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12 octobre 2018

L'Italie pourrait-elle sortir demain de l'Union Européenne ? Si tel était cette éventualité ce serai la mort programmée de l'U.E

Rien ne va plus entre l'état Italien et l'Union Européenne ... la crise est engagée !

italiegeog1

12.octobre.2018 // Les Crises
SOURCE  : [RussEurope-en-Exil] Budget italien : le bras de fer avec l’Union européenne est engagé, par Jacques Sapir
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La présentation du budget italien est en train de soulever un problème de compatibilité avec les institutions européennes (sur l’ampleur du déficit) ainsi qu’une vive polémique en Italie. Il est désormais clair que l’on va vers une crise d’ampleur entre l’Union européenne et l’Italie.

Le ministre de l’intérieur italien et Vice-Premier ministre, M. Matteo Salvini, avait déclaré à la fin du mois de septembre qu’il soutenait une proposition de « limiter le déficit » autour de 2%. Cette déclaration était importante, car elle émanait d’un dirigeant qui avait fait campagne sur une rupture franche avec les règles de l’Union européenne. De plus, les sondages réalisés en Italie montraient (et continuent de montrer) que M. Salvini jouit d’une incontestable popularité (entre 60% et 75% d’opinions favorables) et que son parti, la Lega, semble avoir le vent en poupe. Il a obtenu 17% des suffrages aux dernières élections, mais il est crédité de plus de 32% actuellement dans les sondages.

Matteo Salvini

Cette déclaration avait naturellement suscité de nombreux commentaire. En effet, certains se sont réjouis et d’autres se sont inquiétés que M. Matteo Salvini ait fait ce qui apparaît comme des déclarations rassurantes sur un éventuel déficit pour 2019 avant la rencontre prévue de longue date entre Giovanni Tria et les membres de l’ECOFIN et de l’EUROGROUPE. Cela pourrait sembler accommodants pour les autres dirigeants Européens et les dirigeants de l’Union européenne.

Ce n’était pas le cas en réalité. Tout d’abord, il convient de noter que ces déclarations n’étaient que le début d’une négociation sur les chiffres que l’Italie devait mettre dans le document de planification budgétaire. Qui plus est, cette déclaration est de plus déterminée par le cadre d’un jeu délicat mené de part et d’autres au sein de l’élite politique italienne. Les chiffres ont donc été publiés, et ils indiquent que le gouvernement italien s’oriente bien vers une épreuve de force avec l’Union européenne.

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L’ampleur et les causes du déficit

De fait, le gouvernement italien a fini par opter pour un seuil de déficit de 3,0% du PIB, ne s’arrêtant qu’à 2,4% pour 2019. Cet objectif est en complète contradiction avec le cadre budgétaire des finances publiques fixé par l’Union européenne pour l’Italie, cadre qui fixe le déficit maximal autour de 0,7%. Plus important encore, il n’est fait nullement mention dans les déclarations du gouvernement italien d’atteindre un budget équilibré pour les trois ans qui viennent. Dans les faits, cela signifie qu’environ 24 milliards d’euros devraient être financés si l’on s’en tenait aux règles budgétaires de l’U.E. et ne le sont pas dans la réalité. Sur cette somme, 12,4 milliards seront utilisés pour réduire fortement la TVA, ce qui correspond à une promesse de la campagne électorale ; 1,5 milliard d’euros devraient être affectés à la restructuration bancaire afin de compenser les pertes des épargnant et, pour financer le rejet de la loi sur les retraites et des départs à la retraites plus précoces pour 400 000 travailleurs italiens environ 8 milliards d’euros sont prévus. Par ailleurs, 10,0 milliards d’euros seront consacrés aux revenus de 6,5 millions de personnes sur 10 ans ; enfin il faut compter avec des impôts moins élevés ce qui équivaudra à une diminution des recettes fiscales de 3,5 à 4,5 milliards d’euros.

Giovanni Tria

La décision du gouvernement italien est importante. Cette décision a été entièrement validée par le Ministre de l’Economie, M. Giovanni Tria, que l’on présentait comme un partisan des règles de l’U.E. Soit on s’est trompé quant aux idées de M. Tria, soit il semble avoir cédé aux volontés de MM. Di Maio et Salvini. Ce budget est clairement un budget de relance qui combine un soutien à la demande et des diminutions d’impôts. Le fait que l’essentiel de ces diminutions porte sur la TVA montre bien la dynamique sociale de ce budget. Sur les 24 milliards de déficit supplémentaire prévus dans le projet de budget, près de 20 milliards devraient aller vers les ménages les plus pauvres ainsi que les classes moyennes.

Un calendrier chargé

Cependant, la présentation des objectifs budgétaires n’est que le premier pas dans un processus plus complexe. L’office public du budget, l’UPB, qui est une agence indépendante du gouvernement, doit rendre son avis. Il sera probablement négatif. Mais, le gouvernement peut ne pas tenir compte de cet avis.

Bien plus important sera la réaction de l’Union européenne. De ce point de vue, il convient d’avoir en vue ce que seront les échéances des relations entre le gouvernement italien et l’U.E. D’ici le 15 octobre, le gouvernement italien devra envoyer le projet de loi budgétaire à Bruxelles. Le 20 octobre, le budget sera officiellement dévoilé et non simplement les objectifs de déficit. Le 22 octobre, la Commission enverra une première lettre au gouvernement italien dans lequel elle se dira probablement préoccupée par l’évolution de la situation et proposera une semaine de délai pour procéder aux ajustements nécessaires et soumettre à nouveau le projet. Si le gouvernement modifiait alors le budget (comme cela s’est passé en 2014), la situation redeviendrait normale et conforme. Si le gouvernement cependant maintient son projet de budget, et les dernières déclarations vont dans ce sens, le conflit sera inévitable. Si, donc, le gouvernement italien ne donne pas suite aux réserves de la commission européenne et maintient les objectifs et le budget initiaux, et donc, le 29 octobre, il y aura un rejet officiel par la Commission.

Au cours des trois prochaines semaines, le gouvernement aura cependant toujours la possibilité de modifier le budget mais la volonté du gouvernement de mettre ses plans à exécution quel que soit l’avis de la Commission européenne semble ferme. En conséquence, le 21 novembre, les avis officiels sur les projets de plans budgétaires des pays seront présentés au Comité économique et financier, le comité junior de l’Ecofin. Le Comité pourrait alors formuler une recommandation formelle sur ce que l’on appelle l’article 126, paragraphe 3, qui constitue la première étape pour pousser l’Italie dans une procédure de déficit excessif. D’autres démarches officielles devraient suivre. En cas de débat politique, et il y aura certainement un débat important car l’Italie a des alliés au sein du Comité économique et financier, le temps devrait être suffisant pour que les ministres prennent leurs décisions au début de décembre, puis au Conseil européen à la fin de l’année. Mais, la décision devrait être la même au début de 2019 : une déclaration de Non-conformité, et l’engagement probable de la procédure de déficit excessif.

Dans le même temps, le parlement italien approuvera probablement le budget, car le gouvernement bénéficie d’une majorité suffisante. Le président Mattarella, qui a déjà lancé un avertissement devrait alors dire que le budget n’est pas compatible avec le cadre budgétaire national (qui n’est en réalité qu’une photocopie du budget européen) et devrait le rejeter. La procédure prévoit cependant que le gouvernement peut demander un nouveau vote au Parlement. Ce dernier devrait alors réaffirmer son soutien au budget. À ce stade, le président Mattarella n’aurait d’autre choix que de le signer. Ce n’est qu’à un stade ultérieur que la Cour constitutionnelle pourrait bien rejeter le budget comme étant inconstitutionnel. Cependant, cela pourrait prendre plusieurs mois pour des raisons pratiques mais surtout cela provoquerait une grave crise politique en Italie avec, à la clef, probablement de nouvelles élections. Ces dernières pourrait, si l’on en croit les sondages fait actuellement, voir une victoire massive du M5S et de la Lega (crédités respectivement de 27% et de 33% des intentions de vote). Cela pourrait se traduire par une majorité des deux-tiers au Parlement et au Sénat, ce qui permettrait au gouvernement de procéder à des changements de la Constitution.

L’avenir en suspens

Il faut, bien entendu, ajouter à cela le comportement des agences de notation et l’envolée probables des taux d’intérêts sur la dette italienne, qui représente 133% du PIB. Cette envolée de la dette pourrait d’ailleurs conduire à une aggravation de la crise entre l’Union européenne et l’Italie.

Le gouvernement de ce dernier pays pourrait décider d’utiliser des bons du Trésor en petite coupure comme monnaie parallèle, engageant alors un processus de sortie de l’Euro.

L’Italie sera donc soumise à une forte pression, tant des autorités de l’Union européenne qu’en interne (la presse se déchaine actuellement contre le gouvernement) et en provenance des marchés financiers. Mais, le gouvernement italien semble s’être préparé à y résister. Il peut s’appuyer sur les présidents des deux commissions économiques de l’Assemblée et du Sénat (Claudio Borghi et Alberto Bagnai) dont les convictions eurosceptiques sont bien connues, sur des membres du gouvernement (de Salvini à Savona) mais aussi sur des soutiens extérieurs et, plus important encore, sur une majorité des italiens.

Le fait que la réunion annuelle du centre de recherche de l’Université de Pescara (que dirigeait Alberto Bagnai jusqu’à son entrée en politique) qui aura lieu les 10 et 11 novembre s’annonce très suivie (plus de 600 participants payants se sont déjà inscrits en 5 jours) est une bonne indication aussi du soutien que rencontre le gouvernement italien dans son bras de fer avec l’Union européenne[1]. Le fait que Stefano Fassina, un dirigeant historique de la gauche italienne[2], qui avait démissionné du gouvernement et rompu avec le PD de Matteo Renzi et qui élu à l’Assemblée sous la bannière de Liberi et Uguali, ait annoncé sa participation à cette réunion est aussi un signe que ce soutien pourrait bien transcender les divergences politiques.

Jacques SAPIR

Stefano Fassina

 

[1] Votre serviteur interviendra à cette conférence et vous en fera un compte rendu détaillé.

[2] Stefano Fassina fut l’ancien dirigeant des jeunesses communistes. Economiste, après avoir travaillé trois ans dans des organisations internationales, il fut ministre du gouvernement Letta, avant d’en démissionner avec fracas à cause de son opposition à la politique de ce dernier.

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L’Italie déclare la guerre à Merkel et à l’UE

 

 

L’Italie déclare la guerre à Merkel et à l’UE

 

 

SOURCE  : par Tom Luongo

 

Si jamais certains doutaient que les dirigeants de la coalition eurosceptique italienne aient un plan pour défier l’Union Européenne, ils devraient jeter un œil au budget qu’elle vient de proposer.


Les deux vice-premiers ministres, Luigi Di Maio du Mouvement Cinq Étoiles (M5S) et Matteo Salvini de la Ligue (Lega), se sont montrés intransigeants quant à l’engagement de l’Union Européenne sur toutes les questions de souveraineté d’ici les élections au Parlement européen en mai prochain.


Leur proposition budgétaire, qui comprenait à la fois des réductions d’impôts et un revenu universel, a dépassé la limite de 2,0 % du PIB fixée par l’UE, et atteint ainsi 2,4%. Cela a placé leur ministre des Finances, Giovanni Tria, dans une position délicate car ce dernier ne souhaite pas négocier ce budget avec Bruxelles, préférant une approche moins conflictuelle, plus pro-UE.

 

Salvini et Di Maio ont cependant d’autres ambitions. Et depuis que j’ai commencé à couvrir cette histoire sur mon blog l’année dernière, j’ai dit qu’il était impératif que Salvini fasse reculer la question de la « Troïka » (UE – BCE – FMI) sur la restructuration/remise de dettes.

 

Ce que je voulais dire à l’époque, et j’étais concentré sur l’émergence de Salvini en tant que leader de ce combat, c’est que Salvini et l’Italie, parce qu’ils sont plus que techniquement insolvables, ont tout le pouvoir dans les négociations. Juncker, Draghi, Merkel et Christine Lagarde, du FMI, ne peuvent tout simplement pas ignorer l’importance des dettes et des passifs figurant sur les bilans des banques européennes, notamment le montant avoisinant les mille milliards de dollars pour les engagements liés à TARGET2.


Mais, pour ce faire, Salvini et maintenant Di Maio doivent montrer leur bonne foi pour négocier un bon accord avec Bruxelles, Berlin et le FMI pour l’Italie. C’est la raison pour laquelle le budget a dépassé la limite de 2% puis a été raboté pour atteindre 2 %, mais avec des dispositions dont ils savaient qu’elles mettraient les ministres européens des Finances en colère.

 

Le but est de pousser Bruxelles à bout et de les présenter comme les méchants afin de ramener l’opinion publique à la position d’itexit. Les problèmes de l’Italie ne peuvent être résolus avec une Allemagne détentrice des rênes du marché pour tous les pays de l’UE.

 

Ainsi, le premier aspect de leur attaque contre la structure de pouvoir de l’UE est donc le suivant : les interpeller sur leur budget tout en déclarant clairement au reste de l’Europe qu’ils ne cherchent pas à quitter l’euro. S’ils le font, ce sera l’Allemagne qui forcera cette situation.


Le second aspect de l’attaque est de refaire l’UE de l’intérieur, ce que Salvini a ouvertement déclaré comme étant l’un de ses objectifs.

 

Tout a commencé il y a plus d’un mois lorsqu’il a rencontré le président hongrois Viktor Orban, qui s’est mis d’accord sur une stratégie visant à créer une « Ligue des ligues » pour unir l’opposition à l’actuel régime technocratique de la Commission européenne.


Ils ont alors clairement indiqué que l’objectif était de soustraire le contrôle de la présidence de la Commission européenne à la coalition qui soutient l’actuel président Jean-Claude Juncker.


Avec l’augmentation dans les sondages des partis eurosceptiques à travers toute l’Europe, Salvini et Orban peuvent conduire un réel changement dans la structure des partis au sein du Parlement européen. Le Parti populaire européen (PPE), dont fait partie le Fidesz d’Orban, risque de perdre la direction de la coalition en raison de l’énorme changement dans la composition électorale de l’Italie et de l’Autriche avec un Sebastian Kurz, tout de même moins radical.

 

Mais le grand tournant concerne l’Allemagne. L’alternative pour l’Allemagne (AfD) grimpe jusqu’à 20% au niveau national et le prochain obstacle pour sa croissance seront les élections de ce week-end en Bavière. Si l’AfD fait un appel aux Verts et refuse à la CSU la possibilité de former un gouvernement de coalition sans eux, cela pourrait avoir des répercussions pour Angela Merkel.


Selon les derniers sondages, l’AfD se situerait en moyenne autour de 11%, contre une forte poussée des Verts, qui ont atteint 18%. La CSU s’est effondré à seulement 35 %. La précision de ces sondages n’est pas encore connue, mais compte tenu de l’histoire récente, je ne serais pas surpris de voir l’AfD faire mieux que ses sondages ce dimanche.

 

 

Source : wahlrecht.de

Source : wahlrecht.de

 

Car si c’est le cas et que le cumul CSU/Verts est inférieur à 50%, la CSU pourrait être forcé de former une coalition à trois têtes pour stopper l’AfD. Et ceci en supposant que la CSU et les Verts pourraient former n’importe quelle coalition viable en premier lieu.


Cela bouleverserait vraiment les dirigeants de la CSU et les appels à briser l’Union avec la CDU de Merkel se feraient plus pressants.


Et comme Mme Merkel est confrontée à des trahisons interne à la CDU, la possibilité que sa coalition nationale s’effondre rapidement augmente sous la pression externe de Salvini et Di Maio au sujet du budget et de la dette.

 

Les marchés commencent à se rendre compte que cette bataille politique ne se déroulera pas aussi bien pour l’Allemagne et la Troïka que pour la Grèce. Salvini et Di Maio ne sont pas Varoufakis et Tsipras et l’Italie est simplement beaucoup plus importante que la Grèce.


L’euro s’affaiblit de jour en jour tandis que les rendements obligataires italiens montent en flèche. Les traders ne savent pas quoi faire, car chaque déclaration d’un fonctionnaire associé à cette lutte déplace les marchés de la dette italienne de 20 points de base.


Et, je ne devrais pas avoir à le répéter trop souvent, mais 20 points de base de variation sur les marchés de la dette souveraine, c’est la définition même « d’anormal ».

 

Les forces populistes au sein de l’UE sont en colère et leur pouvoir s’accroît. Les technocrates bruxellois semblent toujours penser que les anciennes règles s’appliquent, mais ce n’est pas le cas. Les tactiques alarmistes ne fonctionneront pas sur ces hommes parce qu’ils savent que le but ultime est simplement de se préparer pour une nouvelle monnaie, que ce soit le mini-BOT qui a été lancé précédemment par Salvini ou une nouvelle lire.

 

Ma lecture de l’état actuel des choses est la suivante : la BCE étant la seule acheteuse de la dette italienne, et ce depuis plus d’un an, toute forte hausse des rendements obligataires résulterait du fait que la BCE abandonnerait simplement ces achats et le marché les reprendrait.


C’est la plus grande arme de la BCE. Elle tentera d’effrayer tout le monde en laissant l’Italie voir sa situation budgétaire s’éroder rapidement, ce qui l’empêchera d’émettre des titres d’emprunt à rendements viables. Mais elle le fera au détriment de la valeur des obligations qu’elle et d’autres banques européennes détiennent déjà. Parce qu’elles perdent de la valeur, ce qui nuit à la solvabilité de ces banques.

 

Si les dirigeants italiens tiennent la ligne et refusent de reculer, ils bluffent la BCE sur la possibilité d’une hausse des taux. La BCE devra y revenir, recommencer à acheter pour soutenir le prix et se concentrer pour la prochaine bataille.
C’est ce que nous constatons depuis quelques mois sur le marché obligataire italien. C’est là que cette guerre fait la une des journaux. Et Salvini et Di Maio le comprennent. Si ce n’était pas le cas, ils auraient déjà plié bagage.


Au lieu de cela, ils ont doublé leur opposition à Bruxelles et à Berlin et ajouté de nouveaux éléments à leurs attaques.
Cela ne se terminera pas bien.

 

Tom Luongo

 

traduit par Soverain

 

Photo: La coalition italienne eurosceptique menée par Salvini ira-t-elle jusqu’au clash avec l’UE ? | Crédit @NewsBreakouts

 

source:https://vuaumacroscope2.blogspot.com/2018/10/litalie-declare-la-guerre-merkel-et-lue.html

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