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3 décembre 2018

GILETS JAUNES : ATTENTION APRES LA COLERE D'UN PEUPLE MEPRISE ET HAÏ PAR MACRON ET SES SBIRES ARRIVE LA REVOLUTION ...

Champs-Élysées : j’ai vu la France des Gilets jaunes et celle des casseurs
Publié le 2 décembre 2018 - par

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Sur les Champs-Élysées déserts et soudain calmes, offrant une vue dégagée inédite, cela ressemblait de prime abord à une promenade de santé, n’étaient les explosions et cris diffus du côté de l’Étoile. Là-haut, ça chauffait.

En attendant, Ghislaine et moi nous avons déambulé, croisant çà et là des provinciaux venus de tous les coins de France, échangeant aussi avec un vieux briscard de la police qui admettait, désabusé, l’absurdité de charger des Gilets jaunes quand, par ailleurs, on le forçait à reculer devant les sauvageries des cités, dont notre pays est si souvent la proie.

En effet, informations prises, sur l’Étoile on frappait indistinctement les casseurs et les manifestants sincères, parmi lesquels des patriotes, comme nous pûmes le constater en remontant l’avenue.
Au passage, ceux qui ont saccagé l’Arc de Triomphe sont identiques aux ultra-capitalistes qu’ils croient combattre, en ce sens qu’ils haïssent eux aussi toute forme d’identité nationale, dont ce monument est l’un des symboles majeurs.

Entre-temps, Ghislaine a reconnu le journaliste Ivan Rioufol et échangé quelques propos avec lui, un homme avenant et très abordable. En vraie fan, elle était à la limite de lui dire : « J’ai tous vos disques ! »

Plus bas, des handicapés étaient venus à leur tour pour crier qu’ils existaient et qu’ils méritaient un peu plus de respect que ne leur montre le gouvernement. Ils étaient touchants, comme ce jeune garçon malvoyant ayant l’air un peu perdu mais tenant à en être.

 

Puis nous avons rejoint le brasier des contestataires, dont un certain nombre ne cherchant là qu’une occasion de tout détruire. Barricades improvisées, véhicules brûlés, etc. s’étalaient comme une traînée de poudre dans les artères environnantes.

Avec Ghislaine, nous nous sommes retrouvés dans l’avenue de Friedland où les clameurs impressionnaient autant qu’elles effrayaient : ça fait peur, une foule en colère, c’est un fait. Toutefois, la plupart des individus de ladite foule avaient, eux aussi, peur le quinze du mois devant un réfrigérateur désespérément vide, comme leur compte en banque. Et de résumer la révolte populaire aux casseurs est bien un réflexe de mondialiste nanti !

D’emblée, je précise que je ne cautionne absolument pas les dégradations, les incendies, les vols et les destructions qui ont émaillé cette journée de feu dont j’ai été le témoin. Sachant par ailleurs que la plupart des casseurs sont les créatures du système.
Du côté des grands magasins, la révolte grondait, gangrenée déjà par les agitateurs professionnels, dont beaucoup d’anarchistes, ralliés derrière un étendard noir brandi par l’un des leurs et, dans une moindre mesure, par quelques acharnés des cités. Pas de « fachos », ou alors ils étaient bien cachés !

Puis, après avoir quitté Ghislaine, je me suis jeté dans l’événement, pour comprendre, pour rendre compte, certainement pas pour en jouir, car cela me désolait de contempler Paris dévasté.
J’ai donc emprunté la rue de Rivoli, entouré de drapeaux régionaux, de chants et d’un peuple de France joyeux ; direction la place de la Concorde, fermée. Et là, en première ligne, j’ai d’abord vu, je dois l’avouer, une pluie de lacrymogènes, des jets d’eau, juste à côté de la fête des Tuileries avec des enfants jouant sur les manèges. C’est à ce moment que tout a basculé car la police, suivant les ordres, n’a pas hésité un seul instant à lancer les hostilités. Une police assujettie à un pouvoir qui se sert d’elle comme un paillasson, faut-il le rappeler.

Bien entendu, les casseurs étant dans les starting-blocks, ce fut le signal d’y aller. Jets de bombes artisanales, dont l’un d’eux était fier de montrer que son sac à dos en était plein ; de bouteilles ; de mobilier urbain ; voiture traînée, détruite, incendiée, et j’en passe. Dans ce décor de chaos, les uns et les autres s’en allaient défier les forces de l’ordre, qui répondaient sporadiquement mais souvent sans discernement, frappant aussi des Gilets jaunes opposés à ces destructions et qui le faisaient savoir. Comment les accabler, ces CRS et gendarmes, pressés comme des citrons afin de défendre un système qui les méprise ? Il meurt trop de leurs collègues pour que je m’amuse à les vilipender.

Les casseurs étaient maintenant incontrôlables et dangereux, fichant la paix, Dieu merci, aux détenteurs d’appareils photo et de caméras. Ces pouvoirs successifs, vendus au seul capital, sans autre horizon à nous offrir que produire et consommer, avaient fabriqué ce chaos, ayant tué à la fois la spiritualité et l’identité du peuple français. Résultat : des fauves déstructurés, cédant à leurs pires instincts.

Vers la place Vendôme, les sapins de Noël brûlaient, recouverts de poubelles et autres objets. Images de fin du monde, tandis qu’avec des Gilets jaunes, je dégageais une barricade ou relevais un scooter renversé, histoire de montrer qu’on n’appartenait pas à ces hordes destructrices.

Les pour et les contre commençaient à se battre, les canettes de bière jonchaient le sol et la gare Saint-Lazare, à son tour, était en train de sombrer dans l’anarchie. Un jeune manutentionnaire me dit que les ultras avaient tenté de pénétrer dans les Galeries Lafayette et que lui, payé au lance-pierre, avait eu vraiment la trouille. Ou comment laisser les humbles se faire cogner sans l’élémentaire courage d’assumer ses responsabilités, Messieurs-Dames au pouvoir !

Le mouvement va-t-il se poursuivre ? Je ne suis pas devin, je l’ignore. Une chose est sûre, c’est que, pour autant que je condamne les dégradations et défends l’ordre juste et nécessaire sans lequel il n’est pas de société viable, ce spectacle de désolation était le fait d’une société dépouillée de ses racines profondes, dirigée par des individus apatrides dans l’âme et dont l’amour charnel de la France leur semblait un extrémisme. Tels sont les vrais coupables.
Je suis rentré, en laissant derrière moi cet enfer. À cet instant, j’avais la certitude que la démocratie, telle qu’elle était proposée, agonisait.

Quelle serait la suite ? Je l’ignorais mais, au moins, j’en rendrais compte.

Charles Demassieux

(Photos : Charles Demassieux pour Riposte laïque)

  

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Macron prépare un double coup d’État contre la France des Gilets jaunes

Publié le 2 décembre 2018 - par

 

La France entière, sous le choc, découvre des images des Champs-Élysées vandalisés, comme la semaine dernière, mais cette fois, une étape a été franchie avec le saccage de l’Arc de Triomphe et des boutiques du souterrain.

Bien évidemment, ce régime, qui n’a jamais eu un mot contre les violences et agressions quotidiennes des racailles ni contre les tentatives de meurtre récurrentes des gauchistes contre les policiers, nous joue le grand numéro de l’indignation. Castaner-Rantanplan admet même que la mise en place d’un état d’urgence est possible.

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Tout cela est cousu de fil blanc. Chacun sait, depuis des années, que les milices gauchistes bénéficient d’une impunité totale de la part des différents gouvernements mis en place et qu’elles servent à intimider les Français qui ont le tort d’aimer leur pays et de refuser l’invasion migratoire et le Grand Remplacement. Les dégénérés de Nuit Debout peuvent occuper la place de la République pendant un mois, pisser et chier partout, agresser les flics, taguer la statue de la place, empêcher ceux qui travaillent de dormir, cela n’a jamais engendré la moindre contestation de la part des forces de gauche au pouvoir, Hollande et les écolo-socialauds à l’époque, qui ont fait le lit de Macron, ni du maire de Paris, Anne Hidalgo.

Comme l’explique notre fondateur, Pierre Cassen, sur sa vidéo quotidienne, les racailles peuvent multiplier les agressions violentes contre les policiers, terroriser nos compatriotes, tirer à balles réelles sur les policiers, tenter de les faire cramer dans leur voiture, cela n’a jamais ému le moindre président de la République ni le moindre ministre de l’Intérieur, qui préfèrent demander des sanctions contre le premier policier coupable d’avoir un peu bousculé un voyou ou un clandestin agressif. Personne n’a oublié la scandaleuse visite de Hollande au délinquant Théo.

Alors, quand ce régime, Macron depuis l’Argentine et Castaner à Paris, nous fait le coup de la défense des forces de l’ordre, nous ne devons pas être dupes devant l’ampleur de la manipulation. Castaner et son complice Nunez, en étant incapables de protéger l’Arc de Triomphe, ont montré qu’ils étaient des bons à rien. Mais le plus grave n’est pas là. Ils ont participé à un véritable mensonge d’État en ciblant, depuis le début de ce mouvement, l’ultra-droite. Et ce n’est pas un hasard. Chacun sait fort bien que jamais les Identitaires et autres groupes patriotes n’agressent les forces de l’ordre, ne brûlent de voitures, ne taguent les monuments prestigieux ou ne brisent de vitrines. Tout simplement parce que ce n’est pas dans leur culture ni dans leurs pratiques.

Et pourtant, l’appareil d’État est mobilisé pour préparer la dissolution de plusieurs groupes classés à l’ultra-droite. Outre les Identitaires et le Bastion social, le nom de Résistance républicaine, présidée par Christine Tasin, a même été prononcé dans un article de 20 minutes. Mélenchon a déposé une demande de commission parlementaire contre ce qu’il appelle les groupes d’extrême droite. Muriel Ressiguier, députée Insoumise, réclame la dissolution de la Ligue du Midi. Julien Dray, sur un plateau télévisé, a osé dire que, le 24 novembre, c’étaient les Identitaires qui avaient provoqué les premières violences et qu’ensuite ils s’étaient dispersés, ce qui expliquait que les seules personnes interpellées aient été des militants d’extrême gauche. Il fallait oser mais, en bonne crapule politicienne, le « pote » Julien Dray s’est permis une telle affirmation, reprise sans vergogne par Olivier Truchot interrogeant Nadine Morano. Et la Licra (de quoi se mêlent-ils ?) ajoute sa pierre à la lapidation en demandant, elle aussi, la dissolution de Génération Identitaire, coupable de s’opposer à la submersion migratoire permise par des frontières-passoires.

Comment ne pas voir un coup tordu, digne des pires pratiques des régimes totalitaires, devant le fait que les policiers n’aient eu aucun ordre pour intercepter les gauchistes et les racailles et n’aient absolument pas protégé l’Arc de Triomphe, cible pourtant idéale pour les casseurs ?

Tout cela ne doit rien au hasard. Macron et ses sbires n’avaient pas prévu que les spectaculaires augmentations du prix de l’essence, qui préfigurent d’autres taxes en janvier et février, allaient être la goutte d’eau qui ferait déborder un vase déjà plein. On ne dira jamais assez que ce mouvement des Gilets jaunes n’a été soutenu, au départ, que par Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan, et qu’il a été calomnié par toute la gauche.

Les Français ont commencé à comprendre les conséquences de la COP21 sur leur vie quotidienne. Fidèle larbin des mondialistes et des écologistes fanatiques, Macron a décidé de passer en force et d’imposer son premier coup d’État, écologique, contre le peuple français et la France des Gilets jaunes. Au nom de la transition écologique (que soutiennent toutes les forces politiques mondialistes, sous la pression du Giec), il faut pourrir la vie des Français, essentiellement les plus pauvres, en les culpabilisant parce qu’ils osent rouler en voiture et ne pas prendre les transports en commun, ou qu’ils veulent se chauffer au fioul ou brûler leur bois.

Macron a donc décidé, avec l’argument bidon de sauver la planète (ce que François Gervais démonte en deux phrases), de priver les Français de la ruralité et les classes populaires du droit élémentaire, de la liberté absolue d’utiliser leur propre voiture quand ils veulent se déplacer, là où ils veulent, quand ils le désirent. C’est une agression terrible de la part de technocrates obtus, d’écologistes fanatisés et de bobos parisiens contre le mode de vie du peuple de France.

 C’est un premier coup d’État qui a suscité une révolte qui risque d’emporter Macron, rejeté, détesté et haï par une majorité de Français, et toute sa clique. Le divorce est consommé et l’homme qui se prétend le chef du monde progressiste contre les populistes, qu’il couvre d’injures en toute occasion, se retrouve face à son peuple avec un choix fort simple : briser la révolte par la répression et la dictature, ou bien dissoudre l’Assemblée nationale, ou bien encore démissionner.

Comme si ce mauvais sort qu’il réserve à la France ne suffisait pas, il prépare un deuxième coup d’État, migratoire celui-là, contre notre pays. Il entend signer, sans avoir pratiqué la moindre consultation, sans avoir informé les Français ni les élus, le pacte de Marrakech présenté par l’Onu. L’objectif de ce texte inique est de transformer l’immigration en un droit de l’Homme et d’imposer donc aux États-nations l’accueil obligatoire de tous ceux (essentiellement africains) qui veulent quitter leur pays. Bref, les Français, qui paient un prix exorbitant pour financer une immigration de peuplement en période de chômage de masse (y compris, n’en déplaise aux gauchistes qui veulent interdire ce débat, quand ils font le plein d’essence), vont se voir encore davantage pressurés et submergés par une immigration-invasion qui remet totalement en cause leurs finances, leur mode de vie et leur civilisation. Avec des amis de la résistance patriotique, nous avons donc rendu public cet appel, signé par cent patriotes, contre la signature scélérate que prépare Macron.

https://ripostelaique.com/appel-macron-ne-doit-pas-signer-le-pacte-mondial-des-migrations-impose-par-lonu.html

Comme l’expliquait Pierre Cassen il y a quelques jours, cette forfaiture doit avoir lieu les 9 et 10 décembre prochains à Marrakech, au lendemain, probablement, d’une nouvelle journée d’action des Gilets jaunes, en province et à Paris, qui risque d’être à nouveau très animée, tant la révolte est forte contre Macron, sa politique et le mépris de caste dont il fait preuve vis-à-vis de son pays et des Français.

Absents lors de la première semaine, la gauche, l’extrême gauche ainsi que des groupes de banlieue essaient d’intégrer le mouvement pour mieux le pourrir de l’intérieur, pour la plus grande satisfaction de Macron. Or, si la revendication sociale est incontestable et nécessaire dans un pays qui compte 10 millions de pauvres, 6 millions de chômeurs et 5 millions de Français vivant avec moins de 700 euros par mois, elle ne peut occulter la revendication identitaire et la contestation frontale des deux piliers de la politique de Macron :

l’écologisme et l’immigrationnisme, au service du mondialisme.

Si Macron était balayé, le dernier rempart du système serait le pantin Mélenchon, dont chacun a vu, lors des perquisitions, que c’était un fou. Mélenchon, pour le plus grand bonheur de Macron, ne remet pas en cause la transition écologique et, pis encore, veut toujours davantage d’immigration pour lui accorder le droit de vote, minorer la place des vrais Français et disposer de toujours plus d’élus dans les zones islamisées. Il essaie, avec démagogie, de demander le rétablissement de l’impôt sur la fortune pour financer la baisse des taxes. Il n’a pas un mot sur le pacte de Marrakech, qu’il  ne peut qu’approuver vu son idéologie. Il utilise François Ruffin pour faire croire qu’il  pourrait y avoir une liaison possible entre les Nuit Debout et les Gilets jaunes, deux mouvements pourtant antagoniques. Les Insoumis sont la dernière béquille d’un système aujourd’hui mis en danger par la révolte des Français. Mélenchon et ses sbires sont les pires ennemis des Gilets jaunes et avec eux, le litre d’essence coûterait encore plus cher que sous Macron et ils transformeraient la France en Venezuela.

Les Gilets jaunes, ce sont ces Français qui chantent la Marseillaise devant le monument du Soldat inconnu, avec le drapeau bleu, blanc, rouge devant l’Arc de Triomphe, et ils incarnent une nouvelle Révolution française contre la dictature de Macron et ses coups d’État. Des symboles que vous n’entendrez jamais avec les Nuit Debout, et encore moins avec les « Nique-ta-mère » et les « Nique-la-France » qu’on a vus à l’œuvre hier soir.

Les vrais fascistes, au service des mondialistes, ce sont ces casseurs, gauchistes et racailles que le pouvoir utilise comme milice pour briser un mouvement qui redonne aux Français la fierté de ce qu’ils sont.

La France peut et doit basculer dans la résistance populiste à la mondialisation, et rejoindre le camp de Donald Trump, de Visegrad, de l’Autriche et de l’Italie de Salvini-Di Maio.

Les journées et les semaines qui suivent seront décisives pour notre pays et son avenir.

À nous de tout faire pour que l’issue soit la meilleure pour la France des Gilets jaunes.

CYRANO

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Pacte de Marrakech : Gilets jaunes, vous devez bloquer Macron au sol le 10 décembre !

Publié le 2 décembre 2018 - par

 

 

 

Macron doit se rendre à Marrakech le 10 décembre à la conférence internationale qui devra adopter le Pacte mondial sur les migrations. Ce pacte abject contre les peuples européens est une forfaiture, une trahison de nos dirigeants contre les nations européennes qu’ils veulent détruire en les submergeant de dizaines de millions d’immigrés incultes, sauvages et barbares, musulmans pour la majorité, qui n’auront d’autre but que de nous tuer, de nous voler, de nous piller et de violer nos femmes et nos filles, comme ils le font déjà depuis des années.

Pourquoi Marrakech, d’ailleurs ? On se le demande. Il n’y a pas assez de lieux adaptés en Europe ? Ou bien, c’est parce que nos dirigeants ont la trouille de leurs propres peuples qu’ils sont en train de trahir comme jamais cela n’a été fait dans l’Histoire, de mémoire d’homme !
Alors, ils s’éloignent un peu pour ne pas être gênés dans leur trahison…

Bref, Macron, sa copine Merkel et quelques autres salopards vont partir là-bas pour y être le 10 décembre.

Moi, ce que j’en dis de ce pacte, hein !
Et bien, en fait, je l’ai déjà écrit ici :

« Comprendre le « Pacte mondial des migrations » que veut signer Macron »
https://ripostelaique.com/comprendre-le-pacte-mondial-des-migrations.html

Mais mes amis auteurs ne sont pas en reste :

« Pacte de Marrakech : Macron prépare une déferlante africaine sur la France »
https://ripostelaique.com/pacte-de-marrakech-macron-prepare-une-deferlante-africaine-sur-la-france.html

« Les Gilets jaunes doivent empêcher Macron de signer le Pacte de l’Onu »
https://ripostelaique.com/les-gilets-jaunes-doivent-empecher-macron-de-signer-le-pacte-de-marrakech.html

« Pierre Cassen : le pacte de Marrakech, la prochaine trahison de Macron (vidéo) »
http://resistancerepublicaine.eu/2018/11/28/pierre-cassen-le-pacte-de-marrakech-la-prochaine-trahison-de-macron-video

« Appel des 100 patriotes contre le pacte de Marrakech »
http://resistancerepublicaine.eu/2018/12/01/appel-des-100-patriotes-contre-le-pacte-de-marrakech

Bref, nous sommes quelques centaines de millions, en Europe, à rejeter cette saleté.

Alors, je suggère très respectueusement (car ce sont nos combattants que nous devons soutenir et respecter) à nos amis Gilets jaunes qui ont déjà fait un excellent travail de sape de l’autorité, des actions et de la popularité de l’ennemi public numéro 1 de la France : j’ai nommé le sinistre Emmanuel Macron, l’homme qui n’a jamais réussi quoi que ce soit honnêtement de sa vie (nous avons les preuves et les témoignages), de profiter de leur 4e acte d’action militante pacifique et ordonnée pour bloquer l’Élysée et tout le quartier, mais aussi les aéroports parisiens, afin que Macron ne puisse pas décoller pour se rendre à Marrakech le 10 décembre et qu’il soit obligé de rester à Paris pour entendre de près la colère et la rage du peuple français.

Cela peut paraître fou et impossible, mais je crois que la Révolution est lancée et que plus rien n’est impossible au peuple de France pour entraîner peu à peu ce dictateur à la petite semaine vers la démission ou, mieux encore, le suicide, ce qui entraînerait, soyons-en tous sûrs, une immense clameur de liesse et de joie dans toute la France car plus personne ne supporte cet individu abject dans le pays.

Ce n’est qu’une idée, une simple idée.
Je ne voudrais surtout pas avoir l’air de jeter de l’huile sur le feu. Je suis un pacifiste avant tout !…

Mais une chose est sûre : si la France ne se débarrasse pas de cette crasse dans les plus brefs délais, elle courra à sa perte de manière définitive.

Nous devons tous, avec les armes qui sont les nôtres, l’argent, le nombre, la volonté, le courage, la plume ou la voix, lutter jusqu’au bout contre ce monstre inhumain et le terrasser.
Les armes de guerre, laissons-les aux troupes de l’ennemi.

Car ensuite, tout restera à faire. Mettre l’armée à la tête du pays, dissoudre le Parlement et les différents conseils, instaurer temporairement la loi martiale, arrêter tous les traîtres (politiques, économiques, médias et autres) qui auront soutenu le dictateur, élire de nouveaux dirigeants et un nouveau Parlement, rétablir l’ordre en France, sortir sans préavis ni contrepartie de l’UE, fermer nos frontières, rétablir notre souveraineté nationale, quitter l’Onu et l’Otan, rétablir des relations amicales, ouvertes et fructueuses avec la Russie, les USA, Israël, et expulser des millions d’étrangers parasites, et particulièrement musulmans, et toutes leurs familles…

Mais pour cela, il faut couler ce tyran fou furieux qui est le seul et unique responsable de l’état de notre pays et de toutes les violences qui ont eu lieu depuis que le peuple a décidé d’exprimer pacifiquement sa colère sous la couleur de ces gilets jaunes, sans les partis politiques et sans les syndicats qui sont tous des pourris grassement subventionnés avec nos impôts.

La lutte sera longue et dure, il y aura des morts et des blessés innombrables, mais ce sera le prix à payer de la liberté, de notre paix future et du redressement de notre merveilleuse nation française.

Que vive la Patrie !
Vive la France, vive la République !

Laurent Droit

 

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Macron demande aux Gilets jaunes de partager la misère avec toujours plus d’étrangers

Publié le 2 décembre 2018 - par

 

Le cœur de Paris, les beaux quartiers transformés pendant 24 heures en bande de Gaza, c’est du jamais vu. Ces images font le tour du monde, montrant une fois de plus le mode d’expression favori des Français, l’émeute.

Certes, la France est le pays de la contestation musclée depuis 1789, mais jusqu’à présent, la violence se limitait aux dégradations multiples, aux voitures incendiées, au pillage des magasins.

Hier, c’était l’attaque des immeubles, des préfectures, des hôtels particuliers, des boutiques de luxe de la place Vendôme, de l’Arc de Triomphe et de la tombe du Soldat inconnu. Nul n’est à l’abri des casseurs cagoulés, sauf si vous habitez l’Élysée ! Il n’y a plus de quartiers protégés.

Qu’en sera-t-il le jour où les banlieues entreront en ébullition, alors que nos forces de l’ordre sont déjà au taquet ? Après la suppression de 13 000 postes chez les gendarmes mobiles et les CRS, merci Sarkozy, 67 000 hommes et femmes étaient mobilisés samedi. Difficile de faire plus.

Le pire, c’est que cet incapable de Sarkozy a pris cette ahurissante décision après les émeutes de 2005 qui avaient déjà mis nos forces de l’ordre sur les genoux. Il fallait, au contraire, augmenter les effectifs de 20 % !

Au lendemain de cette guérilla urbaine, le blocage entre la rue et l’exécutif est total. La faute à qui ? À Macron qui règne sans partage, persuadé d’avoir la science infuse et méprisant le peuple comme jamais.

Résumons :

Quand le peuple en arrive le 15 ou le 20 du mois à devoir choisir entre manger, se chauffer ou faire le plein, le désespoir et la révolte ne sont pas loin.

C’est la taxe carbone sur les carburants qui a été la goutte de trop.

Les réseaux sociaux ont permis au mouvement de se répandre en quelques jours, avec le soutien des 3/4 des Français et même des 4/5 aujourd’hui.

BHL, qui n’a rien compris, se réjouissait de « l’échec » du premier jour avec 300 000 manifestants. Tout faux. Il oubliait la popularité du mouvement. Il fait partie de cette caste arrogante qui méprise la France d’en bas et qui découvre soudain que le peuple existe, agite le drapeau français et chante la Marseillaise.

Les insultes de Macron envers le peuple, traité d’illettré, d’alcoolique, de fainéant ou de moins que rien, le tout ajouté à son refus d’écouter la détresse des Gilets jaunes, n’ont fait qu’amplifier la colère.

« Je garderai le cap. »

« Il n’y aura pas de recul », disait-il depuis l’Argentine.

Ajoutons les propos délirants de Macron, Castaner, Darmanin et Griveaux, avec le retour aux années 30 et la « chemise brune sous les gilets jaunes », et l’on mesure à leur juste valeur le niveau d’écoute du pouvoir et sa véritable conception de la démocratie.

Agiter le drapeau français en clamant « on est chez nous » est devenu un crime raciste qui va bientôt mener au tribunal ! Le monde à l’envers.

Ce pouvoir ne protège pas la nation, il combat les patriotes et laisse les casseurs impunis !

Malheureusement pour nos pieds nickelés, parmi les manifestants arrêtés il n’y a eu aucun facho portant petite moustache et mèche sur le front.

Il a donc bien fallu reconnaître la responsabilité des casseurs professionnels de l’extrême gauche, des black blocs et des loubards de banlieue venus se défouler et casser du flic.

Le discours a donc changé. On passe de la pommade aux vrais Gilets jaunes en séparant le bon grain de l’ivraie. On feint d’accepter le débat.

Mais  avec qui ? À quel niveau ? Sur quelles revendications ?

Ce que veut Macron, c’est une sortie de crise sans reculer ! Ce serait, sinon, une humiliation pour Jupiter, sacré récemment champion de la Terre et du climat par l’ONU.

Un collectif de Gilets jaunes prêche la modération et tend la main au gouvernement. Ses demandes, les voici :

L’ouverture d’états généraux de la fiscalité.

Une conférence sociale nationale.

Des assises « territoires et mobilité » sous forme de débats régionaux.

L’organisation de référendums réguliers sur les grandes orientations sociales et sociétales du pays.

L’adoption du scrutin proportionnel pour les élections législatives, pour mieux représenter le peuple au Parlement.

Et de manière immédiate et sans conditions :

Gel de la hausse des taxes sur le carburant.

Annulation du renforcement du contrôle technique automobile.

Prêchant le dialogue et condamnant toute violence, leurs revendications sont des plus légitimes. Il serait temps que Macron les écoute.

Sinon, c’est le scénario du pire qui se profile, avec la victoire des cagoulés.

On ne peut qu’approuver le recours au référendum, seul gage d’une véritable démocratie. On ne peut qu’approuver la proportionnelle quand on sait que le RN n’a que 8 députés alors qu’il reste le premier parti de France à la proportionnelle intégrale. Mais Macron veut les pleins pouvoirs et gouverne sans partage.

Mais la première revendication reste la fiscalité.

Et on le comprend, tant les chiffres sont accablants pour le pouvoir et tant le petit peuple est saigné à blanc par un État de plus en plus vorace.

Exemple tiré du JDD :

Pour un salaire net de 1 600 euros, l’employeur a versé 2 743 euros.

Différence : 2 743 – 1 600 = 1 143, répartis comme suit :

485 = caisses de retraite ;

406 = assurance santé ;

86 = assurance chômage ;

166 = branche famille, formation, logement.

Le problème est que la France paie des retraites à des étrangers qui n’ont jamais cotisé ou qui sont morts depuis des lustres.

Notre pays est l’hôpital du tiers monde, sans le moindre contrôle, la même carte Vitale pouvant soigner plusieurs personnes.

Et tout va s’aggraver avec le coup de poignard que Macron plante dans le dos du peuple en allant signer à Marrakech le Pacte sur les migrations, lequel accorde un nouveau droit à l’immigration, qui engagera les pays d’accueil signataires.

Immigration et mondialisme sont la mort des Gilets jaunes, qui doivent partager le fruit de leur travail avec toujours plus de miséreux.

Ensuite, selon Eurostat, la France est championne d’Europe des prélèvements obligatoires avec 48,3 % du PIB en 2017.

Les cotisations sociales, qu’on partage avec toute la planète, atteignent 18,8 % du PIB, alors que la moyenne européenne est de 13,3 %.

En 2017, l’ardoise fiscale a atteint 1 038 milliards, dont 60 milliards de fiscalité verte.

Mais l’État dépensant beaucoup plus, il emprunte régulièrement 180 milliards sur les marchés, à la fois pour financer son déficit chronique de 3 % et pour rembourser ses créanciers. La dette atteint 2 300 milliards, proche des 100 % du PIB.

Un autre point important souligné par l’Institut des politiques publiques :

22 % des plus pauvres ont vu baisser leur revenu disponible de 1 % depuis l’arrivée de Macron. Les augmentations diverses étant supérieures à la baisse de la taxe d’habitation.

Mais pour 1 % des Français les plus riches, le pouvoir d’achat a augmenté grâce à la baisse de l’ISF et à la flat tax de 30 % sur les revenus du capital.

En résumé, la France étant ruinée et le fardeau de l’immigration devenant toujours plus lourd, Macron n’a aucune solution.

Il lui reste l’emprunt pour jouer la montre en distribuant de l’argent qu’il n’a pas, ce qui va nous mener vers une faillite à la grecque.

Ou bien taper encore dans le budget des armées, en affaiblissant un peu plus la France.

Partout, on entend « Macron démission », preuve du naufrage de sa politique mondialiste et immigrationniste.

Un grand sondage Ifop paru aujourd’hui, montre que 80 % des Français estiment qu’il ne faut plus accueillir d’étrangers supplémentaires.

Et le parti jugé le plus crédible sur les questions migratoires est le RN, loin devant les autres formations. Un sujet qui mérite d’être traité dans le détail.

Mais ça, Macron préfère l’ignorer. Au risque de couler le bateau.

Jacques Guillemain

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La vraie France, ce sont les GJ chantant la Marseillaise, pas les casseurs téléguidés !

Publié le 2 décembre 2018 - par

 Un peu moins fringants ce matin, Macron et sa clique, devant les résultats de leur incurie !

Abandonnant rapidement  le territoire français sur une énième affirmation « qu’il garderait le cap et ne reculerait pas », Macron s’était empressé de se rendre au G20 en Argentine, persuadé que son éminente personne était indispensable à ce méga-comité Théodule planétaire, dont le principal « bienfait » pour les peuples, pour ne pas dire l’unique, est le coût prohibitif de ce « pince-fesses géant » s’ajoutant aux autres actions dispendieuses de tous ces traîtres à leur pays, ne se souciant réellement que de leur sort personnel, tout en prétendant le contraire.

Alors, qu’attendre de cette convocation de son staff à une réunion d’urgence si c’est pour persister à rester droit dans ses mocassins Hermès (ou autre) ?

Comme s’il n’était pas évident que leur stratégie, en admettant qu’ils soient capables d’en pondre une, en dehors des poncifs habituels « ultra-droite responsable » – « casseurs pros du chaos laissés envahir l’espace dévolu aux manifestants légitimes »… se résumait à un grand flop, comme il fallait s’y attendre.

« Attendu sur le sol français en fin de matinée en provenance du sommet du G20 en Argentine, le chef de l’État doit retrouver le Premier ministre Édouard Philippe, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner et « les services compétents » pour tenter de trouver une réponse à un mouvement qui semble avoir échappé à tout contrôle. »

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/politique/gilets-jaunes-emmanuel-macron-convoque-une-réunion-durgence-à-lelysée-ce-dimanche-matin

Si cet insupportable pédant auto-satisfait était réellement le « superman » qui a été vendu aux électeurs encore assez naïfs pour avoir gobé ses promesses, il saurait prendre les bonnes décisions mais, pour commencer, il n’en serait jamais arrivé là s’il avait réellement l’étoffe d’un gouvernant au lieu de s’être très vite révélé comme le vilain pion de ceux qui œuvrent dans l’ombre, tel son mentor Attali, lui-même créature du milliardaire Soros.

Si seulement il savait s’entourer et écouter (vraiment) et surtout entendre les Éric Zemmour, Michel Onfray… ou encore les Pierre Cassen, Christine Tasin, et tant d’autres, au lieu de se satisfaire de nazes tels que BHL, pour ne nommer que ce minable menteur-manipulateur… il n’en serait pas là, et nous non plus.

Il faut entendre Zemmour batailler avec les chroniqueurs « bien-pensants » de RTL à propos des Gilets jaunes pour constater immédiatement le gouffre qui sépare son analyse, émanant d’un vrai grand cerveau et d’une belle âme… des minables artifices de Macron, se croyant fort « parce qu’il ne cède pas », alors qu’il ne fait qu’obéir aux directives de ses gourous, via l’UE qu’ils ont si bien su embellir et manipuler pour nous l’imposer à l’insu de notre plein gré (Sarkozy, si tu nous lis !!!).

https://www.youtube.com/watch?v=RQEpx6TuHK4

Bienheureux et inattendu sujet de satisfaction, l’intervention de Cynthia Fleury cette nuit au JT de minuit de Soir 3, n’ayant pas fermé mon téléviseur immédiatement après la série policière dont je m’étais régalée.

Curieuse d’entendre les commentaires de ce professeur au Conservatoire national des arts et métiers, titulaire de la chaire humanités et santé, que j’imaginais « aux normes » du discours officiel puisque dûment invitée à s’exprimer sur un support du politiquement correct, c’est avec un  plaisir infini que j’ai enfin entendu (hélas à une heure de « petite » écoute), qui plus est dans un français correct mais simple et compréhensible par tous, sans redondance ni langue de bois, des arguments semblables à ceux que nous véhiculons, faisant état des réalités, non des fables habituellement diffusées sur les médias du pouvoir. Écoutez-la, c’est un régal.

https://www.france.tv/france-3/soir-3/810997-soir-3.html

Soir 3 – Édition du dimanche 2 décembre 2018 – A partir de 8’40

Parmi tous les Gilets jaunes que j’ai côtoyés ou croisés, jamais aucun d’entre eux n’était cagoulé, et encore moins masqué ; tous les citoyens sensés, sachant trouver les bonnes informations, commencent à bien savoir qui sont ceux qui pratiquent le caillassage systématique des forces de l’ordre et des pompiers et incendient des voitures sans raison ; ce sont les « pros du chaos » dont Castaner a consenti à prononcer le nom… ce qui ne l’empêchera pas d’obéir aux ordres de Macron, dont il est le bras armé, pour « mettre le peuple au pas » !

Il est évident que, même si certains vrais Gilets jaunes excessifs ont pu « péter les plombs » sur les Champs-Élysées ce 1er décembre, le piège qui leur a été tendu est clair : en les enfermant dans un périmètre les empêchant de se rendre où ils le souhaitaient (dans les limites permises) ils étaient aux premières loges pour constater à quel point la réaction des CRS aux ordres différait face aux casseurs affublés de gilets jaunes pour mieux tromper le monde, en intervenant pas ou alors bien plus « mollement » que sur les manifestants légitimes qui, dans leur immense majorité, sont écœurés qu’on puisse les confondre avec les racailles professionnelles.

Des extrêmes chez les G.J. et des zélés parmi les CRS, dûment filmés et commentés en boucle, c’est exactement ce qu’il fallait à ce gouvernement de félons pour discréditer le mouvement recueillant l’approbation des citoyens à plus de 80 %. De là à penser que tout était dûment prévu, il n’y a qu’un pas, aisément franchissable…

Il est donc vital de ne pas confondre quelques centaines d’ordures vraisemblablement aux ordres, avec ce « populo » méprisé, ayant enfin décidé de siffler la fin de la récré pour tous ceux persuadés qu’en étant « du côté du plus fort », en l’occurrence le président, ils seront toujours protégés…

Si l’on ne saurait approuver les intolérables exactions commises hier dans Paris, le fait que les casseurs s’en soient pris aux beaux quartiers, habituellement préservés, semble peut-être apte à faire comprendre enfin à quelques-uns qu’il y a finalement un immense danger à soutenir ceux dont la principale occupation est de semer le vent ; à ce petit jeu, on récolte la tempête et, lorsque celle-ci s’est levée, bien malin qui saura dire quand elle se calmera.

Pas Macron en tout cas, qui se trouve à ce jour devant un choix très simple, dûment expliqué par Pierre Cassen dans sa dernière vidéo : la démission ou la dictature.

 

https://www.youtube.com/watch?v=_ss6d-6OvL0

Pierre Cassen démontre que Macron, qui se prétend le représentant du camp « progressiste », est obligé de réprimer violemment les Gilets jaunes, soutenus par 84 % des Français. Il explique que Macron ne peut que démissionner… ou instaurer une dictature qui ne tiendrait pas longtemps.

Quel que soit son choix, et bien que malgré ses incessantes descentes dans les sondages il soit toujours annoncé au même niveau (mystère insondable des chiffres), il est foutu et n’arrivera pas à remonter l’immense terrain perdu, et ce d’autant plus qu’il fut élu par un pourcentage ridicule de Français, une fois éliminés les abstentionnistes, les votes MLP et les votes blancs.

En attendant, les Gilets jaunes ne lâcheront rien, malgré provocations et mépris de la part de ceux dont la superbe commence à craqueler sous les sourires encore bravaches, et pour ma part ce sont eux les vrais Français ; ceux qui se tiennent chaud, autours de feux improvisés… y compris réunis autour de la flamme du Soldat inconnu en chantant la Marseillaise :

De même, ceux convergeant également sous l’Arc de Triomphe où ils se sont donné rendez-vous pour signifier leur attachement à la Nation tellement mise à mal par Macron et ses commanditaires, chantant l’hymne si décrié par les mondialistes et qui pourtant fait si chaud au cœur lorsqu’il est repris à l’unisson avec des patriotes convaincus.

Pour « l’acte 3 » de la mobilisation, le mouvement des « Gilets jaunes » s’est donné rendez-vous, comme la semaine dernière, à Paris. Sur les Champs-Élysées et devant l’Arc de Triomphe, ils sont plusieurs à avoir chanté la Marseillaise.

 

https://www.youtube.com/watch?v=_1UgNdh1e-o

Quelle(s) que soi(en)t la ou les décision(s) que prendra Macron, il a déjà perdu la partie et n’en finira plus de se mordre des doigts d’avoir déclaré la guerre au peuple le plus imprévisible de la Terre !

La partie ne fait que commencer, nul ne sait encore jusqu’à quel point du chaos qui s’annonce Macron nous mènera, mais ce qui ne fait aucun doute, c’est la détermination des Gilets jaunes, au moins aussi importante que son stupide entêtement.

 

Josiane Filio,

au nom de la Liberté d’expression

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Un forcené en état d’enfermement mental : le chaos, c’est Macron !

Publié le 2 décembre 2018 - par

 

 

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Un profil pathologique dangereux.
Le psychiatre et professeur italien Adriano Sagatori nous avait avertis dès son élection, Emmanuel Macron présente un profil pathologique fragile, déséquilibré et, nous le voyons maintenant, extrêmement dangereux.

https://www.youtube.com/watch?v=NNDgsw39m9s

Les événements récents, depuis la révélation de l’affaire Benalla dont on ne refera pas ici la chronique, sont venus le confirmer. La dérive autoritaire, la crispation, l’autoritarisme, l’isolement névrotique, l’enfermement mental, ajoutés à l’immaturité avérée et à l’incroyable syndrome de toute-puissance de l’enfance (syndrome de l’enfant-roi) dressent le tableau typique du dictateur en puissance, capricieux, buté, instable psychologiquement et ivre du pouvoir que lui confèrent des institutions, elles-mêmes déséquilibrées, et dont il n’a ni la maturité ni la stabilité caractérielle pour le maîtriser.

La dangereuse rencontre entre des institutions qui sur-concentrent tous les pouvoirs et un profil psychiatrique dangereux.
Les institutions de la Ve République, et plus encore depuis qu’elles ont été déséquilibrées par les dernières réformes, confèrent au seul président de la République un pouvoir extravagant, sans équivalent dans aucune démocratie du monde occidental, et surtout quasiment sans aucun contre-pouvoir, ni institutionnel ni intermédiaire, dans la société. De surcroît, Macron a réduit toute opposition, tout système de médiation sociale dans le pays.

Il s’est isolé, absolument seul face au peuple, sans plus aucun intermédiaire entre lui et les 65 millions de français en révolte. Il n’écoute plus personne et les derniers conseillers dont il reste entouré n’ont pas le niveau politique et culturel pour le guider utilement. Ainsi, le pitoyable numéro d’Édouard Philippe cette semaine avec le Gilet jaune mystère qu’il a rencontré seul et dont il nous a dit l’avoir écouté avec attention, nous confirme bien la nullité absolue de l’entourage direct de Macron, y compris au plus haut niveau.

Cet homme est seul, il n’écoute plus personne et il a totalement perdu le contact avec la réalité la plus élémentaire. De surcroît, dépourvu de toute stabilité émotionnelle, il est en état de stress maximum et donc imprévisible et dangereux.
Il est également la risée du monde entier. Ainsi, le méchant camouflet qui vient de lui être infligé en Argentine où la présidente l’a fait lanterner à sa descente d’avion et accueillir par des gilets jaunes à la passerelle est un juste retour du camouflet infligé à Donald Trump lors des commémorations du 11 novembre. Rien ne se perd, et Macron s’est fait humilier en Argentine comme l’enfant mal élevé qu’il est. Nul doute que, même s’il continue à crâner, ce rude coup l’aura encore fragilisé dans son orgueil démesuré. Attention, Macron est d’autant plus dangereux qu’il est dans un état de fragilité extrême.

Or, aujourd’hui, un personnage dans un état psychologique complètement déséquilibré et fragilisé comme l’est Macron peut pratiquement tout décider seul, sans aucun contrôle et sans contre-pouvoir réel. Par les décisions qu’il va prendre dans les heures ou les jours qui viennent, il peut, à lui tout seul, plonger le pays dans un chaos comme on n’en a plus connu depuis certains âges lointains de notre Histoire.

 

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Le chaos, c’est lui

Par son entêtement pathologique à vouloir se confronter seul, à dominer, à mater un peuple de 65 millions d’individus soudés contre lui dans un unanimisme encore jamais vu, Macron a créé les conditions d’un chaos que le pays a rarement connu dans son Histoire. La stratégie du pourrissement, le refus de toute concession, combinés aux initiatives ostentatoires de répression policière brutale et de mépris absolu des Gilets jaunes ont créé un climat littéralement insurrectionnel dans le pays. Hier, samedi 1er décembre, la ville de Paris a vu se dérouler des scènes inouïes. Fait sans précédent, la préfecture du Puy-en-Velay a été incendiée. C’est bien Macron, et lui seul, qui a pris l’initiative de créer les conditions de ce chaos. Le chaos, c’est lui. Il en est le seul responsable.

Nécessité d’une mise à l’écart immédiate

Dans l’état d’enfermement mental, de fragilité et de radicalisation où il s’est lui-même placé, Macron est devenu dangereux pour le pays qu’il peut, soit enfermer dans la dictature, les institutions lui en donnent tous les moyens, soit précipiter dans l’affrontement civil.
Par conséquent, sa mise à l’écart immédiate est urgentissime. Elle est de salut public.

Un forcené en état d’enfermement mental

Si c’était un forcené ordinaire, on lui enverrait un négociateur du GIGN ou du Raid et on obtiendrait sa reddition sans conditions.

S’agissant d’un président de la République, cette solution n’est malheureusement pas prévue. Dans ces conditions et dans l’état d’enfermement mental où il s’est placé, il y a très peu de chances que Macron prenne les bonnes décisions.
Idéalement, de son point de vue, pour sauver les institutions, il faudrait au moins qu’il prenne la décision de retourner devant les électeurs en dissolvant l’Assemblée et que lui-même remette sa démission dans l’urgence. Il pourrait aussi proposer un référendum et, en cas de désaveu, se démettre dans la dignité comme l’avait fait de Gaulle en son temps. Plusieurs portes de sortie honorables restent encore à sa disposition.
Pourtant, il y a fort à parier qu’il n’en fera rien et qu’il restera crispé, incapable de se détendre. Sans doute tentera-t-il d’atermoyer ou d’embrouiller les Français. Peine perdue, plus personne ne le croit ni ne l’écoute. Ce serait encore pire.

Alors quoi ? L’état d’urgence ? L’armée ? L’état de siège ? La dictature ?

La solution institutionnelle

Dans ces conditions, pour sauver le pays, il appartiendrait aux députés et sénateurs macronistes et alliés de remettre collectivement leur démission et de retourner devant le peuple pour permettre une cohabitation qui briderait Macron. Ou, mieux encore, d’enclencher en toute urgence la procédure de destitution prévue par l’article 68 de la Constitution. Cela sauverait peut être les institutions et même le pays du chaos qui s’annonce. Face aux heures tragiques qui viennent, leur responsabilité est engagée, les Français vont les observer, ils ne s’y tromperont pas. Soit les élus macronistes maintiennent leur soutien à Macron, et alors le peuple de France les tiendra pour coresponsables de ce qui adviendra, soit ils prennent la bonne décision, et alors ils sauveront peut-être le pays. En tout cas, ils auront dégagé leur responsabilité. Les élus macronistes ont collectivement une des clés de la porte de sortie, les Français les observent et attendent.

LA RÉVOLUTION ET LE RENVERSEMENT DU RÉGIME ?

À défaut, si les contre-pouvoirs institutionnels ne jouent pas leur rôle pour sauver le pays, si les élus macronistes ne mesurent pas leur responsabilité, si Macron persiste dans son enfermement, s’il tente d’embrouiller le peuple ou d’atermoyer, ou encore s’il précipite une solution de type totalitaire, alors ce sera vraiment le chaos.
Tout le monde ira au bain, le peuple de France n’aura plus d’autre choix que de renverser le régime et de purger définitivement le pays de ceux qui l’auront conduit à cette extrémité. Il semble bien qu’il y soit déterminé.

Les dés roulent, les prochaines heures vont être cruciales.

Martin Moisan

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Où étaient les forces de l’ordre quand les voyous pillaient nos magasins ?

Publié le 2 décembre 2018 - par

 

 

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« Aucune cause ne justifie que les forces de l’ordre soient attaquées », avez-vous déclaré, M. le président de la République, depuis l’Argentine. Fort bien, mais avez-vous songé que vous ne seriez pas à votre place si les forces de l’ordre n’avaient pas été attaquées en 1789 et si Versailles n’avait pas été souillé pour renverser la monarchie et instaurer la République.

Les « Gilets jaunes » sont tombés dans l’embuscade tendue par le ministre de l’Intérieur, ils ne devaient en aucun cas se rassembler sur les « Champs-Élysées », c’était spectaculaire mais inutile.

Il ne faut pas qu’ils se trompent d’objectif.

Les commerçants, les grandes surfaces, les centres commerciaux ne sont pas leurs ennemis. Leurs ennemis, ce sont le président de la République, le gouvernement, les ministres, les députés qui ne les représentent plus mais sont aux ordres d’un parti.

Tout sera entrepris pour que leur objectif tout à fait légitime soit défiguré, ils ne tarderont pas à le constater dès les prochains sondages d’opinion : 75 % de la population les soutenaient et ce pourcentage diminuera dans les prochains jours.

C’est l’objectif du gouvernement et du chef de l’État.

Des bandes de voyous ont saccagé et pillé des boutiques rue de Rivoli, où étaient les forces de l’ordre ?

Des bandes de voyous ont saccagé et pillé des commerces avenue de la Grande Armée, où étaient les forces de l’ordre ?

Un peu partout dans les grandes villes, les voyous ont pu, en toute liberté et en toute impunité, détruire et piller, où étaient les forces de l’ordre ?

Occupées à repousser violemment des Gilets jaunes pacifiques manipulés par des casseurs professionnels, les mêmes qui apparaissent à chaque nouvelle manifestation, lors de chaque rassemblement, à Paris, à Marseille, à Toulouse, à Lyon, à Rennes, à Nantes et, à présent, même à Bordeaux, etc.

« Gilets jaunes », ne tombez pas dans de tels guets-apens destinés à vous décrédibiliser, à décrédibiliser vos revendications légitimes, ne vous laissez pas manipuler par des politiciens.

Vos actions régionales sont bien davantage gênantes et vos objectifs doivent être ciblés, ne vous égarez pas dans des manifestations, dans des rassemblements de masse qui, tôt ou tard, peuvent aboutir à un « clash ».

Nous l’avons payé assez cher le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger, pour en témoigner.

Tous les moyens seront envisagés pour vous provoquer, vous disperser, vous désunir et détourner la population qui vous soutient ouvertement.

Nous sommes à vos côtés dans vos régions, là ou vous vivez, pas à Paris, sur les « Champs ».

Vous obtiendrez satisfaction si vous persévérez dans des conditions identiques à celles qui ont marqué le début de votre mouvement. Comptez sur les réseaux sociaux, ils vous soutiennent, ils vous représentent. Prenez garde aux professionnels de la politique et à certains syndicats qui espèrent se relancer grâce à votre mouvement spontané.

Vous pouvez compter sur nous.

Manuel Gomez

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