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10 décembre 2018

LES GILETS JAUNES PERSISTENT ET DEMANDENT : MACRON DÉMISSION SINON ON COURE A LA RÉVOLUTION !

 Gilets jaunes : j’en ai vu des choses, ce 8 décembre à Paris !

 

Publié le 9 décembre 2018 - par

Arrivé avant l’aube.

Paris dort encore d’un sommeil agité. État des lieux ? État de siège : blindés qui traversent les rues désertes et illuminées par les vitrines vidées de leur contenu ; colonnes de véhicules de CRS ou de la gendarmerie ; policiers en faction. Espoir, deux d’entre eux se tiennent devant l’église de La Madeleine. Sont-ils là pour protéger le monument ? Non. « On n’a pas reçu de consignes pour protéger les monuments », répond l’un d’eux à ma question. Après tout, que sont les joyaux  de Paris au regard de la mirifique république en marche pour l’ultralibéralisme apatride et décomplexé, qui se fiche autant des peuples que des identités ?

Au fait, je ne sais pas si vous aviez remarqué, mais LREM ça peut aussi se comprendre comme Le Roi Est Mort. Signe prémonitoire, l’avenir le dira. Sauf que, cette fois, ce sont les Vendéens qui risquent de prendre leur revanche !

J’erre donc dans les rues. Les magasins sont, pour nombre d’entre eux, barricadés, les rares passants font grise mine. Sur un boulevard, je rencontre un groupe alcoolisé, dont un me demande de le photographier. Je m’exécute. Il vient du bled, comme ses potes, me dit-il. Ils insultent copieusement les CRS en faction, qui ne bronchent pas. Faut dire que les gars sont des molosses, plus difficiles à maîtriser que des hommes et des femmes du terroir, qui s’en prendront ultérieurement plein la figure.

À force, le jour décide de se lever. Paris ne ressemble pas à un samedi. Plutôt à un lendemain de Saint-Sylvestre. Quelques badauds se risquent mais guère plus. Petit déjeuner rive gauche, sur les quais, tandis qu’on entend hurler les sirènes un peu partout. Ambiance de coup d’État.

J’arrive au Louvre. Là, je dois admettre ma satisfaction de ne voir aucune bagnole traverser cet écrin sublime. Merci les Gilets jaunes ! Puis promenade aux Tuileries et arrivée au pied de Jeanne, rue de Rivoli. La rue est barrée par des alignements de blocs de béton. Je photographie. Là, un policier en civil vient me voir, me demandant très poliment de ne pas prendre ses collègues en photo afin de préserver leur vie privée et surtout qu’ils n’aient pas d’ennuis. Il a raison et je m’exécute de bon cœur.

Arrive un touriste asiatique excentrique et, à voir ce qu’il porte au poignet – une montre de grande marque –, riche comme Crésus. En Anglais, il me demande de le photographier avec son superbe smartphone au pied de la statue de notre héroïne nationale. Je le fais bien volontiers et j’exhorte en même temps le policier, qui le dévisage en émettant des critiques désagréables, à être discret : « Cet homme doit sans doute gagner dix fois votre salaire et dépenser des sommes astronomiques à Paris », dis-je. Pas content le policier. Seulement voilà : les touristes sont une manne financière et, compte tenu des événements actuels se déroulant dans la capitale, il faut ménager les audacieux étrangers qui se risquent encore à la visiter.

Je repars car pour moi impossible de passer les points de contrôle : j’ai des objets dangereux sur moi, notamment un masque pour me protéger des gaz lacrymogènes et une trousse de secours qui me sera fort utile plus tard. De toute façon, être parqué comme un bœuf dans une zone fermée, non merci ! Sur le chemin, je croise un groupe de jeunes Bretons patriotes. L’un d’eux me dit : « J’ai été refoulé. Il paraît que je suis fiché et je ne le savais même pas. » Surveiller et punir, suivant le titre d’un excellent essai de Michel Foucault.

Je file sur Bastille. Enfin, non, je prends mon temps pour jouer à mon tour les touristes dans une ville dont je ne me lasse jamais.

Bastille : même point de contrôle, tenu cette fois par la gendarmerie. Sur la place, très peu de monde. Je rebrousse chemin et, après un passage spirituel dans l’église Saint-Paul et Saint-Louis, le temps de me nettoyer l’âme et converser avec un adorable sacristain originaire de Damas, je remonte vers le Sentier et les Grands Boulevards. Une jeune fille, apercevant mon appareil, me prévient : « Ils confisquent les cartes SD. » Précisément ce qui permet de stocker les photos. Pas de traces, des fois qu’on aurait la main un peu lourde, rapport aux ordres reçus ! Je fais des détours, je mange en quatrième vitesse dans un snack et je ressors.

Commencent les festivités : des groupes de Gilets jaunes convergent de partout. Gauche, extrême gauche, syndicats d’enseignants, CGT, etc., citoyens lambda qui me refilent des tracts, où l’on peut lire, entre autres : « Refusons d’améliorer ce qui nous abîme ! Refusons de négocier avec ceux qui veulent nous enterrer ! » Rien de bien méchant. Il faut croire que pour les autorités ils le sont, méchants : gazage dans les règles, lance à eau, Flash-Ball, sans discontinuer. Je commence à soigner mon petit monde, dont un vieux séfarade qui croyait trouver une seconde jeunesse en allant manifester. On discute quelques instants.

Dispersion et remontée jusqu’à Strasbourg-Saint-Denis. Là c’est plus virulent : tags de l’ultra-gauche, mobilier urbain cassé – ici, tout n’avait pas été retiré, contrairement aux quartiers plus chics –, barricades improvisées, départs de feu. Et toujours ces forces de l’ordre très réactives, jusqu’à molester des passants qui ne comprennent pas assez vite et n’ont cependant rien à voir avec les Gilets jaunes ou les casseurs.

Puis direction les Grands Magasins et Saint-Augustin. Là-bas ça pète de tous les côtés. Au passage, merci infiniment d’avoir canardé l’entrée de l’église Saint-Augustin à plusieurs reprises, et volontairement, pour faire fuir trois pelés et deux tondus qui se trouvaient devant. Mais ici, la foule – à elle seule nettement plus nombreuse que les 10 000 annoncés dans tout Paris ! – veut en découdre. Et je la suis dans un nuage lacrymogène nettement moins agréable que les brumes de Brocéliande, pour ceux qui connaissent. Un Flash- Ball atteint sa cible, mais en fin de course, c’est-à-dire mon bras droit. Peut-être était-il destiné à un autre ?  Un photographe accrédité a moins de chance que moi : sa main est gonflée et violacée. Il me confie avoir été frappé à bout portant tandis que sa qualité de photographe de presse était visible, notamment par la carte qu’il portait autour du cou. Je lui mets le bras en écharpe et je repars.

Balcons, squares et jeux pour enfants, tout ce qui bouge ou pas est visé. Jusqu’aux pompiers venus porter secours à un blessé. Je précise que, parmi cette foule, pas un Black Bloc – ceux-là sont en première ligne – et peu d’agneaux des cités, lesquels ne vont cependant pas tarder à s’agiter. C’est le jeu du chat et de la souris. Ce qui me permet de constater que le quartier est ceinturé par les forces de l’ordre. Sans doute le peuple de France est-il moins coté que celui des cités ? ! Parce que les drapeaux bleu-blanc-rouge pullulent, ainsi que les régionaux. Quant au public présent, ça laisse peu de doutes.

Soudain, une Porsche s’enflamme. L’excitation commence. Je m’en vais. À Saint-Lazare, les vitrines sont brisées, les véhicules cassés, les cris et les explosions se multiplient. Mais là, ni droite ni gauche, extrême ou pas : ce sont les cités qui débarquent, comme la semaine dernière. Et elles, elles ne font pas dans la dentelle.

Je quitte Paris avec un goût amer dans la bouche : les forces de l’ordre avaient-elles reçu la consigne de se défouler sur le peuple ? Et même si je refuse toujours de sombrer dans le discours anti-flics, aussi facile que généralisant, force est de reconnaître qu’ils étaient, ce jour-là, effrayants. À tel point que j’ai vu des citoyens lambda chanter : « Tout le monde déteste la police ! » De mon côté, je ne la déteste pas, mais je tiens à lui rappeler qu’elle fait, elle aussi, partie du peuple. Pire, elle est surexploitée par des individus qui la méprisent et l’obligent à baisser la tête devant certaines populations intouchables. Pourvu qu’elle s’en souvienne la semaine prochaine…

Charles Demassieux

(Photos : Charles Demassieux pour Riposte laïque)

 

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Les vrais GJ ont compris qu’on ne peut pas laisser la France à Macron jusqu’en 2022

 

Publié le 9 décembre 2018 - par - 74 commentaires - 2 184 vues

Les potes à Macron, les grands patrons du CAC 40, les bobos des villes, les artistes, les écolos, les journalistes, les universitaires, les associations subventionnées, les juges, les syndicats, les gauchistes qui se disent anti-capitalistes détestent les Gilets jaunes. Ils les sont d’abord insultés, classés à l’extrême droite, qualifiés de « peste brune », pensant que ce mouvement n’allait pas durer longtemps.

C’est qu’ils étaient dangereux, ces rats des champs ! Ils osaient, par leurs revendications, remettre en cause le catéchisme écologique et ne voulaient plus payer la taxe énergétique. Encore pire, ils paraissaient perméables à des thèses « nauséeuses » leur expliquant que le litre à 2 euros que leur promettait Macron payait également une grande partie de l’immigration. Et dans le même élan, ils osaient parler du pacte de Marrakech.

Il fallait donc commencer par les salir et les mépriser. Ils étaient forcément des beaufs, des racistes, des nostalgiques d’Adolf Hitler qui se foutaient totalement de l’avenir de la planète. Ceux qui les qualifiaient ainsi habitaient presque tous dans les centres-villes, ils faisaient du vélo en semaine ou prenaient des taxis, payés souvent par nos impôts, et le week-end, ils montaient dans un avion pour rejoindre leur résidence secondaire. Ils polluaient bien plus que les ouvriers exilés dans les périphéries urbaines, mais ils étaient dans le camp des vainqueurs de la mondialisation et défendaient donc des intérêts supérieurs.

Autre défaut de ces manants Gilets jaunes, ils votaient beaucoup plus pour Marine Le Pen que pour Jean-Luc Mélenchon. Et ils n’avaient nullement envie de voir des clandestins installés dans leur ville par un quelconque préfet à Macron.

Ils n’étaient sans doute pas très instruits, mais ils avaient compris, intuitivement, que la France, qui ne pèse que 1 % de la population mondiale et ne produit que 0,9 % de son CO2, ne pouvait sauver la planète (en admettant qu’elle soit en danger, ce dont ils n’étaient pas convaincus). Et ils n’avaient nullement l’intention de se laisser piquer leur voiture, à diesel ou à essence, pour une voiture électrique, ils n’avaient nullement l’intention d’être contraints au covoiturage, et pas davantage de devoir abandonner leur chaudière au fioul. À noter que cette agression contre les classes populaires ne dérangeait absolument pas Mélenchon et toute la clique « progressiste », qui prétendent pourtant parler au nom du peuple, respect de la COP21 oblige. Les insultes de Macron contre l’armée française en Algérie, la négation de notre culture française, les calomnies contre notre pays déversées depuis la tribune de l’Onu, la mascarade de la Fête de la musique et de Saint-Martin, tout ce qui a contribué à salir la France, à ridiculiser l’image présidentielle, n’a absolument pas dérangé Mélenchon et ses complices gauchistes. Ils partagent avec Macron la même haine pour notre pays et la même fascination pour le mondialisme et la disparition des frontières et des États-nations. Ce sont les béquilles du régime.

Certes, tous les Gilets jaunes n’étaient pas des lecteurs de Jacques Guillemain et de ses nombreux articles qui, dans Riposte Laïque, expliquent à nos compatriotes le vrai coût de l’immigration et le suicide français qu’elle représente. Mais intuitivement, toujours, ils comprenaient que quand 5 millions de Français vivent avec moins de 700 euros par mois, que 6 millions sont privés d’emploi et que 10 millions sont pauvres, il y avait une certaine indécence à continuer d’accueillir des clandestins, souvent hommes seuls musulmans, à qui on donnait 850 euros par mois, ou de prétendus mineurs isolés qui coûtent 50 000 euros par an.

https://ripostelaique.com/author/jacques-guillemain

Il ne leur était pas difficile de comprendre, comme l’expliquait dans cette vidéo Pierre Cassen, que ce qu’on donnait aux clandestins, on ne leur donnait pas à eux, et que c’étaient eux qui, en outre, par l’augmentation des taxes, finançaient cette invasion.

Les vrais révolutionnaires, c’étaient les Gilets jaunes, et les vrais privilégiés, qui se sentaient menacés, c’était cette nomenklatura de gauche citée au début de ce texte. Une nouvelle nuit du 4 août 1789, celle de l’abolition des privilèges, risquait de tomber sur ces petits marquis qui se disaient dans le camp du Bien et ne vivaient, et fort bien, que sur la bête, payée par les impôts et les taxes des Gilets jaunes. Alors, ils se sont remarquablement organisés pour torpiller le mouvement.

Ils l’ont infiltré et ont essayé d’en faire le relais de la CGT et de Mélenchon, limitant le mouvement à des seules revendications sociales (souvent légitimes) et interdisant toute expression culturelle, identitaire ou patriotique avec des méthodes dignes de celles des staliniens.

Ils ont encouragé les milices gauchistes du pouvoir à multiplier les agressions contre les forces de l’ordre et à vandaliser les centres-villes pour mieux discréditer le mouvement. Ils n’ont condamné ces exactions que du bout des lèvres, alors qu’ils réclament la dissolution de Génération Identitaire dont les militants n’ont jamais brûlé une voiture, ni dévalisé un magasin, ni agressé des policiers. Il ne les a pas dérangés que ceux que Marx appelait la lie de la société, le lumpenprolétariat, les racailles islamisées complètent le travail des black blocs, par ailleurs souvent des fils de famille à l’abri du besoin.

Les seules critiques des récupérateurs de gauche contre Macron ne sont que politiciennes. Ils sont tous derrière lui pour qu’il livre la France à l’immigration, avec la signature honteuse, en cachette, d’un vulgaire secrétaire d’État, alors que Macron devait le signer en grande pompe. Ils sont tous complices du discours des escrocs de la prétendue transition écologique.

Ils ont commencé à filtrer les Gilets jaunes qui avaient le droit de parler dans le micro ou sur les plateaux de télévision. Et, curieusement, on a commencé à entendre totalement un autre discours que celui des premiers Gilets jaunes. Le mot France était très peu prononcé et le mot « immigration » ou « clandestin » devenait interdit. Il fallait faire la chasse à la « peste brune » qu’avaient dénoncée Castaner, Griveaux, Darmanin et Macron. Et les gauchistes furent, encore une fois, les parfaits auxiliaires du pouvoir.

Les Gilets Jaunes ne doivent pas se faire voler leur mouvement. À la veille du discours de Macron, dont beaucoup affirment que c’est sa dernière chance, ils doivent trouver au plus vite des porte-parole qui incarnent le cœur du mouvement et contestent les deux piliers du catéchisme mondialiste de Macron : l’écologie et l’immigration. Il faut imposer des porte-parole qui sentent bon la France et qui l’aiment. Des patriotes, identitaires et souverainistes.

Mais Macron et ses sbires rêvent que la contre-révolution mondialiste écrase la révolution populaire et patriote des vrais Gilets jaunes.

Les contre-révolutionnaires, tous électeurs de Macron, Insoumis, syndicats et associations, font semblant de critiquer ce régime, ce gouvernement pour récupérer des miettes plus importantes du gâteau. Ils sont d’accord pour que tout le monde paie son litre d’essence bientôt 2,50 euros et doive abandonner voiture et chaudière. Ils sont d’accord pour que les plus modestes, les plus touchés par les taxes, paient le prix de l’invasion migratoire, financièrement et culturellement. Ils n’ont pas eu un mot pour s’opposer à la signature du pacte de Marrakech où, pourtant, les parlementaires ont été totalement contournés par Macron. Aucun d’entre eux n’a protesté quand un poulain de Macron, Aurelien Taché, a annoncé que le programme de son chef pour les prochaines élections était le transfert de tout ce qui restait de souveraineté de la France vers l’Europe.

Les vrais révolutionnaires, pas les Insoumis de salon, ont compris qu’on ne peut pas laisser Macron détruire la France pendant encore trois ans et demi, comme le dit ce porte-parole des Gilets jaunes qui, à notre avis, n’est pas près de remettre les pieds sur un plateau de télévision…

Ils savent que ce samedi, le pouvoir a pétoché dur. Ils ont eu peur de perdre le pouvoir et que les policiers fraternisent avec les manifestants. Ils ont tout fait pour multiplier des arrestations grotesques et empêcher des vrais patriotes de manifester. Ils ont minoré en permanence les chiffres des vrais manifestants, en province notamment. Ils ont criminalisé d’honnêtes citoyens qui seront traînés devant des juges (parfois du Mur des Cons) comme des malfrats.

Ils ont compris, dans ce contexte, que le dialogue ne sert plus à rien et que la seule solution, quoi qu’il annonce demain soir, est le départ de Macron et une nouvelle consultation démocratique.

Ils ont compris que si la France ne se débarrasse pas maintenant de Macron, nous sommes foutus. Ils sont déjà prêts à l’acte V et ne se contenteront pas, eux, des belles paroles de Macron ce lundi soir à 20 heures.

Les vrais révolutionnaires, ce sont les Gilets jaunes.

CYRANO

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Si nous n’arrivons pas à virer Macron, nous sommes foutus !

 

Publié le 9 décembre 2018 - par - 60 commentaires - 2 116 vues

 

J’ai été très déçu, au soir de ce samedi 8 décembre 2018, de voir qu’il ne s’était rien passé. Beaucoup moins, en tout cas, que lorsqu’une racaille arabo-musulmane en mobylette se fait percuter par une voiture de police et que cela engendre une guerre civile locale dans tout un département.

Je suis désespéré. Patriote depuis toujours, j’aime mon pays, la France. Oh, certes pas la France d’aujourd’hui qui ne ressemble plus à rien, et encore moins son peuple d’endormis sous Prozac, de béats bien nourris, gras, repus et satisfaits, de gôchistes au QI de 20 qui ont tout envahi, de bourgeois frileux et terrifiés qui s’enferment dans leurs villas et hôtels particuliers pour ne pas voir la sanie qui grouille dans les rues.

Sanie représentée par toute cette faune exogène d’immigrés arabes et noirs africains, pour la plupart musulmans, arrivés par millions pour nous piller, nous détruire, nous voler, nous violer et faire de la France un champ de ruines musulman, comme ils savent si bien le faire au Moyen-Orient.

Ils n’ont rien à faire, ils ne veulent rien faire et surtout pas travailler. Ils sont incapables de faire quoi que ce soit de leur tête ou de leurs mains.
Ils sont là pour nous exterminer et nous remplacer selon le grand plan prévu par les élites mondialistes, la haute finance, Soros, les riches pays musulmans et bien sûr l’UE, cette merveille. Tous ensemble, ils nous ont offert Macron comme président et l’ont chargé de la mission d’accomplir ce grand changement. Et ils s’y emploie avec un zèle.

Vous savez, on croit toujours que dans la vie les choses sont compliquées. Mais pas du tout. Avec les humains, les choses sont toujours simples. Chacun est là pour piquer les affaires des autres et les éliminer au passage à la moindre résistance.

Depuis des années, nous savons que nous allons vers le gouffre, la catastrophe finale, la fin de nos États-nations, la dictature de l’UE, la fin de tous les acquis sociaux des peuples, la ruine de notre culture occidentale et la chute de notre civilisation.

Ce sera la ruine pour tous, à l’exception des hyper riches.

La pauvreté sera pour nous tous.

Depuis des années, les choses se mettent en place, la destruction de notre système social de solidarité, sauf pour les immigrés illégaux, la fin du système de retraites par répartition, la fin de notre système de santé, la fin de notre système éducatif et de notre enseignement public qui ne sait plus que produire des bacheliers analphabètes, la fin de tous nos droits, la fin des droits de l’homme, la fin de la liberté, de l’égalité et de la fraternité (cette dernière n’ayant jamais vraiment existé… !)

Bon, tout cela, je l’ai déjà écrit et je ne suis pas le seul.
On ne peut pas toujours répéter les mêmes choses.

Alors, essayez de suivre et informez-vous.

La situation est aujourd’hui la suivante :
Macron est payé pour détruire la France et il le fait.
Le pacte migratoire de l’Onu (maître du monde) vise à détruire les États-nations.
Le refus ou rejet du Pacte migratoire est une réaction intelligente et profondément humaine visant à protéger son peuple d’invasions migratoires à buts guerriers et conquérants.
Nous devons suivre l’exemple des USA et des autres pays ayant refusé.

Si le peuple français ne veut pas être détruit et son pays avec, il doit réagir. On ne peut pas permettre de laisser rayer de la carte du monde 2000 ans d’Histoire d’une grande nation, sa culture, ses lois, son génie intellectuel, agricole, industriel, et commercial. Nous étions une des plus grandes et des plus avancées nations de la Terre et nous voilà réduits à laisser une partie de notre peuple crever de faim tandis que d’autres meurent de trop manger.

Mais cette destruction aura lieu très bientôt si les Français ne se réveillent pas.
Notre pays a connu des guerres, des tas de guerres, au cours de son Histoire, et aussi une grande révolution qui lui a permis d’avancer.

Un des facteurs déclenchant des guerres et des révoltes a été la pauvreté et le désespoir du peuple.

Lorsque le peuple arrive à un certain seuil, il ne peut plus le supporter et il se révolte.

On nous a enseigné à tous que la violence ne réglait rien, que la violence était l’arme des faibles, que la violence était la pire des solutions.

On nous vote une loi contre la fessée, mais à côté de ça, ceux qui ont voté cette loi méprisent le peuple et sont d’une rare violence administrative et fiscale avec le peuple.

Ah, oui, c’est vrai, on parle de la violence physique…
Mais la violence physique de l’État Macron est bien là, quand on voit nos petits retraités affamés manger dans les poubelles, nos femmes et nos filles se faire violer par leurs grands amis immigrés, nos policiers se suicider, nos agriculteurs se suicider et toutes ces agressions violentes, ces meurtres et ces égorgements que commettent tous leurs amis immigrés arabes et africains musulmans…

Ce n’est pas de la violence, tout ça… ?
Et c’est bien le résultat de la politique de mépris et de haine de la France et de son peuple par nos dirigeants depuis des décennies.
Ils ont le pouvoir absolu, ils ont l’argent et ils méprisent ceux qui souffrent. Ce n’est pas l’esprit de la déclaration des droits de l’homme, ni de notre constitution, ni de nos lois, ni de notre morale chrétienne qui a tant apporté à notre droit, par le passé, il est important de le dire.

Par ailleurs, aujourd’hui, face à des manifestants Gilets jaunes calmes et pacifiques, qui ont au moins ce courage admirable de venir exprimer la souffrance et l’épuisement d’une grande partie du peuple, on envoie des forces de l’ordre armées jusqu’aux dents qui emploient immédiatement leurs armes et véhicules de rétablissement de l’ordre contre eux, alors que ce sont des voyous, casseurs et racailles envoyés par l’État qui sont responsables de tous les débordements et de tous les dégâts.

La violence est donc omniprésente. La justice est violente et surtout ignoble d’iniquité en condamnant constamment des innocents qui ne font que dénoncer oralement ou par écrit les abus et les déficiences de l’État alors que des casseurs, des pilleurs, des violeurs et des assassins sont parfois juste rappelés à l’ordre et rendus à la liberté, parce qu’ils font partie des populations préférées (remplaçantes) de l’État.

La violence ce n’est pas seulement d’envoyer des pavés ou de tirer à balles réelles. La violence peut aussi être morale, psychologique, par le mépris, verbale et même, parfois, par le simple silence…

La violence se trouve aussi dans le licenciement de centaines de milliers de salariés, peut-être de millions, parce que leurs entreprises, étranglées de taxes d’État, disparaissent, ou fuient à l’étranger pour y trouver des mains-d’œuvre à bon marché, les abandonnent à leur sort, c’est-à-dire à la rue et à la misère.

Ce n’est pas de la violence, ça ?
Curieux, mais on se rend compte que le mot violence est souvent lié au mot État ou aux actions de l’État.

Et l’État nous pond une loi anti-fessée. En termes de délires, ça se pose là.

J’en arrive à mon propos et je vais encore répéter ce que j’ai déjà dit mille fois, faire des « sit-in » en gilets jaunes, c’est sympa. Mais face à un état destructeur et assassin, le mot sympa ne trouve plus sa place.

Peuple de France, tu dois te réveiller.

C’est par millions que tu dois descendre dans les rues si tu ne veux pas perdre sous très peu de temps ce que tu possèdes.
Fini le temps des Bisounours !
A un moment, il faudra bien les prendre en main, ces armes, pour se faire entendre. Et si l’état continue d’être sourd et aveugle à la détresse et à la colère du peuple, alors ces armes parleront.

Riches ou pauvres, professions libérales, salariés ou retraités de tous les domaines de la société, nous allons tous perdre ce que nous possédons.

Méfiez-vous, Macron est aux abois, il a peur de ne pas arriver à nous détruire, alors il va encore nous enfumer et accélérer son œuvre de destruction et de mort.

Il n’est absolument plus question de « réformes » de notre société, mais de la destruction de notre société et de la mise à mort de notre peuple afin que la France, mais aussi toute l’Europe, devienne comme l’Afrique, pendant que l’Afrique se videra de ses populations. (Voir le « pacte mondial des migrations » de l’ONU musulmane :

https://ripostelaique.com/comprendre-le-pacte-mondial-des-migrations.html

Et pourtant, l’Afrique est un des territoires les plus riches du monde en ressources naturelles et agricoles et les Africains n’ont jamais été capables d’en faire quoi que ce soit et n’ont survécu jusqu’à ce jour que grâce aux technologies et à l’argent que l’Europe ne cesse de leur déverser.

Le but est donc bien de nous détruire. D’ailleurs, Macron ne s’en cache même pas.

Alors, peuple de France, qu’attends-tu pour te réveiller et te mettre au boulot ? L’heure n’est plus à la manif gentille et sympa. L’heure est à la vraie révolte populaire et à la révolution qui devra se propager à toute l’Europe.

Fini les grands-mères et les mamans à poussettes dans les manifestations. Place aux combattants.

Cela deviendra forcément une révolution armée et meurtrière.
Dans ces cas-là, chacun doit choisir son camp.

Et si cela doit tourner en guerre civile, et bien c’est que cela devait arriver, et ce qui doit arriver arrivera. Par contre, si les peuples prennent l’initiative, ils auront une chance de l’emporter. Autrement, je ne garantis rien.

Mais la violence sera de toute façon la seule façon de nous libérer de la dictature. Soit en éliminant physiquement nos dictateurs, soit en les combattant par la rue et par la lutte armée contre l’État-dictature et l’UE dictature. Dans tous les cas, il y aura des morts, par dizaines ou centaines de milliers et si la guerre civile se propage à l’Europe, ce sera par millions.
La guerre sera politique, mais aussi interethnique, interreligieuse et interraciale.

Que devrons-nous demander et quels seront nos buts ?

Je ne puis proposer qu’une liste de mon cru. Mais elle est forcément incomplète ou discutable.

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Pour la France :

– Démission, destitution, arrestation (pour multiples délits, trahisons et crimes contre le peuple français et l’humanité) ou expulsion du dictateur Macron ;

– Mise en place d’un gouvernement de transition militaire (nos généraux s’y préparent déjà et la Constitution le prévoit) ;

– Instauration de l’état d’urgence et de la loi martiale pour éviter les débordements, soulèvements et embrasements des banlieues, notamment. Répression dans le sang de toute révolte de populations étrangères immigrées ;

– Fermeture immédiate des frontières et mise en place de l’armée sur toutes les frontières avec mission d’abattre les clandestins qui ignoreront les sommations, ce qui mettra un terme à cette folie migratoire ;

– Préparation d’une élection présidentielle avec consultation du peuple à toutes les étapes. Élimination de tous les candidats ayant déjà été élus à la présidence, mis en examen, condamnés, possédant un casier judiciaire non vierge, ayant un passé douteux ou s’étant mal comporté envers la France et les Français, etc.

– Frexit, sortie de la France de l’Union européenne qui est la source de la plupart de nos problèmes. Sortie immédiate, sans condition, sans contrepartie et sans acquitter quoi que ce soit à l’UE ;

– Annulation unilatérale et définitive de notre dette (2400 milliards d’euros) que nous ne paierons jamais, de toute façon, et qui est une des sources de tous nos malheurs ;

– Remise à plat des statuts des parlementaires et hauts fonctionnaires de l’État (Sénat, Assemblée nationale, Conseil d’État, Conseil constitutionnel, Élysée, etc.) afin que l’argent ne soit plus leur seule et unique motivation (argent public, argent facile). Rémunérations au niveau de celle d’un cadre moyen (ces gens-là ne produisent à peu près rien), indemnités professionnelles sur justificatif et plafonnées à 2000 euros par mois, pas de voitures de fonction (prendre le bus, le métro ou le taxi plus près du peuple ne leur fera pas de mal) ;

– Annulation de toutes les lois sur l’immigration et le regroupement familial. Abolition spécifique temporaire du principe de non-rétroactivité des lois concernant les lois sur l’immigration et le regroupement familial ;

– Expulsion dans la foulée de tous les immigrés musulmans non intégrés, dangereux ou posant le moindre problème. Expulsion de tous les imams et tous les dirigeants religieux ;

– Expulsion de tous les musulmans incarcérés ;

– Expulsion de tous les musulmans des services publics et de l’armée ;

– Interdiction de la religion musulmane en France et destruction de tous les bâtiments religieux musulmans ;

– Je ne suis pas spécialement pour la peine de mort, mais j’estime que c’est le peuple qui doit en décider. Il me semble que la peine de mort est aujourd’hui une chose un peu trop fréquente et banale dans nos rues…

– Révision de tout le système social de solidarité, des lois du travail, de la fiscalité, des retraites, des salaires, du SMIC et du chômage. Le SMIC devra être réévalué à un niveau permettant à tous d’avoir un pouvoir d’achat convenable (suggestion : de l’ordre de 1500 euros net minimum, à l’heure où j’écris ces lignes, ce qui me semble déjà très peu) ;

– Rétablissement du service militaire de 12 mois minimum similaire à l’ancien ;

– Réhabilitation d’un système d’enseignement public digne et à la hauteur des besoins du pays ;

– Réhabilitation d’un système de santé efficace, humain et accessible à tous et pas seulement aux riches ;

– Révision de toute la fiscalité et refonte du Code général des impôts. Il est intolérable qu’un agriculteur, un commerçant, un artisan ou tout travailleur indépendant ne puisse pas vivre dignement et correctement du fruit de son travail (s’il a effectivement du travail) ;

– Établissement d’un plafond des salaires et des rémunérations ;

– Établissement de la préférence nationale dans tous les cas où il y aura litige. Les relations commerciales ou de tous ordres avec l’étranger devront toujours profiter d’abord à la France ;

– Renforcement de notre armée, et notamment de notre flotte (deux porte-avions en permanence) ;

– Abandon de tout le concept de transition écologique ou énergétique et de toute relation avec la COP qui sont des postes budgétaires ruineux et totalement inutiles ;

– Rétablissement d’une grande politique énergétique avec de nombreuses nouvelles centrales nucléaires qui sont les moins polluantes et sont indispensables à la marche du pays ;
Abandon de tous les délires énergétiques de ces dernières années qui ont contribué à notre ruine sans jamais rien apporter ;

– Poursuite raisonnable du parc éolien et photovoltaïque ;

– Recherche de nouvelles technologies de motorisation automobile à condition que l’industrialisation de la production de ces technologies ne soit pas plus polluante, nocive et dangereuse que la motorisation à essence, ce qui reste à voir et à surveiller attentivement ;

– Construction de centaines de milliers de nouveaux logements dignes, selon de nouvelles contraintes ;

– Revenir à un soutien massif à notre agriculture et à l’ensemble de notre monde agricole ;

– Etc.

Laurent Droit

 

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Acte IV : Gilets jaunes, les grands gagnants, Macron, le grand perdant

 

Publié le 9 décembre 2018 - par

« Qu’ils viennent me chercher », pavoisait  Macron, se croyant intouchable dans sa tour d’ivoire, lors de la pitoyable affaire Benalla. Mais aujourd’hui, le ton a changé. Terré dans son bunker élyséen, encore plus protégé que les 4 600 tonnes d’or de Fort Knox, il se tait. L’heure n’est plus aux fanfaronnades mais au doute et au désarroi.

Les grands gagnants de cet épisode IV sont les Gilets jaunes qui sont parvenus, par leurs appels au calme, à ne pas se faire voler leur popularité par les casseurs d’extrême gauche et les pillards descendus des cités pour profiter de l’aubaine.

Rien n’est plus impopulaire que le désordre et la violence.

La maîtrise de la situation par les forces de l’ordre a été grandement facilitée par la sagesse des différents leaders du mouvement qui prêchaient la modération.

Le grand perdant, c’est Macron, qui donnait encore des leçons au monde entier le 11 novembre, plus orgueilleux et arrogant que jamais.

Son prestige et son ego démesuré en ont pris un sacré coup. Il aura au moins appris qu’on ne gouverne pas impunément contre le peuple.

De Washington à Rome, en passant par Téhéran et Ankara, les déclarations ironiques à l’égard de Macron sont de mise.

 

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Par conséquent, Jupiter ayant été recadré par les Gilets jaunes, le dialogue peut, en effet, s’ouvrir. Mais dans quelles conditions ?

Il faudrait tout d’abord que le gouvernement reconnaisse les véritables causes de cette révolte de la France profonde, ce qui n’est toujours pas le cas.

Macron et ses sbires sont bien décidés à mentir et à évacuer la fracture identitaire du débat en résumant la fronde au seul volet social. Grave erreur.

Car nier l’échec de la politique d’immigration et cacher son coût démentiel tout en aggravant la situation avec la signature du Pacte de Marrakech, c’est l’assurance que la France va se désintégrer et que la colère des GJ va redoubler dans les mois et les années qui viennent.

L’immigration a ruiné les GJ ? Macron ouvre encore plus les vannes !

Il suffit de voir comment le pouvoir a diabolisé les GJ aux premiers jours du mouvement, les traitant de factieux affublés de chemises brunes sous leur gilets jaunes, pour mesurer le mépris à l’égard du peuple.

Après la diabolisation, ils ont misé sur le pourrissement et la baisse de popularité des révoltés. Tout faux.

Chez nos ministres, ça ne vole pas haut.

Le Benjamin Griveaux, véritable modèle de nullité, s’est même payé le luxe de menacer les GJ qui agitaient des drapeaux français en scandant « on est chez nous » !

« Certaines personnes arborant un gilet jaune remontaient les Champs-Élysées avec des drapeaux en disant : « On est chez nous ». Ceux-là appartiennent à une extrême droite identitaire… Et ceux-là, nous les combattrons à chaque minute, à chaque heure et à chaque journée de ce quinquennat, jusqu’au bout. »

C’est dire le respect que ce gouvernement mondialiste a pour les patriotes !

Non Monsieur Griveaux, la droite identitaire ce n’est pas l’extrême droite ou l’ultra-droite, c’est la droite patriote qui refuse d’être dépossédée de son pays et de sa culture. C’est pourtant simple à comprendre.

Griveaux n’a pas l’air de savoir que 50 % des jeunes musulmans souhaitent voir instaurer la charia. Pour lui, le danger qui menace la République, ce sont les identitaires qui chantent la Marseillaise et agitent le drapeau français.

Elle est belle l’intégration !

Macron ne jure que par le mondialisme et le multiculturalisme alors que les Français ne cessent de dire, sondage après sondage, qu’ils ne veulent plus d’immigration et qu’ils refusent l’islamisation rampante du pays.

Qui les écoute ? Marine, et elle seule. Reconnaissons que depuis qu’elle a repris le flambeau de la droite patriote et identitaire, elle a toujours prôné la défense du peuple français, tout comme son père.

Après son échec lors du débat présidentiel, les plaies semblent se cicatriser dans le cœur des électeurs RN. Elle remonte la pente et représente la seule force crédible capable de redonner espoir aux GJ, car son discours social et identitaire est franc et sincère.

En 2017, face à Marine, Macron nous a rejoué « moi ou le chaos ».

Et aujourd’hui, on a Macron ET le chaos !

Pour ma part, je défendrai le RN pour les élections européennes de 2019. Aucun autre parti n’est en mesure de rafler la place de 1er parti de France à la proportionnelle intégrale.

Et de plus, elle représente le seul parti qui ne soit pas responsable du naufrage de la France puisque le RN n’a jamais gouverné.

La plus grave faute du peuple français a été de croire le discours des élites qui ont diabolisé le FN.

Si le peuple avait écouté JMLP qui clamait, il y a 40 ans, « la patrie en danger », il n’y aurait pas aujourd’hui de révolte des Gilets jaunes et la France serait le pays le plus riche d’Europe devant l’Allemagne, comme c’était le cas en 1975.

On attend donc le discours de Macron. Espérons qu’il ne sera pas complètement hors sujet. Car sa dernière prestation fut à côté de la plaque, avec un remake de la COP21 au lieu de parler crise sociale et identitaire.

Que peut-il ? Pas grand-chose s’il continue d’accueillir 400 000 immigrés par an, qui vont aller gonfler le flot des assistés et plomber le pouvoir d’achat des GJ.

Car il faut bien financer les 100 milliards par an que coûte cette immigration de déshérités, pour lesquels il n’y a ni emplois ni logements à offrir.

L’Allemagne manque de bras, la France manque d’emplois. L’immigration ne peut donc être qu’un fardeau supplémentaire pour l’économie française.

Ce qui est risible, c’est que notre président, qui gouverne seul et règne sans partage, se plaint aujourd’hui de la solitude du pouvoir ! Il faut oser.

Il gouverne contre le peuple et nous joue son numéro de Calimero ! Ridicule !

 

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Si les GJ clament « Macron démission », c’est parce que Macron est jugé seul responsable du désastre.

Voilà 5 ans qu’il est en charge de l’Économie, en tant que ministre de l’Économie sous Hollande. Qu’il ne nous fasse pas le coup de l’héritage !

Alors changer de cap ? Pas question, a dit Macron. Mais les caisses sont vides.

Augmenter le Smic de 10 % ? C’est 9 milliards de coût budgétaire pour l’État.

L’abandon de la taxe sur les carburants coûte 4 milliards.

Il va jouer sur les minima sociaux, la défiscalisation des heures supplémentaires et sur la TVA des produits alimentaires.

Tout cela pourrait coûter entre 0,5 et 1 point de PIB alors que le déficit 2019 devait rester à 2,8 % du PIB.

La prime de fin d’année payée par les employeurs ne pourra pas être généralisée.

La crise a déjà coûté des milliards à l’économie. Bon nombre de patrons sont incapables de financer cette prime.

En un mois, la chute du chiffre d’affaires de certaines PME atteint parfois 40 %.

Et que dire du tourisme et des investissements étrangers ?

L’image de la France, la start-up nation, est sacrément écornée.

Pour avoir ignoré les messages d’alerte remontés de la province, Macron a transformé la France en pays ingouvernable et peu sûr.

Macron est cramé. Il ne s’en relèvera pas. Tout va s’aggraver.

Le spectre de l’insurrection s’est éloigné ce samedi 8 décembre avec la baisse des violences et la reprise en mains de la situation par les forces de l’ordre.

Mais on entend déjà les appels pour un acte V samedi prochain. Ce serait le coup de grâce pour de nombreux commerces.

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La solution n’est certainement pas dans un remaniement ministériel, mais dans la dissolution de l’Assemblée nationale avec un retour à la proportionnelle, comme l’avait instaurée Mitterrand.

Les Gilets jaunes entendent être représentés au Parlement et ils ont raison, puisqu’ils sont la force économique du pays mais restent les derniers servis au guichet social.

Invoquer l’instabilité politique qu’entraîne la proportionnelle est un mensonge monumental.

Il suffirait d’accorder une prime au parti arrivé en tête pour lui assurer la majorité.

Mais l’establishment n’en veut pas. Il veut garder le pouvoir contre l’avis du peuple en empêchant le RN de gouverner.

Jacques Guillemain

 

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Macron est-il toujours légitime ? Juges et policiers
doivent-ils lui obéir ?
Publié le 9 décembre 2018 - par  

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La plupart des théoriciens sur les formes de gouvernance soutiennent sans désemparer qu’en Démocratie seul le gouvernement en place détient le monopole de la violence légitime pour faire respecter l’ordre public.

Tous les universitaires, philosophes, commentateurs, éditorialistes et sbires du pouvoir payés pour la propagande et non pour l’information nous rabâchent les oreilles avec leur notion d’État de droit.

Mis en place à l’issue d’un processus d’élections citoyennes, la légitimité du gouvernement actuel vaudrait ainsi jusqu’aux prochaines élections.

Ce qui se passe en France actuellement avec Macron et sa bande maffieuse oblige à réfléchir plus sensément pour revenir à la source de l’organisation de la démocratie française.

Dès l’abord et rétrospectivement, on peut désormais affirmer que Macron en 2017 comme Pétain en 1940  sont arrivés par effraction au sommet de l’État, constituant tous deux de grandes anomalies de l’Histoire de notre nation.

L’analogie entre les deux est on ne peut plus pertinente.

En 1940 c’est toute une théorie de politiciens complètement discrédités par la défaite qui abandonne le pouvoir au maréchal, en 2017 c’est toute une théorie de forces antifrançaises discréditées par la défaite des politiciens professionnels qui transfère la souveraineté de la nation à son fossoyeur Macron.

Si dans les formes la France a été le pays d’élections libres, dans les faits tout était truqué dès le départ pour arriver au seul résultat souhaité par la diaspora économico-financière mondialiste qui gère la planète pour son seul profit.

Mais en admettant que le processus démocratique ait été respecté en 2017, les chiffres de l’élection obligent à s’interroger sur la légitimité initiale du chef de l’État compte tenu du nombre de votants qui se sont réellement portés sur son nom :

Sur 47 568 693 inscrits, seuls 31 381 603 suffrages ont été exprimés, soit 66 %.

Sur ces 66 %, Macron en recueille 66,10 %, soit 20 743 128 voix sur 47 568 693 inscrits.

Sur 47 568 693 inscrits Macron est élu avec 20 743 128  suffrages, soit moins de la moitié.

Il est bien élu à la majorité puisqu’au 2e tour, seuls 10 638 475 voix se portent sur le nom de Marine Le Pen, mais à la minorité des inscrits.

Les abstentionnistes et les votes blancs peuvent être considérés comme des attentistes qui laissent faire faute de mieux mais ne soutiennent pas, ils veulent voir pour se décider en somme.

C’est probablement de là que naît l’erreur d’analyse des LREM qui se sont crus investis d’un mandat sans frein de réformes à la hussarde.

Quand Macron affirme « je vais faire une politique nouvelle pour créer un pays nouveau qui va être great again, le monde ancien est mort », le Gaulois réfractaire lui répond « pourquoi pas ??? Vu ce que l’on a connu depuis trente ans, ça ne peut pas être pire ».

Quand Macron commence à supprimer l’ISF, y’a comme un petit blanc si j’ose dire par les temps qui courent, mais puisqu’on nous a dit que c’est autrement, il faut bien commencer par quelque chose.

Mais quand Macron se met à tout saccager dans le système social redistributif du pays et dans les services publics dont l’efficacité est le reflet de la richesse nationale, Macron et sa bande mafieuse perdent progressivement tout crédit en France jusqu’à arriver en décembre 2018 à moins de 20 % d’avis positifs sur leur politique.

On peut nous seriner qu’un gouvernement ne doit pas diriger un pays en fonction des sondages, il n’empêche qu’un mouvement de contestation soutenu par près de 80 % de la population oblige à réfléchir sur la légitimité du gouvernement et son droit à utiliser la force publique et la violence comme monopole d’État.

Or, quoi qu’en disent tous les théoriciens et exégètes de la virgule et du point d’interrogation qui tartinent confusément leurs 500 pages sur la violence monopole d’État en se noyant sur des détails de l’Histoire sans intérêt pour l’objet examiné, tout le monde oublie l’essentiel qui tient pour la France en quelques lignes de la Constitution et les conséquences qui en découlent par le seul effet de la logique sémantique.

L’article 2 érige le principe de la République française qui est le « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ».

L’article 3 affirme que « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum » et qu’« Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice ».

Comme une majorité de Français ne veut plus ni de Macron ni de sa bande mafieuse LREM, il s’ensuit que désormais le pays n’est gouverné que par une « section du peuple » à laquelle la Constitution ne reconnaît aucune légitimité.

Dans la hiérarchie des principes républicains inscrits dans la Constitution, c’est l’article 2 qui prévaut, et l’élection du président de la République pour 5 ans ne vaut plus si le peuple de France estime que le principe du « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » n’est plus respecté.

La majorité des citoyens peut alors décider par référendum d’annuler sans délai le mandat donné à tous ses représentants si elle estime qu’ils ont trahi la souveraineté nationale qu’ils sont en charge de faire respecter  par simple délégation et non pour leur propre compte ou le compte d’une faction.

Si le référendum est concluant, tous les mandats sont annulés et il doit être procédé à de nouvelles élections.

Nous voyons donc que le gouvernement Macron est obligé constitutionnellement au référendum si une majorité de citoyens l’exige.

Autre conséquence dont tous les policiers et juges doivent maintenant tenir compte sous peine de devoir s’expliquer si un jour un autre gouvernement est élu : si une majorité du peuple de France reprend aujourd’hui directement à son compte l’exercice de la souveraineté nationale jusqu’à de nouvelles élections, le gouvernement actuel sur le départ a perdu le monopole de la violence légitime puisque le peuple s’est réapproprié ce pouvoir pour l’exercer directement.

En obéissant aux ordres de ce qui est devenu « une section du peuple »  à laquelle la Constitution dénie tout droit dans le gouvernement de la nation, ces policiers et juges se mettent dans l’illégalité lorsqu’ils arrêtent ou jugent  des citoyens qui demandent pacifiquement à reprendre leur droit constitutionnel d’exercer directement la souveraineté nationale, en attendant de la confier à de nouveaux représentants.

En effet, la police peut toujours avoir le monopole de la violence légitime, mais elle doit alors l’obtenir de la majorité des citoyens de la rue si cette dernière veut bien la lui confier, et non du gouvernement actuel qui ne représente plus qu’une caste minoritaire.

Les juges et policiers devraient ainsi dès maintenant commencer à réfléchir aux ordres de qui ils doivent être avant d’obéir aveuglément.

Et le gouvernement actuel qui persisterait à ne pas répondre aux exigences de la majorité des Français qui veulent de nouvelles élections deviendrait de facto un régime fasciste en s’asseyant sur la Constitution.

À moins qu’il n’obéisse dès maintenant aux injonctions de faire enfin une politique souverainiste en fermant les frontières, notamment à la concurrence déloyale, et en expulsant les désosseurs qui pillent les transferts sociaux et les richesses du pays, en mettant au pas les forces antinationalistes, en quittant l’Onu et les autres machins internationaux qui coûtent un pognon de dingue sans rien rapporter, pour essayer, dans un dernier sursaut, de retrouver la confiance du Gaulois réfractaire.

Jean d’Acre

 

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