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17 octobre 2017

ALLONS NOUS ALLER PLUTÔT VERS UNE PÉRIODE GLACIÈRE QUE VERS UN RÉCHAUFFEMENT POUR NOTRE PLANÈTE LA TERRE ?

RAPPEL : Mensonges et manipulations sur un réchauffement éventuelle du au CO2 de notre atmosphère terrestre !

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Publié par Bernard Martoia le 18 septembre 2017
la Grande et la petite Séolane couvertes de neige le 17 septembre 2017

En pleine canicule de l’été 2015, le professeur d’astrophysique de l’université de Northumbria, Valentina Zharkova, annonça qu’une période glaciaire se profilait à l’horizon 2030.

Retour sur cette annonce sensationnelle qui défia la gauche mondialiste et que je m’empressai de commenter. (1)

(1) https://www.contrepoints.org/2015/07/17/214380-une-nouvelle-ere-glaciaire-se-profile-a-lhorizon-2030

L’annonce de cette Russe était gênante, car elle travaillait dans une université britannique. C’était un camouflet infligé au tandem, tirant à hue et à dia, formé par le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius et la ministre de l’Environnement Ségolène Royal, qui se disputaient la tiare de la grande messe du réchauffement climatique qui fut donnée au salon du Bourget en décembre 2015. Dans le langage technocratique qui sied aux fidèles de l’ONU, il s’agissait de la COP 21.

En dehors du licenciement du journaliste Philippe Verdier par la chaîne de télévision publique France 2, acté le 31 octobre 2015, (2) la grand-messe verte se déroula sans la moindre anicroche au Bourget.

(2) http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/11/01/le-m-meteo-de-france-2-annonce-son-licenciement_4800951_3236.html

Pourquoi n’y eut-t-il pas d’émeutes comme c’est souvent le cas lors des sommets économiques ? Les habitants de Gênes en 2001 ou d’Hanovre en 2017 en savent quelque chose. Parce que l’extrême-gauche qui a le monopole de la violence considère que la redistribution des richesses entre pays riches et propres et pays pauvres et sales est une bonne chose pour l’humanité même si cela ne règle en rien la question de l’origine du réchauffement climatique.

Pour faire court, l’iconoclaste russe prétendit que le réchauffement climatique était lié à la synchronisation de deux champs magnétiques du soleil. Le premier au centre était bien connu de la communauté scientifique, mais le second périphérique du soleil fut découvert par elle. Il en résulte que le soleil fonctionne comme un géant moteur électromagnétique. Lorsque les deux champs sont synchrones, l’activité du soleil est maximale. Quand ils se désynchronisent, l’activité du soleil baisse d’autant.

Cette importante découverte peut être vérifiée par n’importe quel quidam

Le 15 janvier 2012, ma curiosité maladive me poussa à me rendre sur la colline de l’Hautil qui surplombe une boucle de la Seine à la hauteur de la commune de Triel. Sur celle-ci fut érigé un observatoire astronomique en 1973. Il est ouvert au grand public. (3)

(3) https://fr.wikipedia.org/wiki/Observatoire_de_Triel-sur-Seine

Une jeune guide invita les rares visiteurs en cette journée froide d’hiver à observer l’activité du soleil avec un télescope réfléchissant son image aveuglante sur un mur en béton. Nous comptâmes seulement six taches noires sur le cercle solaire réfléchi. J’interrogeai benoîtement la jeune guide pour savoir s’il y avait une corrélation entre le nombre restreint de taches noires et l’activité solaire. Ne se méfiant pas de ma question posée, elle répondit oui sur-le-champ. Poussant mon avantage, je lui demandai s’il y avait aussi une corrélation entre l’activité solaire et le réchauffement climatique. Flairant le piège que je lui tendais, elle se rétracta et demeura évasive. Elle fut sauvée par l’assistance qui s’empressa de passer à un autre sujet, car les Français moutonniers ne se permettent pas de contester l’autorité de la chose jugée qui est devenue un dogme pour la secte de Gaia.

 

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L’autorité intangible de la chose jugée du camp progressiste

Phillipe Verdier l’apprit à ses dépens en publiant son pamphlet Climat Investigation. Son éditeur téméraire aurait mérité le goulag, mais la France est un Soviet soft où les dissidents perdent seulement leur emploi et ne finissent pas leur vie misérable dans des camps de rééducation.

Pour autant, une élite autoproclamée se jette bestialement sur tout individu qui dévie de la pensée unique. Rappelez-vous l’anathème lancé, en 2008, contre Michel Gugenheim qui écrivit Aristote au Mont-Saint-Michel : les racines grecques de l’Europe chrétienne. Rendez-vous compte que cet ouvrage iconoclaste remettait en cause l’apport islamique à notre civilisation judéo-chrétienne ! Cela fonctionne plutôt bien, car personne n’a envie d’être exclu de la société à quelques exceptions près.

J’en sais quelque chose pour ma part au Quai d’Orsay où je n’ai jamais obtenu le moindre avancement ou la moindre promotion dans ma carrière. J’ai été recalé à tous les oraux de concours auxquels je me suis hissé en passant le cap anonyme des épreuves écrites. L’ignominie fut une note éliminatoire à l’oral en anglais (9/20) alors que j’avais obtenu un 14/20 à l’écrit ; la même chose se produisit à l’ENA. Parmi le personnel diplomatique français, il y eut un certain Romain Gary alias Émile Ajar qui écrivit deux livres en anglais : Lady L en 1963 et The Ski Bum en 1965. J’en ai écrit trois à ce jour. Aucune autre personne du Quai d’Orsay n’en a écrit un en anglais à ma connaissance.

A un supérieur hiérarchique qui appuyait ma promotion, il lui fut répondu que les syndicats qui sont dans les commissions paritaires ne voulaient pas entendre prononcer mon nom. Pour les camarades syndiqués, il s’agissait d’une provocation avec la candidature d’un ultra-libéral militant avec Claude Reichman pour l’abolition du monopole de la sécurité sociale.

Le président Woodrow Wilson dit un jour ‘The man who is swimming against the stream knows the strenght of it. (L’homme qui nage à contre-courant connaît la force de celui-ci.) Nul ne fut mieux placé pour le savoir quand les syndicalistes et les lécheurs de botte avaient un avancement quasi automatique.

Mon blog droite conservatrice fut fermé après l’élection présidentielle de 2012 parce que j’étais devenu un électron gênant pour la pensée unique. En conséquence de quoi, la langue anglaise devint mon refuge. Elle reste plus que jamais mon espace de survie, ma bouteille d’oxygène dans une France redevenant totalitaire.

Pour les progressistes, le totalitarisme n’existe pas, car la contestation de leurs idées est illégitime. Elle vaut à ces irréductibles des qualificatifs bien connus de réactionnaire, de facho, de nazillon, de raciste rance ou de déséquilibré mental quand il s’agit d’un musulman armé d’un couteau et criant son amour pour Allah aux passants.

Il ne faut jamais accepter ces qualificatifs erronés sinon vous vous rendez complice de leur dialectique implacable. Nazi ne veut absolument rien dire, car il faut parler de national-socialiste pour montrer à l’adversaire que la reductio ad Hitlerum signifie la condamnation du socialisme. Son parti s’appelait le parti national-socialiste des travailleurs allemands. (Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei). De même, il faut dire que le fascisme était un autre mouvement totalitaire de gauche. Benito Mussolini proclama « Tout dans l’État, rien contre l’État, rien en dehors de l’État. Quant au parti communiste de l’Union soviétique, il était le seul parti autorisé entre la fin de la guerre civile en 1925 et 1990. Le vingtième siècle a été celui des diverses formes de totalitarismes qui sont tous issus du socialisme.

Nous sommes en 2017. Malgré le froid intense qui régna en début d’année, je sortis de ma tanière, quelque part sur la montagne de Lure, quand un deuxième iconoclaste publia un autre blasphème en prétendant que le réchauffement climatique n’était point lié au taux de carbone dans l’atmosphère. Il s’agissait du professeur de géologie à l’université de Bruxelles Alain Pérat.

Contrairement aux progressistes pour qui l’histoire du monde n’a véritablement commencé qu’avec la Révolution française de 1789, ce professeur s’est basé sur des échantillons de roches datant presque de la naissance de notre planète il y a 4, 567 milliards d’années. La prudence de ce chercheur contrastait avec l’autorité de la chose jugée de la classe progressiste. Pour ceux qui veulent en savoir davantage, reportez-vous à ses éminents travaux ou à mon simpliste article si vous ne voulez pas vous faire de nœuds dans les neurones. (4)

(4) https://www.dreuz.info/2017/01/18/le-rechauffement-climatique-lie-a-lactivite-humaine-a-lepreuve-des-observations/

Nous sommes à la mi-septembre que déjà la neige couvre les cimes qui entourent la vallée de l’Ubaye où j’ai choisi de passer humblement ma petite retraite. La première chute de neige est tombée, le 10 septembre, à partir de 2500 mètres d’altitude, et la seconde, le 15 septembre, un peu plus bas à 2000 m. Nous sommes passés sans transition de l’été à l’hiver. Comme il gèle la nuit, les livreurs de mazout, de gaz ou de bois sont débordés par les commandes qui affluent. J’attends depuis deux semaines le passage d’un plombier pour remplacer le robinet cassé d’un radiateur.

A un ami progressiste à qui j’annonçai ces chutes de neige précoces et qui me tient pour un réactionnaire irrécupérable, il me tança en me disant ‘La prochaine fois que tu m’appelles, tu vas peut être m’annoncer que la terre est plate.’

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Au secours, monsieur Hulot, il gèle en septembre !

Les fruits et les légumes pourrissent dans la vallée et aucun champignon n’est sorti dans les bois et les prés. Mais je tiens à vous rassurer, monsieur le ministre de l’Environnement, et madame l’ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique [Ségolène Royal], que les glaciers de la haute Ubaye ont survécu à la canicule, comme l’atteste cette photo du glacier occidental de Marinet, prise le 5 septembre.

Qu’adviendra-t-il en en 2030 quand l’activité solaire aura décru de 60% selon la prédiction de Zharkova ?

L’iconoclaste donnait une marge d’erreur de 3% à son modèle de prévision. Cela nous laisse une petite marge « en attendant que et en même temps que.» Ne voyez aucune impertinence de ma part envers Jupiter qui considère que sa pensée est trop complexe pour être exprimée aux journalistes. N’a-t-il point laissé entendre que le terrorisme serait lié au réchauffement climatique ? Si sa lumineuse pensée s’avère exacte, alors le refroidissement climatique qui est en marche serait une excellente nouvelle pour la sécurité des Français. Puisse que sa subliminale causalité se réaliser le plutôt possible avec le départ volontaire des Africains de l’autre côté de la Méditerranée quand les glaciers alpins avanceront inexorablement !

 

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Comme je suis un Néandertalien irrécupérable, or an unreconstructed conservative according to my fellow liberal Americans, je vous invite, en cette journée du patrimoine, de visiter le musée de la préhistoire à Quinson dans les gorges du Verdon. Le col d’Allos à 2240 m d’altitude est la ligne de partage des eaux entre les bassins de l’Ubaye et du Verdon.

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Nos ancêtres, qui n’étaient pas des Africains, mais des Néandertaliens, vivaient dans quelques grottes disséminées à la sortie du grand canyon du Verdon. Ils se nourrissaient d’ours, de cervidés ou de tigres à dents de sabre (smilodon fatalis). Leur habitat était coincé dans une bande de terre étroite entre la Méditerranée au sud, et les glaciers au nord. La rive nord du Verdon était à cette époque une barrière de glace infranchissable pour ces chasseurs intrépides.

Les touristes chinois et japonais sont devenus toqués des champs de lavande et de blé du plateau de Valensole qui rappellent les couleurs criardes des toiles de Lucien Van Gogh. Quand ils arpentent ces champs bleu et jaune s’étalant à perte de vue avec leur smartphone, ils ne se doutent pas qu’ils foulent un plateau aplani par l’énorme épaisseur de glace qui le couvrait au Quaternaire.

N’en déplaise aux progressistes, notre histoire glorieuse a commencé bien avant la prise de la prison de la Bastille en 1789.

Bernard MARTOIA

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SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Bernard Martoia pour Dreuz.info.

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PUBLIÉ PAR BERNARD MARTOIA LE 18 JANVIER 2017

 

Malgré le bilan médiocre de ses huit années passées à la Maison Blanche, Barack Hussein Obama voudrait bien transmettre à ses amis européens le flambeau de la lutte contre le réchauffement climatique lié à l’activité humaine avant de céder la place à Donald Trump qui l’a dénigré pendant sa campagne électorale.

Ledit réchauffement climatique est devenu une vérité intangible pour le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) dépendant des Nations Unies. Ce groupe défend sa légitimité en arguant « des publications scientifiques dont la valeur scientifique est largement reconnue. »

Quid ad rem des scientifiques ne partageant pas cette opinion ?

Dans le contexte actuel, il faudrait être fou ou suicidaire pour oser proclamer comme Galileo devant ses juges que la terre est ronde

N’en déplaise aux tenants de la lutte contre le réchauffement climatique lié à l’activité humaine, nous sommes retombés dans les temps reculés des inquisitions. Rares sont ceux qui mettent en doute ce dogme car cela signifie leur exclusion (perte d’emploi comme l’a appris, à ses dépens, le journaliste Philippe Verdier de la chaîne France 2 avant l’ouverture de la grande messe verte du Bourget) mais aussi leur possible déferrement devant un procureur de la république ! Rien que pour ça !

C’est le cas d’Alain Préat, professeur de géologie à l’université libre de Bruxelles.

Il a étudié l’histoire du climat et du CO2 depuis la naissance de notre planète il y a 4, 567 milliards d’années jusqu’à nos jours. (1)

Depuis que la terre existe, et ce bien avant la naissance de l’homo sapiens qui date de seulement six millions d’années, ce professeur émérite a constaté qu’il n’y a pas de constante climatique. On s’en serait douté mais l’intérêt de son étude approfondie tient en une seule phrase :

« le taux de CO2 atmosphérique n’a jamais été aussi faible qu’aujourd’hui et il n’y aucune corrélation simple ou linéaire entre le taux de CO2 et la température. »

Au Paléozoïque, période comprise entre 541 et 242 millions d’années, le taux de CO2 de l’atmosphère était compris entre 3000 et 7000 ppm (ppm=partie par million). Au Permien, période comprise entre 298 et 252 millions d’années, le taux de CO2 diminua jusqu’à 210 ppm.

Malgré la remontée du taux de CO2 de 310 à 400 ppm depuis 1960, la période actuelle est anormale d’un point de vue géologique puisque les teneurs en CO2 n’ont jamais été aussi basses en dehors du Permien. Pour mémoire, il y a dix autres périodes charnières dans l’histoire de la terre allant du précambrien (4.600 millions d’années) jusqu’au paléogène se terminant il y a 23 millions d’années.

Le professeur Préat ajoute, « les données géologiques incitent à la prudence pour interpréter la situation actuelle. » Le scepticisme et la prudence de Préat contrastent avec l’autorité de la chose jugée et l’autosatisfaction et du GIEC concernant ses travaux qui ne portent que sur une infime période de la terre (les dernières 2.5 millions d’années). Préat aggrave son cas lorsqu’il réfute la causalité du GIEC – l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère entraînerait une hausse de la température – en se basant sur des forages menés à la base russe de Vostok en Antarctique. Le carottage d’une glace vieille de 240 000 ans a établi que c’est la hausse de la température qui induit celle de CO2 dans l’atmosphère, et non l’inverse comme le proclament les experts du GIEC. De plus, il a mis en exergue un décalage de 800 années entre ces deux phénomènes.

N’en déplaise aux organisateurs de la COP 21 au Bourget, en décembre 2015, qui nous promettaient l’apocalypse si nous ne réduisions pas drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre dans les meilleurs délais, ces 800 ans de répit nous laissent amplement de temps pour cogiter et pour comprendre que notre activité humaine n’est pas la cause des changements climatiques.

Pour éviter toute mauvaise surprise qui contrarierait leur théorie fumeuse, les politiques ont pris la précaution d’employer le terme de «changement climatique» au lieu de «réchauffement climatique.» C’est une sage précaution car ils sont sûrs de ne pas se tromper sur ce point car pour le reste, ils ont tout faux.

Pardonnez-moi de voir le mal partout, mais je persiste à croire que cette vaste opération d’enfumage de l’opinion publique n’a qu’un seul objectif : restreindre les libertés individuelles au profit d’une nouvelle idéologie totalitaire sur les décombres du communisme. Il me semble que l’humanité est vouée à succomber à toute forme d’idéologie totalitaire parce qu’une minorité agissante et nullement humiliée par son échec cuisant du 9 novembre 1989, avec la chute du mur de Berlin, ne supporte pas la liberté des individus.

Le scepticisme du professeur Alain Préat met de l’eau au moulin de la secte des climato-sceptiques

Le mot de secte a une connotation péjorative mais cela est conforme à l’air du temps tant l’immense majorité des citoyens ont avalé la théorie du réchauffement climatique lié à l’activité humaine que leur ont assené écologistes, experts onusiens, journalistes et politiques.

Le professeur de mathématiques et d’astrophysique Valentina Zharkova de l’université de Northumbria au Royaume-Uni a fait une très grande découverte en 2015 qui lui aurait valu le prix Nobel de physique en temps normal (2) car elle va à l’encontre du dogme du réchauffement climatique lié à l’activité humaine.

L’existence d’un champ magnétique au cœur du soleil était connu mais pas celle d’un autre champ à sa surface. La synchronisation et la désynchronisation de ces deux champs magnétiques expliquerait les cycles solaires et leurs durées. Le professeur Zharkova admet une marge d’erreur de 3% dans sa prévision d’un nouvel âge glaciaire à partir de 2030 qui serait la conséquence de la désynchronisation de cette géante dynamo.

 

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Ce nouveau mini âge glaciaire serait comparable à celui que l’Europe a connu entre 1645 et 1715 lorsque la Tamise à Londres et la Seine à Paris étaient gelées en hiver.

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Deux universitaires de Postdam, Georg Feulner et Stefan Rahmstof, avaient anticipé en 2010 la survenance d’un nouvel âge glaciaire mais leur modèle prédisait que la température continuerait néanmoins de grimper de 4°C jusqu’en 2100 parce que la diminution de l’activité solaire ne pourrait pas compenser le réchauffement lié aux gaz à effet de serre. (3) Cette hypothèse est au cœur du débat qui n’intéresse personne.

Rationalisme contre Empirisme

Le rationalisme est une méthodologie ou une théorie dans laquelle le critère de vérité n’est pas sensoriel mais intellectuel et déductif. Le père fondateur de ce rationalisme classique est René Descartes (1596-1650) avec son discours de la méthode. Son influence reste immense en France quatre siècles plus tard car il continue de formater l’esprit des Français aux constructions intellectuelles auxquelles ils demeurent très attachés malgré quelques cuisantes défaites militaires. Rappelez-vous la ligne infranchissable d’André Maginot qui fut aisément contournée dans les Ardennes, le 10 mai 1940, par les divisions blindées du général Heinz Guderian.

L’empirisme est une autre théorie qui affirme que la connaissance provient uniquement de l’expérience sensorielle. Sa méthode scientifique repose sur des hypothèses et des théories qui doivent être testées sur des observations de la nature plutôt que sur l’intuition, le raisonnement ou la révélation. John Locke (1632-1704) est le père fondateur de l’empirisme britannique qui sera conforté par George Berkeley (1685-1753) avec son traité sur les principes de la vie humaine et David Hume (1711-1776) qui rejette le rationalisme parce que cela suppose que la nature reste uniforme dans le temps. Ces auteurs sont malheureusement absents dans les programmes des grandes écoles françaises comme l’ENA.

Jusqu’à présent, les tenants du rationalisme ont le vent en poupe puisque leur théorie s’accorde avec l’élévation de température constatée depuis 1960. On décèle néanmoins un plateau des températures depuis le début du vingt-unième siècle qui devrait les inciter à la prudence.

L’hiver 2017 qui n’en est qu’à sa première moitié a déjà révélé quelques anomalies inquiétantes dans le modèle du GIEC. Le site de Météo France, pourtant peu suspect d’être iconoclaste, a relevé quelques températures anormales à l’échelle de l’Europe et de l’Asie. Dans son actualité du 10 janvier, il mentionne une vague de froid particulièrement intense (4). Ainsi il faisait dans la nuit du 7 janvier à Moscou -29.9°C pour le Noël orthodoxe. Il faut remonter à 1987 pour trouver pareille température dans la capitale russe. Il a fait dans la même nuit -35,2°C à Oravska Lesna en Slovaquie et -5.7°C à Naples, un record absolu pour cette station. Trois nuits auparavant, il faisait -42,4°C à Kautokeino en Suède et -56.6°C à Delyankir en Yakoutie, Sibérie orientale.

Le futur dira qui a raison entre ces deux écoles de méthodologie que tout oppose. Descartes ou Hume ? Construction intellectuelle ou observation de la nature ?

Bernard MARTOIA

SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Bernard Martoia pour Dreuz.info.

Sources
(1) http://revue-arguments.com/articles/index.php?id=6

(2) https://www.contrepoints.org/2015/07/17/214380-une-nouvelle-ere-glaciaire-se-profile-a-lhorizon-2030

(3)http://www.pikpotsdam.de/%7Estefan/Publications/Journals/feulner_rahmstorf_2010.pdf

(4) http://www.meteofrance.fr/actualites/44811672-europe-vague-de-froid-intense

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VAGUE DE FROID SUR L’EUROPE

Dès le début du mois de janvier 2017, un vaste réservoir d’air froid s’est constitué dans les hautes latitudes du continent eurasien : des températures anormalement basses ont été observées du nord de l’Europe au nord-est de la Sibérie. On a relevé en Scandinavie jusqu’à -42,4°C le 4 janvier à Kautokeino (Suède), -56,6°C le même jour à Delyankir en Sibérie et jusqu’à -48,4°C le 6 janvier à Moseyevo dans le nord-ouest de la Russie (station située à une centaine de km au nord-est d’Arkhangkesk).
Sur les 7 premiers jours du mois, l’anomalie thermique varie entre -5°C et -15°C sur toute la partie septentrionale du continent eurasien au-delà de 60° de latitude nord. À titre d’exemple, l’anomalie négative atteint -10,1°C à Tiksi (port de la République de Sakha situé sur la côte de l’océan Arctique, à 1070 km au nord de Iakoutsk) où la température est descendue jusqu’à -45,7°C le 5 janvier (record quotidien de froid depuis 1936, à plus de 2°C du record mensuel [-48,0°C le 29/01/1956]). Autre exemple, l’anomalie thermique atteint -15,1°C à Arkhangelsk (ville portuaire située à 735 km au nord-est de Saint-Pétersbourg) où la température est descendue jusqu’à -41,3°C le 6 janvier, soit l’une des plus basses températures enregistrées à la station depuis 1881 (record mensuel : -45,2°C le 08/01/1885) et un record de froid pour un 6 janvier.

L’air froid s’est engouffré massivement sur l’Europe centrale et orientale à partir du 5 janvier, la France restant en marge des conditions les plus extrêmes. La chute des températures a été brutale : parfois une baisse de 15°C en moins de 24h comme à Minsk (Biélorussie) où l’on a relevé -15°C en plein après-midi (contre 0°C la veille). La température est descendue jusqu’à -29,9°C le 7 janvier à Moscou (Dolgoprudnyj) [jusqu’à -31°C dans la banlieue moscovite], qui enregistre à cette occasion le jour de Noël (orthodoxe) le plus froid depuis 1987 (-31,5°C) et le 2e plus froid depuis 1948. Ces températures basses (y compris en journée) favorisent la persistance de la couche de neige au sol à Moscou depuis le 29 octobre dernier, soit d’ores et déjà 72 jours consécutifs avec une couche supérieure à 1 cm !

Des températures inférieures à -30°C ont été enregistrées en Pologne (-38,9°C le 8 à Czarny Dunajec), en Lettonie (-31,0°C le 7 à Madona et à Rēzeknē), en Biélorussie (jusqu’à -33,2°C le 8), en République tchèque (-34,6°C le 7 à Rokytské slati), en Slovaquie (jusqu’à -35,2°C le 8 à Oravská Lesná), en Allemagne (-30,6°C le 7 à Marienberg-Kuehnhaide), y compris en altitude ou fond de certaines dolines (ou combes) en Allemagne (-41,5°C le 7 au Funtensee [1556 m]), en Italie (-33,2°C le 5 au Col Major [4750 m]), en Suisse (-35,2°C le 6 au Glattalp [1850 m]) et en France (-35,7°C le 6 à Combe-Noire/Mignovillard).

Des températures inférieures à -20°C ont été enregistrées en République de Macédoine (-28,0°C le 8 à Berovo), en Bosnie-Herzégovine (-27,2°C le 7 à Bjelasnica), au Monténégro (-25,9°C le 8 à Plevlja), en Serbie (-26,8°C le 8 à Sjenica), en Croatie (-22,0°C le 8 à Slavonski Brod), ou encore en Hongrie (-28,1°C le 8 à Tésa, soit la plus basse température relevée dans le pays un 8 janvier [précédent record : -26,5°C le 08/01/1985 à Romhány]).

Comme on peut le constater, cette vague de froid n’est pas anodine. En Slovaquie par exemple, la température est descendue jusqu’à -35,2°C dans la nuit du 7 au 8 janvier à Oravská Lesná (930 m) : il faut remonter au 14/01/1987 pour trouver une température plus basse dans le pays (-35,6°C à Červený Kláštor). En plaine, on a relevé jusqu’à -30,5°C le 8 janvier à Dudince, soit la plus basse température à la station depuis le début des mesures en 1977. En montagne, on a relevé -29,6°C le 7 à Lomnický štít (2633 m), soit un record mensuel depuis le début des mesures à la station en 1951 (-27,4°C en janvier 1985) ; à Chopok (2005 m) la température n’est pas remontée au-dessus de -24,4°C durant la journée du 6, ce qui constitue la température maximale journalière (0h-24h) la plus basse depuis le début des mesures à la station en 1955 (précédent record : -24,0°C le 16/01/1963) !

En Albanie et en Italie, 3 stations ont d’ores et déjà enregistré un record absolu de froid (tous mois confondus) ce 8 janvier : Vlore (Albanie) avec -9,4°C, Durres (Albanie) avec -9,0°C et l’aéroport de Naples (Italie) avec -5,6°C [valeur corrigée] (précédent record depuis 1929 : -5,6°C le 10/01/1981) !

En Grèce, notons aussi que la température n’est pas montée au-dessus de -4,9°C durant la journée du 7 janvier à Thessalonique, ce qui constitue un record pour la station (précédent record : -3,9°C le 13/01/1968).

Dans un flux de secteur nord vigoureux, la neige est tombée en abondance autour de l’Adriatique dès le 6 janvier, sur les reliefs des Balkans (en particulier sur le relief monténégrin et bosniaque), sur les Apennins, dans les régions italiennes des Abruzzes et du Molise notamment (65 cm le 7 janvier à Campobasso [600 m] et des congères atteignant 2 m de haut dans le village de Capracotta à 1400 m d’altitude), mais également jusque sur le littoral italien par effet de lac (jusqu’à 30 cm à basse altitude dans la région des Pouilles le 7). En effet, en traversant la mer Adriatique l’air s’est chargé d’humidité et a donné de fortes précipitations sur les côtes italiennes (comme on peut le voir sur les plages de Porto Cesareo, province de Lecce dans la région des Pouilles), alors qu’il n’a pas neigé un flocon sur la côte croate ou à Mostar en Bosnie en raison des puissants vents d’est catabatiques (rafale à 218 km/h mesurée à l’aide d’un anémomètre à main le 6 janvier sur le pont de l’île de Pag en Croatie !). Des flocons ont également été observés à Santa Maria Di Leuca, station côtière située à l’extrémité de la botte italienne (région des Pouilles).

Plus au sud, la neige est tombée abondamment en Sicile au-dessus de 700m d’altitude et la température est descendue jusqu’à -13,3°C le 7 janvier à Linguaglossa (1816 m) sur le versant nord de l’Etna, soit à 2°C environ du record absolu de froid pour la Sicile (-15,2°C en février 1956 à Casa Cantoniera). Il a également neigé à basse altitude en Sicile, en particulier le 7 janvier à Taormina (sur la côte nord-orientale) où l’on a relevé plus de 10 cm (un record depuis 1956). Il a neigé aussi à Catane, mais la neige n’a pas tenu au sol dans les secteurs les plus bas (contrairement à l’épisode neigeux de janvier 1905 au cours duquel plusieurs cm avaient été mesurés): située en position d’abri sous le vent de l’Etna lorsque le flux dominant est de secteur nord, la ville jouit en effet d’un microclimat. Sur la côte méridionale de l’île, il est tombé seulement quelques flocons à Gela (la neige n’ayant tenu au sol que 2 fois dans ce secteur, en février 1956 et surtout en janvier 1905).

La masse d’air froid continue de glisser vers le sud (-21,3°C le 8 à Florina dans le nord de la Grèce et -2,0°C sur l’île de Zakynthos, -5,8°C le 9 à Kasteli en Crète) : elle a déjà atteint la Méditerranée orientale et devrait gagner dans les prochains jours le Moyen-Orient.


D’abondantes chutes de neige sont également attendues en Turquie jusqu’au 9 janvier (la couche de neige atteint déjà 260 cm le 8 janvier au matin à la station de ski d’Uludağ et 40 cm dans certains quartiers d’Istanbul).
Notons qu’il a neigé sur le littoral crétois ce 8 janvier et que de la neige a été signalée à l’aéroport international de l’île grecque de Zakhyntos le 7 janvier (station située au niveau de la mer), ce qui constitue une première pour la station et à basse altitude sur cette île selon le climatologue Maximiliano Herrera.

Notons enfin le contraste thermique saisissant d’une rive à l’autre de la mer Noire (plus de 30°C d’écart !) : le 7 janvier, on a relevé une Tn de -14,0°C à Odessa (Ukraine, rive nord de la mer Noire) et de +15,9°C à l’aéroport de Trabzon (Turquie, rive sud de la mer Noire). Le littoral septentrional de la mer Noire connaît depuis hier des conditions extrêmes de blizzard (notamment à Constanța en Roumanie et à Odessa en Ukraine), contrairement à la côte nord-orientale de la Turquie où la température est montée jusqu’à 23,1°C le 7 à Kalkandere, et à l’est de la mer Noire où l’on a relevé jusqu’à 19,5°C le même jour à Goriatchi Klioutch (Russie, kraï de Krasnodar).

 

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Publié par Magali Marc le 17 octobre 2017

James Delingpole a inventé le terme «Climategate» en 2009 pour décrire le scandale des tricheries révélé par les courriels piratés du Climatic Research Unit (CRU).

Cette affaire résultait de la divulgation d’un ensemble de courriels et de fichiers, datés entre 1996 et le 12 novembre 2009, attribués à des responsables du CRU de l’Université d’East Anglia et à leurs correspondants. La divulgation des fichiers a eu lieu deux semaines avant le début du sommet de Copenhague.

Le Climategate est un des plus grands scandales scientifiques de notre temps. Les courriels et fichiers du Climategate suggèraient que les scientifiques du climat les plus influents dans le monde de la climatologie et du GIEC étaient coupables de graves dérives déontologiques puisqu’ils agissaient de concert afin d’afficher un consensus de façade, manipuler les données et ainsi exagérer le réchauffement climatique ou son interprétation.

Depuis des années, à travers les liens du CRU avec le Hadley Centre, des scientifiques, le IPCC et les gouvernements s’appuient sur leurs prédictions à l’effet que le monde va se réchauffer à des niveaux catastrophiques à moins que des milliers de milliards de dollars soient dépensés pour l’en empêcher.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit ce texte de *JAMES DELINGPOLE paru le 10 octobre dernier sur le site de Breitbart.

Issues du monde de la science – par opposition à la science financée à même l’auge des subventions gouvernementales – deux autres études confirment que la crainte d’un réchauffement climatique provoquée par l’homme est un mythe.

Une étude de Scafetta et al., publiée dans l’International Journal of Heat and Technology, confirme que la «pause» dans le réchauffement climatique est réelle – et que le «changement climatique» est plus probablement le résultat de fluctuations cycliques naturelles que d’émissions de CO2 produites par les humains.

Résumé

La période de 2000 à 2016 montre une modeste tendance au réchauffement que les partisans de la théorie anthropogénique du réchauffement climatique ont appelée «pause» ou «hiatus». Ces expressions ont été choisies pour indiquer que la période d’arrêt de température observée résulte d’une fluctuation interne du climat (par exemple, par l’absorption de chaleur par les profondeurs de l’océan) que les modèles climatiques informatiques prétendent reproduire de temps en temps sans contredire le paradigme de la théorie du réchauffement climatique anthropique (TRCA).

Dans la première partie de cette recherche, il est démontré que l’analyse statistique rejette ces étiquettes avec une confiance de 95% car la période de statu quo a duré plus que la limite de 15 ans prévue par les défenseurs de la TRCA eux-mêmes.

De toute façon, le pic de réchauffement observé en 2015-2016, «l’année la plus chaude jamais enregistrée», a donné l’impression que l’arrêt de la température a cessé en 2014. Ici, les auteurs montrent qu’un tel pic de température n’est pas lié au forçage anthropique des fluctuations naturelles rapides du climat associées au phénomène de l’oscillation australe de El Niño (ENSO).

En supprimant la signature ENSO, les auteurs montrent que la tendance de la température de 2000 à 2016 s’écarte clairement des simulations du modèle de circulation générale (MCG). Ainsi, les modèles de MCG utilisés pour soutenir la TRCA sont très probablement défectueux.

En revanche, les modèles climatologiques semi-empiriques proposés en 2011 et 2013 par Scafetta, basés sur un ensemble spécifique d’oscillations climatiques naturelles supposées astronomiquement induites plus une contribution anthropique significativement réduite, s’accordent bien mieux avec les dernières observations.

Notez que toutes les prédictions de la catastrophe climatique sur lesquelles s’appuient les alarmistes du réchauffement climatique pour soutenir leur thèse sont fausses.

La deuxième étude, publiée par Hodgkins et coll. Dans le Journal of Hydrology, concerne les inondations en Amérique du Nord et en Europe.

Ce qu’elle montre est que, contrairement aux affirmations souvent faites par les alarmistes du climat, il n’y a AUCUNE augmentation des inondations due au «réchauffement climatique» ou au «changement climatique».

Les épisodes d’inondation, d’après cette étude, ont plus à voir avec le hasard qu’avec toute tendance notable à long terme. Il ne trouve aucun lien entre les inondations et le «réchauffement climatique».

 

Résumé
Les inquiétudes concernant l’impact potentiel du changement climatique anthropique sur les inondations ont conduit à une prolifération d’études examinant les tendances passées des inondations. De nombreuses études ont analysé les tendances des débits annuels et maximaux, mais peu ont quantifié les changements dans les inondations majeures (sur 25 à 100 ans), c’est-à-dire celles qui ont eu les plus grands impacts sociétaux.

Les études existantes sur les grandes inondations ont utilisé un nombre limité de très grands bassins versants affectés à des degrés divers par des modifications telles que les réservoirs et l’urbanisation. Dans la présente étude, les tendances des grandes crues de 1961 à 2010 et de 1931 à 2010 ont été évaluées à l’aide d’un très grand ensemble de données ( >1 200 jauges) de divers bassins versants d’Amérique du Nord et d’Europe. Seuls des bassins hydrographiques peu modifiés ont été utilisés pour se concentrer sur les changements climatiques plutôt que sur les changements dus aux altérations des bassins versants. Les études de la tendance des inondations majeures étaient basées sur le comptage du nombre de dépassements d’un seuil d’inondation donné au sein d’un groupe de jauges. Les données sur les tendances significatives ont varié entre les groupes de jauges définis par la taille du bassin versant, l’emplacement, le climat, le seuil d’inondation et la période d’enregistrement. Dans l’ensemble, le nombre de tendances significatives dans les grandes inondations en Amérique du Nord et en Europe était approximativement le nombre attendu en raison du hasard seul. Les changements dans le temps dans la survenue des inondations majeures ont été dominés par la variabilité multidécennale plutôt que par les tendances à long terme. Il y avait trois fois plus de relations significatives entre les grandes crues et l’oscillation atlantique multidécennale que des tendances à long terme significatives.

Quelques aspects de ces études sont à retenir

Premièrement, elles démolissent – encore une fois – le mythe selon lequel il existe un consensus parmi les scientifiques sur le changement climatique catastrophique causé par l’homme.

En fait, comme je l’ai signalé plus tôt cette année, il y a des dizaines de documents produits chaque année par des scientifiques honnêtes et de bonne réputation qui remettent en question la grande peur du changement climatique provoquée par l’homme.

Deuxièmement, les alarmistes détestent que l’on signale ce fait. Après mon article paru sur Breitbart, intitulé Le réchauffement global Global est un mythe selon 58 recherches scientifiques de 2017, un site alarmiste a publié une soi-disant réfutation venant des principaux scientifiques experts du climat.

Le problème étant bien sûr que tous les «experts» impliqués étaient des membres de la cabale alarmiste qui examinent les articles savants des uns et des autres et qui ont impitoyablement exclu du débat les scientifiques qui osent être en désaccord avec eux.

Troisièmement, les alarmistes savent que le chat est sorti du sac depuis un certain temps déjà. Mais, afin de limiter les dégâts, ils essaient d’apporter goutte à goutte (et à leurs propres conditions) des corrections (autrement dit des admissions de leurs erreurs) plutôt que d’autoriser le triomphe des climato-sceptiques qu’ils détestent (tel que votre serviteur).

C’est ce qui est arrivé après la publication d’un article – véritable bombe – de Nature Geoscience, paru le mois dernier et dont les auteurs sont parmi les principaux alarmistes du climat, y compris Myles Allen de l’Université d’Oxford.

Enterré sous un résumé trompeur et terne était une admission extraordinaire: leurs modèles informatiques avaient largement surestimé les effets du dioxyde de carbone sur le réchauffement climatique.

Ce qui signifie bien sûr que la peur du Réchauffement Climatique Anthropique (en anglais: Anthropogenic Global Warming ( AGW ), qui repose avant tout sur ces modèles informatiques est foutue et qu’il est vraiment temps que les prophètes de malheur financés par les contribuables, se rendent enfin réellement utiles pour faire changement.

Mais lorsque les journalistes ont signalé cela, les alarmistes ont riposté en les attaquant supposément pour avoir déformé leur article.

Écoutez, les gars, si une entreprise douteuse – disons Enron Inc – publie son rapport annuel avec un résumé qui dit: « Bonnes nouvelles. Nos profits sont à nouveau à la hausse et nos perspectives sont meilleures que jamais », mais qu’en examinant de plus près les comptes de la société, il s’avère que ce n’est pas vrai, ce n’est pas le rôle des journalistes de rapporter le résumé analytique. Peu importe ce que préfèrent Enron ou Global Warming Inc.

Soyons très clair à propos de ce débat sur le réchauffement climatique. (Je l’ai peut-être déjà mentionné mais ça vaut la peine de le répéter): Quiconque, à ce stade tardif, est toujours du côté alarmiste de l’argument est soit un menteur, un tricheur, un escroc, un arnaqueur, un incompétent, un imbécile, un charlatan ou quelqu’un de si monstrueusement stupide qu’il devrait lui être interdit par la loi d’avoir une opinion sur quelque sujet que ce soit.

Et ça c’est juste pour les scientifiques

L’industrie parasite profitant de tout ce non-sens balancé par la soi-disant science que les alarmistes continuent de pomper dans l’air du temps est encore pire.

Je cite un seul exemple. La semaine dernière, la presse britannique était pleine d’histoires à propos de cette incroyable avancée dans l’industrie éolienne «offshore», où les coûts ont tellement baissé que soudainement ces crucifix écologiques qui broient les chauves-souris, découpent les oiseaux et tuent les baleines – sont devenus plus compétitifs que jamais auparavant. Il n’y avait pas un journal qui évitait de tomber dans cette propagande grossière.

Ce reportage était fortement encouragé par un certain nombre d’entreprises: une coalition de compagnies et d’organisations de la société civile (dont Dong Energy, GE, Scottish Power Renewables, Siemens Gamesa, SSE, Vattenfall, Greenpeace, Marine Conservation Society et WWF).

Examinez cette liste et soyez émerveillés par l’étendue et la gamme d’influence, par le muscle financier dont disposent ces co-conspirateurs, de puissantes ONG mondiales et de vastes conglomérats industriels dont les revenus cumulés se chiffrent en milliards. L’écologisme n’est pas une opération douce et mignonne de papa-maman. C’est un blob vert gigantesque, tentaculaire, spectaculairement avide et corrompu.

Et devinez quoi? Cette histoire – répétée sans ambiguïté par les médias de masse, chantée par la BBC – était de la crotte de bique. En fait, c’est pire que ça: c’était de la crotte de renard, qui, comme quiconque l’a senti le saura, est une substance acre, piquante et vile.

Aujourd’hui, la Global Warming Policy Foundation (la Fondation pour une politique de réchauffement climatique) a dénoncé ces menteurs à l’Advertising Standards Authority.

Et Paul Homewood a fait les calculs et il est arrivé à la conclusion que loin d’être une bonne affaire, il s’agit d’une méthode pour arnaquer massivement les contribuables.

N’oubliez jamais, la prochaine fois que vous entendez quelqu’un bêler au sujet de Trump faisant quelque chose de sensé comme se retirer de l’accord sur le climat de Paris ou mettre aux poubelles le Clean Power Plan (plan d’énergie propre). La panique inventée concernant le soi-disant réchauffement climatique est la plus grande arnaque de l’histoire du monde. Il ne sera jamais trop tôt pour s’en défaire.

SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

* James Mark Court Delingpole est un écrivain, journaliste et chroniqueur anglais, rédacteur en chef pour la branche londonienne du Breitbart News Network.

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Des chercheurs russes prédisent un nouvel âge glaciaire sur Terre

 

 

Getty Images

 

Toutes les taches solaires ont disparu du côté du Soleil situé​ face à la Terre, ont rapporté des scientifiques de l'Institut de physique Lebedev de Moscou, basant leurs conclusions sur des photos prises il y a deux semaines. Les conséquences pourraient être importantes pour toute la planète. Est-ce qu'un nouvel âge glaciaire nous attend?

 

Quelque chose ne tourne pas rond avec le Soleil. En septembre, la NASA a annoncé la plus grande éruption solaire en 12 ans, ce qui était inattendu quand on a à l’esprit que le Soleil se dirige vers une période connue sous le nom de minimum solaire, lorsque l'activité de surface devient muette.

En 2016, utilisant les observations d'autres étoiles similaires au Soleil faites par le télescope spatial Kepler de la NASA, des scientifiques des États-Unis ont annoncé que le Soleil entrait dans une phase spéciale de son évolution magnétique. Ces résultats ont fourni la première vraie confirmation du fait que les cycles des taches solaires datant de 11 ans risquaient de disparaître complètement. Cela signifie que le Soleil aura moins de taches solaires que pendant la première moitié de sa durée de vie estimée à 10 milliards d'années en tant qu'étoile brûlante composée d'hydrogène.

Les scientifiques pensaient à l'origine que cela se produirait lentement, mais selon des chercheurs de l'Institut de physique Lebedev, le processus est déjà en cours - les taches solaires complexes et les éruptions solaires associées ont complètement disparu sur le Soleil.

« Sur la base de l'image que nous voyons maintenant, le Soleil se dirige inévitablement vers un autre creux, qui sera atteint à la fin de 2018 – ou durant la première moitié de 2019 », ont déclaré les scientifiques dans un communiqué.

Ce n'est cependant que la première étape du processus. Selon les chercheurs de Moscou, les régions de plasma chaud vont également disparaître, puis le rayonnement solaire tombera également à zéro.

Lire aussi : Pourquoi les Russes sont-ils résistants au froid?

« Enfin, au minimum, l'énergie magnétique solaire disparaîtra presque complètement, affirment les chercheurs. Sous cette forme, notre étoile peut exister de plusieurs mois à un an, après quoi de nouveaux flux de champ magnétique commenceront à émerger des profondeurs du Soleil, les premières taches apparaîtront, et le cycle solaire entamera un nouveau cycle de révolution de 11 ans ».

Actuellement, des taches isolées et même des flashs de faible intensité peuvent encore apparaître sur le Soleil pendant une courte période, mais ce n'est que le dernier épisode d'une activité qui s'estompe. Selon les chercheurs, les taches solaires disparaîtront complètement dans les 2 à 3 prochains mois.

Les conséquences pour la Terre pourraient être plus de vagues de froid, du gel et de fortes chutes de neige. Le dernier Petit Âge glaciaire, observé aux XVIIe et XVIIIe siècles, a coïncidé avec ce qui a été qualifié de « dysfonctionnement du cycle solaire », durant lequel, pendant 50 ans, il n'y avait presque pas de taches solaires sur le Soleil.

Le Petit Âge glaciaire a apporté des hivers plus froids en Europe et en Amérique du Nord. Au milieu du XVIIe siècle, des fermes et des villages des Alpes suisses ont été détruits par l’arrivée de glaciers. Les canaux et les rivières en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas gelaient régulièrement et les premiers colons d'Amérique du Nord ont signalé des hivers exceptionnellement rudes.

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La NASA confirme que le réchauffement climatique est une fraude : l’Antarctique gagne 112 milliards de tonnes de glace par an.

antarctique

On nous aurait menti ? Suivant le quotidien chinois « Le quotidien du peuple », la NASA aurait constaté l’Antarctique gagne plus de glace chaque année qu’elle n’en perd. Ce qui signifierait alors que tout ce toutim autour du réchauffement climatique et de la COP 21 ne serait qu’une vaste fumisterie… Sans trop d’étonnement, nous nous dirigeons encore une fois vers des histoires de gros sous, et de grosse intox…

Une étude récente menée par la NASA a révélé que les gains de masse de la couche de glace de l’Antarctique sont suffisants pour compenser les pertes croissantes des glaciers de la région. Selon les scientifiques, les nouvelles données offrent des gains non comptabilisés antérieurement dans l’Antarctique, mais elles vont à l’encontre des conclusions d’autres rapports tels que l’étude de 2013 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Le précédent rapport du GIEC précisait que le continent était en train de perdre constamment sa masse de glace terrestre.

Selon la nouvelle recherche de la NASA publié dans le « Journal of Glaciology », la calotte glaciaire de l’Antarctique a accumulé un gain net de 112 milliards de tonnes de glace par an dans la période couvrant 1992 à 2001, mais a ralenti à 82 milliards de tonnes de glace par an de 2003 à 2008.
Jay Zwally, chercheur en chef, et ses collègues ont évalué des données météorologiques constamment enregistrées à partir de 1979 jusqu’à l’heure actuelle, pour montrer que l’accumulation de neige dans la région orientale de l’Antarctique a en fait diminué de 11 milliards de tonnes par an au cours des deux dernières décennies. L’équipe a examiné des données historiques recueillies à partir de carottes de glace, et a découvert que des chutes de neige d’il y a 10 000 ans se sont lentement tassées et se sont transformées en glace sur les dernières millénaires.

Les chercheurs ont également constaté que l’épaississement de la glace dans la région orientale de l’Antarctique est resté stable sur la période 1992-2008 à 200 milliards de tonnes par an, tandis que les pertes dans la région de l’ouest ainsi que dans la péninsule antarctique ont monté en flèche à 65 milliards de tonnes par an. Jay Zwally estime qu’il ne faudra que quelques décennies pour que l’accumulation de glace s’inverse en nombre. Selon lui, si les pertes continuent à augmenter au même rythme que les augmentations, les pertes rattraperont les gains d’ici 20 ou 30 ans, et il n’y aura pas d’augmentation suffisante des chutes de neige pour compenser ces pertes.
« La bonne nouvelle, c’est que l’Antarctique ne contribue actuellement pas à l’élévation du niveau de la mer, mais gagne 0,27 millimètres par an loin », a déclaré Jay Zwally, précisant cependant que les 0,27 millimètre par an de l’élévation du niveau de la mer en Antarctique dans le rapport du GIEC ne viennent pas du continent, et qu’il doit y avoir un autre facteur dans l’élévation du niveau de la mer qui n’est pas pris en compte. Selon les chercheurs, la nouvelle étude fournit un enregistrement à long terme des changements d’élévation qui contribueront à la compréhension du problème concernant le bilan de la masse de l’Antarctique.

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