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11 décembre 2018

GILETS JAUNES : UNE FOIS DE PLUS MACRON N'A RIEN COMPRIS A CE MOUVEMENT CITOYEN D'UN PEUPLE FRANCAIS EN COLERE ...

Macron, un discours pour rien

Ainsi, après plusieurs semaines de manifestations, mais aussi parfois d’émeutes. Après qu’il y a eu des dizaines de blessés parmi les manifestants, mais également parmi les forces de l’ordre, et même plusieurs morts en marge de ce vaste et inédit mouvement des gilets jaunes. À l’issue de destructions importantes qui ont provoqué pour des centaines de millions d’euros de dégâts dans notre pays, Macron, le Jupiter élyséen, s’est enfin décidé à descendre de son Olympe. Car son intervention devant les Français était attendue. Invisible et inaudible depuis le début des manifestations, si ce n’est par quelques indiscrétions sans doute savamment distillées, le président de la République s’est exprimé ce lundi soir, pendant une dizaine de minutes, afin de dire son ressenti et d’annoncer les mesures qui, selon lui, devaient faire baisser la tension et renvoyer les gilets jaunes chez eux. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le message a été insuffisant. En d’autres temps, on aurait dit que « le compte n’y est pas ».

À un vaste mouvement populaire et social, Macron a cru bon de répondre par quelques mesures minimalistes. Alors que les gilets jaunes demandaient du pouvoir d’achat, il leur a proposé une revalorisation du SMIC de 100 euros, et rien pour les autres travailleurs. Une prime de Noël, à la charge des entreprises qui le voudront bien. Alors que les gilets jaunes demandaient plus de démocratie, il leur a proposé un débat en refilant, au passage, le bébé aux maires. Alors que les gilets jaunes demandaient plus de justice et d’équité, il a proposé des miettes aux uns et rien aux autres. Face à cette crise majeure et sans précédent, le président de la République s’est montré égal à lui-même, alliant compassion de circonstance et vraies menaces. Menaces contre les gilets jaunes qui poursuivraient leurs actions, mais aussi menaces contre des « irresponsables politiques » sans qu’il les désignent nommément, mais dont on voyait bien qui il pouvait viser.

Exit, donc, la réindexation des salaires et des pensions sur l’inflation. Exit les vraies mesures pour le pouvoir d’achat, les Français devront continuer à se serrer la ceinture pour tout simplement continuer à vivre. Exit les décisions pour diminuer la dépense publique dont on sait qu’elle est un véritable fléau pour notre économie.

Ce n’est donc pas par ce discours, et encore moins par les mesures annoncées, que nous sortirons de cette crise. Trop de revendications, pourtant légitimes et fondées, n’ont pas été prises en compte. En revanche, les plus riches peuvent, une fois encore, dormir sur leurs deux oreilles, ils resteront riches. Et l’ISF ne sera pas rétabli.

Plus que jamais, c’est donc l’inconnu qui se profile. Quelles réactions auront les gilets jaunes sur leurs ronds-points, eux qui, maintenant depuis près d’un mois, tentent de se faire entendre mais n’ont manifestement pas su retenir suffisamment l’attention d’un Président prisonnier de sa politique et de ses maîtres de la haute finance internationale.

Plus que jamais, il s’avère donc indispensable de changer de politique. Mais les Français savent désormais qu’elle ne changera pas avec ceux qui sont actuellement au pouvoir. Ainsi, ce ne sont plus quelques mesures économiques ou fiscales qui sont à exiger, mais bien de nouvelles élections qui, seules, permettront de donner à la France une nouvelle majorité, porteuse d’un autre programme et d’un autre projet pour l’avenir de la France.

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Emmanuel Macron parle aux Français : trop peu, trop tard !

 

 

Emmanuel Macron ne pouvait plus faire autrement et n’avait plus le choix qu’entre de mauvaises solutions. Continuer à se taire ? Impossible. Parler enfin ? Mais pour dire quoi ? Faute de mieux, il a donc opté pour la seconde solution, ce lundi. Il a la mine grave, le sourire crispé et les joues rasées de loin. Ambiance cellule de crise, un peu comme s’il revenait de Baden-Baden.

Tout d’abord, il condamne les violences de ces semaines dernières. Le moyen de faire autrement ? L’ensemble de la classe politique et mêmes les gilets jaunes ont fait de même. Le sourire de plus en plus crispé, il assure comprendre « la colère profonde » du peuple. C’est donc à croire qu’il lit les journaux comme tout un chacun. Et d’affirmer comprendre aussi la détresse de ceux qui peinent à boucler les fins de mois. On voit que ça n’a pas chômé, chez les communicants élyséens. Dans la foulée, il regrette « ses propos qui ont pu blesser ». Sans blague : ceux « qui ne sont rien », pour reprendre ses propres mots, sont décidément d’une susceptibilité de rosière…

Mais à heures graves, mesures d’exception, devant « l’urgence économique et sociale ». C’est donc la fin de la hausse du prix du diesel et du taux de la CSG sur les retraites. Sans oublier un SMIC qui devrait être revalorisé à hauteur de cent euros et des heures supplémentaires censées être à nouveau défiscalisées. Et une prime de Noël, tant qu’à faire. C’est à la fois beaucoup et rien. C’est surtout à côté de la plaque, sachant que si l’envolée des prélèvements sociaux et des taxes a été l’élément déclencheur de la crise qu’on sait, les raisons de cette dernière ne sont pas que financières.

Cela, Emmanuel Macron paraît l’avoir saisi, mais n’en parle que peu. Le ressentiment qu’éprouve une écrasante majorité du peuple – et pas seulement celui des gilets jaunes – de se trouver dépossédée de son propre destin, il estime pouvoir l’apaiser avec un peu de proportionnelle et la reconnaissance du vote blanc. Là encore, c’est à la fois trop ou trop peu. La question migratoire et celle, identitaire, qui en découle de fait sont vite évacuées. La preuve : il a promis un débat sur le sujet. Et propose même, après consultation des maires, un « nouveau contrat pour la nation ». Contrat pour faire quoi ? Contrat signé par qui ? On ne le saura pas.

Pour le reste, rien. Ah si, on allait oublier cette solennelle déclaration : « Mon seul souci, c’est vous ! » C’est beau, chic et entraînant. Un peu comme un slogan d’agence bancaire. Un non-événement, donc. Mais qui nous en dit aussi beaucoup sur cette autre détresse, celle qui semble régner dans les plus hautes sphères de l’État.

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Si vous n’avez pas compris les gilets jaunes, alors…

 

Cessez de vous demander – pour les discréditer – si les gilets jaunes sont manipulés par l’extrême gauche, l’extrême droite, les populistes de tous poils, la Russie… les USA.

Cessez de vous demander si nous risquons le fascisme, des morts, un coup d’État militaire, l’anarchie, la crise économique.

Cessez de vous focaliser sur le réchauffement climatique, sur le programme de campagne d’Emmanuel Macron, sur la nécessité d’aller au bout de ce programme de cinq ans.

Cessez de mentir sur le nombre de manifestants alors qu’ils sont des dizaines, se relayant 24 heures sur 24, sur des dizaines de milliers de carrefours et de communes.

Cessez de les insulter, de feindre de croire que leurs revendications seraient confuses ou contradictoires ou utopiques, alors qu’elles sont limpides.

Car ces gens qui souffrent de gêne économique et matérielle, et justement parce qu’ils souffrent et pas vous, auront toujours raison contre vous, ils seront plus courageux, plus véridiques, plus nombreux et plus déterminés que vous.

Car ces gens – et ils vous le disent, mais vous ne les écoutez pas – ne font pas ça seulement pour eux mais ils le font pour leurs anciens, pour leurs enfants, pour leur nation.

Car ces gens sont humiliés en tant que citoyens parce que vos institutions, et plus encore ce que vous en avez fait, trahissent leur vote, et ils ne font plus confiance ni à la démocratie, ni à Bruxelles et que, désormais, les suffrages exprimés atteignent rarement 50 % des citoyens.

Car ils ne supportent plus le bal cynique de la jet-set qui se met à l’abri fiscalement ou qui touche des revenus sans rapport avec son utilité sociale.

Car ces gens ne supporteront pas qu’on tente de les rendre responsables des désordres urbains que vos aberrantes politiques, depuis quarante ans, ont provoqués, désordres que vous avez été incapables de maîtriser ou que vous avez laissés s’aggraver.

Car ces gens ne supporteront pas qu’on les rende responsables d’une éventuelle crise économique. Car cette crise économique existe déjà, dont ils souffrent, et c’est vous qui la créez depuis quarante ans par le choix délibéré et dissimulé d’un financiarisme spéculatif, antidémocratique et mondialiste.

Car même s’il faudra, immédiatement, quelques mesures pour que le reste à vivre de tous les Français ne soit plus réduit à rien le 20 du mois, ce ne sont pas trois mesurettes démagogiques, que vous allez qualifier de « concrètes », des saupoudrages, que vous aviez déclarées impossibles il y a un mois, dont les Français se satisferont.

Les Français, depuis toute leur histoire, ont eu comme passion la liberté et la justice. Or, vous les privez de l’une et de l’autre. Et, désormais, c’est leur survie qui est en cause, et celle de leurs parents et de leurs enfants.

C’est dire que vous ne serez pas de taille à les arrêter, car vous ne comprenez pas ce qu’ils veulent, qui est très intelligent, de bons sens, et moral ; ce que vous n’êtes pas.

Les Français veulent avant tout décider librement de leur avenir et de celui de leur nation. Ils veulent que le système de décision leur soit rendu en tous domaines et ne soit pas foulé aux pieds (comme en 2008), ni confié à d’autres qu’à eux-mêmes. Ils demandent que les règles du référendum d’initiative soient assouplies pour que ces consultations soient désormais possibles alors que vous avez pris soin de fixer des conditions inatteignables.

Les Français veulent que le travail utile à la société soit payé dignement, que les activités néfastes soient réprimées et les revenus des activités moins utiles ramenés à de justes proportions.

Les Français veulent que les sommes gagnées en France soient imposées en France et que l’impôt soit juste, modéré, équitablement réparti.

Les Français veulent que les produits importés supportent une TVA ou des taxes égalisatrices pour que la concurrence redevienne juste et ne dévaste pas leurs entreprises et leurs fermes. Ils ne veulent plus de travailleurs détachés.

Les Français ne veulent plus que l’économie soit asservie à la monnaie : ils veulent que la monnaie revienne au service de l’économie.

En vérité, les Français veulent des principes de vivre ensemble totalement différents de ceux que vous leur avez imposés insidieusement, qui vous ont enrichis alors qu’ils les appauvrissaient. Et ils vont gagner car la vérité nous libérera de vous.

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Macron : des miettes pour les Gilets jaunes, des milliards pour les clandestins

 

 

Publié le 10 décembre 2018 - par

 

Fin du suspense, si l’on peut dire, après des jours de silence du chef de l’État qui vit dans son bunker élyséen, loin du peuple et des scènes de guérilla urbaine qui enflamment les villes de France, à la stupéfaction du monde.

Emmanuel Macron s’est enfin décidé à recevoir les partenaires sociaux, après les chefs de parti, alors qu’il les a toujours ignorés depuis 18 mois. Preuve que Jupiter a perdu de sa superbe face à une tempête qu’il n’a pas vu venir.

19 h. Nous attendons tous ce que Macron va nous sortir du chapeau pour sortir de la crise et s’extirper du bourbier où il s’est mis lui-même. Car il joue son quinquennat. Les GJ vont bientôt savoir si le compte y est ou si Jupiter cherche encore à les berner par une entourloupe machiavélique.

Il se dit qu’il ne reviendra pas sur l’ISF, sur l’augmentation de la CSG des retraités et qu’il n’y aura aucun coup de pouce au smic. Voilà qui douche d’entrée les espoirs de millions de travailleurs pauvres et de retraités aux abois.

Certains ne l’écouteront même pas, tant il a menti. À cinq reprises, il avait promis qu’il ne toucherait jamais aux retraites, mais il a saigné les retraités, oubliant qu’ils représentent 16 millions d’électeurs. C’est même grâce à eux qu’il est à l’Elysée !

“Macron, démission”, entend-on dans les rangs des Gilets jaunes. Signe que c’est bien le président qui focalise toutes les rancœurs et les colères.

Hélas, on imagine mal Emmanuel Macron se comporter en grand seigneur et remettre son titre en jeu en décidant de nouvelles élections.

Ce serait pourtant une posture qui aurait de la gueule. Une façon de sortir de la crise par le haut en redonnant la parole au peuple avec un certain panache.

Mais ne rêvons pas. D’autant plus que la Constitution le protège.

Un président arrogant, qui n’a fait qu’insulter et mépriser le petit peuple, ce ramassis d’illettrés, d’alcooliques et de fainéants qui ne sont rien, ne peut pas se comporter avec noblesse à l’égard des Gilets jaunes.

Il donne des leçons au monde entier, convaincu d’avoir toujours raison. Et quand tout va mal, il accuse son entourage et joue les Calimero en se plaignant de la solitude du pouvoir.

“Vous n’imaginez pas comme je ne suis pas aidé”, vient-il de déclarer aux maires des Yvelines venus lui dire que certains de ses sujets verraient bien sa tête au bout d’une pique !

Quel culot !

Il s’est sciemment entouré d’une majorité de députés incompétents pour les avoir à sa botte. Tous des inconnus, élus uniquement grâce à la photo de Macron sur leur affiche de campagne.

Il a choisi des ministres et des hauts fonctionnaires macro-compatibles afin de gouverner sans partage.

Et aujourd’hui que le macronisme est synonyme d’injustice et de chaos, il fait porter le chapeau à son entourage ! On croit rêver !

20 h. Nous y voilà. Visage grave et air tendu sont de rigueur. Son sourire de premier de la classe a enfin disparu. Pas trop tôt !

Macron sait qu’il joue gros et que les attentes sont immenses, du côté des Gilets jaunes mais aussi chez les millions de Français qui voient leur pays s’enfoncer dans un déclassement inexorable et voient leur identité de plus en plus menacée.

Il faut dire que le 1er décembre, on est passés à deux doigts de la perte de contrôle de la situation par un pouvoir tétanisé avec, à la clé, une potentielle insurrection généralisée aux conséquences incalculables.

Emmanuel Macron revient sur les violences inadmissibles, accusant au passage les politiques irresponsables qui ont mis de l’huile sur le feu.

Calme et ordre républicain seront sa priorité.

Vient ensuite un couplet où le chef de l’État fait son mea-culpa, reconnaissant la détresse des plus faibles dont la cause remonte à 40 ans.

Les services publics disparaissent, la démocratie est malmenée, la laïcité ébranlée.

Mais malgré toutes ses maladresses, ses propos blessants, il affirme aimer la France.

Mais quelle France ? Une France multiculturelle ayant perdu son identité et son patrimoine culturel ? Pas un mot sur le tsunami migratoire.

Déclarant un état d’urgence économique et social, il essaie de répondre à la demande de pouvoir d’achat des Gilets jaunes.

Majoration du smic de 100 euros bruts qui ne sera pas à la charge des entreprises. C’est une hausse de 6 %. Cela concerne 2 millions de salariés.

Heures supplémentaires défiscalisées et désocialisées pour 9 millions de salariés. Rapport = 30 à 40 euros par mois.

Annulation de la hausse de la CSG pour les retraites inférieures à 2 000 euros dès 2019. Gain = 30 à 40 euros par mois.

Mais pas un mot sur les retraites figées qui ne suivent pas l’inflation.

Prime de fin d’année défiscalisée facultative à la charge des entreprises qui en ont les moyens. Ce qui ne peut que susciter un sentiment d’injustice pour ceux qui n’en bénéficieront pas.

Mais il n’y aura aucun recul sur l’ISF, impôt destructeur de richesses et d’emplois.

La lutte contre l’évasion fiscale sera accentuée.

Les réformes se poursuivront, mais par le dialogue, avec les régions, avec une meilleure représentativité.

Macron veut faire la tournée des maires, pour un nouveau contrat pour la nation.

Fiscalité plus juste, climat, décentralisation, services publics, identité, immigration, autant de débats qu’il faudra conduire.

L’ensemble de ces mesures d’urgence va coûter 12 milliards dont le financement n’a pas été annoncé.

Deux solutions : augmenter le déficit, sachant que Bruxelles saura se montrer beaucoup plus souple avec Paris qu’elle ne l’est avec Rome !

Ou bien prélever 12 milliards sur les 40 milliards du CICE qui doivent aller aux entreprises. À suivre.

Tout cela est bien maigre.

Smicards et retraités sont déçus car le compte n’y est pas.

Quand on sait que le tsunami migratoire s’amplifie, que le nombre de MNA est passé de 25 000 en 2017 à 40 000 en 2018 et sera de plus de 50 000 en 2019, on sait où va l’argent.

50 000 euros par an pour chaque mineur isolé et 100 euros bruts de plus par mois pour un smicard.

830 euros mensuels (1 300 pour un couple) pour des étrangers qui n’ont jamais travaillé ni cotisé en France et 30 à 40 euros de plus pour les petits retraités qui ont trimé pendant 45 ans sans connaître les 35 heures et les 5 semaines de congés payés.

C’est ça, la réalité. Et 60 % des MNA sont des faux mineurs.

La facture 2018 s’élève à 2,5 milliards, à la charge des départements et de l’État, dont 1,5 milliard pour les fraudeurs adultes.

Comme toujours, la cause essentielle de la ruine des Gilets jaunes, l’immigration de pauvres qui vont gonfler le flot des assistés, n’a pas été abordée.

Il est plus urgent d’aller signer le Pacte de Marrakech qui va ruiner encore plus les Gilets jaunes que de sauver notre identité et notre patrimoine culturel.

Marine a raison.

C’est le “pacte de la submersion mondiale” et ceux qui prétendent que ce pacte n’est pas contraignant ne font qu’appauvrir les Gilets jaunes.

“Ce pacte va faire du monde un gigantesque squat, dit Marine.

Signer ce pacte est une insulte aux pauvres.

Pour Steve Bannon, les Gilets jaunes “veulent reprendre le contrôle de leur pays et croire en l’État-nation”.

De tout cela, Macron n’a pas dit mot.

Il ne réglera rien puisque l’immigration va encore appauvrir le peuple français.

Nos 2 200 milliards de dettes, c’est l’immigration.

La seule facture des intérêts annuels est de 45 milliards.

Pas un mot non plus sur nos paysans dont le tiers vivent avec 350 euros par mois, ruinés par la politique européenne. Un suicide tous les deux jours, dans l’indifférence générale.

Pas question de remaniement ministériel, pas question évidemment de dissolution, pas question de proportionnelle, rien sur le référendum réclamé par les GJ.

Un peu de pouvoir d’achat et on continue, avec les mêmes, pour la même politique. C’est ça, le bilan de ces 13 minutes “pour convaincre”.

Je ne sais pas ce que feront les GJ, mais le compte n’y est pas.

Macron a paré au plus pressé pour éviter un acte V. Mais l’enjeu est plus important que ça. C’est un défi existentiel qu’il faut relever.

Mais Macron ne l’a toujours pas compris. Il ne peut pas sauver le pays avec son idéologie mondialiste qui va tout emporter.

Jacques Guillemain

 

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