostegno di Silvio Berlusconi, che aveva organizzato una grande manifestazione di sostegno a Roma il 20 marzo è stato utile.


Stefano Caldoro portato giù Antonio Bassolino, il barone del Partito Democratico. La Campania è una delle quattro regioni conquistate dalla destra.

Per incoraggiare "il distruttore del governatore Antonio Bassolino, il teatro era pieno Afragola. Centinaia stanno affollando alla provincia, tutti gli striscioni, dare il benvenuto a "loro" candidato, Stefano Caldoro, un politico di 50 anni, come l'uomo scelto dal leader Silvio Berlusconi per vincere questo bastione della sinistra.

Per due ore, seguiranno con i torrent la passione del discorso, fermandosi ad ogni passo i diffusori da scoppi di applausi. Una manifestazione come tante altre, un po 'di febbre troppo? Non solo: ad Afragola, l'ultimo appuntamento della campagna ha un sapore di vendetta. Questo orrendo agglomerato di 63 000 abitanti, con le sue stradine, i suoi muri scrostati e spazzatura che ingombrano il terreno con nessun altro settore di una vasta gamma di ipermercati, è la roccaforte indiscussa del governatore in carica, Antonio Bassolino, l'uomo più potente ma anche il più odiato della Campania.
Nemici nel suo partito

Attivista del partito comunista a partire dall'età di 17 anni, poi barone del Partito Democratico, Antonio Bassolino è un notevole esempio di sopravvivenza politica. MPP, è stato eletto sindaco di Napoli nel 1993, allora governatore della Campania nel 2000, carica che ha ricoperto per dieci anni.

I suoi nemici all'interno del suo partito non conta. Il capo dello Stato Giorgio Napolitano, napoletano, anche, lo apprezza. La "catastrofe" di Napoli, le zone industriali deserto, sobborghi malfamati, l'immagine terrificante dei suoi vicoli e le strade allagate con i mucchi di immondizia nel 2008, "è colpa sua."
Ex-showgirl

Questo almeno è l'argomento martellato da Stefano Caldoro. "Dopo diciassette anni di oppressione, è il momento di cambiare", dice. Argomento ancora più sensibile rispetto al suo avversario, il sindaco di Salerno, Vincenzo De Luca (61) sta conducendo una campagna da solo, con l'unico sostegno politico proprio Antonio Bassolino.

In tutta la sua campagna, il puledro di Silvio Berlusconi è supportato da Mara Carfagna, 35 anni vecchia di grande bellezza, ex star del show-biz è diventato ministro per le Pari Opportunità. L'ex modella si trasforma politica attrice. Top candidato della maggioranza in provincia, assume il campo "oggetto", in onore di "fair play, l'educazione e la serietà" di Stefano Caldoro.

Nel campo, il candidato di sinistra, Vincenzo De Luca non vuole correre rischi. A Casal di Principe, il manager efficace che ha trasformato la sua città di Salerno è un esempio di buona amministrazione presenta il suo piano per l'occupazione: 1 miliardo di euro per realizzare in Campania 50 000 posti di lavoro. "E 'concrete. Niente a che fare con la propaganda di Berlusconi ", dice.

Per la sua ultima riunione, ha scelto Casal di Principe, un simbolo. Il clan dei Casalesi Camorrist è da tempo regnava sovrana in questa città di 21 000 abitanti alla disperazione urbana. Nel 2008, ha mitragliato sei africani in un bar.

Da allora è stato smantellato dalla polizia. Molto onestamente, De Luca onora il ministro degli Interni, Roberto Maroni della Lega Nord. Mentre aggiungendo: "Il modo migliore per sconfiggere la camorra, è a terra, creando posti di lavoro."

ITALIA - Risultati sorprese nel fondo di astensione e di aumento della Lega Nord ...

Non seppellire il Cavaliere. Contrastare la prognosi negativa, coalizione di destra di Silvio Berlusconi ha vinto 6 delle 13 regioni in gioco Domenica e Lunedi, 4 delle quali sono state organizzate dalla sinistra, compreso il cruciale Roma e Torino.

Il campo di Berlusconi ha rivendicato la vittoria, mentre alla vigilia delle elezioni, ha scommesso sul guadagno migliori in due regioni (Calabria, Campania).
Partecipazione down

Il portavoce del governo Paolo Bonaiuti ha descritto come "successo" delle prestazioni in queste elezioni di medio termine che di solito sono l'occasione per mettere in guardia il governo. Ha accolto con favore la notizia canale Sky TG24 ha continuato affermando che "gli italiani hanno deciso invece di ricompensarlo in un momento di crisi".

L'affluenza è stata molto bassa sotto la folla al solito in Italia il 64,2%, in calo di 8 punti a partire dal 2005 e il punteggio più basso da 15 anni per questo tipo di elezione. Questo dimostra che "i politici non danno risposte alle difficoltà economiche causate dalla crisi", ha detto Paolo Gentiloni Partito Democratico (a sinistra).

Simbolo di questo malcontento a Bocchigliero, un piccolo paese della Calabria, solo il 2,85% degli elettori ha votato per protesta contro "uno Stato che li ha abbandonati". Un altro segno del malcontento: l'elenco dei comici Beppe Grillo ha raccolto quasi il 7% dei voti nella regione tradizionalmente di sinistra della Regione Emilia-Romagna.

Thank you Lega Nord

Secondo le stime, la coalizione di Berlusconi ha assistito la maggior parte della Lega Nord: il Veneto, Luca Zaia il suo candidato ha vinto le elezioni facilmente, e nella regione Piemonte di lavoro sede della Fiat, Roberto Cota ha restrittivo ha superato il presidente uscente di sinistra Mercedes Bresso.

Commentando l'andamento del suo partito in queste due regioni, il leader populista del partito, Umberto Bossi, ha lanciato "La sinistra è KO, ha perso tutti la voce che aveva. Nel nord, i lavoratori non votano più a sinistra. "

Non ci sono che le elezioni nella vita di Berlusconi, ci sono anche le donne. Trovare il nostro slideshow facendo clic qui

La Lega si pagano a caro prezzo la vittoria di Berlusconi in Piemonte e Veneto, che richiede probabilmente un dipartimento di più e il sindaco di Milano, secondo l'analista politico Mark Lazar.

Nel settore simbolico di Roma, il giusto connubio Renata Polverini è uscito a vincere una lotta serrata con l'ex commissario europeo Emma Bonino a sinistra, una vittoria celebrata per le strade della capitale con clacson e una manifestazione Piazza del Popolo.

Tre mesi fa, navigando su una rinascita della popolarità dopo l'attacco di Silvio Berlusconi a Milano da uno squilibrio, la maggior parte pensava di vincere fino a 9 regioni su 13.

Ma il PDL (Popolo della Libertà), Berlusconi è stato costretto a rivedere le proprie ambizioni verso il basso, dopo gli scandali di corruzione che coinvolgono i suoi eletti e spreco "nel deposito della sua lista a Milano e Roma.


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